L'histoire de la semaine

Dimanche 24 mai 7 24 /05 /Mai 16:47

ATTENTION :

Des scènes de cette histoire peuvent choquer et heurter la sensibilité de certaines personnes.


Est-ce un rêve ou la réalité ? Pendant de longue minutes il se le demande car il est dans un état de léthargie. Il a mal au crâne, mal aux seins et la poitrine gonflée, mal au cul… Peu à peu, malgré la lourdeur de ses paupières, il prend conscience que tout  est bien réel. Il regarde autour de lui et  constate qu'il est dans une pièce plutôt sombre, allongé à poil sur un matelas, les bras au dessus de sa tête attachés au mur et de surcroit complètement épilé de bas en haut… Mais où suis-je ? Que fais-je ici ? Et depuis combien de temps ? Se dit-il. Car il ne se rappelle de rien…

Ce «il» c'est Éric, et  la dernière chose dont il se souvienne, c'est d'être en compagnie de Jérôme, un mec contacté par internet pour un plan cul puis plus rien… Il essaie tant bien que mal de rassembler ses esprits mais il a trop mal à la tête pour pouvoir réfléchir lorsque la porte de sa «prison» s'ouvre sur un mec d'une trentaine d'années, à la carrure d'un rugbyman, s'accroupissant  à coté de lui. Il lui explique ce qui lui arrive et ce à quoi il doit s'attendre…

Il apprend donc qu'il a été drogué durant plusieurs jours, qu'on le pique aux hormones pour lui faire une poitrine de meuf et d'arrêter la repousse de ses poils et que, s'il a mal au cul avec l'impossibilité de serrer les fesses c'est qu'il porte un anneau de dilatation anal afin que son cul soit plus élastique et ressemble à une chatte de meuf pour pouvoir se faire enculer par des grosses bites. En fait on le prépare  pour devenir une pute…

"Putain !" A ces mots Éric se  souvient maintenant qu'il avait dit à Jérôme qu'il aimerait être une pute pour lui… Pour sa part c'était dans le cadre d'un plan cul,  seulement lui il l'a pris pour argent comptant !

- "A la demande de ton Maître tu es ici pour apprendre à obéir et devenir une véritable pute. On est 3 mecs et pour un bon moment nous allons être tes dresseurs… Sache que pendant tout le temps de ton séjour ici tu es relégué au rang de bâtard. Tu seras traité comme une sous-race et une crevure… Sache aussi que nous sommes sans pitié donc si tu n'obéis pas on t'apprendra à l'être par la force… Allez, maintenant tu vas faire connaissance avec les 2 autres…"

Il le détache du mur et, trop mou pour se débattre, il se laisse menotter les poignets dans le dos, se fait placer un large collier de cuir qui lui maintient la tête droite sans pouvoir la remuer et y accroche une laisse  puis  il est emmené à poil devant les 2 autres dresseurs qui lui ordonnent de se mettre à genoux face à eux. L'un d'eux s'approche de lui, lui crache au visage et lui dit tout en dégrafant son pantalon :

- "Alors bâtard… Puisque t'as envie d'être une pute, tu vas commencer par nous montrer ce que tu sais faire… Allez ouvre ta putain de gueule et goutte à ma teub…"

Pendant qu'un mec se tient derrière lui pour ne pas qu'il tombe, il se fait défoncer la bouche sans ménagement jusqu'à ce que, sans le prévenir, il décharge dans son gosier en lui disant :

- "Avale la sauce, salope !"

Ne voulant  pas avaler il recrache la semence et reçoit une baffe magistrale.

- "Sale merde… Je t'avais dit d'avaler la sauce !

- Désolé mais j'aime pas ça…

- Ferme ta gueule ! Que t'aime ou pas une crevure comme toi ça avale tout ce qui sort d'une bite… Va falloir que tu t'y fasse sale bâtard… Là, t'as encore 2 bites à sucer et t'as intérêt à bouffer la purée si tu veux pas morfler compris ?

- Oui…"

Et vlan il se reçoit une deuxième baffe…

- "OUI MONSIEUR, sale pute…

- Oui monsieur

- Bon, à vous les mecs. Gavez lui la gueule à cette putain de chienne…"

Le 2ème mec est moins violent et, bien qu'il éjacule dans sa bouche, il ne peut tout avaler et recrache la moité de son jus, ce qui lui vaut une autre raclée.

- "On t'a dit de tout avaler bâtard…"

Le 3ème mec s'approche et lui c'est le pire des trois. Non seulement par sa violence mais aussi par son manque d'hygiène car en effet il n'est pas vraiment copain avec la douche... Lorsqu'il baisse son pantalon,  Éric à l'horreur de constaté son slip jauni par la pisse mais aussi sent l'émanation de son odeur. Le dresseur écarte l'entrejambe de son slip et se colle au nez d'Eric.

 - "Allez bâtard, sniff bien avant de lécher..."

Éric ne peut s'empêcher de retenir sa respiration tellement l'odeur est forte mais pas pour bien longtemps car, au bout d'un moment, par force, il se prend une bonne bouffée d'odeur de ses couilles. Le dresseur se met à rire devant les grimaces de dégoût d'Eric.

 - "Ah, ha, ha !!! Ouai je sais, ça sent fort hein ? Mais ça c'est pas grand-chose par rapport à ce que je vais te proposer... Ça fait une semaine que je ne me suis pas lavé exprès pour toi sale petite fiotte… Imagine maintenant l'aspect de ma bite avec un gland bien parfumé… Sache que pendant tout le temps que tu seras ici tu vas servir de chiotte… Tu vas donc devoir aussi nous décrasser le cul... Mais en attendant c'est ma queue que tu vas décrasser."

Là, pour Éric, c'est une vision d' horreur car le mec n'a pas menti sur l'aspect de sa bite et en effet lorsqu'il se décalotte son gland est couvert de fromage.

- "Allez, vas-y, nettoie…"

Devant son refus, il se prend une bonne baffe dans la figure et l'un des autres dresseurs lui tord les couilles en lui disant :

  - "Il t'a dit de lui nettoyer la bite sale bâtard de sous merde, alors dépêche ou je t'arrache les couilles..."

Devant la douleur de se faire maltraiter les couilles, il ne peut que s'exécuter à ouvrir la bouche et engloutir la pine puante du dresseur.

- "Vas-y, tourne bien ta langue autour de mon gland petite pute, et apprécie le bon fromton avant de goutter à ma sauce… Voila… Comme ça… C'est bon… Lèche bien… Suce maintenant… Ouai… Comme ça… C'est bon ça hein salopev? Les p'tit PD comme toi ça aime la bite hein ? Vas-y, régale toi chiennasse… Tire moi le jus sale pute…"

Au moment de sa jouissance, il lâche sa purée dans sa bouche en lui  bloquant la tête sur son chibre pour le forcer à tout avaler.

- "Vas-y, avale… Allez… Avale bien tout salope... Bien… Maintenant on passe au derrière…"

Il se retourne, se penche en avant et, en écartant ses fesses lui dit :

  - "Allez, vas-y, nettoie moi le derche…"

L'un des dresseurs lui maintient la tête et le force à lécher ce trou merdeux puis, chacun à leur tour ils présentent leur cul a nettoyer. Suite à ce traitement il se fait reconduire dans sa chambre «prison» et s'y refait attacher.

Dans la soirée on vient le rechercher pour le ramener devant ses dresseurs. Deux autres inconnus sont là plus Jérôme. On le fait asseoir par terre dos au mûr et il se fait attacher les bras en croix ainsi que sa tête maintenue par son collier afin qu'il ne puisse plus bouger. Jérôme s'approche de lui.

- "Bonjour petite salope, ça se passe bien ton petit dressage pour devenir une bonne pute ?

- Non… Stop… Je ne veux plus devenir une pute…

- Ah mais ça il fallait y penser avant mon bonhomme ! Maintenant c'est trop tard. J'ai payé tes dresseurs pour qu'ils fassent de toi ce que tu voulais. Il va donc falloir maintenant que tu me rembourses…

- Non pitié… Je veux tout arrêter… Je te rembourserai si tu veux, pas de problème…

- Ah ouai ? Et comment comptes-tu me payer ?

- Je bosse donc je pourrais te rembourser.

- Allons, allons, soit un peu plus sérieux veux-tu ? Ce n'est pas avec ton petit boulot et ta paie minable que tu pourras me rembourser… Sache que ton nouveau job maintenant c'est de faire le trottoir pour moi, et tu vas le faire le mieux possible. Tes dresseurs sont là pour t'apprendre le boulot… Ah ! Et puis une dernière chose que tu dois savoir : tes dresseurs sont plombés donc tu le seras aussi…

- Non… non… pitié, pas çà !"

Malgré ses plaintes et ses pleurs Jérôme s'en contrefout et part rejoindre ses camarades pour dîner. Avant que tout le monde ne se mette à table, le pauvre Éric réduit maintenant à l'état de larve et de sous-race, se fait scotcher un entonnoir sur la bouche afin de servir d'urinoir en lui attachant un préservatif sur sa bite. Ainsi, durant toute la soirée, lorsque les mecs en auront envie ilsviendront pisser dans l'entonnoir. A force d'en avaler lui aussi remplit sa capote de son urine qui est bien sûr recyclée et il doit boire sa propre pisse.

Le dîner se termine. Un des dresseurs vient le détacher en lui disant :

- "Bien… Allez ma jolie... Il est maintenant temps que tu serves de pute…"

Là, on l'immobilise dans un carcan et on lui retire son anneau anal. Après plusieurs jours à avoir constamment  son trou  ouvert, son cul est devenu élastique et ressemble plus à une chatte de meuf qu'à un trou du cul. Les dresseurs s'en félicitent puis ils commencent son abatage : il suce et se fait enculer en même temps. Les mecs passent de sa bouche à son cul et de son cul à sa bouche. Lorsque les mecs lui remplissent sa chatte, ils se font automatiquement nettoyer la bite avec sa bouche. Le sperme qui coule de son cul est récupéré pour le lui donner à bouffer. La soirée s'achève et il est ramené dans sa chambre après s'être bien fait éclater la chatte en sachant que maintenant il est plombé. Les jours passent et se suivent pour lui... Les dresseurs se servent de lui comme pissotière et torche cul et il se fait régulièrement enculer pour entretenir sa chatte. Si ce n'est pas par eux, ils font venir d'autres mecs pour le baiser. A force de subir et d'être conditionné mentalement pour lui faire comprendre qu'il n'est qu'un bâtard et une pute il en devient docile.

Une nuit il est réveillé par l'un de ses dresseurs pour assister à une scène de punition. Il est donc emmené dans une  pièce un peu obscure et on lui ordonne de se mettre à genoux les mains sur la tête. Là, un jeune mec fait son apparition, traîné en laisse par l'un des dresseurs et mis au carcan. Sa faute pour être puni est d'avoir manqué de respect à un de ses clients et pour ce faire, chaque dresseur lui inflige 20 coups de cravache sur son cul (60 au total). Bien qu'il soit bâillonné,  Éric peut entendre ses cris de douleur sous les coups, son cul est bien marqué mais les dresseurs n'en ont pas fini avec lui car il se fait aussi enculer sans ménagement. Après avoir été rempli au foutre, Éric reçoit l'ordre de lui nettoyer son cul.

- "Approche bâtard… Tu vas nettoyer le cul de cette salope… Vas-y, bouffe lui la chatte à c'te pute et avale tout ce qui en sort !"

Malgré sa docilité, Éric prend conscience de ce qu'il devient : un bâtard, une sous-merde comme les dresseurs savent le lui rappeler et, bien qu'il exécute l'ordre reçu, il n'en peut plus, il veut que tout ce qu'il est en train de vivre s'arrête. Il regrette le temps où il se branlait tout seul en fantasmant. Il décide alors de préparer son évasion et pour ça il faut que ses dresseurs aient une totale confiance en lui. Il va donc être plus docile qu'on ne lui demande. Il leur montre qu'il est devenu un chien en se déplaçant à 4 pattes et, bien que cela le dégoute, va à leur encontre sans y être sollicité en proposant ses services :

- "Maître laissez-moi décrasser votre bite…

- Hummm… et bien alors ? Tu y prends goût à ma bite qui pue, hein salope ?

- Oui Maître… Je vous décrasse le cul après si vous voulez…

- Parfait bâtard... Vas-y, régale toi de ma bite… Ensuite tu m' nettoieras le derche...

- Merci Maître…Abreuvez moi aussi de votre jus et de votre pisse svp…

- T'inquiète bâtard, tu vas avoir ta dose… Ensuite tu iras voir les autres pour les soulager en leur demandant te te faire sauter comme une truie…

- Oui Maître…"

Après lui avoir bien nettoyé la bite et le cul, pris sa dose de foutre et bu sa pisse, il s'en va voir ses autres dresseurs.

- "Maîtres… Le bâtard que je suis vous demande de bien vouloir me baiser comme une truie… Nourrissez moi de votre foutre et de votre pisse svp...

- Commence par nous décrasser les panards sous-race…

- Bien Maîtres...

Il se met alors à l'ouvrage en leur léchant les pieds bien puant tout en leur faisant croire qu'il y prend du plaisir…

- Hummm… Tu commences à aimer ça salope…

- Oui Maîtres…

- C'est bien… Tu deviens de plus en plus docile… Il va être temps pour toi de passer à la vitesse supérieure et d'arpanter le trottoir… C'est bien ce que tu voulais non ?

- Oui Maîtres, c'est ce que je veux…

- Parfait… Ta poitrine s'est relativement bien développée, tu vas faire un véritable trav… Encore une petite semaine de traitement pour te la faire grossir un peu plus et on te fout sur le bitume…

- Merci Maîtres !"

Après s'être bien fait baisé la gueule et déboîté la chatte, il avale le jus d'un des 2 et se fait remplir le cul par l'autre puis chacun vide sa vessie dans sa bouche. Durant toute la semaine suivante, il leur montre qu'il est devenu une bonne chienne et un bon bâtard. Il se met de lui même sous la table pour lécher leurs pieds, les sucer, avale du foutre et bois de la pisse d'inconnus qui le baise tout en mettant au point son plan d'évasion et c'est un soir que tout se joue.

L'un de ses dresseurs vient le chercher dans sa chambre et lui tend une tenue de pute : un corset porte-jarretelle qui moule bien sa poitrine, des bas résille, un string dentelle, une perruque blonde et des chaussures à  talon puis un châle histoire de lui couvrir les épaules et faire plus pute.

- "Tiens… Enfile ça, on t'a réservé un bout de trottoir… T'as 5 mn pour t'habiller…

- Oui Maître…"

Dans la voiture qui l'emmène sur le lieu de son nouveau boulot, il se remémore son plan d'évasion : il sait qu'il n'aura qu'une seule chance et compte bien la saisir. Arrivé à l'endroit prévu l'un des dresseurs lui ouvre la porte :

- "Allez la pute, descend. C'est ici que commence ta formation de pute… Si quelqu'un t'aborde, tu lui dis que t'es en promotion donc que tu prends 15€ pour une pipe et 30€ pour te faire enculer compris ?

- Oui Maître…

- Autre chose… Si on te demande si t'avales, tu réponds oui et t'avales ok ?

- Oui Maître."

Après un long moment d'attente, une voiture s'arrête à sa hauteur. Le conducteur baisse sa vitre passager et l'interpelle.

- "Salut... T'es nouvelle toi... Combien tu prends ?

- Heu… bon...bonsoir… C'est 15€ pour sucer et 30€ pour le reste...

- Hummm… Timide à c'que je vois… J'aime ça… Ok monte, va pour une pipe… Tu avales ?

- Oui.

  - Ok c'est cool… Allez viens…"

Après quelques centaines de mètre le mec s'arrête sur un petit chemin, recule son siège, abaisse son dossier, baisse son pantalon et son slip.

- Allez, vas-y suce…"

Comme une bonne pute, Éric se penche sur sa bite et le pompe jusqu'à ce que le mec lui lâche sa sauce. Il avale sa purée.

- Hummm, pas mal ! Tiens, voila tes 15€ je te ramène…"

Là, Éric voit son opportunité.

- "Heu… Non, pas la peine, je ne suis pas loin, je vais y retourner à pied."

Là il fait une erreur fatale car, au lieu de retourner à son point de départ, il essaie de s'enfuir. Mais il est vite rattrapé par deux complices de ses Maîtres qui le surveillaient...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 17 mai 7 17 /05 /Mai 14:35

À dix-sept ans je me savais déjà homo depuis l'âge de treize ans. J’habitais une petite ville de province et un jour j'ai décidé de sortir, comme tous les soirs d'ailleurs, pour voir qui traîne du côté des toilettes près de l'église. C'était un lieu de rendez-vous où la plupart du temps des vieux traînaient le soir en regardant les jeunes hommes passer. Moi, mon chien en laisse, je feignais de passer près d'eux sans vraiment faire attention à leurs regards qui me dévisageaient. Je savais très bien au fond de moi ce qu'ils désiraient : me caresser, me lécher, me tripoter quoi...

Il est vrai que j'étais pas mal comme petit ado et que je n’hésitais pas à sortir le soir en short, à poil dessous bien sûr. Il faut dire que cette situation proche de l’exhibitionnisme me faisait largement bander et je ne le cachais pas... Bien sûr, je les excitais un max et, comme s'ils s'étaient donné le mot, ils étaient tous là vers dix heures lorsque j’y suis arrivé.

Certains d'entre eux n'étaient pas nés de la dernière pluie et avait remarqué mon manège. Ils essayèrent donc d'engager la conversation en me disant: “T'attends quelqu’un ?”, “Tu es tout seul ?”. D'autres, plus entreprenants, me proposaient une pipe, une branlette, mais rien n’y faisait car ils ne m’attiraient pas. Pour m’en sortir je ne leur répondais même pas et je passais mon chemin comme si de rien n'était... Pourtant, un soir, alors que comme d’habitude je faisais mon petit tour, j’aperçus de loin un jeune cycliste. Sur le coup je n’y ai pas vraiment prêté attention et j'ai continué ma perpétuelle et incessante ronde de nuit.

Lorsqu’il repassa une deuxième fois puis une troisième en l'espace de très peu de temps. J'ai alors compris que c'était bon. Mon coeur s’est mis à battre à la vue de ce superbe minou d’environ vingt ans, musclé comme un dieu et mignon comme un sylphe. Une érection monumentale tendit mon sexe. C’en était presque gênant car cela se voyait vraiment beaucoup. De loin il était vraiment pas mal du tout : brun, 1m80, barraqué, bronzé, peu poilu au niveau des jambes, bref, hyper-bandant ! Exactement tout ce que j'aimais...

Quand il s’arrêta à cinquante mètres de moi et s’assit sur le dossier du banc qui était un peu plus loin, je me suis dit qu’il me le fallait et que je l’aurais celui-là ! J’avais vraiment envie de me faire limer la rondelle ! J’étais moi-même assis sur un banc : ses yeux étaient fixés sur moi et il me regardait. Mon sang ne fit qu’un tour. Aussitôt j’ai écarté légèrement les cuisses comme pour me mettre à l’aise et, tout en le regardant, j’ai commencé à me caresser la verge. Elle était dure comme du béton, prête à éclater. Il n’eût pas de mal à comprendre ce que je voulais.

Tout d’un coup il se leva, pris son vélo et se dirigea vers moi. Arrivé à ma hauteur il s’arrêta et me fit un grand sourire. Je n’avais pas vu dans la nuit sa belle chevelure blonde mais, maintenant qu’il était à côté de moi, je pouvais dire qu’il était vraiment beau et super-excitant. Je vis chez lui aussi, à travers son short, que son désir n’était pas qu’à moitié présent... Nous sommes partis côte à côte vers un endroit plus calme et nous avons décidé de nous arrêter dans un petit champ, juste à la sortie de la ville.

À peine arrivés il s’est approché de moi, il m’a pris par la main et m’a dit :

— Viens ! J’ai envie de toi !

Ce moment tant attendu était enfin là et j’allais pouvoir assouvir tous les fantasmes dont je rêvais la nuit et qui se terminaient bien souvent par une branlette. Je pris donc la décision de le déshabiller entièrement. Il se retrouva en slip d’où son sexe dépassait largement. Ce fut alors mon tour. Je n’étais même pas dévêtu entièrement qu’il m’allongeait et se couchait sur moi, m’embrassait furieusement et passionnément. J’étais heureux d’être dans ses bras et, tout en nous caressant, nous avons sombré dans la plus merveilleuse des extases. J’ai pris son sexe dans ma main et j’ai commencé à le masturber. Je me suis aperçu que le petit chou était vraiment bien membré. Sa queue faisait au moins vingt bons centimètres et était bien épaisse. Tout en continuant à nous embrasser, nous nous masturbions mutuellement avec douceur.

— Suce-moi la queue ! me dit-il.

Je ne me fis pas prier et j’ai posé ma tête contre son bas-ventre. Tout en baissant son petit slip rouge j’ai saisi son beau pieu à deux mains et j’ai commencé à le titiller du bout de la langue. Je me régalais de cette superbe lance. Ma langue lissa quelques instants sur son beau gland rouge de plaisir puis, d’un petit coup de reins, il me pénétra la bouche. Je l'ai pompé, me régalant de son sexe humide. Il laissait échapper des petits râles. Après ces hors-d’œuvre, il se redressa et me dit :

— À moi de goûter ta queue !

Il m’infligea langue pour langue les mêmes plaisirs. Il me léchait les couilles en les gobant goulûment comme lorsque l’on gobe des petits oeufs de caille. Il en profitait pour caresser d’un doigt mon petit anus vierge mais impatient. Tout en me suçant il mouilla son doigt et me fit un superbe doigté. Je me tortillais de plaisir : c’était l’extase !

— Prends-moi à fond ! Lime-moi ! Défonce-moi ! lui dis-je.

Il retira doucement mon short. Je me suis placé sur le dos en écartant les jambes, les genoux sur les épaules. Il s’approcha, mouilla généreusement de salive mon anus offert et posa son gland dessus. En douceur et par petits coups il me pénétra le plus profondément possible.

— Oh oui ! Vas-y ! lui dis-je, lime-moi à fond !

Ses petits coups de reins fougueux m’emplirent de plaisir et, pendant que je lui servais de vide-couilles, je me branlais énergiquement. Il a fini par jouir et, comme par enchantement, j'ai joui aussi presqu'en même temps. Mais cela n’était pas fini...

Il se retira et s’allongea nu à côté de moi. Lui aussi allait avoir droit à un traitement spécial. Je le fis mettre sur le ventre mais au lieu de lui enfoncer ma queue dans le cul, j’ai écarté doucement ses fesses pour lécher tendrement son anus imberbe. Je lui ai bouffé le cul en me régalant. Il a eu tellement l’air d’apprécier qu'il a cambré son petit derrière pour mieux s’offrir. Le terrain étant préparé je me suis redressé et j’ai appuyé mon dard contre sa rondelle. Avec la même délicatesse je l’ai pénétré doucement et je l’ai limé avec douceur. Appuyé sur ma main gauche et, tandis que ma queue frayait le passage, ma main droite caressait sa queue toujours aussi raide. Nous eûmes encore une fois une jouissance presque synchrone dans un râle de plaisir. Nous sommes restés enlacés ensemble encore une bonne heure à nous caresser et à nous embrasser tendrement. Mais il fallait nous quitter et, malgré la promesse de nous revoir, je ne l’ai  plus jamais croisé en ville. Quel dommage car ce fut une soirée hors du commun, et des soirées comme ça, j’en souhaite à tout le monde...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 14:21

L'inceste entre frères est certainement celui qui fait le moins parler de lui. Pourtant, il existe bel et bien et mon histoire va vous l'illustrer.

Nous nous sommes retrouvés seuls mes trois frères et moi lorsque notre père, déjà veuf, est mort en nous laissant une importante fortune. Notre aîné, Alexandre, est devenu notre tuteur légal à tous les trois. Tous les quatre, nous nous entendions à merveille et étions unis comme les doigts de la main.

Auprès des jumeaux et de moi-même, Alexandre bénéficiait d’une admiration sans borne : il était grand, très musclé, viril et beau. Profitant de cette situation Alexandre n’eut aucun mal à m’initier à l’homosexualité. Ce ne furent pour commencer que des branlettes mutuelles mais nous en vînmes bientôt à la fellation, chacun avalant le sperme de l’autre. Plus tard il me sodomisa pour la première fois et me laissa le sodomiser. Tout ce qu’il m'enseignait je l’apprenais avec plaisir. Je devins très vite un excellent lécheur d’anus. J’adorais lorsque nous nous roulions des pelles interminables. J’admirais l'énorme sexe de mon frère. Et lui me disait que j’en avais un très gros également.

Quelque temps après la mort de notre père, Alexandre me dit qu'il était grand temps de faire participer les jumeaux à nos séances de baise. Laurent et Jérôme ignoraient tout de ce qu’Alexandre et moi faisions ensemble. En outre ils étaient censés ignorer également absolument tout de la sexualité. Nous avions cependant l’habitude de nous voir nus à la maison et même de nous baigner tous les quatre à poil dans notre piscine. C’est justement au bord de la piscine que notre aîné décida que nous passerions aux actes. Il m’avait expliqué son plan. Il n’y avait plus qu’à attendre une chose qui se produisait souvent : que les jumeaux se chamaillent. Ce qui ne tarda pas à se produire alors que nous étions tous les quatre nus dans l’eau.

Alexandre les “engueula” et leur ordonna de s’asseoir côte à côte au bord de la piscine. Alexandre et moi nous sommes placés devant eux, dans l’eau jusqu’au ventre. Au signal convenu je me suis mis à branler Laurent et Alexandre s'occupa de Jérôme. Les jumeaux sursautèrent et nous demandèrent pourquoi nous faisions ça. Alexandre leur dit de la fermer et de se laisser faire sans poser de questions. Le premier qui l’ouvrirait serait sévèrement puni... Ils se laissèrent masturber, ne tardant pas à bander et à apprécier cela. Tout comme Alexandre le faisait à Jérôme, je décalottai à fond la queue de Laurent. Mon grand frère avait décidé que nous les branlerions jusqu’à ce qu’ils jouissent.

En vrais jumeaux dignes de ce nom, ils eurent leur premier orgasme presque ensemble. Sans leur laisser le temps de respirer, Alexandre me dit : “Allez, on pompe !” Et nous nous sommes mis à les sucer comme convenu. Les petits frères, qui n’osaient pas parler, se tortillaient comme des vers. Nous leur avons procuré ainsi sans difficulté un deuxième orgasme. Pas la peine qu’ils nous disent qu’ils avaient apprécié : cela se voyait ! Lorsqu’Alexandre et moi sommes sortis de l’eau, nous étions tous les deux en pleine érection, tels que nos frangins ne nous avaient jamais vus. Alexandre leur ordonna de se mettre à quatre pattes sur les matelas pneumatiques. Nous nous sommes placés derrière eux, changeant de partenaire et avons commencé à leur caresser le cul, malaxant les fesses et passant un doigt dans la raie, en profitant pour leur titiller l’anus. Les jumeaux ne disaient rien mais tous deux bandaient à mort, preuve qu'ils appréciaient ce que nous leur faisions. Alexandre et moi avions également la queue gonflée et tendue à l’extrême. Au signal du grand frère nous avons frotté notre bite dans leur raie du cul sans les pénétrer. Je regardais ce que faisait Alexandre et l’imitais : je passais mon gland décalotté dans la raie, appuyais un peu contre l’anus puis me collais contre Jérôme, emprisonnant ainsi mon sexe sur toute sa longueur dans son sillon fessier et me branlant ainsi avec de longs va-et-vient. Alexandre, jamais à court d’idées vicieuses, avait choisi pour le “final” un scénario qui m’excita au plus haut point. Il dit aux jumeaux de s’allonger sur le dos, torse relevé, en appui sur leurs coudes. Nous les avons chevauché à genoux, posant nos fesses sur le sexe dur et nous masturbant pour leur éjaculer dessus. Les jumeaux ne bronchèrent pas d’un pouce lorsque notre sperme gicla sur eux, même lorsque les jets atterrirent sur leur visage. Nous avons pris un pied extraordinaire. Nous redressant sur nos genoux, nous faisions frotter nos glands sur leur visage et nul ne songea à protester lorsque l'ordre fut donné de nous sucer la queue comme nous le leur avions fait. Toujours vicelard au dernier degré, Alexandre lança : “Vous sucez vraiment mal ! Il va falloir vous apprendre à bien vous occuper de nos queues !” Comme entrée en matière, ils étaient gâtés les frérots !

Lorsque nous avons plongé à nouveau dans la piscine, il était évident que les jumeaux ne nous en voulaient pas le moins du monde pour ce que nous leur avions fait. En fait Alexandre avait entamé ni plus ni moins que le processus visant à faire de Laurent et Jérôme, pour parler vulgairement, nos vide-couilles. Alexandre était un veinard de la plus belle espèce, ayant sous la main trois petits mecs à totale disposition. Lorsqu’il voulait baiser avec moi il n’avait qu’à demander. Quant à moi, il ne m’était jamais venu à l’idée de dire à mon aîné que j’avais envie de faire l’amour. C’était lui qui proposait, même si je me déchaînais pendant. Mais désormais je savais qu’une fois que nous aurions “rôdé” les deux petits frères, je pourrais moi aussi en disposer à ma guise. Nous nous sommes attachés d’abord à leur apprendre à sucer et à avaler le sperme. Les jumeaux qui, manifestement, aimaient ça se montrèrent excellents élèves, avides d’apprendre. Alexandre et moi passions des heures entières à nous faire branler. Nous leur avons appris également à embrasser. Bien qu’étant le dernier des vicelards, Alexandre se rendait bien compte que, vu son calibre sexuel, il n’était pas encore question pour lui d’enculer les jumeaux. C’est donc moi qui, sous sa houlette, eut l’insigne honneur et privilège d’être la première bite à entrer dans le trou du cul de Jérôme et Laurent. Alexandre m’aida pour la préparation à l’acte. Il nous fallut rôder les anus vierges, avec la langue, avec les doigts. Un doigt puis deux doigts enduits de lubrifiant. C’est Alexandre qui décida de la position dans laquelle j’allais les dépuceler : eux à genoux devant un lit, le torse allongé dessus, et moi à genoux derrière eux. On tira à pile ou face pour désigner lequel des deux allait y passer en premier. Le sort désigna Laurent. Là encore, Alexandre avait imaginé une façon bien particulière de nous y prendre. Les jumeaux ont dû se mettre en position côte à côte, offrant leurs anus déjà quelque peu dilatés et enduits de lubrifiant. Je me suis mis derrière Laurent et j'ai pointé mon gland puis je me suis enfoncé lentement. Il a serré les dents mais m’a accepté tout entier. Après être resté un moment immobile au plus profond, je me mis à aller et venir lentement. Puis je me suis retiré et je suis passé à Jérôme avec qui j’ai procédé de la même manière. Alexandre savait que j’avais assez de technique et de self-control pour pouvoir passer ainsi plusieurs fois de l’un à l’autre avant de décharger. Quelques coups de queue dans l’anus de l’un puis dans celui de l'autre et, ainsi de suite. J’ai éjaculé une première fois dans l’anus de Laurent puis peu après, une deuxième fois dans l’anus de Jérôme.

S’il était vicieux Alexandre n’était pas égoïste. Moi-même je pouvais lui faire tout ce qu’il me faisait. Aussi décida-t-il que Laurent et Jérôme allaient eux aussi nous enculer. Pour cela ils durent s’allonger sur le dos, côte à côte, quéquette en l’air. J’ai chevauché Laurent et Alexandre a fait de même avec Jérôme. Il fallut par la suite encore quelques séances de sodomie pour que je puisse les enculer sans que ça dure des heures et en utilisant juste de la salive pour lubrifier. Les frangins étaient désormais rôdés et n’était-ce qu’Alexandre ne les enculait pas, nous nous livrions entre nous à de véritables parties carrées.

Ce qui nous excitait particulièrement, Alexandre et moi, c’était de laisser les jumeaux baiser entre eux devant nous. Les voir faire un soixante-neuf devant nous, ou bien les voir s’enculer l’un après l'autre, ça nous faisait bander à l'extrême ! Laurent et Jérôme se livraient de bon cœur à toutes ces pratiques.

Ce n’est que quelques mois après l’initiation des jumeaux à l’homosexualité, qu’Alexandre décida de photographier nos ébats avec un appareil Polaroid. Alexandre étant celui qui la plupart du temps prenait les photos je fus ainsi propulsé au rang de personnage principal. La plupart du temps je posais avec les deux petits frères à la fois. Plus rarement avec un seul. Par contre il n’était pas rare que seuls les jumeaux posent. Parfois, Alexandre se faisait aussi photographier. Il ne voulait toujours pas enculer les jumeaux mais les photos où il pose avec eux n’en sont pas moins des plus cochonnes. Un jour il me dit de le photographier en train d’uriner tandis que Jérôme lui tenait la queue. Cette photo fut le signal d’une nouvelle pratique entre nous : les jeux d’urine. Ça a commencé timidement. Au début nous nous contentions de mettre nos mains sous les jets d'urine de nos frères. Puis vint le jour où Alexandre pissa sur le cul de Laurent. Par la suite ce fut le tour du sexe d'être arrosé. Un autre pas fut franchi lorsque, alors que j’étais à genoux derrière Laurent en train de l’enculer, Alexandre me pissa sur la poitrine, l’urine dégoulinant sur mon ventre, mon sexe et le cul de Laurent. Petit à petit nous en sommes venus tout naturellement à nous pisser sur le visage. Bien rares furent les nuits où nous dormions seuls. Alexandre et moi nous partagions les jumeaux, dormant une nuit avec l’un, une nuit avec l’autre. Cela dure aujourd’hui encore. Alexandre a maintenant trente-et-un ans, les jumeaux vingt et moi vingt-cinq ans. Sans fausse modestie, je peux dire que nous faisons tous quatre partie des gros calibres. Et nous filons tous ensemble le parfait amour fraternel.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 3 mai 7 03 /05 /Mai 15:26

Trop bon cette p’tite soirée entre mecs. Ma poule est pas là, elle révise pour ses examens, alors j’en profite avec mes potes.

À part moi, Mehdi, y a Kamel, c’est un poto d’enfance, on se connaît depuis toujours. Il est cool, toujours calme, il a l’air timide comme ça mais c’est un mec en or et je l’ai vu 2 ou 3 fois foutre une putain de raclée à des mecs de la cité d’à côté. On se méfie pas assez des mecs calmes ! À côté de moi y a Jordan, un pote du taf, il fait au moins 1,90 mètres et il est tout keuss. On bosse ensemble dans une boîte de dépannage de PC. Il est comme moi Jordan, il a arrêté le lycée avant le bac et il a bien galéré pour trouver un taf après avoir zoné un an ou deux. Il est sympa mais un peu bizarre, il parle tout le temps de meufs, à l’écouter il s’en tape trois par semaine... Je crois qu’il mythone pas mal quand même, en plus il est trop laid : il a des dents pourries et un pif de ouf. Ce soir il a ramené un autre pote à lui, Ahmed, putain il est trop gros lui, je sais pas comment il fait, il doit faire 100 kilos ! Mais ça va, il est tranquille et il a ramené de la beuh ! D’la bonne en plus, ça se sent.

Les deux autres c’est Jean-Luc, il était au collège avec moi, on se tape des bonnes barres lui et moi, je le charrie sur son look de rappeur avec ses strass partout sur sa casquette et tous ses bijoux en plaqué. Il a déménagé y a 3 ans et il habite loin maintenant, donc ça fait longtemps qu’on s’est pas vu mais on s’adore. Et le dernier, Steph, un grand hyper barack avec des bras musclés de fou, lui je le connais pas trop mais je sais qu’il bosse dans la sécurité et ça me brancherait bien de changer de taf, du coup je l’ai invité pour faire plus connaissance. Bref on est tranquille, entre potes de quartier, on s’est ouvert des bonnes bouteilles de whisky et on fume depuis une heure au moins. Je tire sur mon joint tranquille quand Kamel, mon pote d’enfance, me fait :

— Eh au fait il est où ton mec ?

— Il révise, il a des examens bientôt. Il bosse comme un chien là.

J’ai pas de problème avec ça, mes potes savent que je suis avec un mec. J’suis pas gay, plutôt bi, mais lui c’est juste le mec parfait pour moi et ma bite. Il me suce trop bien et son cul est juste parfait. En plus il a un corps de nana, tout mince avec des hanches de meuf et pas un poil. Mais je vois Steph, le baraqué de la sécurité, qui fait tilt quand même et me lance :

— T’es pédé toi ?

— T’es ouf mec suis pas pédé. Mon mec c’est ma poule, c’est ma pute, c’est tout. C’est un mec mais c’est comme une meuf.

Y a Kamel qui confirme :

— Ah ouais tu l’as jamais vu en fait ? Sérieux c’est vrai ce qu’il dit, franchement on dirait une meuf au lit.

— Quoi tu te l’es tapé ou quoi ? Fait Jean-Luc, mon pote du collège.

Steph s’en étouffe dans son verre de sky et je vois Ahmed, le gros, qui nous regarde avec deux yeux comme des soucoupes. Y a Jordan, du boulot, qui dit rien. Il connaît pas encore toute ma vie mais y a quelques jours au taf je lui avais déjà expliqué certains trucs quand même. Je fais un petit récap pour Steph le baraqué et Ahmed le gros :

— Ok les mecs je la fais courte. Au départ je baisais que des nanas, parfois des p’tits keumés quand j’étais en chien. Mais y a deux ans j’ai rencontré un mec, un putain de bogoss qui m’a trop fait tripper. On s’est installés ensemble et maintenant c’est comme ma meuf, sauf qu’en plus il kiffe vraiment grave la bite donc j’en fais profiter les amis quoi. Hein Kamel ?

Kamel, mon pote d’enfance, acquiesce. C’est un des premiers à avoir baisé mon mec quand je me suis mis avec. Depuis, à chaque fois qu’il vient à la maison, il a droit à une pipe ou même plus. Je lui fais une totale confiance.

— Nan c’est vrai, fait Kamel, franchement son mec c’est mieux qu’une meuf, il suce trop bien et il a un boule de fou !

Je vois le gros Ahmed qui a l’air bien intéressé quand même :

— Il paraît que les pédés ils sont plus putes que les meufs. Surtout les françaises, elles veulent pas faire plein de trucs...

— Putain ça c’est clair, lance Jordan, le grand maigre du taf. Trouver une meuf qui avale c’est trop galère.

Je confirme :

— Moi mon mec il fait ce que je veux, si je lui dis d’avaler il avale, c’est tout. Et si je veux lui niquer le boule je le nique et voilà. Il a pas le choix de toute façon.

Avec l’alcool et la beuh, ils sont tous curieux. Ils me posent plein de questions sur les trips que je me suis tapé. Je leur raconte comment je prête ma poule à mes potes et comment lui il est toujours opé ! Franchement ils ont du mal à me croire, sauf Kamel qui sait bien et qui leur raconte :

— La semaine dernière c’était quoi ? Vendredi ? On l’a niqué en tournante avec Mehdi et Karim, un cousin. Putain, Karim il lui a mis la misère. C’est un vrai ouf ce gars.

— Il lui a démonté la chatte un truc de ouf. Sérieux mon mec il en pleurait. À chaque fois qu’il lui demandait d’arrêter il se prenait un coup de pied dans le ventre, c’était grave kiffant.

Je raconte ça sans problème, je sais que mon mec a kiffé. Parfois ça va loin mais je sais qu’on peut dépasser certaines limites. C’est toujours sous contrôle. Il a des p’tits bleus des fois mais je prends soin de lui quand même. N’empêche c’est vrai que ce Karim c’était un peu un malade...

À ce moment-là j’entends la clef dans la serrure et mon mec arrive. Il est trop mignon. Il fait genre 1,75 mètres, tout mince, tout blanc, il a aucun poil et une p’tite gueule d’ange. En le voyant on se doute pas mais moi je sais que c’est une vraie salope. Il kiffe tellement la bite, putain ! C’est trop bon d’avoir une pute comme ça à dispo. Je lui lance :

— Ça va ma poule ? On parlait de toi justement !

— Ah ouais ? J’ai bien fait d’arriver avant que ça devienne méchant alors !

— Mais nan t’inquiète on parlait de vendredi soir dernier. Je disais que Karim t’avait méchamment abîmé, tu te souviens ? Hein Kamel ?

Je vois Kamel qui se marre et je regarde mon mec en souriant. Lui aussi il sourit mais il a l’air un peu gêné. Je me rends compte qu’il connaît presque personne alors je fais les présentations :

— Les mecs, je vous présente ma poule. Ma poule, je te présente Jordan, Jean-Luc et Ahmed. Et Steph tu le connais non ? Il était là au nouvel an.

Je vois les yeux de mon mec qui pétillent. Ben ouais il se souvient, Steph on l’avait vu ensemble à la soirée du réveillon et je connais assez bien ma pute pour savoir qu’il se le serait bien tapé. Ça m’avait chauffé d’imaginer ça mais ce con il s’était barré avec une nana. Bref je reviens à ce que je disais avant que ma poule arrive :

— Les gars je vous dis pas comment Karim il s’était défoulé. Mais bon c’est un pote, c’est normal, j’allais pas le priver de ça quoi !

Kamel sourit, Jean-Luc et Ahmed se marrent. Jordan, lui, ne dit rien, il me regarde bizarrement et me lance :

— Mais sérieux ça te fait pas chier que ton mec se fasse tirer par d’autres keumés ? Moi ça me foutrait les boules que ma nana aille voir ailleurs.

— Mec c’est pas d’autres keumés, c’est mes potes. Je partage. Ça me fait plaisir. Je me fais pas chier avec une meuf parce que j’ai besoin d’une bonne salope au lit. J’en ai trouvé une je vais pas la garder que pour moi. Je suis un communiste moi !

On se marre et mon mec aussi. La conversation commence à m’exciter, je sens ma bite qui se tend sous mon calbut mais mon mec fait :

— Bon, je vais me coucher, suis naze. Faites pas trop de bruit.

Je pense : putain, non ! Pas tout de suite…

— Attends ma poule, prends juste un verre.

Et là y a Jean-Luc, mon pote du collège, qui fait :

— Eh mais sérieux, si t’es ok Mehdi moi je veux bien me vider les couilles, hein ! Suis pas pédé mais t’as l’air de dire que c’est comme une meuf, quoi !

Putain c’est bon ça ! J’avais pas trop prévu ça mais je suis toujours opé pour filer la chatte de mon mec à mes potes :

— Mais mec c’est mieux qu’une meuf, je réponds. Et si t’es cho vas-y, fais-toi plaiz. La chambre est à côté.

Jean-Luc s’est levé. En bougeant y a ses chaînes autour de son cou qui font du bruit :

— Bon ben les gars, à plus hein ! Mehdi t’es sûr de toi là ?

— Putain fais pas chier et éclate-toi. T’inquiète tu peux y aller, il a l’habitude.

— T’as des capotes ?

Des capotes… Ouais bien sûr j’en ai, mais mon kif c’est de rendre mon mec bien pute et ça me fait triper qu’il se fasse tirer au jus. Je sais qu’il vaudrait mieux mettre des capotes, mais une pute c’est fait pour se faire remplir, non ? Puis merde, c’est mes potes, quoi. Je lui dis :

— Ouais si tu veux, dans la table de nuit. Mais je te fais confiance, t’es pas obligé !

Jean-Luc va vers mon mec qui passe une main sur mon épaule. Je lui lance « à tout de suite ma poule » pendant qu’ils partent vers la chambre. Quand la porte se referme, y a un silence gêné qui s’installe. Je sais qu’ils essaient tous d’écouter pour savoir ce qui se passe. Heureusement y a Kamel qui a pas besoin d’entendre et qui relance la conversation :

— D’ailleurs en parlant de Karim je lui ai parlé hier, il m’a dit qu’il kifferait trop avoir une pute à dispo lui aussi.

Ahmed en bougeant son gros ventre pour se prendre la place vide laissée par Jean-Luc sur le canapé dit :

— Mais mec on kifferait tous ! Mais moi je me suis jamais tapé un keumé quoi, voilà c’est tout j’suis pas pédé.

— Vas y qu’est-ce tu racontes toi, genre tu t’es jamais fait sucer par un mec ? Lui fait Jordan, son pote, le grand maigre. Arrête ton délire on vit dans la même cité, on s’est tous fait pomper la bite une fois par un mec quand on était en chien !

Kamel et moi on se regarde et on se marre. Y a que Steph qui dit rien. Je commence à charrier :

— Putain mais voilà, regardez les mecs on est 6 et ça nous est tous arrivé, non ? Jean-Luc il doit être en train de se faire sucer la queue là, Kamel il y est déjà passé, Jordan apparemment aussi et Ahmed tu dis que non mais sérieux, avoue ! Juste moi y a un moment où j’ai arrêté de me prendre la tête avec des meufs qui pensaient qu’à se marier, quoi. Mon mec ouais c’est un mec mais au lit je m’éclate et il me demande pas de faire des gosses quoi.

Ils rigolent tous sauf Steph qui dit toujours rien. Ahmed veut pas l’avouer mais je vois une putain de bosse sous son jogg’. D’ailleurs c’est lui qui relance la conversation :

— Mais genre ton mec tu le prêtes vraiment à tous tes potes ?

— Ben ouais mec, on a tous besoin de se vider les couilles quoi. Et franchement il a une de ses bouches, un truc de fou. Et son cul c’est comme une chatte, mais en vachement plus serré alors que putain il s’en est pris des bites. Par contre je le file qu’à des rebeux, je veux pas qu’il se fasse baiser par des cefrans.

— Ouais, les cefrans c’est des vide-couilles pour nous les rebeux, c’est tout, fait Kamel.

À ce moment-là on entend un cri dans ma chambre. Je lance un coup d’œil à Kamel qui se lève et va vers la porte vérifier si tout va bien. Pendant ce temps je continue :

— Sérieux les mecs, si j’étais avec une meuf elle me casserait les couilles, elle me laisserait pas sortir avec mes potes, elle me péterait un câble parce que j’ai des potes qui viennent chez oim. Là Mon mec il est tranquille, il dit rien, je vis ma vie.

Kamel revient, il me dit doucement :

— C’est bon j’ai ouvert la porte tout va bien, je crois que Jean-Luc il y est juste allé un peu fort au début.

Ahmed me relance :

— Mais tu te tapes plus de meuf alors ?

— Si ça m’arrive, j’sais pas, de temps en temps, mais franchement voilà je m’éclate plus avec mon mec.

— Ah ouais ? Et ton mec il dit rien ?

— Ben non, il s’en fout, il sait que c’est comme ça. Sérieux mec t’en connais des nanas qui te laisseraient faire ça ? Moi j’en connais pas man.

— C’est clair, fait Jordan, le grand maigre moche. C’est pour ça que je veux pas me mettre en couple, elles sont trop relou les meufs.

On se marre tous, y a que Steph qui continue à rien dire. Il boit son verre de sky et tire sur son joint. A ce moment-là y a Jean-Luc qui revient de la chambre et qui fait :

— Putain les mecs elle est trop bonne cette pute. Je lui ai éclaté la chatte, un truc de fou !

Je lui tends un verre en lui faisant de la place à côté de moi :

— C’est bien mon poto, t’as mérité un autre joint. Viens-là.

— Sérieux je m’étais déjà fait sucer par des keums mais ton mec c’est une vraie chienne. Il a un boule de ouf.

Le gros Ahmed s’est déjà levé et lance :

— C’est bon moi j’y vais, j’suis cho là ! Ça m’a excité vos conneries les mecs.

— T’es sérieux ? lui fait son pote Jordan. Putain t’as raison, j’irai après toi.

— Allez-y ensemble les gars, je leur fais. À deux c’est encore meilleur, un dans sa gueule et un dans sa chatte.

Jordan se lève :

— Ahmed t’es opé ? On se le nique à deux ?

— Grave. Putain Mehdi t’assures, merci.

Ils vont tous les deux vers la chambre mais Ahmed revient et fait à Jean-Luc :

— Mec tu l’as baisé avec capote alors ?

— Nan Mehdi m’a dit que je pouvais sans.

Je leur dis :

— Y en a dans la table de nuit les mecs, mais c’est comme vous voulez sérieux.

Ils ouvrent la porte de la chambre et on reste tous les quatre, avec Jean-Luc qui s’allume son joint, Kamel qui me fait un clin d’œil et Steph qui regarde dans le vide. Je fais à Jean-Luc :

— Alors mec ça va mieux ? Tu t’es bien vidé ?

— Grave putain, franchement t’as de la chance.

— Tu reviens quand tu veux man, t’es un pote, tu le sais.

— Ouais mais c’est con j’suis à 400 bornes maintenant ! Mais t’inquiète je vais essayer de me trouver la même chez moi, c’est clair.Tu viendras essayer poto.

— Tu trouveras jamais aussi bien ! En plus je me tape pas d’autre mec, juste des meufs. Les mecs à part ma pute ça m’intéresse pas.

— Tu m’étonnes, c’est trop une chienne. Ça se voit qu’elle kife la bite. Tu l’as déjà prise en double ?

Je me mets à lui raconter les trucs les plus hardos que j’ai fait faire à ma poule et ça nous prend bien 10 minutes, en résumant. Kamel, qui connaît bien les détails parce qu’il a souvent participé, complète. Au bout d’un moment Jean-Luc regarde son iphone et fait :

— Putain les mecs faut que j’y aille. J’ai rendez-vous là.

Il se lève, on se check, je sais que je le reverrai pas avant pas mal de temps mais je suis content qu’il ait essayé ma pute. Kamel parle avec lui à la porte de l’appart et je me retrouve seul avec Steph. Je lui dis :

— ça va mec ? Tu dis plus rien.

— Ouais ouais ça va mais franchement mec je suis pas à l’aise avec vos trucs là. Ça me branche pas moi les trucs de pédés.

— Ben c’est comme tu le sens man, je comprends si t’as pas envie, mais je te dis le cul de mon mec c’est une vraie chatte. Si tu veux tu peux juste te faire sucer, pour voir. Mais après c’est comme tu le sens.

— Nan ça va. J’ai un rencart avec une meuf de toutes façons. Mais t’inquiète mec je te juge pas, tu fais ce que tu veux. Par contre là où je bosse je sais que mon boss il se tape des minets des fois, si ça te dit je peux vous rencarder, je sais que t’aimerais changer de taf.

Ça c’est cool, je me dis. Il est pas con ce Steph, il a compris pourquoi je l’avais invité. En plus si le patron kiffe les pédés, ça va le faire.

— Mais c’est un rebeu ton boss ?

— Ben ouais mec, dans la sécu on n’est que des arabes ou des blacks. Mais lui c’est un rebeu. Viens mardi, il est là, tu pourras lui parler. Il va te trouver un job, surtout si tu lui files ta pute.

— Nickel ça le fait.

— Bon faut que je me casse aussi. Allez mec à plus et ci-mer pour la soirée.

Il écrase son joint et se tire. Au même moment y a Kamel qui revient.

— Putain ils font quoi dans la chambre ?

— J’sais pas, ils ont bientôt fini je pense. Tu veux rester dormir mec ?

— Nan c’est bon j’suis venu en caisse.

On entend la porte de la chambre s’ouvrir et Ahmed et Jordan reviennent. Ahmed me fait :

— Putain c’est vraiment une chienne ton mec. Il aime trop la bite, moi j’assumerais pas d’avoir une meuf comme ça. Je flipperais trop qu’elle se tape tous mes potes !

— T’inquiète je contrôle. T’as vu comment ça se passe, c’est moi qui la fais baiser. Ça va c’était cool ?

— Grave bon, man. On lui a éclaté la chatte. Jordan lui a bien rempli la gueule et moi j’ai déchargé dans sa chatte.

— C’est bon ça !

Jordan attrape son blouson et me tends la main :

— Bon les mecs moi j’y vais, merci hein ! J’avais trop les couilles pleines.

On se dit salut, Ahmed suit Jordan parce qu’il n’a pas de caisse et qu’il habite loin. Je reste seul avec Kamel, on continue à teaser et on se roule un dernier joint. On comate 10 minutes puis je lui fais :

— Ça te dit de te vider ?

Il fait « ouais », on se lève tous les deux, je remplis un verre d’eau et on va dans ma chambre. Mon mec est endormi, à poil allongé sur le lit. Il a les cheveux dans tous les sens. Elle a du bien se faire mettre, ma p’tite pute ! Je le secoue doucement par l’épaule :

— Ma poule ! T’es encore en forme ?

il ouvre les yeux, me regarde amoureusement, je lui tends le verre d’eau.

— Vas y rince toi la bouche.

Il obéis et je l’embrasse, puis je lui dis :

— S’il te plait bébé, Kamel veut juste se faire sucer. Ok ?

Je sais qu’il est ok, il peut pas me dire non. D’ailleurs il aime trop la bite pour ça et, de toute façon c’est moi qui décide.

Je m’écarte pour laisser la place à Kamel. Pendant qu’il enlève son t-shirt, je vais m’asseoir dans le fauteuil à côté pour mater. Mon mec commence à caresser le torse de Kamel qui lui caresse tendrement la tête en sortant sa bite. Il bande déjà, ses 18 centimètres se posent sur la joue de mon keum qui ouvre la bouche et lui lèche le gland, puis il descend jusqu’à ses couilles pour passer sa langue tout le long de sa queue avant de toute la prendre d’un coup entre ses lèvres et de lui faire un fond-de-gorge direct. Kamel gémit doucement, je sais qu’il kiffe ça, il s’est déjà fait pomper la queue par ma pute  et il lui a défoncé la chatte autant de fois. Kamel c’est mon complice : quand je suis pas là et que des mecs que je connais pas me demandent de baiser mon keumé c’est lui que j’envoie checker que tout va bien. Plusieurs fois aussi je lui ai demandé de rester à côté quand je fais faire la pute à ma poule contre du fric ; ça mon mec je lui ai jamais dit mais parfois je suis ric-rac en termes de tunes et je file sa chatte contre 50 euros à des rebeux en manque. Kamel c’est mon complice, je vous dis, je sais qu’il me trahira pas.

Je mate mon mec s'escrimer sur la queue de mon pote, il sait y faire, c’est un pro, il se la prend en fond-de-gorge puis il y va plus doucement. Je vois Kamel qui prend grave son pied et putain ça m’excite grave ! Kamel se tend, il va gicler, mon mec lui attrape les couilles, prend toute sa queue dans sa p’tite bouche et avale comme une bonne chienne qu’il est. Il garde sa bite dans sa bouche jusqu’au bout, jusqu’à ce que mon keum lui ai tout tiré et que mon pote lui ai bien rempli le ventre de son jus de rebeu. Kamel se penche vers lui, il lui fait un bisou sur les lèvres, c’est ok, lui il a le droit. Putain j’ai les couilles pleines moi aussi. Je fais à Kamel : « Tu connais le chemin mec » et il s’arrache. Je m’approche de ma pute, d’une main je le retourne sur le lit, je le fous à quatre pates, je mate son boule cambré, son trou serré, et je m’enfonce d’un coup jusqu’au fond de sa chatte humide. Je lui fais :

— Putain de salope, t’as la chatte bien lubrifiée ! C’est trop facile de te baiser avec tout ce jus de rebeu là ! Je vais te mettre ma dose moi aussi, t’es à moi tu m’entends ? Je tasse bien tout le sperme dans ta chatte et je te remplis sale pute !

C’est ma chienne, même s’il s’est fait doser le trou par mes potes c’est à moi de le remplir en dernier. Je veux laisser ma marque, c’est toujours comme ça. Je veux lui baiser la chatte jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus et me supplie de le remplir pour que ça s’arrête. C’est moi son boss, putain ! Je gicle dans son cul, je lui tapisse ses entrailles, déjà bien lubrifiées, avec mon foutre et je m’effondre sur son corps.

On s’endort ensemble, je sas qu’il pense qu’il ne s’est pas fait sauter par Steph, le seul qui n’a pas voulu se taper un mec, et je me dis déjà que je vais faire une putain de surprise à ma pute en le filant à mon futur patron. C’est normal, c’est ma pute.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 26 avril 7 26 /04 /Avr 16:28

Les examens approchant, je sors de cours ce soir-là à 22h30, crevé d’avoir révisé toute la journée et impatient de retrouver mon mec à la maison. Je pense à lui dans le bus, à sa gueule de petite racaille macho, à ses abdos si parfaitement dessinés, à sa queue circoncise de rebeu mais aussi à l’amour infini que je lui porte. J’ai quitté la maison familiale pour m’installer avec lui très tôt et depuis, installé dans le petit deux-pièces qu’il a pu louer après avoir arrêté ses études pour commencer un boulot de réparateur en informatique, nous ne pouvons plus nous quitter. Il est capable d’une incroyable tendresse comme d’une vraie brutalité de mec de cité dominateur et c’est justement ce paradoxe que j’adore en lui.

En arrivant devant notre porte, j’entends des rires et je remarque une odeur de beuh qui se dégage jusque dans le couloir. Putain ! J’avais oublié sa soirée avec ses potes… Moi qui rêvais de me lover dans le canapé, c’est mort. J’ouvre la porte, ils sont là, 6 rebeux entre 22 et 26 ans, avec leur look de racaille, casquette, jogging, baskets, leur verre de sky dans une main et leur joint dans l’autre. Mehdi, mon mec, lève la tête et sourit :

— Ça va ma poule ? On parlait de toi justement !

— Ah ouais ? J’ai bien fait d’arriver avant que ça devienne méchant alors !

— Mais nan t’inquiète on parlait de vendredi soir dernier. Je disais que Karim t’avait méchamment abîmé, tu te souviens ? Hein Kamel ?

Près de la télé, Kamel acquiesce. Je l’aime bien Kamel, il est plutôt timide et doux comparé à ses potes mais il est mignon comme tout et il a une bonne queue. Le vendredi précédent, il m’avait baisé en plan à 3 avec mon mec et un autre, que je connais pas très bien mais que Mehdi adore. C’est vrai que putain, quand j’y repense, ce Karim était plus que domi : c’était un vrai violent. Non seulement il m’avait défoncé à coup de bite bien hard, mais en plus il me foutait des baffes, des fessées et des coups de pied de malade. J’avais morflé ce vendredi-là… Ce soir, à part mon mec bien sûr, je ne connais que Kamel, le gentil. Les 4 autres, je ne les ai jamais vus. Ah si, celui qui est sur la droite peut-être, le grand baraqué tout en gris. Je crois que je l’ai croisé déjà. D’ailleurs Mehdi fait les présentations :

— Les mecs, je vous présente ma poule ; ma poule, je te présente Jordan, Jean-Luc et Ahmed. Et Steph tu le connais non ? Il était là au nouvel an.

Ah oui, c’est ça. Le grand baraqué du nouvel an qui avait fini par embarquer une espèce de pouffiasse à gros seins. Je regarde vite fait les 3 autres, Jordan, super grand, très maigre, avec une barbe mal rasée et des dents déjà pourries ; Jean-Luc, assez looké avec ses strass sur la casquette ; Ahmed, un géant qui doit peser bien 100 kilos mais qui a une bonne tête. Mon mec revient à son sujet :

— Les gars je vous dis pas comment Karim il s’était défoulé. Mais bon c’est un pote, c’est normal, j’allais pas le priver de ça quoi.

Kamel sourit, Jean-Luc et Ahmed se marrent. Jordan, lui, ne dit rien mais lance à mon mec :

— Mais sérieux ça te fait pas chier que ton mec se fasse tirer par d’autres keumés ? Moi ça me foutrait les boules que ma nana aille voir ailleurs.

— Mec c’est pas d’autres keumés, c’est mes potes. Je partage. Ça me fait plaisir. Je me fais pas chier avec une meuf parce que j’ai besoin d’une bonne salope au lit ; j’en ai trouvé une je vais pas la garder que pour moi. Je suis un communiste moi !

Ils se marrent et moi avec. Bref, enfin je suis quand même crevé et je lance :

— Bon, je vais me coucher, suis naze. Faites pas trop de bruit.

— Attends ma poule, prends juste un verre.

Mais je vois déjà Jean-Luc, le looké, qui reprend :

— Eh mais sérieux, si t’es ok Mehdi moi je veux bien me vider les couilles, hein ! Suis pas pédé mais t’as l’air de dire que c’est comme une meuf, quoi !

— Mais mec c’est mieux qu’une meuf, répond mon Mehdi. Et si t’es cho vas-y, fais-toi plaiz. La chambre est à côté.

Et merde… Moi qui voulais me pieuter… Mais déjà Jean-Luc s’est levé, ses mouvements faisant briller ses strass dans la lumière du salon :

— Bon ben les gars, à plus hein ! Mehdi t’es sûr de toi là ?

— Putain fais pas chier et éclate-toi. T’inquiète tu peux y aller, il a l’habitude.

— T’as des capotes ?

— Ouais si tu veux, dans la table de nuit. Mais je te fais confiance, t’es pas obligé.

Jean-Luc passe près de moi, me fait un clin d’œil. Je passe une main sur l’épaule de Medhi qui me sourit en disant : « À tout de suite ma poule. »

J’entre dans notre chambre, Jean-Luc referme la porte et direct vient m’appuyer sur les épaules pour me faire mettre à genoux. Aussitôt je baisse son jogging et commence à lécher son boxer. Le paquet est plutôt prometteur. Je sens les mains de Jean-Luc sur ma tête qui me caressent les cheveux et me plaquent la bouche contre sa queue qui commence déjà à durcir.

— Vas-y sale pute lèche bien ma queue ! Fais-moi bien bander, je vais te la mettre profond. Tu kifes les queues de rebeux hein ? T’es une bonne salope, ça se voit sur ta gueule. Je vais te déboîter la mâchoire.

Je surkife sa façon de me parler. D’une main je baisse son boxer et voit surgir une belle bite circoncise, bien longue, pas ultra large, bien mise en valeur sur des poils entretenus et de belles couilles rondes. Je me jette sur sa bite et direct il m’impose son rythme, bloquant ma tête de ses mains et faisant de grands mouvements du bassin pour me niquer la bouche en continuant à me traiter de salope, de bonne suceuse, de petite pute. Ses gestes font cliqueter sa chaîne en toc dorée. Sa bite est super douce, elle me pénètre bien jusque dans le fond de la gorge et je peux m’éclater à alterner les fonds-de-gorge avec des mouvements plus soft. Après 5 bonnes minutes de suce, il se penche vers mon cul, passe une main sous mon jean et commence à me doigter pendant que je lui lèche les couilles. Puis je me relève, j’ai à peine le temps de virer mes fringues qu’il me jette sur le lit en lançant « Vas y sale chienne fous-toi à quatre pattes que je te nique la chatte ! »

J’obéis aussitôt et je sens direct sa queue coulisser sur mes fesses ; il joue quelques secondes comme ça en crachant sur ma raie, en me doigtant pour lubrifier mon cul avec sa salive, puis il crache sur sa bite et je sens son gland qui se positionne. Je me cambre à fond, son gland essaie d’entrer, il y arrive pas ; je me prends une fessée, puis deux, il me dit de bien m’ouvrir pour accueillir sa queue ; je fais du mieux que je peux mais j’y peux rien si je suis serré. Il crache encore, me fous quelques doigts, puis je sens qu’il s’impatiente et il choisit la méthode forte : d’un coup, c’est tout son gland qui me pénètre brutalement. Je crie, d’une main il m’enfonce la tête sur le lit puis force encore pour faire entrer le reste de sa queue en une fois. Je sens ses couilles sur le bas de mes fesses et ses va-et-vient commencent aussitôt. Je me fais bien niquer par toute la longueur de sa bite qu’il fait coulisser toute entière dans mon cul, la sortant complètement, me la remettant profondément tout d’un coup, puis me baisant comme un chien, par petits à-coups avant de reprendre ses mouvement plus amples. Sa queue me fait du bien, une bonne bite de rebeu comme je les aime, assortie de ce côté macho des petites racailles de cité qui se croient super puissants parce qu’ils ont arrêté le lycée et fument des joints dans leur cave. Ses mots aussi me font du bien, ses insultes, les compliments qu’il se fait sur « sa méga bite qui me défonce bien », les compliments qu’il me fait sur « ma bonne chatte de vide-couilles à doser »… Et effectivement ça ne tarde pas, je l’entends respirer plus vite, un peu plus fort, sa queue gonfle un peu dans mon cul et son râle quand il largue son jus dans mon ventre avant de s’effondrer sur mon dos…

Pendant quelques secondes il ne bouge pas, puis se retire et me lance : « Vas y nettoie-moi la queue vite fait.» Je m’agenouille par terre et ma tête vient entre ses cuisses alors qu’il s’est assis sur le bord du lit. Il a déjà débandé mais sa queue est toujours très longue. Je suce bien son gland pour avaler les toutes dernières gouttes de sperme, je lèche soigneusement toute sa bite, puis il se relève, remonte son jogging qu’il n’avait même pas enlevé et me dit en ouvrant la porte : « Putain c’est vrai que t’es bonne toi ! ».

J’ai à peine le temps de m’allonger sur mon lit que la porte s’ouvre à nouveau, laissant passer Jordan, le grand maigre, et Ahmed, celui qui est vraiment gros. Je souris en les voyant tous les deux l’un à côté de l’autre : deux racailles rebeux avec leurs gabarits tellement différents. Ahmed prend mon sourire pour une invitation et me lance :

— Mehdi nous a dit qu’on pouvait venir aussi.

— Ouais bien sûr, pas de problème.

Je suis fatigué mais je peux pas résister à un truc à trois. D’ailleurs Jordan s’avance déjà en se caressant le paquet à travers son survêt. Je me remets à quatre pattes sur le matelas, il choppe ma tête et la plaque contre ses couilles. C’est un vrai truc chez eux de me faire sniffer leur teub alors qu’elle est même pas sortie ! Je sors ma langue et commence à lécher par-dessus le tissu. La bosse est plutôt prometteuse. À côté, Ahmed a sorti sa queue et se branle déjà en matant. J’ai pas envie d’attendre, à deux mains je descends le fut et le caleçon de Jordan et prends en bouche sa queue à demi-molle. Elle pue un peu la pisse mais je connais mon taf. Il doit le sentir parce qu’il bande direct dans ma bouche et commence à me la baiser. Je joue avec ma langue sur son gland, je caresse ses couilles en même temps ; putain j’en reviens pas du morceau : j’ai la gueule complètement remplie et il en reste encore un bon tiers ! Et vachement épais avec ça. Je vais déguster s’il me nique, celui-là ! Je jette un coup d’œil à côté vers Ahmed qui s’est approché, pantalon sur les chevilles : c’est tout l’inverse, sa bite est bien raide mais assez courte et pas très large. C’est drôle, ça contraste avec son corps massif et sous son gros ventre ultra poilu ça a l’air encore plus petit. Après tout je m’en fous, une queue est une queue et j’ai aussi envie de lui. Il se branle toujours pendant que Jordan me défonce la bouche en silence. Après quelques minutes, je me recule moi-même pour m’occuper de la teub d’Ahmed, qui voyant ça s’écrie : « Putain t’aimes vraiment trop la bite toi ! » ; et aussitôt il me fourre la sienne entre les lèvres. Je le pompe comme une chienne pour bien lui montrer qu’il a raison, en même temps je sens les mains de Jordan qui commencent à me caresser le cul après avoir enlevé toutes ses fringues. C’est tellement bon d’avoir un mec devant et un mec derrière ! Dans ces moments-là je me dis que je suis vraiment fait pour ça. Ahmed aussi me le dit, me traitant de pute à queues, de bonne chienne à tourner, de sac à foutre. Il me claque la gueule avec ses grosses mains, me tient le menton pour que je le regarde en le suçant et me lâche de gros mollards sur le visage, qui coulent sur ma peau et s’écrasent sur mes draps. Derrière moi, Jordan me glisse deux doigts dans la chatte. Je l’entends chercher quelque chose, il ouvre la table de nuit et attrape une capote, déchire l’emballage et se la met rapidement sur la queue. Il place son gland sur mon trou et s’exclame :

— Et merde…

— Qu’est-ce qui t’arrive mec ? lui fait Ahmed en me baisant toujours la gueule.

— J’ai craqué le préso ; attends j’en prends un autre.

Ce qui fait, mais il n’est manifestement pas doué parce qu’il le pète aussi en se le mettant trop vite.

— Fais chier putain.

— Vas y t’emmerde pas baise-la à cru cette pute.

— Ouais mais je sais pas, c’est un pédé quand même.

— Et alors ça fait quoi ? C’est une pute, Mehdi il a dit qu’on pouvait y aller.

— Vas y t’as raison.

J’ai à peine le temps de me cambrer qu’il m’enfonce tout son gourdin dans le cul. Je gémis grave mais suis étouffé par la petite bite d’Ahmed qu’il maintient toute entière dans ma bouche. Ils se mettent à me baiser en rythme, moi avançant vers le gros ventre d’Ahmed en me tenant d’une main à ses larges cuisses poilues quand Jordan vient jusque dans le fond de ma chatte, puis reculant quand il se retire avant de la replonger toute entière. Jordan me tient fermement par les hanches, s’agrippe violemment à la peau de mes fesses mais ne dit toujours pas un mot ; Ahmed, lui, m’insulte copieusement en se faisant plaisir dans ma bouche qu’il baise vraiment comme une chatte. Je sens ses couilles contre mon menton, c’est bon, je me sens bien, la gueule et le cul remplis par des bites de beurs en chaleur qui ne pense qu’à se vider les couilles dans mon corps, le corps du mec de leur pote qui lui-même n’a pas une seconde pensé à me demander mon accord avant de leur dire de me sauter. Je suis sa pute, je suis leur pute, et j’aime ça. Ils le savent d’ailleurs et ne se privent pas d’en profiter, me défonçant brutalement dans tous les sens avant de décider d’inverser les rôles.

Jordan se retire de mon cul d’un coup et vient devant moi pendant qu’Ahmed passe derrière. Je me jette sur la grosse bite de Jordan et le suce avec gourmandise ; c’est kiffant de passer de l’une à l’autre, si différentes. Je sens la queue d’Ahmed qui s’enfonce en moi, malgré le passage de celle de Jordan je me sens bien rempli, c’est peut-être dû au fait qu’il m’écrase avec son poids, il est penché par dessus-moi, ses grosses cuisses collées contre les miennes, son ventre sur mon dos, il me baise très vite, par des petits mouvement saccadés, en respirant très fort ; sa sueur coule de son corps et s’écrase sur ma peau. Il s’est arrêté de m’insulter. Je glisse un regard vers la droite ; le grand miroir sur le mur renvoie l’image de mon petit corps blanc tout mince, baisé d’un côté par un gros rebeu luisant et de l’autre par un grand maigre, à la peau plus foncée encore, qui fait coulisser son sexe gigantesque entre mes lèvres. Jordan m’a attrapé par les cheveux et me fait pomper sa queue à toute vitesse, l’enfonçant le plus loin possible dans ma gorge ; je kiffe cette façon bien macho de me démonter la gueule, je lève les yeux vers lui, il a un sourire pervers, presque sadique en me regardant le sucer, puis il relève la tête, la penche en arrière, ferme les yeux et se met à gémir doucement avant de lâcher toute sa sauce dans ma bouche tout en continuant à me faire pomper sa queue. A peine quelques secondes plus tard, Ahmed se lâche aussi, mais dans ma chatte, me remplissant de son sperme en s’effondrant complètement sur moi. J’avale consciencieusement tout en pensant que le jus d’Ahmed rejoint celui de Jean-Luc au fond de moi. Jordan s’est assis sur le lit, face à moi, sa bite toujours dans ma bouche, que je nettoie doucement. Nous restons tous les trois sans bouger pendant une minute. Je me sens tellement bien, je voudrais rester comme ça toute la nuit. Il ne manque que les mains de mon mec pour me caresser le corps et ce serait parfait. Ahmed est le premier à se relever, sa bite molle se retirant de mon cul dans un bruit mouillé ; presque aussitôt Jordan sort de ma bouche et se lève aussi. Ahmed lance « Putain ça fait du bien d’avoir les couilles vidées » en remontant son survêt pendant que Jordan cherche ses fringues ; Ahmed me sourit en me disant « Allez à plus ! », Jordan me fait un check et ils sortent de la chambre.

J’entends des exclamations, des rires dans le salon, j’ai hâte que Mehdi me rejoigne pour passer la nuit avec lui. Rien ne se passe pendant plusieurs minutes à part les rires et les conversations qui continuent. Je commence à m’endormir.

Je suis réveillé par une voix dans mon oreille : « Ma poule ! T’es encore en forme ? » ; j’ouvre les yeux, c’est lui, mon mec, penché vers moi, qui me tend un verre d’eau : « Vas y rince toi la bouche ». J’obéis puis il m’embrasse. J’aperçois derrière lui Kamel, debout, l’air toujours aussi timide. C’est pourtant pas la première fois qu’il est invité dans notre chambre. Mon mec me murmure : « S’il te plait bébé, Kamel veut juste se faire sucer. Ok ? »

Ben oui ok. Evidemment ok. Je peux pas dire non à mon mec. Je lui dis jamais non d’ailleurs, il le sait. C’est pour ça qu’il ne pose jamais la question, ou alors pour la forme, par politesse, ou pour me faire comprendre qu’il faut que je m’active.

Je fais un sourire à Kamel qui, rassuré, s’approche. Mehdi va s’installer dans le fauteuil pour nous mater. Je le regarde du coin de l’œil en commençant à caresser le torse de Kamel qui a viré son t-shirt. Il me caresse tendrement la tête en sortant sa bite. Il bande déjà, ses 18 centimètres me frôlent la joue, j’ouvre la bouche et lèche son gland, puis descends jusqu’à ses couilles pour passer ma langue tout le long de sa queue avant de toute prendre d’un coup entre mes lèvres pour lui faire un fond-de-gorge direct. Il gémit doucement, je sais ce qu’il aime mon Kamel, je l’ai déjà sucé un nombre incalculable de fois, et il m’a baisé presque autant. Quand Mehdi n’a pas confiance dans certains mecs qui lui demandent de me sauter, mais qu’il n’est pas là pour rester à côté, c’est Kamel qu’il envoie me protéger. Sous ses airs timides, il est capable de bien cogner et m’a déjà sauvé deux fois de connards qui voulaient me tabasser. Alors je lui dois bien de me donner à fond sur sa queue. Il n’a pas besoin de me tenir la tête ou de me tirer par les cheveux pour que je le pompe avec passion et il le sait. Il me laisse faire. J’en profite pour y aller à mon rythme, alternant les moments où je suce tranquillement son gland en caressant ses couilles avec des temps plus rapides, plus profonds, pendant lesquels le contact du fond de ma gorge avec le bout de sa bite lui arrachent des gémissements rauques de plaisir. Quand je sens qu’il est sur le point de jouir, j’enchaîne les fonds-de-gorge puis finis par ne le sucer qu’avec son gland le plus profondément enfoncé dans ma bouche, ne faisant que des petits mouvements très rapides jusqu’à ce que je sente sa queue se gorger de sperme et lâcher sa crème qui tombe directement dans mon estomac. Il est agité de petits soubresauts en giclant, se vidant de ses dernières gouttes de jus toujours calé dans ma bouche pendant que ma langue lui caresse la base du gland. Il se retire, on se sourit, il se penche pour me faire un smack.

Je vois Mehdi qui se branle tranquillement à côté, souriant. Il lance à son pote : « Tu connais le chemin mec. » Kamel sort de la chambre en refermant la porte derrière lui. Mon mec s’approche, d’une main puissante il me fout à quatre pattes sur le lit et, toujours debout, m’enfonce brusquement toute sa queue dans le cul. Ses couilles s’écrasent contre mes fesses et il me baise sauvagement en gueulant « Putain de salope, t’as la chatte bien lubrifiée ! C’est trop facile de te baiser avec tout ce jus de rebeu là ! Je vais te mettre ma dose moi aussi, t’es à moi tu m’entends ? Je tasse bien tout le sperme dans ta chatte et je te remplis sale pute ! »

Je sais ce qu’il veut dire. C’est à lui de me baiser en dernier. Il ne me laisse jamais m’endormir sans son jus dans les entrailles si d’autres m’ont rempli avant lui. Il me rappelle qu’il est mon boss. Même si je n’ai pas besoin de ça pour le savoir, je ne dis rien, trop excité à l’idée qu’il s’apprête à jouir, lui aussi, à l’intérieur de moi. Il ne tarde pas à le faire, ses jets puissants giclant sur les parois de mon cul, se mêlant à ceux de ses potes, avant de s’écrouler à côté de moi, ses bras autour de mon corps, pour nous endormir tous les deux. En sombrant dans le sommeil, j’ai une pensée pour Steph, le grand baraqué, le seul de ces 6 rebeux qui ne m’ait pas baisé ce soir. Mais la bite de mon mec encore en moi compense largement toutes les autres.

 

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Avertissement

Blog réservé à un public majeur.

 

La plupart des éléments publiés sur ce blog sont à caractère sexuel et proviennent du net. Si certains contenus ne sont pas libres de droit, merci de m'en avertir et il seront immédiatement retirés.

Derniers Commentaires

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés