Dimanche 24 janvier 7 24 /01 /Jan 16:14

Chico bouge et me réveille. Dans son sommeil il s'est encore plus "collé" contre moi. Son bas-ventre est carrément tourné de mon côté. Sa respiration très régulière est celle de quelqu'un de vraiment endormi. Je regarde, comme hypnotisé, cet entrejambe si proche de moi, si attirante… Tendre la main… non… et s'il se réveille ? Il risque de s'énerver… de me filer un gnon en pleine gueule… Viril comme il l'est, il n'aime certainement pas les pédés ! Et tu imagines si ses potes s'en mêlent ? Non ça finirait mal… Putain… La tentation est trop forte. Je ferme les yeux, simule le sommeil et approche délicatement ma main de son paquet. Je caresse sa braguette, la parcours de haut en bas, appuie mes doigts dessus. Je sens son membre tout mou, inerte dessous. J'essaye en caressant avec deux doigts, l'index et le pouce, de situer sa verge : j'ai l'impression qu'elle est bien droite, dressée vers le nombril. Mais tout reste désespérément mou ! Il faudrait, pour donner de la raideur à son membre, ouvrir la braguette, le sortir et, de ma main chaude, caresser sa tige, la décalotter, titiller son frein. Bien sûr la prendre en bouche serait la meilleure façon de gonfler ce morceau de chair sans vie et lui donner tout son volume…

Est-ce une fausse impression ? Mais tout à coup sa verge semble grossir… durcir même ! J'arrête mes caresses, regarde son visage : les paupières sont toujours baissées. Sa bouche fermée Chico semble respirer toujours aussi régulièrement. Rien ne laisse supposer qu'il s'est rendu compte de ce que je suis en train de faire, rien… Je me dis qu'il doit rêver, qu'il est en train de baiser… ou qu'il se fait branler par une fille… Je reprends, ouvre doucement la fermeture éclair, écarte les deux pans de la braguette. Mais, ma parole, il ne porte pas de slip ! Les poils frisés qui cachent sa verge sortent par la braguette. Je plonge ma main, saisis doucement son membre et lui fais prendre l'air. Maintenant il n'y a plus de doute : il bande. Malgré l'obscurité je vois bien la forme et la taille de sa queue : un bel instrument assez épais, surtout à sa base. Il n'est pas circoncis. Je n'ose pas le décalotter pour faire apparaître son gland, ce geste pourrait le réveiller. Que faire ? Le branler ? Mes mouvements seraient trop brusques… Le sucer ? J'en meurs d'envie… d'autant plus que l'odeur de mâle qui s'échappe maintenant me titille les narines. Je me dis : dans le noir du bus, alors que tous roupillent y compris ses potes, personne ne peut me voir… L'important c'est qu'il reste endormi… même s'il a envie d'éjaculer, j'avalerai tout pour ne pas laisser de traces... J'hésite toujours, me contentant pour l'instant de caresser sa bite afin d'empêcher qu'elle perde sa raideur. Et là, surprise ! Chico relève son bas-ventre, le tend vers moi et me chuchote : "Mamala… mamala bien !" (=suce-la…suce-la bien !) Le salaud, il m'a fait peur… ça fait sûrement un bon moment qu'il fait semblant de dormir... Et moi qui mourais de trouille !

Soulagé et sans attendre une seconde de plus, je plonge sur sa belle bite et la prends toute en bouche : c'est un des trucs que j'arrive à faire, avaler une bite entière, ça excite un max les mecs. Chico ne peut s'empêcher de gémir puis, se ravisant, place un doigt sur ses lèvres pour me recommander le silence. A partir de ce moment-là c'est un véritable festival : je bouffe sa queue, ses couilles bien rondes et poilues, lèche sa tige, son gland, mets le bout de ma langue dans son méat, mordille sa verge, son gland… Chico se tord de plaisir, pousse son ventre pour que j'avale plus profondément encore sa queue… Il appuie sur ma tête : il est super excité ! J'ai peur que nos mouvements et le bruit qu'ils provoquent ne réveillent les passagers du bus. A un moment il tient ma tête pour que je garde bien sa bite dans ma gorge, s'immobilise quelques secondes et lâche plusieurs jets de foutre. Je sens son sperme couler dans ma gorge. Il jute bien… J'aurais préféré garder sa semence en bouche pour en savourer le goût mais il était trop excité mon jeune Péruvien et il fallait qu'il se vide vite les couilles.

 

Maintenant apaisé, il se laisse lécher la queue que je lui nettoie consciencieusement. Que c'était bon ! Chico a bien apprécié lui aussi : il se penche et me chuchote à l'oreille : "Fue divino !... lo haces mejor que una puta…" (= c'était divin… tu suces mieux qu'une pute). Pas vraiment un compliment très élogieux que de me comparer à une fille de joie… Mais il me confirme qu'un jeune Péruvien, même d'apparence très virile, peut apprécier mes talents. Pourvu qu'il en parle à ses copains et qu'ils soient disposés à vérifier la véracité de ce qu'il raconte !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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