L'histoire de la semaine

Dimanche 3 août 7 03 /08 /Août 14:43

— Des petites couilles de Julot, c'est comme des pralines ! Remarqua Fernand en tapotant les cuisses du garçon qui ronronnait dans ses bras.

Michel les regardait d’un air un peu moqueur. Ils étaient tous les trois complètement à poil, en pleine nature et profitaient du soleil en se caressant mutuellement.

Fernand avait réussi à convaincre Julot de les accompagner pour cette promenade et, comme on était mercredi après-midi, l’adolescent avait annoncé à la maison qu’il devait travailler à ses examens avec un condisciple. Il rentrerait pour le souper...

Fernand et Michel s'étaient concertés quelques jours auparavant, ayant subi en même temps et sans le savoir, le charme de l’éphèbe qui avait une grâce irrésistible... Avec ses grands yeux noirs sous des sourcils très fournis, un visage au teint basané, une bouche lippue et un corps gracile, Julot était le type même de la proie des pédérastes. Il ne l’ignorait d'ailleurs pas et sa sortie d’aujourd'hui avec ses deux aînés n'était pas une «première». À plusieurs reprises, des jeunes gens du lycée et même des hommes dans la rue. l'avaient entraîné qui chez eux. qui dans leur voiture, pour le caresser et le bécoter. Il trouvait cela fort plaisant surtout qu’en récompense on lui offrait très souvent des chocolats. Un jour même, celui qui l'avait soudoyé lui avait donné deux billets de cinquante euros !

L’intérêt n’était pas le seul moteur des vices auxquels il se livrait. Julot était incontestablement d’une nature homosexuelle. À l’occasion, et ses quinze ans lui ayant fait venir la tentation d'expérimenter ses ardeurs viriles, il avait fréquenté de jeunes pucelles. Mais ce n'était jamais lui qui avait pris l'initiative. II se laissait faire, savourant le contact des mains qui se promenaient sur sa peau, frissonnant lorsque des doigts s'approchaient du milieu de sa culotte, effleurant la bosse que faisait son sexe dans son slip rebondi par l'émotion.

Un après-midi une fille avait même voulu le violer ! Il s’était débattu en protestant et elle avait renoncé, le sentant réticent à l'égard des relations hétérosexuelles. Julot de son côté en avait éprouvé comme un soulagement. Les filles qu'il rencontrait le laissaient insensible et c'est alors qu’il chercha la compagnie des garçons et des hommes.

La toute première fois qu’il eut une aventure, ce fut comme une révélation.

— Dis moi, fit Fernand en devinant par hasard ce à quoi il songeait, ça fait longtemps que tu fricotes avec des types comme nous ? On dirait que tu as une certaine expérience ?

Julot repoussa les mains qui tripotaient ses testicules et renifla d'un air entendu. Michel s'était placé contre lui et se masturbait rêveusement.

— Au fait, renchérit-il, si tu nous racontais quelques unes de tes aventures ?

Julot mit ses mains pudiquement sur son sexe qu’il sentait battre délicieusement. Il bandait à moitié à cause des caresses qu'il avait reçues de Fernand. Il aurait bien aimé qu’on le fasse jouir mais il s’abstint de le faire comprendre car il craignait de trop exciter ses compagnons et d’avoir à subir leurs assauts conjugués.

— Ça va vous donner de drôles d’idées ! Fit-il en hésitant. Vous avez tous les deux la biroutte en l’air.

— Tu veux que je suce ? demanda-t-il naïvement à Michel qui se pétrissait de plus en plus vigoureusement. Je sais y faire tu sais ! Laisse-moi m'amuser, j’adore avoir une grosse bite dans ma main...

Fernand lui lança un œil furibond. Pendant un quart d'heure il avait voulu faire comprendre au garçon ce que celui-ci proposait à son complice.

— Et la mienne ? Jeta-t-il, elle ne te plaît pas ?

Julot promena son regard sur les deux pines dressées et dit avec une moue :

— Deux à la fois c’est un peu trop. Et puis je sais ce que je risque ! Vous allez me sauter dessus et c’est évidemment moi qui vais subir les conséquences ! Non merci, j'ai pas envie de rentrer ce soir en mauvais état !

Fernand éclata de rire en lançant un clin d'œil à Fernand.

— Comme si ça ne t’était jamais arrivé ! Gouailla-t-il. On voit très bien que tu n’as plus un cul tout neuf, gamin !

Il voulut renverser l’adolescent qui résista en s'agrippant aux épaules de Fernand.

— Laisse-moi, protesta-t-il. Je peux tout de même choisir ! Allez, je te fais une pipe ?

Et, sans attendre la réponse, il se laissa aller sur les bricoles de Michel, les empoignant à pleines mains sous les quolibets de son voisin de gauche qui appréciait la scène en ricanant.

— Fais-lui ce pompier ! Jeta Fernand. Après ça tu me suceras aussi. Cela ne t’engage à rien !

Julot avait une petite bouche toute ronde aux lèvres bien épaisses. Il pointa sa langue et lécha la biroute de son partenaire qui se laissa aller en arrière.

— Fernand, prévint-il, tu as l’œil ? On est bien isolés dans ce bosquet mais on ne sait jamais, si quelqu’un s’approchait, préviens-nous qu’on se gare !

Julot lui tripotait délicieusement les couilles en les faisant rouler dans leur sac et, de ses doigts, il effleurait la hampe dressée, remontant petit à petit vers l'extrémité dilatée et couverte de sécrétion huileuse.

— Ça te fait du bien, comme ça ? Lança-t-il en regardant Michel dans le blanc des yeux. T'en as une bien grosse, elle est plus grosse que celle de Fernand.

— Ça ne veut rien dire ! Objecta celui-ci. On verra bien qui jutera le plus fort !

Vexé, Fernand se détourna. Mais il ne pouvait s’empêcher de tendre l’oreille pour écouter les soupirs que poussait Michel dont la queue baignait dans la bouche du petit Julot. Le bruit des lèvres et de la bite remuée l’excitait au plus haut point. Il se caressa machinalement, sentant des spasmes qui remuaient ses entrailles et faisaient battre son cœur furieusement. Julot pompait consciencieusement la verge de Michel et il avalait de temps en temps le liquide qui s'en écoulait, mêlé à sa salive. Quant à Michel il s'était arc-bouté, ses mains glissées sous ses reins qu’il griffait nerveusement.

— C'est extra ! Soupira-t-il. Tu es un bon petit suceur, mon Julot. Vas-y, continue, ça ne va pas durer longtemps avant que je m’éclate ! Je sens mon sperme qui commence à monter ! Oui, oh, lèche moi bien, suce à fond, gamin !

Fernand les considéra d'un air méprisant. Il avait envie de cogner. Julot remuait sa croupe et ondoyait au-dessus de Michel qui sombrait progressivement dans sa béatitude.

— Ça vient ! Jeta-t-il, suce, suce plus fort ! Oh, oh oui...

Il donna une ruade qui repoussa l'adolescent en arrière et sa bite fichée au fond du gosier se déchargea au milieu de ses grognements. Julot se releva au bout de quelques instants et se frotta la bouche.

— J'ai tout avalé. C'est délicieux. Mais qu’est-ce que tu m'en as mis ! Encore un peu. je le recrachais, ton jus !

Fernand soupira en grognant. Sa main restait immobile sur son truc en l'air. Julot le remarqua et pivota sur son postérieur.

— Attends un peu que j'aie digéré le foutre de Michel, dit-il en riant, j’ai pas envie d'avoir l’estomac plein ! C’est que c’est nourrissant ce truc-là !

Michel demeurait étendu, savourant son bien-être.

— Dis donc, lança Fernand, tu ferais mieux d’avoir l’œil toi aussi. Surveille les alentours !

Julot s’était couché sur son ventre et jouait avec ses breloques. Sa main était toute mouillée et collante. Il la serra autour de la hampe qui s'impatientait. Et Fernand, comprenant que son tour était venu, s’abandonna béatement.

— Gare à toi si tu t'y prends moins bien qu'avec lui, dit-il en donnant une bourrade au gamin. Tu me le paierais cher !

Mais la bouche de Julot n'avait rien perdu de ses capacités. Le gland allongé s'écrasait contre ses lèvres prêt à être englouti.

— Qu’est-ce que tu attends ? Grogna Fernand.

Et d’un coup de rein vers le haut il s’enfonça dans la cavité jusqu’au fond du gosier qu’il sentit se refermer sur son bout. La scène à laquelle il avait assisté et son désir trop longtemps contenu l'avaient poussé à bout. Il éjacula presque aussitôt dans la bouche de Julot qui se récria en écarquillant les yeux.

— Ben toi ! Tu étais pressé !

Il n'avait pas eu le temps d'ingurgiter le liquide dont la flaque visqueuse maculait son menton, s’égouttant mollement sur son torse. Michel, entre-temps, avait repris du poil de la bête. Il se moqua de Fernand, le traitant de lapin et gloussant en prenant Julot à témoin.

— C'est un juteur-minute ! Moi, je n'appelle pas ça jouir convenablement !

L’adolescent n’était toutefois pas mécontent car la perspective de devoir avaler deux giclées successives l’avait préoccupé. Lui-même était fort excité et sa verge effilée se dressait au-dessus de ses couilles encore menues.

— C’est toi ou c’est moi qui le branle ? Jeta Michel en rampant jusqu’au gamin la main tendue. Fernand le repoussa rudement.

— C’est moi, dit-il en couvrant le sexe de Julot. Tu permets, Camarade, tu me dois bien ça. c'est moi qui l'ai amené avec nous, non ?

Julot se trémoussait. Il s’inquiéta soudain en sentant que Fernand le forçait à se coucher sur le ventre.

— Ah non! cria-t-il en serrant les fesses. Tu ne vas tout de même pas m'enculer !

Michel ne bronchait pas. Les mains de son ami avaient écarté les rondeurs de l'arrière-train et, d'un doigt sans merci, il fouillait dans le creux de la crevasse à la recherche de la rosette qu’il n’eut aucune peine à prospecter.

— Tu as un guichet bien rôdé ! Constata-t-il en y enfonçant l'index. Il y a certainement déjà eu des tas de birouttes là-dedans !

— Restreins ! Gronda Michel. Le pauvre mec, tu vas lui donner des complexes !

Fernand se calait sur le dos de Julot incapable de l'écarter.

— Oh, gémit-il, ne me fais pas mal surtout ! Mouille bien ta queue avant d'entrer !

Fernand cracha dans sa paume et enduisit son bout de salive bien grasse. Il se planta d'un coup bref entre les reins et pénétra le fourreau, aux cris redoublés du gamin qui appelait Michel à la rescousse.

— Il me défonce ! Geignit-il en grattant le sol de ses doigts crispés. Ça fait... Oh oui ! rectifia-t-il brusquement. Comme ça, c’est bon !

Fernand le ramona lentement, cherchant du regard les yeux impassibles de Michel qui se réjouissait secrètement de lui succéder dans cette position. Lorsqu’il se vida dans le cul de l'adolescent il hurla si fort que Michel lui donna un coup de poing dans les côtes. Tout de suite Fernand s’effondra dans l’herbe.

— Si le cœur t'en dit ! Jeta-t-il. C'est divin ! Oh merci mon petit Julot, on a fait le tour complet !

Michel prit sa place mais sa biroutte, plus robuste, eut quelque difficulté à pénétrer la gaine bien que celle-ci fût huilée par le sperme qu’elle venait de recevoir. Ils se séparèrent et Julot rentra chez lui comme si de rien n'était, non sans convenir avec ses deux compagnons de se revoir prochainement...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 27 juillet 7 27 /07 /Juil 11:54

Soissons, le 20 mars 2012


Ma petite Maman chérie,

Pour commencer, joyeux printemps ! C'est avec un grand plaisir que je viens te donner de mes nouvelles. J'espère que tu te portes bien et que Mamie va mieux. Ici tout se passe bien pour moi. Quand tu as dû partir de toute urgence rejoindre Mamie après son infarctus, j'ai bien vu que tu avais peur de me laisser seul avec Bruno. Je reconnais que j'ai eu du mal au début à accepter que tu remplaces Papa par un autre homme et que la coabitation entre nous n'a pas été toujours facile. Je ne voulais pas qu'il se prenne pour mon père et je le rendais responsable de votre divorce, mais maintenant que je suis grand (déjà 17 ans !), je comprends que les choses de la vie ne sont pas si simples. Et certains événements survenus depuis ton absence m'ont fait évoluer... Tu es ma mère mais tu es aussi une femme, je l'admets désormais et Bruno est un beau-père plutôt cool.

Cool il l'a été dès le début de ton absence. Il se promène dans la maison avec un vieux slip blanc pour tout vêtement ! Il m'a demandé si cela me gênait, j'ai bien sûr répondu par la négative. Pas de fausse honte entre hommes ! Je me suis moi-même mis à l'aise, mais avec des boxers colorés, plus sexy à mon goût. Je m'amusais en silence en distinguant des traces jaunâtres sur le devant du vieux slibard : pas vraiment la classe ! MDR ! D'autant plus que l'élastique un peu lâche laissait apercevoir parfois les couilles poilues ! PTDR ! Son gros paquet compensait cette absence de glamour. Je ne suis pas gay, mais je suis curieux comme tous les gars. J'ai bien remarqué que l'on se mate tous dans les vestiaires et sous les douches, pour se rassurer ou comparer. Je me demande même si les hommes ne sont pas plus obsédés par la bite que les femmes. Tous les hommes. A propos, dis donc jolie Maman, tu ne serais pas une petite coquine ? Il est plutôt bien doté, le Bruno. Je me suis même demandé si tu n'avais pas quitté Papa parce qu'il ne te satisfaisait plus sexuellement ! J'espère que tu n'es pas choquée de mes propos, mais en t'écrivant je peux te dire des choses que je n'oserais jamais formuler face à face. Je ne suis plus un enfant, tu n'es pas une hypocrite et nous connaissons tous deux les vertus incomparables de la franchise. Tu m'as appris à ne pas mentir, aussi vais-je te dire toute la vérité. Je t'aime trop, Maman, et je te respecte trop encore pour te cacher quoi que ce soit, pour occulter le moindre détail.

Le lendemain soir de ton départ précipité, j'ai surpris Bruno en train de se masturber devant un film porno ! Je n'ai pas été choqué, ce sont des choses naturelles, si tu pouvais voir les vidéos que je regarde sur mon ordi, le soir dans ma chambre ! Oh, tu serais étonnée, ma petite Maman chérie. Quand il s'est rendu compte de ma présence, il ne s'est pas dissimulé, ne s'est pas excusé. J'ai beaucoup apprécié son honnêteté, le fait qu'il assume. Tu sais que pour moi rien ne vaut l'honnêteté et que le pire crime est l'hypocrisie. Je suis un garçon moderne, rien ne me choque. Nous sommes en 2012, tout de même ! Il m'a fait un grand sourire qui m'a incité à m'asseoir à ses côtés sur le canapé blanc. Je lui ai demandé en riant s'il était déjà en manque, il me répondit sur le même ton, par l'affirmative, en précisant qu'il avait d'énormes besoins sexuels. Ce qui confirme mon hypothèse, petite coquine !

En garçon libéré et décomplexé, je l'ai félicité sur la taille de son engin. Il m'a dit qu'il faisait 21 centimètres, je ne l'ai pas cru. Il ne faut pas exagérer, tout de même ! Il m'a alors demandé de mesurer, et il avait raison ! Tu l'avais déjà mesuré, Maman ? Je n'étais pas gêné par le fait de toucher sa bite, ce n'est pas sale et c'est un morceau de chair comme un autre. Mais je n'avais pas prévu que ce contact me ferait bander ! Bruno s'en est rendu compte illico, vu que j'étais en boxer (tu sais, celui avec des bananes, que tu m'as acheté chez Carrefour le mois dernier). Il m'a dit de l'enlever, qu'on était entre hommes et que je serais plus à l'aise. J'étais flatté que Bruno me considère comme un homme, Papa me prend toujours pour un petit garçon, il est gentil, mais parfois il fait ch.... Nous avons donc regardé le film en nous branlant. Une fausse blonde siliconée se faisait prendre par deux Blacks. Je me demande toujours pourquoi les actrices porno gardent leurs chaussures rouges à talons aiguilles quand elles baisent. Cela ne doit pas être très pratique... Tu le sais, toi, Maman ? Tu fais la même chose ?

Bruno a dit que le dernier à juter aurait un gage. J'ai accepté, car je suis un peu joueur et je me demandai quel serait ce gage. Je suis assez curieux, aussi. La curiosité intellectuelle est une grande qualité. Il a gagné, ce n'était pas très juste car il avait commencé à se branler bien avant moi. Tu ne devineras jamais en quoi consistait le gage ? Lui nettoyer la bite avec ma langue ! Il m'a lancé çà avec un air de défi. J'ai cru voir qu'il s'attendait à ce que je proteste, mais je ne suis pas un dégonflé. Ah, il voulait me mettre mal à l'aise, et bien c'est moi qui allais le surprendre ! Je me suis jeté littéralement sur sa bite et j'ai commencé à activer ma langue. Il a poussé un grand cri, son gland après l'orgasme était très sensible. Il avait fixé le gage, tant pis pour lui ! Il a essayé de repousser ma tête, mais je ne me suis pas laissé faire. Non, mais ! Je l'ai torturé un long moment et il a fini par se rendre. Il avait bien juté, le salaud, j'ai tout récolté avec ma petite langue rose, puis en le fixant dans les yeux, j'ai ouvert ma bouche pleine de foutre, avant de la fermer et de la réouvrir, vide cette fois ! Tu vas rire, je venais de tout avaler ! Ce n'était pas très bon, c'était chaud et très amer, mais je voulais lui prouver que j'étais plus fort que lui et que s'il voulait me destabiliser, il n'y arriverait pas. D'ailleurs son regard sur moi avait brusquement changé, sans doute était-il impressionné par mon audace et mon absence de préjugés.

Bruno a été très sympa, comme je n'avais pas joui, il m'a branlé. Il m'a dit que j'avais une belle tige. Ce compliment de la part d'un superbe étalon m'a comblé de plaisir. Bruno est vraiment sympa ! J'ai joui rapidement sur ses doigts, que j'ai ensuite léchés en le défiant du regard. Il m'a dit que je suçais bien. Je me suis mis en colère, je ne l'avais pas sucé comme un PD, je l'avais nettoyé suite à un défi, cela n'a rien à voir ! Il m'a donné facilement raison. La soirée s'est ensuite passée plus classiquement, mais dans une bonne humeur accrue. Bruno n'était plus seulement mon beau-père, il était aussi mon pote. Dans la nuit, je me suis réveillé hyper-excité en pensant à cette scène d'anthologie, et j'ai dû me caresser pour pouvoir me rendormir, enfin apaisé. Même au lycée, j'ai dû aller me branler deux fois aux toilettes car j'avais la trique en permanence, ce qui est douloureux, tu peux me croire.

Le lendemain soir, il m'a demandé en riant si je voulais voir un DVD. J'ai tout de suite compris qu'il pensait à un film de boules. J'ai accepté bien sûr, au nom de la complicité familiale. Nous étions déjà bien plus à l'aise. Il a mis ma main sur sa bite et j'ai fait de même. La masturbation est ainsi plus intéressante... Nous nous sommes rendus compte que nous n'avions pas les mêmes façons de nous caresser, c'était à la fois amusant et enrichissant. Il a ensuite fait pression sur ma tête pour que je le suce. J'en avais envie, mais je n'osais pas. Je me suis laissé faire, sans fausse honte, je reconnais que j'attendais ce geste. J'en ai été bien récompensé car il m'a rapidement interrompu pour me pomper à son tour. C'était une grande première pour moi, j'ai adoré immédiatement. Il me suçait le dard, me léchait les testicules avant de me le caresser l'anus avec sa langue. Je ne sais pas Maman si on te l'a déjà fait, mais c'est divin ! La peau est si sensible à cet endroit... Vraiment, je te le recommande, tu le mérites !

Il m'a mis à quatre pattes, la tête tournée vers la télé. J'étais ému. Je ne voyais pas ce qui se passait derrière mon dos, mais je devinais bien que j'allais perdre mon pucelage anal. Je pensais garder ce pucelage toute ma vie la veille encore, et là j'étais prêt à me faire casser la rondelle, j'en avais envie plus que tout autre chose au monde. Le vie est étrange, tu ne trouves pas, Maman ? Le proverbe a bien raison, il ne faut pas dire "fontaine, je ne boirai pas de ton eau". J'ai bu le jus de mon beau-père et celui de... Mais j'anticipe, je te le dirai plus bas. Tu vas être bien surprise, ma chère Maman... Bruno m'a encore léché l'orifice secret un bon moment pendant que je regardais un brune se faire prendre par trois types en mêmes temps. Impressionnant ! J'étais un peu jaloux. Elle avait trois trous à combler, moi seulement deux. Je ne sais pas si tu te rends compte de ta chance, petite veinarde ! Un doigt, puis deux, se sont introduits. Je ne me suis pas plaint lorsque le gland a forcé mon petit trou. Je suis un homme maintenant, j'ai supporté la longue et lente pénétration de l'engin monstrueux. J'ai gémi mais je n'ai pas crié. Tu aurais été fière de ton fiston !

Rapidement Bruno a oublié que j'étais puceau et il m'a défoncé de toutes ses forces. Et tu es bien placée pour savoir qu'il est fort ! J'ai dégusté, ça je peux le dire, et dans tous les sens du terme. Il s'est amusé à sortir sa bite et à la rentrer brusquement. Après quelques allers-retours, mon trou ne se refermait plus et il rentrait son sexe en moi sans coup férir. Il m'a demandé où je voulais qu'il jouisse, et je lui ai dit de me remplir le cul. C'est venu tout seul, mais j'avais un peu honte et j'étais soulagé qu'il ne voit pas mon visage. Il a explosé dans mes entrailles et cette explosion a provoqué la mienne. Je sentais dans mon ventre son liquide chaud qui me remplissait et me fécondait. J'ai compris que je n'oublierai jamais ce moment-là. Il s'est effondré sur moi et je suis tombé à plat ventre. Nous sommes restés ainsi longtemps enlacés, sa bite toujours enfoncée dans mon cul qui coulait. Nous avons fini tout de même par nous relever et nous sommes embrassés. Je n'avais jamais imaginé embrasser un homme, mais j'ai tout de suite aimé. Sentir sa langue exploratrice, sa force, sa barbe de trois jours qui irritait ma peau, m'a fait rebander aussitôt. Nous avons dormi ensemble cette nuit-là dans votre lit. Enfin, quand je dis dormir, tu me comprends, Maman adorée...

Tu dois être bien satisfaite d'apprendre que ma première fois se soit si bien passée. J'imagine que tu devais être un peu inquiète à ce sujet, te voilà rassérénée. Tout s'est passé en famille, je connais ton attachement aux valeurs familiales traditionnelles. Je m'en suis moqué plus d'une fois, tu t'en souviens sûrement. C'est normal, je suis jeune, mais tu peux voir qu'en fin de compte, je les respecte. Je reconnais de bonne grâce que tu avais raison. Famille, je t'aime ! Cela doit être inscrit dans les gênes, telle mère tel fils !

Bien sûr, d'aucuns diront que ce dépucelage par mon beau-père n'est pas très normal. Mais tu sais comme moi que "normal" signifie seulement "qui correspond à des normes", et que les normes changent suivant les époques et les pays. Heureusement, ce qui était normal au Moyen-Age ne l'est plus de nos jours, et les normes à Soissons ne sont pas les mêmes qu'en Papouasie. Tout est subjectif. Il ne faut donc pas juger les autres. Je dirais plutôt que mon dépucelage est normal, mais pas très traditionnel, c'est tout. Tu n'es pas de mon avis, petite Maman ?

Je ne me sens pas gay. Bruno m'a expliqué que l'effet d'une queue sur une prostate est irrésistible et que le plus homophobe des machos, une fois dépucelé, supplierait pour qu'on continue à le défoncer. C'est vrai que j'adore maintenant avoir une grosse queue vigoureuse dans le cul. On ne pas peut pas limiter son plaisir. Ce qui est bon est juste, non ? Te voilà sans doute rassurée sur ma sexualité, mais je ne préoccupais pas, tu es si cool ! Je sais combien tu es tolérante et ouverte d'esprit. De toute façon, je ne vois pas pourquoi un homme qui fait l'amour avec un autre homme, serait moins viril que celui qui couche avec une femme. Au contraire, cette lutte entre deux mâles pleins de testostérone, ces deux forces qui se toisent, s'affrontent et se compénètrent, qui y a-t-il de plus viril ? Une question me taraude l'esprit cependant. Les femmes n'ont pas de prostate, il me semble, mais dans les films elles adorent se faire prendre par derrière. Elles simulent ou elles éprouvent vraiment du plaisir ? Je te le demande à toi, ma chère Maman, car tu es la plus à même répondre à ce genre de question. Je ne suis pas sûr que Mamie apprécierait cette question, il est vrai qu'elle est d'une autre époque.

Tu vas rire ! Je me sentais mal à l'aise avec Bruno, ce mec qui était un étranger, qui remplaçait mon père et vivait avec nous. J'avais peur de me sentir exclu dans ma propre maison. Et bien figure-toi qu'il m'a dit que ce qu'il préfère chez toi, c'est moi !!! Cocasse, hein ? Depuis le début, mes lèvres bien dessinées et mon cul musclé l'ont séduit ! Souvent, quand il fait l'amour avec toi, il pense à moi ! Qui l'aurait deviné ? Il me l'a confié en riant. Il attendait depuis des mois l'occasion de m'initier. Tu n'as plus à t'inquiéter, tant que je vis à la maison, il n'est pas prêt de te larguer ! Et Bruno n'est plus un étranger ! Une bite dans le cul, ça crée des liens... Bruno a de gros besoins sexuels, mais ne t'inquiète pas, il me défonce plusieurs fois par jour, et je peux te jurer que je ne laisse pas une goutte de sperme dans ses couilles ! Je le vide bien à fond, tu peux me faire confiance. Il ne risque pas de te tromper avec une femme !

Tu ne devineras pas ce qui s'est passé il y a trois jours. Papa a voulu nous faire une surprise et c'est lui qui a été surpris ! Bruno était en train de me baiser férocement, comme à son habitude, et il a tout vu par la fenêtre! Tu aurais vu la tête de Papa ! Il était tout rouge et bafouillait des propos incohérents. C'était à mourir de rire... Je comprenais quelques insultes et autres gros mots, lui qui me reprend dès que je dis des grossièretés ! Il a voulu se jeter sur Bruno pour le frapper, mais ce dernier, plus fort, a eu rapidement le dessus. Il l'a ceinturé par derrière avec ses bras musclés. J'en ai profité pour baisser son pantalon. Il bandait ! J'ai fait glisser son slip devenu trop petit et je l'ai sucé avec ardeur et déjà une certaine expérience. Il a joui dans ma mignonne petite bouche sans tarder. Avaler le sperme de son propre père, qu'imaginer de plus excitant ? Est-ce une forme de cannibalisme ?

Son sperme avait un goût différent de celui de Bruno. Tous les hommes ont-ils un goût unique ? Je crois que personne ne s'est "penché" sérieusement sur le sujet. Il faudra que j'avale le jus de centaines de mecs pour tirer des conclusions incontestables. Je pourrais même peut-être rédiger une étude ? Qui me rendrait célèbre ! J'aimerais tellement être celui dans la famille qui laisse notre nom à la postérité ! Tu pourrais aussi m'aider, avec ton expérience ! Le goût du sperme a-t-il changé avec la pollution, les habitudes alimentaires différentes ? Est-il le même suivant les régions, les pays ? Dis-moi tout, Maman ! Bien-sûr, je te remercierai dans la préface. Mamie pourra quant à elle nous parler des années 50 et 60. Elle m'adore et ne peut rien me refuser. D'ailleurs, elle est toujours prête à évoquer de vieux souvenirs pendant des heures. Je vous imagine, Papa, Bruno, Mamie et toi assis sur le canapé blanc du salon en train de m'admirer quand je passerai à la télé ! J'imagine votre fierté ! Et la jalousie des voisins ! Oh, je crois bien que je viens d'avoir une idée géniale ! Le sperme développerait-t-il les capacités intellectuelles ? Qu'en penses-tu, Maman ? Tu es la femme la plus intelligente que je connaisse...

Papa était un peu honteux de m'avoir rempli la bouche de son jus chaud, mais il était calmé. Je l'ai embrassé avec amour. Il a posé quelques questions, il voulait savoir depuis quand Bruno me fourrait. Nous lui avons répondu avec plaisir. Je me suis demandé s'il n'était pas un peu jaloux de Bruno, s'il n'aurait pas voulu me dépuceler lui-même. Je le comprends, après tout je suis son fils unique, il avait donc une option sur mon cul, tu ne penses pas, Maman ? Il a recommencé à bander, excité par nos réponses. Bruno a guidé sa bite vers mon cul. Il a fermé les yeux en murmurant "non", pour la forme, mais s'est laissé faire. Quel bonheur ! Après avoir eu sa queue dans ma bouche, je l'avais dans les fesses ! Trop cool ! Il s'est rapidement déchaîné et m'a baisé comme un possédé ! Sa bite est moins longue que celle de Bruno, mais plus large. Donc, tout aussi efficace. Mais je ne t'apprends rien Maman ! Il était tellement fasciné par mon joli petit cul qu'il ne s'est pas rendu compte que Bruno, la queue en rut, s'approchait dangereusement de son propre derrière. Ses cris lors de l'intromission du terrible engin dépuceleur étaient autant causés par la douleur que la surprise, la honte et la rage. Il m'a un peu déçu : quand je me suis fait dépuceler, moi, j'ai mis un point d'honneur à tout supporter en silence ! Il a bien essayé de se libérer, mais nous l'en avons empêché. Il a fini une fois de plus par se rendre. Et il ne l'a pas regretté. Il m'a rempli le trou mignon à ras bord quand Bruno a éjaculé dans son cul qui s'ouvrait enfin à l'amour. J'ai de la chance par rapport à Papa de découvrir le plaisir anal à 17 ans et non comme lui à 42 ans. Je vais pouvoir en profiter plus longtemps. J'ai moi-même joui sans me toucher. Je dois reconnaître, ma chère petite Maman adorée, que tu sais choisir tes hommes ! Félicitations, petite coquine !

Papa rougissait, il était devenu un enculé, et ce devant son fiston. Je l'ai embrassé et Bruno est venu se joindre à nous. Se rouler une pelle à trois, je ne croyais pas cela possible, mais nous y sommes arrivés. Pour terminer la soirée en beauté, j'ai baisé Papa pendant qu'il suçait Bruno. J'étais si fier de pénétrer mon père, cet homme musclé et poilu, tellement plus fort que moi. Entendre ce colosse pousser des petits cris de plaisir, le voir se cambrer et encaisser mes coups de reins rageurs, il n'y a rien de plus jouissif. Grâce à l'ouverture effectuée par Bruno, je pouvais sortir ma bite de son trou et l'enfoncer d'un seul coup sans rater la cible. Son cul est chaud, doux, parfait. Papa est resté manger et nous avons bien déconné. Une soirée entre hommes réconciliés par la bite et en famille, que demander de plus ? Nous avons dormi tous les trois dans le lit conjugal, serrés mais tellement heureux ! Quel charmant tableau. Dommage que tu n'aies pas pu nous voir...

Bruno, qui a toujours de bonnes idées, m'a conseillé d'inviter un pote à venir dormir à la maison. J'ai choisi Arthur, mon ami d'enfance. Tu le connais, un pur bogosse. Il se vante toujours de ses conquètes féminines, il était temps que son cul lui donne autant de plaisir que sa bite. Avant de comprendre ce qu'il lui arrivait, Arthur s'est retrouvé avec la bite de Papa dans la bouche et celle de Bruno dans le cul ! Mon moment préféré a été lorsque Bruno me prenait pendant que Papa tringlait mon pote. Nous nous embrassions tous les deux. Je lisais le plaisir dans ses yeux. La honte et le plaisir, mais surtout la honte du plaisir. Comme il avait prévu de rester toute la nuit, nous nous sommes bien amusés, tu peux me croire. Papa a dormi avec Bruno et moi avec mon copain. Arthur m'a pris et moi aussi je suis entré en lui. C'était génial, l'apothéose d'un amitié vieille de 10 ans. Il reviendra dormir chez nous souvent, si tu le veux bien. Ses parents sont d'accord. Ils nous font confiance, ils prétendent que j'ai toujours eu une influence bénéfique sur leur fils. Je sais que toi aussi tu l'apprécies. Quant à Papa, il est plus heureux que jamais. Je ne souviens pas l'avoir vu si épanoui quand il était avec toi. Il devait lui manquer quelque chose. Il sourit, chantonne et siffle comme jamais. Il fait vraiment plaisir à voir. Je suis fier d'avoir un père tel que lui. Il aimerait bien revenir s'installer à la maison. Bruno et moi sommes d'accord. La maison est grande, dis oui, s'il te plaît gentille Maman !

Bon, je te quitte, je dois me faire un lavement. Bruno a invité son patron et il affirme que grâce à moi, le poste de numéro deux dans l'entreprise, libre depuis peu, sera pour lui. Bruno pense que son patron qui n'a jamais baisé avec un mec, va avoir une révélation en me baisant à fond et qu'il ne pourra plus rien lui refuser. Si ce n'était pas le cas (mais j'ai confiance en mes capacités), les photos que Bruno prendra dans le feu de l'action sauront bien le convaincre. En tout cas, je vais donner le meilleur de moi-même, mon cul et ma bouche avides. Je suis un peu stressé par la responsablité, mais c'est important la famille. Chacun doit s'impliquer pour le bien-être de tous. Vous avez tant fait pour moi, il est normal que je participe à mon tour. J'aimerais tant être pour toi le fils idéal... Sur ces bonnes paroles je te dis à bientôt et je te fais de très gros bisous.

Ton fils qui t'aime et t'embrasse tendrement, Benjamin.

 

P.S. Tu peux montrer la lettre à Mamie. Je sais qu'elle s'inquiète facilement, et qu'elle doit se faire du soucis de me savoir seul avec Bruno. Elle croit que les hommes sont incapables de se faire à manger (c'était le cas de Papy !) et doit nous imaginer en train de mourir de faim. Il ne faut pas qu'elle stresse, avec ses problèmes cardiaques...

P.P.S. Ah, j'oubliais ! Bruno m'a dit qu'avec un cul comme le mien, il y avait de l'argent à se faire. J'en connais une qui va avoir un beau cadeau pour la fête des mères !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 20 juillet 7 20 /07 /Juil 14:11

Je passais mes mois de juillet à la campagne chez mes grands parents. Les années se suivaient et je ne savais pas encore que tout allait basculer l'année de mes 14 ans.

 

J'étais arrivé depuis plusieurs jours et je jouais comme souvent avec Colette, une fille de mon âge de la ferme d'à côté. Une fin d'après midi son frère Bruno, un garçon de 16 ans, est venu la chercher. Je ne l'avais encore jamais vu. Je ne m'étais pas non plus vraiment encore posé de question sur ma sexualité. Quand Bruno m'a dit bonjour en me serrant la main deux choses se sont passées en moi. Je ne pouvais pas lâcher sa main et je sentais ma queue gonfler dans ma culotte courte. Je bandais au contact de ce garçon.

Bruno me dit :

— Il y a un problème ?

— Pourquoi ?

— Tu me lâches la main alors.

En même temps qu'il disait ça, ses yeux s'étaient braqués sous ma ceinture et je compris qu'il avait vu que je bandais.

— Comment t'appelles tu ?

— Je m'appelle Laurent.

— Et bien Laurent je pense qu'il va falloir que l'on fasse franchement connaissance. On se voit demain ?

— Oui Bruno, comme tu veux.

Il partit avec sa sœur, sans manquer de se retourner et de me jeter un regard.

 

Toute la soirée, je pensais à lui et à ce trouble que je ressentais. Que m'arrivait-il ? Jamais je n'avais eu spécialement d'attirance pour un garçon mais là, de toute évidence, Bruno m'attirait vraiment. Plusieurs fois dans la nuit je me suis branlé en pensant à lui. Mes draps s'en sont souvenus le matin.

 

Le lendemain vers 14h, Bruno arriva et me demanda si je voulais aller me balader avec lui. Rien que de le voir je me sentais tout excité. Je demandais à ma Grand-mère qui donna son aval. Bruno et moi sommes alors partis nous promener et faire connaissance. Il m’emmena dans les champs. Durant la balade nous parlions de tout et de rien. Je buvais ses paroles et mes yeux ne quittaient pratiquement jamais son visage. Il était blond, cheveux un peu longs, des yeux bleus et les traits de son visage étaient d'une finesse à rivaliser avec la plus belle fille. Ce qui devait arriver arriva et notre conversation vira à parler sexe.

— Laurent, tu as déjà couché avec une fille ?

— Non, Bruno.

— Un garçon alors ?

— Non plus.

— Tu préfères les filles ou les garçons ?

— Je ne sais pas.

— Moi j'ai une petite idée.

— Ah bon ?

— Hier quand je suis venu chercher ma sœur, je suis convaincu que je t'ai fait de l'effet.

— Non, non Bruno, dis-je sans aucune conviction. Il avait bien vu que j'avais bandé.

— Tu sais Laurent, il n' y a pas de mal à bander devant un garçon. Tiens, je suis sûr que si je fixe ta culotte courte de mes yeux, tu vas te mettre à bander.

Il fixa mon entrejambe et ce qui devait arriver arriva. Je me mis à bander devant le regard de ce superbe garçon.

— Tu vois, tu bandes...

J'osai lui dire :

— Toi aussi je crois.

— Oui Laurent, moi aussi je bande.

Il posa sa main sur mon paquet comme pour s'assurer que je bandais bien.

— Bruno, qu'est-ce que tu fais ? dis-je en reculant un peu.

En fait je trouvais cela très agréable et je n'opposai aucune résistance.

— Je confirme Laurent, tu bandes.

— Bruno, je peux faire pareil ?

— Oui, Laurent.

Je posai ma main sur son paquet et là, une sensation inconnue envahit tout mon corps. Mon sexe redoublait de taille.

— Eh bien Laurent, je vois que cela te fait de l'effet !

Mon excitation était à son comble, je pris son visage dans mes mains et posai mes lèvres sur sa bouche.

— Hé Laurent, maintenant je suis sûr que je te plais.

Avec ma langue j'écartai ses lèvres pour l'embrasser à pleine bouche. Pendant ce temps là, nos mains farfouillaient dans nos slips. Je découvrais à quel point la peau d'une queue était douce et chaude. Nos sexes étaient à l'étroit dans nos slips qui tombèrent à nos chevilles. Nos tee-shirt s'envolèrent, nos deux corps se mirent à se frotter et nous sentions nos deux sexes faire connaissance en même temps que l'on s'embrassait avec fougue.

 

Bruno commença à explorer mon corps avec sa bouche en descendant lentement vers mon sexe. Arrivé à son niveau, il le saisit avec une main et l'enfourna dans sa bouche. C'était la première fois qu'on me suçait. J'étais aux anges et je trouvais cela divin. Ses lèvres allaient et venaient sur mon sexe. Il décalottait mon gland avec sa main et le léchait avec énergie. Je poussais des petits cris qui l'incitaient à augmenter la vitesse de ses va-et-vient. Soudain, sans que je puisse me contrôler, j'ai senti mon sperme monter et dans un cri ultime j'ai envoyé tout ce que j'avais en moi dans la bouche de Bruno. Il continua à me sucer tant que ma queue continuait ses soubresauts. Il dégagea la bouche de mon sexe et je vis alors tout mon sperme qui était dans sa bouche et qui coulait le long de son visage. Il se releva et m’embrassa à pleine bouche pour me faire partager ce que je lui avais donné. J'étais en train de boire mon sperme qui sortait de la bouche d'un garçon !!! C'était génial.

— Ça t'as plu, Laurent.

— Oh que oui, Bruno et je n'ai qu'une envie c'est de recommencer.

Il me prit une folle envie de sucer sa bite et de goûter à son sperme. Sans même qu'il ne me le demande, je me jetai littéralement sur son sexe que j'engouffrai dans ma bouche. Ça y est, j'ai sa queue dans ma bouche. Que c'est bon ! Instinctivement je me mis à faire des va-et-vient sur sa bite. De ma main gauche je me branlais. Je sentais son sexe grossir et avoir des pulsions dans ma bouche. Il se mit a émettre de petits cris et sans plus de retenue, il envoya tout son sperme dans ma bouche. Je découvrais la chaleur et le goût à la fois salé et âcre du sperme de Bruno. Un garçon venait de jouir dans ma bouche !!! Je compris alors que mon attirance sexuelle allait vers les garçons. Je partageais le sperme de Bruno avec lui dans un long et inépuisable baiser.

Les jours suivants, nous avons souvent recommencé jusqu'au jour où nous sommes allés plus loin. Mais c'est une autre histoire. Je n'avais pas encore 15 ans mais mon appétit sexuel était déjà bien orienté.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 13 juillet 7 13 /07 /Juil 14:50

En ce 14 juillet, comme chaque année, je me démène comme un fou. Et oui, pas de repos pour un pompier ! C'est notre bal, le fameux bal des pompiers, et les sommes récoltées durant cette nuit nous motivent. Elles peuvent être très intéressantes... En outre, c'est sympa, nous aidons les gens à s'amuser, à danser, à ... draguer. Nous nous occupons de la buvette au rythme d'une musique entraînante, même si elle ne correspond pas toujours à mes goûts personnels... L'ambiance est toujours bonne enfant, quel autre uniforme est aussi populaire que le nôtre chez les Français ? Ce bel uniforme met en valeur nos culs musclés, et s'il est difficile de conclure le soir-même à cause du travail, nous trouvons toujours le moyen de danser un peu avec des nanas trop bonnes et nous récoltons quelques 06 pour consommer plus tard... J'ai en déjà trois, j'espère bien battre Gabriel cette année. Il faut dire que si on aime les grands bruns baraqués aux yeux bleus, je suis l'homme idéal. Je suis jeune, j'ai 25 ans, et je m'amuse ; il n'y a pas de mal à cela. J'aime la chatte, les gonzesses aiment ma grosse bite... J'ai tout le temps pour me ranger et fonder une famille (une femme, deux gosses, un chien). Ce programme m'effraie. La vie est trop courte pour se prendre la tête.

Bien sûr, l'alcool aidant, au cours de la nuit, il faut parfois intervenir pour calmer quelques excités. C'est la partie la moins gratifiante de la soirée, mais bon, c'est notre devoir. Tiens, justement il y a trois jeunes qui draguent une jeune fille (hum, beau cul...) et semblent trop lourds. Entre 18 et 22 ans à première vue, look et attitude de racaille. Ils doivent venir de la cité Jean Jaurès, nous avons déjà eu là-bas des problèmes avec des feux de poubelles allumés intentionnellement afin de nous attirer et de nous caillasser. Prudent, je m'approche avec deux autres collègues.

— Bonsoir, un problème, mademoiselle ?

— Non, ces messieurs allaient partir. N'est-ce pas ?

Le regard lourd de menaces, les trois cailleras (deux beurs et un latino apparemment) se retirent après nous avoir toisés en marmonnant des propos incompréhensibles mais sûrement peu amènes. Je discute un peu avec la jeune fille au beau cul. Bingo ! J'ai mon quatrième 06... Accroche-toi Gabriel, le bogosse number one est dans la place ! Envie de pisser, je dédaigne les W.C. qui doivent déjà puer l'urine et m'approche d'un arbre, en lisière d'un petit bois. J'aime la nature. Alors que je me soulage, j'entends :

— Enculé !

Cela provient de l'une des trois cailleras. Le plus jeune des deux beurs. Il est seul, ses copains ont dû partir. Foi de David, je ne vais pas me laisser insulter par ce petit morveux ! Moi, le mec viril, musclé et tatoué, un enculé ! Je m'égoutte et vais vers lui, prêt à en découdre. Il ne bouge pas, il me regarde, les bras croisés, tranquille, en souriant, comme s'il m'attendait. Si le p'tit con veut la bagarre, il va être servi.

— Ça t'arrive souvent d'insulter les gens ?

— C'est pas une insulte, c'est une promesse !

Avant que je ne puisse réagir et comprendre ce qu'il m'arrive, ses deux copains surgissent par surprise, les traîtres ! et me font tomber violemment. Quel con ! Je suis tombé dans leur piège grossier tête la première. Couché au sol, je n'arrive pas à me relever et essaie juste d'éviter les coups au visage. À trois contre un, je n'ai aucune chance, les lâches... Ils me redressent et m'emmènent dans le petit bois. Il m'obligent à m'agenouiller.

— Ah ! Tu nous as cassé notre coup ? Tu crois qu'on va rentrer à la cité les couilles pleines ? On va se les vider. Dans ton cul de fouteur de merde... On va t'apprendre à t'occuper de nos affaires !

Mon pantalon est descendu, mes autres vêtements à moitié déchirés. Je suis à poil devant des inconnus, j'ai honte... Et je devine déjà que je ne vais pas cesser d'avoir honte, cette nuit. J'avais raison, mes agresseurs sont deux beurs, Hakim 22 ans, Adel 18 ans, et Joao 20 ans, sans doute d'origine portugaise. Au début, je ne les prends pas au sérieux. Il ne vont quand même pas me violer ! Ils ne sont pas homos, j'en ai eu la preuve ! Des mecs hétéros ne violent pas un homme, c'est impossible. Ils veulent juste me faire peur. Mais ils baissent leurs pantalons, leurs caleçons et me tendent leurs grosses bites à pomper. Quelle horreur ! En plus, ils sont tous les trois montés comme des ânes ou des acteurs pornos, c'est bien ma veine. Hakim, qui semble être le chef, m'attrape par la nuque et présente sa queue devant ma bouche. Je résiste. Il appuie alors sa chaussure contre mes couilles. J'ouvre la bouche. Putain ! Il aurait pu se la laver avant, le porc ! Je ne sais pas si je suce ou si je nettoie sa bite! Pour ma première pipe, je suis gâté ! Moi qui n'aime pas le fromage. Comme si la situation n'était pas déjà si terrible et humiliante...

— À fond, salope !

J'ai du mal à tout emboucher, il semble oublier que c'est ma première plume. Non, en fait il s'en branle. Il s'enfonce encore plus et je crois que je vais vomir. Ou mourir étouffé. Je ne peux malgré la situation dramatique m'empêcher d'imaginer le faire-part de décès : Judith et Simon L. ont la douleur de vous faire part du décès de leur fils chéri David, mort tragiquement étouffé par une trop grosse queue. Sans fleurs ni couronnes. La gloire posthume, quoi... Hakim n'est pas satisfait de ma prestation, si j'en crois les deux claques dans la gueule que je reçois... Quel salaud !

— Applique-toi, ordure ! Ce n'est pas tous les jours qu'une pute comme toi a la chance de déguster un si gros morceau !

Je m'applique. Puisque je ne peux pas éviter de le pomper, autant éviter les torgnoles. Et je commence à me dire que j'ai intérêt à le faire jouir avec ma bouche, pour éviter que mon cul de puceau (et qui entend bien le rester) ne prenne la place.

— Ah tu vois, quand tu veux... Elle est bonne la salope ! Je suis sûr que la pouffiasse de tout à l'heure suce moins bien. On a rien perdu au change, au contraire les gars...

— Ouais, dépêche-toi de jouir Hakim, on attend...

En effet, Adel et Joao se branlent en nous matant. Ils s'échauffent, m'insultent, rient. Hakim souffle de plus en plus fort, même si je n'ai pas d'expérience, je comprends qu'il va jouir. J'essaie de me retirer, mais il prend ma tête entre ses grosses paluches et me tient bien. L'inévitable se produit, le fils de pute jouit dans ma bouche.

— Tu vas tout avaler, sinon je ne me retire pas !

J'obéis. De toute façon, la majeure partie de son jus a fini directement dans mon estomac. C'est chaud, épais, gluant et amer... en résumé dégoûtant. Comment des filles peuvent-elles avaler ? Il doit falloir qu'elles soient drôlement amoureuses... Joao prend la place vacante dans ma bouche. Elle est propre et je me prends à apprécier.

— Ouais , ça c'est de la salope de compétition ! Lèche mes grosses couilles, toutes les filles de la cité en sont dingues...

Heureusement, comme il se branle depuis dix minutes, la pipe ne dure pas trop longtemps. Moi qui suis circoncis comme Hakim et Adel, je ne peux pas m'empêcher de jouer avec son prépuce. Il apprécie l'initiative et encourage ma bonne volonté.

— Ouais, je l'avais bien dit... Toutes les truies succombent au pouvoir de ma queue !

Il jouit des litres de sperme. Je sais que c'est impossible, mais c'est l'impression que j'ai. J'en avale le plus que je peux afin d'éviter les représailles. Il en reste encore un. Pour me donner du courage, je me dis que j'ai fait les deux tiers du taf, que le cauchemar va bientôt se terminer. En fait Adel est le plus vicieux. Il prend son temps. J'essaie de le faire gicler rapidement, la langue est de plus en plus agile (j'apprends vite) mais il ne l'entend pas ainsi. Il alterne sauvagerie et douceur. Il me fait caresser et lécher ses couilles rasées. Elles sont si douces... Il prouve qu'il est le maître en me biflant. C'est très dégradant et cela fait rire grassement ses potes.

— Baise-lui la gueule à ce bâtard, Adel ! Qu'il comprenne ce que c'est qu'un vrai mec !

— Oui, qu'il ait dans la bouche le foutre qu'il n'a pas dans les couilles...

Il finit enfin par se vider au fond de ma gorge endolorie par ces trois terribles braquemards. C'est un vrai soulagement. Je ne sais pas pourquoi je bande. J'ai mal à la mâchoire. J'aurais au moins appris ce soir que le foutre n'a pas le même goût chez tous les mecs, il est plus ou moins amer suivant les mecs. Je préfère celui d'Adel... Mais qu'est-ce que je raconte, moi ?

Je crois que mon calvaire est terminé. Ils se sont vengés, vidés les burnes ; ils ont gagné, j'ai perdu.. Ils vont rentrer dans leur cité, fiers d'eux, et moi je sais que je ne pourrais jamais oublier cette humiliation... Le problème c'est que Joao et Hakim rebandent après la pipe magistrale imposée par Adel. Hakim me fait mettre à quatre pattes. Pas besoin d'être grand clerc pour deviner ce qui m'attend.

— Non, par pitié ! Je vous donnerai du fric ! Je n'ai pas grand chose, mais je vous le donnerai !

— Vous entendez, les mecs ? Tu nous prends pour qui ? On ne veut pas de ton aumône ! Tes pièces jaunes, tu te les gardes pour la vioc fétichiste des sacs à main !

— Hypocrite ! Si tu crois qu'on n'a pas vu que tu bandes ! Si tu prends ton pied avec une bite dans la gueule, imagine comme tu vas t'éclater avec nos zobs dans le derche.

À quatre pattes, je ne vois pas ce qui se passe derrière moi et c'est encore plus inquiétant. J'entends Hakim cracher. Il crache sur mon anus vierge et sur sa grosse queue. Je connais très bien sa taille. Hélas !

— Au secours ! Elle est trop grosse. Cela ne rentrera jamais !

Joao me gifle.

— Tais-toi ou l'on va devenir méchant...

Je serre les dents et les fesses. Hakim presse sauvagement les roustons. J'abandonne la résistance. Au moins, l'honneur est sauf. Je cède sous le nombre et la violence. Je vais être un enculé... Ça y est ! Hakim est en moi. Il a fait sauter ma pastille. C'est atroce. C'est une brûlure ! Non, une déchirure ! Ou les deux à la fois. Comment les homos peuvent-ils aimer cela ? J'ai l'impression que je vais mourir empalé, écartelé. Dès le début, Hakim se défoule comme un malade, sans la moindre compassion pour mon anus vierge.

— Aïe, pitié, moins fort ! C'est la première fois... Tu me casses le cul !

— Heureusement que c'est la première fois ! Tu nous prends pour qui ? On baise pas les PD ! Tu la sens bien, hein, ma pute ? Je vais tellement t'élargirr la rondelle qu'elle ne se refermera jamais !

— Ouais, vas-y Hakim !

Comme s'il avait besoin d'encouragements !

— Je vais te féconder, ma petite salope ! Ça vient, je te fais un bébé, prends tout...

— Non, s'il te plaît, ne jouis pas en moi...

— Trop tard ! Je t'engrosse ! Je te la lubrifie bien avec mon jus, Joao !

Je sens ses giclées chaudes dans mon cul. Quand il finit par se retirer, mon cul fait des bruits obscènes. Je sens le jus couler, ils se moquent. L'humiliation est totale. Je crois que se faire remplir est encore pire que le viol. Respectant son doute leur hiérarchie, Joao est encore le deuxième. Il s'allonge sur le dos et me fait m'asseoir sur son zob. J'entre le gland lentement, mais impatient, Joao me saisit par les hanches et s'enfonce d'une traite dans mon cul douloureux.

— Fais pas ta pucelle ! T'es un enculé. Répète !

— T'es un enculé !

Je n'ai pas pu m'empêcher. Une bonne gifle me fait regretter ma provocation.

— Je suis un enculé...

— Encore, putain !

— Je suis un gros bâtard d'enculé qui se fait baiser dans les bois par de beaux salauds ! T'es content, ça te va ?

— Ouais... Descends, remonte plus vite... C'est bon, coulisse bien sur ma tige. Ce n'est pas moi qui te baise, c'est toi qui te baise tout seul... T'aimes ça, hein ? Branle-toi, traînée...

On s'habitue à tout, paraît-il, en tout cas je n'ai plus mal. Je ressens de drôles de sensations, pas déplaisantes pour ma plus grande honte... Joao finit enfin par se vider dans mon cul. Je perçois ses épaisses et nombreuses giclées chaudes. Il se retire et j'ai l'impression que mon trou ne se referme pas. Qu'il ne se refermera plus. Adel, l'imaginatif Adel, s'approche. Que me réserve-t-il ? Il me fait mettre sur le dos. J'ai les jambes sur ses épaules musclées et tatouées.

— Écarte tes lobes ! Je vais te baiser comme une femelle ! Je veux que tu me regardes. Regarde-moi !

J'obéis en me disant que ce sale petit con de merde est beau comme un dieu. Je suis hétéro, mais je reconnais qu'il est splendide à virer su cuti. Adel me fait l'amour. En effet, contrairement à ses potes, il recherche mon plaisir. Il alterne violence et douceur, il rentre et ressort sans arrêt de mon fion. Cela me procure à chaque fois de torturantes sensations. Je gémis, je bande à en souffrir. Je commence à me branler mais mon violeur coince mes bras au dessus de ma tête.

— Non ! Les vraies salopes jouissent du cul. Tu ne vas pas te toucher, mais je vais te faire jouir du cul et de la bite. Et c'est vrai ! J e ne peux plus me retenir. J'éjacule comme un damné six jets sur mon ventre devant mes ennemis qui se marrent. Que c'est humiliant. Les contractions de mon cul ont raison de l'endurance de celui qui abuse de moi. Je me fais remplir le derche pour la troisième fois... Quel dépucelage ! Ce n'est plus un cul que j'ai, mais une fontaine à foutre, tant le jus coule. Mes agresseurs se rhabillent en riant. Il parlent entre eux comme si je n'existais pas. Ils semblent satisfaits d'eux-mêmes. Ils voulaient baiser ce soir et ils se sont livrés à leurs plus bas instincts comme ils n'auraient jamais pu le faire avec une fille. Je me dis que le cauchemar est enfin fini. J'ai tort.

— Allez, on ne va pas se quitter comme cela !

Hakim commence à me pisser dessus. Horreur et infamie ! Joao se marre et fait la même chose.

— On est charitable, on n'allait pas te laisser couvert de foutre ! On te nettoie bien, remercie-nous !

— Merci...

— Après les couilles, viens te vider la vessie, Adel.

— Non, j'ai pas envie de pisser...

— Tu ne sais pas ce que tu manques !

Enfin la douche dorée prend fin. Hakim dit à Adel de prendre mes vêtements, (l'uniforme dont je suis si fier !) et ils m'abandonnent après quelques dernières insultes de rigueur. Ils emportent aussi mes papiers et les clefs de ma caisse et de l'appart. Je n'en peux plus. Je pleure. Les hommes ne pleurent pas, mais là, nu, pisseux, la bouche amère, l'anus défoncé, je n'ai plus aucune force. Impossible de retourner au bal ou chez moi. Les collègues ont du se dire que j'étais parti tirer ma crampe à l'écart avec une gonzesse. Pour la première fois de ma vie, je ne sais pas quoi faire. Je me sens perdu comme un gosse qui aurait perdu sa maman. Je suis seul et j'ai beau réfléchir, je ne vois aucune solution. Il faut que je fasse quelque chose, je le sais bien, mais je suis vidé de mes forces.

J'entends des brindilles piétinées. Je ne relève même pas la tête. Ils reviennent. Pour quoi faire ? M'achever ? Ils ont peur que je ne porte plainte ? J'ai beaucoup trop honte. Une main se pose sur mes cheveux courts, les caresse doucement. Je lève les yeux. Adel ! Avec mon uniforme, mes papiers et mes clefs ! Et avec dans les yeux une expression... Il me tend la main. Je l'accepte. Nous sommes debout l'un en face de l'autre. Il me fixe, sérieux et inquiet avant de me prendre dans ses bras. Je me laisse aller. Je me sens enfin bien. Le monde me semble moins hostile. Il m'embrasse dans le cou. J'ai presque honte d'être couvert de la pisse de ses copains. Je finis par prendre l'initiative et je lui roule une pelle. Nos langues se confondent, nos dents s'entrechoquent, c'est doux et violent. À mon tour, je lui arrache ses vêtements. Sauvagement. Il bande. C'est beau un mec qui bande... J'appuie légèrement sur sa tête et il comprend. À genoux, il fixe ma bite. La première qu'il va sucer et faire jouir un inconnu. Non, nous ne sommes plus des inconnus... Il est déstabilisé. Cette nuit nous a changés à jamais, lui comme moi. Pour le meilleur ou pour le pire ? Il assume ses nouvelles pulsions et me pompe passionnément. Je pue la pisse mais cela ne semble pas le gêner. J'ai été mieux sucé dans ma vie, je dois le reconnaître... Il est évident que Adel est novice dans le noble art de la fellation, mais jamais je ne me suis senti si excité. Je l'encourage avec des petits mots d'amour.

— Hum, tu es une bonne salope, tu veux me faire jouir, c'est bien, mais moi j'ai envie de te remplir ton autre trou...

Je ne vois pas Adel rougir mais je le devine. Il se met sur le dos et relève ses jambes. La position qu'il choisit lui-même pour son dépucelage...

— Écarte tes miches !

Adel obéit. Je me penche et bouffe un cul pour la première fois. C'est poivré, pas dégueu... Adel gémit, se contorsionne, fou du plaisir que je lui donne. J'enfonce un doigt qui entre comme dans du beurre dans mon petit beur. OK, je sors... Mais pas de son cul. Je pointe enfin ma queue sur sa pastille et je m'enfonce d'un seul coup. Pas par vengeance, seulement parce que je sais bien désormais que la douleur est inévitable mais passagère. Alors, autant y aller franco. Adel crie. Pour son bien, je lui mets mon slip dans la gueule et continue à m'enfoncer toujours plus loin. Quand je vois qu'il supporte mieux l'intrusion, je retire le sous-vêtement. Quelques larmes s'écoulent de ses beaux yeux noirs

— Oui, pleure ton pucelage perdu ! Pleure cette bite qui de défonce et te déforme car tu ne seras plus le même après...

— Elle est grosse... Je la sens bien. Tu me fais mal, tu me fais du bien, c'est fou...

Je me retire d'un coup sec.

— Non, remets-là ! Remplis-moi !

— Ouais, je vais te remplir de ma liqueur d'homme ! Oh, je te baptise, mon beau salaud !

Je me vide dans son cul et lui aussi éjacule des litres de foutre sur son ventre. Je m'enfonce le plus possible et nous nous roulons une pelle intemporelle.

— Ton beau salaud s'appelle Adel.

— Oui, je ne suis pas sourd, j'ai entendu tes potes, Hakim et Joao... Moi c'est David.

David ? Il réfléchit, observe ma bite circoncise et comprend. Il semble hésiter une semi-seconde avant de m'embrasser à nouveau. Je me sens bien. J'aime sa force, égale à la mienne. Sa virilité me comble. J'ai toujours joué avec les filles le rôle du protecteur. Quelle plénitude d'avoir une épaule solide désormais à ma disposition ! Sa force remédiera à mes moments de faiblesse, de doute, et réciproquement. Nous serons invincibles. Je crois que je suis amoureux de mon violeur, de cet adorable petit con... Et j'ai l'impression que c'est partagé. Il parait aussi surpris que moi de ce qui nous arrive. Nous nous sentons seuls au monde, enlacés comme si nous voulions nous fondre l'un dans l'autre. Rien ne pourra nous séparer. Nous sommes tellement épanouis dans la joie de notre découverte que nous n'avons pas entendu les pas qui se rapprochent, se rapprochent et nous rejoignent...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 6 juillet 7 06 /07 /Juil 13:57

Je me présente rapidement : je m'appelle David, je suis en terminale L et j'ai 18 ans. Je suis plutôt mince et mignon, j'ai les yeux bleus et je suis gay, même si personne ne le sait. Il y a quelques mois, en plein milieu de l'année, un nouveau est arrivé. Il s'appelle Baptiste. Il est très sociable et s'est intégré à la classe en quelques semaines. C'était de loin le mec le plus beau que j'avais jamais vu de ma vie : grand, élancé, sexy, gueule d'ange, blond aux yeux bleus, il était remarquable. Quelques jours après son arrivée, il est venu s'asseoir à côté de moi en cours d'espagnol, même s'il y avait de la place partout autour. Nous avons commencé à parler et nous sommes découvert plein de choses en commun. Il sent l'homme, sa voix est super sexy, un petit peu railleuse. Une beauté extraordinaire comme ça ne passant pas inaperçu, il est rapidement devenu la cible de beaucoup de filles au lycée, ce qui ne semblait pas lui être indifférent (il devait être habitué, ceci dit). Nous parlions beaucoup par messages, et il me racontait des histoires avec ses meufs, comme quoi son fantasme absolu était de faire l'amour sous la douche. Il me faisait rêver, je me branlais souvent le soir en pensant à lui. En cours de sport, dans les vestiaires, il enlevait toujours son haut et laissait apparaître un torse divin, totalement imberbe, ses abdos bien dessinés. Il jouait au baseball à très haut niveau. Un jour, il vient me parler pendant la pause.

-       Mec j'suis désolé de te demander ça comme ça, mais j'ai grave besoin d'aide en philo, est-ce que tu peux venir m'aider demain soir ? Comme ça tu peux dormir à la maison, mes parents ne sont pas là !

Je lui réponds que oui. C'est mon pote, après tout. Et j'ai un niveau plutôt pas mal en philo. Le soir, il m'envoie un message pour me dire de venir chez lui vers 19h parce qu'il a entraînement avant. Je lui réponds presque immédiatement qu'il n'y a pas de soucis. Je le verrai peut-être sortir de la douche, qui sait. Le lendemain, vers 18h30, je pars de chez moi – je n'ai que quelques arrêts de bus avant d'arriver chez lui – et finis par arriver dix minutes en avance, car, d'habitude, le bus étant en retard, je prends toujours du temps pour écouter de la musique. Je sonne à la porte, et il m'ouvre quelques secondes après, encore entièrement en tenue de baseball. Son visage est trempé de sueur, et sa tenue le rend encore plus sexy. Son pantalon blanc ultra-moulant laisse deviner ses cuisses superbement musclées et aussi une jolie bosse. J'essaie de ne pas trop me focaliser dessus de peur qu'il me crame. Il est torse nu, ce qui n'est pas facile. Je commence à bander mais je me cache avec mon sac. Il part prendre une douche. Je n'arrête pas de penser à quoi son corps doit ressembler sous la douche ! En sport, quand il est en caleçon, son membre a l'air déjà assez conséquent au repos. Il revient habillé d'un jogging et d'un t-shirt blanc transparent. On fait de la philo pendant à peu près deux heures, et on parle du désir. Je sais de quoi je parle ! A un moment, on sature tous les deux et on décide de s'en arrêter là. Il est 21h. On mange vite fait devant la télé. On commence à parler et la conversation s'oriente assez vite vers le cul. Il me raconte des histoires avec sa dernière copine en date, d'il y a un mois ou deux. Il a l'air sauvage, dans ses histoires, et ça me fait bander. Heureusement, il ne le remarque pas.

-       Tu sais, des fois je rentre de l'entraînement tellement vidé que j'ai même pas la force de me branler la queue, il me dit.
-       Là, tu peux pas ? je demande en rigolant.
-       Je sais pas, faut voir.

Avant que j'aie pu dire quoique ce soit, il se lève et chope un DVD en à côté du canapé. Il le joue et c'est un film de cul avec deux mecs qui baisent une fille, très salope.

-       J'ai toujours rêvé de faire ça, me dit-il.
-       Quoi, tu veux dire baiser une meuf avec un autre mec ?
-       Ouais, je serais grave excité !

Il commence à bander et ça se voit. Et ça me plaît.

-       Ça te dérange si je me fous à poil ?
-       Pas du tout !
-       Fais pareil alors.

Son ton est ferme, un peu dominateur. Il commence à se branler avec concentration, mais son bras fatigue vite. Du moins c'est ce qu'il me fait croire. Sa bite est superbe : 23 bons centimètres, assez large et un gland très appétissant.

-       Tu veux que je te branle ?

Qu'est-ce qui me prend de poser cette question comme ça ?

-       Je le savais !
-       De quoi ?
-       Depuis que t'es arrivé tu me mates la queue. T'es pédé ?
-       Ouais.

Il ne devait pas s'attendre à ce que je réponde si franchement. Il me regarde droit dans les yeux et se met à sourire d'un air pervers.

-       Tu veux me la bouffer hein ?

Je lui lance un regard défiant. Mon dieu ce que j'en ai envie. Je lui enlève son caleçon gris et m'agenouille devant lui. Il croise les bras au-dessus de sa tête et me regarde m'appliquer sur sa queue. Je l'approche de mon visage ; je le branle doucement, il commence à gémir. D'un coup, je lui englobe le gland. Il se crispe et lâche un fort gémissement de plaisir. Puis, je l'enfonce doucement toujours plus profond jusqu'à ce que mon nez touche son pubis poilu.

-       Putain t'es une vraie salope, tu suces mieux que mes meufs.

Je ressors sa bite de ma bouche et entame alors un long et doux va-et-vient, lui titillant le gland avec ma langue. Il ne me regarde plus, il a foutu sa tête en arrière et gémis fortement. Je me demande comment ses copines le suçaient pour qu'il gémisse autant maintenant. Je suis excité comme un âne, à poil, agenouillé, à sa merci. Je lui bouffe les boules, et, soudain, il me prend la tête entre ses mains et me fait aller à son rythme : il me démonte la bouffe, je gémis comme une salope. Il m'insulte et ça m'excite, et je sais que ça l'excite lui aussi. « Tu la kiffes, hein, p'tite pute va », « elle est bonne ma queue ? », « j'vais te niquer ta chatte ». Au bout de quelques minutes, il me dit « je vais te jouir dans la bouche », et il pousse un grand cri de jouissance en me regardant fixement dans les yeux avaler son sperme chaud et agréablement bon. Il paraît surpris, d'ailleurs. « Mes copines voulaient pas avaler… Tu dois vraiment être une grosse chienne toi ». Il a déjà débandé. Je regarde sa queue qui ramollit, et, comme s'il lisait dans mes pensées, il me dit : « T'inquiètes, c'est pas fini. Je vais te bouffer le cul et je vais te baiser ta chatte de salope. Vas te préparer sur le lit, j'arrive. » Je monte, complètement à poil, plus excité que jamais. Il me suit, et, alors que je monte l'escalier, me fout une claque sur le cul. « P'tite pute ». Je souris, et je m'allonge sur le lit, sur le dos. Je me demande ce qu'il est en train de faire. Quand il rentre, je comprends. Il a revêtu ses vêtements de baseball. Ça m'excite et je lui lance un regard de grosse chienne. « Je savais que tu allais kiffer quand j'ai vu ton regard tout à l'heure ».

Il se jette sur moi et me retourne violemment. A mon oreille, il susurre « maintenant, tu es à moi », avant de me bouffer le trou. Ses coups de langue me font frémir. Il insère un doigt, puis deux, puis trois. Je gémis si fort : il ne m'a même pas pénétré que je jouis déjà. Lui s'applique énormément et me couvre d'insultes qui nous excitent tous les deux. Mon cul est bien dilaté, et il présente son gland devant mon orifice offert. Il rentre d'un coup violent. Ses 23 centimètres se font ressentir, je hurle de douleur. Il se presse contre moi et ne bouge plus trop, me laissant le temps de m'habituer. Il me dit « détends-toi, tu vas voir, tu vas kiffer ». Au bout de quelques minutes, la douleur est passée, et il entame un va-et-vient plutôt doux. Nous gémissons en cœur. Ses cuisses parfaites et musclées sont collées contre les miennes, je ressens sa chaleur ardente. « Tu kiffes, hein ? Putain, t'as une meilleure chatte que mes meufs, je vais te remplir ton trou », et tout ce que je peux répondre est un « oui » de jouissance absolue. Il va de plus en plus vite, ses couilles frappent mon cul, nous hurlons de plaisir. Pendant une bonne demie heure, il continue, me mets sur le dos, en missionnaire, ne me ménage pas, mais c'est trop bon. Je me dis qu'il ne jouira jamais mais, à un moment, son corps entier se crispe, mon cul se resserre sur sa bite et nous jouissons en même temps, lui dans mon cul et moi sur ses draps sans même me toucher. « Ça te plait, hein, mon foutre dans ta chatte ? » Il se retire et lèche mon cul pour en recueillir la semence chaude qui s'en sort. Puis il me roule une pelle majestueuse, et nous partageons son sperme que je finis par avaler. Aurais-je cru, il y a quelques heures, que j'avalerais deux fois le sperme de Baptiste ce soir.

Il se lève, me fait signe de le suivre. Nous sommes complètement nus et prenons une douche bien méritée. « Suce moi encore sale pute ». Je le suce sous la douche, et nous retournons dans le lit. Avant de me rebaiser comme une chienne, il me glissera ses mots : « reviens dans trois jours, j'aurai une surprise pour toi. »

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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