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Je m'appelle Benoît et suis enseignant en E.P.S.. Avec mon jeune amant de dix-huit ans, Jonathan, nous avions décidé de passer le week-end prochain chez moi, ma femme étant partie chez ses parents.
Ce soir-là donc, à la sortie de l'école, je le prends en voiture. Il est avec un de ses copains de classe, Daniel, qui a juste dix-sept ans. Il me demande si nous pouvons le prendre en voiture car il n'habite pas loin de chez moi. Il monte derrière et nous partons pour une dizaine de kilomètres. On est en novembre, il est dix-huit heures, il fait presque nuit. Tout en roulant Jonathan me met la main sur mon genou et remontre lentement à l'intérieur de ma cuisse. Nous discutons tous les trois de choses et d'autres... Et le manège continue. Je suis un peu gêné par Daniel qui s'appuie entre nos deux sièges et qui doit s'apercevoir des caresses que me prodigue Jonathan.
Sa main est maintenant fixée entre mes cuisses. Il me palpe en douceur les couilles. Sous mon slip ma queue se dresse lentement. J'essaye de l'en empêcher avec ma main gauche mais il s'acharne. Il me met dans tous mes états et, de temps en temps, je serre les cuisses sur sa main. Il répond par de petites pressions sur ma queue bandée, prête à éclater. Ses doigts viennent maintenant s'attaquer aux boutons de ma braguette qu'il défait un à un jusqu'en haut. Ses doigts rentrent à l'intérieur, passent sous mon slip et s'emparent de mon bâton de chair. Aussitôt il se met à me branler sans se soucier de notre passager. Et si je vous disais que ça m'excite de me faire peloter par mon petit chéri devant un de ses copains de classe !
Je jette un regard au rétro et je vois Daniel très intéressé par le spectacle que nous lui offrons... J'avoue que je suis exhibitionniste et voyeur ! J'avance un peu mes fesses sur le siège et, de ma main gauche, je déboutonne le bouton de la ceinture de mon pantalon. Jonathan lui, me rabat la culotte sous mes couilles pour bien dégager ma queue. Je m'offre à la vue de ces adolescents. Jonathan me branle sans retenue et me dit :
— Laisse-toi aller, Benoît, je sais que tu aimes !
Puis il se retourne vers Daniel et lui dit :
— Regarde notre prof s'il a une belle queue ! Tiens, toi qui voulais la toucher, approche ta main. Serre-la un peu plus, n'aie pas peur, secoue-la un peu, oui, oui, allez !
— C'est bon ce que je fais, Daniel, mon chéri ?
— Oh oui, j'aime, mais j'ai un peu honte.
Je m'arrête sur le bord de la route. Jonathan s'approche et nous nous embrassons sur la bouche, longuement. Je le serre très fort puis nos langues s'enroulent amoureusement, nos salives se mélangent. Je caresse son cul de ma main droite, je rentre ma main dans son survêtement que j'abaisse ainsi que son slip. Je passe deux doigts dans sa raie, je m'arrête sur sa fleur et j'enfonce. Il fait aller son cul pour bien se faire pénétrer. Daniel est très excité et me dit :
— Il vaudrait mieux aller chez toi !
Arrivés chez moi, je ferme la porte à clef et Jonathan nous sert à boire. Puis il vient s'asseoir sur mes genoux. Daniel est en face de nous, une main posée sur sa fourche. Je prends les lèvres de Jonathan en lui disant :
— Oh, mon chéri, je t'aime !
Lentement je le déshabille. Une fois nu, il se met debout face à moi, jambes écartées, en s'appuyant sur le dossier du canapé. Il approche sa queue et pénètre ma bouche. Je le saisis par le cul avec mes deux mains et j'écarte ses fesses. Daniel se branle devant nous. Et une idée me vient.
Je dis à Daniel de s'approcher. Daniel est un blondinet à la peau blanche, une grosse queue épaisse mais courte, son gland est tout rouge et humide. Je demande à Jonathan de se mettre à quatre pattes afin de préparer son adorable trou de balle. Je lèche amoureusement. Je dépose un long baiser en entourant de mes lèvres sa petite fleur. Je pointe ma langue et lui demande de pousser de toutes ses forces. Son orifice s'évase et, lentement, ma langue pénètre à l'intérieur. C'est chaud et très doux. Son odeur un peu forte me chatouille les narine et m'excite. Je voudrais ma langue plus longue. Jacques gémit de plaisir :
— Oh, oui, Benoît, tu m'encules avec ta langue ! Encore, ne t'arrête pas !
Que c'est bon le trou du cul d'un jeune ! Je le lui bouffe et j'écarte à fond ses fesses. Daniel me regarde et me branle.
Nous changeons de position. Je m'allonge au sol sur le dos et Jonathan, à genoux au-dessus de ma figure, pose son derrière sur ma bouche en s'écartant lui-même. Ma langue douloureuse reprend son nid douillet et chaud. Je le baise mon chéri. Puis je me redresse. Je le maintiens solidement d'un bras, son cul sur ma bite. De l'autre main je dirige mon pieu dans sa rosette bien mouillée de salive et du reste. Mais quel plaisir quand ma tige rentre lentement dans son cul ! Je le tiens solidement et je donne un premier coup de boutoir puis un deuxième et ma queue disparaît toute entière. Je lime lentement puis brutalement, en disant des cochonneries. Pendant ce temps, Daniel me caresse les fesses en m'excitant :
— Allez, oui, baise-le, Jonathan, il y a longtemps qu'il te voulait, il t'adore !
Je suis aux anges avec ces deux adolescents. Mais la partie qui va suivre est vraiment la plus bandante.
Environ deux heures après avoir joui dans le cul de Jonathan, Daniel m'a remis en forme en caressant chaque parcelle de mon corps. Il m'a pompé, léché. J'étais même un peu étonné de son savoir-faire et de sa technique. Par contre, ma bouche était réservée à Jonathan qui m'embrassait en fouillant l'intérieur avec sa langue. J'étais comblé. J'étais aussi à leur merci. Ils m'ont retourné sur le ventre. C'était bon d'être caressé par ces jeunes garçons ! Et pendant que Jonathan me roulait des pelles, Daniel me léchait le cul avec application. Puis, à la place de sa langue, j'ai senti un engin sur mon anus qui s'introduisait en écartant les parois. Daniel était bel et bien en train de m'enculer...
Je l'ai encouragé de la voix et du geste :
— Oh oui, Daniel, mon cul est à toi, prends-le, tiens, je me soulève et je me l'écarte à deux mains pour te faciliter la tâche. Enfonce-toi à fond ! Là... Ça y est... Reste un peu que je te sente ! Oh que tu l'as grosse ! Baise-moi mon chéri, comme si j'étais une femme. Allez, vas-y ! Oui, oui, un peu plus vite. Oh c'est délicieux ! Je suis bien ouvert, vraiment, c'est ce que je préfère ne faire enculer !
Et à partir de ce jour-là, j'ai souvent ouvert mon trou du cul à Jonathan.
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