L'histoire de la semaine

Dimanche 6 septembre 7 06 /09 /Sep 14:31

 

L'homme est étendu sur le lit, en croix, les pieds et les mains liés par de fins cordons verts attachés aux montants du lit. Seul son sous-vêtement rouge contraste avec la couleur de sa peau mate. Il sourit aux caresses, excitantes, douces, attentionnées de celle qui l'a attiré dans cette chambre. L'homme veut du sexe : il sera servi, mais pas comme il le souhaite. La femme, entièrement nue, excite son partenaire en palpant les couilles et frottant de sa paume droite la longue queue qui se tend et étire les fibres du tissu du slip.

L'homme émet des sons étouffés face à cette délicieuse torture. La femme glisse ses doigts sous l'élastique du slip et entre en contact avec la soie du gland de ce pieu de chair tendu, dont l'extrémité se mouille délicatement. Elle se lève, saisit un fin tissu noir, s'agenouille sur le corps de l'homme, sa toison noire finement rasée à hauteur de son nez et lui bande les yeux.

La femme se lève, sort de ce lit, quitte la chambre pendant que pénètre dans celle ci, un tout jeune homme, son frère, entièrement nu, le sexe tendu, décalotté. Il a assisté à la scène de séduction par un judas situé dans le mur d'une des parois de la chambre. Pendant plusieurs minutes, il s'est caressé à l'abri du regard de l'homme, rêvant de posséder ce partenaire que sa sœur lui a amené cet après midi, comme elle le fait régulièrement. Le jeune poursuit les caresses là où sa sœur les a interrompues... Ses doigts fins dessinent sur la peau de l'homme des cercles autour des mamelons qui durcissent au contact de ses doigts. Puis poursuivent leur chemin sur ce ventre plat, musclé jusqu'à rencontrer la frontière de l'élastique du sous vêtement. L'homme gémit, sans se rendre compte de la supercherie jouée par la femme. Son sexe, prisonnier de ce tissu, se tend de plus en plus et mouille légèrement le tissu rouge. La bouche du jeune garçon se pose sur ce sexe caché, la langue lape ce tissu distendu.

Le regard acidulé du garçon est empli de feux d'excitation, obnubilé par la turgescence occasionnée par cette grosse érection. Il s'assied en position de lotus entre les jambes écartées de l'homme. Dans cette position, il lui malaxe à travers le tissu, les couilles de sa main gauche pendant qu'il se branle de la main droite, bouche grande ouverte comme un poisson en manque d'oxygène. Le jeune garçon voudrait tant jouir dans la bouche de son partenaire mais ne veut pas éveiller la supercherie mise en place par sa soeur. Il tend son bras droit vers la table basse de chevet, ouvre un petit tiroir et en saisit une paire de ciseaux en argent. Toujours aucun mot n'est prononcé ni par l'un ni par l'autre. Seules deux respirations fortes, saccadées, emplissent l'atmosphère de cette chambre.

 

Le jeune homme tourne légèrement sa tête vers le mur, là où se trouve le judas caché dans les motifs muraux, se demandant si sa soeur est spectatrice de ce moment. De toute manière, elle fera son retour dans cette chambre dès que son frère aura pleinement profité de son jouet sexuel. Lentement, les deux lames des ciseaux, froides sur la peau hâlée de l'homme, entaillent le tissu rouge sur chaque flanc. Les prémices de la toison noire corbeau du pubis apparaissent. Le tissu cède. À ce moment précis une colonne de chair gainée de veines bleues, longue, brune, épaisse, circoncise, émerge, jaillit, se tend, s'étire lourdement sur le ventre, droite, bien au delà du nombril. Plus de 25 centimètres sous ses yeux ! Et deux grosses couilles qui s'agitent lourdement dans ce sac de peau légèrement velue.

La queue plus modeste du garçon vibre fortement sous l'afflux sanguin occasionné par ce mandrin tendu, agitée tel un fétu de paille sous les caresses du vent. Le jeune homme saisit alors ce lourd pieu de chair et constate qu'il ne peut l'enserrer entre ses doigts, tellement il est épais. Il mouille du cul. Assis devant l'homme, jambes toujours écartées, le jeune garçon salive son majeur gauche et le dirige vers l'auréole intime de son partenaire, se positionne à l'entrée légèrement velue et l'enfonce d'une poussée de toute sa longueur. L'homme trésaille devant cette pénétration. En même temps, le garçon se penche vers le gland de soie marron, y dépose sa langue, lèche ce pieu tendu jusqu'aux couilles. Sa bouche en saisit l'extrémité qui emplit la cavité buccale et glisse sur la chair. Mais soudain, l'homme, d'un coup de reins puissant, enfonce le plus loin possible dans la bouche sa queue qui cogne au fond de la gorge du garçon qui manque d'étouffer. Des larmes jaillissent et le jeune garçon se relève prestement. Il sent l'homme au bord de la jouissance. Il prend un tube de lubrifiant, enduit le gland luisant de l'adulte puis en appose tout autour de sa rondelle, glisse son doigt délicatement dans l'orifice par de petits va-et-vient très lents. Il emjambe ensuite l'homme, sa main gauche retenant ses propres couilles afin qu'elles ne claquent pas sur la peau de l'autre. Le jeune homme relève son cul, saisit l'érection bien vigoureuse et place le gland à l'entrée de sa grotte intime. Respirant une bouffée d'air, il s'empale délicatement sur ce mandrin de chair, le gland étant plus gros que la verge. Ses sphincters s'ouvrent, s'écartent, se distendent, le gland se fraie un chemin dans sa cavité, le lubrifiant aidant fortement la pénétration. Les yeux du jeune se perlent face à ce supplice excitant. Le pénis s'enfonce doucement. Mais l'homme, jusque là passif, d'un coup de reins puissant, enfonce sa monstrueuse colonne de chair jusqu'à la garde dans le cul du garçon qui émet un râle de douleur. 25 centimètres enfouis dans son cul ! L'homme poursuit ses va-et-vient. Le jeune, le cul fortement écarté, prend appui de sa main droite sur l'abdomen de son partenaire afin de ne pas être projeté sur le corps de l'homme. Il devine cette grosse queue coulisser en lui, le plaisir remplaçant maintenant la douleur, et souhaite que ce moment perdure encore quelques minutes. Mais des signes annonciateurs indiquent que la jouissance est proche. Effectivement, par des sons étouffés, l'homme crache sa crème au plus profond du jeune, tapissant ainsi ses parois anales.


Arrêt momentané de tout va-et-vient et le garçon extirpe cet obélisque de chair de son fondement, la semence coulant le long de ses cuisses. Il s'allonge près du corps musclé de l'homme, couvert de sueur, la respiration rapide, saccadée. Alors, le jeune homme se caresse, d'abord doucement, faisant courir ses doigts sur sa tige tendue, puis plus fermement, l'empoignant fortement. Devant l'imminence de la jouissance, le jeune homme saisit le slip rouge découpé de l'adulte et quatre longs jets de semence blanc nacré maculent ce tissu... L'homme, les yeux toujours bandés, tourne sa tête vers les râles du jeune, se demandant sans aucun doute ce qui se passe.

Le jeune homme se lève du lit, le sexe à demi bandé, luisant de semence et quitte la chambre. La femme croise son frère, l'embrasse sur la joue droite au passage, trempe quelques doigts dans le sperme se trouvant dans le slip rouge, et se dirige vers ce corps étendu. Elle ôte le bandeau noir des yeux de l'homme et plonge les doigts souillés de semence dans la bouche de son partenaire qui les suce avec délectation. Elle pense déjà à la prochaine proie qu'elle offrira à son frère tout en s'empalant sur cette énorme queue à nouveau tendue.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 30 août 7 30 /08 /Août 14:27

 

Ce jour là, en me levant au lever du soleil, je me sens un chasseur. Une abstinence sexuelle de plusieurs jours a engrangé en moi une force et un désir de vider un trop plein de semence qui sommeille dans mes couilles...

 

Sous la douche, afin d’être clean pour une éventuelle rencontre, je bande dur mais m’abstiens de me branler. Ma main droite caresse mon pieu de chair fortement tendu, décalotté, vibrant sous l’afflux sanguin qui circule dans cette colonne de chair, mais je résiste à me masturber. Une fois lavé, séché, propre, j’entreprends de me raser les couilles et le cul et taille ma toison blonde au plus court possible. Imberbe de nature sur un corps finement dessiné par des heures de muscu, je suis relativement ravi, pour mes 18 ans, de posséder une telle enveloppe. Je me regarde dans la glace qui me renvoie l’éclat lumineux couleur aigue marine de mes yeux. J’enfile un boxer rouge sur une peau légèrement bronzée. Ma queue et mes couilles se moulent dans ce tissu soyeux. Je me caresse mais cesse immédiatement ce geste car je me sens bander. Il serait dommage de gaspiller ma crème nacrée pour un plaisir solitaire ! J’ai fortement envie d’un mec, d’une queue, d’un cul à limer. Puis je m'habille d’un t-shirt rouge qui moule mes pectoraux et d’un pantalon de toile bleue qui met en valeur mon « trois pièces ». Et toujours cette folle envie de me branler... Mais je résiste.

 

11 heures. Mon désir de baiser est trop fort. Au volant de mon véhicule je me dirige vers un lieu de drague dont l’adresse était mentionnée dans un magazine gay. Et de plus, il n'est pas loin de chez moi. Je n’avais jamais douté que ce petit bois était un lieu de rencontre et de baise. Je roule lentement sur le petit chemin terreux qui mène à ce bois et stationne sous une haie de noisetiers qui me cache d’éventuels regards de la nationale. Mais pas une voiture en vue. Peut-être est-il un peu tôt dans la journée ? Question idiote ! Je reste au volant et patiente à tout hasard. Mais le soleil commence à montrer sa présence. Il fait chaud. J’ai peur de me transformer en éponge.

 

Soudain, vers midi, le bruit d’un moteur se fait entendre sur ce chemin de terre. Un rapide coup d’œil dans le rétroviseur gauche. Une BMW grise arrive doucement et là, je devine potentiellement qu’un gibier est à ma portée. Effectivement le véhicule stationne derrière le mien. Pendant quelques minutes rien ne se passe. Puis la portière côté conducteur s’ouvre et un mec en pantalon de survêtement et maillot blancs en descend. Il marche à pas lents au milieu du chemin, s’approche à ma hauteur, ralentit ses pas, tourne la tête vers moi, me sourit et pénètre dans le bois. 1m80 environ, cheveux noirs, type méditerranéen : ma queue me fait comprendre qu’elle a envie de ce mec. À mon tour, je quitte mon véhicule pour me diriger vers l’orée du bois, là où ce mec m’attend sans aucun doute. Mes yeux bleus doivent s’habituer au manque de lumière dans le bois mais rapidement, ils prennent possession de ce nouvel univers. Personne ! Où est donc passé ce beau gosse ? J’avance au hasard au milieu de ces troncs feuillus, tournant ma tête dans tous les sens en quête de ce mec. Mais rien ni personne. Volatilisé ? Envolé ? Et pourtant cette situation m’électrise de plaisir. Ma main droite se porte instinctivement vers mon sexe et décalotte celui-ci. Mais où est il passé ?

Cette question tourne dans ma tête comme un leitmotiv.

 

Mes yeux scrutent chaque recoin de fourré, de buisson, tel le chasseur à l’affût de son gibier lorsque j’entends une voix derrière moi qui me salue. Je me retourne prestement et réponds par les mêmes mots.

— Que recherches-tu ?

— Peut-être la même chose que toi, lui répondis-je.

Le mec, la trentaine, athlétique, petite barbe de poils noirs finement taillée, sourire éclatant, regard de braise, s’approche de moi, plaque sa main droite sur mon paquet et me dit qu’il veut ça ! Je fais le même geste en précisant que je veux ça aussi... Je devine au toucher qu’il ne porte pas de sous-vêtement. Une onde électrique à ce moment-là irradie entièrement mon corps en même temps qu’il malaxe mes couilles. Puis le tissu de son pantalon de survêt blanc se tend fortement, ma main enserrant son pieu de chair qui pointe vers l’élastique de son fute.

 

Mon partenaire me plaque dos contre le tronc du chêne situé derrière moi. Ses mains entreprennent de défaire mon ceinturon et je remarque qu’il porte une alliance d’or blanc à l’annulaire gauche. Un mec marié à la recherche d’un plaisir entre mecs. Cela m’excite encore plus. Puis, un à un, les boutons de mon jean sont dégrafés et sa main droite s’insère entre le tissu du pantalon et mon sous-vêtement, ses doigts caressant mon sexe tendu. Il malaxe les couilles, appuie légèrement sur ma queue afin de la tendre au maximum. Mon érection me fait presque mal tellement elle est dure, gonflée et fortement érigée. Il retire sa main et d’un geste rapide m’ôte mon t-shirt rouge qu’il jette négligemment au pied de l’arbre, me caresse les tétons qui durcissent puis les pince doucement. Sa langue humidifie ses lèvres, son regard pétille d’envie de sexe. Mes bras sont ballants le long de mon corps et je suis comme hypnotisé par ce mec. Moi le chasseur, je suis devenu le gibier ! Aucune parole échangée.

 

Il s’agenouille devant moi, tire le pantalon sur mes chevilles dévoilant ainsi mes jambes bronzées et couvertes de poils blonds, puis plaque sa bouche sur mon sexe érigé dans mon boxer. Ma pression artérielle s’accélère ainsi que ma respiration. Puis le boxer rejoint mon pantalon de toile sur mes chevilles. Ma colonne de chair, libérée de sa gaine de tissu, frappe la joue droite du mec et se tend sous son nez. Sa langue entreprend des caresses sur mon gland soyeux et gonflé puis descend le long de cette barre de chair gainée de veines bleues. Sa bouche s’empare de mes couilles rasées pendant que ses mains pétrissent mes fesses. Je halète devant cette torture enivrante, excitante. Soudain, mon gland disparait dans sa cavité buccale puis ma queue en entier, son nez dans ma toison blonde. Il entame de longs va-et-vient, sa langue enroulant l’extrémité renflée de ma queue et ses lèvres humides coulissant le long de ma barre de chair. Ma main droite se porte à l’arrière du crâne du suceur, mon bassin ondule au rythme de cette danse, mon sexe et livré à la bouche de ce mec... Ainsi je maîtrise cette joute : je deviens enfin le chasseur...

 

Mais soudain, mon partenaire se relève vivement, comme mû par un ressort, libérant ma queue de son emprise, plaquant mes épaules de ses deux mains contre le tronc, son regard brun dans mes yeux bleus… Je suis immobile, lui me sourit, me retourne et m’oblige à m’agenouiller devant cette souche épaisse, dévoilant ainsi mes fesses et ma rondelle à son regard. Je constate que je bande toujours aussi fortement. Ma queue est agitée par des soubresauts sanguins et libère quelques gouttes de sa semence. Lui me claque fortement les fesses de ses deux mains et je sursaute. Puis il sépare mes globes musclés. Ses doigts de la main droite glissent le long de ma raie rasée, caressent ma rondelle puis se dirigent vers mes couilles bien rondes, les attrapent, les malaxent et les tirent vers l’arrière. Il me fait mal. Ma queue tendue suit le même mouvement. Puis ses doigts libèrent mes deux boules et ma queue vient cogner mon ventre. Un jet de salive glisse le long de ma raie et ses doigts l’étalent sur ma rondelle ainsi humide. Son index droit pénètre mon intimité, ma caverne secrète, l’antre de la queue de quelques partenaires qui ont eu le bonheur de me besogner, rejoint par un second puis un troisième doigt. Il élargit ainsi mon trou en quelques va-et-vient puis les ôte de mon fondement. Ils glissent délicieusement dans la soie de mon intimité.

Je voudrais me relever, ne pas subir, mais sa main gauche appuie le milieu de mon dos, m’obligeant ainsi à rester agenouillé. Je retourne ma tête et constate qu’il se branle maintenant : un long pieu brun épais émergeant de sa paume droite. Je trésaille d’avance de plaisir et redoute en même temps la pénétration à venir ! Cette monstrueuse queue turgescente droite et dure à quelques centimètres de ma rondelle. Un nouveau jet de salive sur son gland et celui-ci appuie maintenant sur mon petit trou du cul. Les muscles s’ouvrent doucement pour laisser le passage à cet anaconda, comme la mer rouge s’est ouverte pour laisser le passage à une colonne humaine.

 

Deux coups de bassin puissants et me voilà littéralement empalé sur son mandrin vibrant. J’ai l’impression que son engin va m’ouvrir en deux ! Mes yeux perlent et je serre les dents. Je débande, ma queue pend lamentablement, retrouvant ainsi sa taille normale, le prépuce reprenant possession de mon gland. Elle est balancée dans tous les sens sous ces puissants coups de reins et cogne contre mes cuisses. Mes couilles suivent les mêmes mouvements. Ses mains agrippent mes hanches et je suis maintenant comme un simple jouet sexuel dans les bras de ce mec. Je penche ma tête vers le sol et mon regard, par-dessous mon corps, voit ses grosses couilles légèrement velues claquer mes fesses. Une onde électrique à nouveau envahit mon corps et un début d’érection s’annonce. Mon prépuce roule doucement sur le gland et ma queue s’excite par les balancements engagés par ces coups de boutoir.

 

Mon partenaire se courbe et épouse légèrement mon dos, son haleine chaude humidifiant mon cou. Sa main gauche titille ma queue qui gonfle, durcit, se tend vers mon ventre. Puis il empoigne mon engin, le décalotte à fond, fait rouler le prépuce sur le gland avec trois doigts et masturbe cette colonne de chair vibrante tout en poursuivant son limage de mon cul... Son souffle devient de plus en plus rapide. Il halète fortement puis soudain il se retire de ma caverne d’un coup de rein, me couche sur le dos, relève mes jambes, pose mes mollets sur ses épaules et approche à nouveau son dard fortement tendu et vibrant près de ma rondelle largement béante. Il plante son gode de chair en moi d’une seule poussée. Il rentre facilement jusqu'à la garde. Nos regards se croisent, ses mains caressent mes cuisses, mon ventre, ce qui m’occasionne des frissons de plaisir. Et il reprend sa charge frénétique en moi. Je le vois onduler du bassin, son regard attiré par son sexe qui me pénètre.

 

Cette situation m’excite et mon dard se tend à nouveau. J’empoigne celui-ci de ma main droite et me caresse. Mais le mec, tout en ondulant du bassin, dégage ma queue de ma main, saisit ma tige et la branle délicatement. Je ressens à ce moment précis une onde de plaisir qui m’envahit intérieurement comme si un éclusier ouvrait les barrages de la jouissance. La vague crémeuse, nacrée, tiède, va jaillir incessamment sous peu de ma colonne et mes couilles montent et descendent à une vitesse incontrôlable. Mon partenaire intensifie le rythme du limage de mon cul jusqu’à ce qu’il étouffe plusieurs cris en lui, cesse son va-et-vient, sort son mandrin, le branle et sa semence blanche jaillit en cinq jets puissants telle la lave d’un volcan, pour s’étaler et sur mon corps et sur mon visage. Un nouveau jet jaillit, se love sur l’arête de mon nez, dégoulinant sur mes lèvres tandis que ma langue se délecte de cette onctueuse crème. À mon tour, mon dard tendu, toujours dans la main du mec, libère sa semence nacrée qui jaillit également en plusieurs jets, se mélange à celle qui se trouve sur mon ventre, sur ma bouche, ne faisant qu’une seule trainée de lave blanche sur mon corps bronzé.

 

Mes jambes reposées à même le sol, il s’agenouille sur mes pectoraux et plonge son sexe à demi-bandé dans ma bouche. Ses couilles claquent sur mon menton. Son gland grossit à nouveau et emplit toute la cavité buccale. Les poils de ses couilles se mouillent de nos crèmes. Il veut simplement que je lui nettoie la queue et les couilles. Ma langue lèche son membre à demi-bandé et entreprend un nettoyage intime. Puis il se lève, réajuste son pantalon de survêt et me plante ici, nu, allongé à même le sol...

 

Quelques instants plus tard, j'entends son véhicule quitter le chemin de terre pendant que je me rhabille.

De chasseur, je suis finalement devenu gibier.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 23 août 7 23 /08 /Août 14:29

Deuxième partie


20 heures 30. Je suis déjà sur le lieu de rencontre, sur cette plage désertée par les touristes. Assis sur un banc, face à la mer, mon regard se porte au loin, sur ces bateaux qui semblent minuscules et leurs vrombissements sourds au loin... Le Mistral semble lui aussi en vacances. Silence à part le bruit des vagues qui viennent mourir en soupirant sur le sable et qui me tiennent lieu de chœur.

21 heures 15 et toujours pas de Jérôme ! Il m'a posé un lapin. Je me lève, en colère, me dirige vers les marches qui remontent vers le centre ville, et là, soudain, je le vois, assis sur la première marche, souriant, toujours aussi beau gosse. Il descend ces quelques marches vite fait et vient se jeter dans mes bras, nous entraînant dans une chute sur le sable tiède. Moi dessous, lui dessus, il m'embrasse sur la bouche, se lève, tire sur mes bras et nous entraîne à quelques mètres de là, à l'abri d'éventuels regards curieux et voyeurs, derrière ces rochers qui cacheront notre première relation chaude. Il me fait remarquer que depuis plus d'une demi-heure, il m'observait, me désirait. Assis côte à côte à même le sol, nous discutons de banalités avant que Jérôme n'entreprenne des gestes qui me feront perdre incessamment sous peu ma virginité avec un mec.

Sa main droite se pose sur ma cuisse droite, ses yeux dans les miens, un sourire dévoilant sa dentition blanche et parfaite. Même réaction de ma queue que cette après midi sur la plage, je me surprends à bander, ma colonne de chair se dressant fièrement, se frayant douloureusement un chemin dans mon boxer et dessinant ainsi un relief turgescent dans mon jean. À mon tour, j'entreprends une caresse de son sexe également tendu, distendant son pantalon de façon grotesque mais excitante. Sa langue rejoint la mienne et Jérôme m'enlace, me couche sur le sable froid, ses mains dans les miennes au dessus de ma tête, son sexe dressé frottant le mien. Puis la scène passe à l'étape suivante : agenouillé sur mon ventre, il ôte mon tee shirt dévoilant mon corps fin qu'il a admiré cet après midi, pose ses lèvres sur mes tétons qui durcissent au contact de sa langue humide, les mordille... Je ne résiste pas. Ces caresses me sont inconnues. À son tour, son maillot rejoint le mien, il défait son ceinturon et ouvre son pantalon, laissant entrevoir une toundra de poils noirs. Je suis riche de cette vue. Je dégrafe à mon tour les boutons de mon pantalon qu'il tire vers mes chevilles et le jette négligemment sur le côté. Le sien suit le même parcours. En sous-vêtements, queue tendue, couilles gonflées, nos caresses explorent chaque centimètre de nos peaux jusqu'à ce que Jérôme saisisse l'élastique de mon boxer, dévoilant ainsi ma colonne de chair gonflée qui s'étire vers mon nombril, puis baisse également le sien, son mandrin pointant vers le ciel, lourd, épais, décalotté, vibrant de puissance et de désir.

J'écarte les jambes et lui vient se lover contre elles, la bouche ouverte pour s'emparer de mon gland. Frénésie ! Sa langue au contact de la soie du gland me fait émettre des glapissements de plaisir. Il empoigne mes couilles pendant que sa bouche absorbe l'entière colonne de chair en un va et vient plein de symphonie, de couleurs, de puissance. Je ne pourrai me retenir plus longtemps tellement le désir de cracher est intense. Des dizaines de décharges électriques me parcourent les couilles, le cul, le ventre... Cette nuit est faite de lumière, et comme l'étoile filante qui laisse une trace dans le ciel, ma semence blanc nacré jaillit de mon mandrin, un jet puissant dans sa bouche, puis Jérôme relève la tête, les autres jets de lave tiède maculant ainsi mon ventre, mon menton, ma bouche...

Tous les voyants de la jouissance en moi s'allument pendant que mon sexe, encore tendu, retombe sur ma toison... et que la langue de Jérôme vient lécher. Il se relève, queue tendue, empoigne mes jambes qu'il fait rouler sur le côté et m'agenouille... Sa bouche explore ma rondelle légèrement velue, l'humidifie, et il y introduit un, puis deux, puis trois doigts avec délicatesse. Je suis surpris de constater que mon petit trou serré puisse être visité. Un jet de salive sur son gland, puis un second sur mon intimité, puis sa queue tendue, véritable clé de chair gainée de veines bleues saillantes, me pénètre doucement, coulissant lentement dans ma caverne secrète. Juste un cri étouffé dans mes deux mains, puis 20 centimètres entrés jusque la garde, me labourent, silencieusement, amoureusement, tendrement dans un va et vient langoureux, ses couilles claquant sur mes fesses de craie.

L'empreinte de sa bite au plus profond de moi restera indélébile tel un taureau marqué au fer rouge. Il danse encore et encore en moi, je sens son membre chaud figé dans mon ventre, ses mains empoignant mes hanches durant cette étreinte de jouissance jusqu'à l'explosion finale, tel un feu d'artifice libérant ses étoiles de lumière. Sa queue palpite en moi, la pression sanguine cognant contre ma paroi intime, et je perçois l'explosion lourde et puissante dans une ultime valse de son bassin en moi. Il libère ma grotte souillée de sa semence, et les anneaux musculaires de mon cul se referment lentement, comme s'ils voulaient conserver cette précieuse liqueur, qui malheureusement s'échappe doucement et coule le long de mes cuisses. Nous sommes couverts de sueur, haletant comme deux marathoniens ayant franchi la ligne d'arrivée d'une course. Couché sur le ventre sur le sable, les grains de sable grattent et se collent à mon sexe encore mouillé et à demi tendu.

D'un seul geste, Jérôme et moi nous nous levons, et courons vers les vagues qui nous lèchent, nous nettoient de nos spermes, au milieu de la nuit, sous le regard de la lune qui semble charmée de nos ébats secrets. Je viens d'être fécondé par un beau garçon. Nos rires se mêlent aux bruits sourds des vagues qui meurent sur le sable.

— Alors, tu as aimé ? me demande-t-il. Je ne t'ai pas fait mal ?

Pour toute réponse, je l'embrasse fougueusement, mes mains caressant son corps, ses couilles, sa queue, ses fesses... avant de regagner notre antre secrète près des rochers, témoin de nos ébats. Allongés, mouillés, j'enfourche le corps de Jérôme et lui dit à l'oreille que je suis à lui quand il le veut.

— Tous les jours, me répond il ! Ton petit cul sera à moi.

Et ce fut la première fois qu'un mec m'a dit «je t'aime», ses biceps amoureux, les pupilles bandées. Les trois semaines s'écoulèrent ainsi, trop rapidement malheureusement, dans les bras de Jérôme, sa queue en moi. Et dans mes nuits, j'étais la poupée que Jérôme déshabillait sur cette plage et baisait. J'aime un garçon, est ce une maladie ? Que vais je dire à Solène, à ma sœur, à ma mère, à mes copains  ? Mais je voudrais tant crever l'abcès qui me ronge, finir en paix avec moi et être fier de ce que je suis réellement. Je ne veux pas me priver de ces années qui dévoileront ma vraie personnalité, ma raison d'être.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 16 août 7 16 /08 /Août 14:20

Première partie


Étendu sur cette serviette de plage, le dos offert au rayons de soleil, simplement vêtu de mon maillot de bain vert, les deux mains sous ma tête, je profite de la chaleur procurée par l'astre de vie qui me réchauffe et me bronze à la fois. Cheveux blonds coupés très courts, les yeux bleus, je prends difficilement le soleil, mais depuis plusieurs jours à Cavalaire, ma peau se colore enfin. Je m'en rend compte chaque soir lorsque je suis nu sous la douche. Seul l'espace de peau caché sous mon sous vêtement reste relativement clair. Et le poil blond sur mes jambes colorées brille comme des perles de rosée. Cela m'excite fortement à chaque fois que je m'admire dans la glace, allant jusqu'à me branler pour satisfaire un besoin puissant. À 17 ans, cette envie de jouir est une nécessité et mon sexe réclame quotidiennement son dû.

Et cet après midi, c'est en famille, avec ma sœur et ma mère, que je suis sur cette plage de sable fin, puisque Solène, ma copine du moment est restée avec ses parents à Paris. Encore trois semaines à patienter avant de la revoir. Je relève la tête devant moi et remarque un mec, à quelques mètres de moi à peine, qui me fixe de son regard ténébreux, au corps absolument bronzé, en maillot de bain rouge. Mon regard se détache de lui, puis se fixe à nouveau sur ce mec. Je repose ma tête sur la serviette, puis la relève et constate que le garçon, environ de mon âge, s'est couché sur le sable, m'offrant ainsi une vue et sur la plante de ses pieds et sur la bosse moulée dans son maillot. Mais la vue de cette bosse fait naître instinctivement en moi un début d'érection sans que je parvienne à arrêter le mécanisme.

C'est la première fois que je bande en matant un mec. Pourtant, l'occasion m'est souvent donnée dans les vestiaires de la piscine où je suis membre d'une équipe de natation à Paris. Mon regard est obsessionnel, fixé sur ce sexe caché que je devine puissant, brun, épais... Puis soudain, le mec se lève, se dirige vers la mer, passant très près de moi, quelques grains de sable projetés sur ma serviette mais mon regard englobe cette silhouette de dos qui va entrer dans l'eau salée. Mû comme un ressort, je me lève à mon tour, le sexe légèrement gonflé et cours ainsi vers la mer, pas très loin de ce beau garçon. Qu'est ce qui me pousse à agir ainsi ? Je ne suis pas homo, me dis je en moi même ! Ou simplement me faire un ami de vacances ? Au bout de plusieurs minutes, nous sympathisons, après nous être livrés à des jeux d'enfants dans cette eau, comme nous asperger mutuellement. Rires d'ados... et regards complices.

Je vois que ma mère et ma sœur replient leurs serviettes et les informe que je souhaite profiter encore de la plage. Assis côte à côte, lui Jérôme, un enfant du pays, est de repos ce jour, pizzaïolo le soir dans le centre ville. Il m'a remarqué depuis le jour de mon arrivée sur cette plage et dit qu'il me trouve plutôt beau mec. Lui aussi est beau mec, corps fortement bien dessiné, bronzé, au poil noir mais je ne ressens aucune attirance pour un garçon. Enfin le croyais je ! Étendus sur la serviette, côte à côte, nous discutons comme deux amis de longue date, conversation entre ados sur les filles, les garçons, le sexe, les vacances... Mais lui est un beau parleur... du genre:

— Tu as de beaux yeux bleus... belle gueule qui doit faire tomber les filles…

Je l'écoute sans broncher, mais intérieurement, en moi, plusieurs rouages s'activent fortement... le cœur s'emballe, respiration oppressée, un regard brillant vers ce garçon, situation que je n'ai connue que la fois où j'ai rencontré Solène, ma petite amie parisienne, à la sortie du lycée. Je m'étends sur ce tissu chaud de ma serviette et Jérôme en fait tout autant, mais sur le sable blond. Et soudain, ses doigts de sa main gauche viennent à la rencontre de ma main droite. Je n'ose bouger de peur de briser ce moment qui m'est tout à fait nouveau et inconnu. Telles les pattes d'une araignée, ils prennent possession doucement de mon bras puis se posent sur mon ventre. Une onde électrique parcourt mon corps. Je voudrais me lever, partir, lui dire qu'il me dégoûte, au plus lui foutre mon poing sur le nez, mais je suis tétanisé, comme mordu par cette araignée humaine.

J'imagine les centaines de regards de ces vacanciers qui nous entourent éprouvant leur dégoût devant la scène qui se déroule. Deux mecs qui se touchent. Et ses doigts progressent à la découverte de mon corps, se posent sur mon nombril et sur la ligne de poils fins et blonds qui conduisent à mon pubis rasé. Je regarde autour de nous et constate que la plage se déserte doucement, compte tenu de l'heure de cette fin de journée. Alors, je tourne ma tête vers Jérôme et voudrais lui demander d'arrêter son manège mais aucun son ne parvient à sortir de ma bouche. Et lui poursuit son avancée vers mon sexe, ses doigts se posent sur ma bosse, titille mon gland à travers mon maillot, malaxe doucement mes couilles. Je bande instinctivement. Mon sexe se tend, s'étire, gonfle, durcit, mon prépuce décalotte le gland sous le tissu, et lui me pétrit toujours mon mandrin. J'halète de plus en plus vite, ne comprenant pas encore ce qui m'arrive. Pas pour un mec ! Alors, je prends sa main, l'ôte de ma queue tendue, m'assieds et lui demande de stopper son manège.

— Mais tu semblais apprécier, mon salaud, dit il ! Tu te laisses caresser, je te malaxe les couilles, tu bandes et tu ne dis rien. Et maintenant, tu fais ta mijaurée !

Il se lève, époussette le sable de son dos et ses jambes et me jette du pied une quantité de sable doré sur le ventre. Je me lève à mon tour, ma queue reprenant petit à petit sa taille normale, et constate que lui aussi est en érection, tendant fortement son maillot rouge vers le haut. Il se retourne et part en direction du centre ville.

— Attends Jérôme lui crie je !

Il ne se retourne pas, accélérant son pas. Arrivé à sa hauteur, je pose ma main droite sur son épaule gauche et lui demande de m'écouter quelques instants. Je ne trouve pas les mots pour expliquer mon geste. Je bafouille des propos incompréhensibles et lui indique que c'est la première fois qu'un mec me fait bander ainsi. Je lui fais comprendre également que je ne veux pas rompre une amitié naissante.

Il me répond alors que pour conserver cette amitié, je dois me trouver sur cette plage ce soir à 9 heures. Il demandera la soirée à son patron. Je reste planté là, sur cette plage, immobile, ne sachant pas quoi rétorquer. Mais Jérôme est déjà loin. Rentré chez moi, dans la salle de bains, j'ôte mon maillot vert et constate qu'une légère trace blanche macule celui ci. Envie de me branler. Mais non ! Je me douche, la queue raide, me sèche, m'habille pour ce soir et vais retrouver ma famille sur la terrasse. Silencieux, je dîne d'une salade verte sans un mot, ce qui semble désorienter ma mère. Mais elle ne pose aucune question. Repas terminé, je fais savoir que je sors ce soir et ne rentrerai pas trop tard.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 9 août 7 09 /08 /Août 14:05

Je stationne mon véhicule sur une aire de stationnement située juste devant un immeuble aux couleurs délavées. Surpris, je vérifie l’exactitude du message reçu ce matin sur mon portable du mec que j’ai rencontré sur internet. Pas de problème, c’est la bonne adresse : 14 rue de la Joie. Je descends de mon véhicule et me dirige vers la porte du hall d’entrée qui est largement ouverte. Le sas de sécurité semble hors service.

Un ado black d’une quinzaine d’années environ est assis à même le sol. Mon regard englobe cette silhouette longiligne, simplement vêtue d’un tee shirt bleu, d'un jean rouge et de baskets bien blanches. Crâne rasé, belle gueule, beau regard, son sourire me déstabilise et je tourne la tête. Sa beauté n’est pas en adéquation avec l’environnement du quartier.

Il me fixe comme si j’étais une proie qui se dirige vers la toile de l’araignée. Que faire ? Continuer ou abandonner ce rendez-vous ? Mon cœur cogne bien fort en moi. Mes yeux bleus se posent à nouveau sur ce beau gosse. Je monte les quelques marches qui mènent à l’immeuble. Le black ne cesse de sourire de ses dents bien blanches. Superbe gosse, me dis je en moi-même. Et bien sûr pas de nom ni de numéro d’appart sur les boites aux lettres éventrées...

— Tu cherches quelque chose ou quelqu’un ?

Cette voix claire vient de derrière moi. Je me retourne et le black me fait face de son sourire envoûtant. Ses yeux noirs qui brillent de mille feux sont plongés dans les miens. Je respire fort. Son tee shirt sculpte son corps finement musclé, dessiné. Son pantalon moule ses jambes et sa bosse entre les jambes. Je sens mon sexe légèrement grossir.

— Je cherche à contacter Xavier, lui dis je.

— Ah ! C’est le mec qui travaille au sous sol. Suis moi ! Je t’y conduis, mec ! Tout le monde le cherche…

Je descends quelques marches qui mènent dans les entrailles de cet immeuble, accompagné de mon cicérone au sourire éternel.

L’ado frappe deux coups à une porte qui s’ouvre de suite. Un mec d’origine maghrébine, beau comme un dieu, ouvre celle-ci et sans que je réagisse, je suis poussé dans cette pièce faiblement éclairée d’une ampoule au plafond. Surpris, je tombe à quatre pattes à même le sol recouvert de vieux tapis râpés. Deux mains m’attrapent par les épaules et me font rouler sur le dos. Aussitôt, un mec s’agenouille sur moi et me lance une gifle sur la joue gauche qui claque, puis une seconde sur l’autre joue.

— Bienvenue chez moi, Vincent !  T’as répondu à mon invitation me lance-t-il tout en me palpant les couilles à travers mon pantalon de lin. J’te présente Abdou et moi c’est Sofian.

Je suis encore sous le coup de ces deux gifles et pourtant cette main qui me palpe fait bander mon sexe. Je réalise qu’en fait, Xavier est un magnifique beur...

— Il bande dur le mec, dit Sofian à Abdou. Je crois qu’on va bien s’amuser tous les trois.

Sofian se relève et Abdou sourit toujours. Je les regarde tous les deux et une protubérance au niveau de leurs sexes est nette. Ils bandent aussi.

— Fous toi à poil ! m’ordonne Sofian.

À mon tour, je me relève et me dirige vers la sortie. Ce n’est pas ainsi que j’avais prévu cette rencontre. Abdou m’interdit de son corps athlétique la sortie. Il se saisit d’une lame qui se trouve sur une étagère et la pointe vers mon visage.

— Une dernière fois, fous-toi à poil, sans quoi je te coupe les couilles et demain on t’appellera mademoiselle, m’ordonne t il d’une voix forte, son sourire éteint.

Il me pousse à nouveau vers le centre de la pièce. Je ne bande plus. Moi qui suis un adepte des rencontres par internet, je me jure de ne plus jamais y répondre ! Je suis tétanisé, immobile, ne pouvant faire aucun geste. Je les regarde tous les deux, à tour de rôle.

— Je crois qu’il n’a pas compris, dit Sofian qui me gratifie à nouveau d’une gifle.

Des larmes montent en moi mais je m’abstiens de leur montrer mes peurs et faiblesses. Abdou se place derrière moi, ses deux mains me palpent les fesses pendant que Sofian me fixe de son regard de braise. Lui aussi sourit.

— T’as gentiment répondu à mon annonce, mec, alors amusons nous ! Dessape toi de suite, hurle t il !

Mes deux mains entreprennent de déboutonner ma chemisette qui tombe sur les tapis, dévoilant ainsi mon corps imberbe, finement dessiné par des heures de muscu. Puis je délace mes baskets, enlève mes chaussettes basses. J’attaque ensuite par le ceinturon, ouvre la braguette de mon jean et me voilà en boxer. Abdou attrape mes vêtements et les jette dans un coin de la pièce. Sofian, le regard posé sur mon sexe caché par ce morceau de tissu, s’approche à son tour. Abdou se positionne à nouveau derrière moi, pose ses mains sur mes deux épaules, ce qui occasionne un frisson et en même temps une onde électrique parcourt entièrement mon corps, et ce, jusqu’à l’extrémité de ma verge.

Ses mains caressent délicatement mon dos et il pose délicatement dans mon cou des baisers. Je n’avais pas remarqué jusqu’à maintenant qu’Abdou dégageait des relents d’un parfum délicieux. Ses mains poursuivent leur découverte, descendent sur mes reins, se dirigent vers mon ventre et remontent vers mes tétons qui durcissent. Sofian s’approche à son tour et je devine que son sexe est fortement tendu sous son pantalon. La situation l’excite. Ses mains velues se posent elles aussi sur mes hanches, glissent sur le boxer, caressent ma queue à travers le tissu fin. Mon sexe électrisé, réagit, gonfle, durcit et s’étire longuement vers mon nombril. Sofian sourit de cette réaction et ses lèvres s’approchent des miennes. Mais brusquement, il saisit l’élastique de mon boxer et tire brutalement sur celui-ci, découvrant ainsi mon sexe tendu, décalotté. Mon pieu de chair turgescent vibre sous l’afflux sanguin bouillonnant en moi.

—  T’es pas mal mec, me dit il ! T’as une peau douce. On dirait une peau de fille. Quel régal ! s’exclame Sofian qui commence à se caresser à travers le tissu.

— Et il n’a pas de poil dans sa raie, renchérit Abdou.

Son index gauche me fouille de plus en plus vite à la recherche de ma rondelle rose, puis me pénètre doucement. Un second doigt rejoint le premier, puis un troisième, élargissant ainsi mon petit orifice.

— Il n’a pas de poil non plus sur les couilles, répond Sofian. Mieux qu’une meuf !

Sur un signe de Sofian, Abdou appuie fortement sur mes épaules et je tombe ainsi à genoux devant l’entrejambe de Sofian qui défait son ceinturon et ouvre sa braguette. Il attrape ma tête de sa main libre et appuie fortement celle-ci sur son sexe dur. Je sens à travers le tissu de son slip l’odeur du mâle. Puis Sofian ôte son maillot qu’il jette près de mes vêtements, enlève ses chaussures basses, tire sur son jean qui tombe à ses chevilles, dévoilant ainsi deux superbes jambes musclées, velues, puis baisse son slip.

Un membre long, épais, circoncis, surmonté d’une toison noire taillée jaillit droit sur mon visage. Les doigts de sa main droite saisissent mes mâchoires qui s’ouvrent sous la pression.

— Suce moi maintenant ! ordonne t il.

Et ce bâton de chair pénètre au plus profond ma bouche. Un va et vient de son bassin dans ma cavité buccale lui occasionne de légers cris de plaisir. Son gland gonflé emplit entièrement l’espace de ma bouche. Ma langue caresse ce pieu.

— Regarde, tu le fais bander, observe Abdou.

Effectivement je bande sans me toucher. Abdou se dévêt entièrement et rapidement à son tour. Une queue bien noire et une toison frisée s’offre à ma vue avant qu’il ne se repositionne dans mon dos. Son anaconda se positionne dans la raie de mon cul et entreprend des va et vient sans me pénétrer . Puis sa main droite saisit mon membre tendu, plus court que le sien et commence à le masturber. Mes couilles montent et descendent à une vitesse vertigineuse tellement le plaisir est grand. Mon pieu glisse dans la paume de sa main et ses doigts jouent avec mon prépuce sur le gland. En moi, les rouages et les clapets de la jouissance se déverrouillent. Je sens que la vague salée d’un blanc nacré ne va pas tarder à jaillir de ma queue. Pendant ce temps Sofian grogne de plaisir. Ma bouche ouverte me fait mal et le va et vient de son pieu se poursuit.

Sans pouvoir arrêter le feu de mon bas ventre, ma semence jaillit en plusieurs jets et s’étale, telle la rosée blanche du matin, sur les pieds nus de Sofian. Quatre longs jets suivis d’une multitude de petits jets… qui s’accrochent sur les doigts de la main droite d’Abdou. Il récupère cette semence dans sa paume et enduit sa queue tendue de cette liqueur tiède. Il en fait un lubrifiant. Sa bouche se pose sur mon cou, ses mains s’agrippent à mes hanches, son gland cogne contre ma rondelle.

— Tu vas goûter à mon sucre d’orge, mec dit il en me pénétrant d’un brutal coup de butoir.

Sa queue est dans mon intimité et tapisse mon étroit petit cul. Il se retire et me prend à nouveau, entamant ainsi son va et vient en moi. Ses couilles claquent mes fesses à chaque assaut. Sous cet assaut bestial et brutal, la queue de Sofian toujours en bouche, j’étouffe un cri et des larmes perlent à mes yeux. Puis Sofian attrape mes oreilles et sa queue circoncise poursuit son aller et retour sur ma langue. Des cris gutturaux s’échappent de sa bouche, annonciateurs prochains de sa jouissance. Signes qu’il va lâcher à son tour les grandes vagues. Effectivement, quelques instants plus tard, un liquide salé tapisse mon palais, ma bouche et Sofian poursuit son va et vient, m’obligeant ainsi à avaler sa crème. J’ai l’impression que sa réserve est inépuisable. Puis il retire son sexe à demi bandé, le saisit de sa main droite, le branle et le remet dans ma bouche, m’obligeant à le nettoyer pendant que mon corps subit les assauts d’Abdou.

— Mes couilles aussi, me dit il !

Ma langue essuie ses grosses couilles velues. Puis Sofian se couche sur le tapis, jambes écartées, repu par le plaisir reçu. Je peux voir ainsi son sexe circoncis au repos et les poils noirs qui conduisent à sa grotte secrète. Je sens venir en moi à nouveau une érection, désirant posséder à mon tour son petit cul. Sofian semble deviner mon désir et écarte encore un peu plus les jambes. Ma queue se tend à nouveau, le prépuce décalottant mon gland. Je voudrais me branler mais les coups de boutoir d’Abdou ne me le permettent pas.

Abdou aussi est admiratif du corps de son ami, étalé devant lui, dévoilant sa plus profonde et secrète intimité. Lui aussi a toujours désiré y mettre sa grosse queue noire. Mais celle-ci lime mon petit cul blanc de français. Puis un coup de reins puissant me plonge sur le corps de Sofian et ma bouche atterrit sur son sexe mou et reposé. Mû par un ressort invisible, il s’agenouille devant moi et astique de sa main droite la queue qui grandit et grossit à vue d’œil. Pendant ce temps Abdou émet un grognement de plaisir et épouse mon dos, sa grosse queue au plus profond de mon cul, lâchant des saccades de jus blanc au plus profond de moi. Je sens les palpitations de sa verge lâchant cette crème. Sofian s’astique toujours pendant qu’Abdou retire son anaconda de mon petit cul fortement ouvert. À son tour Abdou se couche sur le tapis, devant mes yeux, épuisé par cette lutte sexuelle.

Je remarque que son corps, à part le sexe, est totalement imberbe. Ce qui m’excite encore plus et mon sexe palpite douloureusement. Sofian me contourne, empoigne à son tour mes hanches, me cambre et d’un coup sec et rapide, entre en moi ses 20 centimètres de chair. La crème d’Abdou qui s’écoule de mon orifice sert aussi de lubrifiant à Sofian. Je suis à nouveau à quatre pattes devant cette fois-ci Abdou qui glisse, tel un reptile, son corps sous le mien. Son sexe luisant de sa semence qui coule encore légèrement est à portée de ma bouche et s’en empare. Son pieu grossit à nouveau. Et sa bouche s’ouvre devant mon pieu de chair tendu, sa langue lèche mes couilles rasées. Nous entamons un 69 torride pendant que les couilles de Sofian claquent mes fesses blanches. Abdou est fortement excité par cette situation : sa queue dans ma bouche, ma queue dans la sienne et quatre couilles sous ses yeux. Deux rasées et deux velues. Puis ses mains agrippent les fesses velues de Sofian et les caressent avant que son index droit ne fouille l’intimité de Sofian qui, de ses mains, écarte volontairement ses fesses afin de mieux se faire pénétrer.

Alors Abdou libère ma queue, se retire de sous mon corps, vient se placer derrière Sofian et, à grands coups de salive, humidifie la rondelle de Sofian. Le pieu noir d’Abdou, arc bouté, chargé de plaisirs, pénètre le cul de Sofian qui émet un cri étouffé et poursuit son limage de mon petit cul. Abdou est jouissif de posséder enfin le cul bronzé, velu, musclé de son ami qui jusque là lui était formellement inaccessible et interdit. Sofian à nouveau émet quelques grognements de plaisir et à son tour se répand au plus profond des mes entrailles. Je me dégage de sa queue et m’allonge à mon tour sur ce tapis râpé. Je regarde cette joute sexuelle qui se déroule devant moi pendant que la semence de Sofian glisse sur mes fesses. Je bande dur. Mes doigts à leur tour récupèrent cette crème et je me dirige vers le dos d’Abdou. Je lui étale cette semence récoltée sur sa rondelle et empoigne mon pieu de chair de ma main droite. Je le branle un peu avant de courber le dos d’Abdou afin de mieux favoriser ma pénétration. Abdou me regarde méchamment, ne voulant pas se faire enculer. Mais d’un coup de boutoir rapide et précis, mes 17 centimètres entrent dans son cul noir et j’entame enfin à mon tour ce va et vient. Mes mains agrippent les hanches d’Abdou et je le lime le plus profondément possible. Fortement excité, je ne tarde pas à mon tour de lâcher dans les entrailles du black ma semence qui gicle par saccades.

Et Abdou à son tour se tend fortement et se plaque au corps du rebeu avant de lâcher lui aussi son liquide salé dans une intimité longtemps désirée. Couvert de sueur, le corps luisant, nous tombons dans les bras de l'un l'autre sur ce tapis usé. Pour la première fois je remarque des tâches douteuses semées sur ces couleurs fatiguées qui colorient les motifs du tapis. Cette joute nous a vidés et épuisés. Tous les trois haletons par tant d'efforts reçus et donnés. Je regarde Sofian qui lui aussi me fixe de son regard ténébreux. Nos bouches s'approchent, nos lèvres se touchent et nos langues entrent en contact. Ce baiser fougueux est l'aboutissement de quelques heures de plaisir dans cette cave. Abdou m'empoigne mes petites couilles, les malaxe de ses longs doigts fins et me dit :

— Je crois que je ne vais pas te les couper. On ne t'appellera pas mademoiselle. Mais tu es une vraie chienne. Une chienne comme toi aime bien la queue.

D'un seul geste, le trio que nous composons se lève. Je me baisse pour ramasser mon boxer. Abdou, de son index droit, pénètre à nouveau mon cul encore dilaté par ces deux membres de chair épais.

— Tu es encore mouillée, ma chienne !

Je m'habille vite fait sous le regard de ces deux fauves et sors de cette antre rapidement sans tourner la tête.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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