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POUR LE PLAISIR DES YEUX ET DES SENS...
L’histoire que je vais maintenant raconter s’est déroulée cet automne. Alors que je revenais de Paris où j’avais passé une semaine chez mes parents, je décide de faire une halte sur une aire d’autoroute pour me libérer d’un besoin pressant. J’avais une envie de pisser que je ne pouvais plus contenir. Je m’arrête donc et fonce vers le bloc des sanitaires.
En entrant je remarque un jeune mec à côté des lavabos mais n’y prête aucune attention. Je pénètre dans les toilettes et sans demander mon reste me vide la vessie. Putain que ça fait du bien ! J’ai l’impression que je ne vais jamais m’arrêter. Et finalement si.
Je sors alors des chiottes et me dirige vers les lavabos pour me laver les mains et en profiter pour me rafraîchir un peu la gueule. On a beau être fin septembre mais le soleil tape et il fait bien chaud. Arrivé devant les lavabos mon regard croise celui du jeune mec. Il semble avoir à peine quinze ans (il en avait en réalité 17), les cheveux courts et vêtu d’un jean assez large et d’un polo style skater. Il ne fait rien de particulier, appuyé contre l’un des lavabos. Un peu troublé je me lave les mains tout en continuant de le mater dans la glace.
Au moment de vouloir m’essuyer les mains je cherche désespérément une serviette ou quelque chose mais en vain. C’est alors que le gamin me demande dans un français approximatif si j’ai une clope. Surpris, je mets du temps à réagir mais finis par lui en offrir une. Le dialogue s’instaure alors et il me dit qu’il va vers le nord. Cela tombe bien, c’est aussi ma destination. Il cherche quelqu’un pour l’emmener et m’indique qu’il est prêt à rendre service s’il le faut. À partir de cet instant, je ne sais pas ce qui s’est passé dans ma tête mais les idées les plus folles ont commencé à tourbillonner. Et pas que dans ma tête. Je m’entends lui répondre que je suis d’accord pour l’aider à faire une partie de la route mais à une seule condition : il allait devoir faire exactement ce que je voulais. Je n’en revenais pas moi-même d’avoir dit cela ! Et le pire est qu’il me répond avec un grand sourire qu’il est d’accord ! Je ne pense pas qu’à ce moment il se doute de ce qui l’attend.
Nous reprenons donc la route ensemble. Ce môme m’excite vraiment et j’ai envie de me taper un délire avec lui, de le transformer en un jouet sexuel. Tout en conduisant, je l’observe de la tête aux pieds et je sens ma queue gonfler dans mon pantalon. Nous discutons de choses et d’autres lorsque je lui demande de remonter son polo pour me montrer son ventre et ses seins. Il se tourne alors vers moi et je peux lire dans ses yeux une interrogation. Voyant qu’il ne réagis pas plus, j’attrape son polo de la main droite et, alors que je le lui remonte, il commence à se débattre, empêchant ma manœuvre. Il me dit qu’il n’est pas homo et qu’il ne veut pas faire ça. La situation m’excite de plus en plus. Tout en continuant de conduire, je le saisis alors par les cheveux et lui intime l’ordre de faire ce que je viens de dire s’il ne veut pas que je lui en colle une. Il essaye de se reculer mais l’espace de la voiture ne le lui permet pas. Il est pris au piège et ne peut pas faire grand-chose. Voyant qu’il ne bouge pas plus, je lui balance une claque à réveiller un mort. Par réflexe il porte ses mains sur sa joue mais il est trop tard.
— « Vire ton polo et dépêche-toi, sinon t’en reprends une ! »
Dès lors il comprend qu’il n’a plus le choix. Il défait sa ceinture de sécurité et, lentement, il s’exécute.
— « Le t-shirt aussi ! Je veux te voir à poil ! »
Le ton est donné et je m’étonne moi-même. Tout va si vite que je perds carrément le contrôle de la situation. Il est maintenant torse nu, ses affaires en boule sur ses genoux, le regard droit devant, fixant la route. Je le laisse dans cet état un instant puis attrape ses affaires pour les jeter à l’arrière de la voiture.
— « Maintenant vire ton froc.
— Non, non, s’il vous plait, je veux descendre.
— Trop tard mon gars, il fallait réfléchir avant ! Allez, vire-moi ton froc ! »
Comme il ne réagit pas je lui envoie une deuxième baffe en travers de la gueule. Cela a pour effet de le faire se recroqueviller près de la porte. J’en profite alors pour lui mettre une main au paquet en attrapant sa bite à travers la toile de son jean. De peur de recevoir une autre baffe il ne bouge pas, se protégeant le visage. J’en profite pour lui malaxer le paquet. Très vite je lui défais sa ceinture et fais sauter les boutons de sa braguette. Je glisse une main à l’intérieur de son pantalon et je sens sa queue sous la toile de son slip. L’endroit est humide et il faut dire qu’il n’est pas trop mal monté... Je malaxe sa bite et ses couilles pendant un moment avant de lui redemander de retirer ses fringues. Voyant qu’il ne peut pas faire grand-chose d’autre, il s’exécute. Il descend son jean à mi cuisses et me regarde.
— « Retire tout, entièrement ! Je t’ai dit de te mettre à poil. Tu ne comprends pas le français ? Allez, magne-toi. »
Il retire alors ses baskets puis son jean et son slip. Je saisis alors l’ensemble pour l’envoyer à l’arrière avec le reste. Il est maintenant complètement nu et entièrement à ma merci.
— « Écarte les jambes ! »
Toujours de la main droite je lui attrape la bite et commence à jouer avec. Je le masturbe, lui tire les couilles après les avoir bien malaxées entre mes doigts. Rouge de honte il se laisse faire, laissant échapper de temps en temps de petits cris, sûrement dus à la douleur. Il faut dire que je n’y vais pas de main morte, surtout lorsque je lui décalotte le gland d’un coup sec. Je le pelote tant que je peux, lui pinçant les seins, les cuisses, les couilles. Puis je lui demande de bien écarter les jambes pour me présenter son cul. Sans préambule, je lui enfonce un doigt dans le cul qu’il a bien serré. Ma bite me fait mal et il est temps que je trouve un endroit pour m’arrêter. Je repère une nouvelle aire d’autoroute et fort heureusement celle-ci est pratiquement vide. Je choisis l’endroit le plus à l’écart près d’un sous-bois et arrête la voiture. Je me tourne alors vers lui. Il est en train de pleurer, le visage écarlate par les coups qu’il a pris.
— « Descends ! On va aller faire un tour !
— Mais...
— Ta gueule, descends si tu ne veux pas que ça soit moi qui t’éjecte ! »
J’ouvre sa portière et le pousse dehors. Je sors à mon tour et, l’attrapant par les cheveux, je le conduis sous les arbres, à l’abri des regards. Poussant des petits cris il suit tant bien que mal. Je le pousse ventre à terre et lui écarte les jambes pour bien voir son trou du cul. Je crache alors sur sa rondelle et lui enfile deux doigts d’un coup. Comme il n’est pas préparé, je sens une résistance et force un peu plus pour le pénétrer. Il pousse un cri de douleur, me demandant entre deux pleurs d’arrêter. Il ne se doute pas que cela m’excite encore plus... J’entame alors des va-et-vient avec mes doigts, lui écartant les fesses de ma main libre. Il gigote et essaye de résister à l’intrusion mais rien n’y fait. J’enfonce mes doigts bien au fond de son cul et les ressors complètement pour les réintroduire de nouveau. Très vite je rajoute un puis deux doigts. Je suis en train de lui éclater le cul et je n’ai plus qu’une envie c’est d’y mettre la main complète. Mes quatre doigts lui pilonnent les entrailles avec force sans tenir compte de ses plaintes et de ses pleurs.
Alors que je tente de lui introduire le pouce, il essaie de se dégager et je le saisis par les cheveux, tirant fortement en arrière pour le maintenir en place. À grosses doses de salive, j’arrive à faire entrer ma main dans ses entrailles et lui laboure le cul. Ce mec a un cul vraiment élastique et ma main entre et sort assez facilement. Il ne va pas oublier cet instant de sitôt ! Il pleure toujours mais reste calme et j’en profite alors pour lui attraper la bite et pour le masturber. À mon grand étonnement sa queue se met à gonfler. Sans retirer ma main de son cul je le fais s’allonger sur le dos. Sa queue est maintenant tendue vers le ciel, droite comme un I. Je continue de le fister et, en même temps, le branle lorsque je me rends compte qu’on nous observe.
Un mec est là : gros, type routier, une queue énorme à la main en train de se branler. Je lui fais alors signe de s’approcher. Il s’agenouille devant le gosse et lui attrape la tête pour lui enfiler son pieu dans la gorge. En de grands va-et-vient violents il lui défonce la bouche de sa grosse pine. Le môme manque de s’étouffer à chaque pénétration tellement la queue est énorme et longue. Cela ne dure pas très longtemps. Le mec se retire pour éjaculer sur la gueule du gamin. Il en a partout et le sperme lui dégouline sur les joues. Je ne peux me retenir plus longtemps et, devant cette vision, j’éjacule dans mon slip sans me toucher. Je retire alors ma main du cul de mon jouet et me relève. Je sors ma pine encore gluante et lui pisse dessus. Il ne bouge pas, allongé sur le côté il reçoit ma pisse sur lui sans rien dire. Celle-ci se mélange avec le sperme du routier.
Puis je le ramène à la voiture. Avant qu’il ne remonte je lui attache les mains dans le dos et je le bâillonne. Je lui fais prendre place sous le tableau de bord côté passager. Je n’en avais pas fini avec lui, surtout quand je me suis aperçu qu’il avait la queue bien tendue et bien grosse et qu'il souriait. Ce petit con était en train de prendre son pied finalement... Quel acteur !
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