L'histoire de la semaine

Dimanche 20 décembre 7 20 /12 /Déc 16:47

Je m'appelle Benoît et suis enseignant en E.P.S.. Avec mon jeune amant de dix-huit ans, Jonathan, nous avions décidé de passer le week-end prochain chez moi, ma femme étant partie chez ses parents.

Ce soir-là donc, à la sortie de l'école, je le prends en voiture. Il est avec un de ses copains de classe, Daniel, qui a juste dix-sept ans. Il me demande si nous pouvons le prendre en voiture car il n'habite pas loin de chez moi. Il monte derrière et nous partons pour une dizaine de kilomètres. On est en novembre, il est dix-huit heures, il fait presque nuit. Tout en roulant Jonathan me met la main sur mon genou et remontre lentement à l'intérieur de ma cuisse. Nous discutons tous les trois de choses et d'autres... Et le manège continue. Je suis un peu gêné par Daniel qui s'appuie entre nos deux sièges et qui doit s'apercevoir des caresses que me prodigue Jonathan.

Sa main est maintenant fixée entre mes cuisses. Il me palpe en douceur les couilles. Sous mon slip ma queue se dresse lentement. J'essaye de l'en empêcher avec ma main gauche mais il s'acharne. Il me met dans tous mes états et, de temps en temps, je serre les cuisses sur sa main. Il répond par de petites pressions sur ma queue bandée, prête à éclater. Ses doigts viennent maintenant s'attaquer aux boutons de ma braguette qu'il défait un à un jusqu'en haut. Ses doigts rentrent à l'intérieur, passent sous mon slip et s'emparent de mon bâton de chair. Aussitôt il se met à me branler sans se soucier de notre passager. Et si je vous disais que ça m'excite de me faire peloter par mon petit chéri devant un de ses copains de classe !

Je jette un regard au rétro et je vois Daniel très intéressé par le spectacle que nous lui offrons... J'avoue que je suis exhibitionniste et voyeur ! J'avance un peu mes fesses sur le siège et, de ma main gauche, je déboutonne le bouton de la ceinture de mon pantalon. Jonathan lui, me rabat la culotte sous mes couilles pour bien dégager ma queue. Je m'offre à la vue de ces adolescents. Jonathan me branle sans retenue et me dit :

— Laisse-toi aller, Benoît, je sais que tu aimes !

Puis il se retourne vers Daniel et lui dit :

— Regarde notre prof s'il a une belle queue ! Tiens, toi qui voulais la toucher, approche ta main. Serre-la un peu plus, n'aie pas peur, secoue-la un peu, oui, oui, allez !

— C'est bon ce que je fais, Daniel, mon chéri ?

— Oh oui, j'aime, mais j'ai un peu honte.

Je m'arrête sur le bord de la route. Jonathan s'approche et nous nous embrassons sur la bouche, longuement. Je le serre très fort puis nos langues s'enroulent amoureusement, nos salives se mélangent. Je caresse son cul de ma main droite, je rentre ma main dans son survêtement que j'abaisse ainsi que son slip. Je passe deux doigts dans sa raie, je m'arrête sur sa fleur et j'enfonce. Il fait aller son cul pour bien se faire pénétrer. Daniel est très excité et me dit :

— Il vaudrait mieux aller chez toi !

Arrivés chez moi, je ferme la porte à clef et Jonathan nous sert à boire. Puis il vient s'asseoir sur mes genoux. Daniel est en face de nous, une main posée sur sa fourche. Je prends les lèvres de Jonathan en lui disant :

— Oh, mon chéri, je t'aime !

Lentement je le déshabille. Une fois nu, il se met debout face à moi, jambes écartées, en s'appuyant sur le dossier du canapé. Il approche sa queue et pénètre ma bouche. Je le saisis par le cul avec mes deux mains et j'écarte ses fesses. Daniel se branle devant nous. Et une idée me vient.

Je dis à Daniel de s'approcher. Daniel est un blondinet à la peau blanche, une grosse queue épaisse mais courte, son gland est tout rouge et humide. Je demande à Jonathan de se mettre à quatre pattes afin de préparer son adorable trou de balle. Je lèche amoureusement. Je dépose un long baiser en entourant de mes lèvres sa petite fleur. Je pointe ma langue et lui demande de pousser de toutes ses forces. Son orifice s'évase et, lentement, ma langue pénètre à l'intérieur. C'est chaud et très doux. Son odeur un peu forte me chatouille les narine et m'excite. Je voudrais ma langue plus longue. Jacques gémit de plaisir :

— Oh, oui, Benoît, tu m'encules avec ta langue ! Encore, ne t'arrête pas !

Que c'est bon le trou du cul d'un jeune ! Je le lui bouffe et j'écarte à fond ses fesses. Daniel me regarde et me branle.

Nous changeons de position. Je m'allonge au sol sur le dos et Jonathan, à genoux au-dessus de ma figure, pose son derrière sur ma bouche en s'écartant lui-même. Ma langue douloureuse reprend son nid douillet et chaud. Je le baise mon chéri. Puis je me redresse. Je le maintiens solidement d'un bras, son cul sur ma bite. De l'autre main je dirige mon pieu dans sa rosette bien mouillée de salive et du reste. Mais quel plaisir quand ma tige rentre lentement dans son cul ! Je le tiens solidement et je donne un premier coup de boutoir puis un deuxième et ma queue disparaît toute entière. Je lime lentement puis brutalement, en disant des cochonneries. Pendant ce temps, Daniel me caresse les fesses en m'excitant :

— Allez, oui, baise-le, Jonathan, il y a longtemps qu'il te voulait, il t'adore !

Je suis aux anges avec ces deux adolescents. Mais la partie qui va suivre est vraiment la plus bandante.

Environ deux heures après avoir joui dans le cul de Jonathan, Daniel m'a remis en forme en caressant chaque parcelle de mon corps. Il m'a pompé, léché. J'étais même un peu étonné de son savoir-faire et de sa technique. Par contre, ma bouche était réservée à Jonathan qui m'embrassait en fouillant l'intérieur avec sa langue. J'étais comblé. J'étais aussi à leur merci. Ils m'ont retourné sur le ventre. C'était bon d'être caressé par ces jeunes garçons ! Et pendant que Jonathan me roulait des pelles, Daniel me léchait le cul avec application. Puis, à la place de sa langue, j'ai senti un engin sur mon anus qui s'introduisait en écartant les parois. Daniel était bel et bien en train de m'enculer...

Je l'ai encouragé de la voix et du geste :

— Oh oui, Daniel, mon cul est à toi, prends-le, tiens, je me soulève et je me l'écarte à deux mains pour te faciliter la tâche. Enfonce-toi à fond ! Là... Ça y est... Reste un peu que je te sente ! Oh que tu l'as grosse ! Baise-moi mon chéri, comme si j'étais une femme. Allez, vas-y ! Oui, oui, un peu plus vite. Oh c'est délicieux ! Je suis bien ouvert, vraiment, c'est ce que je préfère ne faire enculer !

Et à partir de ce jour-là, j'ai souvent ouvert mon trou du cul à Jonathan.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 13 décembre 7 13 /12 /Déc 14:11

Je possède une belle propriété dans le Sud. J'y vis toute l'année et, pendant les vacances d'été, je loue une partie de la prairie à des campeurs. C'est un joli petit coin où ils se sentent à l'aise et à l'abri des regards car il est situé à l'autre bout de la prairie, sur une toute petite colline. Les campeurs ont trop tendance à négliger cette particularité du relief. Pas moi. Je suis équipé d'un matériel redoutable, généralement destiné à ceux qui étudient les étoiles. Pour ma part l'astronomie n'offre aucun intérêt. Le voyeurisme par contre fait partie de mes lubies. Mais jusqu'alors je me contentais d'une surveillance discrète de mes locataires. Je ne négligeais pas parfois de les espionner jusque dans leurs ébats mais j'avoue que je n'y accordais qu'un intérêt médiocre. C'était histoire de passer le temps et de tuer l'ennui...

Or, ce mois de juillet dernier, un bel éphèbe portant un sac à dos, une barbe de huit jours et un guide du routard écorné est venu sonner à ma porte. J'ai jugé bon de lui offrir le bel emplacement de la colline et, par la même occasion, j'ai astiqué les lentilles de mes instruments d'optique. Seul dans mon grenier j'ai pu dès le premier soir apprécier un spectacle qui, pour la première fois, ne m'a pas fait regretter l'achat d'un matériel si coûteux !

À peine débarqué le jeune homme en effet n'a pas trouvé mieux que de se mettre en tenue d'Adam et d'offrir son anatomie au soleil de cette fin d'après-midi. C'était un régal, surtout lorsqu'il a décidé de planter sa tente dans sa tenue si dépouillée. Mais le plus beau restait à venir car mon beau locataire était un jouisseur et un jouisseur organisé... Car, une fois le montage de sa tente effectué, il a sorti de son sac une espèce de siège pliant comme en utilisent parfois les pêcheurs. Un siège très bas qu'il a placé devant la tente. Il s'y est assis et là, j'ai constaté avec surprise et grand plaisir qu'il était en érection. Mon plaisir devait être aussi grand que le sien car je l'ai vu porter gentiment sa main à son sexe et, le plus naturellement du monde, il s'est branlé !

Je n'ai pas pu m'empêcher de descendre mon pantalon et d'en faire autant. Le plaisir me venait très rapidement et j'ai dû me freiner assez vite car j'ai constaté que lui prenait tout son temps. C'était vraiment un mec qui savait vivre et profiter de la vie ! Sa face radieuse s'épanouissait au soleil tandis que, de deux doigts précis, il se caressait la base du gland avec une lenteur désespérante pour un ignorant mais que l'amateur éclairé pouvait apprécier. Il prenait tout son temps. Parfois sa main descendait plus bas et il se massait les couilles et là, c'était vraiment magnifique car sa belle queue bandante et ses deux kiwis étaient bien mis en valeur par ce geste. Puis sa main remontait et elle reprenait le lent va-et-vient. Enfin le plaisir, je parle du mien, fut à son comble lorsque je le vis fouiller dans son sac pour en extraire une chose longue que je ne voulus pas d'abord reconnaître pour un gode. Non, non me disais-je, pas tant de plaisir d'un coup ! Mais pourtant je l'ai bien vu enfiler d'abord son engin dans sa bouche puis écarter les jambes et, sans plus de pudeur, se le mettre et se branler avec, là, en face de moi, le cul bien dirigé vers ma maison qui devait lui sembler si loin. Je l'avoue ma résistance a ses limites et ma main s'est retrouvée nappée de mon sperme tandis que la bite de mon locataire restait toujours aussi dardée et fière dans ce beau soleil.

Il s'est branlé encore longtemps et je l'ai vu jouir et rester ensuite demi- allongé sur sa chaise. Inutile de dire que mon repas a été expédié à toute allure et que je suis vite revenu à mon poste d'observation. Il était lui en train de se préparer un repas. Il avait enfilé un simple short mais, connaissant déjà un peu son personnage, j'ai deviné qu'il ne portait pas de slip dessous. Il mangeait. C'était un plaisir de le voir et, en même temps, une torture car le soleil déclinait maintenant et chacun sait que, la nuit, il est difficile de bien voir avec des instruments d'optique non équipés d'infrarouges. J'angoissais, et à tort, car mon campeur organisé a sorti de son sac à malice deux camping-gaz éclairants qu'il a disposé d'une façon symétrique de chaque côté de la tente. À partir de ce moment-là j'ai commencé à avoir des doutes. La lumière de mon grenier étant éteinte il ne pouvait pas me voir et mon installation est, de toute façon, complètement invisible. Alors ? Après avoir installé ses deux lampes il a quitté son short et, au lieu de s'asseoir sur son siège, il s'est agenouillé en face de lui si bien que son cul, ouvert comme un livre, était dirigé en plein sur ma lunette. Cette fois-ci il a joué le grand jeu. Il a commencé par se branler le cul avec ses mains puis, en tordant sa bite, il s'est amusé à se branler à revers en la frottant dans la raie de son cul. J'ai vu ensuite le gode se brandir et, sans coup férir, il se l'est carré dans le fion. Là, j'ai assisté à une masturbation anale de la plus grande envergure.

Je triquais de nouveau comme une bête mais je me branlais avec parcimonie. Je ne voulais pas jouir avant lui cette fois-ci. Il se l'enfonçait d'un seul coup puis il se taraudait le cul sans pitié en remuant de la croupe comme une chatte en chaleur. Puis il retirait le gode et se le replantait aussi sec. Enfin je l'ai vu qui s'attachait la queue à la base du gode avant de se réenculer et de se branler en même temps. J'ai deviné qu'il jouissait plus que je ne l'ai constaté. Mais il est resté avec son gode dans le cul ce qui m'a permis de me finir tranquillement. Quel pro ! Sous ses airs de ne pas y toucher il avait du métier ! Je suis parti me coucher avec cette question inquiétante : que faire ? Intervenir et gâcher ainsi peut-être la poule aux oeufs d'or ? Ou bien ne rien faire et jouir ainsi d'un beau spectacle tous les soirs ? J'ai décidé d'opter pour la seconde solution.

Ainsi, chaque soir, j'ai profité d'une exhibition différente et volontaire j'en suis sûr. Il est reparti au bout d'une semaine et, au moment où il est venu me régler, rien dans son attitude ni dans la mienne n'a montré que nous avions envie de dévoiler notre secret...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 6 décembre 7 06 /12 /Déc 14:00

Que reste-t-il surtout de ce séjour à Strasbourg, il y a deux ans pour les fêtes de fin d'année? Sinon le doux visage de ce petit jeune que "je me suis fait" en deux temps, trois mouvements contre un mur d'immeuble sordide derrière la gare ferroviaire...

Un célèbre guide m'avait permis de dénicher les toilettes du centre comme l'un des rares lieux de drague alsacien. J'y étais au plus tôt. Rapide reconnaissance : une quinzaine de flâneurs, des types assez mûrs ou complètement insignifiants, visiblement habitués des lieux. On y fait mine de téléphoner ou d'attendre quelqu'un d'autre pour passer à côté, au parking et rentrer chez soi une fois les courses faites !

J'allume tout de go un garçon d'environ dix-huit ans, sans bouton ni duvet sur un menton autoritaire, assez chic, vif et nerveux. Un beau blouson de mouton sous des cheveux impeccablement coupés à la garçonne. Une frêle nuque rasée et deux mignonnes petites oreilles bien dessinées qui se décollent à peine, juste assez pour être hyper-sexy. Un coup d'œil bleu clair, myope peut-être. A la fois sérieux, sévère et troublé, à vous mettre mal à l'aise. Si lui me repère je n'en laisse rien paraître. Tout autour on fonce sur lui et chacun se met en orbite en un secret ballet.

Il ne se laisse pas convaincre, biaise et va réellement pisser. Puis il ressort comme si de rien n'était. Était-il vraiment concerné ? En tout cas, s'il n'aime pas les mecs, inutile de l'ennuyer, le coup n'est pas sûr. Je risque de me fourvoyer comme les autres. D'ailleurs le voilà qui remonte vers les boutiques. Je me surprends à me perdre dans sa démarche, ce déhanchement souple et léger qui rebondit élégamment. Là-haut le voici qui sort en se retournant vers moi dans la cage d'escalier. Ah ! J'embraye en douceur, grimpe également et le suis distraitement dans les allées. Il se retourne trop : c'est manifeste, je lui plais ! Mais quoi ? Il quitte déjà le centre commercial ? Je fonce, assez sûr de moi :
- Où va-t-on ?
- Je suis pressé.
- Ne t'inquiète pas, on fera vite.
- Non... On m'attend ailleurs.
- Tu connais un coin tranquille ?
- Par ici ce n'est pas possible.
- Bon, et bien suis-moi...

Il a une belle voix, sans aucun accent, un peu anxieuse mais parfaitement décidée : nous savons ce que nous voulons l'un et l'autre. Je ne vais tout de même pas lâcher un si beau morceau ! 

Au hasard des tristes rues désertes en cette fin d'après-midi d'hiver, je parviens à m'introduire dans la cour d'une entreprise de charbons. Il m'y suit mais nous nous faisons accidentellement enfermer. Il me rejoint dans une encoignure de bureau contre un tonneau défoncé. Même taille tous les deux. J'ouvre mon manteau, sans hésiter il vient s'y blottir. Super-patin bien tranquille. Il me palpe tout de suite entre les cuisses et, rassuré, bien à l'aise, se laisse violer la bouche que je remplis de mon mieux.
- J'aime bien les gens comme vous. Vous êtes bien.
- C'est toi qui es gentil, je suis sûr que tu es aussi impatient que mignon. Fais voir comme tu es !
On devine un monstre qui déforme sa braguette.
- Pourquoi ne pas rester ?
Trop dangereux à son goût... On ressort en enjambant le portail. On perd du temps, on perd du temps...

Trois minutes après, en traversant une petite place pleine de gravats, il me montre du doigt, sans un mot, le mince couloir que forment deux murs mitoyens. Ce sera là. On s'y dirige en observant discrètement les alentours. Personne. Il s'y enfile seul tandis que je surveille à l'entrée d'éventuels rôdeurs. Pas de problème je le suis. Un peu vers le fond, appuyé contre l'immeuble de briques, il a déjà ouvert son blouson et dégrafé sa ceinture tandis que je l'enserre et l'embrasse avec avidité. Il aime semble-t-il et se laisse totalement faire. C'est le pied ! Ma main court sous son pull et caresse son torse fragile et doux. Sous ses côtes, du bout des doigts, on entend son cœur battre la chamade. Quelle différence d'avec son flegme apparent ! Il avait bien caché son jeu, le petit Père Noël ! Je lui pince les seins. Le voilà qui se cambre un peu plus. Pas bavard, le garçon...

Sans guère attendre il ouvre mon loden, retrousse ma veste, déboutonne mon pantalon, le fait glisser sur mes cuisses et vient saisir fiévreusement la hampe de mon sexe partiellement dressé hors du caleçon. C'est là-dessus et nulle part ailleurs qu'il se jette, bouche grande ouverte, pour m'avaler sans fausse honte. Voilà ce qu'il voulait. Je durcis vite. Mon pieu s'allonge, se déploie et grossit au fur et à mesure que ses lèvres humides le parcourent. Dessous il sait où se promener et titiller du bout de la langue le fil qui conduit loin derrière. Visiblement très satisfait de ce qu'il suce et fort enclin à bien le faire. Absolument aucune pudeur.

Enfin il se redresse. Je me remets à fouiller sa bouche avide et tiède qui recrache une buée argentée. D'une main il me tire vers lui et me guide vers son bassin. Je n'attendais que cela : sans rien y voir, professionnellement, je le dessape, je fouille dans son slip et glisse les mains qui se réchauffent à son adorable pubis puis autour d'un tronc monumental en décalottant sereinement un énorme gland hors de toute proportion avec l'anatomie de son tendre propriétaire. En voilà un encore admirablement monté ! Quelle chance !

Je m'agenouille en-dessous de son nombril à peine moussu, colle mes mains à ses fesses et son gland irréel contre mes lèvres. Punaise, quelle taille ! Une véritable ogive ! Impossible d'avaler davantage. Je ne pourrai jamais lui rendre le plaisir qu'il vient de me faire d'autant plus qu'il bande comme un âne. Ce n'est pas la volonté qui me manque mais bien les capacités. Même ma main n'en fait pas le tour comme il le faudrait... Tout autourune bonne odeur de savon frais et même, peut-être, un soupçon de parfum : je crois reconnaître "grey flannel". Bien élevé ce jeune homme ! Retour debout, au sommet, pour le lui faire comprendre. Je me perds dans sa bouche, c'est royal ! Il embrasse bien et, plus bas, ne perd pas son temps en nous branlant ensemble. En regardant comparativement, j'aurais vraiment de quoi être complexé par la taille de son sexe luisant...

Il s'en fout et ne pense qu'à jouir. A tour de rôle on quitte alors nos lèvres pour s'occuper du reste. Vraiment il s'y prend comme un chef, c'est un délice ! J'en profite pour abuser de la situation, le forcer à rester à genoux et à pomper davantage. Ce n'est pas très sympa d'autant plus qu'il a déjà fait beaucoup d'efforts et prouve sa bonne volonté exemplaire. Bon coup pour bon coup, autant se faire plaisir ! Une fois encore je m'occupe du bout de son énorme queue tendre et frémissante qui me fait baver et me remplit la gorge. Pour lui aussi c'est le pied.

Ses vêtements le gênent. Il remonte plus encore son blouson tandis que je le débarrasse carrément du pantalon. Surprise, légère résistance. Il me fait comprendre qu'il ne veut guère aller plus loin et certainement pas là où moi je l'entends. Tant qu'à faire, c'est lui qui préférerait probablement me baiser... Retour à la verticale. Je lui dévore l'oreille : "suce-moi encore ! ". Il s'exécute comme un enfant, se laisse complètement retrousser, s'accroupit une fois encore et ne semble guère réaliser que le préservatif que je prépare lui est destiné. Je profite de son hésitation pour dégager sa tête en lui tirant les cheveux. Au bout de son nez, il voit mon sexe se protéger au latex avant de s'engouffrer à nouveau entre ses fines incisives blanches. Trop tard pour lui.

Quelques instants plus tard il se laisse retourner et, docilement, pénétrer en douceur. Deux fesses sublimes comme n'en ont que ces éphèbes du sport et du désir. Entre ces deux collines pâles, glabres et douces, une vallée qu'il n'est même pas besoin d'ausculter. Tout est accessible du premier coup d'œil. Mon foret s'immisce déjà dans la douce cible de chair. Même s'il n'est pas habitué ce n'est pas la première fois. Peut-être se dit-il que c'est le prix à payer lorsqu'on est jeune et trop bien monté ? Au bout de deux-trois minutes, il s'y est fait, se décontracte et s'assouplit. Lorsqu'il tourne la tête ce sont mes lèvres et ma langue qu'il rencontre :
- Bouge un peu pour voir. C'est ça, remue ton cul ! Empale-toi ! Enfonce-toi, enfonce-toi encore !

Faute de pouvoir y goûter davantage, quoique toujours impressionné par ses dimensions, je suis contraint de négliger le monumental instrument qu'il masturbe tout seul de ses mains frêles et osseuses, apparemment avec plaisir puisqu'il s'emboutit de plus en plus sur mon sexe bienheureux. Perchés en haut de ses cuisses d'airain, son cul et mon pieu monopolisent toute mon attention. Mon pieu dans son cul qui commence à aller et venir. Mon gros pieu qui fore par petits coups son petit cul. C'est devenu sauvage et nettement moins net. Il y a de petits bruits qui fusent dans cet espace glauque, poussiéreux, froid et humide. Ça y est, il retrouve son plaisir et me laisse le bousculer. Nous sommes pressés. Je m'excite plus violemment et le saisit à pleines hanches pour le transpercer. Lui s'active sur son mât de jouissance. Nous nous approchons sensiblement ensemble du même but. A grands coups de reins, mes testicules cognent contre les siens. Comme c'est bon ! A nous retenir ainsi quelques instants encore, il saisit sa douleur puisque je ressors et rentre à nouveau quasiment de toute ma longueur entre ses ravissantes fesses dures comme du métal. Lorsqu'il se retient, elles se contractent tant que l'on devine les os du bassin. Je voudrais lui faire autant de mal que de bien... Trop tard !

Il se vide d'abord. Dans son plaisir qui dure je sais qu'il va se resserrer une fois encore autour de mon sexe. Effectivement la gaine de velours se contracte pour ma plus grande satisfaction : c'est au milieu de ses spasmes que je le pousse une dernière fois et le rejoins.
On se rhabille dix fois trop vite. Plus le temps de rien.
- Qui a un mouchoir ?
- Tiens, en voilà un.
- Tu me donnes une adresse ?
- Pas possible, j'habite chez mes parents.
- Tu as un mec ?
- Oui, en quelque sorte. Il travaille à Besançon mais on se retrouve de temps à autre chez sa sœur qui est une voisine.
- Quel âge ?
- Lui ou moi ?
- Vous deux.
- Moi dix-huit et lui vingt-huit.
- Je veux te revoir.
- Pas possible.
- Si je te laisse mes coordonnées, tu me téléphoneras ? Tu viendrais me voir à Paris ?
- Pourquoi pas, donnez toujours...
Au fond de ses yeux bleus et une dernière fois entre ses lèvres, j'ai même cru entendre un soupçon de merci. C'est sur ce "toujours... " indéterminé et maladroit qu'il est parti dans la nuit, mon petit Père Noël.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 29 novembre 7 29 /11 /Nov 13:40

Je vais vous raconter comment j’ai franchi le pas pour la première fois, il y a deux ans. J’avais alors 22 ans. Je me considérais comme hétéro même si, à 17 ans j’avais eu une aventure pendant un week-end avec un copain, mais cela s’était limité à une branle réciproque. À partir de 18 ans, j’ai eu des relations avec des copines et il y a deux ans je suis sorti avec Marie. Son père était japonais et sa mère française. Elle était donc typée asiatique, brune avec des cheveux noirs, grande, mince et vraiment très belle. Sexuellement on s’entendait très bien et elle en voulait souvent, encore plus que moi ! On se connaissait alors depuis 6 mois et elle m’a invité à passer 3 semaines en août avec ses parents et son frère dans leur maison du midi. Ses parents étaient assez aisés et avaient une belle maison avec piscine. Le lendemain de notre arrivée, j’ai fait la connaissance de son frère Pierre qui avait 20 ans. Nous sommes allés le chercher à la gare. Il était lui aussi très beau gosse à l’allure sportive et on s’est bien entendu dès le premier contact. Physiquement, un type asiatique marqué, des cheveux courts, 1m81 pour 74 kilos (j’ai connu ses mensurations plus tard), donc plus musclé que moi car je pèse 70 kilos pour 1m82.

En fin d’après-midi on s’est retrouvé tous les deux au bord de la piscine. Il avait un corps parfait : large d’épaules avec les pectoraux dessinés ainsi que les abdos, la taille fine et le cul bien rond sous son maillot de bain noir. Ce qui me frappa la plus c’est son absence totale de pilosité. Seuls ses mollets avaient quelques poils courts. On se baignait en plongeant, sautant et on rigolait bien. À un moment, assis côte-à-côte au bord de l’eau, il me demanda avec un sourire “Alors elle baise bien la frangine ?”. Je lui répondis que tout allait bien entre nous. Il insista “Elle te suce aussi ?”. Je lui dis qu’elle aimait bien ça et que moi aussi. Il se leva et, avant de plonger, me lança “Elle en a de la chance !”. Sur le coup je suis resté sous le choc de cette déclaration. Je me demandais s’il blaguait ou s’il me draguait. Pourtant il n’avait pas l’air d’un homo. Pour en avoir le cœur net j’ai plongé et suis allé lui demander “Dis donc t’es homo ?”. Il me répondit l’air énigmatique “Devine !” puis il ajouta qu’avec un mec jeune et mignon comme moi, et de plus à l’allure virile, il pourrait se laisser tenter ! En s’essuyant il m’avoua qu’il était bisexuel et que je le faisais craquer car j’étais un peu poilu et que j’avais l’air d'avoir un bon paquet !

La fin de journée a été assez troublante pour moi car je sentais son regard m’épier en permanence pendant le repas et même ensuite quand on est sorti faire un tour en bord de mer. J’étais partagé entre Marie que j’aimais et Pierre qui m’excitait terriblement. De retour à la maison, il était une heure du matin, Pierre demanda si quelqu’un voulait prendre un bain. Les parents et Marie fatigués partirent se coucher et Pierre me dit “Tu viens avec moi ?”. J’acceptais le cœur serré en me doutant de ce qui allait se passer. Pierre me dit “On va être bien tous les deux, on n’éclaire pas et les chambres donnent de l’autre côté. Tu viens ?”. Je le suivis et on se déshabilla pour plonger à poil dans l’eau tous les deux. Pierre me prit la main et m’entraîna dans le petit bain. On était face à face et il commença à me caresser la poitrine puis m’enlaça pour un premier baiser ardent. Je caressais ses épaules et son dos musclé. Sa peau était très douce et j’étais en pleine érection, ma queue plaquée sur mon ventre. Je sentais la sienne très dure contre moi. On s’embrassait toujours et mes mains descendaient le long de son dos, dans le creux de ses reins cambrés, près de ses fesses galbées et bien fermes. Il murmura “J’ai envie de toi...” et ses mains descendirent sur mon sexe. Je l’entendis dire “Putain quel morceau !”. J’ai en fait une queue dans la bonne moyenne mais sans plus : 18cm et de largeur normale.

Il me fit asseoir au bord de l’eau, cuisses écartées et commença à me sucer d’abord en s’attaquant au gland puis en l’enfournant de plus en plus profond. Régulièrement il l’avalait en entier et restait une seconde avec mon gland dans la gorge avant de reprendre son mouvement de va-et-vient. Je le fis arrêter avant de jouir et lui proposai de lui rendre la pareille en lui disant bien que je ne l’avais jamais fait, mais j’étais tellement excité que j’avais envie de sa queue. Il prit ma place et je descendis dans l’eau. Sa queue était beaucoup plus petite, dans les 15cm, assez fine. Elle était à la verticale, le gland contre son ventre. Je la baissais un peu en bas pour la sucer. Quelle révélation et quel plaisir j’avais à sentir cette tige dure dans ma bouche ! Mes va-et-vient semblaient lui plaire car il gémissait sous mes caresses. J’arrivais à la gober en entier et je lui malaxais les couilles qui ne pendaient pas mais roulaient sous la peau. Il me demanda de les sucer et se pencha en arrière pendant que je les faisais entrer et sortir de ma bouche.

Ensuite il s’est couché sur une banquette et m’a fait mettre en 69. J’avais sa tête entre mes cuisses et il me suçait pendant que je le pompais : c’était génial ! L’excitation montait et quand je lui ai dit que j’allais jouir, il m’a branlé et j’ai giclé mon sperme sur sa poitrine tandis qu’il me léchait les couilles. Dix secondes après c’est lui qui jouissait sur mon ventre. Ensuite on s’est embrassé et on est allé à la douche pour se rincer et nettoyer le sperme. On a discuté et il m’a dit qu’il avait envie que je le baise et qu’il achèterait des capotes et du gel le lendemain.

Il était très hard dans ses propos. Entre autre il disait qu’il voulait sentir ma grosse queue dans son trou. Il s’est couché sur la table, le dos nu et a remonté ses cuisses sur lui pour me présenter son trou. Dans sa raie ma main sentait des petits poils courts et l’entrée de son trou du cul avait une peau lisse et très douce. Il me dit de cracher et d’ajouter un doigt. Avec la salive mon doigt titillait son trou et pratiquement sans forcer rentra dans son boyau. C’était chaud et très souple et mon doigt allait et venait à l’intérieur. Il gémissait et bandait à fond comme moi. J’ai craché deux ou trois fois encore pour bien le limer et j’ai repris sa queue dans la bouche pour le sucer. Rapidement il prit sa tige pour se branler et jouit dans ses poils de pubis tandis que je lui branlais toujours le trou. Il était haletant et me demanda de lui mettre son sperme dans le cul. Je trempais le doigt dedans et le limais avec. Pendant cinq minutes de ce petit jeu, il ne débanda pas. Ensuite, il me suça encore et me fit jouir par terre.

Le lendemain la matinée fut calme à la maison. Avant le repas Pierre me glissa à l’oreille en douce “J’ai fait des achats pour ce soir !”. Après le repas, à l’heure de la sieste, on est allé se reposer avec Marie dans la chambre et on a fait l’amour. En fait, pendant que je la baisais, je pensais à son petit frère. Le soir arriva et une nouvelle fois comme la veille vers minuit et demi on resta seul. On commença par un bain dans la piscine qui se termina par un long baiser puis par une pipe réciproque. Puis on se sécha et Pierre alla chercher dans sa chambre les capotes et le tube de gel qu’il avait acheté. Ensuite, il se coucha nu le dos sur la table et je lui graissai le trou du cul avec du gel en lui enfonçant un doigt. Une fois ma capote mise en place, je pointais le gland sur son trou et, en forçant légèrement, je m’enfonçais en lui. Il poussait des gémissements pendant que je le pénétrais progressivement à fond. Je me mis à le limer lentement et c’était une sensation très agréable. Ma bite était beaucoup plus serrée que dans la chatte de sa sœur et je trouvais ça super. J’ai dû le baiser cinq minutes avant de jouir dans la capote.

On recommença ces séances de bains pratiquement tous les soirs et je crois que ce sont les meilleures vacances que j’ai connues.

À la rentrée, on s’est moins bien entendu avec Marie et on a fini par rompre en octobre. Par contre j’ai continué à voir Pierre. Il a fini de faire mon éducation et m’a fait goûter au plaisir d’être passif. La petite taille de sa queue a facilité ma première pénétration et j’ai tout de suite aimé ça. Depuis j’en ai pris des plus grosses et je suis maintenant autant actif que passif mais en tout cas homo à 100%.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 22 novembre 7 22 /11 /Nov 14:05

Je suis un papa célibataire et je fais souvent appel aux services des baby-sitters, des garçons uniquement, bien évidemment. Ce sont toujours de jeunes étudiants, la plupart du temps très mignons et je n'hésite pas à tenter ma chance de les baiser. Je connais toutes les agences qui les fournissent et je dois avoir la-bas une réputation de tombeur ou plutôt de pédé vicieux, encore que je doute que mes "victimes" n'aillent pas se plaindre des traitements que je leur fait "subir". Je ne les force jamais à se faire baiser. Ils aiment ça !

Celui qui m'a le plus marqué s'appelait Christophe. C'était un jeunot de dix-neuf ans, un joli blond à l'air candide et à la braguette arrogante. Le plus dur restait à faire : me taper ce bandant Christophe, sûrement encore puceau, l'enjeu était de taille, mais les jeunes mecs difficiles sont toujours ceux qui m'ont fait le plus bander. J'ai évidemment tenté de le séduire de manière normale avec sourires et frôlements de main à la clef. Ca ne donnait rien : il se défilait le puceau.

Alors j'ai décidé de passer vraiment aux actes. J'avais trop envie de voir sa bite et de baiser son cul. Quand j'ai envie de niquer, je peux avoir un culot monstre. Un soir où je suis rentré, il était là, en train de donner le biberon à mon fils. Il portait un short et un débardeur et était vraiment trop sexy pour ne pas se faire baiser. Alors qu'il était penché au dessus de mon fils, je voyais tout son cul à travers le short rouge. Il avait une de ces paires de fesses !
- Vous pouvez rester encore, le temps que je prenne une douche ?
Il a acquiescé à ma question. Moi, j'allais mettre mon plan en action...

Un quart d'heure plus tard, alors qu'il revenait de coucher mon fils, il arriva dans le salon en disant :
- Ca y est, il s'est endormi, enf...
Il s'est aussitôt interrompu, les yeux ronds, la bouche grande ouverte. Il avait de quoi être surpris : j'étais sur le divan, vautré, à poil, en train de me branler la bite.

A la vue d'une belle bite, il y en a pas mal qui devienne de vraies salopes: Christophe, lui, est resté interloqué. Je me suis approché de lui, la bite ballottant à vingt centimètres devant moi. Le baby-sitter restait immobile, comme en état de choc, mais nullement dégoûté. En fait, je dirais plutôt fasciné. Il la regardait fixement et, sous son débardeur, ses tétons pointaient. Quant à sa braguette, elle prenait du volume. Lentement il s'est agenouillé avec l'air d'avoir envie et d'avoir peur à la fois.

Sans me gêner, j'ai attrapé ma bite et je la lui ai frottée contre les lèvres. Il a eu un mouvement de recul mais je me suis approché encore plus et je l'ai attrapé par les joues. Il avait de grands yeux affolés mais quand j'ai un peu forcé, ses lèvres se sont lentement écartées.
Ca y est ! Le jeune puceau était en train de me sucer ! Il le faisait maladroitement au début mais, après un quart d'heure, il découvrait le plaisir de pomper une belle bite et il se régalait !

Un peu plus tard je l'ai foutu à poil et j'ai détaillé son corps. Parfait ! Sèchement musclé et totalement imberbe, avec une belle jeune bite en érection. Le meilleur, c'était de se branler la bite dans son trou ! La jolie corolle qu'il avait ! Presque imberbe, alors bien sûr je me suis empressé de la sucer. Finalement, à la fin de mon léchage, c'est lui qui m'a supplié que je le baise.
- Tu en veux, hein, salope ?
- Oh oui ! Je veux !
- Alors, supplie-moi.
- Baisez-moi, s'il vous plait...
- Mieux que ça !
Il hésitait entre la décence et l'envie d'être salope.
- Fourre-moi la rondelle !
Il avait dit ça avec un air gêné, presque dégoûté de lui-même et ça, ça m'a encore plus excité. Je lui ai enfilé ma bite d'un seul coup. Il a crié mais très vite ses cris se sont transformés en gémissements.
- Tu aimes te faire trouer, hein ?
- Oui, oui, criait-il.
- C'est la première fois que tu te fais trouer par une belle bite ?
Il a eu un demi-sourire.
- Pas vraiment. Pour mes dix-huit ans je me suis fait enfiler par le meilleur ami de mon père.

Ce faux puceau savait décidément bien se faire enculer ! Alors que je lui donnais des coups de bite de plus en plus violents, il me racontait comment l'ami de son père l'avait surpris en train de se branler le cul sous la douche et comment il lui avait proposé d'essayer une bonne bite dans son cul.
- Et tu as accepté, hein, ahanai-je, la bite de plus en plus raide dans le cul de Christophe.
- Oh oui, et c'était trop bon... Vas-y plus fort, encule-moi à fond, continua-t-il, alors que je lui donnais déjà de grands coups de boutoir.

Je me suis acharné sur sa croupe de petite pédale. A chaque coup de pine, il en redemandait. Nous avons terminé à même le sol, alors que ses couilles et sa bite frottaient contre la moquette, comme s'il voulait se branler sur le sol. Pour moi, Christophe n'était plus qu'une belle paire de fesses, rondes et joufflues. Il se cambrait, se pâmait, alors que je sentais ma bite prête à exploser.

Puis, d'un seul coup, je me suis dégagé de son anus, je l'ai retourné et, sans plus de préambule, j'ai enfoncé mon zob entre ses lèvres. Ah, ce petit vicieux... Il éprouvait un de ces plaisirs à sucer ma bite qui avait bien suinté dans son cul !
- Jouis, jouis dans ma bouche, chéri !
En même temps, il me pressait les couilles comme si il voulait que mon jus lui explose plus vite dans la gorge.
Quand c'est arrivé, j'ai été étonné qu'il soit salope à ce point. Je repensais à ses airs de puceau effarouché et j'avais devant moi une salope puissance dix qui me tétait la bite comme un biberon à sperme. Il avalait, il déglutissait, les yeux clos comme si le bonheur ultime c'était de boire mon sperme. Il se branlait toujours.
- Ah que c'est bon, que c'est bon !
Il illustra sa tirade en jouissant sur ses doigts. Il les porta, gluants, sur mon gland qui finit par rutiler de son foutre. Puis il lapa mon gros bout avec des mines de chienne en chaleur.

Quand on dit que l'habit ne fait pas le moine, moi je dis que c'est vrai. Méfions nous des puceaux qui dorment : ce sont souvent des salopes en puissance ! Et le beau Christophe, à chaque fois qu'il avait fini sa vacation de baby-sitter, venait se foutre à poil devant moi, à quatre pattes, les reins cambrés et le cul offert à ma bite taraudeuse.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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