L'histoire de la semaine

Dimanche 15 mars 7 15 /03 /Mars 13:26

Faire une gâterie, turluter, tailler une pipe, éponger un mec, voilà ma vraie vocation ! J’ai commencé à seize ans, je pratique chaque fois que je peux cet art subtil et je peux vous affirmer que je suis un virtuose de la sucette.

Mon plus grand bonheur c’est d’avoir à ma disposition le ventre, les cuisses et bien sûr la queue et les couilles d’un mec. Alors là, avec le bout des doigts et de la langue, je peux le faire gémir pendant des heures. Ma récompense : recevoir la liqueur chaude et épaisse qui a souvent le goût d’amande. Depuis des années, je ne drague plus dans les endroits gay, les mecs sont compliqués et cherchent toujours la grande aventure. En revanche, hors des circuits habituels, on trouve de vrais mâles, souvent mariés, mais qui sont presque toujours partants pour une petite gâterie, évidemment pas question d’autre chose. Une seule chose les intéresse : la jouissance que vous allez leur procurer avec votre bouche. Ils vous confient leur sexe et se laissent faire. J’adore ce rapport rapide, purement sexuel, où le mâle vous domine. Vous êtes à ses pieds et en même temps c’est vous qui dirigez les opérations. C’est vous qui procurez la jouissance.

J’ai pompé des centaines de mecs, n’importe où, à n’importe quelle heure, et je connais mon affaire du lycéen au vieux marin ! Toujours le même objectif : faire jouir le mâle. Aujourd’hui j’ai tellement avalé de foutre que je n’ai plus faim. Alors, un verre de whisky et  j’ai envie de vous raconter ma journée...

J’ai pris l’autoroute ce matin pour aller dans un endroit que je connais bien. À 9 heures j’étais sur une aire de parking déserte. Un motard arrive dans un bruit d’enfer, il descend de moto et se dirige vers moi, son casque sur la tête. Je ne vois pas son visage, il a une allure jeune, il m’apostrophe : “Tu veux sucer ?" Je réponds oui et je le suis vers un bosquet de verdure en contrebas. Il est grand, mince, jean et blouson de cuir. Il s’arrête près d’un gros arbre contre lequel il s’adosse, il retire son casque. Il a vingt ans maximum et il est particulièrement beau. Il a baissé son jean sur ses chevilles et relevé son tee-shirt jusqu’aux épaules. Un corps glabre, juvénile, m’est offert, la queue raide. Je le pompe à fond comme un affamé de plusieurs jours.

Il veut que ça dure et me demande de ralentir, ça lui plaît. Il finit par m’envoyer quelques giclées au fond de la gorge en poussant des petits cris. C’est au tour d’une grosse cylindrée, très luxueuse de s’arrêter. Un beau mec d’environ trente ans en descend, costume, cravate, alliance, il respire l’aisance et la virilité : le mâle distingué. Il m’attire, je le suis aux toilettes, il est devant l’urinoir. Je me place à côté. Il me regarde, je lui souris et passe ma langue sur mes lèvres. Il a l’air étonné et me regarde interrogativement. Je lui fais signe de me suivre dans une cabine. Il hésite mais me suit. Je prends l’initiative de défaire sa ceinture, il se laisse faire. Le costume est de chez St Laurent, le caleçon en soie mais c’est surtout sa bite qui est belle, longue, épaisse. Je lèche son ventre, ses cuisses, je bouffe ses couilles. Il apprécie, se tortille, gémit, puis je le pipe à fond. Les mains sur mes épaules, il se cabre en arrière et râle en éclatant dans ma bouche. En sortant de la cabine il me dit : "C’est la première fois que je me fais sucer par un homme, vous faites ça très bien."

Je me retrouve sur le parking. Je suis sur un petit nuage quand une camionnette blanche s’arrête. Un mec jeune et basané style beur descend aux toilettes. Très naturellement il exhibe une matraque large et circoncise. Un énorme paquet de couilles presque noires pend entre ses cuisses. Très vite, nous sommes dans la cabine, je lèche son corps musclé et lisse au goût salé et je lui fais une turlute d’enfer. Il agrippe mes cheveux en crachant au fond de ma gorge. Il sort sans rien dire, sans un regard. Ça fait une heure que je suis là et il est temps que je parte mais un énorme camion immatriculé en Espagne arrive. Au volant, un jeune homme brun, bouclé, vingt-cinq ans. Lui aussi porte une alliance. Je lui souris, il fronce les sourcils et me fait signe de déguerpir. Je fais un tour, je repasse. Apparemment il a changé d’avis, il me fait signe de monter. Il tire les rideaux, il se fout complètement à poil. Il est très musclé, très poilu, tatoué sur les épaules. Le paquet pendant entre ses jambes, il ne bande pas. Il attend que je le mette en forme. Je tripote son gros sexe flasque, ses couilles lourdes, je le suce et il finit par bander. J’ai du mal à l’emboucher jusqu’à la garde. Il me fait allonger et vient se placer à hauteur de mon visage. Ses cuisses enserrent mon visage, ses couilles s’étalent sur mon menton et son gros gourdin s’enfonce dans ma bouche jusqu’à la glotte. Il m’étouffe mais ce n’est pas son problème, il lime ma bouche comme une chatte. Ça dure presque un quart d’heure, il dit des cochonneries en espagnol et se met à gueuler en lâchant un flot de semence tiède et abondante que je ne peux faire autrement que d’avaler jusqu’à la dernière goutte.

Il est temps que je quitte ce parking. Au retour je souhaite m’arrêter sur l’aire de repos, hélas, elle est fermée pour travaux. Je suis déçu, aussi en rentrant je vais rendre visite à un épicier arabe que je connais. Il me fait passer dans l'arrière-boutique puis vient me rejoindre en disant : "Mes cousins vont s’occuper des clients !" Pendant ce temps, moi je vais m’occuper de vider ses grosses prunes. Évidemment, j’ai eu droit aux deux cousins, jeunes, un peu style loubards de banlieue mais peu importe, l’un comme l’autre ont joui très vite.

Arrive 16 heures. J’ai fait sept pipes, je me lance un challenge : aujourd’hui il faut que j’en fasse dix !

Alors je pousse jusqu'au bois voisin, dans un coin calme, peu fréquenté, où s’arrêtent les mecs pressés qui rentrent chez eux après le travail. Ce n'est pas l’endroit de la drague traditionnelle. Je reste au volant. Une estafette ralentit. Je fais un signe amical au chauffeur. Très vite je me retrouve dans l'estafette, agenouillé entre les jambes brunes et très velues d’un garçon portuguais et là, au milieu des pots de peinture, des échelles, je tête son gros dard qui ne tarde pas à inonder ma bouche.

Ensuite, dans un buisson de hautes fougères, ce sera le tour d’un monsieur distingué, aux cheveux argentés. Il est bien membré, je le pompe avec frénésie, il jouit en m’insultant, en me traitant de salope. Encore un et j’aurai atteint mon objectif. Trois mobylettes avec trois jeunes passent devant moi. Ils rient, plaisantent et disent : "Vise un peu. C’est sûr, il cherche à pomper !” Lorsqu’ils repassent, je passe ma langue sur mes lèvres pour les inviter. Le plus vieux doit avoir vingt ans. J’hésite parce qu’ils sont jeunes. Je leur dis, et, très spontanément, le plus jeune me répond : “J'ai dix-huit ans !" Dans le même buisson de fougères, l’un après l’autre viendront défoncer ma bouche. Paradoxalement, la plus grosse bite est celle de celui qui a dix-huit ans. Douze pipes, je peux rentrer. Ma voiture roule, un mec m’interpelle, très direct, il me demande avec insistance une petite gâterie. Sa femme est enceinte, il a besoin de se vider les couilles. A l’entendre il ne peut plus attendre. Il est beau, blond aux yeux très bleus. Je craque, j’ai eu raison. C’est une queue royale. Il est très long à jouir. La nuit tombe, ça coule dans ma gorge.

Je suis enfin rentré, j’ai pris une douche, voilà ma journée. J’ai fait treize pipes, oui treize pipes ! J’ai donné du plaisir à treize mecs, je vais bien dormir, heureux, comblé, comme vont le faire les treize mecs que j’ai honorés.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 8 mars 7 08 /03 /Mars 14:44

A dix-sept ans, j’étais un garçon bien bâti et plutôt mignon. J'avais la chance de vivre avec mes parents et mon frère aîné sur la Côte d’Azur. Je me sentais bien dans ma peau mais j’étais relativement en retard sur le plan sexuel. Quelques rares érections “mécaniques” au réveil le matin, faisaient jaillir mon sexe de la braguette de mon pyjama.

Un jeudi après-midi, rentré de la piscine, je vis mon corps nu dans la glace en pied de la salle de bain où je me changeai rapidement, alors que je portais une serviette de bain sur les épaules et des chaussettes et chaussures de tennis. Cette tenue, chargée d’un érotisme involontaire, me fit l’effet d’une véritable décharge électrique dans les reins et, à ma grande surprise, je vis mon jeune sexe se dresser vers le haut, prenant une longueur que je ne lui reconnaissais pas. Je pris d’instinct des poses diverses devant le miroir, retrouvant, mille fois plus intenses, les émois que m’avaient procuré sans que je n’y prête davantage attention, les illustrations gréco-romaines de mes livres de latin, représentant des éphèbes largement dénudés. Ce fut tout : pas de masturbation, que je n’imaginais pas, mais une excitation extrême jusqu’à ce que je sente pointer au bout de mon prépuce un peu d’un liquide cristallin qui fit comme des fils lorsque j’y ai touché, ce qui m’étonna.

Dans le vestiaire de la piscine, je guettais souvent mes copains qui se déshabillaient, cachant alors tant bien que mal de fortes érections. L’époque était malheureusement très prude et l’on se déshabillait presque en cachette. Je n’utilisais plus les douches communes de la piscine, de crainte d’y bander, mais prétextais gagner du temps en rentrant chez moi... pour m’y livrer tout à mon aise à mes jeux favoris. À cette époque-là on ne parlait que peu de sexualité, sujet tabou, et si j’avais entendu des copains de classe parler à mots voilés, étouffant des rires, de “branlettes”, je ne savais toujours pas ce que cela signifiait. Par contre j’observais souvent leur braguette pour voir s’il leur arrivait de bander : je vis que c’était le cas parfois à la piscine mais à chaque fois le garçon concerné se retournait à plat-ventre sur sa serviette de bain ou plongeait à l’eau. Je restais sur mon fantasme de voir un gland jaillir d’un maillot !

Mon frère Thierry, de quatre ans mon aîné, se fichait pas mal de moi, occupé à faire de l’équitation et à courir les filles avec son inséparable copain de vingt ans, Éric, aussi brun que le premier était comme moi blond aux yeux bleus. Le soir avant de m’endormir, je me demandais parfois si Thierry, qui dormait dans la chambre voisine de la mienne, éprouvait de tels plaisirs à se sentir nu ou à voir d’autres garçons se déshabiller. Il m’était arrivé de regarder par le trou de la serrure et je le vis une fois, bandant à moitié, caresser son gland décalotté entre le pouce et l’index mais disparaître rapidement dans son cabinet de toilette.

Au mois d’août, Éric vint passer un mois de vacances à la maison et coucha, bien sûr, dans la chambre de Thierry, dans l’autre lit jumeau. Le soir j’entendais souvent venir de leur chambre des rires étouffés, des exclamations à voix basse parmi lesquelles je crus reconnaître “salaud” ou “tu jouis?”, et une fois, un “tu en as foutu plein les draps” qui m’intrigua énormément... Un après-midi, rentrant de la plage, j’entendis du grabuge dans leur chambre. Je me rendis compte qu’ils n’étaient pas seuls mais qu'un troisième garçon était là. J’entrebâillai la porte et le spectacle me pétrifia d’émotion. Un jeune voisin de seize ans, Philippe, était allongé sur le lit de Thierry, les mains solidement attachées aux barreaux. J’appris qu’il y avait eu bagarre quand Philippe avait été surpris en train d’emprunter le vélo d’Éric. Ils l’avaient donc fait “prisonnier” et amené à la maison d’où nos parents étaient partis jusqu’à tard le soir. Il était soupçonné par les deux “grands” d’un autre larcin concernant une lampe de poche récemment disparue mais ne voulait rien avouer. Il était déjà à moitié déshabillé, torse nu, sur le ventre, slip baissé, recevant des coups de cravache bien appliqués sur les fesses. Au bout d’un moment, n’obtenant rien, ils le firent se retourner, dévoilant alors une superbe érection.

Un instant déconcerté, Thierry lui arracha complètement son slip, le traitant de salaud, de pédé, etc. Je m’étais approché du lit, excité à l’extrême car l’adolescent avait une “belle petite gueule” et un corps splendide. Souvent, je l’avais guetté à la piscine, espérant le voir, un instant au moins, à poil. Thierry, un sourire en coin, me dit :

— Tiens, Serge, tu vas voir comment faire juter un petit salaud de son espèce !

Il saisit le sexe de Philippe et, lentement, il en fit glisser le prépuce, le décalottant. Philippe protestait, essayait en vain de se débattre à l’aide de ses jambes mais il bandait plus que jamais. Ce fut alors une suite de lents allers-et-retours dont j’entends encore le bruit discret, “slup-slup” sur son gland mouillé et luisant, ainsi que le frottement de ses couilles sur la base de ses cuisses.

Jamais, quand je l’observais à la dérobée dans les vestiaires, je n’aurais osé espérer un tel spectacle ! Mon coeur battait fort et je me sentais bander moi-même comme un fou, le cachant tant bien que mal. J’étais sûr également que Thierry et Éric bandaient eux aussi, à voir la bosse grossissante de leur braguette. Soudain Thierry accéléra son mouvement tandis que la respiration de Philippe devenait plus courte, haletante. Il suppliait d’arrêter, donnant des coups de bassin qui n’avaient pour effet que d’augmenter les mouvements sur son sexe bandé à l’extrême... Son gland tout humide se gonfla rythmiquement, rougissant de plus en plus... et je fus sidéré d’en voir jaillir en de longs jets qui se répandirent sur sa poitrine, une sorte de lait blanc odorant. En même temps Philippe gémissait tandis que ses abdominaux et ses fesses se contractaient comme pour projeter plus loin encore tout son sperme jusqu’à son menton. Simultanément, parcouru moi-même d’une sorte d’onde électrique, je sentis quelque chose couler dans mon maillot de bain – heureusement sous mon short – un liquide chaud et gluant, plus épais que ces gouttes cristallines de mes jeux solitaires...

Thierry essuya ses doigts poisseux sur le ventre de Philippe et ce dernier fut relâché sans avoir avoué le larcin qu’il n’avait peut-être pas commis. Il sortit penaud, rasant les murs pour rentrer rapidement chez lui avant le retour de ses parents. Je compris aussi que, les soirs précédents, j’avais entendu Thierry et Éric qui se branlaient dans leur lit. Je sus rapidement, en écoutant à la porte et en regardant par le trou de la serrure, que leurs caresses étaient mutuelles et que, souvent, ils dormaient nus, ensemble dans le même lit.

Ce soir-là, excités sans doute par l’épisode avec Philippe, ils s’en donnèrent à coeur-joie et je les entendis carrément gémir en jouissant. Heureusement mes parents dormaient loin de là dans une autre aile de la maison. Le matin, j’entrai dans leur chambre pendant qu’ils prenaient leur petit déjeuner à la cuisine et fus frappé par la forte odeur de sperme qui y régnait. Leurs draps étaient tachés et un mouchoir par terre, près du lit, était trempé. Je le respirai et me mis à bander en imaginant la scène. Quelle production ! Heureusement que le linge partait directement dans des sacs à la laverie sans être vérifié par la bonne... Leurs histoires de filles n’étaient donc qu’une façade !

Cet après-midi-là, au cours d’un de mes jeux où j’imaginais cette fois des jeunes guerriers vaincus, contraints de se masturber, nus, devant leurs vainqueurs ou de jeunes esclaves grecs branlés par leur maître, je me caressais comme je l’avais vu faire à Philippe par Thierry, avec le même délicieux résultat : sentir ces picotements dans le bas-ventre, cette chaleur au plexus, cet abondant liquide blanc qui montait avec force dans la hampe et jaillissait au bout du gland... Cette fois-ci les jets s’écrasèrent sur la glace de l’armoire. Je vis mes cuisses bronzées en trembler de plaisir. J’ai léché la vitre avec délice avant de recommencer, le temps de reprendre mon souffle.

Une sorte de complicité s’était en outre établie entre nous depuis l’aventure de Philippe et quelques jours plus tard, sans avoir besoin de beaucoup insister, je fus admis à participer à leurs jeux nocturnes comme un grand. Nous nous régalions de nos jeunes corps d’adolescents sportifs, chauds, vigoureux et riches de sperme ! Nous créions des scénarios avec des bagarres simulées, des déguisements érotiques dont j’avais soufflé l’idée parfois même, l’après-midi, dans le jardin clos de la maison, lorsque nous étions seuls. D’autres fois il s’agissait, en étant masturbé par l’autre, d’éjaculer en dernier, ce qui n’était guère facile avec mon frère dont les caresses étaient redoutablement excitantes et qui savait se retenir longtemps.

Ce fut pour moi une période de véritable extase. Un après-midi par exemple je fus “capturé” dans le jardin où je devais me cacher. C’était une sorte de version érotique d’un épisode de “Signe de Piste” dont les illustrations me faisaient fantasmer. J’étais vêtu d’un simple ceinturon devant lequel pendait un mouchoir plié, ce qui ne cachait presque rien et se trouva vite soulevé par mon sexe bandé tant la situation m’excitait. Je portais également des bottes d’équitation et cette tenue, sur un corps d’adolescent, était plutôt sexy... Mon “cache-sexe” me fut bien entendu arraché et, vêtu uniquement du ceinturon et des bottes, attaché à un arbre, je fus lentement, avec dextérité, masturbé par Thierry qui savait s’arrêter au dernier moment, ce qui me faisait trembler d’impatience, gémir, supplier... jusqu’à ce que mon “tortionnaire”, accélérant son mouvement, me permette de libérer d’apaisantes giclées. Ensuite, une fellation me fut imposée comme “punition” par Thierry sur Éric. Ce dernier était superbe et très bandant, vêtu d’une veste courte de treillis d’un surplus U.S., serrée par un ceinturon orné d’un poignard, d’une casquette et de bottes. C’était ma première pipe bien entendu mais je n’hésitai pratiquement pas. À genoux devant lui je soulevai le bas de sa veste tendue par son sexe splendide. Je pus alors m’en régaler, sentir ce gland bien dur autour duquel je faisais tourner ma langue, glisser mes lèvres. Son sperme, que j’ai trouvé exquis, a été avalé entièrement. Éric en était généreux : je l’ai vu à cette époque jouir quatre fois à longs jets en une seule soirée !

J’adorais le sucer, sentir son gland palpiter dans ma bouche, ces flots en frapper le fond, la remplir, me faisait parfois éjaculer tout en avalant ce liquide chaut au goût de noisette. Quant à Thierry, il resta, c’était facile, mon partenaire privilégié pendant longtemps ! Mais c’est une autre histoire, de celles qui sont rares mais sublimes entre frères...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 1 mars 7 01 /03 /Mars 14:05

Je m’appelle Pierre et je suis prof de français dans un lycée de la banlieue lyonnaise. Parmi mes élèves de terminale, j'ai une petite bande de loubards, menée par Martial, qui me donne beaucoup de fil à retordre. Martial a 18 ans et il est très beau. Il s'arrange toujours pour semer le désordre dans les cours. Ce garçon me trouble beaucoup et ça m'étonne. Ceux qui me plaisent habituellement sont fins, cultivés. Je ne suis pas du tout un homo honteux, mais j'ai des relations amoureuses souvent platoniques, ça correspond mieux à mon caractère. Pour tout dire, à 36 ans, je n'ai jamais pratiqué la sodomie. Je n'en ai pas envie. Je suis porté sur la masturbation réciproque et la fellation. L’essentiel pour moi, c’est que ça soit esthétique, que ça se passe dans un cadre choisi, avec un partenaire dont je sois follement amoureux. Les back-rooms des boîtes homos ce n'est pas du tout mon style.

Martial m'a tout de suite fait de l'effet malgré son côté petit mâle conquérant, ou peut-être à cause de ça... Mais enfin, ça n’empêchait pas que je lui fasse la morale quand il exagérait. Un jour je lui ai fait une réflexion désagréable au sujet de sa conduite et je l’ai même menacé du conseil de discipline. Il m’avait mis hors de moi. Il a réagi en me lançant un regard dur qui m'a fait un peu peur mais il n’a pas dit un mot.

Quelques jours plus tard, à la fin du cours, il m'annonce que ses parents voudraient me parler au sujet de son avenir. Il me propose de venir chez lui tout de suite pour les rencontrer. Assez curieux de connaître sa famille, je le suis sans méfiance. Il me conduit dans un immeuble tellement sale que j'ai du mal à croire qu'il est possible que des gens y vivent. Il a ouvert une porte et c'est seulement quand il l’a refermée derrière moi que j'ai compris que j'étais tombé dans un piège. Je me suis retourné. Il était appuyé contre le chambranle de la porte, un peu déhanché, un sourire aux lèvres.

— C'est quoi, déjà, que tu m'as dit l'autre fois ? Le conseil de discipline, c'est ça ?

— Où sommes-nous, ai-je demandé. Pourquoi m'avez-vous amené ici ?

— On est dans un immeuble vide, mon vieux. T'inquiète pas, y a personne autour. Tu pourras crier autant que tu veux...

— Vous êtes fou !

Je me suis rendu compte qu'il me tutoyait et que je le vouvoyais. J'ai senti une présence derrière moi : trois autres garçons sortaient de la pièce attenante, les trois loubards du cours ! Ils avaient le même sourire torve aux lèvres, les pouces passés dans la ceinture de leur jeans. Je me suis mis à trembler de peur.

— Le conseil de discipline, tu avais dit ? C'était pour rigoler, je suppose...

Martial m'a poussé par l'épaule jusque dans l'autre pièce. Elle était meublée d'un lit crasseux, d'une table et de trois chaises alignées côte à côte. Les trois types se sont assis.

— Vas-y, m’a dit Martial, debout, les fesses appuyées contre la table.

Je l'ai regardé sans bouger. Ma lèvre supérieure était moite de transpiration.

— Tu comprend pas ? Une pipe chacun... Voilà ce que ça veut dire. Je peux pas mieux t’expliquer. Si tu fais ce qu'on te demande, on te laisse partir tranquille... à condition que tu promettes de rien raconter, évidemment... Ah, et puis enlève tes lunettes ça va te gêner pour pomper...

J'ai obéi. Je suis très myope et sans lunettes je ne vois rien. Ça me paraissait plus facile de faire ça sans y voir.

— À genoux, mon vieux ! Et suce !

Les trois gars ont ouvert leurs braguettes et ont sorti leurs bites. Ils bandaient dur et je ne pouvais pas m’empêcher d’admirer les proportions de leurs sexes. Ils en avaient l’air fier, d’ailleurs. Je me suis agenouillé devant le premier et je l'ai pris dans ma bouche. Il a pesé sur ma nuque de toutes ses forces et j’ai eu un hoquet quand il a touché ma luette. J'ai voulu reculer mais il m’a forcé à rester.

— Suce bien, a-t-il dit d'une voix rauque. Je vais te lâcher tout dans ta petite gueule de prof... Tu as l'air moins con sans tes lunettes, tu sais ?

— Oui, a dit Martial, mais comme il a l'air plus con avec une pine dans la bouche, ça compense... Ça fait qu'au bout du compte il a toujours l'air aussi con...

Je me suis dit que plus vite j'aurais fini, plus vite je serais loin de ce cauchemar. J'ai pompé comme un fou et il a déchargé dans ma bouche. Il m'a tenu par les oreilles me les arrachant presque :

— Avale, salope ! Avale ! Ne laisse rien perdre.

Le second était enragé. Il me secouait la tête de toutes ses forces, entrant et sortant de ma gorge et je devais ramener les lèvres autour de mes dents pour ne pas lui arracher la peau de la verge. Quand il a éjaculé, je me suis écroulé par terre, à moitié évanoui. La voix ironique de Martial m'a ranimé :

— Tu en as encore un à pomper, mon vieux... Sans compter la suite... Allez au charbon !

Je ne sais pas comment je suis arrivé au bout du troisième. Enfin, j’ai avalé une nouvelle rasade de sperme et j’ai attendu «la suite». C'était simple : Martial m'a fait enlever mon pantalon en disant :

— Moi, je me réservais pour ton cul, tu vois... C'est pas tous les jours qu'on peut enculer son prof ! Tes puceau de là, non ? Eh bien, ça va être une grande première... Mets-toi à quatre pattes sur le lit.

J'ai fait ce qu'il me disait. Il est venu s'installer derrière moi, les mains accrochées à mes hanches. Il a enduit son gland de salive et l'a poussé doucement dans mon anus. Je me suis rétracté de douleur. Il a forcé un peu, s'est arrêté.

— Ça va ? Tu supportes ? Tu remarqueras que je suis gentil, hein ? J'y vais doucement... Je veux pas te le déchirer, je suis sûr que mes potes voudront en profiter après moi et je ne veux pas abîmer la marchandise... Décontracte-toi, ce sera plus facile.

Assez vite, il a réussi à me l'enfoncer. Pendant qu'il m'enculait je pensais à la soirée que j'avais passée la veille avec Mathieu dont j'étais amoureux : dîner aux chandelles et on avait parlé pendant des heures de peinture, d'une exposition que nous avions vue ensemble, de l’abstraction lyrique etc. Il était parti sans que j’ose aller plus loin. Et maintenant, j'étais là, en compagnie de quatre voyous qui me violaient. Et le pire c'est que je bandais ! La veille, soirée éthérée, et là, le sordide. Et encore plus sordide quand, après avoir éjaculé, Martial s'est retiré de moi en disant d’un ton dégoûté :

— Mon vieux, tu vas aller te vider le cul avant que mes copains s'y mettent... Je te dis pas ce que je ramène au bout de la queue...

Je me suis relevé, rouge de honte, les fesses nues et la verge qui oscillait au bas de mon ventre et je me suis dirigé vers la porte qu'il me montrait. Il y avait bien une cuvette de W.C. mais pas de chasse. Par terre, un seau de plastique rempli d'eau et un gros savon gris.

— Tu chies et tu te laves le cul qu'on puisse en profiter encore un peu. Accablé de honte et d'excitation, j'ai fait ce qu'il disait, puis, accroupi sur le seau, je me suis lavé. Il n'y avait pas de serviette de toilette. Je suis revenu, les jambes dégoulinantes d'eau. Un des voyous m'a disposé sur le dos, les genoux ramenés sur la poitrine en disant :

— Tu m'excuses mais je préfère comme ça... J'aime bien voir la gueule d’un mec que j'encule.

Celui-là est rentré facilement et, à ma grande honte, j'ai éjaculé sans qu’il me touche. Le garçon m'a étalé le sperme sur les lèvres, me forçant à lécher. Quand ils m'ont laissé partir, ils m'avaient tous enculé. Je suis rentré me coucher. Quand je suis revenu en cours, Martial s'est comporté comme si rien ne s'était passé et les autres aussi. Pas même un petit sourire ironique... Rien... C'était vraiment comme si rien n'avait eu lieu...

J'ai mis très longtemps à me remettre du plaisir que m'a procuré cette situation.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 28 décembre 7 28 /12 /Déc 13:19

Que reste-t-il surtout de ce séjour à Strasbourg, il y a deux ans pour les fêtes de fin d’année? Sinon le doux visage de cet énième adolescent que je me suis “fait” en deux temps et trois mouvements contre un mur d’immeuble sordide derrière la gare ferroviaire?

Un célèbre guide m’avait permis de dénicher les toilettes du centre comme l'un des rares lieux de drague alsacien. J’y étais au plus tôt. Rapide reconnaissance; une quinzaine de flâneurs, des types assez mûrs ou complètement insignifiants, visiblement habitués des lieux. On y fait mine de téléphoner ou d’attendre quelqu’un d’autre pour passer à côté, au parking, et rentrer chez soi une fois les courses faites!

J’allume tout de go un garçon d’environ dix-huit ans, sans bouton ni duvet sur un menton autoritaire, assez chic, vif et nerveux. Un beau blouson de mouton sous des cheveux impeccablement coupés à la garçonne. Une frêle nuque rasée et deux mignonnes petites oreilles bien dessinées qui se décollent à peine, juste assez pour être hyper-sexy. Un coup d’œil bleu clair, myope peut-être. À la fois sérieux, sévère et troublé, à vous mettre mal à l’aise. Si lui me repère je n’en laisse rien paraître. Tout autour on fonce sur lui et chacun se met en orbite en un secret ballet.

Il ne se laisse pas convaincre, biaise et va réellement pisser. Puis ressort comme si de rien n’était; était-il vraiment concerné? En tout cas, s’il n’aime pas les mecs, inutile de l’ennuyer, le coup n’est pas sûr. Je risque de me fourvoyer comme les autres. D’ailleurs, le voilà qui remonte vers les boutiques. Je me surprends à me perdre dans sa démarche, ce déhanchement souple et léger qui rebondit élégamment. Là-haut, le voici qui sort en se retournant vers moi dans la cage d’escalier. Ah!

J’embraye en douceur, grimpe également et le suis distraitement dans les allées. Il se retourne trop; c’est manifeste je lui plais. Mais quoi? Il quitte déjà le centre commercial? Je fonce, assez sûr de moi:

— Où va-t-on?

— Je suis pressé.

— Ne t’inquiète pas, on fera vite.

— Non... on m’attend ailleurs.

— Tu connais un coin tranquille?

— Par ici ce n’est pas possible.

— Bon eh bien suis-moi.

Il a une belle voix, sans aucun accent, un peu anxieuse mais parfaitement décidée: nous savons ce que nous voulons l’un et l’autre. Je ne vais tout de même pas lâcher un si beau morceau.

Au hasard des tristes rues désertes en cette fin d’après-midi d’hiver, je parviens à m’introduire dans la cour d’une entreprise de charbons. Il m’y suit mais nous nous faisons accidentellement enfermer. Il me rejoint dans une encoignure de bureau contre un tonneau défoncé. Même taille tous les deux. J’ouvre mon manteau, sans hésiter il vient s’y blottir. Super-patin bien tranquille; il me palpe tout de suite entre les cuisses et, rassuré, bien à l’aise, se laisse violer la bouche que je remplis de mon mieux.

— J’aime bien les gens comme vous. Vous êtes bien.

— C’est toi qui es gentil, je suis sûr que tu es aussi impatient que mignon. Fais voir comme tu es!

On devine un monstre qui déforme sa braguette.

— Pourquoi ne pas rester?

Trop dangereux à son goût. On ressort en enjambant le portail. On perd du temps, on perd du temps...

Trois minutes après, en traversant une petite place pleine de gravats, il me montre du doigt, sans un mot, le mince couloir que forment deux murs mitoyens. Ce sera là. On s’y dirige en observant discrètement les alentours. Personne. Il s’y enfile seul tandis que je surveille à l’entrée d’éventuels rôdeurs. Pas de problème, je le suis. Un peu vers le fond, appuyé contre l’immeuble de briques, il a déjà ouvert son blouson et dégrafé sa ceinture tandis que je l’enserre et l’embrasse avec avidité. Il aime, semble-t-il, et se laisse totalement faire. C’est le pied. Ma main court sous son pull et caresse son torse fragile et doux. Sous ses côtes, du bout des doigts, on entend son coeur battre la chamade. Quelle différence d’avec son flegme apparent! Il avait bien caché son jeu, le petit Père Noël! Je lui pince les seins. Le voilà qui se cambre un peu plus. Pas bavard, le garçon.

Et, sans guère attendre, il ouvre mon loden, retrousse ma veste, déboutonne mon pantalon, le fait glisser sur mes cuisses et vient saisir fiévreusement la hampe de mon sexe partiellement dressé hors du caleçon. C’est là-dessus et nulle part ailleurs qu’il se jette bouche grande ouverte pour m’avaler sans fausse honte. Voilà ce qu’il voulait. Je durcis vite, mon pieu s’allonge, se déploie et grossit au fur et à mesure que ses lèvres humides le parcourent. Dessous il sait où se promener et titiller du bout de la langue le fil qui conduit loin derrière. Visiblement très satisfait de ce qu'il suce et fort enclin à bien le faire. Absolument aucune pudeur.

Enfin il se redresse. Je me remets à fouiller sa bouche avide et tiède qui recrache une buée argentée. D’une main il me tire vers lui et me guide vers son bassin. Je n’attendais que cela: sans rien y voir, professionnellement je le dessape, je fouille dans son slip et glisse les mains qui se réchauffent à son adorable pubis, puis autour d’un tronc monumental en décalottant sereinement un énorme gland hors de toute proportion avec l'anatomie de son tendre propriétaire. En voilà encore un admirablement monté! Quelle chance!

Je m’agenouille en-dessous de son nombril à peine moussu, colle mes mains à ses fesses et son gland irréel contre mes lèvres. Punaise, quelle taille! Une véritable ogive. Impossible d'avaler davantage. Je ne pourrai jamais lui rendre le plaisir qu'il vient de me faire, d'autant plus qu'il bande comme un âne. Ce n’est pas la volonté qui me manque mais bien les capacités. Même ma main n’en fait le tour comme il le faudrait. Tout autour, une bonne odeur de savon frais et même, peut-être, un soupçon de parfum – je crois reconnaître "Grey Flannel". Bien élevé, ce jeune homme! Retour debout, au sommet, pour le lui faire comprendre. Je me perds dans sa bouche, c’est royal! Il embrasse bien et, plus bas, ne perd pas son temps en nous branlant ensemble. En regardant comparativement, j’aurais vraiment de quoi être complexé par la taille de son sexe luisant.

Il s’en fout et ne pense qu’à jouir. À tour de rôle on quitte alors nos lèvres pour s’occuper du reste. Vraiment il s’y prend comme un chef, c'est un délice! J’en profite pour abuser de la situation, le forcer à rester à genoux et à pomper davantage. Ce n’est pas très sympa d’autant plus qu’il a déjà fait beaucoup d’efforts et prouve sa bonne volonté exemplaire. Bon coup pour bon coup, autant se faire plaisir. Une fois encore je m'occupe du bout de son énorme queue tendre et frémissante qui me fait baver et me remplit la gorge; pour lui aussi c’est le pied.

Ses vêtements le gênent. Il remonte plus encore son blouson tandis que je le débarrasse carrément du pantalon. Surprise, légère résistance. Il me fait comprendre qu’il ne veut guère aller plus loin et certainement pas là où moi je l’entends. À y faire, c’est lui qui préférerait probablement me baiser.

Retour à la verticale. Je lui dévore l’oreille: "Suce-moi encore!" Il s’exécute comme un enfant, se laisse complètement retrousser, s’accroupit une fois encore et ne semble guère réaliser que le préservatif que je prépare lui est destiné. Je profite de son hésitation pour dégager sa tête en lui tirant les cheveux. Au bout de son nez, il voit mon sexe se protéger au latex avant de s’engouffrer à nouveau entre ses fines incisives blanches. Trop tard pour lui.

Quelques instants plus tard, il se laisse retourner et, docilement, pénétrer en douceur. Deux fesses sublimes comme n’en ont que ces éphèbes du sport et du désir. Entre ces deux collines pâles, glabres et douces, une vallée qu’il n’est même pas besoin d’ausculter. Tout est accessible du premier coup d’œil. Ignition! Target! Mon foret s’immisce déjà dans la douce cible de chair. Même s’il n’est pas habitué, ce n’est pas la première fois. Peut-être se dit-il que c'est le prix à payer lorsqu’on est jeune et trop bien monté.

Au bout de deux-trois minutes, il s’y est fait, se décontracte et s’assouplit. Lorsqu’il tourne la tête ce sont mes lèvres et ma langue qu’il rencontre:

— Bouge un peu pour voir. C’est ça, remue ton cul! Empale-toi! Enfonce-toi, enfonce-toi encore!

Faute de pouvoir y goûter davantage, quoique toujours impressionné par ses dimensions, je suis contraint de négliger le monumental instrument qu’il masturbe tout seul de ses mains frêles et osseuses, apparemment avec plaisir puisqu’il s’emboutit de plus en plus sur mon sexe bienheureux. Perchés en haut de ses cuisses d’airain, son cul et mon pieu monopolisent toute mon attention. Mon pieu dans son cul qui commence à aller et venir. Mon gros pieu qui fore par petits coups son petit cul. C’est devenu sauvage et nettement moins net. Il y a de petits bruits qui fusent dans cet espace glauque, poussiéreux, froid et humide. Ça y est, il retrouve son plaisir et me laisse le bousculer. Nous sommes pressés. Je m’excite plus violemment et le saisit à pleines hanches pour le transpercer. Lui s’active sur son mât de jouissance. Nous nous approchons sensiblement ensemble du même but. À grands coups de reins, mes testicules cognent contre les siens. Comme c’est bon! À nous retenir ainsi quelques instants encore, il saisit sa douleur puisque je ressors et rentre à nouveau quasiment de toute ma longueur entre ses ravissantes fesses dures comme du métal. Lorsqu’il se retient, elles se contractent tant que l’on devine les os du bassin en leur concavité. Je voudrais lui faire autant de mal que de bien... Trop tard!

Il se vide d'abord. Dans son plaisir qui dure, je sais qu'il va se resserrer une fois encore autour de mon sexe. Effectivement la gaine de velours se contracte pour ma plus grande safisfaction: c'est au milieu des spasmes que je le pousse une dernière fois et le rejoins.

On se rhabille dix fois trop vite. Plus le temps de rien.

— Qui a un mouchoir?

— Tiens, en voilà un.

— Tu me donnes une adresse?

— Pas possible, j’habite chez mes parents.

— Tu as un mec?

— Oui, en quelque sorte. Il travaille à Besançon mais on se retrouve de temps à autre chez sa sœur qui est une voisine.

— Quel âge?

— Lui, ou moi?

— Vous deux.

— Moi dix-huit et lui vingt-huit.

— Je veux te revoir.

— Pas possible.

— Si je te laisse mes coordonnées, tu me téléphoneras? Tu viendrais me voir à Paris?

— Pourquoi pas, donnez toujours...

Il me voussoyait encore. Au fond de ses yeux bleus et une dernière fois entre ses lèvres, j’ai même cru entendre un soupçon de merci. C’est sur ce "toujours..." indéterminé et maladroit qu’il est parti dans la nuit, mon petit Père Noël.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 23 novembre 7 23 /11 /Nov 14:19

Qui croit que nos écoles sont peuplées de chères têtes blondes a tout faux !

Je suis blond et j'ai 17 ans à l'époque des faits. Je suis pensionnaire dans un vieux collège privé. Nous avions encore dans les salles de classe, ces vieux bureaux à deux places, séparées par un tube métallique.

Pendant un cours de maths pour lequel j'étais passionné, mon voisin de bureau posa sa main sur ma cuisse nue. J'ai repoussé sa main, il l'a remise. Je l'ai repoussée une nouvelle fois avec un geste d'agacement. Il se pencha alors vers moi et chuchota à mon oreille :

- Regarde ce que je te donne, si tu ne dis rien !

Il avait en main un camion jaune et rouge en plastique. J'étais pensionnaire dans ce collège, parce que mes parents divorçaient et aucun des deux ne voulaient laisser la garde des enfants à l'autre. De ce fait, les jouets étaient rares pour moi. Je pris le jouet et il remit sa main sur ma cuisse.

Comme je ne bougeais pas il passa sa main sous le tissu de mon short. Ne pouvant pas aller bien loin il la retira et la posa sur mon sexe. Je sentis une vague de chaleur monter en moi et mon sexe devenir tout raide. Il ouvrit ma braguette, passa sa main dans l'élastique de mon slip et prit mon sexe entre ses doigts. Tout attentif à ce qu'il faisait je n'avais pas vu que les garçons des autres rangées n'en perdaient pas une miette. Pourtant personne ne nous dénonça.

Le soir, avant d'aller se coucher, on devait aller à la salle d'eau pour se laver les mains et les dents. Nous étions tous en slip blanc devant les lavabos. Un gamin de mon âge prit le robinet à côté de moi, se pencha vers moi sur le côté, posa une main sur mes fesses, l'autre sur mon sexe et me dit :

- A tout à l'heure !

Je ne comprenais pas encore ce qu'il voulait dire. Je suis allé me coucher et le surveillant du dortoir, après avoir fait sa ronde, partit en faire de même.

Quand tout fut silencieux un garçon s'approcha de mon lit. Il me tapa sur l'épaule, passa sa main sous les draps et la posa sur mon sexe. Il était déjà raide. Il ressortit sa main, la glissa dans son slip et fit apparaître le sien. Il le tendait vers moi et, de son autre main, il attira ma tête vers lui. Le gland était sur mes lèvres et j'ai compris qu'il voulait le mettre dans ma bouche. Ca n'avait pas de goût aussi j'ai sucé ça comme un bâton de sucre.

Il avait l'air d'aimer ça. Pendant que je le suçais, il a demandé à voir mon cul, nu. J'ai repoussé les draps, descendu mon slip, et j’ai exhibé mes fesses à son regard. Il n'a pas pu s'empêcher d'y mettre la main. Malgré ses 17 ans à peine le garçon avait un sexe d'une belle taille.

Le lendemain matin nous étions sous la douche et, contrairement aux autres jours, chaque élève vint prendre sa place à côté de moi. Ayant eu vent de mes exploits nocturnes, un par un, ils vinrent palper la douceur désormais légendaire de mes fesses. J'en ai passé des nuits a sucer des élèves, jusqu'au jour où ça n'a plus suffi. Maintenant ils voulaient plus. Une nuit ils sont venus à plusieurs, m'ont tiré hors de mes draps, et m'ont traîné vers le pied de mon lit. Un gars de chaque côté tirait sur mes bras et je me suis retrouvé courbé le torse sur le lit et les hanches plaquées contre le montant. Des mains ont écarté mes fesses et une avalanche de sexes m'ont pénétré. J'ai dû dormir à peine deux heures cette nuit-là.

Le lendemain, le surveillant me dit qu'après la nuit que j'avais passée il n'était pas étonnant que j'ai autant de cernes sous les yeux. Il dit aussi qu'il n'est pas intervenu parce que j'avais l’air d'apprécier et que le spectacle avait été magnifique.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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