L'histoire de la semaine

Dimanche 30 octobre 7 30 /10 /Oct 14:54

Isabelle avait juste 20 ans quand elle a connu Guillaume et Olivier, ses 2 amis inséparables depuis les bancs de la fac. Elle se sentait prise sous le charme de Guillaume et n'était pas non plus insensible à Olivier. Elle avait de l'amitié pour eux deux et certainement plus que ça pour avoir déjà accepté de sortir avec eux, chacun leur tour. Avec Guillaume sa relation marchait bien mais avec olivier elle sentait un je ne sais quoi de blocage lorsque le garçon la prenait par le cou pour lui faire une bise sur la joue.

Un jour, elle le stoppe net :

- « Ecoute Olivier, je ne te force pas à m'embrasser. On dirait que tu n'en as pas envie, que tu es gêné ! Mais saches que je ne t'oblige à rien.
- Mais qu'est-ce que tu ne vas pas chercher ? T'es ma pote, non, depuis le temps qu'on se connaît !... Dis-moi, avec guillaume, ça se passe comment votre relation ? Vous couchez ensemble ?

- C'est arrivé oui, mais pour tout t'avouer je dois presque le violer car il n'ose pas me faire grand-chose. Je vous dégoûte ou quoi ?

- Tout de suite les grands mots ! Non, tu es une belle fille, mais je pense que si tu veux un ami de lit, il va falloir que tu le cherches ailleurs car ça ne pourra jamais être nous… »

Isabelle se sent vexée et lâche ces mots :

- « Mais pourquoi ? Vous êtes pédés ou quoi ? »

Olivier lui fait une caresse dans le cou et lui dit :

- « Ne sois pas vulgaire, ça ne te vas pas… »

Elle le repousse :

- « Bon ça va, j'ai compris, je suis certaine que vous pagez ensemble ! »

Olivier avoue tout à sa copine :

- « Ben ouais ! Mais comment voulais-tu qu'on te le dise ? »

La fille ravale son désarroi et sa tristesse en lançant :

- « Vous êtes bien des enfoirés, et lequel encule l'autre ?

- Roooo, quelle vulgarité ! »

Déçue, Isabelle part après avoir fait un doigt à Olivier :

- « Tiens tapette, bien profond ! »

Le soir même les 2 copains se retrouvent et Olivier raconte la discussion qu'il a eue avec leur copine. Guillaume se sent soulagé :

- « Ouf, je ne savais pas comment lui faire comprendre que moi et les nanas... sans trop la froisser. »

Olivier lui met une tape sur le cul tout en l'attirant à lui:

- « Bah c'est fait mon loulou ! Maintenant il n'y aura plus d'ambigüité. C'est dommage pour elle mais moi je n'en pouvais plus de ne rien lui dire et c'est quand elle m'a dit que tu t'y prenais comme un manche avec elle que j'ai décidé de tout lui avouer… »

Libéré, Guillaume se met à bander très raide et supplie Olivier de le sucer :

- « Bouffe-moi mec, j'ai envie de sentir ta langue sur ma bite ! »

Les 2 amis se mettent complètement à poil et c'est sur la carpette qu'ils entreprennent de faire un super 69. Guillaume ne lâche pas les cheveux d'Olivier qui suce à s'en décrocher la mâchoire jusqu'à ce que celui-ci reçoive des super jets de sperme au fond de la gorge. Puis vient le tour d’Olivier qui reçoit le foutre de son pote en pleine face. Excités comme des puces les 2 mecs s'enculent en bonne et due forme jusqu'à ce qu'ils s'étalent l'un sur l'autre complètement épuisés et transpirants à souhait. Isabelle n'a sans doute jamais soupçonné que ses deux amis étaient ensemble depuis belle lurette...

 

Méfiez-vous de vos amis, de vos voisins, le monde n'est pas toujours celui que l'on croit !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 23 octobre 7 23 /10 /Oct 13:28

A l'époque je travaillais à côté de la plage, au Havre, dans une entreprise d'électricité en tant que comptable. Chaque soir pour revenir chez moi, je prenais le même itinéraire où une bande de mecs étaient assis sur un petit muret. Lorsque je passais devant eux ce n'était pas rare que l'un d'eux me fasse de l'œil et j'avais déjà repéré celui dont le maillot de bain était le plus rempli : un maillot bleu ciel avec 2 petites bandes jaunes. Le type qui portait ce maillot était un beau loulou, très pédé certainement, mais je dois dire que ça m'amusais qu'il me drague tout le temps. Et pour être tout à fait franc, je faisais tout pour ça car il ne me déplaisait pas du tout, loin de là ! C'est ainsi qu'un soir il me proposa d'aller boire un coup dans sa cabane de plage.

- Bein si tu veux, c'est comment ton prénom ?

- C’est Gabriel.

- Enchanté Gaby, moi c'est Yann. Dis-moi, ça fait combien de temps que tu me fais de l'œil, mec ?

- Oui je sais, mais j'avais parié avec des potes que j'arriverai à t'inviter à venir dans ma cabane ! T'es un beau mec et il y a longtemps que je flashe sur toi, t'es gay j'espère ?

- Et oui, rassure-toi ! Toi je ne te demande pas, il y a longtemps que je m'en doute...

Gaby ne répondit pas mais son visage acquiesça mes dires puis il me tendit une bière :

- On trinque à notre rencontre ?

Nous liquidâmes notre bière puis, sentant une douce chaleur nous envahir, je décidai de faire les premiers pas :

- Y'a un certain temps que je regarde ton entrecuisses. Tu m'as l'air d'être bien monté avec le paquet que tu te payes ? Déjà quand on te voit en jean c'est bien gros, mais là ton paquet est énorme ! Lui dis-je en lui touchant la bite.

- Oui vas-y, caresse-moi ! Avec toi je pense que ça ne peut être que bon...

Devant ses encouragements je me mis à lui baisser son maillot et apparut une belle tige de mec déjà bien raide et décalottée. Je ne pus m'empêcher de la porter à ma bouche. Aussitôt il entreprit de me pilonner la gueule en me disant:

- Je me doutais que tu aimais ça, tu dois être une bonne salope au pieu toi !

- Disons que j'aime bien faire l'amour… Mais dis-donc ça ne serait pas toi la salope ?

- Excuse-moi de t'avoir dit ça, mais si tu savais à quel point ça m'excite de dire ça à un mec et à un beau mec en plus parce que tu es très beau, tu me plais vraiment !

Je lui répondis du tac-au-tac :

- Je vais donc pouvoir te baiser alors ? Tu vas bien me donner ton cul et je vais te défoncer comme jamais tu ne l'as été.

Et en lui disant ça, je lui dévoile ma grosse queue toute bandée avec mon gland déjà tout mouillé.

- Putain la queue ! Et tu vas me mettre tout dans le cul ?

- Oui, je veux qu'on fasse nos bonnes salopes et on va s'enculer comme c'est pas permis.

Gabriel ravala sa salive, me regarda dans les yeux et me dit :

- C'est ok, on va bien se mettre. Depuis le temps que je bande pour toi...

Puis tout à coup il m'embrassa furtivement sur les lèvres, sur les joues, sur la gorge, sur une oreille et me dit :

- Tu mérites mieux qu'une simple baise toi, t'es un mec trop bien, je ne te considère pas comme les autres… A toi je veux te faire « l'amour » sans vulgarité parce que tu es un beau loulou, tu ne mérites pas qu'on te traite comme n'importe qui ! Laisse-moi t'aimer et tu ne le regretteras pas. Je veux te caresser, te donner du plaisir. Je veux que tu sois à moi mais comme si nous étions des amants depuis longtemps... Tu me fais tellement d'effet que je crois être tombé carrément amoureux de toi.

Il me faisait trembler ce type avec ses mots d'amour, je perds tous mes moyens et je trique en même temps. Je me mis à penser :

- C'est peut-être ça le coup de foudre ? Avoir envie de quelqu'un sans trop savoir pourquoi... Ressentir une vague de chaleur rien qu'à le voir… Dans mon délire je ne répondis pas et me laissais faire. Avec lui j'étais trop bien. Allait-on pour une fois m'aimer pour celui que j'étais : un gars sympa, simple, qui ne cherchait jamais la cogne, un mec gentil, normal quoi ?

Gabriel continuait à m'embrasser partout en me disant des mots gentils tels que :


- Tu as vraiment une gueule à bisous toi, laisse-moi te faire des câlins...

Là il avait quand même entreprit de me caresser l'entrecuisse où ma tige était bien à la verticale et il me pelotait les roubignoles ce qui avait pour but d'accentuer ma bandaison. Il recula de deux pas, m'admira et me déclara :

- T'es vraiment un vrai beau garçon, tu as tout ce qu'il faut où il faut ! J'ai vraiment envie de toi, de ton corps, j'ai envie de te faire l'amour.

Il me dit ces mots en me faisant allonger sur un transat et il vint se coucher sur moi pour m'aimer sans grossièreté. A la fin de nos ébats nous fîmes éclater nos orgasmes par une décharge prodigieuse. Je dois dire que pas beaucoup de garçons m'ont aimé de la sorte. De plus le gars avait une peau de velours, ce fut extra.

 

Depuis, Gabriel est devenu un très bon ami. On se voit très souvent, il fait parti de mes meilleurs copains et pas juste pour la baise. Je sais que je peux compter sur lui, j'aime sa compagnie, je suis vraiment heureux de l'avoir rencontré. Dans le monde homo il n'y a pas que des tarlouzes, il y a aussi des gens très biens !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 16 octobre 7 16 /10 /Oct 13:11

Il faisait la manche en bas de chez moi et je ne l'avais jamais trop remarqué. Pourtant ce matin là c'est lui qui est venu à moi et  il m'a demandé :

- « Si j'osais, seriez-vous d'accord pour que je vienne prendre une douche chez vous ? »

Perso je n'avais rien contre et je lui dis :

- « Si tu veux. Je pense que ça ne pourrait pas te faire de mal ! Dis-moi, tu n'as pas de famille ? »

Il me répondit que oui mais qu'il s'est brouillé avec ses parents et qu'ils l'ont mis à la porte. Je m'approche de lui. Sous sa barbe naissante je m'aperçois qu'il est jeune. Je vois qu'il ne doit pas avoir plus d'une vingtaine d'année et, en le regardant bien, je m'aperçois que c'est un beau loulou. Intérieurement je pense qu'il faut être pourri pour laisser un jeune comme ça dans la nature… Je lui propose de l'héberger, il refuse gentiment en me disant :

- « Vous êtes gentil mais après une bonne douche ça ira. Ca fait une semaine que je n'ai pas pu me laver.

- Et tu n'as pas faim ?

- Je gère comme je peux… »

Et là je décide de le prendre sous mon aile :

- « Allez, viens chez moi, histoire de te refaire une petite santé. »

Il me fait un petit sourire et décide d'accepter ma proposition :

- « Ok je vous remercie, c'est vrai que je mangerai bien un bout ! »

Le lendemain, après s'être restauré et lavé, le garçon voulut repartir mais je m'y opposai catégoriquement :

- « Arrête tes bêtises, tu ne vas pas refaire la manche ! Je vais m'occuper de toi et ne crois pas que je vais te demander quelque chose en échange… Dis-moi simplement pourquoi tes parents  t'ont fichu dehors : ils sont malades ces gens-là ! »

Diégo m'avait dit son prénom et moi le mien et je lui avais dis que nous allions nous tutoyer.

- « Bah c'est simple, ils m'ont viré car ils m'ont surpris avec un pote dans une position qu'ils n'auraient jamais dû voir… Ouais, je suis gay et comme eux sont plutôt cathos ça ne leur va pas, tu comprends...

- Hélas oui, c'est nul, encore plus à notre époque ! Ceci dit, mon père était contre aussi. Je ne sais pas si c'est parce qu'il avait un frère homo mais il détestait tous les gays. Il était plus qu'homophobe : c'était un vrai con ! Donc si quelqu'un peut te comprendre c'est bien moi, d'autant plus que moi je suis gay aussi ! »

A ces mots, il vint vers moi et m'embrassa sur la joue :

- « Super ! Donc nous sommes en pays de connaissance... »

Une semaine est passée. Le petit espagnol habite chez moi désormais en tout bien tout honneur. Je n'ai rien osé avec lui malgré qu'il soit un beau garçon, grand, cheveux noirs mi-longs légèrement ondulés avec des sourcils fournis et une peau mate à souhait. Je mentirais si je disais qu'il ne me fait pas kiffer : il est à croquer et je le croquerais bien mais comme je ne veux pas qu'il pense que je l'héberge pour son cul, je fais tout pour attiser son désir… Genre je n'hésite pas à me balader à poil, d'ailleurs entre mecs... On est tous fait pareil ! Enfin il faut croire que non car Diégo m'a déjà dit que j'étais super bien monté et que j'avais dû en faire bander plus d'un… Comme je suis un peu bête, je n'ai même pas osé lui demander qu'il me fasse voir la sienne quand il m'a dit ça ! Mais ce soir je pense qu'il va craquer et qu'il va se donner à moi car ça fait deux ou trois jours qu'il me reluque avec insistance… Je suis certain qu'il doit se branler tout seul dans le canapé qui lui sert de lit.

Comme je l'avais prévu, la nuit venue il frappe à ma porte :

- «Tu dors ?

- Non, t'as un problème ? »

Il vient près de mon lit, baisse son shorty et me fait voir sa bite en érection :

- « C'est ça mon problème ! Je voudrais que tu me fasses l'amour. Je voudrais que tu me prennes. J'ai envie d'un mec ! »

Aussitôt je lui ouvre mon lit et le laisse venir se blottir tout contre moi. Je ne peux m'empêcher de l'embrasser et il répond instinctivement à mon baiser et sa belle queue se met à grandir à vive allure : un bon 17 centimètres vient cogner ma cuisse et il m'attrape mes 22 cm en les branlant d'une main experte :

- « Tu aimes ce que je te fais ?

- Oui c'est bon, continue ... »

Puis il prend l'initiative de me chevaucher la tête pour que je lui bouffe son p'tit cul pendant qu'il enfile mon bâton tout raide dans sa bouche :

- « Ah putain, c'est bon ! T'es un vrai mâle toi ! Elle est bonne ta bite… »

Tout en me suçant, il n'arrête pas de me peloter les noix et de soupeser mes couilles. Au bout de 20 minutes de tels préliminaires, n'y tenant plus, je le mets à genoux, la tête baissée et je lui enfile le bout de ma pine entre ses fesses. Puis, le tenant par les deux épaules, j'enfonce mon gros bâton dans son cul. Il accuse le coup. Je marque un temps d'arrêt puis, une minute après, je me mets à le pilonner à fond tout en lui caressant sa poitrine parsemée de quelques poils noirs et en lui pinçant le bout des tétons. Il ne faut pas longtemps de ce traitement pour qu'il jute lorsque j'entreprends de m'attaquer à sa queue par un savant branlage de ma composition. Ensuite il se laisse noyer la tronche de mon foutre chaud : je vois qu'il en avait tellement envie...

 

Je ne sais pas quand il repartira le petit Diego, mais en attendant notre vie est au beau fixe à tous les deux et il ne regrette rien et moi non plus !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 9 octobre 7 09 /10 /Oct 14:01

Je vois souvent Seb qui est de plus en plus accroc au cul et à ma bite. On est tout le temps ensemble et il a du mal à ne pas me peloter… Quand on sort, il fout une main dans une de mes poches de froc histoire de m'attraper la queue et comme il est devenu un petit vicelard, il m'astique au travers de mon shorty. Il adore faire gonfler mes 22 centimètres tout en me roulant des pelles. L'autre jour dans ma bagnole il a failli me violer (enfin j'étais consentant). Il m'a dit :

- « Laisse-toi faire, je veux te voir torse nu ! »

Et il m'a retiré mon t-shirt. En moins de deux je me suis retrouvé presqu'à poil, la pine à l'air. Je bandais comme un âne. Il m'a branlé tout en me caressant le torse et en me disant des mots un peu plus crus que lorsque je l'ai connu :

- « J'ai envie de te démolir le cul Yanno. Tu me fais trop bander. Quand je te vois arriver dans ton froc en cuir, j'ai directos la trique ! Je vois ta grosse pine moulée sur son côté gauche, là je ne peux m'empêcher d'y toucher… »

Et, en me disant ces paroles, il baisse son fut et me fait voir sa pine décalottée et pleine de mouille :

- « Vas-y, suce-moi, je sais que tu aimes le précum. »

J'ai à peine le temps de dire ouf qu'il me penche la tête sur son bas ventre et m'enfile toute sa queue dans la bouche...

- « Vas-y salope, suce bien mon gourdin jusqu'aux couilles ! T'es trop bon, trop beau et je veux que tu en aies plein la gueule… »

Et moi, entre deux soupirs :

- « Oui c'est bon, donne-moi bien ta bite, pince-moi les tétons Seb, ça va me faire gicler, tu sais que j'adore ça… 

- C'est bien… J'adore quand tu fais ta bonne pute comme ça ! Après tu me donneras bien ton cul car j'ai une terrible envie de t'enculer et je sais qu'avec toi je peux te décharger dans le trou : ça me fait doublement bander ! »

N'y tenant plus on s'enfouit dans un bois à bord de mon break et là, à l'abri des regards, je m'installe à l'arrière du véhicule. Je m'allonge sur le dos en repliant mes genoux sur ma poitrine. Après m'avoir craché au cul et m'avoir bien titillé la rosette, Seb, la pine à la main, entre direct dans mon antre de mec. Il pousse ses 18 centimètres à fond et là je sens ses couilles frapper mes fesses. Il est tellement excité qu'il me baise très vite, très fort… Je me mets à jouir en un rien de temps. Je reçois toute sa jute au plus profond de mon cul et, quand il a fini de jeter sa purée, il vient me mettre son dard encore tout raide dans la bouche. Je me mets à le sucer comme un môme suce une bonne sucette.

Après 5 minutes de repos c'est moi qui l'attire à moi et lui demande de s'enfiler à présent mon gros pénis en venant s'asseoir dessus… Moi aussi je veux me vider dans son cul. Sans broncher il s'exécute et je le vois tout nu face à moi avec ma queue dans son cul. Sa bite va et vient de droite à gauche pendant que je le pilonne de toutes mes forces. Cela dure un moment puis tout à coup on se met à jouir à nouveau : moi la queue bien enfoncée, lui bien enculé… je reçois son foutre sur la gueule tandis que je lui déverse toute ma liqueur de mec dans son puits d'amour... Quand il se retire de ma queue je vois tout mon foutre sortir de son cul et lui couler entre les cuisses. Et ouais : on a refait nos bonnes salopes ! Seb était très excité et, par la même occasion, ça m'a donné le virus d'amour de 2 mecs qui s'aiment d'amour.

Ensuite on est reparti les couilles vides tous les deux et Seb a continué à me faire des bisous dans le cou pendant que je conduisais...  Je savais que quand j'arriverai chez moi, je le repinerai. Car à force de me faire des papouilles ma pine s'était carrément redressée et elle commençait à me faire mal tant je bandais ! Ouais, le Seb n'avait pas idée de ce que je lui réservais mais dans ma tête tout était clair : je savais qu'il allait me demander grâce à force de le faire jouir tant et tant comme je savais si bien le faire… Avec lui je me laissais enculer parce que je savais que c'était un actif, mais mon truc à moi était aussi de fendre les culs et, quand nous étions dans un tel état de furie sexuelle, il se laissait faire aussi. Il me donnait tout de lui… Là j'arrête d'en parler car je sens que ma sauce monte dans ma zézette et je ne voudrais pas tout foutre dans mon shorty ! Je veux le mettre bien à fond, faire de grands va et vient entre ses fesses, bien lui ramoner le cul, mettre mes doigts dans sa bouche, le lécher partout et sous les bras, bien le faire bander, oh putain... Je le regarde, je lui bouffe les lèvres et la bouche et je lui dis :

- « Viens petit enculé, on est arrivé. Bah tu sais quoi ? Je vais te défoncer ! Je vais me revider dans ton cul de petite salope... »

Il en trésaille et me répond :

 

- « Oui je reveux ta grosse queue ! Je veux sentir encore ton gros bâton dans ma bouche… Je veux que tu me frappes la gueule avec ta bite puis que tu me l'enfiles de nouveau dans le cul ! Je t'aime tant, je veux jouir et jouir encore… Je veux ta semence et que tu me décharges sur le torse, le ventre et partout sur et dans ma gueule : je te veux ! »

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 2 octobre 7 02 /10 /Oct 13:59

J'ai connu Sébastien par l'intermédiaire de facebook. Après  les salutations d'usage il me raconte son job (pour le zob on verra plus tard). On s'envoie des mails : c'est un mec charmant, gai et gay. Il me raconte tout un tas de trucs et quand il me dit qu'il est aide-soignant ça m'interpelle car j'en ai connu pas mal à une époque de ma vie et je sais que ce monde médical est totalement libéré côté cul… Ce n'est pas parce qu'il est aide-soignant en unité Alzaimer (faut être dévoué pour se consacrer à ça) que je lui cause, ni parce qu'il est gay (si, un peu quand même…) mais parce qu'il m'a l'air d'être un gars sincère, gentil et plus que ça. Enfin, moi je le trouve très sympa. Il m'envoie sa photo quand il était petit : il est tout mignon à croquer ! Même maintenant je le croquerais bien car je le trouve pas mal foutu. Il me dit qu'il est actif : aie, moi aussi ! Bon, on devrait bien s'entendre quand même : un coup j'te vois, un coup j'te vois pas, lol.

A l'entendre parler je sais qu'il est plus posé que moi mais il cache certainement son jeu le petit vicelard...

Je lui propose une rencontre. Il ne se fait pas prier. On sort ensemble, on va au ciné. A ce stade il se laisse embrasser et, pendant que ma langue roule dans sa bouche à la luminosité du film qui se déroule sur l'écran, j'entreprends de lui glisser une main dans son entrecuisse. Je m'aperçois qu'il bande et je lui dis :

- « C’est bon ? Tu aimes ma main sur ta bosse ?

- Tu m'étonnes ! Continue, sors- la-moi et branle-moi... »

Je fais mieux que ça : je regarde à gauche à droite. Personne ne me voit puis on est dans le noir. Je me penche et mets sa bite dans ma bouche. Il se crispe :

- « Hmmm putain, oui suce, c'est bon ! »

Il s'enfonce dans son fauteuil et appuie  sur ma tête pour que tout son dard me démolisse la gueule. Je sens que sa bite prend de l'ampleur et j'ai de la bave qui coule sur ses couilles que je malaxe doucement et je plonge l'autre main dans sa chemise… Après avoir retiré trois boutons, je caresse son torse, lui pince légèrement les tétons. Je me tape sa barre sur les joues et la ré engloutis. Je profite qu'il est enfoncé dans son fauteuil pour lui mettre un doigt dans le trou. Il gémit aussitôt et je m'aperçois qu'il aime ça ! Je pousse mon doigt, je l'enfonce, il lâche un :

- « Aaaaah oui… C'est bon... »

Et là je remue mon doigt, j'en mets deux. La p'tite salope s'ouvre bien. Pour un actif il aime bien se faire mettre ! Je renouvèle mes galoches dans sa bouche, allant de ses lèvres à sa bite. Il en titube à moitié : heureusement qu'il est assis ! Et il me dit :

- « Arrête je vais juter ! »

Il n'a pas fini sa phrase qu'un flot de sperme vient m'inonder la bouche. La gueule pleine de foutre je lui dis :

- « Salope ! »

Il se confond en excuses et moi je rigole, mais comme je n'ai pas encore joui, il me pipe à son tour. Comme j'insiste bien dans sa gorge, il s'étouffe à moitié avec mon jus… Après s'être réajusté on sort du cinoche et je l'emmène directos chez moi où là on va pouvoir tour à tour se prendre le cul tellement nous sommes excités. Aussitôt arrivés on se déshabille complètement et je l'emmène dans ma chambre. C'est fou ce que j'ai envie de lui ! De le voir ainsi je rebande aussitôt. Je le pousse sur mon lit où je le rejoins vite.

Je l'encule en premier en lui écartant bien les fesses et, après lui avoir lécher un bout de temps l'œillet, il se tord dans tous les sens. Quand je suis bien dans son cul, j'ondule sur lui et je l'embrasse partout en lui disant :

- « T'aimes ça, hein, petite salope ! »

Il ne me répond pas mais ses soupirs me donnent la réponse… Je l'encule à vive allure. Il bande tellement qu'il doit se branler et, à voix basse, je lui demande à l'oreille :

- « Tu veux que je te jouisse dans la bouche ? »

Il me fait signe que oui alors je retire ma pine de son trou et la mets entre ses lèvres en m'astiquant à vive allure :

- « Ca vient mec : ouvre grand et bois tout... »

C'est la bouche pleine de foutre qu'il me colle sa bite au cul et qu'il enfonce ses 18 centimètres dans mon trou qui ne demande qu'à être exploré. Tout en m'enculant il me fait des mamours. C'est tellement bon que je jouis encore une fois entre mes doigts. Mais il veut faire comme moi : se vider dans ma bouche.

- « Je veux que tu goûtes à ma sauce, toi aussi ! »

Et, joignant le geste à la parole, il me colle sa bite sur la tronche, me fait ouvrir les lèvres et m'envoie toute sa liqueur de mec au fond du gosier.

 

Là on est un peu rassasiés. On s'endort à poil sur mon lit, un peu mort… Lui je ne le lâcherai pas comme ça, Seb il me plaît ce mec là !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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