Dimanche 9 août 7 09 /08 /Août 14:05

Je stationne mon véhicule sur une aire de stationnement située juste devant un immeuble aux couleurs délavées. Surpris, je vérifie l’exactitude du message reçu ce matin sur mon portable du mec que j’ai rencontré sur internet. Pas de problème, c’est la bonne adresse : 14 rue de la Joie. Je descends de mon véhicule et me dirige vers la porte du hall d’entrée qui est largement ouverte. Le sas de sécurité semble hors service.

Un ado black d’une quinzaine d’années environ est assis à même le sol. Mon regard englobe cette silhouette longiligne, simplement vêtue d’un tee shirt bleu, d'un jean rouge et de baskets bien blanches. Crâne rasé, belle gueule, beau regard, son sourire me déstabilise et je tourne la tête. Sa beauté n’est pas en adéquation avec l’environnement du quartier.

Il me fixe comme si j’étais une proie qui se dirige vers la toile de l’araignée. Que faire ? Continuer ou abandonner ce rendez-vous ? Mon cœur cogne bien fort en moi. Mes yeux bleus se posent à nouveau sur ce beau gosse. Je monte les quelques marches qui mènent à l’immeuble. Le black ne cesse de sourire de ses dents bien blanches. Superbe gosse, me dis je en moi-même. Et bien sûr pas de nom ni de numéro d’appart sur les boites aux lettres éventrées...

— Tu cherches quelque chose ou quelqu’un ?

Cette voix claire vient de derrière moi. Je me retourne et le black me fait face de son sourire envoûtant. Ses yeux noirs qui brillent de mille feux sont plongés dans les miens. Je respire fort. Son tee shirt sculpte son corps finement musclé, dessiné. Son pantalon moule ses jambes et sa bosse entre les jambes. Je sens mon sexe légèrement grossir.

— Je cherche à contacter Xavier, lui dis je.

— Ah ! C’est le mec qui travaille au sous sol. Suis moi ! Je t’y conduis, mec ! Tout le monde le cherche…

Je descends quelques marches qui mènent dans les entrailles de cet immeuble, accompagné de mon cicérone au sourire éternel.

L’ado frappe deux coups à une porte qui s’ouvre de suite. Un mec d’origine maghrébine, beau comme un dieu, ouvre celle-ci et sans que je réagisse, je suis poussé dans cette pièce faiblement éclairée d’une ampoule au plafond. Surpris, je tombe à quatre pattes à même le sol recouvert de vieux tapis râpés. Deux mains m’attrapent par les épaules et me font rouler sur le dos. Aussitôt, un mec s’agenouille sur moi et me lance une gifle sur la joue gauche qui claque, puis une seconde sur l’autre joue.

— Bienvenue chez moi, Vincent !  T’as répondu à mon invitation me lance-t-il tout en me palpant les couilles à travers mon pantalon de lin. J’te présente Abdou et moi c’est Sofian.

Je suis encore sous le coup de ces deux gifles et pourtant cette main qui me palpe fait bander mon sexe. Je réalise qu’en fait, Xavier est un magnifique beur...

— Il bande dur le mec, dit Sofian à Abdou. Je crois qu’on va bien s’amuser tous les trois.

Sofian se relève et Abdou sourit toujours. Je les regarde tous les deux et une protubérance au niveau de leurs sexes est nette. Ils bandent aussi.

— Fous toi à poil ! m’ordonne Sofian.

À mon tour, je me relève et me dirige vers la sortie. Ce n’est pas ainsi que j’avais prévu cette rencontre. Abdou m’interdit de son corps athlétique la sortie. Il se saisit d’une lame qui se trouve sur une étagère et la pointe vers mon visage.

— Une dernière fois, fous-toi à poil, sans quoi je te coupe les couilles et demain on t’appellera mademoiselle, m’ordonne t il d’une voix forte, son sourire éteint.

Il me pousse à nouveau vers le centre de la pièce. Je ne bande plus. Moi qui suis un adepte des rencontres par internet, je me jure de ne plus jamais y répondre ! Je suis tétanisé, immobile, ne pouvant faire aucun geste. Je les regarde tous les deux, à tour de rôle.

— Je crois qu’il n’a pas compris, dit Sofian qui me gratifie à nouveau d’une gifle.

Des larmes montent en moi mais je m’abstiens de leur montrer mes peurs et faiblesses. Abdou se place derrière moi, ses deux mains me palpent les fesses pendant que Sofian me fixe de son regard de braise. Lui aussi sourit.

— T’as gentiment répondu à mon annonce, mec, alors amusons nous ! Dessape toi de suite, hurle t il !

Mes deux mains entreprennent de déboutonner ma chemisette qui tombe sur les tapis, dévoilant ainsi mon corps imberbe, finement dessiné par des heures de muscu. Puis je délace mes baskets, enlève mes chaussettes basses. J’attaque ensuite par le ceinturon, ouvre la braguette de mon jean et me voilà en boxer. Abdou attrape mes vêtements et les jette dans un coin de la pièce. Sofian, le regard posé sur mon sexe caché par ce morceau de tissu, s’approche à son tour. Abdou se positionne à nouveau derrière moi, pose ses mains sur mes deux épaules, ce qui occasionne un frisson et en même temps une onde électrique parcourt entièrement mon corps, et ce, jusqu’à l’extrémité de ma verge.

Ses mains caressent délicatement mon dos et il pose délicatement dans mon cou des baisers. Je n’avais pas remarqué jusqu’à maintenant qu’Abdou dégageait des relents d’un parfum délicieux. Ses mains poursuivent leur découverte, descendent sur mes reins, se dirigent vers mon ventre et remontent vers mes tétons qui durcissent. Sofian s’approche à son tour et je devine que son sexe est fortement tendu sous son pantalon. La situation l’excite. Ses mains velues se posent elles aussi sur mes hanches, glissent sur le boxer, caressent ma queue à travers le tissu fin. Mon sexe électrisé, réagit, gonfle, durcit et s’étire longuement vers mon nombril. Sofian sourit de cette réaction et ses lèvres s’approchent des miennes. Mais brusquement, il saisit l’élastique de mon boxer et tire brutalement sur celui-ci, découvrant ainsi mon sexe tendu, décalotté. Mon pieu de chair turgescent vibre sous l’afflux sanguin bouillonnant en moi.

—  T’es pas mal mec, me dit il ! T’as une peau douce. On dirait une peau de fille. Quel régal ! s’exclame Sofian qui commence à se caresser à travers le tissu.

— Et il n’a pas de poil dans sa raie, renchérit Abdou.

Son index gauche me fouille de plus en plus vite à la recherche de ma rondelle rose, puis me pénètre doucement. Un second doigt rejoint le premier, puis un troisième, élargissant ainsi mon petit orifice.

— Il n’a pas de poil non plus sur les couilles, répond Sofian. Mieux qu’une meuf !

Sur un signe de Sofian, Abdou appuie fortement sur mes épaules et je tombe ainsi à genoux devant l’entrejambe de Sofian qui défait son ceinturon et ouvre sa braguette. Il attrape ma tête de sa main libre et appuie fortement celle-ci sur son sexe dur. Je sens à travers le tissu de son slip l’odeur du mâle. Puis Sofian ôte son maillot qu’il jette près de mes vêtements, enlève ses chaussures basses, tire sur son jean qui tombe à ses chevilles, dévoilant ainsi deux superbes jambes musclées, velues, puis baisse son slip.

Un membre long, épais, circoncis, surmonté d’une toison noire taillée jaillit droit sur mon visage. Les doigts de sa main droite saisissent mes mâchoires qui s’ouvrent sous la pression.

— Suce moi maintenant ! ordonne t il.

Et ce bâton de chair pénètre au plus profond ma bouche. Un va et vient de son bassin dans ma cavité buccale lui occasionne de légers cris de plaisir. Son gland gonflé emplit entièrement l’espace de ma bouche. Ma langue caresse ce pieu.

— Regarde, tu le fais bander, observe Abdou.

Effectivement je bande sans me toucher. Abdou se dévêt entièrement et rapidement à son tour. Une queue bien noire et une toison frisée s’offre à ma vue avant qu’il ne se repositionne dans mon dos. Son anaconda se positionne dans la raie de mon cul et entreprend des va et vient sans me pénétrer . Puis sa main droite saisit mon membre tendu, plus court que le sien et commence à le masturber. Mes couilles montent et descendent à une vitesse vertigineuse tellement le plaisir est grand. Mon pieu glisse dans la paume de sa main et ses doigts jouent avec mon prépuce sur le gland. En moi, les rouages et les clapets de la jouissance se déverrouillent. Je sens que la vague salée d’un blanc nacré ne va pas tarder à jaillir de ma queue. Pendant ce temps Sofian grogne de plaisir. Ma bouche ouverte me fait mal et le va et vient de son pieu se poursuit.

Sans pouvoir arrêter le feu de mon bas ventre, ma semence jaillit en plusieurs jets et s’étale, telle la rosée blanche du matin, sur les pieds nus de Sofian. Quatre longs jets suivis d’une multitude de petits jets… qui s’accrochent sur les doigts de la main droite d’Abdou. Il récupère cette semence dans sa paume et enduit sa queue tendue de cette liqueur tiède. Il en fait un lubrifiant. Sa bouche se pose sur mon cou, ses mains s’agrippent à mes hanches, son gland cogne contre ma rondelle.

— Tu vas goûter à mon sucre d’orge, mec dit il en me pénétrant d’un brutal coup de butoir.

Sa queue est dans mon intimité et tapisse mon étroit petit cul. Il se retire et me prend à nouveau, entamant ainsi son va et vient en moi. Ses couilles claquent mes fesses à chaque assaut. Sous cet assaut bestial et brutal, la queue de Sofian toujours en bouche, j’étouffe un cri et des larmes perlent à mes yeux. Puis Sofian attrape mes oreilles et sa queue circoncise poursuit son aller et retour sur ma langue. Des cris gutturaux s’échappent de sa bouche, annonciateurs prochains de sa jouissance. Signes qu’il va lâcher à son tour les grandes vagues. Effectivement, quelques instants plus tard, un liquide salé tapisse mon palais, ma bouche et Sofian poursuit son va et vient, m’obligeant ainsi à avaler sa crème. J’ai l’impression que sa réserve est inépuisable. Puis il retire son sexe à demi bandé, le saisit de sa main droite, le branle et le remet dans ma bouche, m’obligeant à le nettoyer pendant que mon corps subit les assauts d’Abdou.

— Mes couilles aussi, me dit il !

Ma langue essuie ses grosses couilles velues. Puis Sofian se couche sur le tapis, jambes écartées, repu par le plaisir reçu. Je peux voir ainsi son sexe circoncis au repos et les poils noirs qui conduisent à sa grotte secrète. Je sens venir en moi à nouveau une érection, désirant posséder à mon tour son petit cul. Sofian semble deviner mon désir et écarte encore un peu plus les jambes. Ma queue se tend à nouveau, le prépuce décalottant mon gland. Je voudrais me branler mais les coups de boutoir d’Abdou ne me le permettent pas.

Abdou aussi est admiratif du corps de son ami, étalé devant lui, dévoilant sa plus profonde et secrète intimité. Lui aussi a toujours désiré y mettre sa grosse queue noire. Mais celle-ci lime mon petit cul blanc de français. Puis un coup de reins puissant me plonge sur le corps de Sofian et ma bouche atterrit sur son sexe mou et reposé. Mû par un ressort invisible, il s’agenouille devant moi et astique de sa main droite la queue qui grandit et grossit à vue d’œil. Pendant ce temps Abdou émet un grognement de plaisir et épouse mon dos, sa grosse queue au plus profond de mon cul, lâchant des saccades de jus blanc au plus profond de moi. Je sens les palpitations de sa verge lâchant cette crème. Sofian s’astique toujours pendant qu’Abdou retire son anaconda de mon petit cul fortement ouvert. À son tour Abdou se couche sur le tapis, devant mes yeux, épuisé par cette lutte sexuelle.

Je remarque que son corps, à part le sexe, est totalement imberbe. Ce qui m’excite encore plus et mon sexe palpite douloureusement. Sofian me contourne, empoigne à son tour mes hanches, me cambre et d’un coup sec et rapide, entre en moi ses 20 centimètres de chair. La crème d’Abdou qui s’écoule de mon orifice sert aussi de lubrifiant à Sofian. Je suis à nouveau à quatre pattes devant cette fois-ci Abdou qui glisse, tel un reptile, son corps sous le mien. Son sexe luisant de sa semence qui coule encore légèrement est à portée de ma bouche et s’en empare. Son pieu grossit à nouveau. Et sa bouche s’ouvre devant mon pieu de chair tendu, sa langue lèche mes couilles rasées. Nous entamons un 69 torride pendant que les couilles de Sofian claquent mes fesses blanches. Abdou est fortement excité par cette situation : sa queue dans ma bouche, ma queue dans la sienne et quatre couilles sous ses yeux. Deux rasées et deux velues. Puis ses mains agrippent les fesses velues de Sofian et les caressent avant que son index droit ne fouille l’intimité de Sofian qui, de ses mains, écarte volontairement ses fesses afin de mieux se faire pénétrer.

Alors Abdou libère ma queue, se retire de sous mon corps, vient se placer derrière Sofian et, à grands coups de salive, humidifie la rondelle de Sofian. Le pieu noir d’Abdou, arc bouté, chargé de plaisirs, pénètre le cul de Sofian qui émet un cri étouffé et poursuit son limage de mon petit cul. Abdou est jouissif de posséder enfin le cul bronzé, velu, musclé de son ami qui jusque là lui était formellement inaccessible et interdit. Sofian à nouveau émet quelques grognements de plaisir et à son tour se répand au plus profond des mes entrailles. Je me dégage de sa queue et m’allonge à mon tour sur ce tapis râpé. Je regarde cette joute sexuelle qui se déroule devant moi pendant que la semence de Sofian glisse sur mes fesses. Je bande dur. Mes doigts à leur tour récupèrent cette crème et je me dirige vers le dos d’Abdou. Je lui étale cette semence récoltée sur sa rondelle et empoigne mon pieu de chair de ma main droite. Je le branle un peu avant de courber le dos d’Abdou afin de mieux favoriser ma pénétration. Abdou me regarde méchamment, ne voulant pas se faire enculer. Mais d’un coup de boutoir rapide et précis, mes 17 centimètres entrent dans son cul noir et j’entame enfin à mon tour ce va et vient. Mes mains agrippent les hanches d’Abdou et je le lime le plus profondément possible. Fortement excité, je ne tarde pas à mon tour de lâcher dans les entrailles du black ma semence qui gicle par saccades.

Et Abdou à son tour se tend fortement et se plaque au corps du rebeu avant de lâcher lui aussi son liquide salé dans une intimité longtemps désirée. Couvert de sueur, le corps luisant, nous tombons dans les bras de l'un l'autre sur ce tapis usé. Pour la première fois je remarque des tâches douteuses semées sur ces couleurs fatiguées qui colorient les motifs du tapis. Cette joute nous a vidés et épuisés. Tous les trois haletons par tant d'efforts reçus et donnés. Je regarde Sofian qui lui aussi me fixe de son regard ténébreux. Nos bouches s'approchent, nos lèvres se touchent et nos langues entrent en contact. Ce baiser fougueux est l'aboutissement de quelques heures de plaisir dans cette cave. Abdou m'empoigne mes petites couilles, les malaxe de ses longs doigts fins et me dit :

— Je crois que je ne vais pas te les couper. On ne t'appellera pas mademoiselle. Mais tu es une vraie chienne. Une chienne comme toi aime bien la queue.

D'un seul geste, le trio que nous composons se lève. Je me baisse pour ramasser mon boxer. Abdou, de son index droit, pénètre à nouveau mon cul encore dilaté par ces deux membres de chair épais.

— Tu es encore mouillée, ma chienne !

Je m'habille vite fait sous le regard de ces deux fauves et sors de cette antre rapidement sans tourner la tête.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Avertissement

Blog réservé à un public majeur.

 

La plupart des éléments publiés sur ce blog sont à caractère sexuel et proviennent du net. Si certains contenus ne sont pas libres de droit, merci de m'en avertir et il seront immédiatement retirés.

Derniers Commentaires

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés