Dimanche 10 janvier 7 10 /01 /Jan 13:48

Je ne savais pas, en allant voir François ce jour-là, que nous finirions par faire l’amour tous les deux. Cela faisait longtemps que j’avais envie de lui. Souvent il me recevait nu, et la vision de son corps me mettait dans des états pas possibles. Il a un buste long au poitrail développé, couvert de poils bien noirs. Sa taille est très fine, ses fesses dures, avec d’admirables fossettes. Un grain de beauté agrémente ses reins et invite à aller plus bas, à glisser son doigt entre les deux globes. Par dessus tout j’étais attiré par sa verge. Elle épousait le rythme de sa marche, avec les couilles poilues, assez grosses. Cette verge était toujours en semi érection ce qui me permettait d’apercevoir un bout rosé, tentant. Je savais qu’il sortait régulièrement avec des garçons mais je ne devais pas être à son goût car il ne m’avait jamais fait aucune avance. Moi j’avais renoncé à espérer quoi que ce soit. Et puis... c’est arrivé !

Nous bavardions ce soir-là. Il devait être proche de deux heures du matin. La musique contribuait à m’alanguir ainsi que l’heure tardive. Une chanteuse lançait sa voix rauque sur une mélodie qui incitait à la tendresse. C’était l’heure des confidences, des épanchements. Son bras s’est posé sur le dossier du divan et a enlacé mes épaules. J’ai frissonné. Je n’ai pas bougé, la gorge soudain sèche. Sa main a progressé comme par inadvertance. Il m’a lentement attiré à lui. J’avais l’impression de vivre tout cela au ralenti. Ses lèvres se sont imposées à ma vision, brillantes de salive, avec la barrière des dents à quelques centimètres. Il m’a embrassé. J’étais blotti dans ses bras sachant intuitivement qu'il fallait me laisser faire. Sa langue nerveuse a pénétré ma bouche. Elle m’a violé, fouillé longuement. Ma queue était dure. J’ai osé mettre ma main sur sa cuisse.

Comme il ne réagissait pas négativement, j’ai continué, glissant ma paume sur sa queue. Il était tendu, plein de désir. Je l’ai massé avec tendresse. Il a alors dégagé ma pine et m’a masturbé presque méchamment. J’avais mal mais je n’ai pas refusé cette masturbation brutale. J’ai éjaculé au bout de quelques manipulations. Il a recueilli le jus entre ses doigts. Il m’a barbouillé le visage avec puis m’a léché. Sa langue a tout lapé, fiévreuse. Après il s’est rapidement déshabillé. Il m’a montré ce corps auquel je rêvais depuis longtemps. Mais de nouveau il a été brutal. Il m’a obligé à me mettre à quatre pattes sur le tapis. Il a baissé mon pantalon, mon slip, le tout à moitié sur mes cuisses. Sans aucune préparation, il m’a sodomisé. Mon cul s’est ouvert à la première traction qu'il a tentée. Sa verge est allée buter au fond de mon rectum. Il est allé et venu de plus en plus rapidement. Il jouissait, c’était manifeste. Il a déchargé dans mon fondement en râlant.

Tout de suite après il est sorti, m’a pris par la main et nous voilà dans sa chambre. «Tu veux bien être mon esclave cette nuit ?». Il n’avait pas besoin de me le demander ! Il a alors téléphoné à quelques copains. J’ai compris que j'allais être utilisé comme pute par tous ces mâles. Cela m’a tellement excité que, sans m’en rendre compte, ma queue s’est dressée et j’ai éjaculé une nouvelle fois. François m’a alors giflé pour me punir. Il est allé chercher un collier de cuir qu’il m’a passé autour du cou. Il y a attaché une chaîne.

Lorsque les «invités» sont arrivés j’étais nu, à quatre pattes et, en guise de salut, j’ai dû leur lécher à tous la queue. Elles étaient différentes, ou longues ou trapues. Mais toutes avaient comme caractéristique de bander ! Kevin, le premier arrivé, était anglais. Il a enlacé François et j’ai senti poindre la jalousie. Sans faire attention à moi, mais en tirant presque méchamment par la chaîne, François m’a attaché au pied du lit. J’ai dû subir la vision de son admirable corps enculé par Kevin. La verge de l’anglo-saxon était de belle dimension, un peu sombre. Elle entrait et sortait sans difficulté de l’anus de François. J’étais vraiment jaloux. D’autant que Kevin m’apostrophait de temps à autre pour me demander si j’appréciais. Puis il a accepté que je le suce profondément. Il donnait des coups de rein dans ma bouche, me tripotant les couilles, agissant avec moi comme si je n’étais qu'un objet. Allongé, François nous regardait, la verge de nouveau dressée, la main s’agitant sur la hampe, titillant le bout.

Pierre et Lucien nous ont rejoint bientôt. Cette fois, la compagnie était au complet. J’ai dû subir toutes les excentricités qui leur passaient par la tête. Pierre, à l'aspect très fragile, avait amené un gode anal vibrant. Il a tenu à me le faire essayer. L'engin est entré dans mon rectum et les secousses régulières que je ressentais m’ont fait jouir, alors que la verge de Lucien occupait ma bouche et mes lèvres. Je recevais parfois un coup de martinet. La lanière s'abattait sur mes fesses, mon dos, y laissant une trace légèrement sanglante. François, à chaque fois, venait y mettre sa langue. Il léchait voluptueusement. Bientôt ça a été une espèce d'orgie. Les mains folâtraient partout. Je devais lécher les gouttes de sperme, enfoncer des culs qui se tendaient, à peine au repos après une joute de sodomisation brutale. Au-dessus de la mêlée, j’apercevais le visage de François dont, à cette seconde, j'étais éperdument amoureux. Il avait l'air, en recevant une queue dans l'anus, en suçant une bite ou en branlant une verge, il avait l'air ailleurs. Tout cela n’avait plus l'air de l’amuser. Sa pine éjaculait parfois, difficilement et je me suis aperçu que les trois autres faisaient assaut entre eux de tous leurs charmes. Lui est resté un peu en retrait. Quand j’ai pu le rejoindre, au bar dans le salon, il buvait à même une bouteille de whisky. Je me suis frotté à ses jambes, jouant toujours l'animal fidèle. J’ai happé la grappe de fruit mûr et j’ai malaxé longuement sa queue et ses couilles. J’étais devenu un amoureux transi...

Depuis cette nuit-là, lorsqu'il m’appelle, je me sens transporté. Mais ce n’est pas souvent le cas, hélas.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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