Dimanche 20 mars 7 20 /03 /Mars 14:32

Matéo est décidément très excité. À bien y penser, il estime que cette situation inédite pour lui est inespérée. Depuis le temps qu’il fantasme à cause de son livre…

Il est avec un homme adulte qui va certainement le déniaiser. Il se sent en sécurité avec ce personnage imposant. Et après tout, ne va-t-il pas devenir son employeur et lui permettre ainsi d’aider sa famille et préserver leur petite maison de vacances ? L’homme lui a laissé le choix de tout arrêter ou de continuer. Cela fait qu’il se sent en confiance. Il ne veut le forcer à rien !

Quelques minutes plus tard, ses cheveux châtains clairs presque blonds et encore luisants d’humidité, il arrive dans la pièce principale. Il ne porte aucun vêtement sinon le tee-shirt et le short très ajusté à la taille faisant ressortir son paquet encore tout bandé et ses fesses tandis que le tissu noir et satiné s’enfonce ostensiblement dans sa raie.

— Waouh, c’est bien tapette ! Ce short te va à merveille. Tu es très sexy dedans.

— Merci Pierre, répond Matéo avec un sourire sincère. J’aime la matière sur ma peau : c’est très agréable comme sensation…

— Je sais ma jolie petite tapette. Ce n’est pas pour rien que je te l’offre. Je me doutais de tes goûts ! Mais t’inquiète, si on s’entend bien tous les deux, je te ferai découvrir bien d’autres vêtements… Mon mignon, comme je t’appelle tapette uniquement quand on est nous deux, il va falloir que je te parle au féminin…

— Euh… Pousse bêtement Matéo tout étonné et émoustillé par cette suggestion pour le moins rabaissante.

— …Parce que, poursuit inexorablement l’homme, tapette c’est féminin. Ça ne te gêne pas au moins ?

— Euh… Non Pierre. Pas du tout. Je trouve même cette idée amusante.

— Ok ! Alors maintenant tu deviens ma chérie, ma mignonne petite tapette !

Pierre recommence à tripoter les fesses de l’adolescent qui sent mieux la main et les caresses à travers le tissu soyeux et fin de son short. Il se surprend même à se cambrer pour appuyer ses fesses sur cette main experte et chaude. Tout en se laissant caresser et pétrir le cul par celui qui s’apprête à devenir son initiateur, son amant, Matéo baisse à nouveau la tête et se rend compte que l’avant du short de l’homme est déformé par sa queue toute bandée. Un moment il se demande même comment elle ne s’en est pas encore échappée. L’adulte l’observe attentivement, lui prodiguant un sourire enveloppant et encourageant à se laisser aller.

— Ça fait déjà un petit moment que tu mates ma queue, hein tapette ? Depuis qu’on est monté dans ma voiture…

— Oui Pierre. Je me demande à quoi peut bien ressembler l’engin qui m’a fait jouir dans ma culotte sur le bord de la route.

— Non mais… Tu as vu dans quel état tu me mets ma petite tapette ? Regarde comme elle est dure !

Accompagnant le geste à la parole, l’homme prend une main du garçon qui se soumet, et la pose sur sa queue bandée. D’instinct ou par envie plus simplement, Matéo la prend en main et la serre. Elle est très, très dure et chaude. Il est excité comme jamais. Plus encore que sur le bord de la route.

— Tu sens bien comme elle est dure ma petite tapette chérie ?

— Oui Pierre. Elle est vraiment très dure, confirme Matéo en la caressant avec envie.

— Ma petite chérie, si tu veux vraiment la voir, je te la montrerai !

Malgré l’excitation Matéo est tout de même fort troublé. Depuis quelques minutes Pierre ne lui parle plus comme à un garçon mais comme à une fille… Il ne se comprend plus lui-même tandis que disparaissent ses dernières certitudes d’hétérosexualité. Non cela ne lui déplait pas, mais il aime cette façon dont Pierre lui parle, mêlant propos grossiers, féminisation et proposition sexuelle. Il sent que de se laisser traiter de fille va lui apporter beaucoup de plaisirs et faire naître une belle et grande complicité. Pendant qu’il s’interroge sur sa nouvelle condition Matéo continue de caresser assidument cette queue tendue à travers le tissu de son short.

— Humm... Tu as un très joli cul, petite tapette. Tu pourrais me le montrer ma belle chérie !

Ces mots prononcés par Pierre font monter d’un cran son excitation. Surtout que maintenant il lui parle de son cul et s’imagine déjà ce que cet homme pourrait lui faire. Ça lui fait peur et en même temps ça le tenterait bien. À cet instant Matéo est prêt à tout pour satisfaire cet homme et qu’il soit content de lui.

— Oui Pierre. Je vais te le montrer !

Que rajoute l’adolescent en songeant soudainement que c’est la première fois qu’un adulte autre que ses parents verrait ses fesses ! Mais il n’est plus à cela près maintenant...

Matéo arrête de caresser le sexe adulte et se dégage de ses mains. Il lui tourne le dos et baisse son short en dessous de ses fesses. Puis il remonte son tee-shirt au-dessus de ses reins. Rapidement il sent les mains de Pierre se poser sur ses fesses. C’est encore meilleur que précédemment. Cette fois c’est directement sur sa peau : il peut enfin en ressentir toute la chaleur et la douceur. « Humm » L’adolescent est comme au paradis à ce contact bouillant. Son excitation est extrême : il en gémit à plusieurs reprises.

— Tu as un très beau cul petite tapette. Je me dis que tu vas faire bien des envieux, des désireux de te le caresser et de te le lécher. Vraiment, tu as un cul magnifique, tout lisse et sans poils !

Ces compliments couvrent Matéo d’aise. Il ressent de la fierté à plaire à cet homme mature.

— Tu aimes ces petites caresses ma petite tapette ?

— Oui Pierre. J’adore. Merci !

— Tu sais ma chérie… Tapette, même si ce mot te plaît, c’est une insulte en temps normal, dit l’homme tout en lui malaxant les fesses.

— Je sais Pierre. Mais venant de vous ça me plaît et m’excite grave ! Rajoute Matéo en se cambrant un peu plus.

— Tu aimes vraiment être insulté ma petite tapette ?

— Oui Pierre. Effectivement je crois bien que oui. Mais encore une fois que par vous !

— Tu veux donc que je t’insulte comme une fille, jolie petite tapette ?

À force d’être appelé ainsi Matéo découvre aimer être traité comme une fille par cet homme qui y prend lui-même beaucoup de plaisir. Son sexe lui fait mal à force d’être dur d’excitation.

— Oui Pierre.

Ce dernier s’approche de l’oreille du garçon et tout en lui pétrissant les fesses lui chuchote :

— Ça te plairait que je te traite aussi de salope ?

Cette fois, Matéo a un mouvement de recul. Le mot est tout de même un peu fort. Mais encore une fois il veut plaire et surtout le contenter.

— Oui Pierre !

Et ce dernier tout ravi dit en susurrant :

— Ma petite tapette est une bien jolie salope !

— Oui Pierre.

— Non ma Tapette. Mieux que ça ! Dis à ton patron que tu es une salope !

Matéo hésite encore. Sans doute n’est-il pas prêt à cette concession sur lui-même. Mais l’homme insiste.

— Dis-le ma chérie ! Tu verras, une fois que tu l’auras dit, tu te sentiras bien et ce ne sera plus tabou pour toi !

Matéo se sent profondément humilié. Il ne veut pas être traité de salope. Mais deux claques bien assénées sur ses fesses lui font penser différemment.

— Oui Pierre, je suis une salope.

— Répète-le plus fort petite tapette ! ordonne l’homme en lui assénant deux autres claques sur ses globes fessiers.

– Je suis une salope. Je suis votre petite salope Pierre ! confirme Matéo d’une voix soumise… Mais s’il vous plaît ne me fessez plus.

Et… Matéo en reste pantois de surprise. Non seulement il se sent effectivement libéré comme si c’était un aboutissement pour lui mais, les claques sur ses fesses, après la surprise et la douleur passées, lui ont procuré une nouvelle sensation de plaisir. Pour la première fois depuis le décès de son père il se sent bien et heureux. Ou heureuse plutôt… Enfin il ne sait plus trop maintenant !

— Allez… Reprends ma queue en main ma douce salope puisque décidemment tu n’espères que cela !

Matéo, en bonne petite "salope obéissante" et désireuse de satisfaire "son" homme, obéit immédiatement. Il reprend en main ce sexe long, épais et dur. Il fait de lents va-et-vient sur le tissu de son short. À un moment il se tourne pour regarder sa main en mouvement. Le sexe de l’homme lui paraît vraiment énorme ! Et que dire de la chaleur que cet appareil dégage. Qu’est-ce que ça sera quand il sera enfin libéré...

— Ouuuui ! Vas-y ma salope ! Caresse-moi ! Branle-moi ! dit l’homme en lui pétrissant fiévreusement les fesses.

Matéo sent l’excitation de Pierre monter. La sienne aussi. L’homme mature s’occupe de lui. Il le guide, il l’instruit. Il obéit, il se sent bien entre ses mains. Il se sent en sécurité, apprécié, aimé… Il s’abandonne aux caresses qu’il prodigue et à celles qu’il reçoit sur ses fesses imberbes, douces et fermes.

— Tu veux voir mon sexe ma chérie ?

Évidemment que Matéo a très envie de découvrir l’objet de sa jouissance du matin ! Depuis, il n’arrête plus de fantasmer dessus. Maintenant il peut bien se l’avouer : il veut enfin voir à quoi il ressemble en vrai !

— Oui Pierre, montre le moi !

— Bon ma petite tapette ! Mais d’abord mets-toi tout nu et assieds-toi sur le canapé…

Matéo se déshabille et dépose délicatement le short et le tee-shirt sur le dossier du divan. Puis il s’assoit, nu comme commandé par Pierre. Il se sent bien dénudé devant cet homme qui le domine de son un mètre quatre-vingt-cinq. Le sexe du garçon est raide à souhait, s’élançant fièrement en avant de ses seize centimètres et demi.

L’homme se met face à lui, assez proche. Il défait la ceinture du short. Il dégrafe le bouton du haut puis les trois autres de la braguette en prenant tout son temps et s’assurant que sa jeune conquête ne le quitte pas du regard. Il écarte délicatement le pantalon, d’un geste presque féminin. Etonnant pour un type si baraqué et viril que lui ! Le short glisse alors sur ses jambes légèrement écartées. Matéo découvre son boxer blanc en tissu fin et brillant. Il le découvre complètement déformé par la queue bandée. Une tache s’étale sur le tissu de satin au bout de son sexe. L’adolescent ne peut s’empêcher de tendre la main jusqu’à cette forme dont il devine tous les contours et de recommencer ses lents va-et-vient.

Pierre ne dit rien sinon quelques râles d’aise. Il laisse aller et venir cette main jeune et inexpérimentée qui le travaille pourtant avec une belle dextérité. Seul son bassin s’avance pour mieux appuyer son pieu sur cette petite main.

— Dis-moi ma jolie tapette, regarde-moi quand je te parle !

Soumis et heureux, Matéo lève la tête vers celle de cet homme et continue ses caresses. Il découvre un regard doux et souriant. Il le sent plein de compréhension et de tendresse à son égard. Ça fait bien longtemps qu’il n’a pas eu droit à autant d’attention…

L’homme dit doucement :

— Ça te plait salope ?

Les yeux brillants Matéo ne répond pas immédiatement. Il se lèche doucement les lèvres et sourit à son initiateur.

— Oui Pierre, ça m’excite.

– Si tu me demandes de baisser mon boxer maintenant, je le ferai volontiers pour toi. Mais, si tu veux arrêter, ce que je ne pense pas, on en reste là ma petite chérie !

À cette proposition Matéo est hésitant. Ce coup-ci il réalise pleinement ce qu’il s’apprête à faire. Et il sait aussi que c’est sa dernière chance de tout arrêter et de faire comme si rien ne s’était passé. Après…

Mais ses doutes s’envolent rapidement. Il aime cette situation, ce moment d’une intimité naissante entre lui et cet homme mature. Il comprend également que tout est en train de changer pour lui, itou pour le monde qui l’entoure (famille, social…). Plus rien ne pourra être comme avant une fois qu’il aura touché et goûté à cette chose qui vibre dans ce boxer blanc distendu par la forme qu’il emprisonne et dont l’auréole grossit encore. Une fois réfléchi, son choix n’accepte plus de doute.

— Oui Pierre. Baissez votre slip s’il vous plaît.

— Tu es sûr de toi ? Après ça on doit aller au bout des choses !

— Oui, je sais bien Pierre ! Je le veux. Baisse ton slip s’il te plaît. Ne me fais plus attendre…

— Ma gentille petite tapette…

Et aussitôt l’homme baisse son sous-vêtement. La barre suintante se détend d’un coup. Elle est toute proche du visage de l’adolescent qui bée d’admiration et de surprise par la véritable grosseur. Il l’estime à au moins vingt-quatre centimètres de longueur. Et Matéo qui, jusqu’à présent, pensait que de tels appareils génitaux n’existaient que dans des films pornos !

Ce sexe pointe vers le haut. Le gland est dégagé. Il est très long, incroyablement épais. Il est parcouru de veines légèrement violacées. Il sort d’une dense forêt de poils qui l’entourent et remontent vers le ventre. Les testicules de l’homme sont à la dimension de ce mastodonte : ils sont bien deux fois plus volumineux que ceux de l’adolescent. Mais ils n’ont presque pas de poils.

Matéo a peur soudain. Mais, en même temps, il est complètement fasciné. L’odeur qui se dégage du bas-ventre de Pierre l’envoûte, lui plaît, l’excite. Il ne peut s’empêcher de pencher la tête et d’aller renifler. Il reconnait, mais en plus puissant, les fumets qui sont parfois dans ses culottes : urine mais très léger, sueur, sperme… L’adolescent n’a pas envie que ce moment s’arrête. Il veut continuer à s’enivrer de cette vision et de ces odeurs mâles. Il tend une main tremblante et va caresser cette toison noire et épaisse.

— Tu aimes mes poils ma chérie ?

— Oh oui Pierre... répond Matéo incapable de dégager son regard de cette dense forêt pubienne. Je les trouve très épais et très doux, se justifie-t-il en passant doucement sa paume ou le revers de sa main. Et puis j’aime beaucoup l’odeur qui s’en dégage : c’est puissant et ça donne envie…

— Eh bien vas-y ma petite chérie ! Ne t’en prive surtout pas. Amuse-toi bien. Ce que tu vois là est tout à toi ma douce tapette !

Matéo caresse et caresse encore longuement ce bâton de chair, ces épais testicules prometteurs d’une puissante et abondante jouissance. Pas étonnant qu’il ait eu les fesses mouillées tout à l’heure… Après s’être amplement délecté de caresses sur le système pubien l’adolescent prend enfin cette queue en main. Elle est à la fois dure, douce, chaude, épaisse. Il est impressionné et ravi tandis qu’il commence à la branler, parcourant la longueur de haut en bas et inversement, enveloppant parfois le gland dans la paume de sa main tandis que s’écoule ce liquide encore mystérieux et si agréablement odorant… Matéo est très, très, très excité. Pourtant il n’a pas envie de jouir… Il préfère garder entier son état excitation.

— Tu as déjà masturbé des hommes ?

— Non Pierre. C’est la première fois que je le fais.

— Alors ma petite chérie tu es véritablement doué ! On dirait que tu as toujours fait ça... Oooooooooh !... C’est bon. Continue comme ça…. Oui, serre plus fort, va plus vite !... Tu es boooonne !... Ouuuui !... Encore ma belle !...

Matéo ne comprend pas trop ce que lui affirme l’homme. Il le sent tellement excité. Il le sent même qui se contracte tandis qu’il parle de plus en plus fort, libéré qu’il est de toute contrainte. La bouche entrouverte l’adolescent s’active plus rapidement.

— Oh oui ! Branle-moi bien ma petite Tapette !... Mmm...

Le gland de l’homme est gluant de jus transparent qui afflue avec son excitation. Obéissant, soumis et heureux, Matéo accélère encore son mouvement tout en continuant de caresser avec douceur les testicules avec sa main libre.

— Oooooooui !... Ne t’arrête pas tapette ! Tu es vraiment trop bonne ! Je vais jouir. Je vais jouir !

Matéo sent l’homme se tendre à nouveau. Son bassin s’avance vers son visage. Et, d’un coup, un premier jet fuse puis un deuxième. La pression et la quantité sont telles que le visage de Matéo dégouline de cette semence épaisse et tiède. Par réflexe, il baisse le sexe et trois autres jets, moins puissants cette fois, atterrissent sur sa poitrine.

— Oooooh oui ! Tu es vraiment une super petite branleuse mon garçon ! C’est trop bon ce que tu me fais… Allez, maintenant ouvre ta bouche et nettoie moi bien le gland. Il est temps que tu découvres un peu du goût de ma sève.

Matéo a remarqué que le sperme de Pierre dégage une odeur forte, entêtante, enivrante. Ce qui lui plaît et accroît encore son excitation. Aussi il n’hésite pas un instant en entendant le commandement de celui qui est dorénavant son amant. Il ouvre la bouche en grand et aspire le gland, le pourléchant longuement en caressant encore cette queue magnifique. Il découvre pour la première fois le goût d’un sperme adulte. Ce nectar est divin et laisse dans sa bouche un arrière-gout étrange mais absolument pas déplaisant. La prochaine fois il faudra que je goûte à l’intégralité de sa semence. C’est vraiment trop, trop délicieux… pense Matéo tandis qu’il libère enfin ce bâton de plaisir qui commence à ramollir doucement.

Il lève sa tête et porte son regard vers le visage de l’homme qu’il vient de faire jouir abondamment. Il lui envoie alors un large sourire, fier de sa besogne accomplie.

Pendant une minute l’homme reste immobile, le souffle court. Puis il sourit à son tour et vient lui caresser doucement la tête.

— Tu es recouverte de sperme ma chérie. Je pense que tu es bonne pour une nouvelle douche. Mais d’abord essuie-toi avant de monter à l’étage. Et après rhabille-toi !

— Avec le short ?

— Eh bien oui. Tu ne vas tout de même pas te balader tout nu dans la maison. Et puis il faut que l’on passe voir Lucas. Il pourra t’aider à choisir des vêtements de rechange. D’accord ?

— Comme vous voulez Pierre, mais…

— Maintenant je crois que l’on peut se tutoyer, non ?

— D’accord Pierre. Mais qui c’est Lucas ?

 

— Oh, pardon !... J’ai oublié de te dire que Lucas est mon filleul. Tu verras il est très sympathique… Mais avant j’ai un petit cadeau pour toi ! Pendant que tu te rhabilles je vais te le chercher.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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