L'histoire de la semaine

Dimanche 2 février 7 02 /02 /Fév 13:11

Au lycée je n’ai pas beaucoup de copains. Je suis un peu « sauvage ». Un garçon quand même fait souvent le chemin avec moi car il n’habite pas loin. Il s’appelle David, on est dans la même classe et on se voit parfois en dehors des trajets. Il est sportif, bien fait, grand, de la même taille que moi, musclé, un peu plus que moi, calme et gentil. J’aime bien être avec lui. Un jour on trainait ensemble en ville et on regardait les vitrines des magasins. Je lui disais que je m’achèterais bien un MP3 mais que je n’avais pas assez d’argent.

– « Si tu veux t’en faire, je connais un truc.

– Ouais super ! C’est lequel ?

– Ben ?... Je ne sais pas si tu vas être d’accord ?

– Ouais ? Pourquoi ? Je suis près à faire n’importe quoi !

– Là, je ne sais pas si ça va te plaire. Tu peux te faire facile 50 euros en quelques heures mais c’est spécial, c’est un photographe et faut se mettre à poil.

– Ah, d’accord ! Je ne l’ai jamais fait. Et c’est tout ?

– Ben oui. Tu prends des poses, ils te diront ce qu’il faut faire, c’est tout. Si tu leur plais tu peux te faire beaucoup d’argent. »

Je ne voyais pas de difficultés et, après tout, se mettre à poil ce n’était pas bien difficile. Je ne risquais rien à essayer…

– « Tu l’as déjà fait toi ?

– Quoi, des photos ? Oui bien sûr !

– Et ce n’est pas difficile de se mettre à poil devant un étranger ?

– Tu te mets bien en maillot de bain devant tout le monde à la piscine ou à la plage ? Là c’est pareil sauf qu’il n’y a pas de maillot. C’est tout ... »

Je réfléchis quelques instants. C’est vrai. Après tout, au vestiaire, je me mets bien à poil et ça ne me gêne pas.

– « Si tu peux me présenter ce photographe, je veux bien essayer. Si ça rapporte tant que ça...

– Tu verras, ils sont très gentils, tu n’as pas à avoir peur. Je leur parlerai de toi et je te dirai. »

Le lendemain au lycée David me dit qu’ils nous attendaient mardi prochain à 10 heures. On n’avait pas cours de 10 heures à midi et on avait tout le temps.

Le mardi matin je m’étais fais beau : bien coiffé, propre comme un sou neuf, sapé de propre, j’étais prêt. A 10 heures David et moi nous présentions à la porte d’un pavillon dans une rue calme non loin du lycée.

Le mec qui nous accueillit fut très sympa. Il emmena David et me laissa avec un type qui s’appelait Pierre et qui avait environ trente cinq ans. Sportif, décontracté, un peu artiste, très élégant.
Il me posa quelques questions, me dit qu’il faisait des photos de garçons pour des sites pornos américains et qu’il n’y avait que peu de chance que l’on me reconnaisse. Il me proposa de me maquiller un peu et de me poser des tatouages fictifs pour qu’on me reconnaisse moins.

– « D’accord ? T’es prêt ? On y va ?

– Prêt ! » Répondis-je.

Il m’emmena dans une pièce meublée comme une salle de séjour, toute blanche, confortable. Il y avait un canapé en cuir et des fauteuils, des lampadaires et des projecteurs. Au mur, une sorte de sculpture abstraite, des tableaux éclairés par des spots lumineux, des appareils photos sur pieds et tout un tas de matériel de photographie.

– « Tu te mets sur le canapé et tu te déshabilles lentement en essayant d’allécher l’objectif ! Tu vois ce que je veux dire ?

– Oui, je vais essayer… »

Je m’assis dans le canapé et il me donna des conseils.

– « Moins raide ! Ne regarde pas l’objectif, juste à coté ! Oui, comme ça ! Écarte les jambes qu’on voit bien ton paquet. Caresse-toi un peu ! Si tu bandais ce serait mieux… N’y pense pas, pense plutôt à un truc cochon, au dernier porno que t’as vu !... Maintenant quitte ton polo. Voilà, comme ça, caresse-toi les tétons, oui ! Tire un peu la langue. Oui ! Super ! »

J’essayais d’être le plus sexy possible, de montrer mon corps, mes formes même si je n’avais pas l’habitude de ça. Je sentais mon sexe gonfler dans mon slip, est-ce que ça se voyait ?

– « Allez c’est bien, on dirait que tu l’as déjà fait. Tu l’as déjà fait ?

– Non, c’est la première fois !

– Alors t’es doué ! Continue. Déboutonne ton pantalon, vas-y, ouvre-le, laisse apercevoir ton slip, ouais !... Super !

– Et David, il est où ?

– Oh, je ne sais pas, sans doute à coté en train de faire des photos. Pourquoi ?

– Comme ça, pour savoir.

– Tu sais, ici il ne faut pas s’intéresser à ce que font les autres. La discrétion est la règle. Ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire ! »

En disant cela, toujours sur l’écran de son appareil, il le prit à la main et s’approcha de moi pour faire des gros plans. De sa main libre il ajusta la mèche sur mon front, il me fit tourner la tête en me prenant le menton, écarta ma ceinture puis me l’arracha. Il fit descendre un peu mon pantalon pour dégager mes hanches.

– « Quitte-le ! »

Je baissais donc mon pantalon et me retrouvais en slip. Il me photographia en gros plan et cette situation m’excita un peu plus. Je sentais mon sexe grossir de plus en plus. De sa main il soupesa mon sexe dans la poche de mon slip. J’eus un réflexe de recul.

– « N’aie pas peur, je veux juste te mettre en valeur. » M’expliqua-t-il. « Vas-y, continue à bouger. »

On reprit les poses.

– « Quitte-le aussi ! » Dit-il.

– « Quoi ? Mon slip ?

– Ben oui, t’as plus que ça que je sache ! » Me répondit-il en riant. « T’es là pour ça, non ? »

Devant cette évidence je ne pouvais plus me dérober. Je mis les mains sur ma ceinture élastique et commençais en hésitant à le quitter.

– « Allez, vas-y doucement ! Arrête-toi là, oui, retourne-toi, c’est ça, montre-moi tes fesses ! Ah j’adore, elles sont bien rondes et fermes comme j’aime ! »

Il était tout près et me mis une petite tape.

– « Allez, tourne-toi encore ! Allez, baisse un peu plus ton slibard ! Montre-moi tes poils et la naissance de ta queue. »

Il tendit la main et mit mon slip dans la position voulue. Pour cela il effleura ma bite. J’eus de nouveau un réflexe de recul. Je n’avais pas l’habitude qu’un homme, comme une femme d’ailleurs, s’approche de mon intimité.

– « Oh t’es craintif ! T’en fais pas, je ne vais pas te violer. »

Je crus l’entendre murmurer : « Quoi que !... » Mais je n’en suis pas sûr... Il continuait à faire ses photos. Puis tout d’un coup il annonça la pose. Il déposa son appareil par terre et s’assit à côté de moi. J’avais encore mon slip en haut des cuisses, la bite à moitié découverte. Il se tourna vers moi et me quitta complètement mon slip.

– « Fais-moi voir comment t’es monté ! Oh, plutôt pas mal pour ton âge ! » S’exclama-t-il. « Je peux toucher ? »

Et sans attendre de réponse il prit ma tige en main et se mit à la branler. Il mit l’autre main entre mes cuisses et me caressa les testicules.

– « T’es très mignon. Je sens qu’on va bien s’entendre tous les deux. »

Je ne répondis pas et me laissais faire. Je le regardais me branler et, quand il se pencha pour déposer sur mon gland un baiser, je m’enfonçais dans le canapé.

– « Tu aimes qu’on te caresse ? » Me demanda-t-il négligemment.

– « Je ne sais pas, c’est la première fois.

– Oh tu blagues ! Ce n’est pas la première fois qu’on te caresse ?

– La première fois qu’un homme. Je ne suis pas pédé.

– T’es pas pédé et tu viens de te foutre à poil devant moi ? Tu te laisses caresser ? Explique-moi.

– Ben j’ai besoin d’argent. » Avançais-je timidement.

– « Ah c’est pour l’argent, ça explique tout ! Et pour 50 de plus tu veux bien que je te suce ? » Dit-il en riant.

Il se mit à me sucer la bite. C’était bon. Je me sentis de plus en plus excité. Je sentais le sperme monter dans ma tige.

– « Arrête je viens ! »

Il me lâcha et se mit à me regarder dans les yeux.

– « Tu sais que t’es pas mal pour un hétéro. T’as une petite amie ?

– Non.

– Et avec David, tu l’as déjà fait ?

– Non ! Il est pédé ? » Demandais-je étonné.

– « A ton avis ? »

Je compris que j’avais été piégé. J’allais me faire mettre pour pas cher...

– « Bon c’est midi, il faut que tu rentres chez toi, ta mère va se faire du souci ! Comme t’as été sympa et un bon modèle je te donne le double du prix convenu. Ça te va ?

– Oui très bien, merci. Je peux revenir ?

– Quand tu veux ! On reprendra cette conversation. Je vais voir où en est David pendant que tu te rhabilles. »

Il quitta la pièce et laissa la porte ouverte. Je vis David dans la pièce à coté avec le mec qui nous avait accueillis. Ils discutaient avec mon photographe.

Quand je fus rhabillé, je les rejoignais.

– « Alors cette séance de photos, pas trop difficile pour une première fois ?

– Si un peu mais je m’y ferai !

– Si je comprends bien tu as l’intention de revenir ?

– Oui ! Si vous êtes d’accord.

– Pas de problème. Il parait que tu t’y prends bien. Voyons le programme... Mardi prochain à 10 heures ça va ?

– Parfait pour moi. » Dis-je.

 – « Pour moi aussi ! » Dit David.

Sur le chemin du retour, David me dit.

– « Alors, il t’a donné combien ?

– 100. 

– Seulement ? T’as pas dû faire tout ce qu’il te demandait ! D’ailleurs il n’avait pas l’air très content. Il me l’a dit.

– Ah ? A moi il m’a dit qu’il était content et qu’il me donnait le double du prix convenu parce qu’il était satisfait.

– D’accord, c’est la première fois, c’est normal. T’as pas dû faire tout ce qu’il voulait. Ils m’ont plus ou moins dit de t’initier... La prochaine fois laisse-toi faire, tu verras il sera encore plus généreux !
– Le laisser faire ? Tu veux dire tout, le laisser me faire l’amour s’il veut ?

– Ben oui ! Il n’a pas essayé ?

– Si mais je ne l’ai pas laissé faire.

– Eh bien voilà ! La prochaine fois laisse le faire ce qu’il veut ...

– Mais je ne l’ai jamais fait avant. Je ne sais pas !

– Tu veux que je te montre ? T’as qu’à venir samedi chez moi, je te montrerai. »

Rendez-vous fut prit.

 

A suivre :  Séance photo d'initiation - Suite

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 26 janvier 7 26 /01 /Jan 13:51

Ma fille avait prévu de fêter ses 18 ans à la maison. Avec notre accord nous l'avons laissé seule avec ses amis et sommes rentrés très tard ! Le lendemain, ma femme partie travailler, je descends et ma fille était avec 2 copines à elle occupées à ranger ainsi que 2 de ses copains, 2 jeunes rebeus des cités avoisinantes. Ils avaient tous dormi ici.

Elle connaissait ces garçons depuis des années et si, au début, j'avais eu un peu du mal avec eux car je les trouvais un peu branleurs et fainéants, mon opinion avait bien changé envers eux même si j'avais été dur en les traitant parfois de délinquants et de bâtards... Mais pour moi c'était du passé !

Je les laisse à leurs affaires et monte me doucher. Alors que je suis dans ma chambre, après ma douche, je vois Abdel entrer dans la salle de bain face à ma chambre et, ne faisant pas attention à ma présence avoisinante, laisse la porte bien entrouverte et se déshabille, se retrouvant nu... J'ai été très surpris de constater que malgré un corps très fin, bien que légèrement musclé (il doit mesurer 1m65 pour 60kgs à peine), il est doté d'une queue assez grosse. J'ai fait beaucoup de sport, du rugby dans ma jeunesse, je suis habitué à voir des mecs nus et je n'ai jamais eu de souci. Je me situe dans la moyenne masculine mais avec mon mètre 85 et mes 85kgs, ma queue me parait soudain petite, en tout cas en dessous de celle d’Abdel. Il va sous la douche et sans réfléchir je m’approche de la porte et je l'observe se doucher, admirant son corps et surtout cette queue qui pend lourdement entre ses cuisses...

Durant quelques minutes, je reste figé comme ça, jusqu'à sentir mon sexe gonfler dans mon caleçon... Soudain, un choc violent dans le dos et me voilà projeté au milieu de la salle de bain... Abdel sort précipitamment de la douche, surpris... et me voilà à ses pieds ainsi que ceux de Mustafa !!!

- « Et alors "papa", tu te rinces l’œil ? Tu aimes les petits mecs ? Putain frère, le vieux te matait derrière la porte… Putain il kiffe "papa"... »

En effet, mon sexe dressé dans mon slip ne pouvait mentir. Je bredouille tout en me relevant, mes yeux toujours fixés sur cette bite, puis ne sachant où poser mon regard...

- « Ecoutez les gars, ce n’est pas ce que vous croyez, je vais vous laisser. »

Et je me dirige vers la porte mais Mustafa la referme brusquement :

-  « Ah non, tu ne vas pas t’en sortir comme ça ! Vas falloir payer le vieux ! »

Sans discuter j'accepte et je leur dis que je vais dans ma chambre chercher mon porte feuille. Je reviens aussitôt et leur sors 200€ qu'ils prennent. Abdel me regarde :

- « Hé hé ! Mais tu sais, on pourrait arranger quelque chose. Je n’ai pas baisé à la fête de ta fille et j’ai les couilles bien pleines…

- Ah ouais, bonne idée ! »

Réponds Mustafa qui baisse rapidement son survêt, me prouvant qu'il n'avait rien à envier à son pote... En déballant une longue et belle queue pas vraiment large.

- « Non écoutez les garçons, on va oublier cet incident. Vous avez l’argent et…

- Ta gueule papa ! On ne te demande pas, tu vas nous sucer chacun à notre tour sinon on appelle ta fifille chérie qui est en bas. Elle, a déjà vu son papa adoré en slip, la bite tendue entre deux gars ??? »

J'ai vite compris qu’ils ne rigolaient pas et, de toute façon, je dois dire que je ne débandais pas face à ces deux queues qui se présentaient sous mes yeux... Ils m'ont emmené dans ma chambre et m'ont dit de retirer mon slip. Je me sens confus et gêné, nu devant ces gamins. Je suis deux fois plus grand et large qu'eux mais je suis paralysé devant leur aplomb. Mustafa se poste devant moi et saisit mon sexe.

- « Elle doit pas trop crier maman avec toi, pas vrai ? Pourtant elle est bonne ta femme ! Tu imagines comme elle s’éclaterait avec moi ? »

Alors même qu'ils s'attaquent à ma fierté je ne bronche pas, ce qui leur plait... Mustafa va à la porte et Abdel s’approche et m'ordonne de me mettre à ses genoux. Ca y est je suis certain maintenant que ce n'est pas un jeu. A peine mon genou posé à terre que sa main agrippe ma tête et qu'il enfourne sa queue dans ma bouche. Pour la première fois de ma vie je me retrouve avec un sexe d'homme entre mes lèvres, de bons centimètres qui poussent dans ma bouche et auxquels je résiste à peine, la main derrière ma nuque retenant la moindre tentative de recul... J'ai le nez collé à son bas-ventre tellement il appuie... Je n'arrive presque pas à respirer et j'entends Mustafa :

- « Vas-y, fais-lui bouffer ta teub ! Il va déguster le papa… Tu vas savoir c’est quoi une vraie bite ! »

Rapidement, sa queue prend de plus en plus d'espace dans ma cavité et, dès qu'il relâche la pression, je me recule afin de respirer un grand coup. Devant moi se dresse une grosse bite de 18 bons cm, un gland découvert rose qui ne demande qu'à être mangé... Ma main prend ses couilles rasées de près et ma bouche se pose tout autour de son gros gland et je descends afin de gober sa tige gorgée de sang. Elle est grosse et ma tête fait ses mouvements que je n'aurais jamais cru faire un jour… Abdel soupire et me félicite :

- « Hummm, vas-y mon cochon, putain t’es un chaud ! Tu aimes ça, hein ? »

Il s'agit d'une erreur de ma part au départ mais je dois avouer que c'est très excitant de sentir cet engin dans ma bouche ! Comme je disais, je n'ai jamais eu de souci concernant ma virilité mais devant eux tout s'est effondré et ils en profitent... Bien que maladroit de temps à autres, je suce ce membre épais, ma langue virevoltant sur son bout pour descendre tout le long de sa tige… Sous les insultes de Mustafa qui ne rate rien...

La main d’Abdel derrière ma tête donne une légère cadence, synchronisée avec ses hanches qui vont d'avant en arrière... Sa queue glisse délicatement dans ma bouche. Durant cinq minutes je vais sucer Abdel avec le plaisir de l'entendre gémir...

- « Allez bordel, c’est à moi maintenant ! Laisse-moi la place mon frère, que je lui fasse bouffer ma teub à cette pute !!! »

Et Abdel se retire pour lui laisser la place et mater à son tour... Mustafa prend sa bite en main, elle est déjà légèrement plus grosse que tout à l'heure. Il ne bande pas encore mais ça va vite venir et, sans aucune délicatesse, il me la met en bouche...

- « Vas-y, bouffe, bouffe ! C’est ça, ça te plaît la queue d’arabe ! Allez, il est bien le papa… »

Sa bite prend très vite des proportions géantes dans ma bouche si bien que cette fois je ne respire plus. Il maintient avec force ma tête et ce pieu gonfle en moi et se tape au fond de ma gorge... Sans un mot il se retire. Sa queue fait plus de 20 cm : je ne peux pas dire combien mais elle est longue et large, c'est impressionnant... Il saisit mon visage de chaque coté, rentre sa queue à nouveau et commence ses va et vient entre mes lèvres.

- « Tu aimes ? Tu aimes… Suce-moi bâtard ! Tu te souviens, c’était nous les bâtards que tu disais… Tu vois qu’ils te mettent bien les bâtards ? »

Et il me baise la bouche avec une force grandissante. Je me laisse faire, je ne peux rien dire, à peine je peux sortir des gémissements tout en le suçant. Je m'imagine ce que ça aurait été si j'avais eu une bite pareille : j'en aurais fait hurler des gonzesses ! Il est vrai que je n'ai jamais fait monter ma femme au rideau... Il a ralenti mais je le suce avidement, profitant du moindre morceau de chair qu'il m'offre... Ma bite, qui me semble ridicule maintenant, me fait mal tellement je bande... Il me pousse une première fois. Je recule mais je reviens immédiatement pour la reprendre en bouche... Il me repousse à nouveau, je tombe en arrière...

- « Putain, ça te plait de nous sucer !!! »

Tout ce que je trouve à répondre c'est un oui timide... Je vais pour me relever en m'avançant vers lui et il me jette au sol... Je bascule et me retrouve à quatre pattes...

- « Oh mon salaud, t’en veux encore plus ? On n’a pas fini t’inquiète… »

Sans me laisser trente secondes il glisse sa main entre mes fesses...

- « Hummm, t’as une chatte profonde mon gros ! Fais voir ton minou… »

Et, sans aucun ménagement, je sens son doigt trifouiller mon anus. Abdel a quitté son poste et se retrouve à coté de nous... Je leur dis :

- « Non les gars, c'est une blague, laissez-moi maintenant, je vais continuer à vous sucer... »

- Ta gueule ! » Me lance Abdel.

Mustafa se dirige vers ma salle de bain et Abdel se lèche les doigts. D’un coup sec il entre un doigt dans mon trou serré...

- «  Noooooon stp… »

Mais en même temps je lâche un petit gémissement. Plutôt que de me relever je le laisse tourner en moi avec son majeur adroit... Mustafa revient avec une bouteille. C'est la bouteille de shampoing.

- « Tiens Abdel, vas-y… »

Je sens un deuxième doigt s'aventurer en moi. Ca me pique un peu au cul mais c'est supportable. Il joue quelques secondes avec ses phalanges avant de me foutre une masse de shampooing au cul... Je sursaute car c'est froid et ses doigts s'insinuent plus fort et plus facilement dans mon fion qui se dilate doucement... Je laisse échapper de petits gémissements.

- « T'es une putain de cochonne ! On va te faire gueuler mon gros… »

Je ne suis pas obèse mais je reste massif, avec la pratique plus jeune, du rugby...

Abdel se pose derrière moi. Je me cramponne sur mes bras. Je ne me reconnais pas. Je suis au sol, à attendre de me faire enculer par ce gamin... Je lui offre mes fesses. Sa queue se glisse entre mes fesses bien rondes, je le sens glisser entre elles. J'aimerai tant l'avoir cette bite ! Il se place, je sens une pression s'exercer sur mon orifice... Il pousse une fois... encore une... ça ne veut pas rentrer ! Ses doigts reviennent et écartent mes parois. Il commence à me faire mal. Mustafa me fout sa bite en bouche à nouveau...

Abdel se replace. Mustafa tire ma tête en arrière, me regarde et un éclair parcourt mon corps lorsque je sens Abdel me pénétrer d'un geste violent. Je laisse échapper un cri de douleur mais Mustafa me fout immédiatement un linge en bouche pour que je n'ameute personne. Abdel reste immobile trente secondes, sa queue en moi. La douleur me lance dans mon corps de la tête aux pieds...

- « Regarde-moi bouffon ! On était des loosers et maintenant il prend notre zob dans son cul ! »

Pendant qu’Abdel entame ses mouvements en moi, je me retrouve à nouveau à sucer Mustafa. Sa main me maintient mais il me laisse le sucer sans me commander. La douleur est toujours présente, des frissons parcourent mon corps et je me laisse dominer par eux deux comme depuis le début !

- « Il a le cul trop bien fermé frérot, tu vas kiffer ! On n’a pas eu la fille mais le cul du père est terrible ! Si tu veux, on s’occupe de ta femme après : qu’elle sache ce que c’est que de se la faire mettre… »

Et ils éclatent de rire. A ce moment précis, je prends conscience de la situation dans laquelle je me suis fourré et de l'humiliation que je subis... A leurs yeux, je ne suis même pas un homme...  Une bite devant, une autre derrière : je suis un trou... Mais je me délecte de ces sexes gonflés en moi. Mon anus bien dilaté est limé par Abdel, ses coups de butoir sont secs et violents, il agrippe mes hanches tout en accélérant le rythme... Je gémis telle une pucelle, ma respiration se fait rapide et saccadée pendant qu'il me bourre le cul... Il jouit au bout de quelques minutes en moi. Son jus se répand dans mes entrailles !!!! Mustafa le remplace sans attendre. Sa bite vient encore élargir mon cul déjà bien dilaté...

- « Hummm ah ouais, elle était vierge ta chatte avant de nous connaître… Allez, je vais te montrer comment on les baise les petits cochons comme toi. Tu la sens bien ma bite dans ton cul ? »

Les seules réponses que je peux lui donner sont mes gémissements et mes cris de douleurs, mélangé aux cris de plaisir qui m'assaillent... Il me défonce le cul avec agressivité. Sa bite entre et sort à toute vitesse. Il ralentit et sa main saisit mes couilles qu'il serre fort, j'hurle de douleur...

- « Ta gueule papa ! Ta fille va nous entendre… »

Et il sert encore. Les larmes coulent de mon visage...

- « Ils sont où les bâtards maintenant ? C’est qui l’homme ? Tu vois, c’est pas le travail ou le beau costume qui fait l’homme… Regarde-toi avec ma grosse bite dans le cul ! »

Je lui dis que oui, il a raison, je me rends totalement à lui... Et il me laboure à nouveau. Ses couilles frappant les miennes gonflées à bloc, je bande à mort. Je suis sur le point de jouir tellement je suis excité...

- « Je vais te faire couiner comme une bonne truie ! Je veux t’entendre couiner… » Hurle Mustafa.

Et me voilà à imiter les cris de porc, de truie... selon son bon vouloir ! Il va me baiser encore quelques minutes avant de jouir en moi aussi. Il se bloque en moi, j'ai l'impression que ça dure des heures avant qu'il ne se retire... Je tombe d'épuisement, mes bras me lâchent et je me retrouve à leurs pieds comme une serviette... En l'espace de vingt minutes me voilà devenu la lope de ces deux gamins mais quel plaisir !

Ils sont sortis se doucher. J'en ai fait de même. J'en ai profité pour me branler et laisser exploser ma jouissance... Ils sont partis et ma fille n'a rien remarqué !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 19 janvier 7 19 /01 /Jan 14:00

J'avais 18 ans lorsque je suis arrivé au lycée en terminale pour y rentrer comme interne. Beaucoup de mecs se connaissaient déjà et je me sentais seul, voire angoissé parfois. Tout me semblait si calme...

Jusqu'à ce qu'un soir, en rentrant de la douche, un mec a ricané après avoir remarqué que je bandais. Je n'avais qu'une serviette autour de mes hanches et il n'était vraiment pas difficile de s'apercevoir que dessous j'avais la bite toute dure et pointant vers le haut. Ce mec qui s'appelait Eric a dit aux deux autres internes qui traînaient dans le coin :

- « Mais il bande !!! On va le bizuter. »

Je me suis tout à coup senti très mal. J'avais peur et pourtant cela me faisait bander encore plus. Ils vinrent vers moi et, en deux secondes, ils m'ôtèrent ma serviette. Laurent, le plus costaud et le plus beau aussi, dit :

- « S'il bande c'est qu'il est PD et je sais comment on peut vérifier. »

Eric et Pierre m'empoignèrent par les bras pour m'immobiliser tandis que Laurent, torse nu et en pantalon de pyjama, se campait devant moi. Ses yeux restaient impassiblement fixés sur ma queue raidie tandis qu'un léger sourire se dessinait sur sa bouche.

- « On va l'emmener sur son pieu et on va lui raser la bite. »

J'essayais de me débattre, de me sortir de là mais rien n'y faisait. Je n'ai donc rien pu faire d'autre que de me laisser traîner jusqu'à mon lit. Là ils m'ont forcé à m'allonger sur le lit. Puis ils me cramponnèrent tant bien que mal, le temps pour Laurent d'aller chercher son rasoir et sa mousse à raser. Lorsqu'il est revenu, il a proposé à Eric de s'asseoir sur mon torse, de poser ses genoux sur mes bras afin de bien m'immobiliser. Je sentis sans les voir les doigts de Laurent venir me palper les testicules. J'éprouvais un plaisir inouï, je rêvais de Laurent depuis le jour où je l'avais croisé et je n'aurais jamais imaginé que tout ça se passerait. Et sans savoir si je fantasmais ou non j'avais l'impression qu'il prenait lui aussi du plaisir.

Ensuite, le bruit de la bombe puis le froid de la mousse qui est venu m'enduire les couilles... Tout en me massant de nouveau les testicules tout doucement, Laurent s'est écrié :

- « Tu vas voir, tu vas avoir deux œufs tout lisses... 

- Et une queue toute lisse aussi ! », a rajouté Pierre qui, lui, me tenaient les chevilles.

Une fois que mes couilles se sont retrouvées rasées, Laurent a proposé à Eric de venir le remplacer pour raser cette fois la queue. A son tour donc, Eric est venu se mettre à genoux sur moi. Ses cuisses m'enserraient la tête et mes bras étaient complètement immobilisés sous le poids de ses mollets. Eric a commencé à me raser la queue qui restait toujours aussi dure. Mais il s'y prenait beaucoup moins bien que Laurent et ça ne me faisait guère d'effet. Par contre, le paquet de Laurent n'était finalement pas très loin de mon visage.
Lui, Laurent me regardait en silence. Ses yeux brillaient et son sourire le rendait encore plus beau. Tout à coup j'ai vu son gland rose et décalotté pointer légèrement par la fente de son pyjama. Il ne portait pas de slip et commençait sérieusement à bander. Sans complexe il a laissé sortir son sexe entièrement et l'a laissé se déposer sur mes lèvres.

- « Tu te fais sucer ? » dit Pierre.

Laurent ne répondit pas tout de suite...

- « Ça ne va pas tarder... »

J'ai doucement entrouvert ma bouche. Son gland s'est légèrement introduit entre mes lèvres. Il était tiède et j'avais très envie de le sucer mieux que ça mais j'avais presque honte. Ça ne m'était jamais arrivé... En plus, dans la position où j'étais, ça n'était pas vraiment facile pour moi. Alors, doucement, il a glissé sa main derrière mon cou afin de me soutenir la tête. J'ai pu alors le sucer plus facilement. Sa queue glissait très loin dans mon gosier mais lorsque je me suis mis à tousser, croyant m'étouffer, sa bite est devenue plus douce et moins nerveuse. Pendant ce temps Eric finissait de me raser. J'aurais en fait aimé que ce soit interminable car je savais très bientôt qu'à partir du moment où il aurait fini de me raser tout s'arrêterait. C'est effectivement ce qui s'est passé. Ils m'ont laissé, gisant nu sur mon lit et ont éteint la lumière presque aussitôt.

Je suis resté un long moment immobile, à la fois à re-savourer dans ma tête ce que Laurent venait de me faire vivre et à me palper les testicules brûlants et désormais lisses, ainsi que mon sexe redevenu mou.

Mais un quart d'heure plus tard j'ai senti une présence se rapprocher de mon lit.

- « C'est Laurent », me dit-il tout bas.

Je restai silencieux, attendant de voir ce qu'il allait faire. Il s'est rapproché de moi, a pris mon visage entre ses mains et m'a embrassé. Des larmes chaudes de bonheur ont coulé sur mes joues.

- « Ne pleure pas s'il te plait... Je t'aime, je t'aime... »

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 12:55

C'était il y a un an à peine et je n'avais que dix-sept ans depuis peu. C'était en fin du mois de juin au bord de mer où je retrouvais chaque week-end quatre bons camarades d'un ou deux ans plus âgés que moi. Il y avait Jacques et Pierre, dix-neuf ans tous les deux, Alain, dix-huit ans et fabien à peine... Fabien est toujours celui que je préfère car il est très proche de moi dans les idées et les goûts et il est le plus attentif à notre bonne entente et à notre complicité mutuelle. Jacques, Pierre et Alain sont quant à eux très sympas mais à mon goût plus ordinaires que Fabien. Néanmoins nous nous entendons tous les cinq très bien et nous passons ensemble de bons moments d'insouciance.
L'action s'est passée un samedi après-midi très ensoleillé de juin 89. Toute l'équipe que nous étions avait gagné une plage isolée et tranquille où nous avions l'habitude de nous amuser et de nous baigner. Ce jour-là, et je m'en souviens encore comme si c'était hier, après nous être longuement baignés nous avions devisé à bâtons rompus sous les rayons du soleil qui nous bronzait le corps. Sans savoir comment notre discussion en était venue sur les petits problèmes de sexe. Fabien et moi étions plutôt attentifs aux propos de Pierre, Jacques et Alain. Jacques et Pierre étaient plutôt du genre moqueur. Nous prenant à partie, Fabien et moi, le premier eut l'idée saugrenue de me provoquer et me mit au défi de m'exhiber devant tous.
Désemparé et désarmé devant son autorité mais aussi devant sa prestance physique, je me suis hasardé toutefois à lui retourner le défi, rouge jusqu'à la pointe des pieds par la tournure que prenait la discussion. Fabien s'insurgea en prenant ma défense. Mais en un éclair, Jacques, Pierre et Alain se levèrent brutalement et se précipitèrent sur moi sans que j'eusse le temps de faire le moindre geste. Jacques m'immobilisa avec force les jambes et Pierre en fit tout autant des bras et des épaules. Alain se contenta de tenir en respect Fabien pour ne pas qu'il s'interpose s'il ne voulait qu'il lui en coûte. Jacques et Pierre m'ont maintenu immobilisé sur le dos ainsi de bonnes minutes en me pressant de questions indiscrètes et intimes dont j'avais honte et auxquelles je me suis refusé de répondre. Assez sensible je me mis à éclater en sanglots, honteux de la situation. Surveillé par Alain, Fabien malgré tout me réconforta et, dans un élan de tendresse, m'embrassa le front et les joues mouillées de larmes.
Alain pria Fabien de s'écarter et de rester sage. Fortement maintenu par Jacques et Pierre, Alain se plaça sur le côté et dessina du bout de ses doigts des arabesques sur ma poitrine, glissant sur mon ventre, allant sur mes cuisses et remontant en ligne directe par le devant de mon slip de bain. Tout en sanglotant je les suppliais de me laisser tranquille. Rien n'y fit. Très doucement Alain glissa sa main dans mon slip et me toucha la verge et les boules. Fabien se pencha sur mon visage et se contenta de me tenir des propos rassurants. Alain retira sa main de mon slip et cette fois, de ses deux mains, il baissa mon slip au plus bas, jusqu'aux genoux. Je me trouvais ainsi exhibé aux yeux de Pierre, Jacques et Alain ainsi que de Fabien pour la toute première fois.
Anéanti et impuissant ma résistance m'abandonna. Toujours maintenu par Jacques et Pierre, Alain abusa de mon immobilisation pour jouer avec mes couilles et ma bite qu'il décrivait et commentait gentiment au reste du groupe. Avec une expérience indéniable il sut me palper les boules, vérifier qu'elles étaient à la fois bien descendues et bien accrochées. Sous ses attouchements je sentis une érection naissante. Cela facilita Alain dans son exposé anatomique pour prendre ma verge entre ses doigts et tenter de me découvrir le gland. J'ai crié aussitôt qu'il arrête, que cela me faisait mal. Fabien se pencha sur moi, me caressa le visage et me rassura de ne pas paniquer car je risquais d'avoir encore plus mal. Sans pouvoir en expliquer la vraie raison j'ai imploré du regard Fabien et, dans le même temps, j'ai étouffé mes pleurs.
Fabien me tenait toujours la main pendant qu'Alain me masturbait légèrement et se montrait très attentionné pour me découvrir tout doucement le gland. Il humecta de salive le bout de ma verge et força par passes successives sur le prépuce. Après plusieurs passages je ne pus retenir un léger cri lorsque le prépuce glissa totalement, découvrant mon petit bout rouge sous les regards satisfaits de Pierre, Jacques, Alain et Fabien qui me couvrit d'un baiser du bout des lèvres, comme une récompense d'avoir bien passé l'épreuve.
Indéniablement Jacques, Pierre et Alain faisaient preuve d'une certaine expérience en la matière. Pierre proposa que l'on me fasse jouir et ce fut approuvé par Jacques et Alain. Fabien suggéra qu'on me laisse tranquille mais il ne fut pas écouté. Alain saisit à nouveau ma verge entre ses doigts et entreprit de me masturber. Il le fit très adroitement car il sut ne pas m'irriter le petit bout. Rapidement il provoqua une érection très ferme tout en me massant le pubis et les boules et en poussant même ses caresses jusqu'aux abords de mon anus. Je transpirais beaucoup, ce qui lui facilitait d'autant les caresses et lui permettait de s'imiscer loin entre mes fesses. De plus en plus je sentais le plaisir venir. J'ai fermé les yeux pour ne pas voir les visages réjouis de mes camarades. C'est à cet instant qu'Alain a décidé de me sucer. Sa bouche a avalé ma verge toute entière. Sur l'instant, de surprise, jaurais voulu protester mais, en même temps, j'ai eu conscience d'un plaisir nouveau. Je me suis abandonné totalement ce dont s'aperçurent Jacques et Pierre.
- "C'est bon, hein ? Et tu aimes ça, Dominique !"
Alain me suçait admirablement et il sentit les premières contractions de ma queue. Le plaisir arriva avec puissance et mon sperme jaillit quatre ou cinq fois, retombant sur ma poitrine pendant que je râlais de plaisir. Lorsque j'ouvris les yeux, Pierre, Jacques et Alain me félicitèrent. Fabien ne voulut pas être en reste et il déposa un vrai baiser sur ma bouche devant tout le monde. J'en ressentis une profonde tendresse. Je croyais en être quitte et commençais à peine à me remettre de cette situation qu'Alain vint prendre la place de Jacques dans l'immobilisation des mes jambes. A eux deux ils me les replièrent en me ramenant les genoux sur la poitrine puis, Alain se positionna pour me maintenir dans cette position avec cette fois-ci, l'anus bien en évidence. Inquiet j'ai imploré à nouveau Fabien pour savoir ce qu'ils me préparaient à subir. Mais il me gratifia d'un nouveau baiser après m'avoir dit qu'il ne savait pas. Pierre, Jacques et Alain me dirent simplement que je n'avais pas lieu d'avoir peur, qu'ils ne me feraient pas de mal et qu'ils allaient me faire découvrir un autre plaisir.
En effet je sentis les deux mains de Jacques me caresser les fesses. Puis sa bouche y déposa de doux baisers qui, progressivement, se rapprochèrent de mon anus jusqu'à carrément s'y poser. Je sentis alors sa langue me pénétrer un peu pendant qu'avec ses deux mains, Jacques m'écartait les fesses au maximum. J'aurais voulu résister mais c'était si bon que je me suis laissé aller. Jacques retira sa bouche pour la remplacer par un doigt qu'il m'enfonça doucement. Mon fessier était totalement humide. Fabien était devenu curieux et regardait avidement ce que Jacques me faisait. Jacques enfonçait son doigt, le retirait, l'enfonçait à nouveau. Il présenta progressivement deux doigts puis trois. Il réussit à les enfoncer très loin jusqu'à masser ce que j'ai appris aujourd'hui comme étant la prostate.
Me jugeant sans doute assez préparé Jacques enleva son slip de bain, se retrouvant à son tour totalement nu sous les regards de Pierre, Alain et Fabien. Moi je ne voyais rien et j'étais inquiet de ne pas voir ce qui allait m'arriver. Fabien me prit la main en souriant comme pour m'accompagner et me suggéra de ne pas bouger. Je sentis la main de Jacques me mouiller l'anus avec ses trois doigts puis, comprenant ce qui allait se passer, je sentis la verge de Jacques s'appuyer sur mon anus, forcer tout doucement, puis entrer très progressivement. Jacques se retira et se glissa en moi à nouveau aussi doucement. Je sentis sa verge glisser très loin jusqu'à venir buter à fond. Fabien se tourna vers moi avec un clin d'oeil complice et me dit :
- "Ça va bien, Dominique ? Ça ne t'a pas fait mal, hein  C'est très bon aussi, n'est-ce pas ? Tu sais, c'est vraiment beau à regarder !"
Je l'ai regardé droit dans les yeux et je lui ai répondu :
- "Oui, c'est très bon !"
J'en ai profité pour demander à Pierre de me lâcher, lui promettant de me laisser faire totalement. Tout doucement il me libéra les épaules pendant qu'Alain me maintenait les fesses bien relevées. Jacques, qui m'avait ainsi pris sans brutalité aucune après m'avoir parfaitement préparé, se mit à me limer tout doucement puis de plus en plus vite. Au bout de dix minutes je sentis sa verge se contracter dans mes profondeurs jusqu'au moment où il me déversa son sperme chaud. Immobile, sa verge rapetissa et Jacques se retira, quelque peu épuisé de son effort.
Craintif, apeuré, inquiet au départ, j'étais devenu totalement réceptif à ce qui s'était passé. Tour à tour, Pierre, Alain, Jacques et Fabien me félicitèrent d'avoir su dominer mon appréhension. De mon côté je leur ai avoué que je ne leur en voulais plus du tout et j'ai même remercié Alain et Jacques d'avoir été doux. Tous étaient très excités par ce qui venait de se passer. Alain me proposa de le sucer. Désormais, sans retenue, je lui ai baissé son slip, j'ai avalé sa queue. Pierre se prépara à m'enculer. Très vite Pierre et Alain déversèrent en moi leur sperme. Alain me tint la tête pour que j'avale tout. Il restait à satisfaire Fabien. Comme il m'avait si bien accompagné dans mon initiation, je lui ai ôté son slip et, sur la suggestion de Jacques, Fabien et moi avons fait un soixante-neuf total sous les regards de tous.
Aujourd'hui, quelques années après, je suis heureux d'avoir ainsi été dépucelé, en douceur et profondeur, sans brutalité aucune. Toujours aussi régulièrement, Fabien, Pierre, Alain et Jacques, nous nous retrouvons. De temps en temps il nous arrive de nous satisfaire tous ensemble mais, plus souvent encore, c'est entre les bras de Fabien que je m'abandonne entièrement..

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 5 janvier 7 05 /01 /Jan 12:45

Des événements peuvent marquer à jamais une vie surtout quand, par timidité, on a honte de montrer un corps malingre... sauf à la Veuve Poignet. Et, aujourd'hui encore je me souviens de ces camps sans confort : dortoirs immenses, douches collectives, visites médicales...


Heureusement, vers mes 17 ans, l'Auberge de Jeunesse qui accueille notre groupe possède des chambres individuelles tamisées la nuit par les réverbères du jardin mais encore équipée de douches sans porte ou rideau et d'urinoirs sans séparation. Toujours pas facile de se cacher face à des mecs musclés, super bien montés et qu'il faut mater discrètement.


Aussi, pour cette dernière nuit chaude d'été, se coucher en pyjama étant de la folie un drap et un simple caleçon suffisent... Je dors tellement profondément que je ne sais même pas si le surveillant est passé car les portes ne ferment pas à clé pour des raisons de sécurité en cas d'éventuelle évacuation d'urgence.


Soudain je sursaute et, sans avoir le temps de crier, un gros pansement me ferme la bouche, un foulard est posé sur mes yeux et attaché derrière la tête et mes poignets sont ligotés de chaque côté du sommier. Et hop le slip en bas ! Mais combien sont-ils ?


Le premier me lèche le torse en pinçant mes tétons. Le deuxième, tout en ajoutant quelques chiquenaudes sur mon gland, descend le prépuce au maximum afin que le dernier me lie les testicules avec une fine cordelette fixée au pénis par de nombreux nœuds bien serrés. Et au plus je gesticule, au plus cela irradie dans les couilles.

Me débattre ne sert donc plus à rien. C'est justement ce qu'attend celui qui me ficelle car, à l'aide d'une paire de ciseaux il coupe les poils pubiens et rase tous ceux qui restent, au millimètre près.

 

Le bâillon est ensuite arraché. Pas le temps de crier : on m'introduit de force un braquemart en érection, on me suce énergiquement et on écarte mes jambes pour inonder ma rondelle d'une salive gluante. D'un coup sec une queue hors-norme s'enfonce jusqu'à ce que les burnes touchent mes fesses et elle effectue des rotations dans le sens des aiguilles d'une montre puis de l'autre côté en dilatant de plus en plus les parois. La douleur est tellement insupportable que mes dents se referment sur la queue du mec que je pompe.


La correction ne se fait pas attendre. Il empoigne mes cheveux, en arrache quelques-uns et laisse retomber ma tête lourdement sur l'oreiller qui amortit le choc, heuresuement ! Ces trois gars sont vraiment balaises et sûrement plus âgés que moi... Pourquoi le lit ne grince-t-il pas? Il pourrait donner l'alerte... Mais non, il joue bien son rôle de complice.


Dans des spasmes de plus en plus rapprochés suivis de plusieurs soubresauts je décharge ma semence. Le sucre d'orge quitte ma bouche tandis que quelqu'un se colle sur mon ventre pour boire ma sauce. Le second passe sa langue sur le gland et vient y ajouter ce qu'il a récolté. Le troisième, jusque là toujours bien enfoncé, fait de même.


Durant cette «dégustation» la tournante continue. Des coups de marteau piqueur, toujours aussi violents, reprennent dans mon tunnel et je n'ai pas encore fini de tout avaler qu'on y ajoute un liquide crémeux qui me brûle la gorge. Le type essuie sa pine encore dégoulinante sur le pavillon de mon oreille pendant que le deuxième prend déjà la place du premier et que le dernier bien sûr, imite ses comparses.


A cause de l'embouteillage buccal, un haut-le-cœur les avertit que je vais gerber. Pas question ! Vlan ! Un nouveau pansement sur la bouche. Quand cela va-t-il donc finir ? Je l'ignore mais une chose est bien visible : je bande...


Bientôt un des lascars introduit, au fur et à mesure mais assez rapidement, ses doigts dans mon anus et le plus loin possible. L'autre mâchouille mes couilles, le troisième suce ma colonne à tout rompre et me branle jusqu'à obtenir la toute dernière goutte. Il recrache la purée sur mon ventre et six mains étalent cette mixture pâteuse. Mes poignets sont détachés, je suis soulevé du lit et déposé sur le carrelage.


Le premier serre mes pieds avec les siens ; le deuxième colle mes bras le long du corps et fait de même ; quant au troisième il incline ma tête vers l'arrière et la coince pour m'immobiliser complètement. Très lentement et par jets saccadés, ils vident leurs vessies le long de mes jambes, du torse sur la zigounette sans oublier de bien humidifier la cordelette, ainsi que vers les yeux et dans les narines. Je ruisselle de partout, y compris du méat et du cul !


Vidé dans tous les sens du terme, il me faut un certain temps pour reprendre mes esprits et réaliser qu'ils sont partis sans jamais avoir prononcé un seul mot ! Je passerai le restant de la nuit à d'abord m'empresser de retirer le bandeau et surtout le pansement imbibé de ce jus «multi-foutre érotique» puis de dénouer très péniblement le lien emballant le service trois pièces et, enfin, à me laver, ventiler la chambre et la nettoyer.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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