L'histoire de la semaine

Dimanche 11 octobre 7 11 /10 /Oct 15:29

Je suis Vincent, 25 ans, 1 mètre 80, 70kg, blond aux yeux bleus, sportif. Mes proches me disent mignon. J'aime beaucoup de choses mais le plus important pour moi reste les amis. C'est ainsi que je me retrouve souvent chez l'un d'entre eux après le boulot. Je passe, on boit un verre puis je rentre chez moi.

 

Jusqu'au jour où, ayant eu une journée difficile, j'étais cassé, fatigué, énervé. Je suis donc allé comme prévu chez un de mes potes. Il est 20 heures lorsque j'arrive chez lui. Fabrice est un peu plus grand que moi, très mignon mais célibataire de longue durée. Aussi bien lui que moi savons l'un pour l'autre et ne nous cachons pas. C'est ainsi que nous commençons à discuter de tout et de rien. Nous prenons des nouvelles l'un de l'autre, il faut dire que nous ne nous sommes plus vu depuis quelques temps...

 

Au fur et à mesure de la discussion, nous passons en revue quelques sujets classiques : le boulot, les amis, les conquêtes... Nous discutions de tout mais nous prenons notre temps. Comme je bouge pas mal pendant la soirée, mal de dos de la journée oblige, je ne sais pas rester en place. Fabrice me propose alors un massage. Bien que gay lui aussi, nous sommes potes et je ne pense pas à mal en acceptant son offre.

 

Fabrice m'emmène alors vers sa chambre. Il me propose de me mettre torse nu et de m'allonger sur son lit. Ce que je fais. Allongé sur le ventre, la tête posée sur un coussin, Fabrice se met à côté de moi et commence à me masser. Il a les mains chaudes et légèrement humides ce qui les empêche de glisser facilement. Il sort de l'huile de massage et m'en met un petit peu. Maladroitement je crois, il en met sur son lit et me fait remarquer que ça tâche... Je suis vêtu d'un pantalon beige, il me précise qu'une tache d'huile ne partira pas facilement et me propose d'enlever mon pantalon. Je me retrouve donc en boxer sur son lit. Il faut dire que ce genre de chose ne me choque pas, je vais souvent aux thermes (où on se retrouve en tenue d'Adam) avec des amis, dont parfois Fabrice. Je ne suis pas pudique pour un sou.

 

Fabrice reprend le massage qu'il a commencé en prenant même soin de placer sur mon boxer une serviette de bain. Il masse bien, très bien même. Et c’est à ce moment que je perds le fil : je m'endors subitement.

 

Je suis toujours sur le ventre, mais j'ai quelque peu bougé. J'ai un masque sur les yeux, vous savez le style de bandeau que l'on distribue dans les avions, je ne vois rien. Mes bras ne sont plus repliés sous l'oreiller et mes jambes ne sont plus l'une contre l'autre. Je porte quelque chose de doux aux poignets et aux chevilles, je ne vois pas ce que c'est mais ça m’empêche de bouger. Je suis attaché bras et jambes aux quatre coins du lit. J'ai dans la bouche un léger tissu qui s'humidifie avec ma salive. Je suis toujours massé mais différemment. Mon boxer n'est plus à sa place, des mains se trouvent sur mes fesses et je sens qu'une langue passe entre elles.

 

Je suis gay mais ne suis pas passif. Cette position est donc toute particulière pour moi. Je me souviens que je suis chez Fabrice et qu'il m'a proposé un massage. Je reconnais son lit et me souviens où je suis. J'essaye de me débattre mais n'arrive pas à bouger et je n'aurais pas dû car Fabrice sait maitenant que je suis réveillé. Il se place sur mon dos, me bloquant encore plus. Il est nu aussi, je sens sa bite sur mon dos lorsqu'il s'allonge sur moi et me glisse quelques mots à l'oreille.

— Je n'avais jamais pensé faire quelque chose avec toi, pourtant tu m'as toujours plu. Mais en te massant l'envie est devenue trop présente et tu t'es endormi. Maintenant je vais te faire rêver...

Je me débats encore mais le crabe doit avoir bien serré tous les liens qui m'attachent car je suis immobile. Bras et jambes étendus et écartés, lui sur moi, je ne sais rien faire. 

 

Il redescend et recommence à lécher mon trou. Je n'ai pas l'habitude et suis évidemment serré. Fabrice me plait mais sa façon de faire me surprend et j'y oppose toute ma résistance. Inutile. Je découvre donc Fabrice sous un autre jour. Il se lève, ouvre une armoire sur ma droite et prend quelque chose à l'intérieur. Il revient vers le lit et me met un flacon sous le nez. Du poppers. J'ai déjà essayé ce truc et je me sens effectivement partir. Une forte chaleur me prend au ventre. Mon rythme cardiaque s'accélère et je ne comprends plus ce qui m'arrive. Peut-être aussi à cause de la position dans laquelle je suis...

 

Fabrice se repositionne sur moi. J'ai sa queue sur mes fesses. Aidé par la salive qu'il a placée auparavant, il pousse sur mon trou. Je serre au plus que je peux mais sa queue commence à entrer en moi. Son gland entre en moi de quelques petits centimètres. L'effet du poppers, de la position, me fait perdre la tête. Il sort, il me met de la salive encore et encore, joue avec ses doigts tant et si bien que je finis par me décoincer légèrement. Il place à nouveau sa queue sur mon trou et y entre doucement. Centimètre par centimètre il avance. Lorsqu'il est rentré complètement en moi, il vient poser ses lèvres sur les miennes. J'ai toujours son tissu en bouche mais il s'amuse à passer sa langue sur mes lèvres. C'est quelque chose qui m'excite tout particulièrement.

 

Il commence alors à faire deux ou trois va et viens en moi. Je sens ses couilles contre les miennes et sa chaleur en moi. Je réussis à faire tomber le tissu hors de ma bouche et, profitant d'un moment où il revient pour m'embrasser, je lui mords la lèvre. Mordu, mais pas assez longtemps ni assez fort, car cela ne fait que l'exciter.

— Tu m'as mordu ? Tu vas être puni pour ca !

Bien qu'il est sorti de mon cul, il me replace son tissu en bouche et retourne dans sa position initiale, accroupi sur moi, passant ses doigts sur mon trou, le remplissant de salive. Au moment où il represse un de ses doigts sur mon trou je jouis.

 

Je me suis réveille en sursaut. Fabrice est toujours occupé à son massage. Rien n'a changé par rapport au moment où il a commencé. Sauf qu'il m'a enlevé mon boxer et lui est également nu. Il me demande s'il masse bien car il pense que je faisais un rêve assez chouette. Je rêvais effectivement. Le bout de tissu est en réalité son coussin que j'ai mordu. Je n'ai rien autour des poignets ni des chevilles et je peux bouger librement. Ce que j'ai senti en moi, je ne sais pas ! Il bande ferme mais je ne sais pas s'il est venu en moi. Je dois lui avouer que le rêve vient de me faire repeindre son matelas et qu'une douche s'impose. Il me dit que je ne dois pas m'en faire et que c'est de sa faute car il vient de passer à des endroits sensibles. Toujours à l'ouest, je ne sais pas ce qu'il veut dire par là...

 

J'ai de l'huile de massage sur le dos, il est passé entre mes jambes et entre mes fesses avec de l'huile, ça je le sens. Mais je ne sais pas s'il a fait quelque chose d'autre, peut-être a t-il laissé s'aventurer un doigt ? Tout ce que je sais, c'est qu'il est aussi dur que moi et que j'ai toujours cette chaleur en moi ! Donc une envie folle de jouer plus longtemps. Je lui raconte mon rêve. Il est étonné mais touché de savoir que c'est lui qui m'a mis dans un pareil état mais il refuse toujours de me dire si les sensations ressenties proviennent de lui...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 4 octobre 7 04 /10 /Oct 16:15

Début juillet 2015, canicule, sur la route touristique des gorges de l'Ardèche un soleil de plomb toute la journée. Moi, 42 ans, 1m75, je regagne mon domicile, de retour d'une rando de 4 jours en montagne. Je suis accompagnateur de randonnée et réside en Ardèche entre deux missions.

21h30. Au volant de ma voiture  je roule doucement en appréciant le ciel bleu et le calme de la route après le rush des estivants en journée.

Au détour d'un virage, je suis surpris par un jeune homme, torse nu, short de running, chaussure de varappe aux pieds qui me fait signe de m'arrêter. Visiblement il a plusieurs griffures sur le torse et un genou en sang. Immédiatement je pense à un accident de voiture nombreux sur cette route. Je stoppe. Le jeune garçon : 1m70 environ, peau dorée par le soleil, les yeux bleus, un visage juvénile imberbe, le crâne rasé à la tondeuse, des jambes fines et musclées, le torse lisse luisant de transpiration.

Arrivé à sa hauteur, je l'interpelle : « que se passe-t'il ? accident ? ». Il me répond avec une voix très haut perchée, comme s'il n'avait pas mué, ce qui détonne avec sa stature sportive.

«  Non, chute de rocher, je grimpais sur la parois du petit huit et j'ai dévissé. Je suis tombé sur les éboulis, je suis  descendu à pied jusqu'ici pour arrêter une voiture. Merci de vous être arrêté, il y a plus de ¾ d'heure que je n'ai vu passer personne. »

« Ok monte, rien de cassé tu penses ? A l'heure qu'il est pharmacie et toubibs sont fermés. Soit je te conduis aux urgences de l'hôpital, soit je te soigne moi même. J'habite à ¼ d'heure d'ici et j'ai quelques notions de secouriste. » « Merci mais la deuxième solution sera suffisante, je pense que ce n'est que superficiel. » Nous reprenons la route qui grimpe sur le plateau où je réside dans une ferme typique que j'ai retapée au fil des années. « Putain, désert le coin » me dit il. « Tu sais, j'accompagne des groupes toute l'année, aussi le silence et le calme me vont très bien pour récupérer, sans être ermite pour autant ! ». Ma remarque semble le ravir. Le petit mec se présente : Fred, 19 ans, étudiant en licence de sport, en vacances dans la région où il fait du camping. Il est venu avec un pote qui est remonté deux jours plus tôt et lui pensait rentrer d'ici la fin de la semaine sur Valence ou il réside.

Je le fais entrer dans la grande pièce commune de 50 m2. Seul les meubles et bibelots réalisent des séparations entre cuisine, salon, salle à manger et un coin salle de bain composé d'une baignoire en fonte que j'ai installée face à la baie vitrée donnant sur un champ de lavande… « Super votre intérieur ! »me dit Fred.

Puis il m'explique que son sac à dos est parti dans sa chute et qu'il n'a rien d'autre que son short et ses chaussures. Pas de papier, pas d'argent, pas de téléphone. Ce petit mec est charmant et mignon comme tout avec ses deux fossettes sur ses joues lisses. Je me sens un peu grand frère devant ce minou. « Ecoute Fred, avant de soigner les plaies, peut-être que si tu prenais un bain, le sang séché disparaîtrait et nous verrions l'étendue des dégâts. » « Ok, vous avez raison, je peux vous tutoyer ? j'ai des difficultés avec le vous. »

Sans perdre une minute je commence à remplir la baignoire d'eau, pas mécontent de pouvoir admirer le corps nu de ce petit minet. Tout à coup je le sens derrière moi. « Bon, je suis prêt. » 

Me retournant je détaille le corps de ce presque ado, sculpté par une fine musculature et surtout sans aucun poil, ni sur les jambes, ni sur le torse. Maintenant, je le vois sans toison autour de la queue et les couilles rasées. Il a une bite de taille moyenne avec deux petites couilles bien plaquées sur le chibre. Une sculpture grecque !!! je ne peux retenir une remarque.      

«  Visiblement tu n'aimes pas les poils toi ! » « Je fais beaucoup de cyclisme et les poils avec le goudron, c'est pas terrible... » « Ok je comprends mais tu fais du cyclisme nu pour te raser la queue ? » Il part d'un grand éclat de rire que je partage. « Tu sais moi non plus je n'aime pas les poils » et, joignant le geste à la parole, je baisse mon short pour lui montrer mon sexe également rasé. Les yeux de Fred détaillent : « Effectivement aussi rasé que moi mais pas la même taille… Combien ? 19 ? 20 ? » « Un peu plus que 18 c'est déjà bien. Il est préférable d'avoir une petite active qu'une grande flemmarde... » Ma remarque le fait rire aussi. Puis une idée me vient à l'esprit. Puisque je venais de lui montrer ma bite, il devait se rendre compte que je n'étais pas prude. « Fred je veux bien t'aider à nettoyer le sang mais je peux me dépoiler ? D'ordinaire je suis toujours à poil ici, ça ne te dérange pas ? »  « Tu es chez toi, tu fais comme tu veux… Déjà que tu m'accueilles je ne peux rien imposer. Mais ça ne me dérange pas du tout. Je suis aussi naturiste lorsque je peux. » Alors je fais tomber mes fringues et me retrouve bite pendante devant mon minet. La baignoire s'étant remplie, je l'aide à monter dedans. Visiblement il doit avoir touché le dos dans sa chute car il grimace dans certaines positions. Fred s'asseoit dans la baignoire et je prends un gant de toilette pour lui nettoyer le dos. Il se laisse faire et ma main tient sa poitrine. Je sens ce corps frêle mais ferme sous mes doigts. Le contact de ce corps de minet a un effet désastreux sur ma bite que je sens se tendre doucement. Je donne l'impression d'ignorer ce détail et je poursuis ma discussion et mes mouvements de nettoyage sur ce corps de rêve. Au bout d'un moment je lui propose de se mettre debout pour pouvoir nettoyer ses jambes. Il se lève en plaquant ses mains sur sa bite afin de la cacher.  « Excuse moi mais la situation me fait bander. Je ne suis pas gay mais un beau mec qui me lave je n'ai jamais connu ça et la réaction de ma queue ne se commande pas… désolé... » Je réponds du tac au tac que pour moi l'effet est le même et je lui montre mes 18 cm tendu comme un étendard.

Maintenant Fred est devant moi. Il a enlevé ses mains et ce superbe sexe légèrement décalotté est en face de moi. Ses petites couilles semblent véritablement collées à la base de sa bite. Sans rien laisser paraître je commence à nettoyer le genou blessé. J'ai la queue de Fred en face de mon visage. Je trique à mort mais joue mon rôle d'infirmier modèle. Me penchant pour attraper le savon au fond de la baignoire, la pointe de sa bite vient en contact avec ma joue. Tout à coup je sens les mains de mon minou se poser sur ma tête. « Tu vas pas me laisser dans cet état ? Tu veux me sucer ? » me demande-t-il. Levant les yeux, je vois la tête rayonnante de Fred qui me fixe de ses yeux bleus.

Pour toute réponse, j 'engouffre cette super sucette en gorge profonde. Le minou couine comme un bébé, il se dandine et appuit ses mains de plus en plus fort sur ma tête. Je lui caresse les tétons durs et fins et glisse mes mains sur son corps humide et doux. Puis, toujours sa bite au fond de ma gorge, je glisse mes mains sur ses fesses rebondies. Le mouvement lascif qu'il exécute me laisse à penser qu'il aime ça. Doucement je passe un doigt sur sa raie et presse sur la rosette. Fred se cambre pour sentir mon doigt chercher l'entrée de son trou. Je lui saisis les hanches à deux mains et le fais pivoter. Son cul est devant mon visage : un beau petit cul tout rond et ferme, glabre comme le reste de son corps. Je ne peux résister à écarter ses deux fesses et détailler sa rosette à peine teintée. Ma langue se glisse sur ce trou superbe et tente de rentrer le plus profond possible. Fred cette fois réagit : « Arrête ! Arrête ! Qu'est-ce que tu fais... Je n'ai jamais donné mon cul. Arrête ! » Je m'exécute immédiatement. « Excuse-moi mais je ne pouvais laisser passer une occasion pareille... Mais tu as raison, je cesse et m'occupe de tes blessures. » Après être sorti du bain, avoir enfilé son short et du coup moi le mien, j'installe Fred sur une chaise pour m'occuper de ses blessures. Nettoyage fastidieux pour enlever tous les petits graviers plantés sous la peau. Une bonne heure après, c'est fait. « Merci, tu as fait cela très pro ! » me lance Fred. Il est maintenant 23h30.

« Dis Fred, je ne veux pas compter le temps mais il fait nuit. Veux-tu que je te redescende à ton camping ? Mais si tu veux, nous pouvons casser une croûte ensemble, je t'héberge cette nuit et demain matin on retourne ensemble vers les rochers pour tenter de retrouver ton sac. C'est comme tu veux. » L'idée semble enchanter Fred et joyeusement il m'aide à couper charcuterie, tomates et fromage. La soirée se termine vers 2 heures du matin autour de bières fraîches. Il me raconte qu'il est en internat le reste de l'année, que sa licence de sport sera obtenue l'an prochain, qu'il n'a pas de copine fixe et, suite à la complicité que nous avons créée, il me confie que bien qu'ayant « bricolé » avec des nanas il était toujours puceau, mais que ça ne lui prenait pas la tête et que les choses devaient arriver au bon moment.

En raison de l'heure je l'invite à se diriger vers le coin nuit, la seule pièce encore en cours de rénovation. Je n'ai qu'un grand matelas de 160 de large posé à même le sol sur des tapis épais rapportés de Turquie, et le mur ouest de la chambre a été remplacé par une baie vitrée de 3 m sur 2,5 donnant sur le plateau aride planté de futaies sèches. Fred exprime son admiration pour l'aménagement et me bombarde de questions sur les masques et bibelots divers rapportés d'Inde, de Russie, d'Afrique où je m'étais rendu. Ce n'est que vers 4 heures du matin que je renonce à répondre à toutes ses questions sur les pays qu'il rêve de découvrir.

Je quitte mon short et m'étale sur le lit, laissant juste une petite veilleuse lumineuse éclairée. « Tu te couches comme tu veux, Fred, à poil, en short, en pull… Mais couche-toi, je n'en peux plus ! » Comme je l'espérais, il se met nu et s'allonge à coté de moi. La largeur du lit nous laisse largement la possibilité de ne pas nous gêner pendant la nuit. Chacun est allongé sur le dos, les bras derrière la tête. Nous commençons à nous détendre et le corps nu de mon petit mec a lentement des effets sur ma bite. Fred prend la parole. « Merci pour cette soirée et les soins, je suis super bien chez toi. Peux-tu éteindre la veilleuse ? La lumière de la nuit à travers la baie vitrée semble suffisante. » Je m'exécute et peux apercevoir le corps fluide de Fred à contrejour. Après la réaction qu'il a eu avec ma langue sur sa rosette, je conclus que rien ne va plus se passer entre nous et que je vais rester sur l'admiration de cet éphèbe à mes cotés. Mais les choses sont parfois surprenantes. Alors qu'il y a une bonne ½ heure que je suis sur le dos et les mains croisées sous la tête, je sens Fred se rapprocher de moi jusqu'à sentir son épaule contre la mienne. Je ne bouge pas, appréciant la douceur de sa peau contre la mienne. Dans une série de mouvements de mon éphèbe qui semble chercher le sommeil, sa main vient se plaquer sur ma poitrine. Je ne bouge toujours pas mais mon cœur bat de plus en plus fort et ma bite est tendue au maximum. Lentement je sens les doigts de Fred se glisser sur ma peau. Il me caresse le torse. D'abord très légèrement, des effleurements,  puis de façon de plus en plus appuyée. Bientôt sa main descend vers mon nombril. Je n'en peux plus. Et je tente un mouvement dans sa direction. Le premier contact est la pointe de sa bite qui mouille. Je glisse sa queue dans ma main pour en faire un fourreau. Fred se tortille comme pour demander à ce que je le branle. Je ne l'entend pas de cette oreille car avec un puceau l'éjaculation peut être rapide et la libido retomber aussitôt. Il faut que je fasse durer la tentation et si, in fine, je peux arriver à niquer mon petit minou, je serais le plus heureux des baiseurs.

Je tourne sur le coté et son visage fait face au mien. Je lui prends la tête dans la main pour attirer sa bouche vers moi. Bientôt sa langue et la mienne partagent une recherche commune. Il embrasse comme un débutant, ne voulant pas laisser pénétrer ma langue dans sa bouche et gardant les lèvres à peine ouvertes. Mais, après quelques essais, il laisse enfin entrer ma langue dans sa bouche puis nous partageons de longs baisers torrides. Avec cette intensité je suis certain qu'il éprouve un véritable plaisir. Ses mains parcourent mon corps sans descendre vers ma queue… Nos deux corps serrés l'un contre l'autre, nos deux bites se plaquent l'une à l'autre, je sens sa mouille m'engluer le ventre. Mes mains malaxent ses fesses, mes doigts parcourent sa raie, enfin mon index trouve la rosette et titille ses sphincters. Cette fois, à la façon qu'il a de se tortiller, je sais que ce doigtage initie du plaisir chez mon minet. Je le fais retourner et lui lèche le dos, les fesses puis enfin le trou. Cette fois il se laisse pénétrer de plus en plus profond par ma langue... Et comme je suis un vieux roublard, à portée de main j'ai du gel et des capotes. Dès que je commence à lui lubrifier le cul, il me demande ce que je fais. Ma réponse est prévue : « Laisse-toi faire, tu vas connaître le plaisir et moi aussi. Je te promets d'arrêter dès que tu veux». Doucement je frotte ma queue sur la raie de mon éphèbe qui insiste pour que ce soit plus rapide. Enfin je lui introduis un doigt pour bien le lubrifier puis deux et là je sens sa résistance. « Cool Fred, détends-toi, laisse entrer doucement... » Mes paroles calmes ont l'effet escompté : il se détend comme les sportifs savent le faire ». Je pose la pointe de ma queue vers ce trou palpitant. Bien qu'il est super serré je ne force pas beaucoup pour enfoncer de deux centimètres. Sous les feulements de mon petit Fred je poursuis ma pénétration, lentement, amoureusement, calmement. Enfin mes couilles se mettent à taper sur ses fesses. Mes 18 centimètres sont rentrés. « Fred, je suis à fond ! » Quelques instants après mon sexe est comprimé par les palpitations de son cul. Je sais qu'il est en train de jouir. Je décule doucement pour lui éviter la douleur. Fred se repositionne sur le dos et moi je me rapproche pour l'embrasser. Mon dos est en contact avec le foutre qu'il a craché sur les draps. Je suis gluant et poisseux. « Putain Fred, tu n'as pas joui depuis 3 mois pour juter une telle quantité de sperme ! » Il me répond qu'il pense avoir eu la plus grosse éjaculation depuis longtemps. Cette fois, heureux, je reprends ma position sur le dos. Le sperme de Fred sèche sur ma peau. Il pose sa tête sur mon épaule et dans mes bras il s'endort.

Mais deux heures plus tard le soleil passe à travers la baie vitrée et baigne le lit de ses rayons. Je sens la bouche de Fred m'embrasser sur l'épaule puis me sucer les tétons et me faire plein de bisous sur les abdos. Je profite de cette position pour lui pousser la tête en direction de ma queue tendue. Je sens une hésitation et une résistance de sa part. «  Fred, ou tu termines ton éducation ou tu resteras dans le doute... » En même temps, je soulève mes fesses pour placer ma bite devant sa bouche. Il commence à donner des coups de langue sur ma hampe mais je force le passage et enfonce la pointe de ma queue entre ses lèvres. Enfin il ouvre la bouche et commence à sucer correctement. Visiblement il y trouve du plaisir. « Fred, je ne vais pas tarder à jouir, garde mon sperme dans ta bouche et ensuite viens m'embrasser : nous partagerons ensemble ma semence. » Dès la deuxième éjaculation, Fred sort ma bite de sa bouche. Aussi, les trois autres jets viennent s'écraser l'un sur son visage, les deux autres sur mon torse. Fred se couche sur moi, étalant le sperme de nos deux corps, puis vient m'embrasser. Rapidement je comprends qu'il me donne la totalité du foutre qu'il a gardé sans en avaler la moindre goutte. En jouant avec nos langues et nos salives nous partageons ma semence. Il semble moins apprécier que de se faire enculer, les goûts et les couleurs ne se discutent pas ! « Fred, va te rincer la bouche et reviens ». Il se lève jusqu'au lavabo pour boire un coup puis retourne se coucher à coté de moi. Enfin il prend la parole : « Tu sais, je ne me doutais pas hier en te voyant aussi viril que tu aimais les hommes. Je ne pensais pas non plus perdre mon pucelage avec un mec, et surtout je craignais par-dessus tout la douleur de la pénétration alors qu'il n'en a rien été… Chapeau mec ! ». Ce fut encore l'occasion d'un baiser. « Allez Fred, au petit dej' ! »

J'ouvre en grand les deux portes vitrées qui donnent sur la garrigue. Et, toujours nus, face au soleil, nous nous installons autour de la table en bois. « C'est la première fois que je prends un petit dej' à poil » me dit-il en riant. Mais naturellement vous vous doutez que nos ébats ne se sont pas clos comme ça. Je l'ai baisé sur la table en bois dehors, niqué à califourchon sur moi assis sur une chaise, enculé debout les bras appuyés sur une branche d'arbre… sucé, pompé sa sève et la partager avec lui.

Le lendemain vers 16 h nous avons été récupérer son sac vers les éboulis où il était tombé. Fred est resté trois jours chez moi pendant lesquels je l'ai initié à plein d'autres plaisirs, le dernier était qu'il me pisse dessus, jeu qu'il n'a pas voulu partager. Nous nous sommes séparés, nous nous sommes téléphoné avec beaucoup de plaisir puis il a fini par rencontrer une superbe copine… Nous ne nous sommes pas revu mais gardons des contacts d'amitié. Pour tous je suis son Saint-Bernard et lui mon petit grimpeur imprudent. Nous conservons nos secrets bien enfouis dans nos mémoires mais je ne pense pas qu'ils disparaissent.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 27 septembre 7 27 /09 /Sep 23:11

En cette fin de semaine, l'internat est presque vide car en période d'examen seules quelques personnes restent au lycée. C'est mon année de Bac, donc l'achèvement de 3 ans de vie d'internat. Je connaissais déjà mon homosexualité mais personne n'était au courant. Pendant ces 3 ans, un mec a attiré mon attention : Guillaume. Il était plutôt hétéro : look de footeux, des abdos bien dessinés, une gueule qui fait bander. Bref en ce jeudi soir il ne restait dans l'internat que 4 personnes : moi, Guillaume et ses 2 amis aux mêmes look de footeux. Trop peu d'élève, il n'y avait donc pas de surveillant. Je dois dire que j'ai souvent fantasmé sur Guillaume et ce qui s'est passé ce jeudi m'a vraiment plus...


Alors qu'on rentre à l'internat après une journée de révisions avec les quelques profs volontaires pour aider les élèves,  Guillaume conclut par un entraînement de foot avec ses 2 acolytes. Ils veulent me faire participer mais comme c'est pas trop mon truc alors je remonte à l'internat toujours en pensant à Guillaume. C'est vers 19h30 que rentre Ben et Quentin, ses 2 acolytes. Ils montent puis vont aux douches comme chaque soir et y attendent Guillaume pour discuter. Les douches sont alignées et séparées, ferméés par une porte. Ma chambre est sur le chemin pour aller aux douches, j'en profite toujours pour laisser ma porte ouverte afin de pouvoir les mater lorsqu'ils vont torse nu se laver...

Les heures passent et arrivent 21h. Ils étaient douchés depuis longtemps et le calme s'est installé, laissant place à un silence des plus mortels. Quand soudain j'entends des bruits venant de la chambre de Guillaume qui, pour les révisions, partage l'espace avec Ben et Quentin. Je me dis qu'ils se battent, pour s'amuser bien sûr, et qu'ils ont oublié qu'ils ne sont pas seuls à l'internat. Je fais abstraction du bruit mais tout à coup j'entends des gémissements provenant de leur chambre. Je me dit qu'ils se sont bagarrés et qu'il y en a un qui s'est blessé, alors je sors et m'approche de leur porte, tend l'oreille et finalement ouvre la porte. Et la le choc ! Guillaume était en train de baiser Ben tout en taillant une pipe à Quentin ! Je suis abasourdi ! Ces trois gars que je croyais 100% hétéro... Pris de réflexe je referme la porte même si cette situation m'excite. Ben, qui m'a vu me lâche un :
- " Hé !"
Je rouvre la porte, timide mais excité.
- " Désolé les gars, j'savais pas que vous...
- Qu'on baise ?
- Ouais.
- C'est un trip, on voulait le faire depuis un moment, mais vu qu'il y'a toujours du monde à l'internat et un pion, on pouvait pas. Et j'me suis dit que vu que t'es gay, ça te dérangerait pas de nous entendre !
- Mais comment ? D'où vous savez ça ?
- Quand on rentre de foot et qu'on va à la douche, ta chambre est toujours ouverte ! Même si t'es discret on te voit nous mater...
- M... Mais...
- Bon reste pas là, entre !
- Alors comme ça, il nous mate le cochon ?"
Quentin m'attrape et me désape. Je suis dans un petit short et à poil en dessous.
- "Hmmm mais regardez ce bon morceau les gars !
Quentin commence à me rouler une grosse pelle qui dure au moins 5 minutes ! Guillaume continue de baiser Ben qui prend son pied ! Quentin a sorti sa queue de la bouche de Guillaume, j'en profite pour la prendre en main.
- Hmm il est joueur !
- Vas-y, suce-le ! Me dit Ben.
J'attrape sa queue en bouche et lui fais une gorge profonde comme j'ai l'habitude de faire, ce qui ravit Quentin.
- Putain les gars, il a tout pris en bouche ! C'est une bonne salope ça !"
Puis au bout de 10 minutes, Quentin s'exclame :
- "J'vais tout lâcher !"
Il se retire mais je la reprend en bouche pour qu'il me lâche tout dans la gorge.
- "Oh putain, c'est bon, t'es une petite salope qui prend tout en bouche !"
Là je me relève, la bouche pleine de jus, et lui rend sa pelle mais avec tout son sperme.
- "Hmm putain c'est bon ! J'pensais jamais y gouter..."
Ben qui s'était retiré de la queue de Guillaume mais qui est toujours à genoux, commence à sucer la queue de Guillaume qu'il avait dans le cul 5 minutes plus tôt et ça a l'air d'être sa première fois. Il est hésitant sur ses va et vient. Alors je commence à sucer Ben pour lui montrer comment s'y prendre et je sens qu'il fait pareil à Guillaume qui commence à gémir, et se tourne vers moi :
- "T'es bien foutu, ça te dirait de me sauter ?"
Je retire la queue de Ben.
- "Ouais depuis le temps que j'en rêve ! C'est ta première ?
- "Oui, je suis plutôt actif d'habitude..."
Quentin sort un gode :

- "Avec ça tu vas pouvoir le préparer...
- "Putain les gars, vous vous amusez bien ici !
- "Le gode c'est pour Ben, il se le prend tous les soirs et me le remet ensuite."
- "Donne !
- "Tiens du lubrifiant avec..."
Je prends le Gode, Guillaume se cambre sur mon coté et je lui lubrifie le cul et son jouet avec avant de lui fourrer doucement.
- "C'est bon ? T'es prêt ?
- Vas-y, j'suis chaud !"
Je lui rentre le gode entimètre par centimètre. Guillaume prend son pied :
- "C'est trop bon putain ! Vas-y encore, encore !
- Il y est tout entier ! C'est rentré comme dans du beurre ! Même lubrifié t'as un cul de salope !
- Hmmm, vas-y fort maintenant !"
Je le gode doucement puis très vite et, en même temps, je reprends la queue de Ben en bouche tandis que Quentin, qui est pourtant plutôt actif aussi, se surprend à me sucer la queue...
Tout ça dure bien 10mn. Dans la chambre ça pue le mâle. Je sens que Ben va jouir donc, comme pour Quentin, je prends tout en bouche et lui fais signe de se retourner.
Etonné il s'exécute et je lui crache tout son jus dans le trou puis commence à le doigter.
- "Hmm... t'es un vrai pervers toi, j'adore !
- T'as pas fini de voir ce qui t'attend !"
Quentin, décu de ne plus pouvoir me sucer, commence à me lécher le trou alors que je nique Ben.
- "Hmm, putain Quentin tes coups de langue sont hmmmmm !
- Avec ou sans capote ?
- T'es clean ?
- Oui, toi aussi ?
- Toujours ! Vas-y !"
Là c'est le plan de mes rêves : Ben à 4 pattes, ma queue fourrée dans son cul, et Quentin qui vient placer la sienne derrière, Guillaume en devient jaloux.
- "Guillaume, approche ta queue, j'ai pas encore eu l'occasion !
- Tiens, elle est à toi ma salope !
A ses insultes je commence à devenir plus soumis que jamais et ils le sentent. Après quelques minutes de pilonnage,
j'ai l'impression de leur apprendre à baiser mais en même temps d'être leur salope.


On se retire tous et j'ai grave envie de me faire prendre violemment. J'aime les coups de reins bien secs alors je me relève et dis à Ben de se mettre assis sur le bureau. Je prends sa queue en bouche et me cambre bien pour que Guillaume ou Quentin viennent me prendre et c'est Guillaume qui est chaud. Il rentre facilement car Quentin m'a déjà bien ouvert le cul. Il y va doucement, on dirait qu'il aime la baise en douceur mais je dois lui rappeler que je suis un mec très salope. Alors je lui tire le cul avec les mains pour qu'il me cogne le fond des entrailles et je le sens hésitant. Mais très vite à l'aise, il prend un rythme de va et viens tellement bestial qu'il en gémit et moi aussi. Quentin s'assoit sur le coté, épuisé de m'avoir baisé. Guillaume reprend :
- "Oh putain, t'aime ma queue toi ! Tu gémis comme une chienne !
- Vas-y plus fort, j'veux te sentir en moi ! Oui j'suis ta salope, ta chienne !
- Regarde comment t'aime ça ! J'te tamponne tellement fort que t'en fais une profonde à Ben !
- Glurp Glurp...
- Putain j'aime trop cette salope !
- J'ai tellement envie de lui faire plus qu'une bite dans le cul !
- Les gars, une double ça vous tente ?
- Une double ?
- Deux Bites en même temps dans ton cul de salope ?
- Voila !
- Mais on se place comment ?
- Ben, allonge toi sur le dos, je viens m'empaler dos à toi et Guillaume vient me prendre par devant face à moi..."
Ils se placent correctement après quelques essais.
- "Voila ! Restez bien allongés, rapprochez vos queues un peu plus...
Ils emboîtent les jambes et leurs queues n'en forment plus qu'une.
- "Go les gars ?
- On est chauds !"
Je m'empale sur leurs queues, ça glisse tout seul !
- "Putain, ton cul prend tout d'un coup !
- J'en suis pas à ma première...
- On aurait jamais cru ça !
- Maintenant c'est moi qui fais les va et viens !"
Là, je me baise comme une chienne. Je gémis, je suis tellement excité que j'ai l'impression que ma queue va exploser :
- "Putain les gars, à 2 vous me faites encore plus de bien !
- Hmmm Ahh Ouiiii ENnnn Ouii
- Putain mais Enhnhh EHhmmmm
- Quentin tu kiffes ?
- J'ai l'impression d'être devant un bon porno avec une salope qui se fait baiser comme il faut !
- Tu suces ?
- Oui !
- Vas-y, prends la moi en bouche, j'ai la queue qui va exploser !"
Il prend ma queue en bouche et il suce divinement bien ! Je ne tarde pas à tout cracher, mais lui n'avale pas, il se relève et me roule une pelle en mélangeant jus et salive.
- "Hmmmmm c'est tellement bon !"
Je continue de m'empaler à un rythme tellement rapide que mes deux niqueurs ne peuvent plus se retenir. Ils me lachent tout leur jus dans le cul et se retirent. Guillaume me dit aors :
- "Excuse c'était trop jouissif...
- Ouais trop !
- Vous inquiétez pas, j'aime ça, sentir le jus chaud me remplir..."
J'ai le cul qui ruisselle de sperme et j'en prends sur mes doigts pour les fourrer dans la bouche de mes niqueurs.
- "Hmmm j'aime trop ce goût ! S'écrie Guillaume.
- Mélange bien épais !" de l'avis de Ben. Et à mon tour :
- "Les gars ça vous a plu ?
- Putain t'es trop bon !
- J'suis pas encore assouvi, j'en veux encore, quelqu'un ?
- On est mort, tu es une salope bien endurante ! On a juste envie de pisser maintenant...
- Ca tombe bien ! Vous connaissez les trips uro ?
- Non ?
- Venez avec moi !"
Je les emmène dans les douches avec une idée en tête. Je m'accroupis dans les douches, la bouche grande ouverte.
- "Allez-y les gars, arrosez-moi, remplissez-moi !
- Putain je connaissais pas mais ça m'excite grave !
- Moi aussi...
- Bah moi j'voudrais bien essayer ! Romain, j'peux m'asseoir à coté de toi et me faire remplir aussi ?
- Viens, tu vas voir, c'est excitant !
- Moi je prends Romain.
- Moi Ben !
- Pas de pitié les gars : arrosez-nous tous les 2 ! Et toi Ben, ouvre la bouche..."
Je prends un peu de pisse en bouche, je sais même pas à qui elle est tellement ils se lâchent. Je recrache dans la bouche de Ben en lui roulant une pelle !
- "Putin les gars vous nous refaites bander !
- Moi j'suis trop excité !"
Du bruit se fait entendre au bout du couloir.
- "Qui c'est ? Y'a pas de pion ?
- Non c'est la permanence qui vient faire son tour de garde.
- Dépêchez-vous de vous douchez !"
Les bruits de pas se rapprochent. A peine le temps de se doucher qu'on se fait griller. Un surveillant apparaît :
- "Putain, un internat de salopes !"
Un grand rebeu lascar, tout droit sorti de la cité.
- "On va se coucher, vous inquiétez pas !"
On était gênés et on regagne nos chambres en s'embrassant. Au passage je remarque que voir 4 mecs à poil ça fout le barreau au lascar...


Je regagne ma chambre, déçu de ne pas pouvoir profiter plus de mes 3 baiseurs. Il est déjà 22h, on a baisé 1h ! C'était tellement rapide ! J'essaie de m'endormir mais pas moyen. Quelques minutes après une ombre derrière ma porte de chambre se fait apercevoir, la porte s'ouvre doucement. Je me suis couché à poil pensant que mes baiseurs reviendraient me voir.
- "C'est qui ?
- C'est moi..." Et là je reconnais la voix du surveillant !
- "T'inquiète, rougis pas ! Au contraire, 4 PD ça va me changer moi qui pensais me faire chier en venant ici, je vais pouvoir me vider les couilles.
- "M... Mais...
- Pas de mais, sale chienne !"
Il baisse son froc, il ne porte pas de caleçon mais bande bien fort.
- "Tourne toi !"
Je suis tellement excité par ses ordres que je ne réfléchis pas et j'obéis.
- "Hmm t'as le cul bien ouvert salope ! Prends ça !"
Et là il me claque à sec sa queue au fond de mon trou.
- "T'aime la baise violente ? Prends ça !"
Il me bourrine d'une force ! Il me semble que ma tête va passer à travers le mur et je hurle de plaisir. Ses coups de butoirs sont intenses et j'adore ! Mes hurlements et Gémissements ont alerté le trio de choc et je les vois arriver. En voyant le pion me défoncer comme je l'adore, ils sortent leurs queues et se branlent à coté de moi !
- "Hmmmm, des petits voyeurs ! C'est une vraie pute votre pote !
- Oui tu l'as dit, on lui a pissé dans la bouche tout à l'heure !
- Plan Uro ? Hmmmmm, excitant..."
Il continue de plus en plus fort et finis par dire :
- "J'vais jouir !"
Il enlève sa queue de mon cul et je la prends en bouche. Mon trio se rapproche aussi et ils se finissent tous dans ma bouche pleine de mélange de sperme que je ne tarde pas à avaler devant le regard ébahi de tous.
- "Bonne salope !
- Merci Romain !"
Le trio repart mais mon lascar reste.
- "Tiens mon numéro. Dès que tes exams sont finis envoie-moi un SMS. Si t'as eu ton BAC, passe à la cité, avec des potes on te fera la fête à la cave !"

Depuis, tous les weekends je me rends dans la cave de la cité où m'attendent toujours des mecs différents qui me prennent en tournante, me pissent dans la gueule, m'humilient et me fistent !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 20 septembre 7 20 /09 /Sep 14:05

Avant qu’il m’arrive ce que je veux vous raconter, je ne savais pas si j’étais pédé. J’ai vingt-et-un ans et j’ai déjà baisé pas mal avec des filles. Et puis je suis parti en vacances en stop parce que je n’avais pas de thunes et que je voulais aller au bord de la mer. En stop, ce fut un peu long et je me suis emmerdé un peu. Après deux jours de route, j’étais toujours pas arrivé et je commençais à flipper parce qu’il ne me restait plus que trente bornes à faire et que ça faisait déjà au moins deux heures que je m’étais fait larguer sur cette route sans une putain de bagnole pour s’arrêter !

Enfin une voiture a stoppé. Une Audi TT blanche plutôt cano.

— Tu vas où ?

— Vers la mer.

Le mec s’est marré en me disant :

— Ça, c’est précis au moins ! Monte !

Je suis monté. Le type était plus vieux que moi, la trentaine peut-être... En tout cas il avait du fric pour se payer une bagnole comme ça. Il m’a dit qu’il bossait dans une grosse boîte, qu’il voyageait beaucoup. Et puis il m’a demandé si j’aimais baiser, si j’avais déjà baisé à plusieurs et si j’avais déjà baisé avec un mec.

Je me suis dit : “Ça y est, je suis tombé sur un pédé !” Mais en même temps il était vraiment sympa ce mec. Pas le genre pédé efféminé qu'on imagine. Plutôt costaud, sportif. Je n’ai pas répondu tout de suite parce que je ne savais pas ce qu’il fallait que je réponde. Mais comme il n’était pas con il m’a dit :

— Ça ne te dirait pas d’essayer ?

Il y avait une drôle d’ambiance dans cette bagnole, je me sentais bien, cool. Je me suis entendu bafouiller : “Pourquoi pas ?”. Il voulait m’emmener chez lui et là j’ai dit non. Il a souri et m’a dit que c’était comme je voulais. Quand il a posé sa main sur ma cuisse, j’ai sursauté.

— On s’arrête dans un coin tranquille ?

J’ai fait signe de la tête que oui. Je commençais à regretter ce que j’avais dit... Et puis tout a été très vite. Je me suis retrouvé coincé contre une espèce de baraque en bois avec une main qui me pétrissait les couilles vigoureusement. C’était une drôle de sensation. J’étais toujours assez méfiant mais j’avais la bite qui gonflait dans mon slip. Le type était assez autoritaire. Après m’avoir malaxé le paquet, il a carrément défait ma ceinture et baissé mon froc. Il s'est agenouillé. Là, je me suis senti très excité. Je me suis dit : “Il va me sucer !”.

Il a approché ses lèvres de ma queue. J’ai senti sa bouche qui m’aspirait le nœud, ça m’a fait presque mal tellement c’était fort. Et puis cette langue qui me léchait pendant que je me faisais pomper ! Jamais une gonzesse ne m’avait sucé pareillement. J’aurais vraiment voulu que ça dure des plombes. En plus il s’est aidé de ses mains pour me les glisser le long de la raie du cul, derrière les couilles. Moi, une fois, je m’étais mis un doigt dans le cul et j’avais bien aimé. J'avais presque envie qu’il le fasse. Seulement, je sentais que j’allais jouir tout de suite. Alors j’ai laissé parce que j’avais envie que ça dure encore. Je me suis retenu un peu. Et comme j’avais la bite qui menaçait d’exploser, j’ai averti que j’allais jouir. Le type a sorti ma queue de sa bouche et j’ai gueulé pendant que je déchargeais. Putain de jouissance ! J’en revenais pas. J’avais les jambes qui tremblaient méchamment. Je suis tombé sur les genoux en fermant les yeux. J’ai senti que le mec défaisait son ceinturon et baissait son froc à son tour. Il a guidé ma tête vers son ventre. Ça sentait bon ! J’aurais pas aimé sinon... Je ne savais pas comment faire mais j'ai trouvé tout seul et j'ai commencé à lécher sa queue avec ma langue puis je l'ai prise en entier dans ma bouche. J’ai trouvé que c’était vachement bon ! Après, je l’ai sucé tout en faisant glisser ma main derrière les couilles comme il m’avait fait avant, jusqu’au trou du cul. Il avait un trou plutôt large et j’ai mis un doigt. Ça avait l’air de lui plaire. Je lui ai branlé le cul comme ça pendant que je le suçais. J’ai entendu qu’il gémissait de plus en plus et sa queue a grossi encore dans ma bouche. Elle prenait toute la place. Il m’a écarté la tête pour gicler et puis il s’est essuyé avec des Kleenex. Il m’a demandé comment j'avais trouvé ça et j’ai dit : “Super !”.

Après on a parlé un peu dans sa bagnole. Il m’a laissé au bord de la mer, au camping. Avant, il m’a montré des endroits où il y a des hommes qui viennent pour draguer. Je n’aurais jamais imaginé ça, je ne le croyais pas. Il m’a dit : “Regarde !” et effectivement j’ai vu qu’il y avait quelques mecs qui attendaient. J’étais à nouveau très excité. En plus j’étais arrivé et j’étais plutôt content. Le type est reparti. J’ai monté ma tente et je suis parti voir la mer avant qu’il ne fasse complètement nuit. Mais cette aventure en auto-stop ça m’avait excité et, bien que j’aie craché mon foutre, j’avais l’impression qu’il m’en restait encore dans la queue. Je suis retourné vers le lieu que le type à l’Audi m’avait montré. J'étais comme dans un état second, sinon je n’aurais jamais osé faire ça. C’était dans une espèce de petite pinède, sur des dunes, au bord de la mer. J’ai rien eu à faire. Il y a mec qui s’est approché de moi et qui m’a demandé du feu. On a allumé une clope ensemble. Après on s’est branlés tous les deux en même temps. Au moins au début il m’a soulevé mon tee-shirt et a commencé à me mordiller un téton. J’ai trouvé que c’était super-bon ! Surtout qu’il continuait à m’astiquer avec sa main. Je lui ai dit que j’avais très envie de me faire sucer la bite. C’était un contact différent, plus doux, plus moelleux. Il suçait bien aussi et j’ai joui une autre fois, presque dans sa bouche. Mais on n’avait pas envie de s’arrêter. Je l’ai branlé jusqu’à ce qu’il jouisse. Il n’a presque pas craché. Il m’a dit en rigolant que c’était parce qu’il baisait trop. Incroyable ! J’étais encore excité ! J’avais l’impression que ma bite en avait encore envie. Ça m’est déjà arrivé d’avoir besoin de me branler trois fois par jour, mais là, c’était encore pire !

J’ai glissé à l’oreille du mec : “J’ai envie de t’enculer !” Il a sorti de sa poche de jean un préservatif, il me l’a tendu et il m’a dit en se marrant :

— Tu m’encules pas comme un sauvage, j’ai le trou du cul fragile !

Je lui ai écarté la raie du cul et j’ai fourré ma langue dedans. J’ai essayé de pousser ma langue très loin. J’ai mis le préservatif sur ma queue et je l’ai guidée entre les fesses. Elle a buté contre l’anus. Je pensais que c’était plus mou. J’ai un peu hésité. Le mec a donné un coup de reins et ma bite est entrée dans son cul. Et c’est moi qui ai gueulé le plus fort ! Je n’avais jamais connu des sensations pareilles. J’avais la bite serrée dans ce trou et en même temps je sentais mes couilles, les couilles du mec, sa bite. C’était trop et je n’ai pas pu résister très longtemps. Moi qui suis parfois long à jouir, j’ai craché ma purée presque tout de suite. Je me suis écroulé sur lui en gémissant. Le mec m’a demandé :

— C’est la première fois que t’encules un mec ?.

J’ai dit oui. Et puis je lui ai dit que je n’étais pas pédé. Alors il s’est marré et il m’a dit que tout ça, ça ne voulait rien dire, qu’on prenait son pied comme on voulait et que du moment qu’on prenait son pied, c’était le principal...

J’ai revu ce mec plusieurs fois pendant mes vacances et puis quelques autres types aussi, la nuit. Et puis, à la plage, j’ai continué à draguer des filles. Mais je crois que c’est avec les mecs que je m’éclate le plus !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 13 septembre 7 13 /09 /Sep 15:52

Je viens de terminer mes études d'infirmier à l'armée mais avant d'être officiellement diplômé, nous devons faire un dernier stage dans une unité et moi j'ai hérité d'un lycée ! Des jeunes gars de 16 à 18 ans si j'ai bien compris. Et cela m'arrange assez. Une unité avec de jeunes conscrits aurait aussi fait mon affaire !

C'est vrai que depuis mes 14 ans – j'en ai 21 maintenant – je fantasme sur les gars. C'est peut-être pour cela inconsciemment que j'ai choisi la carrière d'infirmier militaire. Qui sait.

 

En tout cas, ce 24 février je me rends à mon lieu de stage et ma feuille de route me dit que je dois me présenter à 15 heures devant le médecin chef attaché au lycée. Et à l'heure dite je frappe à la porte de son bureau.

On m'invite à rentrer, j'avance jusqu'à 2 mètres du bureau, je me mets au garde-à-vous et me présente : Brigadier Demeuse au rapport lieutenant. Et oui, c'est un tout jeune médecin, je lui donne 26 ans max. Mais bien vite il me met à l'aise et vient vers moi, me tend la main et se présente comme le lieutenant Lermite et m'invite à m'asseoir.

— Tu sais... Olivier nous sommes les deux seuls représentants de la division médicale dans ce lycée, alors quand on est seul je t'appellerai par ton prénom et toi par le mien, Pierre.

Puis nous parlons un long moment de ma formation et de la sienne et, durant cette longue discussion, il me regarde tout le temps droit dans les yeux. Moi, j'en fais de même : c'est vrai que je le trouve à mon goût mon supérieur hiérarchique !

 

Puis, il m'emmène vers l'infirmerie : mon domaine. Il m'explique que médicalement je n'apprendrai pas grand-chose ici si ce n'est de faire quelques fois par semaine l'un ou l'autre bandage ou soigner des rhumes, des grippes ou des coliques. Des petits bobos quoi. Rieur, il ajoute :

— Le plus chouette ce sont les gars qui se portent pâles pour éviter les corvées, les tests ou les exercices militaires. Et ils sont parfois nombreux. Aussi, un de mes prédécesseurs ici a mis un petit manège au point pour décourager les "tire au cul". Je vais t'expliquer et te montrer.

L'infirmerie comprend une salle de consultation avec un lit du même nom, un petit bureau et une armoire remplie de médoc avec pas mal de thermomètres, ainsi qu'une plus grande salle avec 6 lits. Aujourd'hui aucun lit n'est occupé. Et Pierre reprend ses explications :

— Tu vois, aucun malade ! Mais ce matin tous les lits étaient occupés. Alors j'explique et toi tu joues le rôle du lycéen qui veut se débiner pour l'une ou l'autre corvée.

J'acquiesce de la tête.

— Alors Olivier, qu'est-ce qui t'amène ?

— Je ne me sens pas bien lieutenant ce matin.

— Bon déshabille-toi complètement et va te coucher sur l'un des lits.

Alors je me dirige vers un des lits et je me déshabille jusqu'à mon boxer – car je bande légèrement – et je me couche sur le lit. Quelques instants plus tard, Pierre s'approche muni d'un thermomètre et d'un petit pot.

— J'ai dit à poil, Olivier, dit-il d'un air fâché.

J'ôte mon caleçon rapidement et laisse apparaître ma bite gonflée que Pierre ne peut pas ignorer. Il me fait coucher sur le ventre et tout en faisant, il m'explique :

— Une fois qu'il est couché sur le ventre, tu prends une petite noisette de vaseline sur ton doigt ganté et tu graisses bien sa petite rosette et tu enfonces bien ton doigt dans sa fente : le gars doit un peu souffrir. Ensuite tu lui enfonces le thermomètre.

Moi, je sens l'engin me pénétrer et Olivier l'enfonce bien profondément jusqu'à ce qu'il passe complètement mon sphincter. Je me remets à bander. Mais Pierre continue son explication :

— Et tu l'enfonces jusqu'à ce qu'il ne reste plus que 2cm du thermomètre visible. Ensuite, tu fais mettre le lycéen sur son côté de telle façon que tu vois comment il réagit et tu le laisses ainsi durant au moins dix minutes.

A ce moment là, je sens qu'il me prend par l'épaule pour m'obliger à me tourner sur le côté et Pierre découvre évidemment que je bande aussi avec ce truc planté dans mon cul. Et Pierre d'enchaîner :

— Alors tu aimes ça aussi mon petit brigadier !

Et, toujours le thermomètre planté dans mon cul, il me prend par le cou et m'emmène vers la salle de consultation. Et ses explications continuent. Je bande toujours.

— Après les dix minutes, tu vas chercher le gars, tu laisses le thermo en place dans son cul, tu l’amènes près de la table de consultation et là seulement tu lui retires le thermomètre et tu lis la température mesurée. Ici, comme tu le sais, on a de la fièvre à 37°C. Si le gars est vraiment fiévreux, tu le renvoies dans son lit. Dans les autres cas, une fois le thermomètre retiré, tu le fais prendre la position suivante.

Et il m'oblige à me coucher de tout mon long en travers du lit de telle façon que mon bassin repose sur le bord du lit.

— Ainsi, Olivier, tu voulais échapper à un cours ou une corvée mais tu n'es pas du tout malade. Tu as essayé de tricher : voici le tarif. Ou je fais un rapport négatif sur toi avec toutes les conséquences pour la suite de tes études mais aussi une suppression certaine de tes prochaines permissions ou tu te soumets au règlement du corps médical. Tu as le choix.

Moi, je joue le jeu et dis :

— Non, non lieutenant, je me soumets à votre règlement.

Alors, sans attendre, je sens la main de Pierre qui s'abat sur mes fesses et il me donne une fessée magistrale d'une bonne dizaine de minutes. Je crie, je gesticule mais en vain car il a pris position sur le petit banc au pied du lit et d'une main il me fesse et de l'autre il me tient plaqué contre le lit à la hauteur de mon cou.

Et enfin, quand il me lâche et me redresse, je ne peux et je ne veux cacher ma terrible érection. Je me couche sur le lit pour récupérer un peu mais déjà Pierre s'est emparé de ma bite qu'il masse d'une main tandis que de l'autre il me travaille les tétons et me dit :

— En te voyant tout à l'heure et au vu du regard perçant que tu m'adressais, je savais que je ne m'ennuierais pas avec toi !

Et Pierre d'engloutir ma queue dans sa bouche et de me pomper à fond jusqu'à ce que je crache tout mon jus dans sa bouche. Il s'est alors couché sur moi de tout son long et a posé ses lèvres sur les miennes et quand j'ai ouvert ma bouche il a déposé sur ma langue tout le foutre que je venais de juter. Nous sommes restés un court moment ainsi, puis je me suis rhabillé.

 

Ensuite il m'a emmené vers notre logement de fonction. En effet, comme nous sommes tous deux célibataires, nous devons loger dans le quartier et comme nous sommes détachés du corps médical nous bénéficions de quelques avantages : chacun une belle grande chambre, un salon et une salle de bain en commun et, ce qui n'est pas négligeable, une sorte d'aide de camp, de loufiat, de bonne à tout faire.

Une fois installé dans ma chambre je me suis fait couler un bon bain et, avant que je ne réagisse, Pierre se trouvait à mes côtés à poil et nous avons pris notre bain ensemble. Il n'arrêtait pas d'essayer de me peloter mais je dois dire honnêtement que j'en faisais autant.

Puis il m'a annoncé que notre aide de camp sera là vers 17 heures et qu'ainsi j'aurai l'occasion de faire sa connaissance. Un coup d'œil sur ma montre : dans 3 minutes il sera là ! Je fais mine de me lever, je dois dire que je suis un peu paniqué à l'idée qu'un jeune gars aille me surprendre avec un autre mec dans un bain !

— Ne panique pas Olivier, tu verras, tout se passera bien. Benjamin notre loufiat, aime aussi les jeux entre mecs et il vient d'avoir 18 ans. C'est ton prédécesseur – qui, entre parenthèse n'était pas gay – qui l'avait sélectionné avant que je ne sois muté ici. Mais j'ai vite découvert les qualités de Benja et je l'ai gardé à mon service.

Et quand Benja fait son entrée, Pierre est assis sur moi dans le bain occupé à se faire enculer par ma bite gonflée à bloc.

— Salut, petit. Je te présente notre nouveau brigadier pilule, Olivier. Mets-toi à l'aise comme d'hab. Et prépare-nous un bon apéro, nous en avons bientôt fini.

— Bien, mon lieutenant et Benja disparaît dans le salon.

Ma bite est au plus profond du cul de Pierre qui fait d'incessants vas et viens assis sur mon bas-ventre et je suis tellement excité que je crie presque lorsque j'explose en lui. Durant mes quelques coups de rein, Pierre s'est mis à se branler et avant que je ne sois complètement vidé de mon jus, il me prend par le cou et m'oblige à prendre sa queue en bouche. Quand il crache tout son jus, j'avale le tout sans broncher. Il faut dire que j'aime le goût du sperme.

Nous nous séchons rapidement, je passe dans ma chambre pour mettre un short et un t-shirt. Je sais pour la saison un short cela peut paraître bizarre mais quand je me mets à l'aise je porte un short ou rien du tout. Et je ne suis pas seul car quand je fais mon entrée dans le salon, Pierre ne porte qu'un Jock-strap et Benja, un slip tout fin en lycra noir.

Nous buvons notre apéro et je m'intéresse à Benja qui est plus qu'appétissant.

— Tu es aussi passé par la consultation matinale ?

— Non, pas souvent. La fessée m'intéresse mais plus en tant que fesseur, n'est ce pas Pierre ? »

Et il caresse sans vergogne les fesses du toubib.

— C'est vrai qu'en Benja j'ai trouvé le jeune maître que je cherchais. Alors, Olivier ne sois pas effrayé par ce que tu vas peut être voir ce soir et tous les soirs de ton séjour parmi nous.

Et Pierre, de se mettre à genoux devant Benja, de lui embrasser les pieds et de dire :

— J'attends votre verdict maître.

— Quelles furent tes fautes, sale chien ?

— Maître, je vous ai appelé 'loufiat' en présence de monsieur Olivier. Ensuite, sans votre permission, j'ai sucé monsieur Olivier dans l'infirmerie et je l'ai forcé à boire son propre sperme à mes lèvres et enfin ce soir, ici dans la salle de bain, je me suis empalé sur sa verge, me suis masturbé et j'ai joui dans la bouche de monsieur Olivier.

— Vas chercher ta badine à quatre pattes sale chien et reviens ensuite à mes pieds.

Et Pierre de quitter le salon à quatre pattes. Moi, je suis à la fois intrigué et excité et malgré ce que j'ai déjà vécu aujourd'hui je bande à nouveau.

— Ça te fait bander hein de voir un jeunot comme moi dominer un mec de 27 ans qui en plus est lieutenant ? Tu vas voir, je vais le rosser jusqu'à ce qu'il me demande de lui pisser dessus.

Et, une fois Pierre revenu à quatre pattes la badine entre les dents, Benja lui fait prendre place à genoux sur la table basse du salon, les mains sur la nuque et commence à le frapper avec la badine. D'abord sur les fesses ensuite sur le dos et les cuisses. Pierre résiste assez longtemps mais ensuite il craque, pleure, gémit...  Ensuite il jette le gant et j'entends entre ses gémissements, le murmure de Pierre essayant de dire à son maître qu'il est prêt à boire sa pisse.

Enfin Benja s'arrête, baisse son slip noir en lycra et Pierre boit la pisse de son maître à la source sans perdre une seule goutte. Moi, pendant ces 25 minutes, je n'ai pas arrêté de me branler le chicon. J'étais soufflé par le nombre de coups de cravache que Pierre a encaissé.

Ensuite, une fois que toute sa pisse était avalée, Pierre toujours à 4 pattes sur la table basse, s'est retrouvé en moins de deux enculé par le mignon Benja qui, ayant vu ma bite prête à exploser, m'a proposé de me faire sucer au même moment par Pierre. Et bien sûr je n'ai pas hésité un moment. Quand Benja et moi avons été apaisés, Pierre était couché sur la table le cul en feu.

 

Il était déjà près de 19 heures et Benja devait regagner ses quartiers pour le repas du soir. Il s'est remis en uniforme à toute vitesse, m'a fait la bise et a embrassé assez longuement Pierre puis il est parti en courant pour ne pas avoir de réprimande de l'officier de service.

Pierre et moi nous avons bu encore un verre ou deux, le temps qu'il se remette complètement. J'ai appris qu'il subissait ces séances avec plaisir au moins 4 fois par semaine et puis nous sommes allés au mess pour dîner. Ensuite j'ai regagné ma chambre pour me préparer pour ma première journée dans ce lycée militaire.

 

A 6.30 j'étais dans mon infirmerie et, avant que mes premiers patients se présentent, tout était fin prêt. Bien sûr j'étais un peu nerveux avec tout ce que Pierre m'avait raconté. Et juste avant que la consultation ne commence j'ai reçu la visite de l'adjudant chargé de la discipline. Et là, j'ai compris que lui aussi préférait les règles 'médicales' plutôt que le règlement du lycée.

Pierre avait raison. Ils étaient 6 pour la consultation. Ils étaient tous, comme le prescrit le règlement en tenue de sport. Puis, l'un après l'autre, j'ai noté leur nom et leur classe. C'était tous des élèves de la première année de lycée, tous âgés d'environ 15/16 ans.

Ensuite, d'une voix ferme, je les ai fait rentrer dans la salle et chacun a pris place devant un lit. Je leur ai donné l'ordre de se déshabiller complètement et de se coucher sur le ventre. Puis je suis revenu muni de mon pot de vaseline et de six thermomètres ainsi que de ma feuille de rapport. Le premier petit gars paraissait très jeune et frêle et c'est avec douceur je dois dire que je lui ai enfoncé le thermomètre dans les entrailles. Quand il s'est couché sur le côté il ne bandait pas du tout. J'avais pitié de lui : peut être était-il réellement malade ?

Pendant que je m'occupais du deuxième, deux autres lascars troublaient le calme et, du coin de l'œil, j'avais vu qu'ils faisaient des gestes 'obscènes' et se touchaient le cul et la bite. Aussi j'intervins immédiatement :

— Vous deux, debout, au garde-à-vous jusqu'à nouvel ordre.

Et les deux gars de se lever et de prendre position avec deux belles bites bien droites. Je devrai les mater ces deux là ! Après avoir enfoncé 4 thermomètres dans les culs ils me restaient à m'occuper des deux trouble-fête qui, et oui, bandaient encore...

— Tu souffres de quoi toi le blondinet ?

— Je ne sais pas chef, mais en me levant ce matin j'avais mal au ventre.

— OK, je verrai cela tout à l'heure mais pour le moment couche toi sur le ventre.

Et une fois couché, je lui ai enfoncé le thermomètre sans même graisser son trou ce qui le fit un peu gémir mais quand il s'est mis sur le côté, sa bite était franchement dure et dressée.

Son copain, après avoir vu comment je traitais son ami, n'était pas à son aise et avant que je ne m'occupe de lui il m'a dit :

— Excusez-moi chef pour mon attitude.

Mais malgré ses excuses il a reçu le même traitement que son copain et quand il s'est couché sur le côté, sa bite aussi bien gonflée, je lui ai dit à l'oreille que je réglerai son compte durant la visite privée. Je me suis d'abord occupé des petits gars qui me laissaient indifférents. Bien sûr aucun d'eux n'avait de la fièvre, ils ont reçu chacun vingt coups de ceinturon et ils ont pu se rhabiller et rejoindre leur classe.

Ensuite je me suis occupé du petit gars. Pas de fièvre non plus mais que lui soit ici cela me troublait. J'avais envie d'avoir une conversation avec lui. Aussi, je l'ai renvoyé dans son lit en attendant que je termine avec les deux lascars. J'ai appelé le premier dans l'infirmerie. Il bandait encore et j'ai l'impression qu'il s'était branlé car sa queue était bien rouge. Quand je lui ai ôté le thermomètre que je n'ai même pas regardé, je l'ai fait coucher sur la table d'auscultation.

— Alors tu avais mal où ?

— Là chef !

Et il me montre son bas ventre. Alors tout en parlant, je me dirige vers la petite armoire et je prends le petit rasoir électrique et je lui dis :

— Pour pouvoir bien t'ausculter, je suis obligé de te raser.

Mais malgré ses protestations je commence à lui raser totalement son pubis et quand j'arrive près de sa queue, je la prends fermement en main en la maltraitant. Une fois terminé je lui pose la question :

— Alors encore toujours mal à cet endroit ?

— Non, chef.

— Ainsi, tu as voulu me rouler deux fois. Dois-je faire un rapport à l'adjudant ou te soumets-tu à mon règlement ?

Et bien sûr il choisit la deuxième solution. Je lui fais prendre place sur le lit comme les autres et je lui applique trente coups de ceinturon. Il a résisté longtemps mais à la fin, il crie et pleure mais je le maintiens fermement par le cou.

Ensuite, je m'installe sur une chaise et je lui donne l'ordre de venir se coucher sur mes genoux. Il a l'air surpris et il bande encore. Une fois couché, je guide sa bite tendue et je la coince entre mes cuisses. Il se laisse faire. Et je commence à le fesser fortement. Pas uniquement ses fesses mais aussi ses cuisses. Il gigote sans cesse, il pleure, gémit et quand je sens son corps se raidir à 3 ou 4 reprises je comprends qu'il vient de juter entre mes jambes.

Mais je n'arrête pour autant pas sa punition et ce n'est que 50 coups plus tard que je m'arrête. Je le redresse et je vois par terre et sur mon froc son jus.

— Excusez-moi chef, je n'ai pas pu me retenir, chef mais j'ai aimé chef. Merci chef !

Il se met aussitôt au garde-à-vous et avant qu'il ne puisse se rhabiller il me nettoie encore le sol évidemment et je le convoque pour 17 heures pour nettoyer l'infirmerie totalement.

Quant à son copain, il m'avoue qu'il a été entraîné par Raoul, qu'il mérite une punition, qu'il se souvient que sa première érection et éjaculation il l'a eue durant un jeu 'de fessée' avec son cousin et que d'une certaine manière dans ce lieu de promiscuité masculine il avait envie de raviver ce souvenir.

Lui, Louis, je l'ai directement allongé sur mes genoux, j'ai aussi mis sa queue bandante entre mes cuisses et je l'ai fessé à la main jusqu'à ce qu'il jouisse. Il faisait tout pour que sa bite soit le plus possible en mouvement et après environ un quart d'heure de fessée assez forte il s'est mis à gémir longuement de plaisir.

Je l'ai redressé et comme je faisais mine de prendre du papier pour le faire essuyer ces traces de sperme, il s'est mis à genoux et sans dire un mot il a léché tout son foutre. En partant, il m'a demandé s'il pouvait revenir de temps en temps et, de la tête j'ai fait oui.

Puis je me suis occupé de David, le petit garçon frêle. Il m'a dit qu'il me connaissait, que nous étions du même pays et quand il s'est resitué dans son contexte je savais qu'il était le petit frère de mon premier amour. Il m'a avoué qu'il était aussi homo, qu'il m'avait toujours admiré, qu'il était sans expérience et que s'il s'était porté malade c'était pour être fessé par moi et peut être plus ajouta-t-il.

Il m'a aussi avoué qu'il n'était pas resté couché sur son lit et qu'il avait vu comment j'avais puni Raoul et Louis. Mais je n'avais pas envie de punir le frérot de mon premier amant pour l'instant et je l'invitais à revenir le même soir à 17 heures.

 

Ces premières heures de ma nouvelle affectation étaient bien remplies et quand j'ai rejoins ma chambre, Pierre était nu dans le salon. Il m'a demandé si j'avais dû donner beaucoup de fessées.

Il s'est approché de moi, il bandait légèrement, il a porté sa main sur ma croix en me demandant si j'avais beaucoup bandé et en moins de deux ma braguette était ouverte et ma bite dans sa bouche. J'étais tellement excité que j'ai craché dans les trois minutes.

 

A 17 heures, Raoul et David étaient à l'infirmerie. J'ai obligé Raoul à nettoyer toute l'infirmerie à poil. Ses fesses étaient encore bien rouges. Moi, pendant ce temps j'ai donné la fessée à David, sa bite coincée entre mes jambes mais avant que je ne lui donne sa première claque, il crachait déjà son jus. Alors, pour me calmer, j'ai appelé Raoul, je me suis couché sur la table d'auscultation et je l'ai obligé à s'empaler sur ma bite.

Après une vingtaine de vas et viens j'ai joui en lui puis j'ai cédé ma place à David qui pouvait ainsi pour la première fois enculer un gars dont, en temps normal, il aurait lui surement dû subir les assauts. Et avant qu'ils ne regagnent leur quartier les deux jeunot se sont encore fait mutuellement une bonne pipe.

 

En définitive, je suis resté 6 mois comme infirmier dans ce lycée. 6 mois de grand plaisir. De Raoul j'avais obtenu d'en faire mon aide de camp. David lui, comme il était presque de ma famille, il venait souvent dans mes appartements.

A nous trois plus Pierre et Benja c'était une fête de stupre presque continuellement. Et Louis, je le voyais une fois par semaine au moins à l'infirmerie. Je resterai en contact avec mes 3 premiers lascars car nous avons convenu de passer un mois de vacances ensemble.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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