L'histoire de la semaine

Dimanche 12 juin 7 12 /06 /Juin 16:42

Les panards, comme j'aime ça, oh putain de putain !! Si je pouvais j'en boufferais à longueur de journées et en plus du bien dégueu de préférence... Ça, je le dois à un mec avec qui j'ai partagé ma chambre du temps où j'étais en prépa. Ce salaud-là a tout de suite compris que j'étais pédé mais lui, ce con, il ne l'était pas, surtout pas. C'était un très beau mec, il le savait et il savait surtout qu'il me faisait flasher. Un soir, alors que l'on venait juste d'éteindre la lumière, très direct, il m'a demandé comme ça :
- T'es pédé, pas vrai ?
Jamais je n'aurais avoué… Et pourtant mon silence puis ma voix tremblante lui répondait.
- Pourquoi tu dis ça ?
Il a tout de suite compris.
- J'ai envie de toi… M'a-t-il alors lancé. Viens…
Comme un automate je me suis levé et j'ai progressé dans le noir jusqu'à son lit. Arrivé tout près je l'ai entendu me dire en rigolant :
- Mais non, je déconne, pédé !
Alors je l'ai traité de con, de sale con. Mais je tremblais de tout mon être, pensant à ce qui se passerait s'il venait à raconter à tout le monde que j'aimais les mecs. Avant même que j'ai eu le temps de rejoindre mon lit, il m'a dit et même presque ordonné :
- Par contre j'ai envie que tu me lèches les pieds…
Là encore j'ai réagi comme un automate et j'ai fait demi-tour vers lui. Je me suis agenouillé. Ses deux pieds m'attendaient, sortis de dessous les draps. Et c'est donc comme ça que tout a commencé. Il adorait ça, il me disait de bien téter chaque orteil. Je devais lui lécher les pieds presque tous les soirs. La plupart du temps je m'exécutais lumière éteinte. Car ce mec avait beau me répéter que j'étais fait pour ça, lécher les pieds, j'étais assez gêné de le faire même si j'y trouvais un vrai plaisir authentique, c'est clair ! 
Il disait que je n'avais aucune honte à avoir… Puisque c'était, selon lui, inné. Parfois il m'insultait pendant que je bouffais ses pieds. J'étais sa tapette esclave mais d'autres fois il ne disait rien et ce silence m'angoissait presque.

Un dimanche matin, de retour de son jogging hebdomadaire, il m'a demandé de lui lécher les pieds… Volontairement et contrairement à son habitude il n'était pas passé à la douche.
- Aujourd'hui tu vas sucer de la sueur de panards. Tu vas te régaler, tu vas voir !
Il s'est assis sur son pieu et il m'a simplement fait signe de venir le déchausser. Sans un mot, comme souvent, je me suis approché ! Il faut dire que j'étais devenu en quelque sorte sa bonniche et que cette situation n'avait plus rien d'extraordinaire. Sans aucune gêne je suis donc venu me mettre à genoux entre ses jambes. Je lui ai enlevé les pompes et déjà ça dégageait bien ! Ça puait le panard à mort. Et je peux dire qu'après m'être habitué à l'odeur je n'ai fait qu'une bouchée de ses orteils. Je les ai dévorés comme un malade. Je savais qu'il me regardait et qu'il devait être surpris de mon enthousiasme. Il m'a quand même demandé, plutôt perplexe :
- Alors, donne-m'en des nouvelles… Est-ce que c'est bon ?
Le plus naturellement du monde j'ai répondu :
- Je les préfère même comme ça ! Tu peux pas savoir comme je me régale.
- Si, si ! J'imagine…

Le week-end suivant, je l'attendais de pied ferme dans la piaule, la salive déjà au bec. Comme je me suis précipité sur lui alors qu'il venait à peine de refermer la porte à clef derrière lui, il m'a mis une baffe !
- Eh, doucement pédé ! Laisse-moi le temps d'arriver !!!
Ce n'était pas la première fois qu'il me mettait une baffe mais je me souviens lui avoir répondu cette fois-ci qu'il était complètement malade… Ce qui m'en a valu une deuxième !
Bref, j'ai dû attendre quelques minutes, qui me parurent une éternité, avant de me mettre à table.
Aussitôt le bonheur de déguster ses panards puants me fit oublier les baffes cinglantes que j'avais prises dans la gueule. Hélas il n'y a jamais rien eu de cul entre nous. Rien d'autre que du léchage de pieds. Sans réciprocité évidemment et avec quelques baffes…

Par la suite j'ai souvent eu des plans culs qui tournaient pour la plupart autour du panard. A vrai dire, souvent, c'était à prendre ou à laisser. L'un de ceux qui m'a le plus marqué fut Yann, un beau mec, complètement imberbe de la tête aux pieds. Même pas un poil sur le caillou. Ce très joli garçon disait être skin mais en fait il n'en avait pas la mentalité, heureusement. Avec lui on s'est fait des parties de bouffe panards démentes, je m'en souviens encore. Ça pouvait durer des heures, surtout les fois où on avait un bon coup dans le nez. Car on n'a jamais baisé sobres, jamais ! On était presque toujours bien allumés et même plus que cassés ! Les canettes vidées se comptaient par dizaine... Mais on ne faisait pas que se bouffer nos panards. Il y avait aussi nos culs, nos couilles, nos bites bien sûr, tout y passait. Très voraces de la gueule on se bouffait souvent nos culs en soixante-neuf. Embranchés l'un dans l'autre, on ne formait plus qu'un ! Une boule humaine formée de deux corps, avec chacun la gueule dans le cul de l'autre. Lui par contre il avait les panards toujours très propres et je dois dire que c'était très bon aussi !

Je me rappelle également de Mohamed, dit momo. C'était un grand cochon au niveau des pieds. Il ne se les lavait que rarement ce qui donnait en fin de compte beaucoup de travail à ma langue. Ses grands pieds étaient crads, mais crads ! Avec lui c'est souvent du panard gluant que j'ai eu à déguster ! Momo était un petit beur de 19 ans, je dis bien petit car il ne devait mesurer à peine plus d'un mètre soixante. Il était tout menu et avec une frimousse de coquin. Il flottait littéralement dans son tee-shirt lorsque je l'ai rencontré. Plus bas, son caleçon en lycra moulait sa petite bite large et ses jolies fesses, carrément petites, super musclées et aussi rondes que des ballons. Malgré son manque d'expérience et son petit sexe je me souviens qu'il n'a pas mis longtemps à se montrer autoritaire avec moi. Au moment de me dire qu'il venait de décider de m'enculer j'ai vu son visage changer… Est-ce pour me mettre en condition ? Sans doute. Il m'a demandé, pour commencer, de lui lécher ses tout petits pieds. Visiblement ça lui plaisait de me rabaisser ainsi. Je me souviens l'avoir observé se branler nonchalamment pendant tout le temps du léchage. Sa frimousse n'était alors plus du tout celui du mec serein, il respirait le vice jusqu'à dans cette façon de me regarder lui aspirer les pouces de pieds. Momo a décidé de m'enculer sur le lit. Nous étions l'un comme l'autre allongé, lui derrière moi. J'avais le cul posé contre son pubis. Il a plaqué sa main contre mes abdominaux puis l'a glissée jusqu'à ma rondelle. Je ne fis évidemment aucun problème pour le laisser me faire entrer son index.
Après avoir travaillé mon petit trou quelque temps il s'est introduit sans violence en moi. Enfin, sans violence, du moins au début… Car très rapidement il s'est remis à jouer au dominateur. Ça ne sonnait pas forcement vrai mais ça y ressemblait et lui comme moi jouions le jeu… Il faut dire que de toute façon, à chacune de ses insultes je devenais plus salope, je donnais "mieux" le cul. Il s'est mis à me chevaucher comme un petit fou. D'où tirait-il cette fougue presque surhumaine ? Momo était à présent un petit démon à la force inouïe, en train de me grimper et de me labourer le cul avec son large petit boudin de queue. Petit, ok, mais vigoureux à un point !!!

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 5 juin 7 05 /06 /Juin 16:27

J'ai vite compris de quoi il retournait lorsqu'après l'entretien d'embauche le directeur et le sous-directeur m'ont invité au restaurant. D'abord j'ai eu peur mais pourquoi aurais-je eu peur ?

En fait je correspondais parfaitement à l'emploi. Seulement voilà, je l'avais à une seule condition, que j'accepte de passer à la casserole... C'est alors que progressivement, au cours des propos, j'ai compris que ces deux hommes étaient en réalité un couple d'homosexuels. Et un drôle de couple je peux vous l'assurer ! J'avais vraiment envie de ce boulot. Moi aussi je pensais qu'il correspondait parfaitement à mon profil. Et dans la situation actuelle, que pouvais je faire d'autre ? C'était parfaitement odieux de la part de ces deux hommes qui détenaient une mince parcelle de pouvoir. Et pourtant j'ai accepté. Même si aujourd'hui encore je me sens humilié. Ils ne m'emmerdent plus, je fais mon boulot correctement, déjà de nombreuses semaines se sont écoulées mais j'ai besoin de parler de cette soirée.

Je n'ai pas dit oui immédiatement lors du repas. Ils avaient été si nets et si tranchants. Peu à peu, tandis que les minutes filaient, j'ai accepté. Et c'est ainsi que tard dans la nuit, je me suis retrouvé dans un appartement avec deux hommes soit disant bcbg. Ils ont alors changé du tout au tout. Ils se sont montrés encore un peu plus sous leur véritable identité. Vulgaires et cyniques. J'ai dû accepter toutes leurs humiliations. Mais jusqu'où doit-on descendre dans l'odieux pour croire que l'on conserve sa liberté ? C'est une erreur, mais je l'ai commise pour avoir ce boulot. Je me déteste et j'ai envie de le dire. J'étais encore en caleçon. Ils se moquaient de moi. Ils étaient tranquillement assis sur leur canapé. Ce n'étaient que de sales types qui étaient en train de profiter d'une victime.

Alors j'ai dû aussi enlever mon caleçon. Bien évidemment. Ils voulaient me voir à poil pour se foutre encore un peu plus de ma gueule. C'est d'ailleurs ce qu'ils ont fait. Et, dans la foulée, devant eux, j'ai dû me masturber. Je n'éprouvais pas de plaisir. Je prenais mon sexe entre mes doigts et j'essayais de le faire entrer en érection. Mais il restait désespérément mou. Et je me forçais à me branler mais je n'y arrivais pas. Je crois qu'ils commençaient sérieusement à s'échauffer. Je les énervais de ne pas pouvoir bander. J'ai dû m'approcher d'eux. L'un a tendu son bras et sa main. Il m'a pincé les couilles. J'ai eu très mal. C'était terrible. Et puis il a ajouté des mots orduriers comme si je n'étais qu'un moins que rien. Je ne pouvais pas bander. Pourtant selon lui, j'avais sûrement les couilles bien pleines et puis j'aurais théoriquement dû être vachement excité rien que de les regarder tous les deux.

Justement ces deux hommes ne me faisaient nullement bander. J'aurais plutôt eu envie de gerber en les observant. Ils étaient pires que des animaux. Les animaux ne se comportent jamais de la sorte avec leurs semblables. Ils tuent et c'est tout. Tandis qu'eux ils étaient en train de m'assassiner tout en m'humiliant. Ils m'assassinaient deux fois. Cependant je restais vivant. Mais dans quelles conditions ! Perdant toute dignité, tout respect de moi-même. Alors ils continuaient de m'insulter car je ne parvenais pas à bander. Je me faisais mal rien qu'en me branlant. Mais je ne parvenais toujours pas à bander. Alors ils m'ont demandé de me mettre à genoux devant eux. Là, je les ai senti encore un peu plus méchants. Selon eux je ne voulais pas jouer le jeu. Je pressentais qu'ils allaient m'en faire voir de toutes les couleurs... Cela et seulement cela pour un emploi, pour pouvoir bouffer à ma faim. L'un m'a pris vertement la tête. Il serrait mes cheveux. Il m'a alors obligé à lui tailler une pipe. C'était dégueulasse. J'ai ouvert la bouche. J'ai dû enfiler sa bite entre mes lèvres. Lui évidemment il bandait. Et son copain regardait en se marrant. Son sexe s'enfonçait déjà loin dans ma gorge. Et son copain tout en suçant son pote m'a obligé à me frotter le sexe contre la partie basse du canapé car je devais enfin bander dans ces conditions. Mais je ne parvenais toujours pas à bander. C'était humiliant.

L'un me maintenait en me faisant mal tandis que je suçais l'autre qui apparemment prenait son pied. Tandis que moi j'étais contraint et que je n'y prenais aucun plaisir. C'était un semi viol. J'étais obligé d'accepter leurs conditions si je voulais pouvoir vivre. Je suçais le mec qui me fourrait exprès sa bite au plus profond de ma bouche, me permettant à peine de respirer. Même au bord de l'asphyxie je devais continuer de le pomper. Ces deux hommes prenaient leur pied à me faire souffrir. De vrais sadiques. Finalement, il m'a repoussé et il m'a menacé. J'avais intérêt à mieux m'y prendre par la suite sinon je pouvais dire adieu à mon futur boulot. Le deuxième homme m'a aussitôt tiré par les cheveux, me faisant souffrir atrocement, et il m'a forcé à sucer sa queue à lui aussi. Il bandait. Moi j'avais légèrement grossi de la queue mais c'était infime. Ces deux hommes pensaient que je pouvais prendre mon pied à être avili de la sorte ! Ils voulaient me voir bander.

Mais malgré tous mes efforts, fantasmant un max dans ma tête, je n'arrivais à rien. J'ai démarré des va et vient sur la deuxième queue et j'ai fait ce que j'ai pu pour bien faire. Je voulais tout de même montrer que j'étais de bonne volonté même si eux ça ne les satisfaisait pas. Celui là a semblé éprouver un peu plus de plaisir que son ami. En tous les cas il m'insultait quand même, me traitant de tous les noms. Mais moi je sentais bien que sa queue réagissait positivement à mon léchage. Je sentais de petits tressautements à l'intérieur. D'ailleurs lui il s'est carrément abandonné. En m'insultant encore plus fortement il m'a tiré les cheveux en avant comme un malade et il m'a balancé une bonne giclée de foutre au fond de la bouche. Il s'est retiré, l'air victorieux. Alors l'autre s'est déchaîné. Il a commencé à m'assener des coups tout en m'insultant encore plus. J'avais réussi à faire jouir son pote et pas lui. J'avais intérêt à m'y mettre si je ne voulais pas recevoir pire que des coups ! Il a alors allumé une cigarette. Avec des yeux sadiques il m'a demandé si j'avais déjà eu des brûlures de clopes sur la peau. Il était très menaçant et je savais qu'il mettrait sa menace à exécution si je ne faisais pas ce qu'il voulait. Alors il m'a d'abord dit que je devais bander, lui montrer qu'il m'excitait en ayant une queue bien raide.

C'est seulement en voyant ma queue bandante que lui même pourrait éventuellement prendre son pied. Là j'étais contraint. Alors je me suis passé tout un tas d'images de mes dernières baises en accéléré dans ma tête. Au bout d'un bon moment j'ai réussi à entrer en érection je me suis branlé comme un forcené pour la maintenir en l'état. L'autre a été satisfait. Il m'a alors dit de le pomper à nouveau, qu'il se sentait prêt à juter et effectivement quelques allers retours plus tard j'ai reçu toute sa liqueur au fond de la bouche. Moi qui n'avait encore jamais bouffé de foutre, là j'étais servi. Deux doses de sperme à la suite : on ne fait pas mieux pour une première fois. Ils m'ont laissé en plan quelques instants. Je ne pensais plus, j'attendais.

Ils sont revenus munis de cordelettes. Ils possédaient une longue table rectangulaire en bois. Ils m'ont forcé à monter dessus. Puis ils m'ont écartelé, bras et jambes étirés au maximum de chaque côté. Ils m'ont maintenu dans cette position avec la cordelette. Une fois bien liés, ils ont carrément fait basculer la table, ce qui fait que je me suis retrouvé dans une position presque à la verticale. La table était en semi équilibre contre l'un des murs. Ils se sont marrés de me voir ainsi avec la trouille au ventre. Alors je les ai vus sortir divers trucs d'un placard. Concombre, courgettes et godes de toutes les tailles. Ils étaient visiblement décidés à me défoncer le cul sans pitié. Je ne pouvais pas tourner ma tête au delà d'un certain degré. Alors ensuite je n'ai plus rien vu, j'ai seulement senti la douleur qu'ils m'infligeaient tous les deux en me pénétrant le fion de ces diverses fausses bites. Ils m'ont enfoncé progressivement une courgette puis le concombre. Je ne voyais rien mais ils ne manquaient pas de me faire part de ce qu'ils faisaient. Je me faisais déflorer le cul mais pas dans des conditions telles que j'aurais pu l'imaginer. Là il s'agissait d'un viol. A chaque fois qu'ils changeaient l'objet qu'ils m'introduisaient dans le cul, ils commentaient. Ils m'indiquaient le diamètre approximatif de l'objet, sa nature, etc... Et ils me tringlaient violemment. Non seulement j'avais mal aux membres qui étaient écartelés mais en plus ils me faisaient mal dans le cul. Peut-être même me faisaient-ils saigner les sadiques. Ils sont ensuite passés aux godemichés qui étaient énormes.

J'ai senti passer là encore. Je gueulais mais ça les faisait marrer et surtout encore plus bander. Ils m'assuraient qu'en dernier lieu j'aurais droit à leurs pieux dans mon cul pour clore ce superbe ébat où j'aurais été bien consentant et bien gentil. C'était une bonne entrée en matière pour notre collaboration future. Ils m'ont fait affreusement mal en m'introduisant les godes. Ceux ci étaient de dimensions infernales et mon pauvre fion a sacrément souffert. Eux ils s'en fichaient, de cette manière mon cul était prêt à être niqué par eux. L'un d'eux m'a dit qu'il se mettait une capote sur la bite puis d'un coup sec sa queue a pénétré ma rosette. Il m'a violenté, il s'est déchaîné dans mon cul. La table menaçait de basculer ou bien de casser à chaque instant. C'était dingue. L'homme a fini par juter et il s'est aussitôt enlevé pour laisser la place libre à son compagnon. L'autre m'a niqué tout aussi violemment que le premier. Il m'a fait affreusement mal mais il prenait son pied à le faire. Et quel pied visiblement ! Il gueulait comme un malade son plaisir ! Il a juté. Tous les deux sont sortis de la pièce. Ils m'ont laissé en plan, me laissant souffrir, mes membres de plus en plus engourdis et douloureux.

Ce n'est qu'après quelques heures qu'ils sont revenus. Ils m'ont dit que j'avais été reçu à ce test et qu'ils m'embauchaient. Je suis dans leur société aujourd'hui mais je cherche ardemment un autre travail. C'est trop dur moralement.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 29 mai 7 29 /05 /Mai 15:42

Début de l'histoire :  Viol en soirée - 1/2

La trappe était restée ouverte sans que personne ne s'en rende véritablement compte jusqu'à l'arrivée des flics. La musique gueulait encore lorsqu'ils descendirent lentement, torche à la main, les marches branlantes en bois menant à la cave à vin.

- Les gars il y a quelqu'un.

-Eh toi! Tu fais quoi là par terre ?

Le corps ne répondit pas ni même ne bougea. Les flics se regardèrent rapidement et reprirent leur descente. L'un d'eux s'approcha alors un peu plus du corps qui traînait dans la terre battue.

-Putain merde les gars, il bouge pas!!!

Tous les keufs coururent vers le corps. Tous sans exception eurent un mouvement de recul en voyant l'état dans lequel il se trouvait. Froc et calbut baissés aux chevilles, les couilles pendant entre ses cuisses, la gueule recouverte de sperme. L'un des flics approcha son oreille de la bouche du corps.

-C'est bon les gars, il respire.

-On en fait quoi de lui? Il a été violé ou quoi ?

-Pas sûr, un pote de ma femme est pd et crois-moi que certains rêveraient de finir dans cet état, le cul béant, du foutre coulant de partout.

- Bon, quoi qu'il en soit on l'embarque. On l'emmène à l'hosto. Pour vous, dit-il à l'adresse de ses subordonnés, contrôle d'identité, recherche de stup, la fête est finie ici!

Je fumais un autre joint en parlant à trois filles aux formes généreuses lorsque la musique se coupa. Tout le monde se tut face à ce fond sonore qui venait de disparaitre. Puis les discussions reprirent naturellement.

- Ce ne serait pas les flics quand même?

-Non t'inquiète, ils ont dû griller les enceintes ces cons !

On continua de discuter jusqu'à ce qu'un gars d'une vingtaine d'année nous passe devant en courant presque. Il se fit plaquer au sol par deux types qui surgirent de nulle part. L'un d'eux se releva tandis que l'autre attachait des menottes à celui qui avait tenté de fuir.

-Ecoutez-moi bien, on a reçu un appel anonyme concernant cette maison à propos de tapage nocturne et trafic de stupéfiants. Personne ne rentre, personne ne sort, contrôle d'identité et fouille pour tout le monde!

D'autres flics apparurent de partout. Il y en avait des dizaines. Putain, j'avais eu raison de dire qu'il y avait assez de drogue ici pour attirer la brigade!

Voyant tous ces keufs interroger et fouiller tous les invités, je commençais à marcher vers le mur au fond du jardin. J'étais presque sûr de pouvoir l'escalader. Avec tout le shit que j'avais sur moi j'étais mort si je ne me cassais pas. Je fendais la foule le plus discrètement possible jusqu'au moment où…

-Eh toi là-bas ! Tu t'arrêtes tout de suite!

Je tournais la tête. Un flic à cinq mètres de moi commençait à s'avancer dans ma direction.Ne réfléchissant pas je me mis à courir.

-Il se casse, attrapez le!!!

La foule était avec moi. Tout le monde s'écartait pour moi, se regroupant au passage des flics qui me suivaient. Soudain un policier apparut devant moi, sa batte à la main. Je bifurquais d'un coup, prenant un virage à 90° sur ma gauche, laissant tous les flics au carreau. J'arrivais à me faufiler dans la masse. La maison ! Je devais repasser par la maison pour sortir d'ici! Je montais les escaliers qui menaient au hall d'entrée. Des flics encore là devant la porte. Je pris l'escalier qui montait aux étages. Un nombre incroyable de keufs me suivaient, criant de m'attraper. Même déchiré et bourré j'allais plus vite qu'eux. Partout autour de moi des gens me regardaient, certains même me filmaient. Je pris le couloir qui menait aux chambres, entrais dans l'une ou 15-20 personnes jouaient de la guitare en chantant. Je jaugeais la pièce : aucun endroit où se cacher ! Les flics allaient arriver d'une seconde à l'autre. Le lit était trop bas pour se planquer dessous. Les policiers arrivaient dans le couloir. Les placards trop étroits pour que j'y rentre. Ils entrèrent dans la chambre d'à côté. Les rideaux trop transparents pour me faire disparaitre derrière. Ils entrèrent dans la chambre où je me trouvais.

-Il est là!

Ne réfléchissant pas je sautais par la fenêtre ouverte. Le mur où se trouvait cette fenêtre servait de séparation entre deux terrains et, par chance, sous cette fenêtre se trouvait une énorme piscine démontable. Sous le choc la piscine explosa, provoquant un raz de marée dans le pauvre jardin des voisins. Je m'essuyais rapidement les yeux et courais en direction du portail d'entrée. Je sortis en courant de la maison, les poulets tentant désespérément d'expliquer à leurs collègues pourquoi ils devaient aller dehors pour me suivre.

Je courais, je courais, je courais à m'en crever les poumons. J'arrivais au bord d'un bois. Aucune chance que les flics me retrouvent ici et surtout aucune chance que je reprenne mon souffle si je devais continuer à avancer.

Plié en deux, un bras appuyé sur mes genoux, l'autre tendu vers la route pour faire du stop. Une dizaine de voiture passa, aucune ne ralentit même jusqu'à ce qu'au bout de 30min une vieille épave consentit à s'arrêter à mon niveau. Un gars était au volant, 25 ans environ, la gueule du mec qui a un peu trop bu. Il m'observa avec insistance avant de me parler.

- Mec je veux bien te prendre mais seulement si tu te désapes sinon tu vas niquer ma caisse avec tes fringues mouillées.

Je m'exécutais sans broncher. En réalité j'avais presque plus froid avec mes vêtement trempés sur le dos que seulement vêtu de mon boxer.

Je montais dans la voiture et le gars démarra. La voiture puait la clope froide et elle était dégueulasse.

-Je te dépose où gars?

- Je ne sais pas, loin. Tu vas où toi?

- Oula, je vais un peu loin moi, je rentre sur Orléans.

- Alors vas pour Orléans ! Je me ramasserai de là-bas en stop.

Le silence se fit. Seule la musique (de merde) venait exciter nos oreilles.Le type jeta un œil sur mon calbut trempé et me regarda.

-Pourquoi t'es trempé exactement?

Je lui expliquais toute mon histoire sans forcément parler du pauvre type que j'avais laissé le cul éclaté et la gueule enfoutrée.

-Et t'as pécho une meuf là-bas ?

-Pas vraiment…

-Pourquoi pas vraiment? Soit t'en as baisé une, soit non ?

- Ben ce n’était pas une meuf quoi.

- T'es gay? me demanda-t-il avec une curiosité dans la voix qui était sans doute un peu trop prononcée.

-Non je suis bi, et toi t'es quoi? T'es PD non? T’arrête pas de mater ma queue du coin de l'œil.

Le mec eu l'air tout gêné.Moi, complètement pété, je commence à rouler un autre oinj avec des feuilles et du tabac que j'avais trouvé sur le tableau de bord.

-Si t'as envie de te faire péter la chatte il suffit de le dire. Il n’y a pas de problème à ça. Je kiffe bien les petites putes qui assument leurs besoins.

Le gars était rouge, le froc tendu comme pas possible, les mains moites glissant sur le volant.

-Non… je…

J'allumais mon joint sans même le regarder.

- Si tu veux tout savoir, le gars que j'ai démoli à la soirée, il ne m'a pas suffi. En fait si tu veux, plus je fume, plus j'ai besoin de niquer. Et j'en suis à mon 9ème tère là. Donc si tu veux qu'un vrai mec s'occupe de ta petite chatte en chaleur t'as qu'à le dire et je te donne ce que tu veux.

Le mec ne savait pas quoi faire. Voyant bien qu'il voulait se faire baiser mais n'osait pas, je pris les devants.

-Gare-toi là stp.

Sans même me demander pourquoi le type se gara au bord du bois, dans un renfoncement où personne ne pouvait nous voir.

- Voilà, là c'est parfait. T'en veux? Lui fis-je.

Il me prit le joint des mains et tira longuement dessus.

-Quand t'auras fini de tirer dessus tu me pomperas.

Le gars me tendit le tère et descendit entre mes cuisses. Je baissais mon boxer et sortis ma teub qui bandait dur comme fer. Le type me prit en bouche et le con il savait y faire ! Dès le début gorge profonde. Et pas qu'une petite ! Une vraie bonne gorge profonde comme seules les putes savent les faire ! Je n'ai aucun effort à faire, le gars s'emboite de lui-même sur ma queue jusqu'à avoir mes grosses couilles pendantes au menton. Au fur et à mesure qu’il déguste mes 21cm, son regard se perd. Je voyais sa main s'agiter entre ses cuisses.

-Montre ta teub mec.

Il me sortit sa bite. Un petit 14*3,5cm.

- Ça doit te faire bizarre de voir une vraie queue hein? Parce que ce n’est pas avec la tienne qu'on a beaucoup de choses à pomper.

Le mec eut l'air de ne pas apprécier ma réplique mais continua à me sucer. J'adorais rabaisser les mecs que je baisais. C'était trop bon de leur faire mal, de les humilier, et généralement ils kiffaient ça puisque c'est par l'humiliation que vient la domination.

Le pompeur m'avait trempé les couilles de sa salive en me pompant en fond de gorge comme ça. J'avais la queue luisante de sa mouille de bouche.

- Allez, viens t'assoir dessus mon pote. Dis-je en fumant mon joint.

Ma pute s'extirpa la gueule de ma teub pour venir s'assoir dessus. Il se mit face à moi, les pieds de chaque côté du siège, à poil. Il plaça ma queue à l'entrée de son petit cul que j'imaginais serré. Le mec planta ses yeux dans les miens comme par défi et se laissa tomber sur mon dard ! Il s'enfonçait à allure régulière sur mon pieu, ses yeux se perdant au fur et à mesure que mon zob le remplissait. Arrivé sur mes couilles il me regarda à nouveau avec un léger sourire et entama de petits mouvements de haut en bas avec son bassin.

-Mec t'es une pute, t'as vu comment tu viens de t'assoir sur ma grosse bite?! Et tu crois que je vais me contenter de ces petits va et viens de puceau de 14a?!

Liant les mots aux actes, je lui attrape les cuisses et commence à lui boudiner sa chatte de mec. Le gars lâche un cri de douleur et tente de s'extirper de ma queue mais je suis trop fort pour lui. Je continue à lui démolir son cul. Si je pouvais lui fissurer l'anus j'en pleurerai de joie. Mon petit garage à queue continue à gémir, des larmes perlent à ses yeux mais d'expérience je sais que pour n'importe qui la douleur finit toujours par laisser place au bonheur. Et en effet, petit à petit, les larmes de ma chienne arrêtent de couler, son visage se détend laissant apparaitre une mine de pure jouissance. Ma salope commence à prendre conscience du bonheur que lui procure ma bonne grosse bite de mâle. Le mec se cambre, s'empale sans ménagement sur ma bite jusqu'aux couilles, faisant glisser ma queue de toute sa longueur entre ses fesses de pute à jus.

-Oh putain mec, tu me fais… on m'a jamais baisé comme ça!

Il était véritablement en transe, les yeux fermés, se laissant aller au plaisir que lui procurait sa chatte. Voulant un peu rire je pris son portable, ouvris snapchat et postais un snap vidéo de lui en train de se faire baiser et dire qu'il adorait se faire démonter sa grosse chatte de pute à foutre, sur sa Story, histoire que tous ses potes la voient.

Le type semblait jouir du fion, il ne se branlait plus depuis 30 min.

-Dégage de là, je vais te défoncer sur le capot.

Il ôta ma queue de son gouffre anal et vint se pencher sur le capot, les épaules écrasées sur l'avant de la voiture, le cul éclaté par mes coups de queue, cambré au maximum, incitant quiconque le voyant à le baiser. Le gars me lança un regard suppliant, s'enfonça deux doigts de chaque main dans la chatte et tira de chaque côté de manière à s'écarteler le trou et s'agrandir le diamètre pénétrable. Voyant ça je me dis que cette grosse pute de chienne mérite bien de se faire casser sa petite schnek de salope comme il faut par un vrai mâle qui sait utiliser sa bite. Je plante d'un coup sec ma grosse queue bien rasée dans son boul alors que ses doigts étaient toujours entrain de s'agrandir la chatte. Le salop poussa un cri incroyable. Sans accorder la moindre importance à ses cris de tafiole je continuais de le démolir de l'intérieur, je sentais le bout de son cul à chaque coup de zob mais le petit con semblait apprécier. Mes couilles venaient claquer contre les siennes, ses doigts encerclaient ma teub qui rentrait et sortait de son cul. D’un coup, sans prévenir, le type hurla, son corps se tendit, sa queue éclata en d'énormes jets de sperme épais et gras sur le capot de sa caisse. Je continuais de le démolir tandis que son orgasme redescendait. Tout en le bourinant toujours je lui fis lécher son propre jus, je sortis de sa chatte et vint me vider sur sa gueule de sac à foutre qui ne demandait qu'à être remplie. Je lui dis de faire des gargarismes avec, je lui touille tout ce foutre dans la bouche avec mon doigt, je crache dans sa cavité buccale alors que le foutre épais et blanc y est toujours. Je prends un peu de sperme de mes mains et le lui étale sur sa gueule minable de pédale. Le gars prend autant son pied que quand je le baisais. Je lui recouvre complètement le visage de notre foutre et lui dis de remonter en voiture. On s'attache, il est à poil, une énorme gaule entre les cuisses, du sperme séchant sur son faciès.

 

- Allez ma salope, on va à Orléans et si on prend un péage tu restes comme ça devant le guichet : je veux que tout le monde sache que t'es qu'une pompe à foutre. Allez, roule ma pute !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 22 mai 7 22 /05 /Mai 15:40

Le joint sur lequel je tirais touchait à sa fin et ses effets sur mon organisme commençaient à me faire planer. Il faut dire qu'avec 6 pètes au compteur le cerveau commence à ne plus très bien savoir ce qu'il se passe autour de lui. La musique m'assourdissait, les flashs lumineux du stroboscope m’éblouissaient, le parfum de weed m'enivrait et frôler les gens me faisait frissonner. Je n'étais plus un être conscient, uniquement un ensemble de connexions nerveuses reliées à un organe incapable d'interpréter ces signaux sensitifs.

La fête battait son plein. Elle avait lieu dans une vieille maison entièrement vide qui appartenait à une connaissance. Le flot de gens était incessant. C'était comme si tout le vice, toute la jeunesse de ma ville s'y déversait. Le flux était continu, plus de 200 personnes entraient et sortaient de la maison, une teille ou un oinj à la main. Il y avait assez d'alcool pour remplir les rayons d'une grande surface, assez de beuh, de shit, d’ecsta pour intéresser la brigade des stup'. Les gens semblaient en transe, tout le monde dansait le regard perdu dans le vide ou les yeux de quelqu'un d'autre. Les filles relevaient leurs jupes, les mecs enlevaient leur t-shirt sur les flashs lumineux des panneaux led et au rythme des impulsions lâchées par les baffles qui crachaient tout le son qu'elles pouvaient.

De mon côté j'avais le cul du joint dans une main, une teille de Jäger dans l'autre. Je titubais sous l'effet du shit et de l'alcool. Je passais rapidement devant un miroir. Grand, mince et musclé, une légère barbe de 3 jours avec des yeux verts injectés de sang, voilà ce à quoi je ressemblais. Un déchet humain vêtu d'un débardeur à motifs géométriques verts, d'une casquette, d'un jean délavé et d'une paire de bottine en cuir. Je pris un shoot de Jäger avant d'aller m'enfoncer dans la foule. Une fille me suivait du regard depuis plusieurs minutes. Une brunasse sans doute en dessous de la majorité. C'est alors que quelqu'un me toucha l'épaule. Un gars, baraqué, assez petit mais bien proportionné, aux cheveux court et au sourire vicieux.

- T'aurai pas du feu gros? J'ai un oinj à fumer et on m'a pétave mon feu.

Machinalement je sortis mon briquet de ma poche et le lui tendis.

- Hé frère, il y aurait pas moyen de tirer dessus vite fait ?

Le petit gars arrête de tirer sur son pète et me dit qu'il n'y a pas de problème.

-Suis-moi mec, on va se poser. On se fait un 5 barre passante ?

On sort de la maison. En descendant l'escalier, le petit caresse le cul d'une meuf qui buvait à la bouteille. On descend et on se pose à l'entrée du garage qui est bondé. On s'assoit à même le sol. Il tire une grosse latte, lâche un parfait ghost et me fait tourner son bédo.

- Putain bâtard c'est de la bonne! Tu l'as péché où?

- J'ai un contact à Ormesson, je te ferai tourner le num' si tu veux.

Il jette un œil aux alentours et fixe quelqu'un.

- Putain cette meuf là, je me la fais dans la soirée!

-Je la connais mec, elle est lesbienne.

-Non, tu me charries?! T'as vu comment elle se fringue ?! Elle kiffe la bite celle-là !

-Eh mec, la vie de ma mère elle bouffe de la chatte cette zouz!

Le petit gars me regarde faire un rond et se lève.

- Viens gars, je vais te montrer un truc.

Il me prend le joint des mains et se fraye un chemin dans la foule. On arrive devant une sorte de petit meuble minable.

-Tiens-moi ça gars.

Je reprends le tère en main et tire copieusement dessus. Pendant ce temps ce petit mec pousse le meuble avec facilité ce qui a pour effet de dévoiler une trappe souterraine. Il l'ouvre d'un geste ample qui fait ressortir ses bons biceps. Il sort son portable et éclaire le trou.

- Viens gars.

Je le suis et renferme la trappe derrière moi. On n'entend plus que les basses de la musique, le piétinement des gens, le lieu est uniquement éclairé par le portable du gars. On arrive en bas. Je ne bouge plus, perdu dans le noir.

-Attends bouge pas…

Il s'éloigne et, au bout de quelques secondes, une lampe s'illumine enfin. Elle émet une lumière glauque et un bruit aigu insupportable.

-Putain gars c'est géant ici!

La pièce est une petite cave à vin en brique avec un sol en terre battue. Je retire sur le joint.

- Tiens, si tu veux tiser il y a…

Le petit mec perd l'équilibre et tombe par terre sous le coup de la beuh et de l'alcool. De mon côté j'éclate de rire en le voyant s'effondrer mais lorsqu'il se relève mon regard reste accroché à son petit cul qui semble bien ferme.

- Putain, pourquoi tu mates mon cul?!

- Ben il me fait grave envie !

-T'as dit quoi sale pd?

Il s'approche de moi en titubant, le regard rageux.

De mon côté je commence à avoir une bonne gaule. N’y tenant plus je lui roule une grosse pelle qui en fin de compte se transforme en soufflette. Le petit mec subit immédiatement les effets du joint. Il a du mal à tenir debout, son regard se perd. Profitant de cette occasion, je lui appuie sur les épaules, il s'agenouille devant moi. D'une main je baisse ma fermeture éclair, de l'autre je sors ma queue et mes couilles. Je lui fous mes 21cm x 5 encore mi mou dans la gueule. Le petit gars ouvre la bouche et se laisse limer la bouche. Continuant de tirer sur le joint je fais glisser ma bite sur sa langue qui, rapidement, vient taper contre son palais. Je continue de lui faire la gueule et appuie de toutes mes forces derrière sa nuque pour faire passer ma teub dans sa gorge. D'un coup elle y rentre. Le pauvre bâtard a un haut le coeur et tente de s'extirper de mon emprise mais je le maîtrise et garde ma bite dans son fond de gorge. Il ne peut pas crier à l'aide.

Sans quitter sa gorge chaude et accueillante j'entame de longsallers retours. Il tressaute à chaque coup de rein, bavant de partout, les yeux éclatés, injectés de sang. Quand je sens que le con commence à se sentir vraiment mal je sors ma queue de sa gueule. Il tousse tandis que je prends une longue barre sur le joint. Je le lui mets dans la bouche et, automatique, il tire dessus. Le pauvre con : plus il tire, plus je pourrais faire ce que je voudrais de lui. Je finis le joint alors qu'il s'effondre par terre. Je le jette par terre et relève ma pute. Je lui mets quelques claques, il se réveille et sans préparation je refous ma queue dans son fond de gorge. J'entends des bruits de succion baveuse provenir de sa gorge. Le salaud il a une vraie gorge de garage à bite ! Ma queue glisse sans difficulté dedans, trempant mes couilles de sa salive de pute. J'ai même l'impression qu'au fur et à mesure le connard commence à s'enfoncer de lui-même sur la bite. Mais oui, le fils de pute prend son pied à venir me toucher les couilles avec ses lèvres! Il bande comme un porc, son jean est salement tendu entre ses cuisses musclées.

Je sors ma teub de sa chatte buccale et le relève. Il se laisse faire sans émettre un son. Je le fous à 4 pattes dans la terre battue. J'envoie balader son fut et son calbut dans un coin de la cave, lui fait écarter les cuisses, je crache sur son cul, sur ma bite et presque d'un coup sec je l'enfile. Le salaud se cambre direct de douleur en hurlant. Rien à foutre il y a trop de bruit en haut pour que quiconque ne l'entende. Je le défonce sans pitié mais le peu de compassion que j'ai me pousse à lui écarter les fesses pour que mon 21 y glisse mieux.

Je lui écarte le cul et là il bondit et ce n'est plus un cri de douleur mais un cri de plaisir. Le petit gars prend son pied avec une queue dans sa chatte ! Voyant ça je me lâche, je lui démonte le cul. Il tremble de tout son corps, se cambre comme une vraie pute, s'écarte les fesses des deux mains, la gueule enfoncée dans la terre battue. Je sors ma queue, la rentre à nouveau, la sort, la rentre... A force c'est lui qui s'empale tout seul sur ma bite ! Sa cambrure place sa chatte au niveau parfait pour que ma teub y rentre sans effort. Ce sac à foutre a un cul démentiel, large, chaud, je peux faire claquer mes couilles contre son cul sans qu'il ne se crispe. Je lui fous des fessées, des baffes. J'enfonce même un doigt en plus de ma bite dans son cul et le connard prend encore plus son pied. Il ondule du bassin en criant qu'il en veut plus, qu'il veut que j'aille plus au fond de sa chatte que je le fasse boiter demain ! Je l'écoute et lui ramone vraiment le trou, j'entends sa mouille de cul clapoter sous les coups que je lui balance dans la chatte. Je continue de le déglinguer pendant encore une heure facilement. Le salaud n'a même plus la force de crier, je vois juste ses yeux rouler dans leurs orbites, son dos cambré au maximum, sa respiration saccadée.

 

Je sors alors d'un coup ma queue de son trou, prend quelques secondes le temps d'admirer la chatte que je venais de créer avant de lui fourrer mon membre dans la gorge. Trois ou quatre coups de reins et je lui repeins sa face de pute. Il est couvert de foutre, du sperme dégoulinant de son nez sur son menton. Je lui crache sur la gueule, remonte mon froc, sors mon portable, prends une photo de lui et me casse en laissant la trappe ouverte.

La suite :  Viol en soirée - 2/2

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 15 mai 7 15 /05 /Mai 14:52

Je reprends un peu mes esprits, je remonte mon slip, je me protège. Il m'attrape par la nuque d'une seule main et me soulève d'une vingtaine de centimètres. La douleur est atroce. Je porte mes mains à mon cou, j'essaie de griffer ses mains, c'est à peine si j'entame le cuir qui lui sert de peau. Il me lâche, je tombe par terre, je me prends la tête dans les bras, assommé de douleur. Je ne remarque pas qu'il me déshabille sans effort, espadrilles comprises. Il finit par le t-shirt qu'il glisse jusqu'au bout de mes poignets, en force, avant d'en passer l'encolure par-dessus ma tête. Il le tord plusieurs fois et m'oblige à mordre dedans comme dans un bâillon, attachant les deux bouts sur ma nuque sans se préoccuper du semblant de défense que j'esquisse. Ainsi muselé je reste prostré par terre. Il ne me frappe pas, se contente de rester debout et me regarde. Puis il se baisse et me touche les fesses. Sa main palpe, caresse, se fait plus insistante, pétrit. Elle passe entre mes cuisses et me prend le sexe et les couilles, les malaxent un peu. Elle revient sur mon cul, écarte les globes et son pouce suit la raie, continue après l'anus et revient, s'y arrête, appuie en tournant, entre un peu, recule. Il se relève.

— Debout. J'ai dit debout.

Je ne bouge pas. Il me pousse la cuisse de sa semelle de chaussure. Je me recroqueville en position fœtale.

— Tu te lèves et tu te dépêches. Je te jure que si c'est moi qui te soulève tu vas le regretter.

Je tourne la tête et le regarde à travers mes larmes. J'ai peur de lui, peur de la douleur, peur de la suite, peur des coups, je ne suis plus qu'un concentré de trouille ! Je me retiens pour ne pas me chier dessus. J'obéis, je me lève lentement. C'est à ce moment seulement que je vois que je suis totalement nu. Il m'attrape le poignet et me tord le bras dans le dos.

— Comme ça t'auras pas l'idée de partir au sprint. Et si t'enlèves ton tissu de la bouche ou si t'essaies de faire du bruit d'une façon ou d'une autre, t'essaieras pas deux fois. Avance.

Je n'aurais même pas eu l'idée de m'enfuir. J'avance dans la direction qu'il me donne en longeant le mur vers un bâtiment dans l'ombre devant moi. Sa clé de bras ne fait pas trop mal en fin de compte, elle me fait seulement sentir qu'il n'y a pas de fuite possible. Mes pieds nus en revanche ne sont pas habitués au gravier de l'allée, je trébuche.

Arrivé devant le bâtiment je comprends que nous sommes à l'arrière des bureaux du parc. Il me tord un peu plus le bras et, me sachant immobile, déverrouille une petite porte de sa main libre. Une fois l'entrée libre il me pousse à l'intérieur puis se tourne vers un petit tableau aux lumières clignotantes sur lequel il pianote rapidement. Avec un léger bip les lumières s'éteignent. Il vient de désactiver l'alarme. Il me fait avancer dans un couloir sombre et me fait entrer dans une pièce totalement obscure. Je l'entends fermer la porte derrière moi. Un peu de lumière se fait, il vient d'allumer une petite lampe sur un bureau. Il me lâche enfin. Je me tourne dos au mur en m'éloignant de lui. Je me frotte le poignet plus pour me donner une contenance que par nécessité.

La pièce est toute petite avec seulement une chaise et une armoire en plus du bureau sur lequel il s'assied. Il n'y a pas de fenêtre. La lampe est à côté de lui : elle éclaire sa cuisse. Je ne vois pas son visage. Il me regarde sans bouger tandis que je me calme. Il se rapproche, m'enlève le bâillon improvisé et m'embrasse. L'haleine est toujours aussi fétide mais je ressens plus la force que la brutalité. La barbe crisse mais ne râpe plus. Ses mains me caressent : je sens les doigts calleux et courts explorer mon dos, descendre sur mes reins, se saisir de mes fesses, les bouger, les écarter. Maladroitement je réponds à son baiser. Je ne sais pas bien comment faire, mes genoux tremblent, mes mains ne savent que palper sa chemise en guise de caresse, mes dents s'entrechoquent sur ma langue.

Il me repousse et me regarde d'un air narquois.

— Ça fait des années que je bosse ici. J'ai vu plein de petits pédés parmi les lycéens, pleins de petits culs en chaleur. Y'en a qui sont même venus dans le parc après la fermeture, croyant qu'ils n'y trouveraient personne, pour baiser en petits couples de petits mecs. Maintenant ces petits vicieux je les repère au pif à des kilomètres. Toi je t'ai remarqué il y a six mois de ça. Alors quand je t'ai vu saliver devant les photos de mecs à poil chez le marchand de journaux, j'ai su que tu étais mûr.

Il se rassoit sur le bureau et me braque la lampe sur moi. Il se croise les bras. Je suis debout, interdit, je commence à bander.

— Tourne-toi, me dit-il.

Je me tourne face au mur. Je le sens me regarder.

— Écarte tes pieds. Plus que ça. Cambre-toi, présente-moi ton cul.

Je me cambre tant que je peux, les pieds bien écartés. Je sens l'air sur la raie de mes fesses, je sais que mon petit trou se dévoile.

— Penche-toi plus, écarte mieux les jambes.

 

Je recule un peu pour avoir la place de me pencher en avant. J'écarte franchement les cuisses. J'ai l'air d'une petite salope qui présente son fion à enfiler. Je bande carrément. Je l'entends ouvrir un tiroir puis s'approcher. Il verse un liquide froid sur le bas de mon dos presque à l'horizontale puis l'étale sur moi. À la consistance glissante ce doit être de l'huile. Je sens une odeur légèrement corsée. Il m'en a mis plein le dos. Ses mains descendent sur mes cuisses qu'il oigne à leur tour. Il s'arrête aux genoux, ses mains sont presque sèches. Il en reprend une dose au creux d'une main qu'il me met directement au cul. De l'autre il me masturbe lentement. Un doigt vient directement sur mon trou. Il pousse, entre. Son doigt dans mon cul bouge, tourne, se fait de la place. Un deuxième vient le rejoindre. Je commence à gémir, à onduler du bassin.

— Dis donc, t'aimes ça, toi, ma petite fiotte ! C'est bien petit chat, c'est bien. On va s'amuser, toi et moi.

Il farfouille à nouveau dans son bureau. Je l'attends sans bouger, prêt à me faire mettre. Il me redresse et me place un casque de cuir sur la tête. Ça me descend jusqu'aux yeux, je suis aveugle. Je le sens passer la jugulaire puis la boucle contre ma tempe. J'entends un déclic.

— C'est un cadenas. Tu ne pourras pas l'enlever. Faudra d'abord être très gentil avec moi.

La situation est dingue. Je suis à la merci d'un type que je ne connais pas et qui peut me tuer comme il veut, mais je suis excité à mort !

Il me met face à lui et m'appuie sur les épaules. Je suis à genoux. Il me prend les mains et les porte à sa braguette. Il n'a rien besoin de dire.

À tâtons je constate qu'il a une ceinture. Je la déboucle difficilement, les mains tremblantes d'excitation. Le premier bouton du jean est encore plus dur à défaire, en bonne partie à cause du gros ventre qui repose dessus. Les autres viennent tous seuls. Je baisse le jean et ensuite le slip. De ma main droite je prends le sexe enfin libre devant moi, à l'odeur assez forte et commence à le branler lentement. Avec la gauche je touche une des grosses cuisses. Il bouge. Je comprends qu'il se déprend les pieds de son pantalon. Il doit avoir enlevé ses chaussures car il se penche pour ôter ses chaussettes. Je l'entends enlever sa chemise et son t-shirt : il doit être nu lui aussi à présent. Je n'ai pas lâché sa bite. Elle est plus longue et plus grosse que la mienne mais je ne la crois pas démesurée, quoique mon expérience soit limitée en ce domaine... Elle est surtout très dure. Il pose sa main sur ma tête et l'approche doucement. J'ouvre la bouche et commence à sucer. C'est ma première fellation. Le goût est franchement désagréable mais je ne me décourage pas et cela passe assez vite. Je sens le sexe palpiter entre ma langue et mon palais, je m'enhardis, lèche le gland, avale le membre plus loin, aspire plus profondément.

— C'est bien ma petite pute, c'est bien, t'apprends vite.

Je continue quelques minutes, il me repousse doucement.

— Ne bouge pas mon petit chat, on va améliorer le truc.

Il passe à côté de moi. Je l'entends ouvrir ce qui doit être l'armoire et prendre quelque chose. Je suis toujours à genoux. Il prend ma main et me fait lever puis nous sortons ensemble de la pièce. Nous continuons à marcher un peu sur le carrelage. J'entends une porte, je sens l'air frais : nous sommes dehors. A nouveau ce gravier désagréable pendant quelques mètres. Il me prévient d'enjamber un grillage bas, ce que je fais pour me retrouver sur la pelouse. Je me souviens des écriteaux « pelouses interdites » du parc. L'herbe est fraîche et rase, j'adore. Nous avançons de quelques pas. Je me fais dépuceler en plein lieu public, au clair de lune, par un vieil inconnu que je n'avais jamais vu avant. Cette pensée me fait frissonner de plaisir.

Il me lâche la main et me recouvre à nouveau d'huile. Tout le corps y passe, visage, torse, dos, pubis, fesses, cuisses, jusqu'aux pieds. Il me caresse et me masse, je geins à nouveau de plaisir. Il m'allonge, sous mon dos je devine une couverture. Il s'allonge sur moi et m'embrasse en m'étreignant. Il est lourd, puissant, il me pétrit comme de la glaise. Son sexe touche le mien. Je caresse son dos, agrippe ses épaules, me tords de plaisir sous lui. L'huile nous fait glisser l'un contre l'autre, j'adore. J'essaie de le ceindre de mes jambes mais il est trop gros. Je place mes talons contre ses fesses et le serre contre moi. Je remonte le bassin comme je peux : c'est explicite, je sens sa bite descendre, le gland est contre mes couilles. Je me contorsionne comme je peux et le voilà dans ma raie. J'essaie de le happer avec mon cul. Il glisse, fait des allers-retours, mime une sodomie.

Soudain je suis repoussé. Il se tourne, pose ses genoux contre mes épaules, se penche et passe ses mains derrière mon bassin. Il bascule sur le côté en m'emportant avec lui. Je me retrouve sur lui, tête-bêche, prêt pour un 69. Il me lèche la bite, commence à sucer. La barbe me chatouille le nombril. C'est si bon et si nouveau que j'oublie de lui rendre la pareille. Je me laisse aller, je respire en saccades désordonnées. Je me retire juste avant de jouir. Allongé au bord de la couverture, ma main dans l'herbe, je reprends ma respiration. Il m'embrasse doucement les seins, le nombril, le menton, le cou, il lèche mes cuisses, un peu mes testicules, m'embrasse encore dans le cou. Je prends son visage entre mes mains et l'embrasse longuement : un vrai baiser amoureux, plein d'envie et de promesses.

Je me roule en dehors de la couverture. À plat ventre sur l'herbe j'écarte mes bras en croix, puis les jambes. Je remonte mon bassin jusqu'à reposer sur mes genoux tout en gardant les épaules par terre.

— Je veux que tu m'encules là, lui dis-je.

Il s'approche, déchire quelque chose comme du papier ou du plastique, sans doute l'emballage de la capote qu'il se met ensuite sur le sexe. Son doigt replonge dans mon petit cul maintenant bien ouvert. Il en met un deuxième, les retire, je me cambre au maximum. Il me met un petit objet long, en fait un tube de lubrifiant qu'il me presse directement dans le cul. Ses doigts reviennent, ils tournent, l'étalent à l'intérieur. Il saisit mes hanches.

— Et moi ce n’est pas comme ça que je veux t'enculer, petit chat. Je vais ouvrir ton petit fion à ma manière. Tu sauras qu'ici c'est moi qui commande !

Je tressaille. Je l'entends bouger des objets, peut-être fouiller dans un sac. Je tâche de deviner mais rien ne me vient à l'esprit. Il me passe de larges bracelets sur chaque bras, juste au-dessus du coude, qu'il ramène ensuite dans mon dos. J'entends un déclic et je sens du métal froid et dur sur mes poignets : en tirant un peu je m'aperçois qu'il m'a passé des menottes reliées à des bracelets de cuirs sur mes bras. Mes bras sont attachés dans le dos et sont encore moins libres qu'ils le seraient avec de simples menottes.

Je n'ai pas bougé, rien dit. J'attends, le cul tout prêt. Il me prend les hanches, appuie dessus et me fait baisser un peu. Son gros ventre se pose sur mon dos, je sens le bout de son sexe entre mes fesses chercher l'entrée. Je les bouge comme pour essayer de le happer. Il me claque les fesses.

— Ne bouge pas, tu compliques tout. Laisse-toi faire, c'est suffisant.

Il pose son gros ventre sur le bas de mon dos. De sa main il cherche mon anus, place son sexe et pousse doucement. Je suis bien préparé, ça rentre tout seul. Je sens le membre de chair me pénétrer, me remplir. Il est de bonne taille mais pas énorme, je me suis enfilé des godes plus gros. Mais là rien à voir avec un godemiché : on m'encule, donc on me désire, on me veut, on veut mon cul, mon trou, mon corps. Je me sens beau, je me sens objet d'adoration.

Il me lime lentement, à coups tranquilles et réguliers, à fond. Chacun de ses coups de bite me tire une petite plainte jouissive. Lui ne dit rien, ne fait aucun son, j'entends seulement son souffle. Je sens sa force, la puissance de ce mâle qui s'incarne dans ce pieu infatigable qui me refait le cul, qui m'injecte du plaisir à chaque coup plus haut, plus intense. J'ai la sensation d'être un bateau soumis à une lente houle dont chaque vague est plus haute que la précédente. Je me donne complètement à lui, j'accueille sa bite en moi, je la veux, la réclame.

— Oh oui, c'est bon, encore !

En guise de réponse il se retire, me soulève par les aisselles et, une fois debout, me fait avancer. Je suis nu, pieds nus, aveuglé et les bras entravés, j'avance difficilement mais l'herbe fraîche sent bon. Je suis totalement à l'aise, j'en veux simplement plus ! Il m'arrête et me fait plier en avant à l'équerre, me fait plier un peu les genoux, me reprend les hanches et me sodomise debout. Plus question de rythme lent : il me secoue brutalement, me défonce le cul à un rythme d'enfer, se défoule en soudard. Je ne contrôle rien et ne pourrais rien faire si je le désirais. Après un temps qui me paraît bref il ralentit, donne deux coups de reins et reste planté en moi, m'agrippant le bassin. Il doit jouir...

Il me lâche et je tombe bêtement devant moi dans l'herbe. Étrangement je suis très satisfait qu'il ait joui et pas moi. Je me tortille pour trouver une position confortable. Sur le ventre c'est pénible, sur le dos intenable, j'opte pour le côté. Je ne veux pas trop bouger : il y a des rosiers pleins d'épines dans ce parc. Je l'entends s'allonger à côté de moi. Il est essoufflé et respire fort.

Nous restons quelques minutes comme ça sans bouger. J'entends son souffle ralentir, redevenir normal. J'ai envie de me coller à lui, de faire quelque chose de tendre. Mais je ne sais pas bien où il se trouve par rapport à moi. En fait je n'ai pas fini, j'ai bien plus envie de continuer la baise que de faire des mamours de jeunes mariés.

Il se lève et part sans un mot. Ses pas sur l'herbe s'estompent vite. Je suis seul. Quelques minutes passent, le petit vent qui me rafraîchissait me donne froid. Je me mets debout comme je peux afin d'éviter le contact de l'herbe. Je m'aperçois qu'il est difficile de rester stable sans rien voir avec les mains attachées dans le dos. Je m'inquiète un peu : ce type que je ne connais pas n'aurait tout de même pas l'idée saugrenue de me faire poireauter là comme ça, non ?

Je l'entends revenir. Toujours pas un mot. Il bouge à côté de moi. Il doit préparer quelque chose, peut-être étaler la couverture. Il me soulève dans ses bras et me pose par terre. C'est bien la couverture : elle m'isole de la terre fraîche, elle est bienvenue maintenant. Je suis à plat ventre. Il me caresse le dos, me masse, descend sur les fesses, les cuisses, les mollets. Il revient sur mes fesses qu'il pétrit lentement avant de me mettre un doigt puis deux dans le cul. Sa main tourne, ses doigts s'écartent, il étire encore, essaie d'en placer un troisième, y renonce. Ses doigts ressortent. Je sens mon anus toujours ouvert que je ne contrôle plus. Encore du lubrifiant, il doit y en avoir partout maintenant. Il insère aussitôt autre chose de long, sans doute un gode. Il doit être gros, très gros, plus gros que les ersatz, bougies et autres trucs que j'ai trouvés à me mettre jusqu'alors... Je suis un peu limite pour accueillir ça ! Je le sens s'enfoncer doucement. J’écarte totalement les cuisses pour lui faire la place. Il rentre petit à petit, pression après pression, touche mon dos, s'arrête, ne bouge plus.

La jouissance dépasse de loin la douleur. Je suis étourdi, enivré, je me sens totalement comblé, au premier sens du mot. L'énorme truc au fond de moi jette au travers de mon corps des ondes de volupté qui me tordent. Je ne suis pas prêt à jouir mais j'ai dépassé de loin le niveau de plaisir maximum que je n'aie jamais atteint au cours de mes branlettes d'avant.

Quand je commence à me calmer, quand l'exaltation se passe, il retire le gode très lentement. Une fois enlevé je me sens comme lessivé, un naufragé échoué sur la plage après une tempête. Il me remet du lubrifiant et enfonce le gode à nouveau. C'est moins drôle, moins enthousiasmant. Si ça l'intéresse, ça va vite devenir pour moi la corvée. Une fois rendu au bout il le retire à nouveau et s'arrête à la moitié. Ma corolle est distendue par ce machin, je ne contrôle rien.

Il a changé de position. Désormais il est assis à califourchon sur mes épaules, à l'envers, regardant vers mes pieds. De sa main gauche il me tient la fesse droite tandis que l'autre main bouge le gode comme une cuillère dans une tasse à café, en rotation lente. Je ne pensais pas qu'on pouvait encore plus me dilater. Je bouge mes pieds pour trouver une meilleure position. Deux mains m'emprisonnent les chevilles et les écartent. Ce ne sont pas les siennes, quelqu'un d'autre est là ! Pas prévu ça…

Les mains nouvelles écartent bien mes pieds puis s'appuient sur mon dos. L'autre se lève et me lâche les épaules. Je commence à m'affoler, respire par saccades. On m'agrippe les épaules. Je sens un corps lourd s'étendre sur moi. Pas de gras, pas de rond ni de douceur. C'est un corps dur, puissant, les mains râpeuses me tiennent comme un jouet. Le torse et le ventre sont en bois. Il me souffle son haleine dans l'oreille sans précaution ni mamours. Aucun mot : je suis un objet sexuel en libre consommation ! Entravé comme je suis je ne peux faire aucun mouvement.

Je sens la bite chercher contre mes cuisses. Elle remonte, suit la raie des fesses en poussant et trouve mon cul béant du gode qui me l'a ouvert comme un portail. C'est au moins un âne, un cheval qui me grimpe ! Le sexe est énorme, c'est un piquet de chair qui s'enfonce en moi avec des « ahans » d'effort. Je ne respire plus, écrasé par le poids de mon enculeur mais surtout irradié de l'intérieur par son pieu gigantesque. Il commence à me limer en rythme, à grands coups lents et profonds. Par moments il sort de moi avant de me reprendre. Je gémis en même temps, je ne contrôle plus rien : le plaisir est hors de toute mesure.

Après quelques minutes, sans déculer, il se met à genoux tout en me tenant contre lui puis s'assoit en m'asseyant sur son sexe. Il m'agrippe les cuisses et me soulève à petits coups pour me laisser retomber sur lui. Je sens que je vais jouir, mon corps se contracte. Alors l'autre se place et commence à me sucer, je sens ses cheveux sur mon nombril et sa bouche qui m'aspire. Derrière moi l'âne m'enserre de ses bras, râle dans mon cou, son sexe décharge en plusieurs secondes en pulsations puissantes. Je jouis à nouveau, de tout mon être, depuis les orteils jusqu'aux cheveux ! Le plaisir me secoue comme une électrocution. J'éjacule en longs jets, je crie comme un petit animal sans pudeur ni retenue.

Je reprends mes esprits allongé sur la couverture, nu. J'ai les bras en croix : ils m'ont enlevé les menottes mais laissé la cagoule. Je respire doucement, j'écoute les bruits du soir dans le jardin et ceux, plus lointains, de la ville qui ne dort jamais vraiment.

Mon enculeur à la bite d'animal était déjà parti. L'autre m'a conduit aux douches : nous nous sommes lavés mutuellement, avec tendresse mais sans un mot. Je me suis rhabillé et je suis rentré chez moi, pantelant.

 

Je reviendrai…

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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