L'histoire de la semaine

Dimanche 8 mai 7 08 /05 /Mai 14:47

Depuis une demi-heure il me suit. Au magasin de presse après le cinéma j'ai regardé un peu trop longtemps la couverture du magazine gay, peut-être une seconde de trop. En relevant les yeux j'ai croisé son regard et en un éclair j'ai deviné qu'il avait compris.

J'ai détourné la tête tout de suite. J'ai rougi je crois. J'ai balbutié quelques mots à la caissière pour acheter des timbres. Elle n'a pas compris et m'a fait répéter. Elle s'est étonnée :

— Des timbres ? A une heure du matin ?!

— Oui madame, que j’ai fait, s'il vous plaît, ai-je rajouté.

Je sentais la file d'attente dans mon dos ricaner doucement de ma gêne. La meute est impitoyable. Lui, deux places derrière moi, ne devait pas en perdre une miette.

A ce moment une autre caissière est arrivée et a ouvert une deuxième caisse. Il s'est avancé d'un pas et a demandé une boîte de cigarillos et le journal du soir. Il était là, juste à côté de moi, pendant qu'on me remettait ma monnaie. Gros, pas très grand, la barbe et les cheveux châtains très drus, la cinquantaine ou un peu plus, les manches de sa chemise roulées, un petit sac à dos dans une main. Il paraissait ne même pas me voir. J'étais de plus en plus gêné, à la fois ému, énervé, excité un peu et pas mal apeuré. Je n'arrivais pas à remettre mes pièces dans le porte-monnaie, ma main tremblait… Quelques trop longues secondes plus tard j'ai pu le mettre dans ma poche tandis que la caissière impatiente me demandait de m'écarter pour laisser passer le client suivant. Ce que je fis avec un sourire pour m'excuser. C'est ainsi que je lui suis rentré dedans sans le vouloir. Je me suis retrouvé contre son gros corps. Il a fait semblant de se dégager en me bloquant contre la cloison, tandis qu'à l'insu de tous à travers la petite toile de mon short, sa main trouvait ma bite immédiatement et me palpait : je bandais déjà, il s'en est aperçu.

— Et bien, faites attention jeune homme, dit-il en se dégageant. Vous pourriez faire mal à quelqu'un.

— Pardon, m'sieur, je m'excuse, ai-je répondu automatiquement, sonné de l'audace de l'homme.

Puis je suis sorti. Et depuis il me suit...

J'ai marché un peu le long de la ligne de tram avant de m'en rendre compte. Je bandais comme un âne. Depuis que j'avais découvert mon attirance pour les garçons, que j'ai toujours pris grand soin de cacher, j'avais bien souvent rêvé d'un homme viril qui me trouverait beau et me désirerait. Mais pas comme ça, pas celui-ci, pas aussi vieux ni aussi velu, pas des conditions de rencontre aussi désarmantes. N'empêche qu'il me faisait bander, que je commençais à le désirer, à le vouloir... Avant de traverser la ligne de tram j'ai regardé machinalement de chaque côté. C'est là que je l'ai vu, à quinze pas derrière moi, marchant tranquillement les mains dans les poches, un petit cigare aux lèvres et le journal sous le bras. Je suis resté stupéfait deux à trois secondes. Je me suis senti débander instantanément.

La distance est longue entre un fantasme de petit ado puceau que je suis et découvrir qu'un gros pervers vous suit la nuit dans les rues que les derniers passants désertent. J'ai vu en face quelques personnes patienter à l'arrêt de tram. J'y suis allé me réfugier, calmement, en me disant que là au moins il ne pourrait rien me faire, tout en sentant une peur sourde pointer dans mon ventre. Le plus naturellement du monde il est venu, a pris un ticket au distributeur et s'est assis sur un des bancs pour lire son journal. Il ne m'a même pas regardé.

Quatre personnes attendent avec nous : trois garçons et une fille. A ce que je comprends, ce sont des étudiants qui travaillent au fast-food du centre-ville. Leur service fini ils rentrent chez eux. Ils semblent plus lassés que fêtards mais leur présence me protège. Je ne suis pas seul. La peur me tient le ventre : c'est une sensation bizarre, forte, nouvelle. Rien à voir avec les petites peurs de rien du tout que chacun a pu connaître dans son enfance. Non, c'est quelque chose de viscéral, animal, dangereux, quelque chose qui vous empoigne le bas-ventre. Étrangement ça me plaît assez. Je veux jouer avec…

Le quatuor d'étudiants est un bouclier formidable, il ne peut rien m'arriver. Je peux défier la concupiscence du vieux comme quand je marchais sur le bord du trottoir, m'imaginant longer un profond ravin, lorsque j'étais enfant. Je savais bien qu'aucun ravin ne se trouvait à côté de moi. Je me baisse et refais mes lacets, le gauche puis le droit. Ce faisant je lève mon postérieur un soupçon plus haut que nécessaire, je le présente au vicieux à moins de deux mètres de moi. Je lui tends mon cul, mes fesses, mon petit trou, ma rondelle. Je sens qu'il me veut, je l'entends presque arrêter de respirer, contempler mon arrière-train et contenir ses mains, les empêcher d'arracher mon short et mon slip pour me prendre là, dans la rue, comme une catin trop tentante ! J'en aurais presque envie également… La peur grimpe délicieusement, c'est un cancer sucré à la fois savoureux et mortel. Je la sens désormais picoter mon dos, elle me chatouille depuis les fesses jusqu'au bas des omoplates. Je me relève, regarde l'heure sur mon téléphone tout en surveillant sa réaction du coin de l’œil : il a replié son journal comme de rien. C'est pour moi une petite victoire : je sais qu'il me mate, je l'excite, je le fais bander.

Je le dépasse et contourne le groupe d'étudiants qui ne se rend compte de rien et continue sa discussion. Je regarde le plan et les horaires affichés comme si je voulais y chercher un renseignement. Il me voit de profil, seule la fille du groupe nous sépare. J'incline ma tête légèrement en arrière en regardant le haut de la carte. Ce faisant je pousse le bassin en avant et je sais que la bosse de mon sexe est bien visible. Une nouvelle érection commence, d'autant plus forte que de sa place il ne peut rien manquer du spectacle. Elle me surprend presque par sa violence et sa soudaineté. La sensation est si intense et si nouvelle que j'ai bien du mal à ne pas gémir. Je me mords la lèvre.

Le dernier tramway arrive, quelques rares personnes s'y trouvent déjà. Nous montons tous les six. Les étudiants s'assoient dans un carré et papotent, lui prend place sur un siège isolé au bout de la rame. Je repère un siège qui lui fait face à deux mètres et m'y loge. Je fais semblant de regarder dehors tout en plaçant mes mains à plat de chaque côté de mon bassin. Le geste serait tout naturel s'il n'avait pour effet de plaquer le tissu de mon short sur ma bite et mettre en valeur une bandaison formidable. Sans même le regarder je lui présente mon sexe dressé en haut de mes cuisses entrouvertes, en public, avec l'attitude de sainte nitouche d'un garçon sage. J'en frémis à la fois de ravissement et de frayeur. Je ne bouge pas d'un cil mais j'ai du mal à respirer : jamais je n'ai été aussi excité !

Trois arrêts plus tard je descends devant la gare SNCF. Je me suis levé de mon siège au dernier moment pour ne pas le laisser anticiper. Surpris, il sort de la rame en catastrophe, bloquant de force avec son bras les portes qui se refermaient. Une fois dehors je le toise d'un air narquois tandis qu'il roule son journal puis le range dans son sac à dos. Je suis en short et t-shirt, espadrilles aux pieds et je sais ce que je vaux à la course. Je voudrais qu'il essaie de m'attraper pour le garder derrière à la distance que je veux, mais il brosse la poussière de son pantalon du plat de la main, sans s'occuper de moi. Agacé je démarre au grand trot et lui passe au ras, je traverse la ligne et grimpe la rue du lycée, le long du mur du Jardin des Plantes, toujours en courant. Parvenu à la moitié de la rue, à peine essoufflé, je m'arrête et me retourne. Personne ne me suit, la rue est déserte. Je suis déçu, peiné, presque choqué de ce lâche abandon. J'imaginais ses ahanements derrière moi, sa course de mâle en rut à la poursuite de son plaisir. Je n'ai que la triste réalité du vide. Je redescends doucement, en guettant un signe, désirant l'éclair furtif d'une silhouette qui se cache pour mieux m'approcher. Mais non, rien ni personne...

Je remonte tristement, il est temps de rentrer dormir. En face de l'entrée du lycée se trouve une petite porte dans le mur du jardin. Le mur est épais et le renfoncement profond, je m'y réfugie, j'ai envie de me branler là avant de rentrer chez mes parents, histoire de noyer ma déception. Bien caché dans la pénombre je défais le premier bouton de ma culotte et y descends la main. Tout de même, et si quelqu'un me voyait ? Je me reculotte, l'excitation retombe, ne reste que la fatigue.

C'est alors qu'il survient par l'autre côté.

Il a eu l'instinct du chasseur. Il ne m'a pas suivi, me sachant trop rapide. Il a deviné que je voulais l'attendre et a contourné le Jardin des Plantes pour me prendre à revers. Avec un peu de chance… Pari gagné pour lui !

D'un seul coup son corps envahit mon petit espace. Il me pousse dans le coin entre la porte et le mur et se colle à moi. Une de ses mains fourrage vers mon sexe, ouvre mon short et plonge dans mon slip, attrape mon sexe et me le malaxe durement, couilles comprises. De son autre main il me prend la nuque et me maintient tandis qu'il m'embrasse. Son haleine est ignoble, ça pue le mauvais tabac, il m'empêche de respirer, sa langue cherche la mienne, sa main m'écrase les couilles, je serais plié en deux de douleur s'il ne me tenait pas coincé là. Sa barbe est rugueuse, c'est du papier de verre frotté sur mon visage. J'essaie de crier, sa bouche m'empêche de sortir plus qu'un pauvre son. Il semble se reculer puis d'un grand coup de son gros ventre dur dans le mien il me casse les abdos. Je n'ai plus de force, j'ai horriblement mal au ventre, je ne tiens debout que parce qu'il m'empêche de tomber.

— Alors ma petite salope, comme ça on agace les messieurs ? dit-il en se reculant d'un pas.

Je tombe par terre, je me tiens les côtes, je tousse et je pleure, je ne peux pas parler. Après vingt secondes comme ça il me soulève par les aisselles comme une poupée de chiffon et me colle contre la porte.

— Arrête de chialer comme une madeleine ! Ce que je t'ai fait c'est rien, dans cinq minutes tu ne le sentiras plus. Alors t'es qui, t'es quoi, tu veux quoi ? T'as quel âge, d'abord ? A vue de nez, t'as pas vingt ans, t'es un petit puceau qui s'enfile les bougies dans le cul le soir quand papa et maman sont de sortie en rêvant du grand jour avec un mec qui te la mettra ? C'est ça, hein, hein dis que c'est ça ? Hein dis que j'ai raison ?

Tout en pleurant j'opine de la tête. Je ne peux plus penser, je ne suis plus maître de moi, j'ai mal, je peux à peine respirer. Je l'entends fourrager dans le métal de la porte qui s'ouvre. Il me prend d'une main sous un bras et, moitié portant moitié traînant, me tire à l'intérieur du parc comme une poupée de chiffon. Deux boutons de mon short sont défaits. Je le sens qui glisse avec mon slip sur mes cuisses. Je le rattrape au dernier moment avec ma main libre. Il me laisse tomber sur le gravier de l'allée pendant qu'il retourne fermer la porte. Je dois avoir une drôle de touche, prostré par terre, le cul découvert, chialant comme un veau quand je ne tousse pas.

 

— Je sais ce que tu es. T'es un petit mec qui veut qu'on le prenne, un petit pédé en chaleur qui cherche la bite. T'inquiètes pas petit chat, j'en ai vu d'autres avant toi des lycéens le cul en manque qu'on empale sur la première pine venue. Tu ne vas pas être déçu. Enlève ton froc.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 1 mai 7 01 /05 /Mai 14:11

Je vais vous raconter comment j’ai franchi le pas pour la première fois, il y a deux ans. J’avais alors 22 ans. Je me considérais comme hétéro, pourtant à 17 ans, j’avais eu une aventure pendant un week-end avec un copain, mais cela s’était limité à une branle réciproque. À partir de 18 ans, j’ai eu des relations avec des copines et il y a deux ans je suis sorti avec Marie. Son père était japonais et sa mère française. Elle était donc typée asiatique, brune avec des cheveux noirs, grande, mince et vraiment très belle. Sexuellement on s’entendait très bien et elle en voulait souvent, encore plus que moi. Alors qu'on se connaissait depuis 6 mois, elle m’a invité à passer 3 semaines en août avec ses parents et son frère dans leur maison du midi. Ses parents étaient assez aisés et avaient une belle maison avec piscine. Le lendemain de notre arrivée j’ai fait la connaissance de son frère Pierre qui avait 20 ans. Nous sommes allés le chercher à la gare. Il était lui aussi très beau gosse, l’allure sportive et on s’est bien entendu dès le premier contact. Physiquement un type asiatique marqué : des cheveux courts, un petit gabarit mais plutôt musclé.

En fin d’après-midi on s’est retrouvé tous les deux à la piscine. Il avait un corps parfait : large d’épaules avec les pectoraux dessinés ainsi que les abdos, la taille fine et le cul bien rond sous son maillot de bain noir. Ce qui me frappa la plus, c’est son absence totale de pilosité. Seuls ses mollets avaient quelques poils courts. On se baignait en plongeant, sautant et on rigolait bien. À un moment, assis côte-à-côte au bord de l’eau, il me demanda avec un sourire : “Alors elle baise bien la frangine ?”. Je lui répondis que tout allait bien entre nous. Il insista : “Elle te suce aussi?”. Je lui dis qu’elle aimait bien ça et que moi aussi. Il se leva et avant de plonger me lança : “Elle en a de la chance !”. Sur le coup je suis resté sous le choc de cette déclaration. Je me demandais s’il blaguait ou s’il me draguait. Pourtant il n’avait pas l’air d’un homo. Alors, pour en avoir le cœur net, j’ai plongé et suis allé lui demander : “Dis donc toi, t’es homo ?”. Il me répondit l’air énigmatique : “Devine !”. Puis il ajouta qu’avec un mec jeune et mignon comme moi, et de plus à l’allure virile, il pourrait se laisser tenter ! En s’essuyant il m’avoua qu’il était bisexuel et que je le faisais craquer car j’étais un peu poilu et que j’avais l’air d'avoir un bon paquet !

La fin de journée a été assez troublante pour moi car je sentais son regard m’épier en permanence pendant le repas et tout le reste de la soirée ensuite, quand on est sorti faire un tour en bord de mer...

J’étais partagé entre Marie que j’aimais et Pierre qui m’excitait terriblement. De retour à la maison, il était une heure du matin, Pierre demanda si quelqu’un voulait prendre un bain. Les parents et Marie, fatigués, partirent se coucher et Pierre me dit : “Tu viens avec moi ?”. J’acceptais le cœur serré en me doutant de ce qui allait se passer. Pierre me dit : “On va être bien tous les deux, on n’éclaire pas et les chambres donnent de l’autre côté. Tu viens ?”. Je le suivis et on se déshabilla pour plonger à poil dans l’eau tous les deux. Pierre me prit la main et m’entraîna dans le petit bain. On était face à face et il commença à me caresser la poitrine puis m’enlaça pour un premier baiser ardent. Je caressais ses épaules et son dos musclé. Sa peau était très douce et j’étais en pleine érection, ma queue plaquée sur mon ventre. Je sentais la sienne très dure contre moi. On s’embrassait toujours et mes mains descendaient le long de son dos dans le creux de ses reins cambrés près de ses fesses galbées et bien fermes. Il murmura : “J’ai envie de toi...” et ses mains descendirent sur mon sexe. Je l’entendis dire : “Putain quel morceau !”. J’ai en fait une queue dans la bonne moyenne mais sans plus : 18cm et de largeur normale.

Il me fit asseoir au bord de l’eau, cuisses écartées et commença à me sucer d’abord en s’attaquant au gland puis en l’enfournant de plus en plus profond. Régulièrement il l’avalait en entier et restait une seconde avec mon gland dans la gorge avant de reprendre son mouvement de va-et-vient. Je le fis arrêter avant de jouir et lui proposai de lui rendre la pareille en lui disant bien que je ne l’avais jamais fait. Mais j’étais tellement excité que j’avais envie de sa queue... Il prit ma place et je descendis dans l’eau. Sa queue était beaucoup plus petite, dans les 15cm, et assez fine. Elle était à la verticale le gland contre le ventre. Je la baissais un peu en bas pour la sucer. Quelle révélation et quel plaisir j’avais à sentir cette tige dure dans ma bouche ! Mes va-et-vient semblaient lui plaire car il gémissait sous mes caresses. J’arrivais à la gober en entier et je lui malaxais les couilles qui ne pendaient pas mais roulaient sous la peau. Il me demanda de les sucer et se pencha en arrière pendant que je les faisais entrer et sortir de ma bouche.

Ensuite il s’est couché sur une banquette et m’a fait mettre en 69. J’avais sa tête entre mes cuisses et il me suçait pendant que je le pompais et c’était génial. L’excitation montait et quand je lui ai dit que j’allais jouir, il m’a branlé et j’ai giclé mon sperme sur sa poitrine tandis qu’il me léchait les couilles. Dix secondes après c’est lui qui jouissait sur mon ventre. Ensuite on s’est embrassé et on est allé à la douche pour se rincer et nettoyer le sperme. On a discuté et il m’a dit qu’il avait envie que je le baise et qu’il achèterait des capotes et du gel dès le lendemain.

Il était très hard dans ses propos, entre autre il disait qu’il voulait sentir ma grosse queue dans son trou. Il s’est couché sur la table, le dos nu, et a remonté ses cuisses sur lui pour me présenter son trou. Dans sa raie ma main sentait des petits poils courts et l’entrée de son trou du cul avait une peau lisse et très douce. Il me dit de cracher et d’ajouter un doigt. Avec la salive mon doigt titillait son trou et pratiquement sans forcer rentra dans son boyau. C’était chaud et très souple et mon doigt allait et venait à l’intérieur. Il gémissait et bandait à fond comme moi. J’ai craché deux ou trois fois encore pour bien le limer et j’ai repris sa queue dans la bouche pour le sucer. Rapidement il prit sa tige pour se branler et jouit dans ses poils de pubis tandis que je lui branlais toujours le trou. Il était haletant et me demanda de lui mettre mon sperme dans le cul. Je trempais le doigt dedans et le limais avec. Pendant cinq minutes de ce petit jeu, il ne débanda pas. Ensuite il me suça encore et me fit jouir par terre.

Le lendemain la matinée fut calme à la maison. Avant le repas Pierre me glissa à l’oreille en douce : “J’ai fait des achats pour ce soir !”. Après le repas, à l’heure de la sieste, on est allé se reposer avec Marie dans la chambre et on a fait l’amour. En fait, pendant que je la baisais, je pensais à son petit frère. Le soir arriva et une nouvelle fois comme la veille vers minuit et demi on resta seul. On commença par un bain dans la piscine qui se termina par un long baiser puis par une pipe réciproque. Puis on se sécha et Pierre alla chercher dans sa chambre les capotes et le tube de gel qu’il avait achetés. Ensuite il se coucha nu le dos sur la table et je lui graissai le trou du cul avec du gel en lui enfonçant un doigt. Une fois ma capote placée je pointais le gland sur son trou et, en forçant légèrement, je m’enfonçais en lui. Il poussait des gémissements pendant que je le pénétrais progressivement à fond. Je me mis à le limer lentement et c’était une sensation très agréable. Ma bite était beaucoup plus serrée que dans la chatte de sa sœur et je trouvais ça super. J’ai dû le baiser cinq minutes avant de jouir dans la capote.

On recommença ces séances de bain pratiquement tous les soirs et je crois que ce sont les meilleures vacances que j’ai connues.

À la rentrée on s’est moins bien entendu avec Marie et on a fini par rompre en octobre. Par contre j’ai continué à voir Pierre. Il a fini de faire mon éducation et m’a fait goûter au plaisir d’être passif. La petite taille de sa queue a facilité ma première pénétration et j’ai tout de suite aimé ça. Depuis, j’en ai pris des plus grosses et je suis maintenant aussi bien actif que passif...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 24 avril 7 24 /04 /Avr 13:39

« Écarte bien les fesses que je te bourre à fond ! Tu vois, elle rentre en entier... Ah, quel tableau délicieux que de voir ton cul qui engloutit ma bite ! »

Le mâle était sur moi et moi, étendu sur le dos, mes jambes autour de son torse. Le salaud me bourrait avec force, heureux de me posséder enfin. Il faut dire que cela faisait des mois que je lui adressais des sourires, des œillades, des bonjours, mais rien de plus...

Tous les matins je le rencontrais chez le boulanger. Ce matin il semblait m'attendre après avoir acheté sa baguette. Notre boulanger allait fermer pour congés annuels et le gars devait penser qu'il fallait tenter quelque chose. Étant en vacances je portais un short blanc très court et une petite chemisette. Il parut surpris car d'habitude je suis en costume. Il regarda mes jambes, si belles que je fais des envieuses chez les femmes. En sortant je lui lançai un «bonjour» vague, à quoi il répondit :

— Puis-je vous parler ?

— Oui, que me voulez-vous ?

— Pourrions-nous faire connaissance un soir prochain ? Je serai en vacances demain.

— D'accord. Ce soir si vous voulez : venez chez moi vers 20h30, après dîner. Concluais-je.

Il arriva à l'heure dite, légèrement vêtu. Il possédait un beau torse poilu qui fit déjà mouiller mon cul qui demandait du mâle. Nous bavardâmes. Il était prof de gym et aimait les beaux corps.

— Je dois vous avouer, ajouta-t-il, que votre partie arrière me fascine et me fait rêver.

— Dites-moi carrément que vous aimeriez m'enculer ! Osais-je.

Il devint rouge comme une tomate mais répondit:

— Pourquoi pas ? je l'ai fait en rêves de si nombreuses fois !

Je disparus un instant pour ôter mes vêtements et revins en string. Il était cramoisi le pauvre.

— Vous... Vous... avez un corps... splendide... bredouilla-t-il.

Il osa une main sur moi puis se mit à me pétrir les chairs. Je me cambrais comme une femelle pour mettre en valeur ce qu'il voulait. Je lui déboutonnais sa chemise et fit glisser son pantalon de toile. Il se retrouva en slip bleu dans lequel j'allais chercher sa queue pour l'emboucher à travers le tissu. Il gémissait comme tous les mâles qui ont un besoin pressant de se vider. Je remontai et me frottai contre lui. Nos bites étaient l'une contre l’autre. Je me trémoussais tout en lui bouffant les lèvres et, comme il était très fort, il me souleva pour m'emporter dans la chambre.

Sur le lit il m'arracha mon string pour me sucer les couilles puis ensuite la queue et enfin le cul qu'il enduit de salive. Sa bite grosse et trapue entra presque du premier coup.

— Putain, tu es drôlement habitué aux gros calibres ! remarqua-t-il, la mienne a été aspirée par ton trou d'un seul coup. Il y a des mois que tu la veux ma bite, pas vrai salope ?

Je ne lui cachai pas mon envie et précisai même qu'il pouvait rester dedans autant de temps qu'il voudrait. Une bite peut bien rester deux heures dans mon cul, comme une fois, un mâle que s'était mis un lacet autour pour éviter l'éjaculation.

Le prof de gym s'activait au-dessus de moi et éjacula plus vite qu'il ne l'aurait voulu.

Après une douche il revint pour marquer son deuxième essai. Je le gardai donc pour la nuit. Il était si ravi qu'il me prit encore vers une heure du matin, et au réveil une nouvelle fois.

Son cou et ses épaules étaient très massives, il possédait de grosses cuisses de lutteur et un noeud proportionné au reste. Il fut aux anges plusieurs soirs de suite le beau prof de gym ! Mais moi, il me faut toujours de la nouveauté en matière de remplissage de fion et je le remplaçai bientôt par un autre. Comme je suis un mignon vraiment très mignon, — et ceci sans fausse modestie — je n'ai aucun mal à me trouver de nouveaux pourfendeurs, bien contents de se vider les burnes entre mes jolies fesses.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 17 avril 7 17 /04 /Avr 13:30

Il y a longtemps déjà, je suis entré dans un cinéma porno. Le film était déjà commencé et la salle était obscure. Je suis allé m'asseoir. Le premier siège vers lequel je me suis dirigé était déjà occupé. Dans le noir je ne l'avais pas vu. J'ai voulu aller dans une rangée suivante mais le gars m'a attrapé par le poignet. Il abaisse le siège à côté de lui et je me suis assis. Il pose sa main sur ma cuisse et me caresse. Sa main remonte jusqu'au sexe et il s'aperçoit que je suis raide.

- « Mais tu bandes ! Dit-il. On dirait que t'aimes ça ! Ben écoute, puisque ça te fait plaisir tu vas me faire plaisir aussi. »

Il me prend par le cou et m'attire vers son entrejambe. De sa main gauche il ouvre sa braguette et sort sa bite.

- « Tiens, suces ! » Dit-il.

J'ouvre les lèvres et, pesant sur ma nuque, il enfonce sa bite toute entière dans ma bouche. Je ne peux plus respirer. Je vais vomir quand il dit :

- « Respires par le nez ! »

Sa bite se raidit et augmente de volume. Il se penche vers moi et glisse à mon oreille.

- « Je veux te voir à poil ! Laisse-toi déshabiller ! »

Sa bite toujours dans ma bouche, ses mains se dirigent vers la ceinture de mon pantalon qu'elles dégrafent. L'une d'elles se glisse entre mes jambes puis sous mes fesses. Une légère pression me fait comprendre de me soulever un peu. Son autre main passe dans mon dos, agrippe mon pantalon et mon slip et les fait glisser sous mes fesses. Une pression sur l’épaule me fait rasseoir. La bite encore dans ma bouche, ses mains glissent mon pantalon et mon slip jusqu'à mes pieds.
Après ça il relève mon pullover au-dessus de ma tête, relève mes bras et ôte le vêtement. Il défait les boutons de ma chemise sans se presser et, une fois les pans écartés, il passe ses mains sur mon torse et embrasse mes seins. La chemise enlevée, il relève ma tête et me pousse vers l'autre côté du fauteuil. Il me fait mettre à genoux, me tourne vers lui et m'allonge sur les siens. Sa main droite caresse la peau lisse et douce de mes fesses. Un de ses doigts court le long de la raie et me tire un frisson. Lentement, le doigt s'insinue dans le sillon. Bientôt il entre en contact avec mon anus dans lequel il s'introduit. Il s'enfonce entièrement. Le gars retire son doigt et me soulève. Je suis debout, complètement nu, à la vue de tous. Il serre ses cuisses et écarte les miennes. Il me fait l'enjamber. Il me saisit par les hanches et me fait descendre lentement vers lui. A mi-chemin il lâche mes hanches, prend une de mes mains, y loge sa bite. De ses deux mains il écarte mes fesses et chuchote à mon oreille :

- « Assieds-toi maintenant... »

J'ai compris ce qu'il veut ! Je dirige le gland de la bite que je tiens dans ma main vers le trou de mon cul et m'asseois. Ca n'entre pas tout seul. Il faut que je tienne la bite raide dans ma main et que je la pousse dans mon cul. Quand le gland est entré, je pousse un peu plus fort avec mes hanches et la bite s'enfonce entièrement. Le gars a l'air ravi. Il s'empare de la mienne et commence à me branler. Quand j'ai éjaculé dans sa main il passe l'autre sous mes fesses et me soulève. Sa main pleine de mon sperme il empoigne sa bite et l'enduit de mon jus. Il me fait rasseoir. Maintenant, sa bite huilée par mon sperme, il me pend par les hanches et me fait glisser, en haut, en bas, en haut, le long de son membre.

 

Au moment de jouir il me soulève, faisant sortir sa bite de mon cul. Il m'agenouille au sol devant lui et éjacule sur mon dos. Alors, il se lève, prend mes vêtements et s'en va en crachant : Sale pédé !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 10 avril 7 10 /04 /Avr 14:36

La main de Pierre quitte mon dos. Ou mes fesses ?... En fait je ne sais plus trop tant elle a voyagé. Étonnamment je ressens aussitôt le manque de ce contact protecteur, doux et chaud sur ma peau. Pourtant je ne m’appesantis pas vraiment sur cette sensation. De toute manière, en cas de besoin, je sais mon amant-initiateur pas très loin puisqu’il est descendu nous préparer à manger.

« Oh non, et mes sandwichs ?... Bah tant pis ! Ils seront encore bons d’ici ce soir… »

Un dernier sourire à mon égard et Pierre quitte la pièce en refermant doucement la porte derrière lui. Ce faisant il me laisse abasourdi, un peu désemparé, au beau milieu de cette vaste chambre tandis que je tente encore de dissimuler mon excroissance de bite…

« Et maintenant ? Qu’est-ce que j’fais ? Qu’est-ce qui va encore se passer avec lui ?... »

Lui, c’est Lucas sur qui je reporte enfin toute mon attention. Ce faisant je me demande ce que je vais bien pouvoir lui dire maintenant que je me retrouve livré à moi-même. D’autant que je ne me suis jamais trouvé dans une telle position, à moitié nu, enfin couvert par un minishort noir en satin  dentelé et d’un tee-shirt de même teinte et matière. C’est une représentation de ma personne pour le moins gênante. De fait j’imagine ce que mon vis-à-vis peut penser de moi en ce moment. Je me trouve très tapette comme quand un peu plus tôt Pierre me pelotait les fesses tandis que j’astiquais sa longue verge et cajolais ses testicules.

« Humm. Qu’est-ce que j’ai aimé quand même. »

Et je vois ce jeune gars qui ne pipe mot non plus et me fixe d’un air entendu. Il ne me semble pas né de la dernière pluie. Je suis même convaincu qu’il a compris pour l’essentiel. Cette idée m’attise autant qu’elle m’effraie. Je ne me sens pas encore tout à fait prêt à assumer… Alors je reste là, immobile, n’osant ni bouger ni parler. Passivement j’attends. J’attends tout bonnement qu’il entreprenne la suite à venir, en espérant que ça ira dans la direction désirée.

Lucas au visage d’ange rieur. Non pas d’ange : de diablotin plutôt ! Lucas, ce beau jeune au sourire ravageur… Pensez-donc ! Depuis mon irruption dans cette pièce lui non plus n’a pas changé de position. Il est là, vautré sur son lit, les jambes ostensiblement écartées et son sexe pendant par la jambe droite de son petit short rouge satiné. Il se tient la tête légèrement penchée vers l’arrière et orientée dans ma direction. Il ne me quitte pas de son regard lumineux et lubrique.

Pendant deux à trois minutes qui me paraissent interminables aucun de nous ne commet le moindre mouvement ou ne prononce mot. Je le toise. Il me toise. Je cherche à deviner ses pensées ou ses sentiments vis-à-vis de moi. Sans doute fait-il la même chose ?... J’ai mes deux mains croisées qui tentent encore de cacher à sa vue mon infernale érection. Lui ne se dissimule même pas tandis que son sexe commence à attraper un peu de raideur et, comme si ça ne suffit pas, d’épaisseur et de longueur ! Il n’en est que plus attirant encore…

« L’enfoiré... »

Dissimulé par mes mains moites, chose rare chez moi, je sens mon gland se décalotter de lui-même et un liquide s’en écouler lentement. C’est la première fois aussi qu’un tel phénomène a lieu sur cette partie de mon anatomie. Ça me fait comme une forte envie de pipi. Sauf que l’odeur qui s’en dégage me prouve qu’il s’agit bel et bien d’autre chose. En tout cas tout ce que je sais c’est que ça suinte lentement sur le tissu de mon minishort noir. Je m’en inquiète et en rougis.

Lucas bouge enfin ! Oh, pas beaucoup. Juste sa main gauche qui s’active à remonter, avec une lenteur consommée, la jambe droite de son short… Laissant ainsi apparaitre davantage son bâton de plus en plus redressé et ses bourses bien plus volumineuses que les miennes, évidemment…

« Quel cochon lubrique ! »

... Evidemment il ne me quitte pas du regard et entrouvre sa bouche laissant apparaitre une langue bien longue et qui entreprend de lécher et pourlécher suavement ses lèvres rouges et pulpeuses. Et moi, comme un con, je le vois tandis qu’il m’allume consciencieusement. J’ai très chaud jusqu’aux pointes de mes oreilles. Je le regarde qui s’amuse de ma fascination pour sa posture et ses manières. Je le contemple tandis qu’il se régale de me voir rougir et, inconsciemment, me tortiller des fesses. Ce qui lui prouve que je ne suis pas insensible à ses charmes.

« P’tain ! On va rester combien de temps comme ça ?... J’vais finir par juter dans mon froc moi... »

À peine le temps de m’interroger et Lucas décide d’entamer la conversation.

— Alors comme ça mon bel éphèbe, tu t’appelles Matéo et tu as dix-sept ans aujourd’hui ?

— Euh… Oui.

— Bon anniversaire alors !

— Merci. Mais toi, tu as quel âge au juste ? Pierre m’a dit dix-huit ans tout juste.

— Ah ce sacré Pierre, il aime bien rajeunir les gens… Non, en fait j’ai dix-huit ans et demi, bientôt dix-neuf si tu veux tout savoir.

— C‘est drôle. Quand je te regarde, je te donne plutôt seize/dix-sept ans. Tu fais jeune… Enfin je trouve.

— Hey, tu peux causer toi ! T’en parais à peine quinze. Et encore je pourrais dire quatorze.

— Ouais je sais ! C’est embêtant parfois. Surtout depuis que je cherche du travail…

— Pourquoi tu cherches à bosser ? Tu n’es pas encore au lycée ?

— Normalement si. Mais aller chaque jour en cours ça ne m’intéresse plus de trop. Ça me gave de passer mes journées à écouter des profs déblatérer leurs savoirs… Mais surtout j’ai besoin d’argent !

Aussitôt je regrette cette dernière remarque. Parce que, forcément, Lucas va me demander pourquoi. Et moi je n’ai aucune raison, aucune envie de lui raconter ma vie. Après tout on ne se connait pas lui et moi. De plus ça ne le regarde en rien… Je pourrais éventuellement me taire mais il va surement insister et je finirai par me raconter. Ou alors je pourrais mentir ? Mais je n’ai pas trop l’habitude de pratiquer le mensonge... Finalement je décide de me taire.

— Et pourquoi toi, un jeune de dix-sept ans, a tant besoin d’argent ? À t’entendre et à te voir tu m’as plutôt l’air d’un fils de bonne éducation...

— Ecoute Lucas j’n’ai pas vraiment envie de m’étaler sur le sujet. Mais crois-moi j’ai vraiment besoin d’argent. C’est tout !

Pourtant, face à son regard insistant, je finis par lui raconter l’essentiel : le décès de mon père, le chagrin et les problèmes financiers de ma mère, les besoins de mon petit frère de dix ans et demi… Et surtout, le risque de perdre notre petite maison de vacances où je reviens chacune des vacances de Printemps et chaque été depuis tout petit…

— Oh… Je suis désolé pour toi Matéo ! Enfin pour ton père… ça devait surement être quelqu’un d’exceptionnel pour que tu cherches ainsi à préserver son héritage.

— Non Lucas, mon père n’était pas, à part pour moi, quelqu’un d’exceptionnel. C’était simplement mon père, voilà tout. On était proches tous les deux. Et c’est dans notre petite maison de vacances que j’ai beaucoup appris grâce à lui…

— Bon. Je constate que c’est un sujet sensible pour toi et que ça te rend triste… Alors on n’en parle plus et on change de sujet, d’accord ?

— D’accord Lucas. Mais tu veux qu’on parle de quoi ? Tu sais j’aimerais mieux prendre une douche et pouvoir me changer.

— Ouais j’imagine que c’n’est pas top d’être dans cette tenue !

— Oh ce n’est pas que je n’aime pas, au contraire ! Je trouve cela plutôt élégant et agréable sur la peau. Mais je me vois mal rentrer chez moi portant ces sous-vêtements !

— Ah d’accord. Tu crains la réaction de ta mère ? Remarque je comprends : ça fait un peu pédé, non ?

— Ah bon, tu trouves ? Pourtant Pierre m’a promis que c’est de la lingerie pour homme !

— Pour homme gay Matéo ! Mais à ta tête je vois que cette possibilité te fait un peu peur... Je te rassure : ça se vend aussi très bien chez les hétéros. En tout cas tu es mignon à croquer dedans.

— Merci. D’autant qu’en fin de compte j’aime aussi l’effet dentelle du short… Mais on peut parler d’autre chose ?

— D’accord, mais si à chaque fois qu’un sujet te dérange un peu on doit en changer, on va vite finir par ne rien avoir à se dire Matéo !

— On peut très bien discuter quand je serai douché et décemment habillé. De toute façon, moi aussi j’ai des questions à poser.

— Bah, pour le moment c’est moi qui questionne. Vois-tu Matéo, comme je suis curieux de nature, et bien que je sois fort intrigué par ce que tu dissimules derrière tes mains, j’ai envie de savoir, là maintenant, comment tu as fait la connaissance de Pierre.

— Il te l’a dit un peu plus tôt, me semble-t-il.

Que je dis subitement sur la défensive.

— Il m’a accroché avec sa voiture et j’ai dû plonger dans le fossé pour l’éviter. C’est tout !

— C’est tout, c’est tout ? Mon œil oui ! affirme Lucas pas dupe du tout… Il n’y a pas eu qu’un simple accrochage entre vous, insiste-t-il avec malice… J’le connais bien le Pierre !... Je te crois volontiers pour l’accrochage mais, ce qui m’intéresse c’est ce qui s’est passé ensuite, ce qui t’a fait venir ici !

— Laisse tomber je te dis. Je n’ai vraiment pas envie d’en parler ! Ce n’est qu’un simple accident. Je suis tombé du vélo. Je me suis blessé. Et il s’est inquiété pour moi. Voilà toute l’histoire !... S’il te plait parlons d’autre chose !

— Je ne te crois pas Matéo, rétorque Lucas en fronçant les sourcils. Connaissant mon Pierre je peux très bien imaginer ce qui s’est vraiment passé entre vous juste après que tu sois tombé de ton vélo ! Se vante Lucas en envoyant un petit sourire narquois.

« P’tain, il m’énerve. Mais qu’est-ce qu’il m’énerve ce type !... »

Je me surprends d’avoir de telles pensées. Ce n’est pas moi ça ! D’ordinaire, quand quelqu’un cherche à savoirs des choses sur moi et que je n’ai pas envie de répondre, je me tais et envoie balader si nécessaire. Je n’ai rien à fiche de l’opinion des autres. Mais avec Lucas je ne sais pas. Je ne le connais même pas à dire vrai. Mais déjà j’ai envie de bien m’entendre avec lui. Et ce n’est pas seulement dû à son beau sexe maintenant aussi raide que le mien. Non, c’est plutôt que je le considère déjà comme un ami. Alors forcément, ses questions, et surtout ses sous-entendus m’agacent. De plus, me connaissant assez bien, je ne suis pas certain de pouvoir lui tenir tête. Ah, je suis de plus en plus énervé !

— Fais chier Lucas ! Comment tu pourrais savoir ? Tu n’étais pas là-bas que je sache ! Lui sors-je presque en criant et en agitant les bras dans sa direction. De toute façon, quoi qu’il se soit éventuellement passé entre Pierre et moi, ça ne te regarde pas !

Tandis que je m’agite je ne réalise pas ce qui est en train de survenir. Quand enfin je me tais, un peu honteux de ma réaction pour le moins disproportionnée, le souffle court, je baisse la tête. Et là, saisi de sentiments fatalistes, je ne peux que constater les dégâts provoqués par mon emportement.

« Et mince ! »

Je découvre mon entrejambe... Enfin, j’entends par là la pyramide formée sur l’avant de mon minishort. De plus il y cette tache humide et odorante et qui me parait énorme. Forcément ! Je suis certain que l’autre sur son lit ne perd rien du spectacle que j’offre ainsi exposé. En relevant un peu la tête je constate qu’il s’en délecte et s’en amuse grandement. Non mais… Quel enfoiré éhonté ! Ok, appelons ça un remord de pudeur. Que m’importe en réalité ! Je suis comme nu devant lui, étalant ma masculinité suintante et démontrant l’état d’excitation dans lequel je suis plongé. Un bref instant l’idée me vient de replacer les mains comme quelques secondes plus tôt. Mais je réalise que ça ne servirait à rien maintenant. N’a-t-il pas tout découvert et compris de mon état ? Dès lors, en dissimulant une fois encore mes parties génitales, je vais forcément passer pour un sombre crétin. Il va me prendre pour un petit trouillard qui a peur de s’assumer. Je ne tiens pas non plus à passer pour un puceau effarouché ! Quoi que…

 

Puceau je le suis en réalité !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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