L'histoire de la semaine

Dimanche 13 avril 7 13 /04 /Avr 14:33

L’histoire que je vais maintenant raconter s’est déroulée cet automne. Alors que je revenais de Paris où j’avais passé une semaine chez mes parents, je décide de faire une halte sur une aire d’autoroute pour me libérer d’un besoin pressant. J’avais une envie de pisser que je ne pouvais plus contenir. Je m’arrête donc et fonce vers le bloc des sanitaires.

En entrant je remarque un jeune mec à côté des lavabos mais n’y prête aucune attention. Je pénètre dans les toilettes et sans demander mon reste me vide la vessie. Putain que ça fait du bien ! J’ai l’impression que je ne vais jamais m’arrêter. Et finalement si.

Je sors alors des chiottes et me dirige vers les lavabos pour me laver les mains et en profiter pour me rafraîchir un peu la gueule. On a beau être fin septembre mais le soleil tape et il fait bien chaud. Arrivé devant les lavabos mon regard croise celui du jeune mec. Il semble avoir à peine quinze ans (il en avait en réalité 17), les cheveux courts et vêtu d’un jean assez large et d’un polo style skater. Il ne fait rien de particulier, appuyé contre l’un des lavabos. Un peu troublé je me lave les mains tout en continuant de le mater dans la glace.

Au moment de vouloir m’essuyer les mains je cherche désespérément une serviette ou quelque chose mais en vain. C’est alors que le gamin me demande dans un français approximatif si j’ai une clope. Surpris, je mets du temps à réagir mais finis par lui en offrir une. Le dialogue s’instaure alors et il me dit qu’il va vers le nord. Cela tombe bien, c’est aussi ma destination. Il cherche quelqu’un pour l’emmener et m’indique qu’il est prêt à rendre service s’il le faut. À partir de cet instant, je ne sais pas ce qui s’est passé dans ma tête mais les idées les plus folles ont commencé à tourbillonner. Et pas que dans ma tête. Je m’entends lui répondre que je suis d’accord pour l’aider à faire une partie de la route mais à une seule condition : il allait devoir faire exactement ce que je voulais. Je n’en revenais pas moi-même d’avoir dit cela ! Et le pire est qu’il me répond avec un grand sourire qu’il est d’accord ! Je ne pense pas qu’à ce moment il se doute de ce qui l’attend.

Nous reprenons donc la route ensemble. Ce môme m’excite vraiment et j’ai envie de me taper un délire avec lui, de le transformer en un jouet sexuel. Tout en conduisant, je l’observe de la tête aux pieds et je sens ma queue gonfler dans mon pantalon. Nous discutons de choses et d’autres lorsque je lui demande de remonter son polo pour me montrer son ventre et ses seins. Il se tourne alors vers moi et je peux lire dans ses yeux une interrogation. Voyant qu’il ne réagis pas plus, j’attrape son polo de la main droite et, alors que je le lui remonte, il commence à se débattre, empêchant ma manœuvre. Il me dit qu’il n’est pas homo et qu’il ne veut pas faire ça. La situation m’excite de plus en plus. Tout en continuant de conduire, je le saisis alors par les cheveux et lui intime l’ordre de faire ce que je viens de dire s’il ne veut pas que je lui en colle une. Il essaye de se reculer mais l’espace de la voiture ne le lui permet pas. Il est pris au piège et ne peut pas faire grand-chose. Voyant qu’il ne bouge pas plus, je lui balance une claque à réveiller un mort. Par réflexe il porte ses mains sur sa joue mais il est trop tard.

— « Vire ton polo et dépêche-toi, sinon t’en reprends une ! »

Dès lors il comprend qu’il n’a plus le choix. Il défait sa ceinture de sécurité et, lentement, il s’exécute.

— « Le t-shirt aussi ! Je veux te voir à poil ! »

Le ton est donné et je m’étonne moi-même. Tout va si vite que je perds carrément le contrôle de la situation. Il est maintenant torse nu, ses affaires en boule sur ses genoux, le regard droit devant, fixant la route. Je le laisse dans cet état un instant puis attrape ses affaires pour les jeter à l’arrière de la voiture.

— « Maintenant vire ton froc.

— Non, non, s’il vous plait, je veux descendre.

— Trop tard mon gars, il fallait réfléchir avant ! Allez, vire-moi ton froc ! »

Comme il ne réagit pas je lui envoie une deuxième baffe en travers de la gueule. Cela a pour effet de le faire se recroqueviller près de la porte. J’en profite alors pour lui mettre une main au paquet en attrapant sa bite à travers la toile de son jean. De peur de recevoir une autre baffe il ne bouge pas, se protégeant le visage. J’en profite pour lui malaxer le paquet. Très vite je lui défais sa ceinture et fais sauter les boutons de sa braguette. Je glisse une main à l’intérieur de son pantalon et je sens sa queue sous la toile de son slip. L’endroit est humide et il faut dire qu’il n’est pas trop mal monté... Je malaxe sa bite et ses couilles pendant un moment avant de lui redemander de retirer ses fringues. Voyant qu’il ne peut pas faire grand-chose d’autre, il s’exécute. Il descend son jean à mi cuisses et me regarde.

— « Retire tout, entièrement ! Je t’ai dit de te mettre à poil. Tu ne comprends pas le français ? Allez, magne-toi. »

Il retire alors ses baskets puis son jean et son slip. Je saisis alors l’ensemble pour l’envoyer à l’arrière avec le reste. Il est maintenant complètement nu et entièrement à ma merci.

— « Écarte les jambes ! »

Toujours de la main droite je lui attrape la bite et commence à jouer avec. Je le masturbe, lui tire les couilles après les avoir bien malaxées entre mes doigts. Rouge de honte il se laisse faire, laissant échapper de temps en temps de petits cris, sûrement dus à la douleur. Il faut dire que je n’y vais pas de main morte, surtout lorsque je lui décalotte le gland d’un coup sec. Je le pelote tant que je peux, lui pinçant les seins, les cuisses, les couilles. Puis je lui demande de bien écarter les jambes pour me présenter son cul. Sans préambule, je lui enfonce un doigt dans le cul qu’il a bien serré. Ma bite me fait mal et il est temps que je trouve un endroit pour m’arrêter. Je repère une nouvelle aire d’autoroute et fort heureusement celle-ci est pratiquement vide. Je choisis l’endroit le plus à l’écart près d’un sous-bois et arrête la voiture. Je me tourne alors vers lui. Il est en train de pleurer, le visage écarlate par les coups qu’il a pris.

— « Descends ! On va aller faire un tour !

— Mais...

— Ta gueule, descends si tu ne veux pas que ça soit moi qui t’éjecte ! »

J’ouvre sa portière et le pousse dehors. Je sors à mon tour et, l’attrapant par les cheveux, je le conduis sous les arbres, à l’abri des regards. Poussant des petits cris il suit tant bien que mal. Je le pousse ventre à terre et lui écarte les jambes pour bien voir son trou du cul. Je crache alors sur sa rondelle et lui enfile deux doigts d’un coup. Comme il n’est pas préparé, je sens une résistance et force un peu plus pour le pénétrer. Il pousse un cri de douleur, me demandant entre deux pleurs d’arrêter. Il ne se doute pas que cela m’excite encore plus... J’entame alors des va-et-vient avec mes doigts, lui écartant les fesses de ma main libre. Il gigote et essaye de résister à l’intrusion mais rien n’y fait. J’enfonce mes doigts bien au fond de son cul et les ressors complètement pour les réintroduire de nouveau. Très vite je rajoute un puis deux doigts. Je suis en train de lui éclater le cul et je n’ai plus qu’une envie c’est d’y mettre la main complète. Mes quatre doigts lui pilonnent les entrailles avec force sans tenir compte de ses plaintes et de ses pleurs.

Alors que je tente de lui introduire le pouce, il essaie de se dégager et je le saisis par les cheveux, tirant fortement en arrière pour le maintenir en place. À grosses doses de salive, j’arrive à faire entrer ma main dans ses entrailles et lui laboure le cul. Ce mec a un cul vraiment élastique et ma main entre et sort assez facilement. Il ne va pas oublier cet instant de sitôt ! Il pleure toujours mais reste calme et j’en profite alors pour lui attraper la bite et pour le masturber. À mon grand étonnement sa queue se met à gonfler. Sans retirer ma main de son cul je le fais s’allonger sur le dos. Sa queue est maintenant tendue vers le ciel, droite comme un I. Je continue de le fister et, en même temps, le branle lorsque je me rends compte qu’on nous observe.

Un mec est là : gros, type routier, une queue énorme à la main en train de se branler. Je lui fais alors  signe de s’approcher. Il s’agenouille devant le gosse et lui attrape la tête pour lui enfiler son pieu dans la gorge. En de grands va-et-vient violents il lui défonce la bouche de sa grosse pine. Le môme manque de s’étouffer à chaque pénétration tellement la queue est énorme et longue. Cela ne dure pas très longtemps. Le mec se retire pour éjaculer sur la gueule du gamin. Il en a partout et le sperme lui dégouline sur les joues. Je ne peux me retenir plus longtemps et, devant cette vision, j’éjacule dans mon slip sans me toucher. Je retire alors ma main du cul de mon jouet et me relève. Je sors ma pine encore gluante et lui pisse dessus. Il ne bouge pas, allongé sur le côté il reçoit ma pisse sur lui sans rien dire. Celle-ci se mélange avec le sperme du routier.

Puis je le ramène à la voiture. Avant qu’il ne remonte je lui attache les mains dans le dos et je le bâillonne. Je lui fais prendre place sous le tableau de bord côté passager. Je n’en avais pas fini avec lui, surtout quand je me suis aperçu qu’il avait la queue bien tendue et bien grosse et qu'il souriait. Ce petit con était en train de prendre son pied finalement... Quel acteur !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 15:40

Episode précédent :  Frères jumeaux 5 : Karim en veut plus...

 

I. En famille

Au matin, nous nous retrouvons tous dans la cuisine pour le petit déj'. Karim rougit en nous voyant, il détourne et baisse les yeux. C'est un enculé désormais... Il est à poil, comme l'a exigé notre père. Pour le mettre à l'aise, nous lui donnons Julien et moi une petite tape sur les fesses. Papa lui demande ensuite de faire la vaisselle. Il devra passer une nuit par semaine avec nous en faisant croire à sa copine qu'il est de garde à l'internat du lycée. Il devient donc en quelque sorte la femelle de la maison... Qu'il est beau de dos comme de face ! Quel dos ! Et quel cul ! Papa doit penser la même chose que moi, car il s'approche de lui, lui écarte les globes fessiers et le pénètre virilement.

— Non, continue ta vaisselle, salope ! Tu ne vas pas faire des manières ! T'es plus crédible en pucelle !

— Aïe, tu me fais mal, Stéphane !

— Ta gueule ! T'es pas qu'une salope, t'es aussi une pute. Une pute, ça ouvre son cul et ça ferme sa gueule !

— Pardon ! Tu as raison. J'avais oublié...

D'ailleurs Karim bande. Notre père attrape sa queue et la pose sur le bord de l'évier. Le passif fait mine de se branler.

— Qui t'a permis ? Tu vas jouir du cul sans te toucher !

Le pauvre Karim encaisse les coups comme un acteur professionnel jusqu'à ce que notre père le fourre au jus.

— Allez, vas-y, nettoie-moi bien avec ta bouche ! Tu n'as pas joui, tant pis pour toi !

Karim a l'air tout con avec sa queue en érection.

— Viens Karim avec Julien et moi ! Nous allons nous doucher !

Tant bien que mal, nous arrivons à entrer tous les trois dans la cabine de douche. Je laisse tomber le gel-douche. Karim comprend. Il se baisse pour le ramasser, j'en profite pour lui pisser aussitôt dessus, lentement. Julien me rejoint rapidement. Il préfère quant à lui lui pisser dessus à gros jets bien jaunes et odorants.

— Ouvre la bouche ! Tu es à nous ! Tu dois vénérer tout ce qui sort de nos bites !

Il s'exécute, d'abord avec dégoût, puis il finit par se prendre au jeu. Il rebande, le salaud ! Je le bifle quand il essaie de se masturber.

— Papa a dit que tu dois jouir sans te toucher ! Maintenant donne-moi ton cul et suce Julien.

Je pénètre mon dard dans le cul encore juteux. Je tasse au fond bien le jus de Papa. Cela m'excite à mort et je jouis rapidement. Julien aussi. Rempli par nos deux fluides brûlants, Karim explose à son tour sans se toucher.

— Tu vois que tu peux jouir du cul ! Tu es une vraie salope !

— Oui, c'est vrai...

— Nous sommes fiers de toi, hein Julien ?

— Tu parles ! Il est aussi salope que moi, maintenant...

Nous l'embrassons à tour de rôle. Il l'a bien mérité, non ? Nous finissons quand-même par nous doucher vraiment. Karim nous demande si nous pouvons lui passer un slip propre. Julien s'absente et revient avec deux boxers.

— Eh, celui-là je le portais hier ! Je ne vais pas le remettre aujourd'hui.

— Toi non mais moi oui. Toi tu vas enfiler celui que je portais hier !

Karim me regarde, surpris. Il ne comprend pas la logique de Julien : mettre un slip sale après une douche. Il attend de moi un soutien. Il a tort. Je prends le slip de Julien et le lui mets sous le nez.

— Sniffe, salope !

Il obéit, après tout il a fait pire. Il presse contre son nez le slip blanc à l'origine... L'odeur de pisse et les tâches de jus l'enivrent rapidement. Il bande.

— Tu comprends maintenant ?

Karim ne dit rien mais enfile le boxer de mon frère. Julien porte déjà le sien et bande. Son gland va être au contact des traces d'un mâle viril pour toute la journée ! Et ce mâle est condamné à porter ses odeurs jusqu'au soir...


II. Bukkake dans les vestiaires

Le lendemain matin, c'est piscine. J'aime le sport et particulièrement la natation. Cependant, comme beaucoup, ce que préfère à la piscine, c'est rester longtemps sous les douches brûlantes. Je profite de ce moment de pur bonheur avec des camarades, je somnole presque, lorsque des cris provenant des vestiaires interrompent cette douce torpeur.

— Eh, les mecs ! Y a un PD parmi nous !

Inquiet, je cours aussitôt vers les vestiaires. Julien est encerclé par d'autres élèves hostiles.

— Qu'est-ce qui se passe ? Laissez mon frère tranquille !

— Jérémy, ton frère est un sale PD. Je l'ai surpris en train de sniffer mon caleçon !

Jonathan réagit aussitôt.

— Je suis sûr que c'est lui qui a volé mon slip il y quinze jours !

— Qu'est-ce qu'on fait aux PD ? On leur coupe les couilles ?

— Laisse mon frère en paix, ou tu auras affaire à moi !

Nous sommes vingt-huit en classe, seize filles et douze garçons. Malgré ma force, mes camarades ont vite fait de me maîtriser, de me dominer. J'enrage, c'est la première fois qu'ils s'en prennent à moi. D'habitude j'imposer le respect. Jonathan intervient.

— Les PD aiment sucer les bites ! Les vrais mecs, sont qui ont les couilles pleines de bon jus, en profitent. À genoux, Julien !

Mon frère obéit, tu parles ! Sucer 10 garçons à la chaîne ne lui fait pas peur. C'est bien plus intéressant que de sniffer leurs sous-vêtements. Les camarades de classe, fascinés, regarde la grosse bite de Jonathan déformer la petite gueule de mon frère. Certains hésitent, ils ne sont pas homos. Mais ils sont presque tous puceaux, et en ont assez de l'être, alors l'occasion est trop belle. Faute de grives... Ils baissent leur maillot pour se branler. D'ailleurs, pour beaucoup, le gland dépassait déjà du moule-bite réglementaire.

— Aller, suce-moi Julien ! Quand je pense que je te connais depuis cinq ans ! Tu cachais bien ton jeu, salope. Je viens, tu vas avaler ma sauce !

Julien avale tout et lèche bien le gland. Les copains n'en reviennent pas. C'est mieux que les films pornos qu'ils matent en douce sir le net. Ils se battent presque pour remplacer Jonathan. Il reste neuf garçons à faire jouir, et ils commencent à stresser. Mon frère n'aura jamais le temps de tous les pomper, et le prof d'E.P.S. finira par venir voir ce que nous branlons.

— Eh, j'y pense - dit Thibault - si Julien est PD, son frère l'est forcément, puisqu'ils sont jumeaux !

— Tu as raison ! Pas la peine d'attendre notre tour ! Jérémy, mets-toi à genoux et suce-moi !

— C'est moi qui ai eu l'idée ! Moi en premier !

— D'accord !

— Et moi ensuite...

— C'est faux, je suis hétéro, moi !

Incroyable, mes potes se disputent ma bouche. Certains comme Thibault me connaissent pourtant depuis l'école primaire. Je résiste mais me retrouve vite à genoux. Je ferme la bouche mais ils me pincent le nez. Je finis par me résigner. Au fond, cela m'excite de sucer des bites à la chaîne. Je sais qu'ils ne s'en vanteront pas autour d'eux. Cela restera entre nous. Je me donne bonne conscience en me disant que je soulage mon frère d'une partie de son travail. Je bande et me branle.

— Il suce bien le mien ! Et Jérémy, il suce comment ?

— Comme une vraie pute ! J'avais raison, il aime la bite ! Ce n'est pas sa première fois...

— C'est une nymphomane !

— Nymphomane, c'est pour les femmes !

— Mais non ! Pour les femmes, on dit nymphowoman - affirme Quentin, très doué en anglais.

Cinq bites se vident dans ma bouche, cinq dans la bouche de Julien, pas de jaloux ! J'ai joui deux fois. Malgré ma bonne volonté, je n'ai pas réussi à tout avaler. Mon frère non plus.

— Allez, les pervers ! Embrassez-vous, léchez le sperme sur la gueule de l'autre ! Nettoyez-vous bien ! Nous ne vous laisserons pas reprendre une douche.

— Qu'est-ce que vous faites ?

Aïe, aïe, aïe ! Le professeur d' E.P.S. C'est un bel homme de 30 ans, brun et musclé. Sa question est idiote, il voit bien le foutre sur notre visage et les copains à moitié débandés autour de nous. D'ailleurs, il n'attend pas de réponse.

— Je vais faire un rapport ! Julien et Jérémy, vous serez virés ! Ah, vos parents vont être fiers de vous...

Nous n'en menons pas large. La réaction de notre père ne nous inquiète pas, mais celle de maman... Et toute la ville sera au courant. Que va penser Mathilde ? Je me considère toujours comme un hétéro curieux et ouvert avec des tendances bisexuelles. Mon cul est vierge, c'est tout ce qui compte. C'est alors qu'il s'est passé quelque chose que je n'oublierai jamais.

— Nous sommes tous complices. Si vous faites virer les jumeaux, il faudra nous virer aussi - dit Léo.

— Léo a raison. Vous ne pouvez pas faire expulser tous les garçons de la classe ! 12 élèves !

— Elle serait belle la réputation du lycée ! C'est le lycée privé qui va être content...

Je crois que c'est ce dernier argument qui l'a convaincu. Il hésitait mais ne voulait pas perdre la face. Aussi l'avons nous aidé.

— Allez, monsieur ! On vous aime bien ! Vous n'êtes pas comme les autres profs !

— Vous êtes jeune, vous ! Vous n'êtes pas homophobe.

— Bon d'accord... Mais que cela ne se reproduise pas !

Julien s'est approché lentement du prof. Il saisit son paquet et s'écrie :

— J'en étais sûr ! Il bande ! Le prof bande !

— Non, ce n'est pas vrai ! Lâche-moi !

Cela change tout ! Nous l'entourons et baissons son froc. Il ment mais sa bite non. Elle est magnifique, un beau morceau de barbaque. De quoi convertir un végétarien...

— Laissez-nous vous remercier - lance Julien. Aide-moi, Jérémy !

Mon frère et moi nous partageons fraternellement la grosse bite du prof de sport. Sans oublier les couilles. Il gémit.

— Non, non, ce n'est pas bien ! C'est bon, mais ce n'est pas bien... Putain que c'est bon ! Deux langues sur mon gland, vous me rendez fou...

Certains des élèves se branlent à nouveau devant le spectacle. Il finit par jouir sur nos langues réunies. Sept jets généreux. Nous le nettoyons avec soin et amour. Assez gêné, il se rebraguette. Il évite le regard de ses élèves. Julien et moi nous nous relevons et le forçons à nous rouler des pelles parfumées à son jus. Il ferme les yeux. Je lui pince les tétons, il me regarde enfin. Je l'embrasse en le fixant droit dans les yeux. Il accepte mon regard en rougissant. C'est beau un mâle qui rougit.

— Monsieur, il faudra nous faire un mot. Nous allons être en retard en anglais...


III. Le prof d' E.P.S.

Jonathan, Léo, Quentin, Maxime, Dylan, Thibault, Faruk, Antoine, Joao, Noureddine, Julien et moi attendons avec impatience le prochain cours d' E.P.S. Nous avons converti quelques uns de nos camarades au bonheur de la pipe. J'ai retrouvé Dylan et Antoine, et après les avoir sucés, il m'ont rendu la pareille. Et plutôt avec gourmandise... Il m'ont bien asséché le gland. Julien m'a confié avoir connu la même chose avec Max, Léo et Jonathan. Que va-t-il se passer ? Nous attendons le prof d' E.P.S. dans les vestiaires. Nous nous sommes mis en slip. Slips multicolores, boxers blancs ou noirs, caleçons lâches cachant mal des couilles remplies à ras-bord, sous-vêtements de marques, élastiques fatigués, c'est un vrai festival. Montre-moi ton slip et je te dirai qui tu es. J'imagine que Julien doit se croire au Paradis...

— Alors les gars, qu'est-ce que vous foutez ?

— On vous attendait, monsieur.

— Ouais, on peut aussi faire du sport au vestiaire... Vous voyez ce que je veux dire ?

Tu parles qu'il voit ! Son sexe bandé sous son pantalon de jogging est révélateur. Julien et Dylan lui baisse le froc et commence à le pomper. Les hostilités sont déclarées, nous nous jetons tous sur la bite de notre voisin. Même Jonathan et Noureddine, les plus réticents à se faire dépuceler la bouche, finissent par succomber à la tentation. Plus de risque de se faire traiter de PD si tout le monde fait la même chose. Il règne un mélange étrange de bruits de succion de glands, de gobage de couilles et de léchage de hampes dressées. Je suce Léo qui suce Faruk. Je tends ma bite vers le prof. Il hésite. Pas longtemps. Il me fait même peur, l'affamé ! Mais mon propre frère me fait concurrence, le salaud ! Il se met à quatre pattes devant lui en écartant ses fesses de deux mains. Comment résister à l'oeillet rose qui vous regarde et vous invite au centre d'un cul doux et blanc ? Le prof me délaisse et enfonce son gros zob dans la grotte d'amour.

— Oh merci, c'est bon ! C'est plus étroit et plus chaud qu'une chatte !

— Oui, allez-y à fond ! J'encaisse bien, vous savez ? Vous aimez quand je resserre mes muscles autour de votre queue ?

— Ouais, ma cochonne !

Les copains regardent fascinés le mandrin défoncer le petit cul de leur pote. Ils n'y avaient pas pensé. Ils étaient déjà tellement heureux de passer de la branlette à la pipe. Ils envisagent de nouveaux plaisirs. Mais un cul pour onze, c'est la misère ! Je fais bien assimiler aux potes que mon cul s'appelle "pas touche". Ils sont déçus, je les comprends, mais ce n'est pas négociable. L'enseignant retourne mon frère comme une vulgaire crêpe, le met sur le dos et l'enfourne à nouveau. Cette nouvelle position dévoile son cul. C'est beau. Je me penche vers ce territoire vierge et ma langue darde et se déchaîne. Le prof gémit de plus belle. C'est normal, la peau est si fine, si sensible à cet endroit...

— Jérémy, oh Jérémy ! Comment sais-tu déjà comment donner tant de plaisir à un homme ? Tu en sais plus que moi à 30 ans...

— Ne vous inquiétez pas, monsieur ! Je vais vous apprendre quelque chose...

Je mouille un doigt et l'enfonce maintenant à la recherche de sa prostate. Il commence par se plaindre, il me demande de l'enlever, mais c'est trop tard. J'ai trouvé sa prostate et il gémit sous l'effet de ce nouveau plaisir.

— Je vais jouir - dit Dylan.

— Moi aussi - dit Noureddine.

— Jouissez sur le trou du prof !

Les deux copains m'obéissent et visent bien l'orifice. D'un doigt, je récupère le jus, lubrifie avec l'anus vierge encore. J'enfonce deux doigts. Il assure. Il grimace mais ne crie pas. Je récupère le sperme restant et l'étale sur mon dard. Je le pénètre furieusement.

— Non, Jérémy ! Pas ça ! Je suis marié et père de famille ! Aïe ! Tu me fais mal !

— Assure comme un homme. Un athlète comme toi n'est pas une femmelette. Respire bien et pousse ! Un peu de patience ! Le plaisir vient... Les mecs, tenez-le bien ! Il gigote, le bougre ! Aidez-moi, après ce sera à vous de le baiser.

Et oui, je tutoie mon prof. Quand on lui met sa bite dans le cul, on peut, non ? Je retrouve le plaisir incroyable, inoubliable de dépuceler un cul étroit et viril. Je sors ma matraque du trou avant de la remettre d'un grand coup rageur. Et je recommence... Le prof commence à jouir du cul, il mouille bien.

— Aïe ! C'est bon ! Ça brûle, mais c'est bon ! Ouais, mec... Tu me déchires, continue...

Je ne fais pas prier. Pour une fois qu'un prof m'encourage ! Je finis par lui remplir le trou, il enserre trop ma bite. Lui se déverse dans le cul de mon frère. J'ai à peine de temps de me retirer que Quentin prend ma place. Faruk quant à lui empale Julien d'un coup sec. Les enculades s'enchaînent. Mon frère se prend cinq bites dans le cul, cinq bonnes rasades de foutre libéré. Le prof reçoit six enculades viriles. Onze puceaux découvrent le même jour le plaisir d'un cul. Cela crée des liens inoubliables. Le prof a joui trois fois. Il a le cul douloureux et le gland violet. Je demande à Julien et au prof de se mettre à quatre pattes, côte à côte. Derrière eux, je les doigte. Un doigt, deux, puis trois. Pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Toutes ces bites les ont bien ouverts. Au bout de cinq minutes de travail, de progression constante, mes mains sont aspirées par les anus voraces. Je fiste mon prof ! Et mon propre frère ! La main droite dans le cul de Julien, la gauche dans celui du prof, quelle vision ! Les camarades n'en croient pas leurs yeux. Ils gémissent et s'embrassent. Je sors et rentre ma main dans les orifices, c'est très excitant. Ils finissent par jouir de concert, je sens leurs contractions autour de mes poings. Le prof tombe quand il essaie de se relever. Cela nous fait rire. Je remets ma bite dans sa gueule virile.

— Ton cul dégouline de jus. Je veux qu'il en soit de même pour ta gueule ! Suce !

— Oui, fais-moi goûter ton jus.

Je lui remplis la cavité buccale, suivi par mes onze copains. Il est très résistant pour ce premier bukkake. Il suce longtemps et ne se plaint jamais de douleur dans la machoire. Aucune lassitude non plus. Il avale la moindre goutte de semence comme si sa vie en dépendait.

— Merci, merci monsieur. Vous êtes vraiment notre professeur préféré.

— Merci à vous, les jeunes de m'enseigner toutes ses bonnes choses... Je ne sais pas si je suis bi, mais je recommence quand vous voulez !

— La prochaine fois alors !

Nous rions parce que nous avons été onze à dire la même chose en même temps sans nous concerter. Depuis ce jour-là nous attendons tous les cours d' E.P.S. avec impatience, même les intellos qui n'aiment pas le sport... L'ambiance entre les garçons de la classe est désormais excellente, il n'a plus de petites jalousies, d'insultes imbéciles ou de provocations puériles. Tous les profs nous en félicitent, s'ils savaient...

 

FIN

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 30 mars 7 30 /03 /Mars 15:38

Episode précédent :  Frères jumeaux 4 : Karim le pion

 

I. Plus

Deux à trois fois par semaine, c'est devenu un rituel : mon frère et moi retrouvons Karim après les cours. Comme notre père rentre du travail à 19 heures, nous avons le temps de nous amuser avec le pion. Heureusement que nous sommes jeunes et que nos couilles ne restent jamais longtemps vides, car nous recommençons une heure après avec Papa... Mais nous n'allons pas nous plaindre. Abondance de cul n'a jamais nui à personne, non ? Karim adore nous voir sucer à deux sa grosse bite. Il faut dire que le spectacle de jumeaux salivant de concert et avec enthousiasme sur sa bite doit être plutôt excitant... Il faudra que je trouve des jumeaux pour voir ce que cela fait. Mais au bout de quinze jours, Karim en veut plus. La preuve !

— J'en veux plus, mes salopes. Debout ! Appuyez-vous contre le mur ! Embrassez-vous !

Nous nous exécutons sans rechigner. Karim s'accroupit et regarde nos jeunes culs. Ah, le salaud ! Pendant que nous nous roulons une pelle, il nous enfonce à chacun un doigt dans le cul. Pas de problème pour Julien, mais mon cul vierge n'est pas d'accord. Karim se relève et félicite mon frère pour son ouverture. Il me met son majeur dans la bouche et me le glisse de nouveau dans le fion. Ça passe mieux. Je bande comme un beau diable.

— Jérémy, je ne te baiserai pas aujourd'hui. Tu es trop étroit pour mon engin, j'attendrai que tu te fasses baiser.

— Jamais ! Je suis hétéro !

— Ne raconte pas d'histoires. Tu as mis le doigt dans l'engrenage du cul, ton petit trou ne restera pas vierge longtemps. Et au fond, je suis sûr que tu le sais déjà et que tu acceptes lentement cette idée. D'ailleurs, tu fais un drôle d'hétéro : suceur de queues et bouffeur de jus... Non, je vais baiser Julien qui doit être bien plus confortable pour ma grosse bite. Sucez-moi le dard, les frangins, lubrifiez-le avec passion...

Karim nous fait placer en 69. Allongé sur le dos, je suce mon frère à quatre pattes au-dessus de moi qui me rend la pareille. Son cul est à la hauteur parfaite pour que Karim le pilonne. Il présente sa queue devant la rondelle déjà frémissante et enfonce les premiers centimètres. Aïe, Julien déguste et gémit. Le pion ressort sa bite du cul et m'ordonne de la sucer encore pour mieux la lubrifier.

— Allez, suce salope ! Si tu ne le fais pas pour moi, fais-le pour ton frère !

J'obéis. Cela me dégoûte et m'excite à la fois. Les mystères du plaisir... Il recommence l'opération plusieurs fois avant de coulisser parfaitement, comme si le cul de mon frangin était le fourreau de son épée. Le spectacle est étonnant. Je ne peux voir que quatre couilles et deux bites en gros plan... Il n'y a pas que la vue, il y a aussi les bruits. Le bruit du cul qui fait ventouse autour de la queue et le bruit des grands coups de reins de Karim qui cogne contre les fesses de Julien. En professionnel, l'étalon défonce le petit cul avec violence.

— Elle est bonne, ma bite, hein ma pute ? Tu la sens ouvrir et te casser le fion ? Putain, t'es bon. Depuis le temps que je voulais mettre ma bite dans un cul. Bon, c'est le cul d'un petit mec, mais j'aime ça.

— Ouais, Karim. T'es un vrai étalon. N'aie pas peur d'y aller à fond. J'aime quand tu la sors avant de la remettre comme un malade.

Ils s'excitent et m'excitent avec leurs propos salaces. Je suce comme un fou. Julien finit par me jouir dans la gueule. Cela fait longtemps qu'il n'avait pas autant produit de jus de couilles... Karim continue son œuvre avant de juter à son tour dans le cul éclaté.

— Tiens, prends-ça, ma pute ! Je te noie le cul ! Tu vas t'en souvenir de ma bite !

— Ouais, remplis-moi, marque-moi de ton foutre...

Quand Karim sort de Julien, il me présente sa bite à nettoyer. Je ne joue plus les dégoûtés... Je n'ai pas honte, nous devons prendre notre plaisir où nous le trouvons.

— Jérémy, ouvre la bouche ! Et toi, Julien, pousse comme si tu voulais chier !

L'inévitable se produit, le jus de Karim coule dans ma bouche. C'est trop. Je jouis dans la gueule de mon frangin. Est-ce que je suis pervers ? Je m'en fous, c'est trop bon. Comme Julien, j'avale tout.

— Très bien, t'es une bonne salope, tu fais des progrès rapides. Plus rapides que tes progrès en classe ! Julien, assieds-toi sur ton frère, ce petit hétéro va te nettoyer le cul.

Et c'est ce qui se passe. Avec timidité d'abord, je lèche l'anus de mon frère. Je m'enhardis vite en découvrant la douceur des plis boursoufflés. Je nettoie comme une vraie salope et ne laisse aucune goutte du liquide salé. Putain !

Une heure plus tard, nous remettons le couvert avec Papa. Mais ce dernier remarque vite le fion défoncé de Julien.

— Dis-moi, Julien, qui t'as éclaté ainsi ? Pas Jérémy à mon avis...

— C'est Karim, un pion du lycée. Il a découvert notre amour fraternel et s'est invité à nos jeux.

— Pour qui se prend-t-il, pour baiser ainsi mes fils ? Je ne vais pas laisser passer ça.

— Oh, s'il te plaît ! Il ne fait de mal à personne, au contraire... Et il si beau, si bien monté.

— Hum, tu me donnes des idées. Écoutez les garçons, j'ai un plan...


II. Encore plus

Le lendemain.

— Tu as bien compris Karim, notre père est au courant de tout.

— Il est furieux. Il va tout raconter au proviseur.

— Ouais, il prendra rendez-vous demain matin.

— Il faut faire quelque chose ! Vous ne pouvez pas le faire changer d'avis ?

Pauvre Karim ! Son désarroi me fait déjà bander. Ce mec si viril, si autoritaire qui tremble comme une feuille.

— Pourquoi ? Quand je fais une connerie, tu me punis. Assume tes actes.

— Mais notre relation, notre amitié ?

— Ne sois pas hypocrite, notre relation est purement sexuelle. Tu n'as jamais été tendre avec nous ! Tu prends nos trous et c'est tout.

Karim prend sur lui et me roule un patin magistral. En fermant les yeux.

— Ouvre les yeux quand tu m'embrasses ! Je sens que tu bandes. Tu es une petite salope, hein ?

Karim prend sur lui et acquiesce de la tête.

— Je n'entends rien !

— Je suis une salope ! Je l'avoue.

Afin de le récompenser, j'appuie doucement sur ses épaules. Il comprend. Il s'agenouille devant moi, ouvre ma braguette et descend lentement mon pantalon. Il prend tellement son temps qu'on pourrait croire qu'il marche vers l'échafaud.

— Allez, fais pas ton timide ! Profite, déguste !

Karim prend délicatement ma queue entre ses belles lèvres vierges. Je m'enfonce d'un grand coup. Des larmes perlent aux coins de ses yeux noirs. Julien se déshabille et tend son engin à Karim qui ne sait plus où donner de la langue.

— Tu te débrouilles plutôt bien ! Dis, frangin, tu crois que c'est la première fois ?

— Non, il l'a dit lui même, c'est une grosse salope, un trou à remplir.

— Enfonce ta bite avec la mienne, plus fort, plus loin, plus vite, sinon la putain va se plaindre qu'on la vole.

— T'as remarqué ? C'est drôle, elle est toute rouge comme si elle s'étouffait et elle pleure sous nos coups de bite.

— Fais pas gaffe ! Elle fait semblant pour nous exciter. C'est une professionnelle. Brave pute, dis-je en lui caressant ses cheveux courts.

Nous nous amusons à insulter ainsi le pauvre Karim qui ne peut se défendre car il a la bouche pleine et il sait qu'il doit accepter les injures pour que nous intercédions auprès de notre paternel. Julien lui remplit la bouche en riant. Karim avale tout de lui-même et lèche jusqu'à la dernière goutte. Il sait qu'il n'y échappera pas, alors il devance nos ordres. Je décide de me divertir un peu, j'aime jouer. Il ne faut pas oublier que je n'ai que 16 ans.

— Karim, recule-toi et ouvre ta gueule de putain.

Je jouis en visant sa bouche. Je lui envoie deux jets dans les yeux, un sur le menton et trois dans la gueule. Pas si mal, n'est ce pas ? Il avale ce qu'il a dans la bouche. Avec mon gland, je récolte le jus égaré et me fais lécher. Nous rions, Karim non. Il manque d'humour.

— Allez, fais pas la gueule ! On t'amène à la maison, tu pourras convaincre notre père de ne rien faire.

— Merci.

— Tu peux nous remercier. Au fait, tu préfères le jus de Julien ou le mien ?

— Euh... je sais pas...

— On t'y refera goûter encore, jusqu'à ce que tu choisisses.


III. Toujours plus

— Monsieur Bordes, je ne sais pas ce qui m'a pris... Je suis sincèrement déso...

Papa l'interrompt.

— Ce qui vous a pris ? Mais que vous êtes un gros cochon !

— Si vous voulez, monsieur. Ne dites rien au chef d'établissement, je vous en supplie... Je suis prêt à vous implorer à genoux.

— Bonne idée ! À genoux ! dit mon père en baissant son pantalon.

Karim accepte, résigné. Jamais deux (bites) sans trois. Ce n'est que la première fois qui coûte. Le spectacle est magnifique. Le pion a les joues déformées par la queue énorme. Les deux sont des bestiaux si virils. Papa le défonce sans ménagement, il lui baise la gueule sauvagement. Avec Julien, nous nous branlons mutuellement.

— Ouais, continue ! T'es une bonne pute ! T'as la langue magique. Je ne comprends pas pourquoi tu tiens tant à ton job au lycée. Tu es fait pour sucer des bites à la queue leu leu pour du fric. Putain à cent balles sur les chantiers, les aires d'autoroutes... Voilà ta vocation.

— T'as tout compris, Papa.

— À quatre pattes !

— Non, s'il vous plaît ! Faites ce que vous voulez avec ma bouche, mais respectez mon cul. Je suis vierge. Chez moi, « enculé » est la pire des insultes...

— Et tu as enculé mon fils ? Bravo ! À quatre pattes.

— Allez Karim, ce n'est qu'un mauvais moment à passer. Après tu seras tranquille. Ça en veut la peine, non ?

Karim se déshabille et se met à quatre pattes. Il tremble. Il a peur. Il est si sexy que je m'approche et lui lèche le cul. Il est plus poilu que celui de mon frère. Justement, Julien me rejoint. Le jeune homme gémit rapidement sous nos coups de langue pervers. Nous laissons la place à notre père qui prend son temps. Karim reste le cul en l'air, humilié et résigné.

— T'attends quelque chose ?

— Oui, votre bite.

— Tu la veux ?

— Oui, dépucelez-moi, faites vite. Ma copine m'attend.

Malgré le ton de Karim qui manque complètement de conviction, la scène est excitante. Mon père, un peu rancunier, décide de le baiser sans le préparer avec un ou deux doigts.

— Aaaaaaaahhhhhhhhhhhh ! Pitié ! Ressortez, ça fait trop mal ! Je suis complètement déchiré, je le sens. Je ne veux pas finir aux urgences.

— Arrête de déconner. Écarte tes fesses et y aura pas de problème. Je t'ai déjà mis la moitié. C'est toi qui m'a supplié. Tu sais pas ce que tu veux, pouffiasse !

Que c'est beau ! Cet homme viril, mat et poilu, soumis au plaisir d'un autre étalon, ça vaut le spectacle. Karim continue de crier des bêtises. Julien, soucieux du voisinage, lui enfonce son boxer dans la gueule. Papa savoure. Un cul vierge à déniaiser, ça se dégûste comme un grand cru. C'est un moment qui est unique pour les deux partenaires. Il enfonce son mandrin, le ressort et le remet d'un coup. Un grand classique qui fait toujours son effet. Malgré sa musculature, Karim ressemble à une poupée entre les mains de mon père. Je n'ai pas de compassion. Il m'a donné combien d'heures de colle en deux ans, au fait ? C'est mesquin, mais tellement humain...

— Que c'est bon d'enculer un mec viril ! Un macho de moins et une pute de plus... Tu t'ouvres bien. Le passage est bien plus agréable pour ma bite. Je crois que tu ne te refermeras jamais plus...

Je me rappelle des photos que l'enculé avait prises. J'en prend à mon tour pour négocier. C'est tout de même dommage, ce slip dans la bouche. Je l'enlève et glisse ma queue. Il ne crie plus, de toute façon. Il n'a plus mal ou il n'a plus de forces ? Il se concentre sur sa pipe, sans doute pour oublier la douleur anale. Julien se glisse sous Karim et lui taille une plume qui le fait vite rebander.

— Ah, je vais jouir, crie mon père.

Une lueur d'espoir perce dans les yeux du mâle dominé. La libération est proche. Le martyre se termine enfin.

— Mais non, je déconne ! Ton cul est trop bon, ma salope. Je veux te faire jouir comme une pute. Je repars pour un tour ! Savoure le plaisir de satisfaire un vrai mâle.

La bonne blague de Papa nous fait bien rire. Pas Karim qui manque décidément d'humour. Notre père le baise pendant plus d'une demi-heure. Nous admirons son endurance, surtout dans un cul si serré. Quand enfin il donne des coups de rein désordonnés, Karim comprend :

— Pas dans mon cul ! S'il vous plaît !

— Tiens, salope, tu les sens mes giclées chaudes dans ton cul ? J'allais pas gâcher ce jus de mâle ! Tu m'appartiens désormais. Putain, que t'es bon !

Mon père n'arrête pas de jouir, des litres de bon jus pour le baptême anal. Juste au moment où la bite de notre père fait un grand "splosh" en sortant du fion étoilé, Karim jouit dans la bouche de Julien. J'éclate à mon tour, une gerbe dans les yeux et quatre dans la gueule, je suis en progrès ! Julien lèche l'anus déchiré avant de gicler dans la cavité buccale de l'ex-macho devenu une nouvelle pute.

— Tu vois que tu as joui, enculé.

— Oui monsieur. J'ai eu mal les dix premières minutes, mais ensuite j'ai pris mon pied. Je suis honnête, je le reconnais. J'aurais préféré plus de douceur, cependant. Mais je n'ai pas l'intention de recommencer un jour.

— On verra ça. Tu restes à manger, bien-sûr.

— Mais, mais, ma copine m'attend.

— Tu sais pas téléphoner ? Débrouille-toi ! Tu obéis ou sinon...

— Allo, chérie ? C'est moi. Je dois remplacer un collègue malade à l'internat. Je suis désolé, moi aussi... Je te jure que je serai mieux avec toi, dit-il en nous lançant un regard noir.

— C'est bien. Ton cul m'a crevé. Tu vas dans la cuisine et tu nous prépares à manger. Tu prends ce que tu veux dans le frigo. Non, reste à poil pour cuisiner. Nous allons regarder la télé dans le salon, tu nous y serviras quand tu auras fini.

Ainsi fut fait. Karim se débrouille pas mal en cuisine. En tout cas, nous reprenons des forces...

— Karim, puisque tu l'as oublié, tu seras notre dessert. Assieds-toi sur ma bite.

Sans mot dire mais le regard torve, le pion s'enfonce sur ma queue. Par derrière, Julien glisse sa bite à son tour. Double pénétration pour le macho ! On le gâte.

— Aïe, ça fait mal !

— Et alors ? Un peu de patience, tu vas décoller, ma pute. N'oublie pas que tu es un enculé, Karim.

— Je suis un enculé, je suis un enculé, oh, mon Dieu !

Il gémit mais monte et descend de lui-même. Papa se fait sucer par notre invité. Au bout de vingt minutes, nous lui remplissons ses deux trous, cul et bouche remplis à ras-bord. Karim nous suit aussitôt dans l'orgasme. Il baisse les yeux, mais il a bien joui.

— Regarde-moi ! Tu as aimé ?

— Oui, mais j'ai honte.

— Tu n'as pas à avoir honte : tu es une très belle pute.

— Euh, merci...

— Allez, au lit ! Vous avez cours demain matin, mes chéris. Et Karim a du travail qui l'attend au lycée. Je te pardonne, ma salope.

— Merci beaucoup, monsieur Bordes.

— Écoute, je t'ai enculé, baisé la gueule, repeint le cul, alors tu peux me tutoyer et m'appeler Stéphane.

— Merci Stéphane...

— Il va sans dire que tu dors dans mon lit. Et à poil.

Karim rougit, cela lui va bien. Ce mec est si sexy. Dans la douleur, l'humiliation ou la jouissance, il est toujours irrésistible.

Dans la nuit, je me lève pour aller pisser. Il y a de la lumière dans la chambre de mon étalon de père. Je m'approche discrètement. C'est bien ce que j'imaginais. Karim est sur le dos, les jambes sur les épaules de mon père, comme un femelle ouverte à la saillie. Papa l'encule doucement, en prenant son temps. Le surveillant affiche un sourire extatique. Il prend le visage de mon père entre ses mains et l'attire à lui pour lui rouler un patin généreux.

— Ouais, baise-moi, Stéphane. Encore, c'est si bon. J'en veux plus...

 

A suivre...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 23 mars 7 23 /03 /Mars 15:37

Episode précédent :  Frères jumeaux 3 : papa entre en piste

 

I. La bonne idée de Papa.

Depuis que notre père s'est invité à nos petits jeux sexuels, nous sommes passés à la vitesse supérieure. Mon frère adoré ne se contente plus de m'offrir sa bouche, son petit cul est aussi à moi. Enfin à nous. Je suis toujours émerveillé de voir la matraque de mon père s'enfoncer dans un aussi petit trou. Cela semble incroyable, impossible, mais Papa lui met toute la longueur de sa pine. De toute façon, il a intérêt, Julien ne veut pas en perdre une miette. Il en veut toujours plus, le bougre ! Comme pour la première fois, tous les soirs j'encule mon frère avant de le passer à mon père. Je suis son préparateur, en quelque sorte ! Son préparateur anal, noble et belle fonction. Tout le monde y trouve son compte. Si je passais après mon père, Julien apprécierait-il ma queue comme il se doit ? Et Papa est heureux de besogner un trou bien coulissant.

La semaine dernière, il s'est passé un truc incroyable. J'étais en train d'enculer Julien qui m'encourageait. Ce n'est pas la peine, mais il veut m'exciter davantage avec ses mots salaces. Je crois que lui en a besoin. Être traité comme une pute ne lui suffit pas, il souhaite qu'on lui rappelle son état de trou à bites, d'aspirateur à jus, comme s'il était possible de l'oublier...

— Encule-moi, frangin ! Plus fort ! Qu'est-ce que tu fous ? J'ai pas encore mal au cul ! Plus fort, plus vite, plus profond ! N'aie pas peur d'y aller, donne-moi tout... Oui, c'est ça, continue, la bonne bite ! Mon cul te sent bien, t'es bon... Je sens tes couilles contre les miennes... Ouais, sors et remets-la vite d'un seul coup, oh le pied... Mon cul est ta maison, nulle part ailleurs tu ne peux te sentir aussi bien...

Mon père avait cessé de se faire pomper pour laisser mon frère délirer en liberté. Je fus déçu quand Papa me dit de sortir du cul bien accueillant, je n'avais pas encore joui. C'était la première fois qu'il me jouait ce sale coup. Il s'allongea sur le dos et demanda à Julien de s'asseoir sur sa grosse bite. Ce spectacle magnifique me consola, Julien n'était pas lubrifié comme les fois précédentes par mon jus. Il grimaça quand l'énorme gland le pénétra. Aussitôt, Papa appuya sans pitié sur ses hanches pour qu'il se prenne les 20 centimètres restant brutalement. Notre chère petite salope cria, mais il se mordit rapidement les lèvres afin de prouver qu'il encaissait comme personne et qu'il acceptait tout pour notre plaisir. Et le sien, à venir... Loin d'être égoïste comme je le soupçonnais à tort, mon père m'invita à glisser ma queue dans le cul déjà occupé.

— Mais Papa, c'est impossible ! Un cul ne peut pas se prendre deux bites à la fois ! Surtout avec un morceau comme le tien...

— Oh, oui, quelle bonne idée, Papa ! Essaie toujours, frangin, avoir les deux hommes de ma vie dans le cul, ce serait le pied absolu !

— Ton frère a raison, Jérémy. C'est possible, je l'ai vu sur Internet. Une femme se prenait une bite dans la bouche, une dans la chatte et deux dans le cul ! Ton frère peut y arriver, y'a pas de raison...

— Mais Julien n'est pas un professionnel...

— Pas encore ! Mais il est si motivé... Et s'il n'est pas assez ouvert, et bien, on l'ouvrira avec nos bites !

Mon père arrêta ses mouvements pour me permettre de glisser ma queue dans le cul déjà plein. Julien retenait son souffle, plein de désirs et avec peut-être une pointe d'appréhension. Indescriptible sensation que celle de faire coulisser sa bite contre une autre. Et quand c'est celle de son propre père... L'impossible se réalisa, j'introduisis mon chibre dans le cul de mon frère. Cela ne fut pas facile, mais nous étions tous les trois tellement motivés. Voilà, j'y étais ! Je m'enfonçai au maximum. Je sentais la bite paternelle qui vivait contre la mienne et le cul de mon jumeau qui vibrait autour de nous. Nous commençâmes à bouger dans le cul adorable. Je dus reconnaître que les premiers mouvements étaient plutôt désordonnés et confus. Mais nous finîmes par baiser en rythme et ce devint génial. Mon père baisait mon frère, mais j'avais aussi l'impression qu'il me baisait la bite avec la sienne. Je n'avais jamais été si proche de mon père, à tous les points de vue. Physiquement bien sûr. Mais je me sentais son complice, son égal pour la première fois de ma vie. Je compris que je lui serais éternellement reconnaissant pour ce moment. Je ne l'avais jamais autant aimé. Julien, quand à lui, gémissait, il ne nous encourageait pas à y aller "plus fort, plus vite, plus profond", totalement comblé qu'il était.

— Oh mes chéris, mes étalons ! Je vous aime ! Vous ne pouvez pas savoir combien je jouis du cul... Vous me remplissez complètement. Quelle bonne idée, merci Papa, tu sais faire plaisir à tes fils. Tu es le meilleur des pères !

Papa l'embrassait pendant que je lui léchais puis mordillait les épaules. Mon père donna des mouvements plus désordonnés, annonciateurs de la libération de son foutre. Et il jouit, à la fois dans le cul de Julien et sur ma queue... Oh, cette chaleur, cette bite qui se cognait à la mienne. Cela me fit jouir aussitôt en même temps que Julien. À regrets, nos bites sortirent de ce cul tant aimé. Le trou dégoulinait comme jamais. C'était impressionnant. Mon père mit sa matraque à nettoyer dans la bouche de Julien. Je fis de même. Quel plaisir de sentir nos glands collés l'un contre l'autre léchés par la même langue ! Julien, heureux comme un gosse avec une glace à deux boules, avait les yeux les plus heureux que je n'avais jamais vus. Cette nuit-là, pour la première fois, nous dormîmes dans le lit paternel, un peu serrés mais tellement comblés.


II. Karim.

Je n'en ai jamais assez des deux trous de mon frangin. J'y pense toute la journée en cours. J'en ai mal à force de bander. Je me suis tapé la honte hier, à la piscine, quand je me suis mis à bander en voyant son petit cul dans son boxer de bain, mouillé et collant... Heureusement, les potes ont attribué mon émotion à la présence de Mathilde. Il y a eu une diversion quand Jonathan s'est rendu compte, au moment de se changer, que son calcif avait disparu.

— Z'avez pas vu un boxer blanc avec une ceinture bleue ? Allez, les gars, c'est pas drôle ! Soyez sympas. Je vais quand même pas être à poil sous mon jeans... Ça va me gratter les couilles.

Les copains se sont moqués de lui, mais moi, je savais qu'il ne disait pas n'importe quoi. Jonathan, athlète noir de 18 ans, a redoublé deux fois. Il est le plus musclé d'entre nous, un concentré de testostérone. Je connais le responsable du larcin... Le fétichisme de Julien ne me dégoûte plus mais m'amuse, et m'excite même quand le matin, après la douche, je lui fais mettre le slip que j'ai porté la veille... Excitant d'imaginer sa bite, ses couilles, son cul dans mon slip sale, tâché de jaune et de blanc... Je ne peux plus attendre le soir et me fais sucer à la récré dans les chiottes du bahut. Quinze minutes sont suffisantes. Ce n'est peut-être pas très romantique, mais il faut bien que je me vide les couilles. C'est vraiment une nécessité impérieuse. Aujourd'hui, Julien m'a fait une fois de plus du bien. Dommage qu'il ait joui sur mes baskets. Je sors discrètement des W-C pendant que Julien attend que je lui indique quand le chemin est libre. Horreur ! Je tombe sur Karim, un des pions. Mauvais réflexe, j'essaie de fermer la porte des chiottes que je viens de quitter. Karim, soupçonneux, ouvre cette porte et surprend mon frère. Il croit comprendre.

— Les jumeaux Bordes ! Tiens, tiens... Encore en train de faire une connerie, Jérémy ? Ça ne m'étonne pas. Et, toi, Julien, si sage, tu t'es laissé entraîné ? Tu me déçois, je te croyais plus malin que ton nigaud de frère.

— Nous n'avons rien fait de mal, Karim ! lance Julien.

— C'est ça, c'est ça. Prends-moi pour un con, j'adore. Je suis sûr que vous vous cachiez pour fumer, et peut-être même autre chose que du tabac... Votre compte est bon, mes gaillards, ce sera le conseil de discipline, puis l'exclusion.

Karim se rapproche de moi et me demande de souffler afin de sentir mon haleine coupable. Rien. Il me regarde surpris et je le sens bien déçu. Il ne m'a jamais trop aimé. Bon, c'est vrai que je fais des conneries, mais c'est de mon âge et ce n'est jamais méchant. En tout cas pas trop. Il demande la même chose à Julien. Il sent une odeur étrange, mais pas celle à laquelle il s'attendait. Il cherche, mais heureusement ne trouve pas.

— Bon, tirez-vous ! Je ne sais pas ce que vous faisiez, mais vous avez intérêt à ce que je ne vous surprenne plus tous les deux à nouveau dans les toilettes.

Ouf, sauvés ! Nous nous approchons de la sortie quand Karim nous interpelle.

— Ça alors, revenez ! J'ai reconnu l'odeur ! Qui l'aurait dit ? Entre deux frères, en plus ! Petits cochons... Il s'en passe de belles dans notre lycée... Le règlement intérieur ne dit rien sur ce genre de choses, je vais demander au C.P.E. et au proviseur les mesures à prendre.

— Non Karim ! S'il te plaît, tout mais pas ça ! Nous ferons tout ce que tu voudras... essaie Julien.

— Vous me proposez quoi là, de me sucer, les p'tits pédés ? Tentative de corruption en nature ? Moi, je suis normal. J'aime les femmes et les femmes m'aiment !

— Non, Karim. On sait bien que tu es sympa. Tu imagines la réaction de notre père ? Tu dois savoir combien il a déjà beaucoup souffert. Toute la ville est au courant. Même si nous changeons de lycée, la rumeur se propagera et nous vivrons l'enfer. Tout le monde se moquera de nous, nous persécutera. Nous n'aurons plus qu'à nous foutre en l'air. Nous sommes trop jeunes pour mourir... dis-je afin de le culpabiliser.

— Je ne veux pas mourir, pleurniche Julien.

Karim hésite. Il sait que le suicide est la première cause de mortalité des moins de 25 ans, avec les accidents de la route. Il a peur de commettre une erreur fatale. Il ne m'aime pas, mais pas au point de prendre un risque. Pourtant il sait que je suis malin et manipulateur. Il ne veut pas être pris pour un con. Il pose rapidement le pour et le contre. Nous n'avons rien dégradé, nous sommes consentants et je sais qu'il apprécie Julien, élève poli, sérieux et exemplaire.

— Bon, j'ai le temps, je vais réfléchir. Mais je dois prendre une sanction. Un tel comportement n'est pas admissible. Vous viendrez me voir au B.V.S. après vos cours. Vous avez intérêt à ne pas oublier...

— Merci Karim !

J'essaie de réconforter Julien mais je suis tout de même inquiet. J'ai un peu honte, mes pulsions sont la cause de nos problèmes. J'aurais dû me contenter de baiser à la maison. Julien me déculpabilise en me rappelant que lui aussi y trouve son plaisir. La journée nous semble longue, nous redoutons la fin des cours tout en n'en pouvant plus de ne pas être fixés. Karim nous attend au Bureau de la Vie Scolaire et nous fait signe de passer dans la salle des bagages. Il s'agit d'une salle sans fenêtre où les internes déposent leurs sacs tous les matins avant de le reprendre le soir. Nous sommes un peu surpris, mais pas trop. Les pions n'ont pas leur propre bureau comme les Conseillers Principaux d’Éducation et il cherche un endroit isolé pour nous dire ce qu'il a décidé dans la journée.

— Cela fait longtemps que vous vous pompez ?

— À la maison ou au lycée ? demande Julien. Depuis un mois et demi chez nous, une semaine ici.

— Tu ne sentais pas le sperme, Jérémy. Tu avais tout avalé avec soin ?

— Je suis hétéro ! Je n'ai jamais sucé et je ne le ferai jamais !

— Tu ne l'as jamais fait jusqu'à présent. J'ai trouvé ma sanction : tu vas sucer ton frère. Je suis sûr que tu l'as influencé. Tu es le responsable et tu dois être puni. Et puis, ton frère mérite que tu lui rendes la pareille, petit profiteur.

Je vais protester quand Julien ouvre son pantalon et baisse son boxer. Karim a peut-être raison, je ne suis pas gay, mais je ne dois pas me sentir supérieur à mon frère. Et puis, j'ai déjà pensé à le sucer, pour essayer, comprendre son plaisir. Mais j'avais l'impression qu'il m'admirerait moins si je me montrais moins dominateur. Je me mets donc à genoux. La présence du pion est quand même humiliante. J'ai une bite déjà à moitié bandée devant mon visage. C'est la première fois, sensation étrange... Je ne me sens pas prêt à mettre son gland dans la bouche. J'y fais un baiser avant de lécher la hampe et les couilles. Je prends mon courage à deux mains et gobe enfin son sexe. Julien gémit. Je pense qu'il attendait ça depuis un moment. Le salaud me prend la tête et me défonce la gueule à son rythme. Je lui ai fait la même chose des dizaines de fois, je ne lui en veux pas. Nous serons presque à égalité, parce que mon cul, pas touche ! Propriété privée. Je bande, je donne du plaisir à mon frère et j'en suis fier. C'est ma première pipe, elle ne doit pas être géniale, mais comme Julien ne s'est jamais fait sucer, il ne peut qu'apprécier ma pipe de débutant.

— Suce-moi salope ! Fais tourner ta langue ! Aspire plus vigoureusement, c'est bien, tu fais déjà des progrès, ma petite suceuse.

Il exagère. Me traiter ainsi devant Karim ! L'ordure. Le pion prend des photos avec son portable. Pourtant, les mots salaces de mon frangin m'excitent grave. Je prends mon plaisir dans la soumission comme dans la domination. L'inévitable se produit, Julien ne m'avertit pas, mais à ses mouvements plus désordonnés, à ses gémissements plus rauques, je devine que je vais me faire repeindre la gueule. Putain, c'est chaud et ça n'en finit pas ! Le goût n'est ni bon ni mauvais. Je montre ma bouche foutreuse à Julien et à Karim avant de tout avaler. Gros plan sur ma bouche désormais vide. Julien se rhabille et je me relève.

— Voilà, Karim, j'ai eu ma punition. Salut !

— Tu ne vas pas me laisser comme ça, dit Karim en se touchant le paquet. D'ailleurs, toi aussi tu bandes. Je ne t'ai pas dit de de relever. À genoux !

J'obéis. Il a l'autorité... et les photos ! Il ouvre son jeans et baisse son caleçon. Mon Dieu ! Il se paye le braquemart d'un acteur porno : 23 centimètres ! Je regarde mieux le pion : grand, musclé, très brun avec des yeux noirs déstabilisants, Karim est un beau mâle. C'est au moins ça, je me soumets à un mec hyper viril. Mon hétérosexualité officielle se sent moins menacée. Je me résigne et mets le gland dans ma petite cavité buccale. Karim est pressé, il m'enfonce une grande partie du chibre dans la gueule. J'ai peur. Je pleure, j'étouffe. Il n'en a cure. Il doit confondre ma bouche avec une chatte, ce n'est pas possible...

— Suce mieux, salope ! Joue avec ta langue... Sors ta bite et branle-toi, ma petite pute !

Jouer avec ma langue ! Impossible, avec une bite si large qui m'écarte complètement la gueule. Les insultes de Karim sont plus dures à supporter que celles de mon frère qui me regarde avec envie. Je me sens humilié devant cet homme qui me méprise. Je ne suis qu'un trou destiné à le soulager. Il n'y a chez lui aucune tendresse. Au bout de quelques minutes qui me paraissent interminables, Karim me remplit la gueule. Son jus est très fort et très amer. Il y en a beaucoup trop. Je me crois dégoûter quand je finis par jouir à mon tour. Karim vérifie que j'avale tout son foutre et récupère les gouttes qui coulent le long de mon menton. Quand il se rend compte que j'ai joui sur ses baskets, il me donne une gifle.

— Tu ne pouvais pas faire attention ! Heureusement que je m'en suis rendu compte ! Qu'aurait dit ma copine ? Lèche mes skets !

J'obéis une fois encore. Soumis, humilié, moi le petit mec dur. Je pleure. Karim me regarde, surpris. A-t-il honte de sa brusquerie ? Il me caresse doucement les cheveux et demande à Julien de me rouler une pelle pour me consoler.


III. Retour à la maison.

Nous rentrons à la maison sans parler. À peine arrivé, Julien sniffe un boxer blanc avec une ceinture bleue. Il est au ciel : deux poils pubiens sont collés au slip qui a visiblement été porté plusieurs jours... Pas très porté sur l'hygiène, le Jonathan ! Notre père rentre bientôt, complètement crevé. Il s'affale sur le canapé.

— Désolé les gars, je suis vanné ! Je n'ai plus la force de baiser... Amusez-vous sans moi. Que voulez-vous, je vieillis...

Heureusement, nous sommes des fils dévoués. Julien baisse le slip de Papa et commence à le sucer. Mon père l'encourage, explique que ce soir une bonne pipe lui suffit. J'embrasse Papa à pleine bouche, puis lui mordille les tétons. C'est la première fois que je le fais, je suis une soudaine intuition. Il apprécie et ferme les yeux. Je continue à descendre. Le nombril. Plus bas encore. J'ai sa queue magnifique devant les yeux. Julien lèche les couilles, la bite est libre. Pas pour longtemps. Je la gobe et commence à sucer. Rapidement, mon père ouvre les yeux. Il n'a pas reconnu la bouche de Julien. Il me regarde, surpris, puis me dit :

— Oh, Jérémy ! Qu'est-ce que tu fais ? Merci, merci mon fils... Tu es une bonne salope... Tu me fais du bien. Je suis fier de toi. Moi aussi, je t'aime...

Je m'applique de mon mieux. Je n'ai pas l'expérience de mon frangin, mais je veux lui prouver mon amour et mon adoration. Julien vient m'aider à le sucer. Nous enroulons nos langues le long de ce sexe merveilleux et quand Papa finit par jouir, nous nous battons presque pour avaler son jus. Le goût est encore différent, très fort. L'odeur est très puissante aussi. Je l'aime déjà. Nous nous réconcilions dans une pelle au foutre, nous partageons le précieux lait de couilles. Papa nous remercie et nous dit qu'il est le plus heureux des pères. Il me regarde comme il ne m'a jamais regardé, je me sens troublé, tout chose... Je suis heureux, ému et fier.

Il faudra que je remercie Karim demain. Je sais déjà comment. Pas toi ?

 

A suivre...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 16 mars 7 16 /03 /Mars 15:35

Episode précédent :  Frères jumeaux 2 : nouvelle complicité

 

Je suis dans la chambre ce soir, très occupé à faire semblant de résoudre mes exercices de maths, la matière que je déteste le plus (en fait, je n'aime que l'E.P.S., le travail est une malédiction, je l'ai appris au cathé), quand des cris interrompent ma douce torpeur au moment précis où j'allais caresser sans doute le projet d'envisager d'effleurer ces foutus exos. Des cris paternels, ce qui me surprend. Papa engueule Julien. Normalement, c'est plutôt moi ! Notre père est plutôt cool pour un vieux de 42 ans. Ouais, je sais on n'est pas vieux à cet âge-là d'après mon père, mais mon frère jumeau et moi avons 16 ans ! Tant qu'on le fait pas chier, il nous fout la paix. De toute façon, il n'est plus très crédible quand il nous engueule pour une mauvaise note depuis que Mamie (je l'adore) nous a montrés ses anciens bulletins. Il est fier que nous ayons choisi de vivre avec lui après le divorce. Ce n'était pas un dilemme pour nous, pas question de vivre avec notre mère maquée avec Christophe, le frère de mon père et donc oui, son beau-frère ! Trop glauque. Si j'y pense bien, il est même assez génial comme père : il décongèle les pizzas comme personne et ne dit rien quand je laisse traîner mes chaussettes sales par terre dans les endroits les plus incongrus. D'ailleurs, il fait la même chose... La vie entre hommes, cela a du bon. Maman est du genre maniaque. Quand je prends un verre pour boire, je dois aussitôt le laver, l'essuyer sans laisser aucune trace et le ranger. Elle abuse. Franchement, je suis plus heureux qu'à l'époque où ils étaient mariés. Finies les perpétuelles engueulades. Le bonheur, c'est la liberté, pas un bon repas ou un foyer bien tenu. En revanche, la vie ne doit pas être drôle tous les jours pour Papa. En effet, il a du mal à retrouver une copine, car les femmes de son âge sont pour la plupart divorcées de machos, et comme mon père en est un beau, elles n'ont pas envie de refaire la même erreur. Un soir, je l'ai surpris en train de se branler devant un DVD porno, c'était bizarre. Je sais bien qu'un père est aussi un homme, mais quand même... Au fait, il a une grosse bite, j'espère en avoir une aussi belle plus tard. Je me dirige vers la salle de bain d'où proviennent ces cris inhabituels.

— Sale PD ! Tu me fais honte ! Il n'y a jamais eu de tapettes dans ma famille ! Cela vient sûrement du côté de ta mère... Comment peux-tu me faire une chose pareille ? Trompé, humilié par ma femme avec mon propre frère... et maintenant, un de mes fils, la chair de mon sang me déçoit et me dégoûte ! Que vont dire les voisins qui se moquent déjà assez de moi depuis le divorce ? Le cocu est le père d'un PD... La totale. Tu crois que j'avais besoin de ça ? Tu sais, la vie des adultes n'est pas toujours facile, je ne m'amuse pas tous les jours au boulot, alors j'aimerais à la maison...

Julien baisse la tête, sans mot dire, avec dans le main gauche un slip blanc avec quelques tâches jaunâtres et d'autres plus suspectes, brillantes et fraîches. Un slip plus dans le genre des sous-vêtements paternels que de nos boxers. Je comprends tout. Il a été surpris en pleine crise de fétichisme. C'est comme cela que j'avais découvert son homosexualité. Cela ne lui a pas servi de leçon. En outre, je me sens trahi. Depuis un mois que mon frérot me suce matin et soir, je suis comblé. Lui ne l'est pas. Je ne lui suffis pas, ma bite ne lui suffit pas, mon amour propre en prend un coup. Heureusement qu'on ne peut pas être jaloux d'un slip, parce que sinon je me poserai des questions.

— Ah, Jérémy, te voilà. Tu le savais, toi, que ton frère est un sale petit PD ? Que tu partages ta chambre avec un gros pervers que j'ai surpris en train de se masturber en reniflant un slibard de son propre père ? Je vais vite régler cette affaire : Julien, tu fais tes bagages, et ouste, tu dégages chez ta mère. Toi, mon cher Jérémy, tu restes avec moi. Heureusement que je t'ai...

— Pas pour très longtemps, Papa. Je suis désolé, mais si Julien part, je le suis.

— Du chantage maintenant ? Toi aussi tu me déçois, Jérémy...

— Papa, je t'aime et te respecte, mais mon frère ne mérite pas de perdre ton affection. Quand j'ai découvert l'homosexualité de Julien, j'ai réagi plutôt violemment, n'est ce pas Juju ? Mais j'ai compris que j'avais tort. Regarde ton fils qui t'aime et qui souffre lui aussi... Julien, s'il te plaît, lâche ce slip !

— Je pense que la plupart des homos ne sniffent pas le slip de leur père. Julien n'est pas seulement gay, il est aussi pervers. Les jeunes de maintenant trouvent peut-être que l'homosexualité c'est cool, mais moi j'ai été élevé avec des valeurs.

— Et la tolérance, ce n'est pas une valeur ? Écoute ton cœur au lieu d'imaginer la réaction des voisins. Le Julien que tu aimais et dont tu étais fier il y a une heure à peine est toujours là.

— Peut-être que ce n'est qu'un passage dans la sexualité de ton frère ? Réponds franchement, Julien : tu te sens homo ou tu "t'amuses", si je peux dire ?

— Papa, je suis gay. Je ne changerai pas. Je ne veux pas te causer de mal, ni de peine. Tu es mon idole. J'ai remarqué que chaque soir tu te branles et que tu t'essuies avec le slip que tu as porté dans la journée. Puis tu le mets au sale et tu prends ta douche. Non, ne rougis pas, ne sois pas gêné, c'est naturel. Regarde ce que je fais ensuite...

J'y crois pas, le con ! Moi qui essaie de calmer notre père, le voilà qui se met à lécher le slip à la recherche de sperme encore frais... Papa va le tuer ! Mais non, le short de son pyjama prend vie : Papa bande ! Julien l'a remarqué aussi et le chauffe.

— Papa, ce n'est pas sale. Je viens de ce sperme, je suis né dans tes couilles. Cela ne me dégoûte pas parce que je t'aime, Papa. J'aime tout chez toi. Ta voix, tes mains, ta sueur, ton odeur... ton rire si rare, hélas, depuis trop longtemps.

Notre père bande comme un taureau mais il ne fera jamais le premier pas. Je le fais pour lui. Pour lui qui mérite mieux que ses branlettes, pour mon frère qui en a tellement envie et pour moi qui n'ai aucune envie d'aller vivre chez ma mère, mon oncle et mon cousin. Alors traîtreusement, par derrière, je baisse le short de mon père pendant que Julien se met à genoux. Le braquemart sort du short comme un diable de sa boîte. C'est la première fois que je vois de près une bite d'adulte. Je ne comprends pas pourquoi certains disent que c'est laid. La queue est énorme, 22 centimètres ! Les couilles poilues sont généreuses. C'est impressionnant. Je suis fier d'avoir un père si bien équipé. Ça y est, la bouche gourmande de Julien enfourne la grosse bite.

— Non, arrête Julien... Ce n'est pas bien... Tu es mon fils... Oui, c'est bon, personne ne m'a jamais sucé ainsi... Comment fais-tu pour me pomper entièrement, toutes les femmes que j'ai baisées ont prétendu que c'était impossible... Oh, je vais avoir honte demain...

Notre père enlève son T-shirt et dévoile un magnifique torse musclé et poilu juste où il faut. C'est vraiment un bel homme, une belle bête. La plupart des hétéros prétendent qu'ils ne sont pas capables d'apprécier la beauté chez un autre homme, c'est faux. Dès qu'ils détestent un homme sans savoir pourquoi, ils avouent qu'ils sont jaloux de sa plastique parfaite qui en fait un concurrent redoutable dans la chasse aux chattes. Je retire ce que j'ai dit auparavant, mon père n'est pas vieux, il est à point.

— Continue... Oui, les couilles... Ta langue... Qui t'a appris à sucer aussi bien ? Sûrement pas ta mère... Que fais-tu à mon gland ? C'est inespéré... Attends, je vais me retirer, je vais jouir... Je n'en peux plus...

— Non, Papa, je t'en supplie ! Le foutre n'est pas sale, c'est de là que je viens, je suis né dans tes couilles. Donne-moi tout.

— Tiens, ma petite salope chérie, avale tout !

Mon père prend mon frère par les oreilles et se termine en lui baisant férocement la gueule avant de le bloquer pour jouir directement au fond de sa gorge. Mais il y a tellement de bon jus dans les couilles de Papa que du sperme dégouline de la bouche. Il se retire enfin, il ne reste pas la moindre goutte et Julien, en le fixant effrontément comme il sait si bien le faire, se relève et ouvre sa bouche pleine avant de tout avaler. Quand il montre sa bouche vide, mon père, grand seigneur, récolte avec ses doigts virils les gouttes tombées sur le menton de son fils à nouveau chéri et les fait lécher. Julien est aux anges.

— Merci fiston ! C'est la deuxième fois que je jouis ce soir, mais la seconde fois était sans comparaison. Dîtes-moi, les garçons, depuis combien de temps vous vous amusez ensemble ?

— Cela fait un mois que Julien me suce dans mon lit tous les matins et tous les soirs. Il est très doué.

— C'est peu de le dire ! À partir de maintenant, si vous le voulez bien, je me joindrai à vous tous les soirs.

— Oui, répondons-nous dans un seul cri, un seul désir.

— Bon, j'ai joui deux fois ce soir, mais vous vous n'avez pas craché depuis ce matin. Ce n'est pas bon, à votre âge... Et il faut calmer ces érections. Julien, je comprends. Mais toi, Jérémy, mon fils hétéro, ça te fait bander de voir ton père se faire sucer par ton jumeau ?

— Le spectacle était magnifique : Julien a de si belles lèvres, et toi une si belle matraque...

— Merci. Passons aux choses sérieuses. Jérémy, tu vas enculer Julien. Ma "matraque", comme tu dis, est trop grosse pour une première fois. En tant que père aimant, mon rôle est de ne pas (trop) abîmer son jeune cul encore vierge pour peu de temps.

— Hein ? Mais je ne suis pas homo ! Je ne veux pas mettre ma bite dans le cul de mon frère. Sa bouche me suffit. D'ailleurs, je suis sûr que Julien n'en a pas envie.

— Arrête de dire des conneries. Bien sûr que j'en meurs d'envie. Mon cul veut connaître le plaisir que tu as trop longtemps réservé à ma bouche.

Trahi par mon frère jumeau... Papa nous amène dans sa chambre, le lit sera plus confortable que le carrelage de la salle de bain. C'est au tour de mon père de baisser mon pantalon et mon boxer. Julien n'a pas besoin d'aide. Papa dit que nous avons de beaux chibres pour notre âge. Il prend les choses en main.

— Julien, suce bien ton frère pour bien le lubrifier. Ne sois pas avare de ta langue, c'est ton intérêt !

Julien n'a pas besoin d'encouragements. Il me suce avec amour pendant qu'il se glisse un, puis deux doigts dans le cul.

— Julien, à quatre pattes ! Écarte tes fesses. Attends, je reviens.

Papa, toujours au garde-à-vous, revient en effet avec un appareil photo (numérique) et photographie l'anus encore vierge de son fils. Nous ne comprenons pas pourquoi, mais ne posons pas de questions. Très ému, j'approche ma bite du petit œillet et je m'enfonce lentement sur deux, trois centimètres. Julien crie. Pas encore de plaisir... Je crache et sur ma bite et sur son cul et cette fois j'y vais franco. Julien gémit, me demande d'y aller moins fort, mais comme Papa n'intervient pas et que la situation m'excite trop, je continue à m'occuper de mon plaisir. Le sien finira bien par arriver.

— Tais-toi, salope ! Tu voulais te faire enculer, alors tu assumes ! Qu'est-ce que tu croyais ? Que ça passerait comme une lettre à la poste ? Papa, mets-lui encore ta grosse bite dans la gueule pour le faire taire.

Je suis fier de dépuceler Julien. Mon frère se fait donc baiser par les deux trous. Celui qui m'accueille est chaud et étroit. J'ai l'impression que ce cul a été fait pour ma tige. Je l'élargis avec mes passages enragés. Je baise vraiment ! C'est autre chose que de se faire sucer, je passe dans la cour des grands. Et sur le lit de mon père ! Bon, ce n'est pas avec Mathilde, mais j'aurai déjà une certaine expérience quand cette allumeuse sera prête. J'ai l'idée de sortir ma queue complètement du trou et de le replonger d'un grand coup, et de recommencer. Bonne idée, très jouissive. Julien a l'air, lui aussi, d'apprécier. Son cul m'inspire.

— Tu aimes ma bite, ma salope, tu la sens t'élargir le trou de balle ? Tu ne seras plus jamais le même à partir d'aujourd'hui. Je vais jouir... Où veux-tu que je le fasse ? Dans ta gueule de putain ou dans ton cul de salope ?

— Dans mon cul de salope, frangin ! Ouais, je sens ton foutre qui jaillit dans mon trou ! Deux jets, trois jets, encore ! Tu l'aimes mon cul, hein ?

Je sors à regret de ce cul que je ne voulais pas pénétrer il y a encore vingt minutes : je ne pouvais pas savoir... Aussitôt, mon père prend la place, il retourne Julien et le met sur le dos avant d'entrer en lui d'un seul coup rude et sauvage. Il doit estimer que je l'ai assez ouvert et que mon foutre fait un bon lubrifiant. Julien ne pense pas la même chose, d'après les cris qu'il pousse. Je lui mets ma queue débandée dans la bouche, il la nettoie et la tète. Elle durcit de nouveau rapidement.

— Oh, Papa, comme tu me défonces ! Je sens les parois de mon cul qui ne se referment plus quand tu te retires avant de replonger. Je jouis du cul, c'est incroyable.

Mon père le baise avec une force incroyable, sa bite disparaît entièrement dans le petit trou. Ses coups de bassin semblent indiquer qu'il veut s'enfoncer encore plus. Il pénètre son fils sur le lit où il baisait notre mère. Y pense-t-il ? Il a déjà joui deux fois ce soir, alors mon frère déguste ! C'est trop, ce spectacle est si pervers. Je jouis dans la bouche de Julien. À peine ai-je enlevé ma queue de cette bouche bien aimée que mon père embrasse fougueusement mon frère, sa langue virile et conquérante remplaçant ma bite. Je suis troublé, leur premier baiser doit avoir le goût de mon jus... Cela n'a pas l'air de troubler mon père qui continue à explorer la bouche de Julien avec sa langue.

— Tiens, fiston chéri, aspire mon jus avec ton cul !

Mon père jouit enfin dans le cul de Julien, toujours en lui roulant des pelles. Il s'effondre sur lui et ne semble pas pressé de se retirer. Il le fait enfin. Le sperme dégouline. Il prend une nouvelle photo et la montre à Julien. À la vue de son cul déformé, ouvert et foutreux, Julien jouit... Quelle salope... Nous nous embrassons tous les trois sur la bouche, ce n'est pas facile mais c'est vachement excitant.

— Alors Papa, tu n'as pas été trop difficile à convaincre, lance mon frère qui n'a pas le triomphe modeste.

— Que veux-tu ? Je ne suis qu'un homme. Si tu arrives à faire bander un mec, tu en fais ce que tu veux...

— Bon, Papa, c'est pas tout, il faut qu'on aille faire nos valises pour aller chez Maman, lui dis-je en affectant mon air le plus résigné.

— P'tit con !

Ce "p'tit con" vaut tous les mots d'amour. Mon père adoré se jette sur moi en riant et me roule un patin inoubliable.

 

A suivre...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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