L'histoire de la semaine

Dimanche 11 décembre 7 11 /12 /Déc 15:30

Quand j'ai connu Arthuro il avait 19 ans et moi déjà 38. Il a été un des petits mecs que j'ai le plus aimé. A l'époque c'était un beau loulou avec des cheveux noirs, des sourcils bien soulignés, une petite gueule d'ange à la peau mate. Il n'était pas très grand : 1m75 à tout casser, mais ce qui m'a toujours fasciné chez lui c'est son joli petit cul : un petit cul bien rebondi avec des fesses fermes.

Quand j'ai fait sa connaissance il m'a tout de suite dit que, malgré son âge, il avait déjà eu pas mal de rapports avec d'autres mecs et justement pas de son âge. Non, lui ce qu'il aimait, c'était les gars plus vieux que lui. Il me faisait toujours marrer quand il disait :

- « Moi j'aime les mecs faits, comme s'il s'agissait d'un « bon fromage ».

Ce qu'il entendait par là c'était qu'il préférait les mecs plus vieux que lui, plus épanouis que les types de son âge à lui. Il me racontait qu'il adorait voir un mec de 35-40 ans se foutre à poil.

- « C’est fou l'effet que ça me fait de regarder la bite d'un gars de cet âge-là. Je regarde tout : sa bite qui pend et les couilles qui se détachent, enfermées dans ce sac de peau. C'est incroyable ce que ça me fait triquer et, si le mec est bien foutu et qu'il a de beaux pecs, là je m'imagine que je touche tout ça et là je peux avoir un orgasme rien qu'en le regardant. »

Je savais que ce qu'il me disait était vrai car une ou deux fois je me suis mis à poil devant lui et je l'ai bien regardé. Il a regardé mon corps et mon service  3 pièces puis, au bout d'un petit moment, sans que nous nous touchions ni lui ni moi, j'ai vu sa bite qui ne bandait pas mais qui était décalottée sur un beau gland qui perlait de mouille transparente et collante. Puis il a suffit que je lui caresse son petit cul pour qu'aussitôt sorte du bout de sa tige un liquide blanchâtre un peu épais qui se mit à sortir comme s'il pissait.

Il ne m'avait pas encore avoué qu'il était un voyeur né puis un jour il me l'a dit :

- « Tu sais ce que j'aimerais ? C'est que tu baises un mec devant moi et que tu me laisses prendre des photos de la baise, ça, ça m'exciterait un max.

- Ah bon ? Et tu vas nous prendre sous toutes les coutures ?

- Oui j'aimerais bien prendre en photo ta grosse bite quand elle pénètre un cul et voir la gueule du mec faire la grimace quand ton engin lui perforera le trou. »

Je me suis mis à sourire puis l'attrapa contre moi.

- « Tu sais que tu es une vraie salope mon petit Arthuro ? Mais ça me donne des idées. Je veux bien, mais pour ça tu dois avant tout te laisser faire, tu vas te branler devant moi puis tu vas sucer ma grosse pine et après depuis le temps que j'en ai envie je vais casser ton petit cul. »

Après m'avoir dit que j'étais certainement trop bien monté pour son petit trou et qu'il avait peur d'avoir mal, il accepta quand même de se donner à moi. Là, après l'avoir bien préparé et l'avoir fait jouir 2 fois avant de le prendre, je lui enfonçai le bout de ma bite tout en douceur. Ca lui plu tellement que c'est lui qui s'empala entièrement sur ma pine en me criant :

- « Ouuii, vas-y, c'est bon, démolis-moi, enfonce bien ton chibre dans mon ventre ! C'est trop bon de t'avoir en moi… Je veux que tu lâches ton jus dans mon cul, toi t'es un vrai mec et j'adore me faire sauter par toi. »

A ces mots je me mis à lui rouler une bonne pelle en faisant tourner ma langue autour de la sienne et quelques secondes plus tard j'envoyais toute ma purée dans ce petit cul ferme et bien serré. Puis j'entrepris de le branler avec une technique bien à moi et il se mit à jouir en gueulant bien fort.

 

Plus tard j'ai enculé un mec et Arthuro a pu prendre toutes les photos qu'il voulut jusqu'à se foutre sous ma queue pour bien voir ma pine en érection faire son travail d'enculeuse.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Samedi 3 décembre 6 03 /12 /Déc 15:12

Comme chaque année début décembre c'est la distribution des étrennes pour le facteur, la femme de ménage, les éboueurs et j'en oublie… Ca me coûte un bras ce truc là et moi personne ne me donne rien !

Là c'est un pompier qui vient avec son calendrier, toujours le même. Je lui file 10 euros. Je le connais car c'est toujours lui qui vient : c'est un jeune gars de 25 ans, pas vilain du tout et on plaisante souvent. Il sait que je suis homo et là j'ai décidé de l'embêter en lui lançant :

- « Bon dis, tes camions de pompiers c'est bien mais quand allez-vous vous décider de poser à poil, ça changerait, non ? »

Il me regarde avec son air coquin et me dit :

- « T'aimerais ça hein nous voir nu? »

Puis il se met à rougir. J'aime sa façon à ce mec de se comporter ainsi : il a un je ne sais quoi qui m'émoustille. Je lui réplique :

- « Ah ouais, toi j'aimerai bien te voir, t'es un beau mec ! Si ce que tu as entre les cuisses est aussi beau, ça pourrait me faire bander… Tu te dessapes un peu que je vois comment t'es foutu ? »

A ces mots le gars ne sait plus trop où se mettre mais il me dit :

- « Mais attends, je suis marié, je n'ai jamais trompé ma femme et puis je suis pas pédé moi... »

Je lui rétorque :

- « T’as bien tous les arguments et tous les à priori des mecs hétéros et puis comment peux-tu savoir si tu n'aimerais pas coucher avec un mec si tu n'essayes jamais ? »

Il hausse les épaules, mais moi qui connais les mecs jusqu'au bout des doigts je m'aperçois de son trouble. Du fait de ce que je lui raconte je vois qu'il essaie de dissimuler une légère érection. Il rajuste son caban. Là je sais que j'ai gagné, je ne vais pas le lâcher, je vais me le faire et j'y vais tout de go :

- « Je le sais que tu t'appelles David et il y a belle lurette que je t'ai repéré ! Tu me plais bien et j'aimerai te faire des câlins… »

Il recule et s'énerve un peu :

- « Bon ça va maintenant, je t'ai dit que je ne suis pas pédé ! »

Là c'est moi qui bande maintenant. Ca m'excite un mec qui me résiste alors que je sais qu'au final il va se faire empaler, que je vais bien le ramoner, que je lui glisserai en douce que c'est une bonne salope, que je lui roulerai de mégas pelles et plus que ça et qu’à la fin il en redemandera comme tous les mecs que j'ai mis sur le bout de ma queue d'ailleurs… Je lui demande s'il veut boire quelque chose, il me répond :

- « Oui pourquoi pas, tu as quoi ? »

Intérieurement je rigole :

- «  De l'eau, du whisky, un coca ou mon sperme !

- Arrête t'es pas drôle…

- Mais si je suis drôle, lui dis-je en lui empoignant l'entre-jambe. J'ai bien vu que tu bandais… Allez  fais-moi voir tout ça, j'ai envie de te branler. »

Là, il arrête de résister :

- « Ok t'as gagné, oui j'en ai envie et ce n'est pas d'aujourd'hui. J'ai toujours reluqué plus ou moins mes copains, mais toi tu es si entreprenant que je ne peux que me laisser faire. »

Je saute aussitôt sur l'occasion : je le prends dans mes bras et lui dit tout bas à l'oreille :

- « Laisse-toi faire… »

Toutes ses raideurs partent sauf celle de sa pine qui s'accentue. Je le dessape vite fait et là, surprise, il est poilu comme j'aime : des petits poils noirs éparpillés sur un torse aux beaux pecs avec une ligne qui descend jusqu'à sa bite que je m'empresse de découvrir en baissant son slip bien déformé  par une queue en totale érection. Un rond de mouille est déjà immaculé…

Je prends le doux engin dans ma main puis je me mets à lécher le beau gland mouillé et je lui fais une bonne gorge profonde. Il reste estomaqué :

- « Oui, c'est trop bon, continue... »

Il me dit ces mots en me tenant la tête de peur que j'arrête de le sucer. Là, je veux lui faire voir et sentir ce que c’est qu'une bonne pipe et je ne lâche pas ma prise jusqu'à ce qu'il ait des soubresauts d'orgasme. Je sens un flot de foutre sur ma langue qui vint atterrir au fond de ma gorge. Je vois 3 ou 4 étoiles puis je reprends conscience en lâchant le braquemart. David encore dans un autre monde arrive pourtant à me dire :

- « Putain mec, c'est fou ce que tu m'as fait jouir ! Je n'aurai jamais pu imaginer que c'était si bon avec un autre homme !

- Et là ce n'est rien : laisse-moi te sodomiser, tu vas voir comment tu vas monter au 7ème ciel. »

Il a repris conscience et il me réplique :

- « Là je sais pas, j'ai pas trop envie d'avoir une bite dans le cul… Surtout la tienne car je la trouve bien grosse…

Là, moi je lui sors ma science en lui expliquant que si les mecs aiment se faire sodomiser c'est parce que quand ils se font enculer, la bite touche la prostate ce qui provoque des orgasmes fabuleux. Il écoute ça puis, enfin convaincu, c'est lui même qui écarte son cul :

- « Alors vas-y mec, mais tout doux, j'ai pas l'habitude moi…

- T'inquiète. »

Après lui avoir bien léché le trou, les boules et l'avoir bien caressé partout, il se remet à bander très fort. C'est ce moment que je choisis pour le pénétrer. Je claque ma grosse queue sur sa raie puis, après lui avoir craché au cul, je me mets à enfoncer mon gland entre ses fesses de mec. Il ferme les yeux et, après un instant d'arrêt, je lui enfonce les trois quart de ma bite dans son univers encore inconnu. Puis, en me penchant sur lui, je me mets à lui rouler une bonne pelle et continue ma course dans son fondement.

- « Ca y est, je suis rentré tout entier dans ton cul mec, laisse-moi te démolir. »

Je me mets à lui pincer le bout des tétons et je m'aperçois qu'il aime ça le petit pompier et là je ne peux m'empêcher de lui dire :

- « T'aime ça salope ? Ca y est, t'es enculé. C'est bon les mecs, hein ? »

Il me fit signe que oui puis aussitôt je remplace ma pine par 2 doigts que je lui mets dans le trou et j'accélère à toute vitesse les vibrations. Au bout de 2 minutes il suffoque et a un violent orgasme. Je vois son sperme s'éjecter de son gland à 35 centimètres environ,  mais avant qu'il ne revienne à lui, je lui ai enfourné mon chibre dans la bouche ! Il ne peut que sucer et récolter mon nectar.

 

Depuis on se voit tout le temps. Il est toujours marié mais il se fait de plus en plus enculer.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 27 novembre 7 27 /11 /Nov 14:51

A une certaine époque de ma vie je me suis fait baiser par mon frère. Il était grand, costaud et bien bâti. Il avait de beaux pecs et, comme moi car c'est de famille, une bonne pine qu'il se tripotait souvent. Il était plus vieux que moi et il était marié. C'était vraiment un beau mec : il faisait du culturisme et, quand il venait à la maison pour voir nos parents, il se mettait toujours torse nu pour qu'on admire ses biceps. Souvent, quand il prenait un bain, il m'appelait pour que je le regarde tout nu. On peut dire qu'il me faisait de l'effet et que j'avais souvent la gaule. J'étais forcé d'aller me branler après… Une fois, il s'est masturbé devant moi et m'a demandé de lui tenir la queue pour que je le finisse. J'ai reçu tout son foutre sur le visage !

Puis un autre jour, il m'a dit :

- « Toi, t’as une belle gueule et je te baiserai bien ! »

Bien sûr il savait que j'étais homo. Chez nous tout le monde s'en foutait : on a toujours eu l'esprit très large… Il m'avait même dit :

- « Qu'est-ce que ça peut foutre au monde que tu sois gay ? Moi, je ne le suis pas mais il ne faudrait pas qu'on me foute en taule car avec la rage de baiser que j'ai, j'enculerais tous les mecs je me connais bien ! Je serai curieux de savoir ce que ça fait de baiser un mec… Bof, après tout, un cul c'est un cul ! Que ce soit celui de ma femme ou d'un type ou même le tien, ça reste un trou à piner, pas vrai frangin ?

- Bah ouais, mais moi je ne baiserai pas une nana, je préfère de loin les mecs !

- Je sais. Et moi est-ce que je te fais bander ?

- Bah oui, c'est forcé, tu te ballades toujours à moitié à poil…

- Et tu aimes ce que tu vois ? T'aimerais baiser avec moi, Yann ?

- Mais tu es mon frère, t'es fou ?

- Et alors ? Si on ne le dit pas, personne n'en saura rien et, pour tout t'avouer, il y a longtemps que je lorgne ton p'tit cul… »

Mon frangin avait 30 ans à cette époque et moi à peine 18. Il est vrai que dans mon imagination je me voyais souvent en train de lui lécher le trou de balle pendant qu'il me pipait et me doigtait, mais en vrai je ne m'imaginais pas sauter le pas et faire l'amour avec lui ! Pourtant il était tellement convainquant et je me suis laissé faire. Mon frère m'a sodomisé à 8 reprises et j'ai trouvé ça super bon ! Il m'a même fait goûter son sperme… Quand il avait sa queue bien raide dans ma bouche, je me souviens qu'il m'a dit :

- « Tu suces trop bien p’tit mec, tu vas me faire éjaculer, pompe-moi bien et n'arrête pas de me caresser les couilles. »

Puis il m'a tenu la tête en faisant des va et vient dans ma bouche de plus en plus vite et quand j'ai entendu son souffle de plus en plus court, il a lancé :

- « Ouuuui je jouis ! Oooooh putain... »

Et j'ai tout reçu dans ma p'tite gueule. Il m'a dit :

- « Avale tout, c'est du bien de frangin. »

 

Puis, comme mon frère était très cul, après il m'a demandé de l'enculer, ce que j'ai fait illico. J'adorai voir ma bonne pine rentrer entre ses 2 belles fesses ! Je crois que je n'ai jamais si bien bandé qu'à cette époque de baise avec mon frangin… Puis on ne se gênait pas, on n'avait aucun tabou : il me suçait, je le suçais, il m'enculait, je l'enculais, il m'envoyait toute sa sauce dans le cul, moi aussi. Puis après on faisait des acrobaties pour se lécher à fond la rosette où nous récupérions le foutre qui en était gorgé. Il me roulait des pelles pleines de bave, moi aussi et nous rebandions aussi sec… 

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Dimanche 13 novembre 7 13 /11 /Nov 15:56

J'ai rencontré un copain d'école il y a une semaine et j'ai été très étonné lorsqu'il m'a dit qu'il était devenu curé !

Tout jeune il nous parlait des gens d'église, du pape et des curés mais de là à entrer dans les ordres, je n'en revenais pas... Pour moi pas question de l'appeler mon père et c'est très normalement que je le tutoyais comme avant, du temps de nos années scolaires, et il en fit de même :

- « Etonné de me voir en soutane, hein ? Bah comme tu vois, la foi ne m'a pas quitté. »

Je lui fis un sourire et lui demandai :

- « Dis-moi aimes-tu toujours les garçons ? »

Il croisa ses doigts et poursuivit :

- « De ce côté le démon ne m'a pas quitté. Hélas je faute oui et de plus en plus, paix à mon âme.

- Ne te fais pas de mal, on a le droit de se faire du bien ! Déjà que tu ne peux pas coucher avec une femme... »

Il m'interrompit aussitôt :

- « Une femme, quel malheur ! De grâce qu'on m'épargne ça ! Je pense que c'est à cause de ça que je suis devenu curé… Et toi comment ça va, qu'est-ce que tu deviens ?

- Moi je suis comme toi, homo et je suis responsable dans une boîte de casting pour mecs.

- Hum, intéressant et tu t'en tapes ?

- A ton avis ? Si tu veux, tu t'habilles en civil et je t'emmène voir tout ça... »

Christian ne se le fit pas dire deux fois et c'est dès le lendemain que je l'emmenai assister à des castings de beaux mâles. Il se retint au début puis, étant gay lui-même, il laissa libre cours à ses bandaisons en me commentant parfois à ce qu'il assistait :

- « Regarde moi ce mec : il est super ! Franchement je me le ferais bien, regarde son beau cul et comment il est monté… Waouh c'est trop bon des types comme ça ! Et toi tu vois ça tout le temps ? Bah tu ne dois pas t'ennuyer mon salaud...

- Non et je dois dire que j'en profite bien... »

Mon curé me demanda s'il y avait un endroit où nous pourrions être seuls lui et moi. Je lui indiquai aussitôt mon bureau :

- « Là tu es chez moi, pourquoi, qu'est-ce qu'il y a ? »

Il me fit comprendre que sa queue avait triplé de volume et qu'il était temps pour lui de se soulager. Justement j'entendis Romuald qui passait dans le couloir et je l'appelai aussitôt. Romuald c'est un garçon de 27 ans, très beau mec, très bien foutu, mais je crois qu'il n'y a que le train qui ne lui est pas passé dessus… Il aime bien se faire culbuter hot et, comme mon curé est excité, je pense qu'il va s'en prendre plein les trous.

- « Romuald, viens voir par là. J'ai mon pote qui a chaud, il aimerait te culbuter. »

Romuald entra dans le bureau que je m'empressai de fermer à clé :

- « Pas de problème, fais voir ta queue mec, s'empressa-t-il de dire à Christian tout en lui baissant son fut et en lui mangeant le paquet bien développé.

- Putain tu bandes bien mec ! Tu vas bien me mettre : je vais être ta bonne salope ! Tu vas bien me limer avec ta bonne pine…

Et il la découvrit en baissant le dernier rempart qui la cachait : un slip noir tendu à l'extrême.

De mon côté je ne restai pas inactif. J'entrepris  de dessaper Romuald et de bien lui graisser la rosette de lubrifiant. Il se tordit sous mes doigts quand j'entrepris de lui en enfoncer 1 puis 2 puis 3 dans le cul. Comme je le connaissais bien et que je savais comment faire pour qu'il prenne un pied immense, je lui mis des pinces à seins ce qui le fit geindre un peu. Déjà, n'y tenant plus, étant en totale érection, Christian se dépoila complètement et entra direct dans le fion offert pour venir bénir les entrailles de l'enculé. La bonne tige de Christian allait et venait dans ce cul merveilleux qui n'allait pas tarder à être complètement défoncé lorsque j'allais m'y mettre aussi, ce que je fis cinq  minutes après… A poil  je m'introduis aussi dans le cul offert en tirant légèrement sur les pinces qui enserrent les mamelons du mec qui gueule un peu. Cela me fait encore plus bander et je pilonne le trou enculé en faisant bien glisser mon chibre sur celui de Christian qui est presque au bord de l'orgasme… Puis je décule et viens m'enfourner dans la bouche du mec prit à présent en sandwich.  Romuald avala mon jus tandis que le curé était en train de se vider entre les fesses du type ramoné.

Plus tard Christian, le copain curé pédé, me fit comprendre qu'il avait une messe à  19 heures mais il me remercia pour tout :

- « J'ai passé un très bon moment. La prochaine fois chiche que je fais l'amour en soutane : ça me plairait bien ! Bon ce sera un blasphème mais ça ne sera pas le premier ! Le mec qu'on a baisé est une sacrée salope, il m'a bien fait jouir, je reviendrai... et toi tu es devenu un drôle de zèbre ! »

Une semaine plus tard Christian est venu à mon domicile avec un ami curé, José, un beau petit rital de 25 ans qui n'avait pas froid aux yeux. Les mecs ont relevé leur soutane et étaient carrément à poil dessous ! Après m'avoir présenté son pote de baise, Christian entreprit de l'enculer devant moi, debout en le tenant par les cheveux pour bien le pilonner. José, habitué à se prendre la belle pine de son camarade dans l'anus, se laissa faire même quand moi je décidai de lui enfiler mon gros nœud en bouche… Assaillit des deux côtés, José ne put s'empêcher de récolter notre sperme par ses trous occupés. Il laissa son cul déverser le trop plein de foutre qui lui coula le long des cuisses tout comme sa bouche remplie d'où le liquide blanc et gluant sortait des commissures de sa bouche. Le beau jeune curé venait d'être bien rempli !

Pour conclure notre débauche, tout en s'astiquant vigoureusement, José nettoya nos chibres en les léchant de bas en haut. Puis je décidai de lui procurer un violent orgasme en lui enfonçant 4 doigts dans le cul et en tournant ma main. Il gueula son plaisir en éclaboussant sa soutane noire qui était par terre.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 6 novembre 7 06 /11 /Nov 15:41

Je me trouve devant un distributeur de billets. Je fais la queue et le jeune gars qui essaye l'appareil se fait avaler sa carte… J’entends alors un :

- « Putain ! »

Arrive alors mon tour et je prends quelques ronds et m'aperçois que le type qui n'a pas pu retirer d'argent est près de sa voiture, triste. Je vais le voir. C'est un jeune d'une vingtaine d'année. Je m'approche de lui en lui tendant un billet de 50 euros :

- « Ca va ou tu voulais plus ? »

Il me regarde avec un léger sourire :

- « On se connaît pas, pourquoi faîtes-vous ça ? 

- « Ca va ou tu voulais plus ? 

- Non c'est bien, mais pourquoi me donnez-vous de l'argent ? Je ne vais pas pouvoir vous rembourser… »

Je lui dis que ce n'est pas grave et que si j'agis comme ça c'est qu'il me rappelle un jeune que j'ai connu il y a quelques temps et dont j'étais tombé éperdument amoureux… Je lui explique que ce petit mec là était venu de paris (c'était une drague sur le net), qu'il avait passé la nuit avec moi mais qu'il n'avait pas voulu que je le touche. Je m'en souviens comme si c'était hier : je l'avais attendu toute la journée et il n'était arrivé qu'à 20 heures. J'avais préparé un bon repas mais il n'avait rien voulu manger. Il ne faisait que tapoter sur mon ordinateur mais bien con je l'avais laissé faire et pour ma récompense quand je me suis couché auprès de lui il m'a dit :

- « Tu peux m'embrasser sur les joues mais c'est tout ! »

Quel enfoiré ce petit con ! Il savait ce qu'il faisait, il voulait me rendre dingue… Cette nuit là je n'ai pas du tout dormi, vous pourriez  roupiller vous avec un beau loulou d'à peine 20 piges qui dort auprès de vous sans le toucher ? Toute la nuit je l'ai regardé : il avait une vraie petite gueule d'ange et je soulevai souvent le drap pour voir sa bite cachée par un mini slip rouge. Au matin, je lui avais préparé un petit déjeuner et bien il m'a dit non, j'ai ce qu'il me faut dans mon sac d’où il a sorti un paquet de biscuits… Mais quelle pute ce p'tit con : il avait vraiment peur que je l'empoisonne ? J'ai fait comme si de rien n'était et je l'ai laissé à ces conneries... Dans la matinée il s'est baladé en slip partout chez moi puis quand j'en ai eu marre, je l'ai attrapé, je l'ai foutu sur mon lit, je lui ai enlevé sa chiquette de slip, je l'ai foutu sur le ventre… Alors il m'a dit :

- « Tu ne vas quand même pas me violer ?

- Je vais me gêner, depuis le temps que tu me fais chier ! Tu t'amuses à me faire bander, tu es vraiment une petite salope… »

Là, il s'est mis à bander grave et je me suis aperçu qu'il aimait bien qu'on le maltraite. D'ailleurs il m'a encouragé à le faire :

- « Vas-y mec, allez pine-moi, j'adore ça, je veux être ta pute ! »

Et, en joignant le geste à ses paroles, il chercha ma queue puis se l'introduisit tout seul dans le cul :

- « Waooh elle est grosse ta pine ! T'as un bon chibre : remplis bien mon ventre, je suis à toi ! Tu vois, c'est ça que je cherchais, mon mec m'aime et me prend toujours comme ça, mais toi t'es mieux monté que lui... »

Il me disait tellement de trucs que je bandais de plus en plus jusqu'à ce que je n'en puisse plus, jusqu'à ce que je lui jouisse dans le cul. Puis il m'avala la bite pour bien la nettoyer et me demanda de le faire jouir une seconde fois en le branlant, ce que je fis avec plaisir. Tout à coup son mec lui a téléphoné pour lui demander de rentrer sur Paris. Il m’a promis de venir me casser la gueule car il savait que son copain baisait partout et le petit con lui avait laissé mon adresse...

Je m'aperçus que le gars à qui je venais de donner un billet triquait à mort, il me dit :

- « Je ne pourrai pas vous... te rembourser, mais je peux te sucer pour la peine. »

 

Très excité je lui dis oui et, après m'avoir révélé qu'il était bi,  je l'emmenai chez moi. Là il me remboursa en nature en m'offrant tout de lui : sa bite et son cul. C’est toujours un plaisir d’avoir du succès auprès des petits jeunes.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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