L'histoire de la semaine

Dimanche 3 avril 7 03 /04 /Avr 14:35

Lorsqu’à la suite de Pierre je pénètre dans la grande chambre de Lucas, je suis de suite happé par une vision pour le moins inattendue.

Les mains croisées et aplaties devant l’entrejambe de mon petit short noir à dentelle, afin de dissimuler ma barre que je trouve encore trop raide pour la bienséance, je contemple le prétendu filleul de mon initiateur-amant.

Non mais… Quel culot il a ce gars ! Lucas est davantage vautré qu’assis sur son lit recouvert d’un plaid multicolore. Avec une indécence accomplie il me braque de son regard flamboyant, les jambes outrageusement écartées, avec un sexe épais et long qui déborde mollement par une jambe de son petit short en satin rouge vif.

Eberlué par cette vision je remarque aussi, par cette même jambe d’où s’échappe ce beau sexe de jeune homme, une absence de pilosité. Forcément je me demande aussitôt s’il est aussi imberbe que moi ou si c’est par le biais d’un minutieux rasage. Attentif au moindre détail je finis par penser que c’est peut-être naturel au rapport d’absence de pilosité sur ses bras et jambes…

Après cette première vision outrancière, ce qui me marque le plus ce sont ses yeux rieurs, bleu-clair et qui me toisent et m’invitent à y plonger. Ils sont d’une sensualité profonde. Tout comme ses lèvres bien rouges et pulpeuses. Même ses cheveux châtains, épais et en bataille, participent à lui donner cet air charmant, mutin et un rien je-m’en-foutiste.

Mon cœur bat la chamade. Dans ma culotte je sens mon sexe reprendre de la vigueur, se redresser, formant à nouveau une jolie pyramide sur l’avant, à ma plus grande gêne d’ailleurs... Heureusement que j’ai mes deux mains pour dissimuler mon émoi ! Je peux terminer ma rapide description de ce garçon en constatant qu’hormis ses bijoux de famille qui surpassent les miens, il est d’une taille et d'une carrure fort similaires aux miennes. Sous son tee-shirt blanc et à liséré rouge autour du cou et des bras, qui l’enserre parfaitement, je distingue aisément ses pectoraux qui lui donnent bien fière allure.

Cependant dans ces premiers instants où je le découvre, dans cet espace de lieu et de temps improbable qui met mes sens à rude épreuve, une chose me choque plus que toute autre. Il s’agit de l’attitude de Pierre. Son comportement. Enfin… plutôt son absence de réaction !... Il se tient tout à côté de moi, son bras droit glissé dans mon dos et sa main me caressant doucement, comme pour me rassurer et m’introduire auprès de ce garçon. Ce qui ne manque pas de rajouter à ma confusion. Je sens des frissons me parcourir et la chaleur incendier mon visage.

« C’est trop ouf !… Qu’est-ce que je fiche ici ? »

Mon regard va de Pierre, qui reste stoïque, à ce Lucas qui se vautre de plus en plus sur son lit et qui ose même quelques caresses sur l’avant de son short rouge, me plongeant dans un état de gêne et d’excitation encore plus intense tandis que des gouttes de sueurs s’écoulent sur la peau de mon cou.

« Bon sang, c’est quoi ces deux obsédés ? Où j’suis tombé moi ?... »

Entre deux interrogations je fixe mon attention sur Pierre puisque c’est quand même le seul que je connaisse à peu près. J’attends de lui qu’il fasse évoluer cette situation. Enfin, qu’il y mette un terme. Mais non : il ne fait rien, restant là à regarder son filleul comme si de rien n’était. Soudain je me demande s’il ne se délecte pas du spectacle s’étalant à nos yeux. Peut-être que lui et Lucas ont l’habitude de vivre de tels moments ? Ou alors il s’agirait d’une provocation adolescente de ce jeune gars contre son parrain mature ? Ou alors… En tout cas la pudeur semble ne pas avoir sa place dans cette demeure...

Fort mal à l’aise malgré cette nouvelle excitation je ne sais vraiment pas quel comportement adopter. Je ne suis pas d’un naturel téméraire. Englué dans mes doutes et mes questionnements je devrais normalement fuir de cet endroit. Mais, de fait, je n’en ai aucune envie tant j’ai apprécié ma rencontre avec cet homme et le traitement qu’il m’a prodigué. Mais surtout, et je commence à le réaliser, il y a cette vue imparable sur le corps vautré à ma vue et ce sourire ravageur et lubrique… Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu…

... quand Pierre met enfin un terme à mes observations et mes cogitations !

« Ouf… Cette mascarade va enfin cesser. »

À tout le moins c’est ce que je me dis sur le coup.

— Lucas ! Commence l’homme de sa grosse voix et moins douce que tout à l’heure avec moi… Tu pourrais quand même te tenir correctement devant notre jeune invité ! Regarde comme ton comportement le met mal à l’aise, ajoute-t-il en glissant sa main le long de mon dos. Je ne cherche même pas à me dérober.

— Bah ! rétorque aussitôt le jeune homme concerné. Je ne vois pas pourquoi, Pierre ! Je n’ai pas cherché votre venue dans ma chambre. Et puis, vu le regard qu’il porte sur moi, je ne pense pas forcément que le spectacle que je lui offre à cet instant lui déplaise autant que tu le crois !

Mon regard fiché dans celui de ce jeune péroreur, rougissant jusqu’aux oreilles, je rentre ma tête dans les épaules et esquive un pas sur le côté espérant pouvoir dissimuler ma gêne derrière Pierre. Mais ce dernier empêche tout mouvement de recul avec sa main qui maintient fermement mon dos…

— N’empêche, Lucas ! Ce n’est pas la première fois que tu te comportes ainsi. Il faudrait que tu apprennes enfin à te tenir différemment devant nos invités, quels qu’ils soient !

— Je te fais remarquer, lui retourne alors Lucas en caressant outrageusement ses cuisses écartées, que ton jeune éphèbe inconnu est ton invité et non le mien !

— C’est vrai mon garçon ! Mais il est notre invité pour ce jour. Alors, je désire… Non, j’exige même de ta part que tu te montres respectueux et sympathique avec lui, formule l’homme d’un ton n’appelant aucune contradiction.

Personnellement je me soumettrais illico à une telle ordonnance. Mais comme je suis en train de m’en rendre compte Lucas n’est pas du même tempérament que moi. Il ne se démonte pas le bougre !

— Et pourquoi d’abord ? Je ne le connais pas ce jeunot ! Tu pourrais peut-être commencer par me le présenter ! Après on verra ce que je peux faire pour lui… rajoute Lucas d’un ton de défi en m’envoyant son lumineux sourire.

Outré, amusé et charmé par cet outrageux adolescent, je ne peux que lui renvoyer son sourire, bien qu’il soit à coup sûr plus timide et moins envoutant que le sien. Il commence à bien me plaire cet énergumène éhonté...

— Espèce de vaurien, fait mine de s’emporter Pierre. Mais tu as raison sur un point : je ne te l’ai pas encore présenté. Toutefois c’est très probablement à cause de ta tenue indécente…

— Beuh… beugle Lucas en s’esclaffant quand même, ma tenue est comme d’habitude et normalement tu ne me dis jamais rien mon cher parrain…

Lucas insiste tellement sur « cher parrain » qu’aussitôt je réalise que ces deux-là sont davantage que parrain et filleul.

« Oh bon sang !... Si ça se trouve ils sont amants tous les deux ?... Mais, et moi alors ? Qu’est-ce que je viendrais faire dans ce duo ?... »

À cette pensée je sens monter en moi de la crainte et du dépit. J’ai soudainement envie de m’esquiver de ce lieu de perdition. Ma place ne peut pas être ici parmi un vieux dominateur bien que très doux et ce jeune dévergondé. Mais je ne bouge pas d’un iota, trop obnubilé par leur joute verbale qui, ma fois, est autant amusante qu’excitante…

— Bon, bon, on ne va pas s’énerver, concède Pierre. Je te présente Matéo qui fête ses dix-sept ans aujourd’hui. Si tu fais un petit effort, tu pourras constater par toi-même que c’est un garçon très, très gentil et plutôt cultivé pour quelqu’un de son âge…

Je rougis d’aise sous l’assaut de compliments à mon égard.

— … Je pense, non j’en suis certain d’ailleurs, il te plairait si seulement tu faisais l’effort pour être plus accueillant avec notre hôte.

« Je rêve !… »

Pensé-je tandis que la main de Pierre glisse de mon dos vers mes fesses et commence quelques petits allers-retours, me faisant frissonner sous le regard amusé de Lucas qui me transperce de son regard irrésistible. Je suis pantois, abasourdi, effrayé, charmé, attiré. Je veux rester pour savoir comment les choses vont tourner. Je veux m’enfuir loin d’ici, de ce lieu de perversité. Je veux m’abandonner aux caresses de Pierre qui me font si délicieusement vibrer et tendre mon petit bâton à jus. Je veux que Lucas se lève de son lit, s’approche et me prenne dans ses bras pour me couvrir de son sourire ravageur, pour que je puisse lui faire don de moi, m’abandonner totalement à son ou ses vices…

« Mais non Matéo, t’es ouf ou quoi ? Arrête ton délire et barre-toi avant qu’il ne soit trop tard ! Mais, d’un autre côté, je risque de décevoir Pierre et adieu mon job pour cet été… T’es con ou quoi ? Le Pierre, même si c’est un gars gentil et qu’il t’a payé, il t’a quand même abusé… Oui, mais j’ai bien aimé aussi ! Il m’a fait comprendre que j’aimais ça le sexe entre homme… Et puis y a aussi ce Lucas ! Je n’sais pas pourquoi mais il m’attire ce con… J’ai envie de toucher son sexe, de le caresser, de le lécher, de le sucer comme avec mon cousin ce matin… Et j’ai aussi envie qu’il me fasse pareil… »

Retour au réel quand Lucas reprend la parole.

— Bon, d’accord Pierre, je vais faire un effort et me montrer gentil avec ce mignon Matéo. Mais dis-moi, qu’est-ce qu’il fiche en petite tenue à dentelle dans la maison ?... Ne me dis pas que…

— Je ne te le dis pas justement ! Si tu veux savoir tu n’as qu’à demander à Matéo : il te répondra s’il en a envie. Mais s’il est dans cette tenue, qui lui va d’ailleurs à ravir, c’est parce qu’on a eu un petit accident et que ses vêtements se sont déchirés. Je lui ai également affirmé que comme vous êtes apparemment de la même taille tu pourrais bien lui prêter de quoi rentrer décemment chez lui.

— Quoi comme fringues ? Tu sais bien que j’n’en ai pas beaucoup ici !

— Un slip, un tee-shirt et un bermuda ou un de tes fameux shorts suffiront amplement.

Depuis le début de leur irréaliste conversation je n’ai pas bougé d’un pouce. Je reste complètement éberlué par les propos contenus dans leur débat comme si j’étais absent. En tout cas, maintenant j’en suis sûr, je suis tombé chez deux gays, des homos, des tapettes, des pédés… Bien que cette idée ne puisse plus me heurter je suis quand même étonné par leur différence d’âge. Mais mon plus grand trouble vient certainement du fait que les deux me font fichtrement bander. Et puis il y a Lucas surtout : il est vraiment magnifique, érotique, sensuel… Mon cousin à côté c’est de la gnognotte de garçonnet ! Mais je suis injuste, j’ai bien apprécié le sucer et avaler son jus ce matin tandis que nous prenions notre douche ! Et voilà que je m’égare encore dans mes pensées tandis qu’un quadragénaire et un p’tit jeune dans mes âges débattent sur le fait de l’accueil à me rendre et de l’aide à m’apporter.

— Bon c’est d’accord Pierre !... Je vais faire au mieux pour m’occuper de notre jeune invité. Je vais lui faire choisir des fringues. Et mieux encore, je vais lui en faire cadeau puisque décidément c’est son anniversaire !

— Voilà qui fait plaisir à entendre Lucas ! Je peux donc compter sur toi pour le mettre à l’aise ?

— Mais oui puisque je te le dis Pierre ! Tu peux compter sur moi d’autant que je le trouve bien sympathique notre Matéo, même s’il est rouge pivoine.

Et Lucas part d’un grand éclat de rire, sans doute provoqué par sa dernière réflexion, tandis que Pierre renvoie un sourire de connivence vers son filleul. Et moi, perdu au milieu de leur conversation, je n’ose toujours pas bouger, rougissant encore plus s’il est possible... Je garde toujours mes deux mains devant mon entrejambe tout tendu à force d’avoir la queue bandée.

 

— Bon, maintenant que l’affaire est entendue, je vais vous laisser faire connaissance. Pour ma part je descends à la cuisine nous préparer à manger. Il commence à se faire tard.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 27 mars 7 27 /03 /Mars 14:33

Obéissant, Matéo s’exécute tranquillement. C’est étrange mais il se sent heureux et en paix tandis qu’il se refait le film de cette séance érotico-sexuelle. Oh non, il ne regrette rien. Au contraire. Maintenant tout est clair dans son esprit. Il a trop aimé caresser et branler cette queue. Il en a inhalé les effluves et s’est régalé de son bon jus. Son seul petit regret c’est de n’a pas avoir joui en même temps que Pierre. Son sexe encore bandé en témoigne ! Mais quelle importance en vrai ? Il trouve très plaisant cette sensation persistante d’excitation. Au pire il se soulagera plus tard dans la journée en se visionnant méthodiquement chacun des instants qu’il vient de partager avec cet homme.

Matéo renfile le short offert par Pierre. Et là, il se trouve subitement ridicule dedans. En effet, il ne l’a pas remarqué plus tôt, sans doute l’esprit trop obnubilé par ce qui l’attendait avec Pierre, mais le liséré blanc sur l’élastique du short est fait de dentelle. Tout comme les tours de cou et de bras du tee-shirt. C’est un truc de fille ça !... Il faut que j’en parle avec Pierre… Il saura bien remédier à cela…

Non que ça le dérange vraiment de porter une telle tenue, il n’est plus à cela près maintenant qu’il a accepté de se faire féminiser ! Mais il ne se voit absolument pas débarquer à la maison attifé de ces sous-vêtements... Sa mère prendrait cela très mal et son cousin se moquerait bien de lui, surtout après leur douche commune. Heureusement que la matière est douce est agréable au contact de la peau. Ça fait penser à de la soie ou aux petites culottes de sa mère qu’il regardera d’un autre œil dorénavant. En tout cas il sent l’arrière lui rentrer dans les fesses tant son sexe encore tout raide tend l’avant, formant une jolie pyramide. Il rit et en même temps s’interroge sur le fait qu’il ne parvient pas à débander. Bof ! De toute façon ça va bien finir par retomber.

L’adolescent enfile son tee-shirt des mêmes couleurs et matière quand la voix de Pierre résonne presque joyeusement derrière lui.

— Alors Matéo, cette tenue te plaît ?

Matéo se retourne vers cette voix maintenant familière tandis qu’il finit de glisser sa tête vers le haut du tee-shirt. Un sourire gêné accueille son hôte et amant.

— Désolé Pierre j’ai un peu trainé pour me rhabiller. Mais oui, j’aime bien cette tenue, la matière surtout qui est très douce sur la peau. Mais je suis intrigué par les dentelles. Ça fait fille, non ?

— Je te promets qu’il s’agit de sous-vêtement pour homme. Je te montrerai sur Internet si tu veux. En tout cas je trouve que ça te va très bien et fait ressortir toutes tes formes qui, je vois, ne sont pas encore toutes apaisées !

Machinalement Matéo baisse la tête et ne peut que constater le bien-fondé de la réflexion de Pierre.

— Oups… Désolé mais je n’arrive pas encore à débander. Je me demande bien pourquoi d’ailleurs…

— Oh, c’est moi qui dois être désolé mon garçon. Tu m’as tellement fait de bien que j’ai oublié de t’en procurer à mon tour. Si tu veux, je peux y remédier…

— Non ce n’est pas important Pierre. Ça va bien finir par retomber. Et puis finalement j’aime bien me sentir dans cet état d’excitation.

— Eh bien dis donc ! Tu me semblais bien plus réservé et timide ce matin... Tu t’es vite transformé en peu de temps.

— Oh non ce n’est pas ce que tu crois Pierre. Depuis que je me masturbe j’aime rester de longs moments la queue bandée. Je me tripote souvent tu sais. Surtout en cours au lycée : ça faisait passer le temps et je trouvais marrant de me précipiter aux WC pour me soulager.

— Je constate que finalement tu es porté sur la chose du sexe. Mais c’est normal à ton âge. Alors c’est bien comme cela.

— Ouais… On n’en parle plus, ok ? Cependant j’ai encore une question… Pourquoi tu ne me mets plus au féminin ? Je t’ai déplu ?

— Ne crois pas cela ! C’est tout le contraire et ce dès que je t’ai vu. Seulement je pense que c’est bien que dans les moments comme ceux que nous avons partagés. J’ai bien remarqué que ça t’excite fortement mais tu es un jeune homme, charmant au demeurant. Tu n’es pas une fille. Alors évitons de prendre trop l’habitude de te mettre au féminin…

— Je comprends. Ça veut dire que tu es prêt à recommencer avec moi ?

— Si tu en as envie oui ! Jamais je ne te forcerai à quoi que ce soit. Si j’aime les corps de jeunes dans ton genre, je ne suis pas une brute et encore moins un pédophile pervers. Et puis j’ai franchement envie de te faire découvrir des tas de nouveaux plaisirs...

— En plus de mon travail ?

– Bien sûr. Je cherche vraiment quelqu’un pour entretenir le parc et la maison. C’est un job sérieux qui n’a rien à voir avec le reste. Si tu ne conviens pas, je ne pourrais certainement pas te garder salarié. Mais je pense que tu apprends vite et je te sens débrouillard… Ah, j’allais oublier…

Sur ce, Pierre se tait et tend quatre billets de cinquante euros à Matéo qui regarde éberlué. Il ne comprend pas la raison d’une telle générosité. Du coup il refuse en disant que ce n’est pas la peine.

L’homme lui explique alors qu’il a pris un grand plaisir à jouir deux fois avec lui. Qu’il a adoré sa façon de le caresser et de le masturber avant de nettoyer consciencieusement son gland. Et puis, il a bien remarqué sa date de naissance sur la carte d’identité.

Finalement Matéo accepte cet argent providentiel. Il n’a encore jamais possédé une telle somme d’un coup. Sauf sur son compte épargne qu’il ne pourra utiliser qu’à sa majorité révolue.

— Merci Pierre !

 

– De rien. C’est mérité et puis, bon anniversaire mon garçon ! J’espère juste que tu en feras bon usage… En attendant il est grand temps d’aller rejoindre Lucas pour qu’il s’occupe de toi. Moi je vais préparer à manger en attendant…

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 20 mars 7 20 /03 /Mars 14:32

Matéo est décidément très excité. À bien y penser, il estime que cette situation inédite pour lui est inespérée. Depuis le temps qu’il fantasme à cause de son livre…

Il est avec un homme adulte qui va certainement le déniaiser. Il se sent en sécurité avec ce personnage imposant. Et après tout, ne va-t-il pas devenir son employeur et lui permettre ainsi d’aider sa famille et préserver leur petite maison de vacances ? L’homme lui a laissé le choix de tout arrêter ou de continuer. Cela fait qu’il se sent en confiance. Il ne veut le forcer à rien !

Quelques minutes plus tard, ses cheveux châtains clairs presque blonds et encore luisants d’humidité, il arrive dans la pièce principale. Il ne porte aucun vêtement sinon le tee-shirt et le short très ajusté à la taille faisant ressortir son paquet encore tout bandé et ses fesses tandis que le tissu noir et satiné s’enfonce ostensiblement dans sa raie.

— Waouh, c’est bien tapette ! Ce short te va à merveille. Tu es très sexy dedans.

— Merci Pierre, répond Matéo avec un sourire sincère. J’aime la matière sur ma peau : c’est très agréable comme sensation…

— Je sais ma jolie petite tapette. Ce n’est pas pour rien que je te l’offre. Je me doutais de tes goûts ! Mais t’inquiète, si on s’entend bien tous les deux, je te ferai découvrir bien d’autres vêtements… Mon mignon, comme je t’appelle tapette uniquement quand on est nous deux, il va falloir que je te parle au féminin…

— Euh… Pousse bêtement Matéo tout étonné et émoustillé par cette suggestion pour le moins rabaissante.

— …Parce que, poursuit inexorablement l’homme, tapette c’est féminin. Ça ne te gêne pas au moins ?

— Euh… Non Pierre. Pas du tout. Je trouve même cette idée amusante.

— Ok ! Alors maintenant tu deviens ma chérie, ma mignonne petite tapette !

Pierre recommence à tripoter les fesses de l’adolescent qui sent mieux la main et les caresses à travers le tissu soyeux et fin de son short. Il se surprend même à se cambrer pour appuyer ses fesses sur cette main experte et chaude. Tout en se laissant caresser et pétrir le cul par celui qui s’apprête à devenir son initiateur, son amant, Matéo baisse à nouveau la tête et se rend compte que l’avant du short de l’homme est déformé par sa queue toute bandée. Un moment il se demande même comment elle ne s’en est pas encore échappée. L’adulte l’observe attentivement, lui prodiguant un sourire enveloppant et encourageant à se laisser aller.

— Ça fait déjà un petit moment que tu mates ma queue, hein tapette ? Depuis qu’on est monté dans ma voiture…

— Oui Pierre. Je me demande à quoi peut bien ressembler l’engin qui m’a fait jouir dans ma culotte sur le bord de la route.

— Non mais… Tu as vu dans quel état tu me mets ma petite tapette ? Regarde comme elle est dure !

Accompagnant le geste à la parole, l’homme prend une main du garçon qui se soumet, et la pose sur sa queue bandée. D’instinct ou par envie plus simplement, Matéo la prend en main et la serre. Elle est très, très dure et chaude. Il est excité comme jamais. Plus encore que sur le bord de la route.

— Tu sens bien comme elle est dure ma petite tapette chérie ?

— Oui Pierre. Elle est vraiment très dure, confirme Matéo en la caressant avec envie.

— Ma petite chérie, si tu veux vraiment la voir, je te la montrerai !

Malgré l’excitation Matéo est tout de même fort troublé. Depuis quelques minutes Pierre ne lui parle plus comme à un garçon mais comme à une fille… Il ne se comprend plus lui-même tandis que disparaissent ses dernières certitudes d’hétérosexualité. Non cela ne lui déplait pas, mais il aime cette façon dont Pierre lui parle, mêlant propos grossiers, féminisation et proposition sexuelle. Il sent que de se laisser traiter de fille va lui apporter beaucoup de plaisirs et faire naître une belle et grande complicité. Pendant qu’il s’interroge sur sa nouvelle condition Matéo continue de caresser assidument cette queue tendue à travers le tissu de son short.

— Humm... Tu as un très joli cul, petite tapette. Tu pourrais me le montrer ma belle chérie !

Ces mots prononcés par Pierre font monter d’un cran son excitation. Surtout que maintenant il lui parle de son cul et s’imagine déjà ce que cet homme pourrait lui faire. Ça lui fait peur et en même temps ça le tenterait bien. À cet instant Matéo est prêt à tout pour satisfaire cet homme et qu’il soit content de lui.

— Oui Pierre. Je vais te le montrer !

Que rajoute l’adolescent en songeant soudainement que c’est la première fois qu’un adulte autre que ses parents verrait ses fesses ! Mais il n’est plus à cela près maintenant...

Matéo arrête de caresser le sexe adulte et se dégage de ses mains. Il lui tourne le dos et baisse son short en dessous de ses fesses. Puis il remonte son tee-shirt au-dessus de ses reins. Rapidement il sent les mains de Pierre se poser sur ses fesses. C’est encore meilleur que précédemment. Cette fois c’est directement sur sa peau : il peut enfin en ressentir toute la chaleur et la douceur. « Humm » L’adolescent est comme au paradis à ce contact bouillant. Son excitation est extrême : il en gémit à plusieurs reprises.

— Tu as un très beau cul petite tapette. Je me dis que tu vas faire bien des envieux, des désireux de te le caresser et de te le lécher. Vraiment, tu as un cul magnifique, tout lisse et sans poils !

Ces compliments couvrent Matéo d’aise. Il ressent de la fierté à plaire à cet homme mature.

— Tu aimes ces petites caresses ma petite tapette ?

— Oui Pierre. J’adore. Merci !

— Tu sais ma chérie… Tapette, même si ce mot te plaît, c’est une insulte en temps normal, dit l’homme tout en lui malaxant les fesses.

— Je sais Pierre. Mais venant de vous ça me plaît et m’excite grave ! Rajoute Matéo en se cambrant un peu plus.

— Tu aimes vraiment être insulté ma petite tapette ?

— Oui Pierre. Effectivement je crois bien que oui. Mais encore une fois que par vous !

— Tu veux donc que je t’insulte comme une fille, jolie petite tapette ?

À force d’être appelé ainsi Matéo découvre aimer être traité comme une fille par cet homme qui y prend lui-même beaucoup de plaisir. Son sexe lui fait mal à force d’être dur d’excitation.

— Oui Pierre.

Ce dernier s’approche de l’oreille du garçon et tout en lui pétrissant les fesses lui chuchote :

— Ça te plairait que je te traite aussi de salope ?

Cette fois, Matéo a un mouvement de recul. Le mot est tout de même un peu fort. Mais encore une fois il veut plaire et surtout le contenter.

— Oui Pierre !

Et ce dernier tout ravi dit en susurrant :

— Ma petite tapette est une bien jolie salope !

— Oui Pierre.

— Non ma Tapette. Mieux que ça ! Dis à ton patron que tu es une salope !

Matéo hésite encore. Sans doute n’est-il pas prêt à cette concession sur lui-même. Mais l’homme insiste.

— Dis-le ma chérie ! Tu verras, une fois que tu l’auras dit, tu te sentiras bien et ce ne sera plus tabou pour toi !

Matéo se sent profondément humilié. Il ne veut pas être traité de salope. Mais deux claques bien assénées sur ses fesses lui font penser différemment.

— Oui Pierre, je suis une salope.

— Répète-le plus fort petite tapette ! ordonne l’homme en lui assénant deux autres claques sur ses globes fessiers.

– Je suis une salope. Je suis votre petite salope Pierre ! confirme Matéo d’une voix soumise… Mais s’il vous plaît ne me fessez plus.

Et… Matéo en reste pantois de surprise. Non seulement il se sent effectivement libéré comme si c’était un aboutissement pour lui mais, les claques sur ses fesses, après la surprise et la douleur passées, lui ont procuré une nouvelle sensation de plaisir. Pour la première fois depuis le décès de son père il se sent bien et heureux. Ou heureuse plutôt… Enfin il ne sait plus trop maintenant !

— Allez… Reprends ma queue en main ma douce salope puisque décidemment tu n’espères que cela !

Matéo, en bonne petite "salope obéissante" et désireuse de satisfaire "son" homme, obéit immédiatement. Il reprend en main ce sexe long, épais et dur. Il fait de lents va-et-vient sur le tissu de son short. À un moment il se tourne pour regarder sa main en mouvement. Le sexe de l’homme lui paraît vraiment énorme ! Et que dire de la chaleur que cet appareil dégage. Qu’est-ce que ça sera quand il sera enfin libéré...

— Ouuuui ! Vas-y ma salope ! Caresse-moi ! Branle-moi ! dit l’homme en lui pétrissant fiévreusement les fesses.

Matéo sent l’excitation de Pierre monter. La sienne aussi. L’homme mature s’occupe de lui. Il le guide, il l’instruit. Il obéit, il se sent bien entre ses mains. Il se sent en sécurité, apprécié, aimé… Il s’abandonne aux caresses qu’il prodigue et à celles qu’il reçoit sur ses fesses imberbes, douces et fermes.

— Tu veux voir mon sexe ma chérie ?

Évidemment que Matéo a très envie de découvrir l’objet de sa jouissance du matin ! Depuis, il n’arrête plus de fantasmer dessus. Maintenant il peut bien se l’avouer : il veut enfin voir à quoi il ressemble en vrai !

— Oui Pierre, montre le moi !

— Bon ma petite tapette ! Mais d’abord mets-toi tout nu et assieds-toi sur le canapé…

Matéo se déshabille et dépose délicatement le short et le tee-shirt sur le dossier du divan. Puis il s’assoit, nu comme commandé par Pierre. Il se sent bien dénudé devant cet homme qui le domine de son un mètre quatre-vingt-cinq. Le sexe du garçon est raide à souhait, s’élançant fièrement en avant de ses seize centimètres et demi.

L’homme se met face à lui, assez proche. Il défait la ceinture du short. Il dégrafe le bouton du haut puis les trois autres de la braguette en prenant tout son temps et s’assurant que sa jeune conquête ne le quitte pas du regard. Il écarte délicatement le pantalon, d’un geste presque féminin. Etonnant pour un type si baraqué et viril que lui ! Le short glisse alors sur ses jambes légèrement écartées. Matéo découvre son boxer blanc en tissu fin et brillant. Il le découvre complètement déformé par la queue bandée. Une tache s’étale sur le tissu de satin au bout de son sexe. L’adolescent ne peut s’empêcher de tendre la main jusqu’à cette forme dont il devine tous les contours et de recommencer ses lents va-et-vient.

Pierre ne dit rien sinon quelques râles d’aise. Il laisse aller et venir cette main jeune et inexpérimentée qui le travaille pourtant avec une belle dextérité. Seul son bassin s’avance pour mieux appuyer son pieu sur cette petite main.

— Dis-moi ma jolie tapette, regarde-moi quand je te parle !

Soumis et heureux, Matéo lève la tête vers celle de cet homme et continue ses caresses. Il découvre un regard doux et souriant. Il le sent plein de compréhension et de tendresse à son égard. Ça fait bien longtemps qu’il n’a pas eu droit à autant d’attention…

L’homme dit doucement :

— Ça te plait salope ?

Les yeux brillants Matéo ne répond pas immédiatement. Il se lèche doucement les lèvres et sourit à son initiateur.

— Oui Pierre, ça m’excite.

– Si tu me demandes de baisser mon boxer maintenant, je le ferai volontiers pour toi. Mais, si tu veux arrêter, ce que je ne pense pas, on en reste là ma petite chérie !

À cette proposition Matéo est hésitant. Ce coup-ci il réalise pleinement ce qu’il s’apprête à faire. Et il sait aussi que c’est sa dernière chance de tout arrêter et de faire comme si rien ne s’était passé. Après…

Mais ses doutes s’envolent rapidement. Il aime cette situation, ce moment d’une intimité naissante entre lui et cet homme mature. Il comprend également que tout est en train de changer pour lui, itou pour le monde qui l’entoure (famille, social…). Plus rien ne pourra être comme avant une fois qu’il aura touché et goûté à cette chose qui vibre dans ce boxer blanc distendu par la forme qu’il emprisonne et dont l’auréole grossit encore. Une fois réfléchi, son choix n’accepte plus de doute.

— Oui Pierre. Baissez votre slip s’il vous plaît.

— Tu es sûr de toi ? Après ça on doit aller au bout des choses !

— Oui, je sais bien Pierre ! Je le veux. Baisse ton slip s’il te plaît. Ne me fais plus attendre…

— Ma gentille petite tapette…

Et aussitôt l’homme baisse son sous-vêtement. La barre suintante se détend d’un coup. Elle est toute proche du visage de l’adolescent qui bée d’admiration et de surprise par la véritable grosseur. Il l’estime à au moins vingt-quatre centimètres de longueur. Et Matéo qui, jusqu’à présent, pensait que de tels appareils génitaux n’existaient que dans des films pornos !

Ce sexe pointe vers le haut. Le gland est dégagé. Il est très long, incroyablement épais. Il est parcouru de veines légèrement violacées. Il sort d’une dense forêt de poils qui l’entourent et remontent vers le ventre. Les testicules de l’homme sont à la dimension de ce mastodonte : ils sont bien deux fois plus volumineux que ceux de l’adolescent. Mais ils n’ont presque pas de poils.

Matéo a peur soudain. Mais, en même temps, il est complètement fasciné. L’odeur qui se dégage du bas-ventre de Pierre l’envoûte, lui plaît, l’excite. Il ne peut s’empêcher de pencher la tête et d’aller renifler. Il reconnait, mais en plus puissant, les fumets qui sont parfois dans ses culottes : urine mais très léger, sueur, sperme… L’adolescent n’a pas envie que ce moment s’arrête. Il veut continuer à s’enivrer de cette vision et de ces odeurs mâles. Il tend une main tremblante et va caresser cette toison noire et épaisse.

— Tu aimes mes poils ma chérie ?

— Oh oui Pierre... répond Matéo incapable de dégager son regard de cette dense forêt pubienne. Je les trouve très épais et très doux, se justifie-t-il en passant doucement sa paume ou le revers de sa main. Et puis j’aime beaucoup l’odeur qui s’en dégage : c’est puissant et ça donne envie…

— Eh bien vas-y ma petite chérie ! Ne t’en prive surtout pas. Amuse-toi bien. Ce que tu vois là est tout à toi ma douce tapette !

Matéo caresse et caresse encore longuement ce bâton de chair, ces épais testicules prometteurs d’une puissante et abondante jouissance. Pas étonnant qu’il ait eu les fesses mouillées tout à l’heure… Après s’être amplement délecté de caresses sur le système pubien l’adolescent prend enfin cette queue en main. Elle est à la fois dure, douce, chaude, épaisse. Il est impressionné et ravi tandis qu’il commence à la branler, parcourant la longueur de haut en bas et inversement, enveloppant parfois le gland dans la paume de sa main tandis que s’écoule ce liquide encore mystérieux et si agréablement odorant… Matéo est très, très, très excité. Pourtant il n’a pas envie de jouir… Il préfère garder entier son état excitation.

— Tu as déjà masturbé des hommes ?

— Non Pierre. C’est la première fois que je le fais.

— Alors ma petite chérie tu es véritablement doué ! On dirait que tu as toujours fait ça... Oooooooooh !... C’est bon. Continue comme ça…. Oui, serre plus fort, va plus vite !... Tu es boooonne !... Ouuuui !... Encore ma belle !...

Matéo ne comprend pas trop ce que lui affirme l’homme. Il le sent tellement excité. Il le sent même qui se contracte tandis qu’il parle de plus en plus fort, libéré qu’il est de toute contrainte. La bouche entrouverte l’adolescent s’active plus rapidement.

— Oh oui ! Branle-moi bien ma petite Tapette !... Mmm...

Le gland de l’homme est gluant de jus transparent qui afflue avec son excitation. Obéissant, soumis et heureux, Matéo accélère encore son mouvement tout en continuant de caresser avec douceur les testicules avec sa main libre.

— Oooooooui !... Ne t’arrête pas tapette ! Tu es vraiment trop bonne ! Je vais jouir. Je vais jouir !

Matéo sent l’homme se tendre à nouveau. Son bassin s’avance vers son visage. Et, d’un coup, un premier jet fuse puis un deuxième. La pression et la quantité sont telles que le visage de Matéo dégouline de cette semence épaisse et tiède. Par réflexe, il baisse le sexe et trois autres jets, moins puissants cette fois, atterrissent sur sa poitrine.

— Oooooh oui ! Tu es vraiment une super petite branleuse mon garçon ! C’est trop bon ce que tu me fais… Allez, maintenant ouvre ta bouche et nettoie moi bien le gland. Il est temps que tu découvres un peu du goût de ma sève.

Matéo a remarqué que le sperme de Pierre dégage une odeur forte, entêtante, enivrante. Ce qui lui plaît et accroît encore son excitation. Aussi il n’hésite pas un instant en entendant le commandement de celui qui est dorénavant son amant. Il ouvre la bouche en grand et aspire le gland, le pourléchant longuement en caressant encore cette queue magnifique. Il découvre pour la première fois le goût d’un sperme adulte. Ce nectar est divin et laisse dans sa bouche un arrière-gout étrange mais absolument pas déplaisant. La prochaine fois il faudra que je goûte à l’intégralité de sa semence. C’est vraiment trop, trop délicieux… pense Matéo tandis qu’il libère enfin ce bâton de plaisir qui commence à ramollir doucement.

Il lève sa tête et porte son regard vers le visage de l’homme qu’il vient de faire jouir abondamment. Il lui envoie alors un large sourire, fier de sa besogne accomplie.

Pendant une minute l’homme reste immobile, le souffle court. Puis il sourit à son tour et vient lui caresser doucement la tête.

— Tu es recouverte de sperme ma chérie. Je pense que tu es bonne pour une nouvelle douche. Mais d’abord essuie-toi avant de monter à l’étage. Et après rhabille-toi !

— Avec le short ?

— Eh bien oui. Tu ne vas tout de même pas te balader tout nu dans la maison. Et puis il faut que l’on passe voir Lucas. Il pourra t’aider à choisir des vêtements de rechange. D’accord ?

— Comme vous voulez Pierre, mais…

— Maintenant je crois que l’on peut se tutoyer, non ?

— D’accord Pierre. Mais qui c’est Lucas ?

 

— Oh, pardon !... J’ai oublié de te dire que Lucas est mon filleul. Tu verras il est très sympathique… Mais avant j’ai un petit cadeau pour toi ! Pendant que tu te rhabilles je vais te le chercher.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 13 mars 7 13 /03 /Mars 14:31

Parce qu’il faut bien se rendre à l’évidence. Matéo bande aussi. Il ne sait pourtant pas si c’est dû à la vision qu’il a de l’entrejambe de l’adulte. Il se demande s’il ne s’agit pas plutôt du souvenir d’un peu plus tôt quand cette barre coulissait entre ses globes fessiers. Peut-être s’agit-il simplement de leur conversation à propos du livre ? Mais qu’importe en vérité... Matéo sait déjà que si Pierre se montre entreprenant, il n’osera pas résister, ni se défiler. Il est envouté par sa prestance, sa voix, son regard et surtout son engin qui s’étend démesurément.

– Matéo, commence Pierre en posant doucement ses deux larges mains sur les fesses du garçon… Matéo, relève la tête et regarde-moi !

Surpris par ce nouveau contact physique, Matéo a un sursaut de recul qui cale d’avantage ses fesses dans les paumes de l’adulte. Il est assailli d’un nouveau flot de sensations contradictoires : de l’aise d’être ainsi caressé, de la gêne de se constater si soumis, de la honte de son manque de volonté, de la crainte sur ce qui va sans doute se passer… Cependant il ne cherche pas à se faufiler. Au contraire, d’instinct, il se cale au mieux contre ses mains larges et chaudes. C’est avec un sourire timide qu’il relève la tête et croise le regard de son vis-à-vis.

– Alors Matéo, tu me dis ne pas être gay mais tu sembles bien apprécier mes caresses sur ton derrière…

– Je… Je ne sais plus trop en fait… Mais je trouve très agréable vos caresses sur mes fesses. Ça me fait chaud dans tout le corps.

– Alors je peux continuer ? Interroge l’homme en lui envoyant un clin d’œil appuyé et semble-t-il complice.

– Ou... Oui !

– Tu sais ce qu’on dit des jeunes dans ton genre qui se laissent tripoter de la sorte ?

– Non Pierre, je ne sais pas puisque ça ne m’est jamais arrivé avant… On dit quoi ?

– On dit que ce sont des petits pédés. Des tapettes même, rajoute l’homme en commençant à lui pétrir ses petites fesses rebondies.

Matéo pousse un soupir qui en dit long sur le plaisir qu’il prend. Cela encourage l’adulte à aller un peu plus loin dans ses manipulations et sa discussion.

– Matéo je te pétris les fesses et tu ne dis rien. Apparemment ça te plait bien ? Tu veux continuer, t’en es certain ?

– Oui Pierre, ça me plait bien que vous vous occupiez de mes fesses de la sorte. Vous pouvez continuer…

– Soit mon garçon ! Mais en te laissant masser le ‘’cul’’ de la sorte, tu ne peux plus prétendre que tu n’es pas un homo, une tapette...

Ces termes vulgaires surprennent Matéo. Mais… Ils lui plaisent ! Il commence même à espérer que cela ne s’arrête pas.

– Matéo, poursuit l’homme avec un ton de connivence et un regard de plus en plus lubrique… Si un homme gentil te proposait de te caresser les fesses comme je le fais maintenant, sans que personne ne le sache, est-ce que tu accepterais ? Est-ce que tu aimerais ?

Matéo sent que les choses sont en train de lui échapper. Toutes ces convictions et incertitudes commencent à voler en éclat. Sa question l’excite encore plus et il se prend à avoir envie de lui faire plaisir. Il veut être sincère avec cet homme qu’il ne connait même pas en vérité. Il ne veut pas lui mentir, plus se mentir en fin de compte. Il veut faire durer cette proximité qui vient de commencer…

– Oui… Je crois que oui Pierre !

– Tu sais, normalement se sont les femmes ou les pédés qui aiment qu’on leur touche les fesses !

Matéo ne répond toujours pas. Il sent bien que l’autre est en train de le manipuler pour l’amener à des fins encore obscures. Il sait qu’il devrait se défiler vite fait, que s’il accepte ne serait-ce qu’une fois, il ne pourra plus revenir en arrière… Mais en même temps, Matéo le trouve chaleureux, attentif, libidineux et sexy… Il a envie de se rapprocher de lui, de lui plaire. Non Matéo ne répond pas. Il baisse la tête et mate à nouveau l’entrejambe de Pierre. D’ailleurs ce que lui dit et lui demande l’homme ne le dégoute pas, au contraire !

L’homme libère les fesses du garçon et retourne s’assoir au centre du grand canapé en cuir.

– Viens Matéo, rapproche-toi un peu de moi. N’aies crainte !

Le garçon vient se placer juste devant lui, à portée de ses bras. L’homme pose ses mains sur ses hanches et le fait mettre de profil comme pour mieux découvrir sa silhouette. Puis il dit :

– Vois-tu Matéo, dès que je t’ai vu, j’ai pensé que tu es un garçon étrange… Et après notre petite discussion ça ne m’étonne pas. Je pense que tu es gay mais que tu as peur de te l’avouer.

Matéo baisse la tête et ne sait quoi répondre. Et l’homme continue de parler.

– Ça te plairait que je te touche encore les fesses ?

Bien qu’étonné par cette question, Matéo ne s’en sent pas moins soulagé. Il se dit que cet homme le comprend et peut l’aider à se révéler tel qu’il est. Sa réponse coule donc d’elle-même.

– Oui Pierre ! Je veux que vous continuiez votre massage sur mes fesses.

L’homme se remet debout, se colle presque au garçon, se penche vers son oreille et lui dit doucement :

– Naturellement rien de tout ça ne devra jamais sortir de cette maison. N’en parle à personne. Même pas à ta mère ou ton cousin !

– Oui Pierre. Ça sera notre secret. De toute manière il est hors de question d’en parler à ma famille.

L’homme pose à nouveau ses mains sur les fesses du garçon et entreprend de longues caresses. C’est agréable. A cet instant Matéo se sent en sécurité tandis que l’adulte continue de lui parler.

– Ça te plait ?

– Oui Pierre.

– Tu veux que j’arrête ?

– Non, continuez.

– Et maintenant, si je te dis que tu es un petit pédé, une tapette, est-ce que tu te sens honteux ? Ça te fait quoi d’entendre ces propos à ton sujet ?

– Je me sens un peu honteux Pierre. Mais pas trop en fait. Je crois que j’aime bien quand vous me le dites. Je crois bien que ça m’excite aussi !

– Et tu veux que je répète encore ces mots ? Poursuit l’homme en renforçant ses caresses.

A nouveau de l’étonnement ! Matéo se dit que si Pierre lui répète encore et encore ces paroles, ça finirait par lui plaire vraiment !

– Oui Pierre. Dites les moi encore s’il vous plait !

– Ça te plait de te faire toucher le cul, petit pédé ?

– Oui Pierre. Ça m’excite drôlement !

Le sexe de Matéo est tendu au maximum. Ses pensées commencent à divaguer sous les caresses appuyées de l’homme.

– Tu vois Matéo… A présent je suis sûr que tu es une vraie petite tapette, une lopette… Et je le pense vraiment mon garçon ! Vois comme le fait de te faire toucher ton cul te fait bander.

Matéo ne répond pas. Encore. Mais ce que lui dit Pierre est sans doute vrai et lui plait énormément.

– Tu préfères que je te traite de petit pédé ou de tapette ? Rajoute l’homme en pétrissant plus fermement les fesses de Matéo et en lui posant une main sur la poitrine pour le retenir.

– Je… Je crois que je préfère tapette quand même. Pédé c’est moins joli et puis ça fait penser à pédophile… S’emporte presque joyeusement l’adolescent.

– Ce n’est pas la peine de crier. N’oublie pas que cela doit rester secret, pour le moment du moins. Ok Tapette ?

– Oui Pierre !

– Bien, bien, bien ma petite Tapette à moi ! Maintenant on va monter pour que tu te douches et que tu enfiles un short et un tee-shirt que je vais t’offrir. Quand ça sera fait, je t’attendrai ici et je m’occuperai de toi !

– D’accord Pierre, convient Matéo dans un ton de soumission. On fait comme vous voulez !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 6 mars 7 06 /03 /Mars 14:30

Matéo est soufflé par l’impression d’immensité dès qu’il entame ses premiers pas dans cette grande bâtisse. Rien que le hall d’entrée est au moins aussi vaste que la moitié de leur appartement de Nancy Banlieue. Et là il se dit qu’il n’a vu qu’une infime partie richement meublée et formidablement décorée, à la fois classique ancien et d’un modernisme à couper le souffle. Il se sent subitement tout humble et petit dans cette immensité. Le plus impressionnant est cette hauteur de plafond qui semble s’arrêter au toit, formant un puits de lumière qui embrase toute la salle.

– Waow ! Ne peut-il contenir.

– Ne sois pas impressionné mon garçon, dit l’homme en lui passant une main dans le dos. Ce n’est qu’un hall qui bientôt servira à accueillir les clients et les invités.

– Quand même Pierre… Murmure Matéo qui commence à redescendre. C’est vraiment magnifique. J’ai l’impression d’être dans un château !

– Tu es gentil mon garçon. Tu sais, la plupart des clients potentiels sont des amis et comme moi, ils sont épicuriens et aiment participer à des fêtes mêlant plaisirs gourmands et désir de chair.

– Euh, excusez-moi Pierre, mais ça veut dire quoi exactement ‘‘picurien’’ ? Et puis qu’est-ce que vous entendez par désirs de chair ?

– D’abord on ne dit pas ‘‘picurien’’ mais épicurien : E-P-I-C-U-R-I-E-N déclare doctement l’homme, amusé par la naïveté de son jeune hôte. Et ça désigne quelqu’un qui recherche les plaisirs des sens et de la chair !

– Et vous Pierre, vous êtes aussi épicurien ? Et moi vous pensez que je peux l’être aussi ?

– Effectivement, je fais partie de cette catégorie de personnes épicuriennes. Tu en as d’ailleurs eu un petit aperçu un peu plus tôt, même si je n’avais rien prévu au départ. Quant à toi je ne me permettrais pas de te dire si tu l’es ou non. C’est à toi et toi seul de trouver tes centres d’intérêts et de plaisirs.

– Ben… Je ne sais pas si je le suis épicurien, mais j’avoue, même à regret, avoir ressenti aussi du plaisir tout à l’heure. D’ailleurs mon avant et mon arrière de culotte s’en souviennent encore, fait remarquer Matéo essayant de plaisanter de la situation, histoire aussi d’être agréable à son hôte.

– Si ça t’a plu, j’en suis ravi Matéo ! Mais essayons de parler d’autre chose pour le moment. Après tout nous sommes là pour que tu puisses te changer et te restaurer.

– C’est vrai, admet Matéo en revenant sur terre. Et puis j’aimerai surtout que nous discutions de l’emploi que vous proposez, Pierre.

– Voilà qui est bien parlé ! Dit Pierre de sa voix grave et enveloppante. C’est bien de ne pas perdre de vue les raisons de ta présence ici. Alors dis-moi, quelles sont tes compétences exactement ?

Matéo s’élance alors dans une longue dissertation sur ses connaissances et compétences en matière de cuisine, jardinage et entretien d’intérieur. L’homme l’écoute tout du long sans l’interrompre une seule fois. Il hoche la tête de haut en bas quand il approuve et de droite à gauche en faisant la moue quand il doute. Mais, remarque Matéo, il n’arrête jamais de sourire. Ça le rassure. Ça l’incite même à en dévoiler d’avantage sur lui-même, sa vie de famille. Il parle longuement de son petit frère Louis. Il décrit sa mère, sa gentillesse, son courage et les soucis financiers et administratifs auxquels elle fait face depuis le décès de Papa… A l’évocation de ce dernier, Matéo se tait soudain et baisse la tête pour dissimuler à l’homme les larmes qui lui viennent aux yeux. Il espère que l’autre ne s’en apercevra pas. Sans doute pour ne pas passer pour un gamin inconsolable… Sauf que l’homme le remarque et qu’il se comporte d’une manière très respectueuse et se montre formidablement doux et gentil en gestes comme en paroles.

– Hey Matéo... Ça ne va pas mon grand ? On peut parler d’autre chose si tu es d’accord ? Demande et prose l’homme en lui caressant doucement la tête.

– Non, non, Pierre. Répond Matéo d’une voix éteinte.

Il relève lentement la tête et plante ses yeux embués dans ceux de l’adulte. Comme s’il cherchait de l’assentiment, de la compréhension dans son regard. Surtout ne pas le contrarier. Encore moins passer pour un gamin immature et inconsolable. Déjà que son physique ne plaide pas en sa faveur… Pourtant il éprouve la furieuse envie de se blottir contre lui, comme il le faisait avant avec son père…

– Mais c’est bien Matéo. Tu m’as l’air d’un garçon débrouillard. Je pense que tu pourras faire l’affaire mon grand.

« C’est vrai qu’il est drôlement compréhensif et gentil » pense Matéo. « Il n’insiste pas, tu remarqueras. Simplement il te comprend et change de sujet revenant sur tes compétences. Peut-être que c’est pour que tu sois un peu moins triste ? » Enfin son voile de tristesse se déchire et s’estompe. Il est de nouveau bien.

– Mais est-ce que tu sais conduire une tondeuse-tracteur ? Demande l’homme.

– Euh, non, je ne vois même pas ce que c’est Pierre. Je ne me sers que d’une tondeuse normale.

– Alors il faudra que je t’apprenne, ou plutôt mon filleul t’apprendra ! Mais en attendant je dois quand même m’assurer que tu as bien l’âge que tu prétends avoir. Montre-moi ta carte d’identité. De toute manière je vais en avoir besoin pour te signer un contrat d’embauche.

– Mais j’ai vraiment l’âge que je vous ai dit avoir Pierre, s’énerve presque Matéo.

Cependant il n’en sort pas moins sa pièce d’identité de son sac et la tend à l’adulte qui la scrute minutieusement. Ce faisant il fait sortir aussi son livre ‘’ROY’’. L’homme s’en aperçoit mais ne dit rien. Pour le moment. Un peu honteux de faire savoir qu’il entretient de telles lectures, Matéo tente de remettre l’ouvrage dans son sac. Mais l’homme arrête son geste.

– Tu m’étonnes Matéo !

– Ah bon, en quoi ? Demande le jeune en se donnant un regard innocent.

– Je ne pensais pas que tu puisses être en possession d’un tel ouvrage. D’autant qu’il date de la fin des années soixante-dix. Où te l’es-tu procuré ?

– C’était à mon père. Je l’ai découvert dans ses affaires.

– Je vois… Mais tu comprends vraiment de quoi parle ce livre ?

– Ben oui, ce n’est pas compliqué Pierre !... C’est l’histoire d’un jeune ado qui rencontre un homme qui lui fait découvrir les plaisirs du sexe et du gain. Mais ça ne parle pas que de ça non plus. Cela raconte aussi la société américaine au début des années quatre-vingt.

– Effectivement je m’aperçois que tu connais bien ton sujet. Mais dis-moi, enfin tu n’es pas obligé de me répondre, après tout c’est une question personnelle… Que penses-tu de ce garçon, encore jeune, qui donne son corps à un homme pour de l’argent ? Tu sais ce que cela signifie en vrai ?

– Oui, oui. Enfin je crois… Matéo se tait un instant, tentant de trouver ses mots sans pour autant passer pour un gay. Roy, le personnage du livre, se prostitue et en même temps s’adonne aux plaisirs du sexe avec ses camarades. Après tout… (Poursuit Matéo cette fois tout sourire tant il est content de faire le lien avec le mot de toute à l’heure) Roy est certainement un épicurien…

– Et bien dit donc ! Je vois que tu as tout compris de l’ouvrage... Et c’est vrai qu’hormis le fait de vendre son corps à des hommes plus âgés, ce Roy est un garçon qui s’épanouit dans les plaisirs de la chair. D’ailleurs tu remarqueras qu’il n’en éprouve aucune honte, du moins globalement.

– Exactement ! Je pense même qu’il fait aussi ce qu’il fait pour défier le puritanisme de son entourage familial et social. Mais… C’est surement sa jeunesse qui fait qu’il ose faire ce qu’il fait… Et vous, vous en pensez quoi, Pierre ?

– Roy a bien raison de céder à ses pulsions de désir charnel. Et tant mieux s’il en tire quelque profit. Après tout, les seuls répréhensibles sont ces adultes, parfois pères de famille, qui loue ses charmes et son corps. Roy ne se sert d’eux que pour satisfaire ses envies de sexe et d’argent… Mais remarque qu’à la fin tout rentre dans l’ordre des choses.

– Ouais… Ce chef de la police est sans doute le pire des salauds. D’ailleurs à la fin il en paie le prix fort. Roy a eu raison de faire ce qu’il a fait puisque le Jack Sherman ne voulait pas lui rendre sa liberté.

– Sans doute as-tu raison sur son comportement. Mais Roy aurait pu faire autrement, non ?

– Si, j’y ai plusieurs fois pensé. Il aurait pu le menacer de le dénoncer publiquement. Ça l’aurait surement calmé ce flic !...

– Exactement ! Pour ma part je trouve cette histoire intrigante et excitante à souhait. Et toi ?

Silence gêné de Matéo qui réalise soudain qu’il vient de révéler un peu de sa personnalité profonde alors qu’il cherche à tout prix à la dissimuler. Sauf qu’il y a eu cet accident. Sauf qu’il s’est quasiment laissé violer un peu plus tôt et qu’il en a joui dans sa culotte. Sauf que l’homme assis à côté de lui ne le laisse pas totalement indifférent. Sauf que… « Oh bon sang il bande à fond !!! » Constate soudainement Matéo qui ne peut détacher son regard de cette grosseur impressionnante…

– Moi ? Demande innocemment Matéo.

– Oui toi ! Quel effet te fait cette histoire ? Tu peux tout me dire tu sais. Ça restera entre nous. Et crois-moi, je ne te jugerai pas !

– Ben honnêtement, je ne sais trop quoi en penser en définitive. Ce n’est qu’un roman. Même si je reconnais que je me suis parfois masturbé en lisant certains passages… Mais je ne veux pas être spécialement gay. Je veux être un jeune homme comme tout le monde.

– C’est ce que tu n’arrêtes pas de répéter. Mais tu viens pourtant de dire que certaines scènes du livre t’ont tellement excité que tu t’en es masturbé ! Peut-être qu’alors tu es un gay qui s’ignore ou que tu es attiré par le sexe pour de l’argent ? Encore une fois ce n’est pas un jugement que je porte sur toi mais plutôt un constat, une possibilité qui n’a rien de honteux si c’est consenti.

– Non, non ! S’écrie Matéo en se levant et se plantant devant Pierre le regard baissé vers cette barre épaisse qui semble n’attendre qu’une chose : qu’on s’occupe d’elle…

A son tour l’homme se lève et étale toute sa hauteur à moins de vingt centimètres du garçon. Il le toise de sa hauteur, lui sourit, les yeux brillants de désir.

« Oh mon dieu… » Se dit Matéo soudainement effrayé et tenté.

 

« Il ne va quand même pas… » Pense-il en se disant qu’il n’est pas sûr de résister.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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