L'histoire de la semaine

Dimanche 24 janvier 7 24 /01 /Jan 16:14

Chico bouge et me réveille. Dans son sommeil il s'est encore plus "collé" contre moi. Son bas-ventre est carrément tourné de mon côté. Sa respiration très régulière est celle de quelqu'un de vraiment endormi. Je regarde, comme hypnotisé, cet entrejambe si proche de moi, si attirante… Tendre la main… non… et s'il se réveille ? Il risque de s'énerver… de me filer un gnon en pleine gueule… Viril comme il l'est, il n'aime certainement pas les pédés ! Et tu imagines si ses potes s'en mêlent ? Non ça finirait mal… Putain… La tentation est trop forte. Je ferme les yeux, simule le sommeil et approche délicatement ma main de son paquet. Je caresse sa braguette, la parcours de haut en bas, appuie mes doigts dessus. Je sens son membre tout mou, inerte dessous. J'essaye en caressant avec deux doigts, l'index et le pouce, de situer sa verge : j'ai l'impression qu'elle est bien droite, dressée vers le nombril. Mais tout reste désespérément mou ! Il faudrait, pour donner de la raideur à son membre, ouvrir la braguette, le sortir et, de ma main chaude, caresser sa tige, la décalotter, titiller son frein. Bien sûr la prendre en bouche serait la meilleure façon de gonfler ce morceau de chair sans vie et lui donner tout son volume…

Est-ce une fausse impression ? Mais tout à coup sa verge semble grossir… durcir même ! J'arrête mes caresses, regarde son visage : les paupières sont toujours baissées. Sa bouche fermée Chico semble respirer toujours aussi régulièrement. Rien ne laisse supposer qu'il s'est rendu compte de ce que je suis en train de faire, rien… Je me dis qu'il doit rêver, qu'il est en train de baiser… ou qu'il se fait branler par une fille… Je reprends, ouvre doucement la fermeture éclair, écarte les deux pans de la braguette. Mais, ma parole, il ne porte pas de slip ! Les poils frisés qui cachent sa verge sortent par la braguette. Je plonge ma main, saisis doucement son membre et lui fais prendre l'air. Maintenant il n'y a plus de doute : il bande. Malgré l'obscurité je vois bien la forme et la taille de sa queue : un bel instrument assez épais, surtout à sa base. Il n'est pas circoncis. Je n'ose pas le décalotter pour faire apparaître son gland, ce geste pourrait le réveiller. Que faire ? Le branler ? Mes mouvements seraient trop brusques… Le sucer ? J'en meurs d'envie… d'autant plus que l'odeur de mâle qui s'échappe maintenant me titille les narines. Je me dis : dans le noir du bus, alors que tous roupillent y compris ses potes, personne ne peut me voir… L'important c'est qu'il reste endormi… même s'il a envie d'éjaculer, j'avalerai tout pour ne pas laisser de traces... J'hésite toujours, me contentant pour l'instant de caresser sa bite afin d'empêcher qu'elle perde sa raideur. Et là, surprise ! Chico relève son bas-ventre, le tend vers moi et me chuchote : "Mamala… mamala bien !" (=suce-la…suce-la bien !) Le salaud, il m'a fait peur… ça fait sûrement un bon moment qu'il fait semblant de dormir... Et moi qui mourais de trouille !

Soulagé et sans attendre une seconde de plus, je plonge sur sa belle bite et la prends toute en bouche : c'est un des trucs que j'arrive à faire, avaler une bite entière, ça excite un max les mecs. Chico ne peut s'empêcher de gémir puis, se ravisant, place un doigt sur ses lèvres pour me recommander le silence. A partir de ce moment-là c'est un véritable festival : je bouffe sa queue, ses couilles bien rondes et poilues, lèche sa tige, son gland, mets le bout de ma langue dans son méat, mordille sa verge, son gland… Chico se tord de plaisir, pousse son ventre pour que j'avale plus profondément encore sa queue… Il appuie sur ma tête : il est super excité ! J'ai peur que nos mouvements et le bruit qu'ils provoquent ne réveillent les passagers du bus. A un moment il tient ma tête pour que je garde bien sa bite dans ma gorge, s'immobilise quelques secondes et lâche plusieurs jets de foutre. Je sens son sperme couler dans ma gorge. Il jute bien… J'aurais préféré garder sa semence en bouche pour en savourer le goût mais il était trop excité mon jeune Péruvien et il fallait qu'il se vide vite les couilles.

 

Maintenant apaisé, il se laisse lécher la queue que je lui nettoie consciencieusement. Que c'était bon ! Chico a bien apprécié lui aussi : il se penche et me chuchote à l'oreille : "Fue divino !... lo haces mejor que una puta…" (= c'était divin… tu suces mieux qu'une pute). Pas vraiment un compliment très élogieux que de me comparer à une fille de joie… Mais il me confirme qu'un jeune Péruvien, même d'apparence très virile, peut apprécier mes talents. Pourvu qu'il en parle à ses copains et qu'ils soient disposés à vérifier la véracité de ce qu'il raconte !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 17 janvier 7 17 /01 /Jan 16:12

Je voyageais de Bolivie vers le Pérou. A la frontière, comme tout le monde, je fais la queue au poste de police de Copacilta, sur la route menant à Puno. En plus du passeport il faut donner un imprimé sur lequel on doit inscrire les renseignements classiques : nom, prénom, date et lieu de naissance, nationalité, profession, motif du voyage.

Je me trouve au milieu d'un petit groupe de jeunes Péruviens rentrant chez eux après une balade dans le pays voisin. Ils sont bruyants, comme on peut l'être à leur âge : 18 ou 19 ans. L'un d'entre eux, le plus dégourdi, explique aux autres qu'ils doivent remplir un imprimé avant d'entrer au Pérou, bien qu'étant tous Péruviens ! Aucun n'a de quoi écrire. Le "meneur", que les autres appellent Chico, crie à l'intention des présents : "Alguien me presta una lapicera !" (= quelqu'un me prête un stylo à bille ?). Sans répondre je tends au jeune Chico mon stylo. Il ne s'attendait pas à ce que je réponde à sa demande, étant étranger donc dans l'impossibilité pour lui de comprendre ce qu'il venait de crier. Il prend le stylo et, avec un sourire éclatant, me remercie : "Gracias !" Chico le premier remplit son imprimé puis conseille tous ses copains avant de me rendre mon stylo avec un nouveau sourire jusqu'aux oreilles. J'en profite pour regarder plus en détail son visage : de beaux traits de latino, pas vraiment indien, une peau dorée, des yeux bien noirs comme ses cheveux. Un beau jeune mâle, pas très grand, mais au corps bien proportionné. Il porte un jean délavé et artistiquement déchiré, pas trop serré hélas, ce qui ne met pas en évidence son entrejambe... Pendant qu'il va de copain en copain pour les guider dans la compilation de l'imprimé, je peux voir chacun d'entre eux. Tous me paraissent être de solides garçons bien virils et à priori peu tentés par des expériences homosexuelles. De toute façon, la frontière passée, nos routes se sépareront et il y a peu de chances pour que je puisse approcher un jour l'un d'entre eux... Chico me plait bien mais il y en a aussi un autre dans le groupe, aux traits plus féminins, avec qui j'aurais volontiers conversé… ou plus.

Toujours dans la file d'attente, Chico me demande où je vais. Au Pérou, à Cuzco exactement. "Nous aussi, me répond Chico. Après on rentre chez nous à Lima." L'idée de voyager quelques temps avec eux me ravit et je m'empresse de le lui dire. Les démarches finies, je me dirige vers les différents minibus qui attendent les voyageurs. Je me retrouve, comme prévu, avec le groupe de jeunes devant le petit car partant pour Cuzco. Il est déjà six heures du soir, le voyage durera toute la nuit. Je m'assure d'abord que mon sac a bien été chargé puis je monte à bord du bus. Etant parmi les derniers, je cherche du regard une place. Chico me fait signe qu'il y en a une près de lui, au fond. Je vais m'asseoir, tout heureux d'être si près de ce beau et jeune mec. Le bus démarre. Nous parlons un peu. Il me demande d'où je viens, où j'ai l'intention d'aller après Cuzco, si j'ai déjà un hôtel à Cuzco. J'apprends qu'il a 21 ans, je lui en donnais deux ou trois de moins, ils sont tous copains d'université. Si je veux, à Cuzco, je peux les accompagner à leur hôtel : il n'est pas cher et il y a sûrement de la place. Peu à peu la nuit tombe, les conversations cessent et la plupart des passagers, une quinzaine, s'installe pour trouver le sommeil. Chico lui aussi prend ses aises. Sa jambe vient se coller contre la mienne : ce n'est pas pour me déplaire… et s'il veut déborder encore plus, ça ne me gêne pas ! Je sens à travers le tissu de nos pantalons la chaleur de son jeune corps. Il ne faut pas trop que j'y pense sinon je ne vais pas résister... J'ai beau regarder son entrejambe, l'obscurité m'empêche de deviner l'importance de sa bosse, encore plus la forme de son sexe… Il doit pourtant, comme tous les latinos, avoir un bel instrument ! Et, comme eux, savoir s'en servir…

 

Les dernières images du film dont le chauffeur a lancé la projection en partant viennent de s'éteindre, plongeant désormais le minibus dans le noir total. Seules les lumières de la route rayent parfois l'intérieur du bus. Je regarde le visage de Chico éclairé quelques brèves secondes : il dort, du moins ferme-t-il les yeux. Ses lèvres aussi sont fermées. Elles sont bien dessinées, assez pulpeuses, sûrement délicieuses à mordiller, à séparer avec la langue pour explorer sa cavité buccale... Est-ce qu'il embrasse bien ? Sûrement. Un beau mec comme lui, déluré, n'en est sûrement pas à sa première expérience et il a dû rouler des pelles à bon nombre de filles de la fac… D'ailleurs, il doit baiser souvent… les Péruviens ont la réputation d'être de chauds lapins et il n'a pas dû se priver en Bolivie, en profitant de cet avantage fameux dans toute l'Amérique latine, pour troncher quelques filles du pays voisin. Ses copains à coup sûr en ont fait tout autant… S'il faut, tous les cinq, ils ont fait quelques orgies bien salaces, baisant et enculant des nuits entières les pucelles de La Paz. Dans mon rêve j'imagine toutes sortes d'exploits sexuels accomplis par ce petit groupe mâle que je viens de rencontrer…

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 10 janvier 7 10 /01 /Jan 13:48

Je ne savais pas, en allant voir François ce jour-là, que nous finirions par faire l’amour tous les deux. Cela faisait longtemps que j’avais envie de lui. Souvent il me recevait nu, et la vision de son corps me mettait dans des états pas possibles. Il a un buste long au poitrail développé, couvert de poils bien noirs. Sa taille est très fine, ses fesses dures, avec d’admirables fossettes. Un grain de beauté agrémente ses reins et invite à aller plus bas, à glisser son doigt entre les deux globes. Par dessus tout j’étais attiré par sa verge. Elle épousait le rythme de sa marche, avec les couilles poilues, assez grosses. Cette verge était toujours en semi érection ce qui me permettait d’apercevoir un bout rosé, tentant. Je savais qu’il sortait régulièrement avec des garçons mais je ne devais pas être à son goût car il ne m’avait jamais fait aucune avance. Moi j’avais renoncé à espérer quoi que ce soit. Et puis... c’est arrivé !

Nous bavardions ce soir-là. Il devait être proche de deux heures du matin. La musique contribuait à m’alanguir ainsi que l’heure tardive. Une chanteuse lançait sa voix rauque sur une mélodie qui incitait à la tendresse. C’était l’heure des confidences, des épanchements. Son bras s’est posé sur le dossier du divan et a enlacé mes épaules. J’ai frissonné. Je n’ai pas bougé, la gorge soudain sèche. Sa main a progressé comme par inadvertance. Il m’a lentement attiré à lui. J’avais l’impression de vivre tout cela au ralenti. Ses lèvres se sont imposées à ma vision, brillantes de salive, avec la barrière des dents à quelques centimètres. Il m’a embrassé. J’étais blotti dans ses bras sachant intuitivement qu'il fallait me laisser faire. Sa langue nerveuse a pénétré ma bouche. Elle m’a violé, fouillé longuement. Ma queue était dure. J’ai osé mettre ma main sur sa cuisse.

Comme il ne réagissait pas négativement, j’ai continué, glissant ma paume sur sa queue. Il était tendu, plein de désir. Je l’ai massé avec tendresse. Il a alors dégagé ma pine et m’a masturbé presque méchamment. J’avais mal mais je n’ai pas refusé cette masturbation brutale. J’ai éjaculé au bout de quelques manipulations. Il a recueilli le jus entre ses doigts. Il m’a barbouillé le visage avec puis m’a léché. Sa langue a tout lapé, fiévreuse. Après il s’est rapidement déshabillé. Il m’a montré ce corps auquel je rêvais depuis longtemps. Mais de nouveau il a été brutal. Il m’a obligé à me mettre à quatre pattes sur le tapis. Il a baissé mon pantalon, mon slip, le tout à moitié sur mes cuisses. Sans aucune préparation, il m’a sodomisé. Mon cul s’est ouvert à la première traction qu'il a tentée. Sa verge est allée buter au fond de mon rectum. Il est allé et venu de plus en plus rapidement. Il jouissait, c’était manifeste. Il a déchargé dans mon fondement en râlant.

Tout de suite après il est sorti, m’a pris par la main et nous voilà dans sa chambre. «Tu veux bien être mon esclave cette nuit ?». Il n’avait pas besoin de me le demander ! Il a alors téléphoné à quelques copains. J’ai compris que j'allais être utilisé comme pute par tous ces mâles. Cela m’a tellement excité que, sans m’en rendre compte, ma queue s’est dressée et j’ai éjaculé une nouvelle fois. François m’a alors giflé pour me punir. Il est allé chercher un collier de cuir qu’il m’a passé autour du cou. Il y a attaché une chaîne.

Lorsque les «invités» sont arrivés j’étais nu, à quatre pattes et, en guise de salut, j’ai dû leur lécher à tous la queue. Elles étaient différentes, ou longues ou trapues. Mais toutes avaient comme caractéristique de bander ! Kevin, le premier arrivé, était anglais. Il a enlacé François et j’ai senti poindre la jalousie. Sans faire attention à moi, mais en tirant presque méchamment par la chaîne, François m’a attaché au pied du lit. J’ai dû subir la vision de son admirable corps enculé par Kevin. La verge de l’anglo-saxon était de belle dimension, un peu sombre. Elle entrait et sortait sans difficulté de l’anus de François. J’étais vraiment jaloux. D’autant que Kevin m’apostrophait de temps à autre pour me demander si j’appréciais. Puis il a accepté que je le suce profondément. Il donnait des coups de rein dans ma bouche, me tripotant les couilles, agissant avec moi comme si je n’étais qu'un objet. Allongé, François nous regardait, la verge de nouveau dressée, la main s’agitant sur la hampe, titillant le bout.

Pierre et Lucien nous ont rejoint bientôt. Cette fois, la compagnie était au complet. J’ai dû subir toutes les excentricités qui leur passaient par la tête. Pierre, à l'aspect très fragile, avait amené un gode anal vibrant. Il a tenu à me le faire essayer. L'engin est entré dans mon rectum et les secousses régulières que je ressentais m’ont fait jouir, alors que la verge de Lucien occupait ma bouche et mes lèvres. Je recevais parfois un coup de martinet. La lanière s'abattait sur mes fesses, mon dos, y laissant une trace légèrement sanglante. François, à chaque fois, venait y mettre sa langue. Il léchait voluptueusement. Bientôt ça a été une espèce d'orgie. Les mains folâtraient partout. Je devais lécher les gouttes de sperme, enfoncer des culs qui se tendaient, à peine au repos après une joute de sodomisation brutale. Au-dessus de la mêlée, j’apercevais le visage de François dont, à cette seconde, j'étais éperdument amoureux. Il avait l'air, en recevant une queue dans l'anus, en suçant une bite ou en branlant une verge, il avait l'air ailleurs. Tout cela n’avait plus l'air de l’amuser. Sa pine éjaculait parfois, difficilement et je me suis aperçu que les trois autres faisaient assaut entre eux de tous leurs charmes. Lui est resté un peu en retrait. Quand j’ai pu le rejoindre, au bar dans le salon, il buvait à même une bouteille de whisky. Je me suis frotté à ses jambes, jouant toujours l'animal fidèle. J’ai happé la grappe de fruit mûr et j’ai malaxé longuement sa queue et ses couilles. J’étais devenu un amoureux transi...

Depuis cette nuit-là, lorsqu'il m’appelle, je me sens transporté. Mais ce n’est pas souvent le cas, hélas.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 3 janvier 7 03 /01 /Jan 17:51

À son départ j'ai demandé dans un chuchotement à Rudy :

— Alors ?

— Reste calme. Il faut attendre un peu, il peut repasser faire une ronde.

Je ne savais pas comment allait se passer ma nuit. J'étais à la fois impatient de connaître le grand frisson et en même temps je balisais un max. En chuchotant aussi il m'a dit :

— Quand je te le dirai, tu viendras dans mon lit. Si tu entends des pas dans le couloir, tu retournes dans ton pieu à fond et ne t'endors pas en attendant.

— Ça, y'a pas de danger !

En attendant seul dans mon pieu et en pensant à ce qui allait se passer après, je bandais à mort. Ma bite me faisait mal à force d'être raide. Si je continue à me faire un film comme ça dans la tête, je vais finir par jouir seul dans mes draps. J'ai le souffle coupé, je n'ose pas me toucher de peur de cracher mon sperme. Après un moment assez long je l'ai entendu me dire :

— Tu viens ?

Ponctué par deux éclairs de sa lampe de poche. Devines si je viens ! Je n’y vais pas, j'y cours ! En moins de temps qu'il n’en faut pour l'écrire, j'avais traversé la pièce et j'étais collé contre Rudy. Ma bouche prenait possession de la sienne, ma langue cherchait la sienne.

— Reste calme, il faut que je bloque la porte.

— Fais vite, ai-je murmuré, déçu.

Il est revenu très vite. Je me suis de nouveau serré contre lui, ma bouche a repris la sienne, lui me caressait partout, il avait mille mains. Je vibrais de partout, mon corps était parcouru de frissons. Il a quitté ma bouche pour embrasser mon cou puis mes tétons, mon ventre et enfin il a enfourné ma bite. Je lui ai dit de ne pas aller trop vite sinon j'allais jouir tellement j'étais excité. Mais il a continué à me sucer, sa main palpait mes couilles, mon cul. Il ne m'a pas fallu une minute pour que je lâche mon foutre dans sa bouche.

— C'est bon… M’a-t-il dit !

Il a continué à la garder dans sa bouche, sa langue jouait sur mon gland, il aspirait avec force les dernières gouttes de sperme. J'étais à la fois déçu que ça ait été si rapide et à la fois ravi de la jouissance qu'il m'avait procurée. Ma queue était devenue minuscule dans sa bouche. Je lui ai dit ma frustration d'avoir joui si rapidement. Il m'a répondu :

— C’n’est pas grave, tu vas voir : on va recommencer !

Il s'est allongé contre moi, sa bite à la hauteur de ma bouche. J'ai compris le message. J'ai commencé à le sucer très doucement. Dire qu'avant, après avoir joui, j'avais hâte que cela finisse vite ! Sa queue, ses couilles, son trou du cul, tout y passait ! Je passais de l'un à l'autre avec de plus en plus de gourmandise. Je mettais beaucoup de salive pour que ça glisse mieux. Il avait écarté mes cuisses et sa langue prenait possession de mon trou.

D'abord il a commencé par la faire courir sur la rondelle puis il l’a rentrée à l'intérieur, de plus en plus loin, de plus en plus fort. Je recommençais à bander. Elle reprenait vie. Avec ma main je la touchais pour voir comment elle était. Elle pouvait mieux faire mais quand même, l'affaire prenait forme. J'ai senti quelque chose de gros rentrer dans mon cul, j'ai serré les fesses, Rudy m'a dit de rester calme, de ne pas me contracter, que ça n'allait pas faire mal. Il parlait tout bas. Sa voix était chaude, caressante, douce. C'est vrai que ça ne faisait pas mal, j'ai fini par le laisser faire, son doigt entrait et ressortait de mon cul bien lubrifié avec sa salive, tout en douceur. De temps en temps sa bouche revenait à ma bouche pour des baisers gourmands et baveux.

— Tu vois, tu rebandes...

Et toujours il revenait vers mon cul. Après un doigt ce furent deux. Je lui faisais confiance, j'avais pas mal, j'étais bien. Il s'est arrêté, il a allumé sa lampe, il a ouvert son tiroir de table de nuit, en a ressorti un pot de gel et un préservatif. Il a posé la lampe sur le lit et en me regardant il a posé la question qui tue :

— Tu veux bien ?

— Je ne sais pas moi, oui... non... je ne l'ai jamais fait... ça va faire mal ?

— Mais non, Adrien, je te jure ! Je vais faire attention, je vais y aller doucement. Tu verras, tu n'auras pas mal.

Il a déchiré l'emballage de la capote, il l’a mise sur sa queue bien raide. Moi c'était la première fois que je voyais faire. Ma queue était retombée, minuscule sur mon ventre. Il a pris du gel sur ses doigts et me l'a passé dans les fesses. Il a recommencé à mettre un doigt puis deux. Il les faisait venir d'avant en arrière dans mon trou. C'était assez bon. Il est passé derrière moi, il a posé le bout de sa bite sur l'entrée de mon trou. Il a commencé à pousser un peu. J'ai eu peur, j'ai serré les fesses. Il m'a dit de respirer lentement, de relâcher mes muscles, sa main courait sur mes fesses, il était très caressant.

J'ai relâché, il a poussé doucement par petits coups. Il s'arrêtait un moment entre chaque poussée. Il reculait un peu et recommençait à rentrer de plus en plus loin. Par moment ça faisait mal, un peu, mais en même temps c'était super bon ! J'avais l'impression d'avoir quelque chose d'énorme et de brûlant dans moi. J'avais le ventre en feu. Je me touchais la bite sans arrêt, elle n'était pas encore rebandée mais elle coulait comme encore jamais elle n'avait coulée. Quand il a été tout au fond il m'a demandé :

— T'as eu mal ?

— Un peu mais continue, c'est trop bon !

Il est ressorti de mon trou, il m'a mis sur le dos puis a posé mes jambes sur ses épaules. Il est de nouveau entré dans mon cul mais plus vite, plus brutalement. Le chemin était fait, je n'ai presque pas eu mal. Il a commencé à aller et venir dans mes fesses. Des fois il reculait trop, sa queue ressortait, il grognait à chaque fois. Il la pointait sur ma rondelle et d'un grand coup de reins me pénétrait à nouveau. Je sentais ses couilles battre contre mes fesses. Moi j'écartais mes fesses avec mes mains pour qu'il rentre encore plus profond. J'avais le ventre en feu. Par moment je serrais mes muscles au maximum pour qu'il ralentisse un peu. Il allait de plus en plus vite, mon cul faisait de drôle de bruits mais à la longue j'ai commencé à avoir de plus en plus mal. Il s'en est sans doute rendu compte car il s'est arrêté. Il est ressorti, m'a embrassé et m'a dit :

— Tu as mal, tu veux qu'on essaie autre chose ?

— Oui je veux bien mais va doucement.

— C'est toi qui va aller à ta vitesse, tu vas diriger !

Il s'est couché sur le dos, m'a mis à califourchon sur son ventre.

— Vas y, c'est à toi de jouer, moi je ne fais que ce que tu veux.

J'ai pris sa queue dans ma main. Je l'ai posée sur mon trou et je me suis assis dessus, doucement au début, mais comme ça allait bien je me suis laissé tomber à fond. J'ai bien serré les fesses et je suis remonté puis descendu à mon rythme, à ma vitesse. L'impression était encore plus forte, plus intense, encore meilleure. J'étais dégoulinant de sueur. Rudy me caressait le ventre, les seins, la bite. Lors de l'enculage elle s'était recroquevillée, il n'en restait plus rien. Maintenant, sous ses frôlements, elle redressait fièrement la tête. Il me branlait pendant que moi je m'empalais sur son pieu raide.

Lorsque j'ai senti que sa branle allait bientôt aboutir, j'ai accéléré la cadence de mon cul, je montais le plus haut possible et je me laissais tomber de tout mon poids sur sa queue. Je poussais des petits cris sans doute car, pendant qu'il me branlait d'une main, il plaquait son autre sur ma bouche. J'allais de plus en plus vite, de plus en plus haut. J'ai craché mon sperme et malgré que ce soit la troisième fois de la journée et que je n'avais plus grand chose à gicler, ma jouissance n'a jamais été aussi forte ! J'ai senti Rudy se raidir aussi. Le moment était arrivé, une dernière descente et j'ai senti son dos se cambrer, mes genoux n'étaient presque plus sur le lit. J'ai dû poser mes mains sur ses épaules pour ne pas me casser la figure, j'ai serré très fort mes muscles, il a rempli la capote de son foutre. Il me donnait des grands coups de bite puis, de plus en plus doucement, je faisais bouger mon cul de gauche à droite.

Je l'embrassais comme un fou. Nos langues menaient un train d'enfer. D'une main j'étalais mon sperme sur son ventre, je le mélangeais à nos sueurs déjà mêlées, j'engluais sa toison. Je portais ma main dégoulinante à nos bouches. Nous goutions notre jouissante intensément. Il a fini par se dégager avant que sa queue soit débandée, il a ôté la capote, il y a fait un nœud. Il voulait la jeter mais je n'ai pas voulu. Je la garde en souvenir de ma première fois. Je l'ai mise dans une enveloppe et je la garde précieusement dans mon portefeuille. Je sais qu’elle n'est pas très propre ni au dedans ni au dehors mais c'est la première. Rudy m'a dit :

— Demain c'est à mon tour !

— Super ! Tu sais... je t'aime.

Depuis, presque chaque soir je change de lit, et pour la première fois je n'aime plus les vacances.

 

Je me souviendrais toute ma vie de ma première journée de pensionnaire.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 27 décembre 7 27 /12 /Déc 16:54

Salut, moi c'est Adrien. Je vais vous raconter mon entrée au pensionnat cette année. C'était ma première année au lycée, et de celle là, toute ma vie je m'en souviendrais !

J'ai eu 14 ans cet été, je ne suis pas très grand : 1m65, pas très lourd non plus : 44 kg. Je suis châtain et j'ai les yeux noisette. Vous voyez, rien que de très commun, d’autant que ma bite n'est pas énorme : dans les 13–14 cm et que je suis pas du tout poilu, j'ai juste un peu de poils au dessus de ma bite.

Dans l'ensemble je plais quand même pas mal aux filles, même si seuls les garçons me font de l'effet. C'est dans mes rêves et depuis toujours, un garçon qui me prend dans ses bras et qui m'embrasse. Le sexe, tout ce que j'en connais, ce sont des branlettes et des pipes entre copains, rien d'autre. Mais je n’ai jamais eu de problème pour draguer les copains. Je me fais pas mal draguer aussi, malheureusement pas forcément par des mâles…

C'était donc la rentrée au lycée. C'est la première fois que je rentre en pension. Le primaire je l'ai fais au village et le collège à la ville voisine. J'ai un peu peur, je vais laisser toute la semaine ma maison, mes parents, mes amis. Tous ceux que je connais et que j'aime, je vais les laisser loin de moi. J'ai beau avoir plus de quatorze ans, ce n’est pas facile. Quand, sur la place du village je suis monté dans le car, j'avais la gorge serrée et les larmes n'étaient pas que dans les yeux de ma mère. Et le: "Courage, mon gars !" de mon père n'a pas été d'une grande utilité.

Enfin c'est fait. J'y suis ! J'ai beau regarder de tous côtés, pas une tête connue. Je ne connais personne... En plus on a tous l'air bête dans cette cour avec nos sacs et nos valises à attendre. Faire connaissance quand, à tes pieds il y'a le sac avec la couette, les draps, la photo de la famille et tout le fatra du pensionnaire, ça n'aide pas vraiment. On a tous l'air totalement stupide.

Le surveillant arrive et nous donne le numéro de chambre car, dans ce bahut, il n'y a pas de dortoir mais des chambres de deux ou trois. Seuls les sanitaires sont restés communs. Me voilà parti dans les escaliers et les couloirs sans fin à la recherche de ma piaule, avec comme seule indication "deuxième étage, sur la droite !". Au bout d'un certain temps et de pas mal d'errance, je parviens enfin à la porte tant convoitée.

Je toque puis je rentre. Je pose tout mon barda et je découvre mon compagnon de chambre. Vite une chaise, sinon je vais tomber tellement il est beau. Ouah ! Le mec super canon ! Il doit être plus vieux que moi, au moins seize ans, il est très grand, il a les cheveux très sombres, presque noirs, légèrement ondulés. Mais ce qui me fascine chez lui tout de suite c'est son regard : d'un noir intense qui, lorsqu'il te fixe, tu as instantanément l'impression qu'il te déshabille. Plus tard lorsque je le connaîtrai mieux, je découvrirai aussi son sourire. Rien ni personne ne peut y résister, surtout pas moi. S'il me sourit, là je craque, il le sait, il en joue.

— Salut, alors c'est avec toi que je cohabite cette année ?

— Bonjour ! Oui, si je ne me suis pas planté de chambre ça doit être moi.

— Comment tu t'appelles ?

— Adrien, et toi ?

— Moi c'est Rudy, j'ai presque seize ans et je suis en seconde...

— Ben moi, j'ai juste quatorze ans et c'est ma première année de pensionnat. Je suis en troisième. Tu m'expliqueras comment ça marche ici, que je n’ai pas l'air trop cloche au début.

— T'inquiètes pas, je connais la boîte comme ma poche, elle n'a plus de secret pour moi c'est ma seconde année ici, je te rencarderai, c'est cool tu verras !

Voilà donc ma première rencontre avec Rudy, mon nouveau compagnon de chambre. Il choisit son lit et, grand seigneur, me laisse la jouissance de l'autre. Je l'aide à faire son lit, lui le mien. On déballe nos affaires. Il a amené avec lui une impressionnante collection de magazines et à regarder (discrètement) les photos de couverture, ça n'a pas l'air d'être le "Chasseur français" sa presse préférée !

Sonnerie dans les couloirs, interrogations dans mes yeux.

— Faut descendre, ils vont nous expliquer comment fonctionne la maison et nous donner les emplois du temps pour cette année, me dit Rudy en me filant une claque dans le dos.

Le rassemblement est dans une grande salle qui a bien besoin d'un coup de peinture. Elle doit servir à tout cette salle : salle des fêtes, de réunion et de gymnastique aussi à en croire les panneaux de basket sur les murs. L'emploi du temps est réglé comme du papier à musique, pas de temps mort, le seul choix que nous ayons est pour l'occupation du mercredi après-midi, le choix n'est pas très vaste et nous avons le temps pour y réfléchir, je verrais bien...

— Ceux qui veulent changer de chambre peuvent le faire jusqu'à ce soir, après ce sera trop tard, nous dit le surgé.

Moi je ne veux pas changer de chambre. Pourvu que Rudy ne dise rien ! Il me file un coup de coude, me sourit et me fait un clin d'œil. J'ai compris : je ne changerai pas de compagnon de chambre, je suis heureux. Les externes ne rentreront que demain : quartier libre jusqu'au repas du soir. Nous remontons dans notre chambre. Il nous reste deux heures avant la bouffe, le temps de finir de ranger nos affaires.

Je pose mon réveil et la photo de la famille sur ma table de nuit. Rudy lui, installe deux très beaux posters sur le mur, des photos de mer et de bateaux. La fenêtre est ouverte, il fait chaud, nous parlons de plein de choses assis sur nos lits. Rudy se lève, ôte son jeans sans aucune gêne et part à la recherche d'un short dans son armoire. À le voir comme ça, à moitié à poil devant moi, je chope une trique d'enfer, en plus son slip est des plus mini !

— Tu devrais faire la même chose que moi, on crève de chaud ici ! Rougis pas comme ça, t'as jamais vu un mec en slip ?

Faut dire que je ne lâche pas des yeux le slip du copain : je suis complètement scotché sur la bosse. Bien sûr que j'ai déjà vu des mecs en slip, même des sans slip, mais jamais un ne m'a fait cette impression ! Vu l'état dans lequel je suis, je ne me sens pas l'envie de baisser mon pantalon devant lui. J'aurais trop la honte.

— Ne fais pas le timide, me dit-il.

Il se jette sur moi et me coince à moitié en riant et commence à s'attaquer à ma ceinture. Je me défends, assez mollement d'ailleurs, en lui disant qu’il n’est pas drôle, que nous ne sommes plus des enfants. Dans ma tête je me dis "Quel con tu es… Pourquoi tu as mis une ceinture?". En rigolant toujours il finit par réussir à ouvrir la boucle, il s'attaque aux boutons. Là j'ai cessé de résister. Il me dégage et tire le pantalon vers le bas. Heureusement que j'ai la bite raide sinon le boxer venait avec !

— Ah ! D’accord… Je vois pourquoi tu voulais pas, me dit-il avec son merveilleux sourire au coin des lèvres. Tu as chopé la trique. Eh bien voyons ça...

D'un geste sec il passe la main sous l'élastique du boxer et le tire. Me voilà à poil en train de bander devant un mec que je ne connaissais pas il y a trois heures ! Je trouve sympa ma première journée de pensionnat. Surtout que la vue de ma petite queue dressée fait pousser une bosse dans le slip de Rudy. Il me chope par la bite et m'entraîne vers la porte. Je le suis avec une démarche de pingouin, mon pantalon et mon boxer entravant fortement ma démarche. Il se bloque le long de la porte, se met à genoux, ses pieds empêchant qu'un importun pousse la porte.

Il tombe à genoux et commence à me pomper la bite. Sa langue passe autour de mon gland, repoussant la peau qui le recouvre à coup de langue. Je mouille à fond, des filets s'étirent depuis ma bite tendue au maximum et ses lèvres. De sa main il me caresse les couilles puis les gobe, d'abord une à une puis les deux à la fois. Il les fait rouler dans sa bouche, les aspirant et les recrachant tour à tour. C'est curieux comme impression, c'est aussi pas mal douloureux. Pas très agréable non plus, ça fait un effet bizarre dans le ventre au début. Après ça va mieux. Sa main me caresse entre les cuisses, passant entre mes jambes pour venir me flatter le cul. C'est trop bon, il coule de ma bite plus de liquide que dans mes branlettes solitaires. S'il continue comme ça, je ne vais pas tarder à lui larguer mon foutre dans la bouche !

Il me retourne brutalement, sa bouche commence à me baiser les fesses, sa langue caresse ma rondelle. J'écarte les jambes, elle devient de plus en plus pressente, sa main fait rouler mes couilles. Ça fait mal et en même temps c'est trop bon ! Ce n’est pas ma première pipe, ni mon premier bouffage de cul, mais c'est de loin ce qui m'est arrivé de plus excitant. J'ai moi aussi envie de le prendre dans ma bouche, je me tortille dans tous les sens pour essayer de prendre sa pine dans ma main, ce n’est pas facile.

Je le force à se remettre debout et, à mon tour, je tombe à genoux devant sa pine. Je l'avale en entier du premier coup. Quand elle vient cogner au fond de ma bouche j'ai un haut le cœur, mais je continue. Je ne suis pas aussi doué que lui, c'est sûr, mais à entendre ses gémissements il a l'air de trouver bonne ma fellation. Sa queue est longue et fine au moins 16 ou 17 cm, elle va loin dans ma bouche, je me régale de son goût. Ma langue, ma bouche ont du mal à le décalotter, je suis obligé de m'aider de ma main. Il gémit un peu pendant que je décalotte son gland. J'aime la douceur de son gland rose sur ma langue, cette odeur de garçon me rend fou.

Je prends ses couilles à pleine mains, je lui malaxe, il pousse de petits cris. J'écarte ses cuisses pour essayer de me frayer un chemin vers ses fesses mais la position est trop inconfortable. Je reviens vers sa queue que j'avale à fond. Je le retourne, il pose ses mains sur la porte et écarte les jambes. Il a quelques poils qui poussent sur ses fesses, trop marrant. Je rentre ma langue dans son cul, je suis comme fou. Je n'ai pas assez des mes mains et de ma bouche, c'est trop fort, je ne vais pas tarder à jouir. Je me relève, je prends sa bite dans ma main, il se retourne et brutalement me chope la queue. Je commence à le branler, je suis excité, je dois lui faire mal tellement je vais fort, lui aussi me branle, nos souffles sont courts.

Je m'approche de sa bouche et je plaque la mienne dessus. Il ouvre la bouche, nos langues se mêlent. Je jouis, nos dents se choquent, il me mord la lèvre et pousse un soupir. Son corps se tend et, venant se plaquer sur le mien, lui aussi a joui. 0n reste un long moment plaqué l'un contre l'autre, ondoyant encore du plaisir intense ressentit, nos bouches mêlées, goûtant encore le plaisir du baiser… Que c'est bon ! Il faut bien mettre fin à cette folie. Nous nous séparons. Nous avons le ventre plein de sperme, ses poils sont gluants. Il me sourit et me dit en caressant mes tétons :

— La prochaine fois tu monteras sur un tabouret, je fatigue moi, les genoux pliés !

C'est vrai qu'il fait au moins vingt centimètres de plus que moi. Je n'y ai pas pensé ! Pour le remercier, je lui roule une gamelle baveuse sur la pointe des pieds.

— Bon à la douche, me dit-il. Nous en avons gravement besoin.

Je vais prendre un paquet de kleenex dans mon armoire et j'efface le plus gros des dégâts. Je lui tends le paquet car lui garde toujours la porte. Je vais l'appeler Cerbère comme le chien de Tantale dans la mythologie ! Nous revoilà enfin présentables. Serviette, savon et en route pour la douche réparatrice. J'aurai trop aimé la prendre avec lui mais il n'a pas voulu. Trop dangereux. Trop de monde passe par là. De retour de la douche il me dit :

— C'était vachement bon !

— On recommencera ?

— Quand tu veux !

— Ce soir ?

— T'es un gourmand toi ! Dac, après l'extinction des lumières.

Je n'ai gardé aucun souvenir de mon premier repas de pensionnaire, pas plus de la soirée qui a suivi tellement j'avais hâte de me retrouver seul avec Rudy dans notre chambre. C'est là que tu reconnais un gars qui a déjà été interne à un bleu comme moi. Il avait dans sa table de nuit une lampe de poche et, caché dans son sac, une cale de bois pour bloquer la porte, choses que je n'aurai jamais songé à prendre !

 

Nous nous sommes couchés chacun dans notre lit et, à dix heures, le surveillant est passé dans chaque chambre pour nous demander d'éteindre les lumières et de mettre nos réveils à sonner à 7h demain. Cette première journée de travail commençant pour les internes et les externes à la même heure.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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