L'histoire de la semaine

Dimanche 24 novembre 7 24 /11 /Nov 14:30

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 25/26

 

Chapitre 26/26: Final


Il doit maintenant être plus de midi. Toujours personne et pas de repas. C'est inhabituel et nous ne comprenons pas. L'après-midi s'écoule toujours lentement et en plus on a faim. On commence alors à se demander si nos gardiens ne nous ont pas abandonné, enfermé dans ce chalet.

Brusquement Chris s'adresse à moi :

- « Attends, je vérifie un truc.

- Quoi ?

- La porte !

- Ben elle est fermée ! »

Il se lève de son lit et s'approche de la porte. Il tourne la poignée et tire. La porte n'est pas fermée et s'ouvre. Surpris, nous nous regardons tous les quatre.

Je fais signe à mon cousin de la refermer. Il la repousse doucement, sans bruit.
A voix basse nous nous concertons pour savoir ce qu'il faut faire. Nous redoutons un piège. Mais bon on est déjà prisonnier alors on ne risque plus grand-chose en fait. Nous décidons que John ira en exploration.

Prudemment il ouvre la porte et disparaît dans le couloir. L'attente est longue et, au fond de lui, chacun espère un événement heureux. Personne ne dit mot. Après environ dix minutes John revient en ouvrant rapidement la porte devant lui :

- « Il n'y a plus personne !

- Tu es sûr ?

- Oui ! Je suis allé partout : ils sont partis. Y a plus les caméras ! Y'a plus rien !

- Ok ! Ben on se casse alors ! »

Et rapidement nous suivons John jusque devant la porte d'entrée. Mais qui est fermée.

- « Merde ! »

Chris propose alors :

- « Pas grave, on passe par la cuisine ! »

Et, tous les quatre, nous filons vers la cuisine qui comporte une porte donnant sur la terrasse. C'est bon. Cette porte n'est pas fermée. Nous l'ouvrons et rapidement nous l'enjambons. On se retrouve tous les quatre sur la terrasse, enfin libres.

- « Et on va où maintenant ?

- Euh. Je ne sais pas, chez les flics je suppose… »

Archie tend alors le bras vers la route :

- « Regardez, ils arrivent ! »

Effectivement une camionnette bleu gendarme monte vers le chalet…


Epilogue : Les gendarmes nous ont interrogés séparément. Pour ma part je leur ai expliqué les rôles d'acteurs forcés et les sévices que nous avons subi. Les films n'ont pas été retrouvés. Ni Raldo ni les autres gardiens. Chacun de nous a retrouvé le jour même sa famille. Plusieurs mois ont passé. Nous continuons à chatter entre nous. Mais nous ne nous sommes pas revus en vrai.
Un soir en relevant mes mails un entête "by Manuelo" m'intrigue. J'ouvre le mail :
"C'est Manuelo. Je ne travaille plus pour Raldo. Bon courage à vous".

Je ne saurais jamais comment il m'a retrouvé. Et son adresse mail de retour n'est pas valide. Je n'aurai plus jamais d'autres nouvelles des protagonistes de ce séjour forcé dans ce chalet, là haut sur la montagne…

 

FIN

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 17 novembre 7 17 /11 /Nov 13:20

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 24/26

 

Chapitre 25/26: Tests unitaires


Le lendemain matin, le jour est déjà bien présent lorsque je me réveille. Je jette un regard circulaire sur mes compagnons. Seul Archie est réveillé. Je le salue d'un léger signe de la main. Il me répond par un sourire forcé. A travers son regard je vois qu'il se pose la même question que moi. A savoir combien de temps allons-nous rester encore prisonniers et que va t-il nous arriver aujourd'hui ? Questions sans réponse. A part attendre et voir on ne peut rien dire, ni rien faire.

Un long moment après le gardien Manuelo arrive avec le petit déjeuner et réveille nos deux autres camarades. Je le questionne mais il ne sait rien. Il m'explique toutefois qu'il pense que ses chefs vont bientôt devoir quitter le chalet, car par prudence ils n'aiment pas rester trop longtemps au même endroit. Il nous laisse sur cet espoir ténu.

Environ 30 mn plus tard il revient pour nous emmener à la douche un par un. A raison d'un quart d'heure chacun il nous laisse tranquillement nous laver. Nous sommes à présent tous les quatre nus dans la chambre à attendre la suite des événements. Manuelo revient alors avec deux sacs. Ils contiennent des vêtements pour nous tous. Nous devons nous rhabiller. Sans comprendre pourquoi nous obtempérons. Ce n'est pas désagréable de retrouver un semblant de dignité en étant normalement habillé. Et, à nouveau, il nous laisse seuls.

Environ 10 mn plus tard, Manuelo et un autre gardien viennent nous chercher tous les quatre. Nous devons les suivre dans la pièce qui fait office de studio d'enregistrement. Le décor n'a que peu changé. Devant les deux caméras se trouve une table épaisse et solide en bois, d'environ 2m de long pour 1m de large. Un matelas fin la recouvre. Elle est fortement éclairée par plusieurs spots et constitue donc le centre de la future scène. Car il s'agit bien du tournage d'une énième scène qu'il s'agit. Deux autres gardiens manipulent les caméras. Il y a donc un gardien par prisonnier. Comme toujours nous sommes bien encadrés.

Raldo nous aligne alors tous les quatre devant la table. Il nous explique ensuite le scénario que nous allons devoir suivre. Un par un nous allons devoir nous déshabiller complètement devant la table puis exhiber aux caméras notre sexe et notre cul avec l'anus bien visible évidemment. Il sort également un tube de gel et un gode que chacun de nous devra utiliser. Puis une masturbation terminera la scène. Chacun est libre de ses positions et de ses mouvements mais devra être convaincant sous peine d'une sévère punition. Il s'agit en fait d'un solo mais tourné sous les yeux de sept personnes. Car, et nous ne savons pas pourquoi, nous allons tous les quatre assister au tournage complet de chacun.

Aucun de nous ne dit mot et écoute avec application les paroles de notre cinéaste. Le prix à payer est trop fort pour ne pas faire ce qu'il veut…

John est désigné pour commencer. Il se place devant la table et sur un ordre qui lance le tournage commence son show. Rapidement il se met nu et exhibe son corps entièrement bronzé sur la table. Ses mouvements sont fluides et il semble relativement être à l'aise. Il s'allonge sur le ventre, écarte les jambes et relève le bassin. Après s'être enduit la rondelle de gel lubrifiant il enfonce doucement le gode en lui, le laisse un instant et le retire. Puis après encore quelques mouvements lascifs et langoureux il s'assoit en tailleur et se masturbe avec soin. Rapidement son sexe entre en érection et il finit par jouir. Plusieurs jets de son sperme se perdent à coté de la table. Raldo est satisfait de son acteur :

- « OK, c'est bon ! »

Il nous regarde alors tous les trois :

- « A vous de faire aussi bien. A toi Chris maintenant. »

John descend de la table et reprend ses vêtements qu'il avait placés en tas à coté. Mais Raldo lui interdit d'y toucher et lui ordonne de rester à poil. Il est bien obligé d'obéir et revient donc se placer avec nous en restant tout nu.

Chris, lui, s'apprête à faire son show sexuel. Il quitte un à un ses vêtements et finit par se retrouver nu comme un ver devant cette assemblée. Il n'est pas très à l'aise mais fait de son mieux. Je lui lance plusieurs clins d'œil pour l'encourager. Mais il se débrouille bien. Finalement si cette scène est difficile, car il faut s'exhiber intimement en pleine lumière et devant plusieurs personnes, elle n'est aucunement douloureuse physiquement. A présent mon cousin est sur la table, à genoux, le dos à l'horizontale et s'enfonce le gode dans le fondement. Il obéit bien aux consignes et expose franchement ses fesses et sa raie ouverte. Aucun des personnages présents ne perd une miette du spectacle. Curieusement je constate que même nous, ses compagnons d'infortune, le regardons avec soin. Malgré les scènes déjà vécues et bien que chacun connaît maintenant en détail le corps des autres nous ne pouvons que regarder celui qui s'expose sexuellement.

Chris a maintenant retiré le gode et commence à se masturber. Il est couché sur le dos. Sa tige s'érige rapidement vers le haut, son gland libéré de la protection du prépuce est rouge vif et, rapidement, il finit par juter. Son sperme retombe sur son ventre. Son tour est terminé. Pour lui aussi Raldo est satisfait de sa prestation. Il me désigne :

- « A toi maintenant. Mais tu vas plus lentement et tu garderas le gode jusqu'à la fin. Compris ? »

Je ne peux que répondre :

- « Euh oui… D'accord.

- Et tu lècheras ton sperme sur tes mains aussi. »

Il me place alors devant la table. Chris, qui doit lui aussi rester nu, rejoint mes camarades légèrement en retrait. C'est donc à mon tour et j'ai bien du mal à être à l'aise devant autant de personnes. Je commence néanmoins à me dessaper. Au moment de retirer le boxer je respire un grand coup et y vais franchement. Je me retrouve nu et exposé devant tous. Curieusement et comme dans une scène précédente je suis alors plus à l'aise et je commence mon exhibition avec de moins en moins de gêne. Je monte sur la table, me met à 4 pattes et met en valeur le plus possible mon trou. J'écarte les cuisses, relève mes reins et place mon dos en dessous de l'horizontale. Tout le monde fixe mes fesses fortement écartées, ma raie imberbe offerte et ma rondelle qui va s'ouvrir sous la pression du gode. Mes couilles pendent vers le bas. Pour l'instant je ne bande pas mais je sens que cela ne va pas tarder. Je mets du gel et présente ensuite l'instrument devant ma rondelle. Je presse doucement et, lentement, introduit l'engin luisant de gel en moi. L'avantage de le contrôler soi même c'est que cela ne fait absolument pas mal. Je me tortille un peu. Je suis maintenant à l'aise et le fait d'être dans cette situation commence même à m'exciter. Ma queue se redresse et durcit doucement. J'essaye d'aller lentement dans mes gestes pour obéir à notre scénariste. Toujours en tenant l'extrémité du gode enfoncée dans mon cul, je me redresse et me met sur les genoux. Le ventre dirigé vers les caméras, Raldo et mes 3 camarades. Dans le mouvement je remarque alors une troisième caméra au plafond qui filme pile à la verticale de la table. Pas un détail de notre anatomie n'échappe ainsi à ces yeux électroniques. Je poursuis ma prestation et place ma main droite sur mon sexe déjà bien bandé. Rapidement ma queue atteint ses dimensions maximales et s'étire à l'horizontale. La jouissance est imminente. Je place ma main juste devant mon gland et avec quelques secousses de mon corps et de ma bite j'éjacule plusieurs jets de liqueur blanche. Ma main évite à mes projections de se perdre et se macule ainsi de ma semence. Je la porte alors à ma bouche et, doigt après doigt, je suce et nettoie. Le goût n'est pas vraiment agréable et cela me répugne un peu. Mais n'ayant absolument pas le choix je m'applique pour ne pas subir les foudres de nos dirigeants.

- « OK, c'est bon ! On termine par Archie. »

Je suis toujours avec mon gode enfoncé. Je le retire prestement et libère la scène pour mon quatrième et dernier camarade. Je reste moi aussi à poil et retourne me placer à coté de Chris et John.
Sans problème particulier Archie va réaliser son show aux yeux de tous. Suivant les nouvelles consignes de Raldo il se place sur le dos, les jambes repliées sur sa poitrine. Un coussin est positionné derrière sa tête. Il est très humilié dans cette position car il voit à travers ses jambes l'assemblée qui le regarde. Les caméras filment en détail ses fesses ouvertes et ses couilles. Malgré sa honte d'être ainsi exposé devant nous tous il ne peut s'empêcher de bander dès l'introduction du gode. Il ne parvient pas à contrôler son érection et sa queue se redresse entre ses jambes pliées. Une fois le gode retiré il jouira très rapidement, après seulement quelques caresses de sa main sur sa hampe érigée.

Mal dirigé et n'ayant pas eu le réflexe de mettre une main devant sa queue avant l'explosion finale, son sperme atterrit sur le tapis, à droite de son ventre. Il ne sait alors que faire. D'un signe de la main Raldo lui donne alors l'ordre de lécher le tapis. Surmontant son dégoût Archie obéit, se retourne et lèche soigneusement toutes les traces de son jus blanc et épais. Les caméras n'en perdent pas une miette.

Nous avons à présent tous les quatre terminés notre solo sans problème. Il y a un côté effrayant : nous sommes devenus des vrais acteurs X. Faut dire que sous la contrainte nous n'avons pas le choix.

Il reste à Raldo une dernière scène à filmer. C'est pour cela qu'il nous a obligé de rester à poil. Il sort alors quatre godes, rouges et assez gros et nous en donne un à chacun :

- « Vous allez vous mettre à quatre pattes sur la table, alignés, et les uns serrés aux autres. Evidemment vous montrez votre trou du cul. Et, à mon signal, vous vous godez. »

Nous sommes à peine surpris. Chris monte sur la table et s'installe dans la position demandée. Raldo lui demande de plier ses bras et de baisser le dos. Son visage atteint le tapis. Ses fesses se relèvent d'autant et son anus est parfaitement exposé. Il est rejoint par John qui se colle à lui et prend la même position. Puis c'est à mon tour. Enfin Archie termine en se collant à ma gauche. Nous nous collons les uns aux autres.

- « Personne ne bouge pour le moment. »

Raldo filme alors en gros plans nos fesses et nos anus. Il a devant lui quatre paires de belles fesses exposées et offertes à ses caméras. Il resserre son zoom et filme les raies ouvertes et les anus en gros plan. Il parcourt ainsi plusieurs allez-retours derrière nos culs.

- « Bien, les godes maintenant. Et débrouillez-vous pour être synchro. »

Servilement, chacun libère alors sa main droite - Heureusement on est tous les 4 droitiers ! - et présente son engin rouge devant sa rondelle. Doucement les godes s'enfoncent simultanément dans les trous qui se dilatent sans problème. Les sphincters cèdent et laissent passer les engins de plastique dur. Comme on est serrés les uns aux autres on ressent ce que fait son voisin et, peu ou prou, on arrive à être relativement synchrone et ainsi à satisfaire Raldo. Pour ma part j'enfonce à fond le gode en moi. Les fesses de mes voisins remuent elles aussi et me permettent de savoir que John et Archie ont eux aussi enfoncé l'instrument.

Sur un signal de Raldo nous devons retirer nos godes. Les 4 godes sortent lentement et les lèvres anales se referment. Les instruments sont sortis.

- « Très bien. Retournez-vous maintenant, et placez-vous à genoux. »

Les uns après les autres nous obéissons. Doucement car, à quatre sur la table, il n'y a pas vraiment de place pour se tourner. Nous sommes à présent tous à genoux sur le bord de la table. Nos sexes en évidence sont alors filmés en gros plans puis en plans larges et collectifs. Aucun de nous ne bande. Nous sommes tous les quatre imberbes, le pubis rasé et c'est vraiment étrange d'être ainsi collés à mes copains. Nos sexes sans poil font vraiment penser à des sexes d'enfants. Je devine déjà l'ordre qui va suivre.

Effectivement Raldo nous ordonne de nous branler, en ensemble bien sûr…

Là au moins on voit ce que fait son voisin et c'est plus facile d'assurer le synchronisme de nos ébats. Quoique. Rapidement, excité les uns par la vue des autres et par nos mouvements de la main, nos  jeunes tiges se redressent à l'horizontale. Chacun surveille les autres et essaye d'accélérer ou de ralentir le rythme de ses caresses. Et de déterminer le niveau d'excitation des ses partenaires de scène... Mais ce n'est pas si évident. De plus nos corps collés nous transmettent les mouvements de nos voisins. Pendant ce temps, les caméramans se déplacent devant nous et filment nos sexes érigés ou nos corps dans leur ensemble.

Finalement John jute le premier suivi de Chris. Après quelques instants c'est à mon tour de lâcher la purée, et de réaliser un génocide de spermatozoïde d'après certains ! Excité par la jouissance de ses  compagnons, Archie se termine et éjacule avec force.

Raldo est satisfait :

- « Ok c'est bon. C'est fini pour le moment. Rhabillez-vous. »

Avec soulagement chacun descend de la table et, prenant son paquet de vêtements, se rhabille prestement. Manuelo nous ramène alors dans la chambre. On s'allonge sur nos lits respectifs. Nous n'avons rien à nous dire. Manuelo n'a pas dit un mot cette fois et nous n'avons donc rien appris de neuf.

Très rapidement, à peine 5 mn plus tard, Raldo entre suivi d'un jeune garçon. Sur le coup je pense immédiatement à un nouveau prisonnier. Mais un examen attentif de ce garçon me laisse penser qu'il a au moins 20 ans et surtout il ne se comporte pas du tout comme un prisonnier. Bien au contraire il semble ami avec Raldo.

Sur un ordre de Raldo nous nous alignons comme à la parade. Le garçon nous regarde alors attentivement et semble faire son choix. Après une longue minute d'hésitation il m'adresse la parole:

- « Toi, comment t’appelles-tu ? »

Si son visage est encore juvénile, sa voix est au contraire bien marquée et empreinte d'une certaine autorité. Je lui réponds donc :

- « Pascal.

- Bien. Alors tu vas venir avec moi. »

Et d'un geste il m'invite à le suivre. Raldo passe derrière nous et ferme la marche. Je laisse mes compagnons perplexes. J'ai été choisi mais je ne sais pas pourquoi. Et qui est ce jeune homme ?
Il me conduit dans la salle de sport. Il y a toujours les matelas et les caméras. Mais à ma grande surprise Raldo n'entre pas et nous laisse seuls.

L'individu me fait signe de m'asseoir. J'obtempère. Il s'assoit aussitôt en face de moi. Je reste sur mes gardes.

- « Bon ok. Je vais t'expliquer. Moi c'est Lucio. Je travaille avec Raldo depuis 1 an. Et je suis arrivé ici ce matin. C'est pourquoi tu ne m'as jamais vu. Ok ? »

Ne sachant que répondre je reste prudent :

- « Euh… oui. »

Il poursuit :

- « Je n'ai pas vu les films que Raldo a tourné avec vous. Mais je sais très bien qu'ils sont à tendances gays, n'est ce pas ?

- Euh oui…

- Rassure-toi je ne suis pas là pour te filmer. Je veux juste essayer avec toi… »

J'ai peur de mal comprendre :

- « Essayer quoi ? 

- Ben la baise entre mecs. Je n’ai jamais essayé. Je préfère les filles. Mais comme Raldo me l'a dit, il serait con de ne pas essayer au moins une fois dans sa vie, juste pour voir. Alors voila, j'en profite et tu vas devoir m'obéir. Ok ? »

Sa voix est devenue plus autoritaire. Je devine très bien ce qui se passera si je refuse. Je n'ai pas le choix. Il le sait et en abuse froidement.

- « Euh oui. Mais je ne suis pas gay moi non plus.

- Ha ? Je croyais ! »

 Puis après dix secondes de réflexion :

- « Bon, c'est pas grave. Tu m'obéis et on verra bien. Si j'ai plus envie, ben on arrêtera. »

Résigné je m'apprête donc à lui servir de prostitué pour essayer une baise homosexuelle. Au moins il ne semble pas brutal. C'est déjà çà. L'expérience ne devrait pas être trop douloureuse.

- « Lève-toi et dessape-toi. Tu ne gardes que ton sous-vêtement. »

Obéissant je me lève et quitte prestement les quelques vêtements que je porte. Il me fixe attentivement. Je suis à présent debout en boxer moulant devant lui. Je reste immobile. Sans dire un mot il se lève et commence à me caresser le torse puis les cuisses. Mais il est hésitant. Peu appuyées, ses caresses parcourent le haut de mon corps et finissent tout de même par atteindre mes fesses toujours protégées par le boxer. Il semble plus à l'aise à présent :

- « Allonge-toi. »

Je m'allonge sur le matelas, il se met à genou sur le coté et poursuit ses caresses. Plusieurs fois il passe sa main sur mes organes sexuels, dessus mon vêtement. A chaque passage il est plus franc et s'enhardit. Je n'y reste pas insensible bien malgré moi et je sens ma tige durcir dans mon boxer. Il porte toujours plus souvent la main à mon paquet et ne peut ignorer que je bande de plus en plus. Je fixe alors son entre jambe mais ne peut deviner s'il bande ou pas car il porte un pantalon de toile très ample qui ne moule absolument pas son corps.

- « Attends… »

Ne pouvant rien faire d'autre je reste sans bouger. Rapidement il quitte son fut et se met torse nu. Il ne garde que son boxer. Ses jambes sont musclées et couvertes de poils épais et noirs. Son nombril est le départ d'une ligne de poil se dirigeant vers le pubis. En fait seul son visage présente encore les signes de l'adolescence. Pour le reste de son corps il est adulte. Puis il s'allonge à coté de moi.

- « Caresse-moi. »

Je commence alors à le caresser sur la poitrine. J'en profite pour constater qu'il bande lui aussi. Une belle barre déforme son boxer vert clair. Ne sachant jusqu'où je peux le caresser je reste à l'écart de son unique vêtement. Il s'étire davantage et semble en demander plus. Dans un murmure il m'ordonne :

- « Vas-y, continue. C'est bien... »

Je décide alors de passer à la vitesse supérieure. Me prenant à son jeu, je poursuis mes caresses et parfois passe un doigt sous la bordure de son boxer. Je le regarde alors en tirant légèrement son rempart de tissu vers le bas. A ma question muette il hoche affirmativement la tête. Je lui baisse alors doucement son boxer et le lui retire. Il m'aide en soulevant ses fesses puis ses jambes. C'est bien ce qu'il voulait. Je découvre alors son intimité. Son sexe poilu - il n'est pas rasé lui ! - est de bonne taille et ses bourses contiennent deux belles prunes bien marquées. Dans un souci technique je remarque que le diamètre de sa queue est plus petit que certains godes que Raldo a employé avec nous. Quelque part cela me rassure. Car je suis quasiment certain qu'il va vouloir me sodomiser.
Je poursuis mes caresses sur sa tige maintenant bandée à mort. Il semble apprécier mes efforts. Il se laisse faire et profite de la situation. Etiré sur le matelas sans pudeur aucune il se tortille à présent sous mes caresses que j'appuie de plus en plus. Je passe une main sous ses couilles et les malaxe doucement. Il se laisse faire et apprécie. Son sexe est dur comme du granit et s'érige fièrement vers le haut. Son gland luit de liquide séminal et brille de rouge éclatant. A ce rythme-là il ne va pas tarder à jouir. Mais brusquement il se redresse sur ses genoux et me saisit par les hanches. Avec force il me couche sur le matelas, sur le ventre. Je ne résiste guère. Déjà il est bien plus fort que moi et je sais très bien que si je lui résiste ça va mal finir. Alors je coopère et réalise ses désirs en essayant de gérer la situation de mon mieux.

Sans rien dire, de ses deux mains, il tire mon boxer vers le bas de mes jambes. Je me tortille, soulève légèrement mes fesses et le laisse faire. Arracher serait le terme le plus exact tant il est pressé. Il me retire complètement ce dernier rempart contre ma nudité et le jette au loin. Mon cul s'offre maintenant à lui. Il m'écarte alors les cuisses de ses mains et me dégage ainsi ma raie et mon trou. Je pense qu'il veut m'enculer directement et rapidement. J'en rajoute et écarte encore un peu plus les jambes. Autant lui faciliter le passage. Surtout qu'il va me prendre sans préparation et sans lubrifiant. Je crains une intromission violente et rapide. Pourtant, contrairement à mes prévisions, il reste assis à coté de moi, me pelote et masse mes globes fessiers avec énergie. Ses mains descendent au plus profond de ma raie et finissent par atteindre mon périnée et mes bourses. Puis je le vois se pencher vers son jean à coté du matelas et, d'une poche, en sortir un tube de gel. Il a visiblement préparé son coup ce qui me rassure un peu. Il étale une bonne dose de gel au fond de ma raie et sur ma rondelle. Puis il présente son majeur devant mon trou et commence à forcer l'entrée de mes muscles. Autant lui faciliter la tache : je décolle mon bassin du sol et cabre mon cul. Il enfonce alors complètement son doigt dans mon fondement. Il le retire et le réintroduit aussitôt. Plusieurs fois il explore ainsi mon anus. Il observe ma rondelle absorber sans problème son doigt. Puis, constatant que tout se passe bien, il introduit deux doigts. Puis trois... Avec le gel abondant tout cela rentre sans problème. Bien au contraire son massage involontaire et maladroit finit par me faire bander moi aussi. Ma queue, écrasée sous mon ventre par mon propre poids, est maintenant érigée tout comme la sienne.

Il finit par retirer sa main et remet un peu de gel sur ma rondelle maintenant assouplie. Puis il m'écarte davantage les cuisses. Je devine qu'il va m'enculer sans tarder. Son envie est trop forte et il ne tient plus.

Et effectivement il s'allonge sur mon dos et positionne son gland turgescent à l'entrée de mon anus. Connaissant maintenant les sensations qui vont suivre, je m'apprête à recevoir sa bite au plus profond de moi. Puis, sans plus de préliminaire, il s'enfonce en moi en pesant de tout son poids sur mon corps écrasé. Forcée, ma rondelle se dilate et laisse passer facilement sa tige. C'est à peine si j'ai mal. Les exercices imposés pour nos films ont portés leurs fruits et mon cul encaisse maintenant sans problème la bite de ce jeune gars. Pourtant, dans mon esprit, je n'apprécie pas vraiment de servir de cobaye à ce jeune excité.

Ses bourses heurtent à présent mes fesses. Il s'est enfoncé en moi le plus loin possible. Pour une première - si vraiment ç’en est une - il est direct et rapide ! Il se retire et me pistonne rapidement et frénétiquement. Il est vraiment excité et rapide. Je le laisse faire et subit sans broncher ses assauts fougueux et le poids de son corps sur le mien. Après deux minutes de cet intense pilonnage il se cabre et, dans un dernier râle, déverse son sperme au fond de mes boyaux. Il jute abondamment, ses bourses étaient visiblement pleines, ce qui explique peut-être sa fougue et son impatience. Il reste allongé sur moi un petit moment. Dans mon cul je sens son sexe se ramollir. Il se retire enfin. Je reste sans bouger, toujours allongé, à poil, les jambes écartées sur le ventre. Lui se met assis à coté de moi et m'ordonne de me retourner. Ce que je fais illico.

Voulant visiblement essayer autre chose avec moi il se saisit alors de ma bite au repos et commence à la malaxer. Doucement il effectue des allers retours avec sa main comme pour me branler. Puis il accélère le rythme. A chaque fois mon prépuce dégage le gland et se retire. Mais le cœur n'y est pas. Autant pour lui que pour moi. Il est hésitant et ne semble pas vraiment aimer tenir le sexe d'un gars dans sa main. Et cela se sent. Il ne m'excite pas vraiment et ma verge reste désespérément molle. Il stoppe rapidement son action et abandonne ma masturbation. Ce n'est pas son truc c'est évident.
Je pense qu'il préfère utiliser mon cul pour y trouver son plaisir. Et effectivement un nouvel ordre survient :

- « Mets-toi à 4 pattes ! »

Je prends la position demandée. Résigné je cambre mon dos et me prépare à une nouvelle enculade de sa part. Il se place derrière moi et commence à se branler avec sa main droite. Son sexe durcit à nouveau et cette fois, plus doucement, il s'enfonce dans mes entrailles. A nouveau mon corps accepte cette nouvelle intrusion. Le gel restant et le sperme de sa précédente sodomie y sont aussi pour quelque chose et facilitent son intrusion. Il est moins rapide et semble écouter son corps et les nouvelles sensations qu'il découvre. Enfoncé à fond en moi il prend le temps de rester une minute sans bouger. Puis à nouveau il me pistonne. Il sort de mon cul et y rentre plusieurs fois. Il prend son pied et y va de plus en plus franchement. Visiblement il aime bien ce qu'il est en train de faire. Son rythme s'accélère et rapidement, comme la dernière fois, il lâche sa semence quelques minutes plus tard. A nouveau sa production est abondante et, cette fois, mon anus déborde de sa crème laiteuse et blanchâtre. J'ai alors vraiment le sentiment de n'avoir été qu'un cobaye et rien de plus. Il m'a baisé comme un fou et rien que pour lui. Je suis à ses yeux un vulgaire mouchoir jetable et rien de plus. Je ne lui dis rien de mes pensées bien sûr. Cela se servirait absolument à rien. Au pire à l'énerver et cela ne pourrait que me retomber dessus.

Il se retire de moi et me demande de me lever. Toujours servile je lui obéis. Je me sens sale avec le mélange de sperme et de gel qui tapisse ma raie. Il me dévisage de haut en bas. Il me désigne mon paquet. Je ne bande pas du tout et ma bite est au repos entre mes jambes.

- « Pourquoi tu es tout rasé ?

- C'est Raldo qui nous a obligés.

- Ha ? Je ne savais pas. Bon, suis-moi maintenant. Je te ramène avec tes potes mais avant tu peux prendre une douche si tu veux. »

Je désigne alors mes vêtements qui forment un tas non loin de nous.

- « Je les reprends ?

- Tu peux oui ! »

Je ramasse alors les fringues et le suis jusqu'à la salle de bain. Il me laisse dix minutes pour me doucher. Je me rince et me débarrasse enfin du sperme maculant mes fesses. Puis rapidement je me sèche et me rhabille. Il me surveille et me ramène alors vers la chambre ou mes copains doivent se trouver. Avant d'ouvrir la porte il stoppe et me regarde :

- « Tu sais, tout à l'heure, j'ai pris mon pied avec toi mais c'est quand même étrange de baiser un mec tout rasé de partout. »

A cet aveu surprenant je réponds par la prudence :

- « Ah ? Ben moi aussi j'aurai préféré ne pas être rasé…

- Ouais. Mais bon si Raldo l'a fait c'est qu’il avait ses raisons... »

Il ne s'étend pas davantage et m'ouvre la porte.

- « Allez entre. »

Je rentre et retrouve mes trois copains. Lucio ferme la porte derrière moi. John m'explique rapidement que pour eux rien ne s'est passé depuis mon départ. Je résume rapidement ce que j'ai vécu avec Lucio. Mes camarades ne réagissent pas vraiment. Depuis le temps qu'on fait ce qu'on veut de nous dans ce chalet…

Le temps passe lentement et s'étire. Personne ne rentre dans la chambre.

 

A suivre...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 10 novembre 7 10 /11 /Nov 13:35

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 23/26

 

Chapitre 24/26: Jeune cul dilaté


Archie est tout d'abord emmené aux toilettes où il est fermement prier de pisser et de se vider aussi les intestins. Ca tombe bien, il a envie et se soulage sur le trône alors que Raldo l'attend dehors. Puis à sa sortie il est conduit sous la douche.

- «  Laves toi maintenant. »

Il s'exécute docilement. Rapidement il se savonne le corps et se rince devant Raldo qui le surveille. Une fois terminée, alors qu'il s'apprête à sortir du bac à douche, Raldo le stoppe.

- « Attends, ce n'est pas fini. Retourne-toi et montre-moi ton cul. »

S'attendant à subir une inspection intime le garçon se retourne. Mais Raldo
lui explique alors :

- « Je vais te faire un lavement. Tu sais ce que c'est ? »

Surpris Archie ne peut que bredouiller :

- « Euh oui…

- « Parfait, ne bouge pas alors. »

Et Raldo lui enfonce entre les fesses, dans son trou, une douchette mais sans pommeau et ressemblant à un gode. Puis il visse cette douchette au tuyau de la douche. Enfin il ouvre légèrement le robinet d'eau chaude. Les intestins d'Archie se remplissent alors d'eau chaude et la sensation est surprenante. Son ventre gonfle et il a du mal à se retenir de ne pas tout expulser. Raldo lui ordonne de se retenir. Il serre les fesses alors que son ventre gargouille. Puis Raldo stoppe l'arrivée d'eau et retire la douchette du cul du garçon. Il lui demande alors de faire quelques pas en dehors de la douche pour bien brasser l'eau en lui. Se retenant Archie est contrait d'obéir.

- « Ok, reviens maintenant et expulse tout. »

Baissant la tête de honte il s'exécute et, s'accroupissant dans le bac à douche, il se vide devant Raldo. L'opération est recommencée une deuxième fois. La pudeur naturelle de l'adolescent est mise à mal surtout lorsqu'il doit expulser l'eau devant Raldo. Mais ce n'est pas le souci du scénariste.

- « C'est bon, rince-toi maintenant. »

Archie se rince une dernière fois. Il insiste sur son entrejambe et son anus. Il ne comprend pas le pourquoi du lavement, mais il est maintenant aussi propre en dedans qu’en dehors.

 - « Parfait, approche-toi et retourne-toi. Je vais te mettre un plug. »

Sachant ce qu'il en coûte en cas de refus il prend la pose demandée et écarte ses jambes pour dégager sa rondelle. Puis doucement un plug assez gros lui est introduit dans le rectum. Avec l'eau il rentre sans difficulté. Archie sent son anus rester ouvert, le plug bien calé en lui.
Puis Raldo lui fait couler un bain d'eau très chaude et ordonne à Archie de s'y plonger. Doucement, car l'eau est très chaude, Archie obéit et se retrouve immergé jusqu'au cou dans l'eau.

- « Tu vas y rester une demi heure. Ne bouge surtout pas. Il y a une caméra là-haut. »

Il désigne alors une petite caméra fixée à une poutre.

- « Et on te surveille. Je reviens te chercher. »

Comprenant de moins en moins ce qui lui arrive Archie reste donc 30 mn dans son bain. Avec sa main droite il palpe ses fesses et surtout le plug qui dépasse. Mais pas question pour lui de le retirer. Dans la chaleur du bain ses fesses se ramollissent et il ne sent d'ailleurs plus rien. Pour un peu il s'endormirait. Mais la crainte des événements futurs l'en empêche... Il ne cesse de se poser des questions qui restent sans réponse.

Raldo revient. Il lui ordonne de quitter son bain et lui tend une serviette. Archie obéit et se sèche rapidement. Puis Raldo le pousse dans une autre salle transformée en studio de tournage comme toujours. Raldo sort alors une ceinture cardio fréquencemètre et la place autour de la poitrine du jeune garçon qui commence à s'affoler devant ses minutieux préparatifs. Puis Archie est poussé devant une petite planche matelassée d'environ 50 cm de large et un mètre de long. Il doit s'allonger à plat ventre dessus. Ce qu'il fait à contrecœur car il a compris qu'il va être attaché. Effectivement ses bras lui sont attachés. Seul son ventre repose sur la planche. Pas ses jambes qui lui sont fortement écartées et pliées suivant un angle d’environ 20° sous lui. Ainsi positionné, les fesses très ouvertes et légèrement cambrées, ses mollets sont attachés. Une sangle passe sur ses reins et l'empêche de décoller de la planche. Son front repose sur un oreiller en forme d'arc ce qui lui évite de s'écraser le visage. Il constate alors qu'une caméra est pointée sur sa figure.
Il est maintenu complètement lié à cette planche et ne peut remuer le moindre de ses membres. Les fesses ouvertes, le cul offert, la rondelle déjà maintenue ouverte par le plug, il réalise alors que tous ces préparatifs se concentrent vers son anus. Il commence alors à imaginer avec effroi ce qu'il va subir…

Doucement la planche est inclinée vers l'avant et il se retrouve avec le visage environ 10 cm plus bas que l'horizontale. Cela offre à Raldo un meilleur accès à son anus en surélevant un peu son bassin. Pour terminer, ses couilles qui pendent vers le sol sont tirées vers l'arrière pour ne pas qu'elles soient écrasées sous son propre poids. Une ficelle entourant la base de sa queue avec ses bourses lui est également fixée. Un nœud assez serré est réalisé pour maintenir cette boucle.

- « Voila, tu es maintenant prêt. »

Sur ce, Angelo qui vient d'en finir avec Chris et moi-même, entre. Archie ne voit rien car il a le visage tourné vers le bas mais il entend tout.

- « Bien, il est prêt ?

- Oui, c'est bon. »

Angelo inspecte alors les liens et la position du jeune prisonnier. Il ne dit rien. Puis se saisissant d'une bouteille, il en remplit un grand verre de son liquide. Il plonge une paille dans le verre puis, passant devant Archie, il pose le verre sur une petite table et la rapproche du visage d'Archie. La paille est accessible au garçon.

- « Avale tout ! »

Aspirant le liquide Archie avale alors un grand verre. Il reconnaît le goût de la vodka. Elle est très forte et surtout pure et il manque plusieurs fois de tousser. Surtout qu'avaler en ayant la tête en bas n'est pas vraiment facile quoique parfaitement possible. Il finit d'aspirer le verre. Un deuxième verre lui est alors présenté. Comme le premier il avale tout sans résistance. Inutile d'énerver les deux scénaristes. Il n'est pas vraiment en position de force !

Au dessus de lui Raldo termine en dirigeant un projecteur et une autre caméra sur son anus déjà dilaté par le bain chaud et le plug toujours enfoncé.

Enfin, Angelo prend une chaise et se place entre les jambes écartées d'Archie. Il a ainsi à portée de main le cul de l'adolescent à sa disposition.

Archie lui termine le deuxième verre d'alcool fort.

Raldo contrôle la caméra 2. Angelo lui s'occupe du trou d'Archie. Car c'est bien de cela qu'il s'agit. Il veut le goder avec des diamètres de plus de plus grands. Il va ouvrir et dilater la rondelle d'Archie, le tout sous les caméras.

Il commence par enlever le plug. Il examine alors avec attention la raie imberbe, le trou et les lèvres anales offertes devant lui. Avec ses mains il écarte les chairs du garçon au niveau de sa rondelle. Le trou s'ouvre. Il l'inspecte soigneusement à la recherche de fissure ou autre problème.

Puis il graisse abondement la rondelle ouverte devant lui et introduit directement deux doigts et commence un massage avec. Puis un troisième doigt est introduit. Le massage dure bien cinq minutes. Archie qui commence à ressentir les effets de l'alcool ne souffre pas. Bien assouplie par la chaleur et la graisse ses chairs sont souples et n'offrent presque aucune résistance.

Angelo retire ses doigts et présente un gode de 6 cm de diamètre. Il le place devant la rondelle enduite de graisse et pousse. Doucement le gode rentre. Archie a bien un peu mal mais ne peut résister et, lentement, l'instrument le pénètre. Puis Angelo retire le gode et le remet. Et cela plusieurs fois jusqu'à ce qu'il rentre sans difficulté dans l'anus d'Archie.

Il passe alors au diamètre supérieur. Toujours avec force graisse ce nouveau gode finit par rentrer à fond. Mais Archie a eu du mal à ne pas crier lors de son introduction. Ce qui n'a pas échappé à Angelo qui surveille son visage à travers l'écran de la caméra 1tourné vers lui. Il surveille aussi le rythme cardiaque du supplicié car il ne veut pas que Archie fasse un malaise.

Une fois le gode introduit il le met en rotation et le remue doucement. Puis il le ressort et le remet. Après trois opérations similaires le gode rentre assez facilement. Petit à petit, régulièrement, les muscles d'Archie se dilatent et son trou s'ouvre à la pénétration. Un nouveau verre de vodka est présenté à Archie qui commence à être vraiment saoul. C'est fait exprès : il a ainsi moins mal et ne résiste pas. Ce qu'il ne sait pas c'est qu'un calmant est également mélangé à sa vodka. Petit à petit il rentre dans une torpeur et dort à moitié, l'air béat. Il sent son cul ouvert et forcé mais reste quasiment sans réaction...

Pourtant, à son insu, Angelo progresse et un nouveau gode se présente maintenant devant la rondelle ouverte. Et évidement son diamètre est supérieur au précédent. Mais là, malgré la graisse, il ne passe pas. Archie sent bien que ce gode est trop gros et ne peut s'empêcher de résister. Bien que ses jambes écartées ne lui laissent pas vraiment de possibilité il peut quand même serrer et durcir ses sphincters.

Angelo a beau forcer il ne rentre pas ! Et il voit bien qu'Archie lutte et souffre... Pas désemparé pour autant il attache alors un poids de 200g à la ficelle qui enserre les couilles du garçon et, brutalement, laisse tomber ce poids. Archie hurle sous la douleur, ayant l'impression qu'on lui arrache ses parties intimes. Deux fois Angelo recommence ce nouveau supplice. Archie hurle à nouveau fortement.

- « Bon, ne résiste plus maintenant ou je recommence ! »

Archie, vaincu par cette douleur vive, bredouille un oui timide.

Angelo représente le gode devant sa rondelle et commence à pousser. Cette fois Archie ne résiste pas et, avec difficulté, le gode rentre et se fraye un chemin dans ses entrailles. Archie à plus que jamais l’impression d'avoir le cul ouvert. C’est comme si un pieu lui labourait les entrailles...
Pourtant Angelo prend bien garde à ne pas déchirer ses chairs et à ne pas le blesser. Il sait y faire visiblement.

Comme les autres, ce gode est sorti et rentré plusieurs fois, mais toujours avec difficulté. Pourtant Angelo estime que le cul dilaté devant lui peut encore en prendre davantage. Mais en changeant de méthode. Il commence par laisser ce dernier gode 5 mn dans le corps d'Archie puis, sur un signe d'Angelo, Raldo présente une poudre blanche devant le nez d'Archie.

- « Respire ! »

Sans réfléchir il inspire fortement. La poudre pénètre son nez et il se sent dès lors planer et détaché de l'action en cours. Il ne sait pas ce qu'il vient de respirer mais cette drogue puissante anesthésie sa douleur, réduit sa volonté et le fait planer dans un monde virtuel. Il ne sent quasiment plus aucune douleur à son trou plus que dilaté. La drogue est vraiment efficace.

Une minute plus tard Angelo retire le gode et, sans attendre que la rondelle dilatée et ourlée ne se referme, il présente le dernier gode, le plus gros. Il le positionne face au trou puis de sa main gauche saisit le poids pendant sous les couilles d'Archie. Il le lève bien haut et le laisse tomber. Malgré son état de semi conscience l'ado ressent très bien la douleur et hurle. Mais avec un parfait synchronisme, Angelo a enfoncé le gode d'un coup sec et franc dans le cul du pauvre garçon. Cette stratégie qui consiste à détourner la douleur a parfaitement fonctionné. Archie a maintenant le plus gros gode dans son fondement. Et Angelo continue doucement à l'enfoncer malgré la souffrance de son acteur qui a le sentiment de se faire déchirer les entrailles. Pourtant il n'en est rien, heureusement pour Archie.

Durant trente secondes, lentement, le gode géant poursuit son avancée. Puis Angelo stoppe et tout aussi doucement retire complètement l'engin du corps de Chris. Martyrisé par cette introduction, son anus met quelques instants avant de se refermer normalement.

- « Voila, terminé ! »

Dans sa semi inconscience Archie comprend toutefois à peu près correctement le sens du message. De toute façon, drogué comme il l'est, il reste indifférent à ce qui se passe autour de lui. A présent Angelo essuie la raie ouverte devant lui et, laissant le garçon dans cette position, se retire et commence à vérifier les plans tournés avec son jeune acteur. Archie, lui, continue à planer.
Dix minutes plus tard sa rondelle subit un dernier contrôle d'Angelo. Il étale un peu de crème apaisante sur l'anus un peu trop rouge à son goût. Il est satisfait : son acteur n'a pas de traces visibles de sa séance de godage musclée...

Archie est complètement détaché. La planche est remise à l'horizontale. Angelo l'aide à se relever car en fait il tient à peine debout. Le tenant par les épaules Raldo le ramène directement dans la chambre.

Il nous y retrouve tous les trois. Mais Raldo le dépose sur un matelas.

- « Laissez-le dormir. Il n'a rien, il est juste un peu shooté. »

Puis il me tend la pommade apaisante :

- « Tiens ! Si tu as besoin ! Ou ton cousin… »

Je saisis le tube, puis il nous laisse, enfermés tous les quatre.

Nous regardons alors Archie qui ne réagit pas et s'endort complètement en moins de cinq minutes. Nous le laissons tranquille tout en nous demandant ce qu'il a subi. Et je demande à Chris de me remettre de la pommade sur mes fesses toujours zébrées et un peu douloureuses. Je fais ensuite de même pour mon jeune cousin qui a bien récupéré de son évanouissement de tout à l'heure.
Le temps passe. Une heure après un plateau de soda et des gâteaux nous sont apportés. Mais ce n'est pas le gardien Manuelo et personne n'ose lui poser de questions.

Nous restons seuls à nouveau. Le temps passe lentement. Après un sommeil d'environ 2h, Archie se réveille et retrouve l'esprit clair.

Puis bien plus tard le repas du soir nous est apporté par Manuelo. C'est le seul gardien avec qui on peut discuter. On lui pose donc des questions. Il nous explique que Kiram est parti et que Raldo a prévu une nouvelle scène demain matin. Mais qu’ensuite il ne sait rien d'autre.
Finalement on ne sait pas grand-chose de plus. Il nous faudra s'en contenter pourtant. Puis la nuit tombant nous nous retrouvons dans l'obscurité. Une nouvelle nuit commence et se déroule sans problème. Traumatisé par ce qu'il a vécu aujourd'hui Chris met longtemps à s'endormir.

 

La suite :  Un chalet en montagne - 25/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 3 novembre 7 03 /11 /Nov 13:30

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 22/26

 

Chapitre 23/26: Liaisons fatales


Mais non la nuit se passe sans rien de particulier. Au matin, dès le jour levé, assez tôt donc (nous sommes en été), un déjeuner nous est apporté par le gardien Manuello. John qui pense qu'il ne risque plus grand-chose ose lui demander combien de temps on va encore rester ici.

- « Euh… Dis moi on est là jusqu'à quand ? »

Par sympathie, car au fond de lui il nous aime bien, Manuello lui répond après un court instant de réflexion :

- « Je ne sais pas mais Angelo reste là jusqu'à ce soir.

- Angelo ?

- Ben oui, celui qui vous dirige depuis hier. C'est l'ami de Raldo. Mais lui fait dans le hard et le sado/maso. »

L'inconnu d’hier se nomme donc Angelo. Il porte bien mal son nom. Ce serait plutôt le diable en personne… Manuello poursuit :

- « Après demain je pense que Raldo doit encore avoir besoin de vous. Mais je n'en suis pas sûr.  Cela dépend… »

Et il se tait tout en continuant de nous regarder.

- « Enfin je peux quand même vous dire que vous serez libre après. Ils ne veulent surtout pas vous garder. Ils feront croire à une demande de rançon qui a échouée.

- Ha ?

- Oui c'est ce qui est prévu. Allez, je vous laisse. Déjeunez vite. Angelo ne vas pas tarder. »

Et il se retourne, se dirige vers la porte mais se retourne juste avant de sortir :

- « Allez courage ! C'est bientôt fini je pense. »

Et sur ce il verrouille la porte nous laissant prisonnier en ce début de journée. Le petit déjeuner est vite avalé malgré la crainte des évènements futurs. La perspective de tourner des scènes genre sado/maso nous effraie tous. Aucun de nous n'a envie de subir des supplices équivalents à ceux de John. Pourtant c'est bien ce qui va se passer.

Environ 30 mn plus tard Raldo et Angelo font leur entrée accompagnés d'un gardien. Comme nous l'a annoncé Manuello, c'est Angelo qui dirige maintenant.

- « Chris et Pascal, avec nous ! »

Chris me jette aussitôt un regard effrayé mais comme lui je ne peux que suivre les trois hommes. John et Archie restent dans la chambre à nous attendre, ne pouvant qu'imaginer ce qui se passe.

Pour commencer Angelo nous conduit tous les deux à la salle de bain. Nous y sommes surveillés par le garde avec pour consigne de nous doucher avec soin. Nous obéissons et chacun s'applique. J'ai du mal à soutenir les regards effrayés de mon jeune cousin. Je suis incapable de le protéger et je m'en veux beaucoup de ne rien pouvoir faire de plus.

Une fois douché et séché le gardien prévient Raldo qui rapplique.

- « Bien, suivez-moi. »

Suivi du gardien il nous emmène dans le studio d'enregistrement. Angelo est déjà là et nous tend à chacun un verre d'eau et une pilule de viagra. Nous avalons le médicament puis il nous ordonne de nous caresser mutuellement. Nous ne pouvons que nous soumettre et, très vite, nos sexes durcissent. Grâce au célèbre médicament, ou à cause de lui, nous bandons fort tous les deux. Angelo ordonne alors à Chris de monter sur une petite estrade en bois d'environ 8 cm de haut située au centre de la salle juste devant les caméras. Puis il doit lever les deux bras et ses poignets sont attachés à une chaîne reliée à un palan. Avec son corps juvénile et sa bite à angle droit il se retrouve ainsi exposé devant les caméras. Puis Angelo lui demande d'ouvrir la bouche.

Affolé, Chris refuse. Il se reçoit alors une forte gifle. Immédiatement le gardien me met une main ferme sur l'épaule pour que je n'intervienne pas. Impossible de lutter. Angelo réitère alors son ordre et cette fois mon cousin obéit. Angelo lui place alors dans sa gueule un cylindre de mousse bleue. Et l'enfonce presque au point d'étouffer Chris. Mais comme je vais m'en apercevoir sous peu ce cylindre est percé de petits trous de partout. Et on peut en fait respirer presque normalement au travers. Mais de par sa taille il oblige à rester la bouche grande ouverte. Mais je ne comprends pas pourquoi il dépasse d'au moins autant devant les lèvres de Chris.

- « Mets-toi devant lui. Mais pas sur l'estrade. »

Je m'approche de mon cousin qui me regarde fixement. Il ne comprend rien, moi non plus. Mais Angelo sait très bien lui ce qu'il veut de ses jeunes acteurs. Je constate alors qu'une caméra tourne, manœuvrée par le gardien.

Il me pousse devant mon cousin et m'oblige à toucher son ventre avec le mien. Nos sexes bandés se croisent. Je constate alors que nos tiges tendues sont au même niveau. Voilà donc la fonction de l'estrade. Chris est plus petit que moi, et il faut que nos sexes soient à la même hauteur ! Avec du chatterton, Angelo entoure nos deux tiges à l'horizontale ne laissant que les glands visibles. Nous sommes ainsi reliés par nos queues. Et pendant ce temps Raldo m'oblige à mordre dans le bâton de mousse enfournée dans la gueule de mon cousin. Ma tête est poussée contre celle de Chris et finalement nos visages se touchent. Une sangle plate fortement serrée entoure alors nos têtes et nous empêche de reculer. Je suis littéralement collé à mon cousin. Je sens chacun de ses souffles et vice versa. Ses yeux sont à quelques centimètres des miens. C'est plus qu'intime comme contact.
Mes poignets sont eux aussi attachés en l'air et reliés à ceux de Chris.

Nous ne pouvons plus tourner la tête et ne voyons plus rien. Mais Angelo s'affaire encore sur nos queues attachées. Sans vraiment comprendre exactement ce qu'il fait je sens un fil entouré la base de mon gland, là où le prépuce est rétracté. Chris semble avoir un dispositif similaire.
Et durant ce temps-là Raldo scotche nos jambes ensemble juste dessus nos chevilles. Par une tige métallique nos jambes sont maintenues écartées d'environ 70 cm. Nous avons donc chacun le cul ouvert et la raie des fesses offerte. C'est bien sûr fait exprès.

- « Voilà. C'est presque terminé. »

Nous sommes donc reliés, attachés, collés par nos poignets, bouches, nos bites tendues et les mollets. Nos ventres sont collés l'un à l'autre et je sens vraiment les respirations de Chris. Jamais je n'ai été aussi proche de lui. Pourtant il est encore possible de faire mieux. Raldo manœuvre le palan et doucement la corde nous tire vers le haut. Par notre propre poids, sous le simple effet de la gravité, il nous oblige ainsi à nous coller davantage. Je m'étire, m'attendant à être soulevé du sol. Mais non Raldo stoppe et mes pieds restent posés au sol mais c'est juste. Mon corps est fortement tendu.
- « Une dernière opération… »

C'est Angelo qui poursuit notre "préparation". Il étale un liquide frais sur mon anus, je reconnais du gel lubrifiant, et, avec un doigt m'ouvre la rondelle. Puis il retire son doigt et un objet dur, lisse et à priori métallique est introduit dans mon sphincter. Ce gode est assez gros et me fait légèrement mal. Une dernière poussée et je sens l'objet s'introduire presque complètement en moi. Un resserrement au niveau de mon trou l'empêche de ressortir et le maintient dans mes entrailles. Puis, du coin de l'œil, je vois passer Angelo derrière mon cousin. Lui aussi se retrouve avec un gode entre les fesses. A travers nos pénis liés je sens quasiment la progression de l'engin dans son fondement. Angelo se retire. Nous sommes prêts mais nous ne savons pas à quoi…

Brusquement le corps de Chris s'arque et me pousse en avant. Il essaie de crier mais en est empêché par la mousse dans sa bouche. Il vient en fait de recevoir un coup de baguette sur les fesses. Il s'agit donc d'une fessée ! Chris reçoit 10 coups. Que je ressens très nettement vu notre contact plus que rapproché. Il a mal et je sais que dans quelques instants cela va être mon tour... Le premier coup me fait hurler de douleur. Comme mon cousin je reçois une bonne dizaine de coups sur les fesses. C'est violent et cela me fait très mal. Je saute ou sursaute de douleur à chaque coup. Le pire c'est qu'on entend le sifflement de l'engin dans l'air. Et on sait alors que le coup va porter. Je n'aurai jamais pensé qu'une fessée soit aussi douloureuse ! Mais nous n'avons encore rien vu et ceci n'est que le début de la séance...

Puis à nouveau mon cousin est frappé mais avec une raquette de ping-pong. Ses fesses lui chauffent fortement et lui font mal. Mais impossible d'esquiver. A travers nos corps soudés je ressens les coups. Il souffre et des larmes commencent à perler sur ses joues. C'est ensuite mon tour d'être fouetté avec la raquette. Rapidement mes fesses me brûlent et me donnent l'impression d'être assis sur une plaque de métal chauffée à blanc. Je ne pleure pas encore mais c'est limite. C'est atroce et la douleur augmente à chaque coup. Après un moment de répit, c'est au tour de Chris de ressentir à nouveau les coups de baguette sur son postérieur. Il crie et hurle sa douleur mais ses sons n'ont aucun volume, étouffés par le cylindre de mousse qui lui remplit la gueule. Et moi bien sûr je ressens chaque coup, chaque secousse de son corps. Comme lui lorsque c'est à mon tour de subir ce supplice, certes ancien et classique, mais très douloureux si les coups sont nombreux et forts. Et c'est le cas présentement ! Angelo grappe fort et n'a aucune pitié. C'est maintenant moi qui reçois les coups de baguette. Et contrairement à la dernière série Angelo me frappe toujours au même endroit. Ma peau est rouge et presque à vif. La douleur intolérable. Puis après je ne sais combien de coups il stoppe. Mes fesses me brûlent atrocement. J'ai oublié mon sexe toujours bandé et scotché à celui de Chris ainsi que le gode enfoncé dans mon rectum. Mon cul me fait tellement souffrir que j'en oublie le reste.

Angelo s'écarte et ne passe pas derrière mon cousin mais au contraire rejoint Raldo. Ficelé comme je suis, je ne peux pas tourner la tête et ne voit pas vraiment où il est.

Brusquement je ressens un fort picotement au niveau de ma bite sur le gland. Je ne comprends pas tout de suite. Chris non plus. Lui aussi sent le courant électrique titiller son gland par secousse régulière. Je réalise alors que c'est un fil électrique qui nous électrise. Une autre secousse mais cette fois ci à l'intérieur de mon cul ! C'est le gode métallique qui me secoue ainsi. Sous les commandes de nos scénaristes ils alimentent au choix les godes fichés en nous ou à l'extrémité du gland. Les secousses se font plus fortes. Et à chaque fois que le gode s'alimente, par réflexe je serre les fesses, ce qui fait remuer l'instrument dans mon corps. Et du coup ça m'excite. Tout comme les secousses de Chris également... C'est l'intention d'Angelo : nous exciter et nous faire jouir. Après quelques minutes de secousses électriques, d’agitation et de sursaut, bien malgré moi je ne peux m'empêcher de jouir. Mon nectar jaillit ave force et arrose les couilles de mon cousin puis coule sur le haut de ses cuisses. Mais le courant ne s'arrête pas pour autant. Mon cousin est plus long à venir. Mais lui aussi fini par me juter dessus. Le plus surprenant est que nos sexes restent en érection. L'effet de la pilule et de la jeunesse certainement !

Aie ! A nouveau la fessée reprend et je reprends une volée de forts coups sur mes fesses déjà très rouges et douloureuses. Ce coup-ci, après seulement quelques coups, les larmes me montent aux yeux et je ne suis pas très loin de défaillir. Je n'en peux plus. Pour varier la douleur Angelo me frappe alors sèchement les bourses, par en dessous, sans toucher le gode d'ailleurs. La douleur est terrible et je m'écroule littéralement. Seuls mes bras attachés m'empêchent de m'effondrer à terre... Puis c'est au tour de mon pauvre cousin de subir le même traitement. Lorsque ses bourses sont frappées je sens littéralement sa douleur se répercuter dans mon corps. Il souffre et je souffre aussi pour lui.

A nouveau les secousses électriques sur le gland et dans nos culs. Elles sont plus fortes et nous portent en quelques minutes à la jouissance forcée malgré la douleur et la fatigue des coups. Cette alternance de douleur et d'éjaculation forcée est terrible et très fatigante. Je transpire et Chris aussi. Des larmes coulent de ses yeux. Sa respiration est rapide. Son regard exprime la souffrance et la peur. Chaque secousse, chaque petit mouvement qu'il fait me parvient parfaitement. Jamais je n'aurai autant fusionné charnellement avec un autre garçon. Je ne sais plus où cesse son corps et où commence le mien. Nous ne faisons en fait plus qu'un.

A nouveau je reçois quelques coups sur mes bourses. C'est les plus douloureux et je hurle littéralement. Je ne suis pas loin de défaillir.  Une minute de répit et c'est au tour de Chris de se faire frapper ses fesses une dernière fois. Lui aussi n'en peut plus et manque de s'évanouir sous la douleur. Notre état lamentable n'a pas échappé à notre cruel scénariste. Angelo stoppe alors ses coups. Je n'aurai jamais autant souffert de ma vie !

- « Ok c'est bon. On va stopper là. »

Ces paroles, attendues avec impatience, nous soulagent et nous réconfortent grandement. Chris comme moi attendions avec impatience notre libération. Pourtant ni Raldo ni Angelo ne s'approche de nous. Et puis si, les voila qui arrive, chacun d'eux passe derrière l'un d'entre nous. Mais ils ne nous détachent pas.

Brusquement nos deux corps se tendent et se cabrent de douleur ensemble. Simultanément Angelo et Raldo martèlent nos fesses brûlantes et plus que douloureuses. Quelques coups rapides et synchronisés qui nous font horriblement souffrir en même temps. Nous pleurons tous les deux de douleur et nos larmes se mêlent sur nos joues collées l'une à l'autre. Nous n'en pouvons plus.
Une minute de répit. Dans l'angoisse nous attendons la suite ou la fin de notre calvaire. Brusquement Chris hurle et se tend. Ses yeux s'agrandissent comme jamais et dans un dernier soubresaut il s'évanouit.

Raldo derrière lui, vient en fait de le frapper une nouvelle fois sur les bourses par en dessous. C'était le coup de trop. Mon cousin n'a pas résisté à la douleur intense. Immédiatement Angelo s'approche et libère les bras de mon jeune cousin. Il retire aussi la sangle reliant nos têtes.

- « Aide-moi ! Imbécile ! »

Raldo ne répond pas à l'insulte et défait les chevilles entravées de Chris. Puis il soutient mon cousin inerte par les aisselles pendant qu’Angelo défait le scotch unissant nos queues. Je bande toujours et je pense alors que la publicité faite autour du médicament miracle est absolument vraie : il est d'une efficacité terrible ! Par contre la tige de Chris est toute molle à l'image de son corps. Il est toujours évanoui. Raldo l'allonge sur le coté pour ne pas que son cul certainement douloureux ne touche le sol. Je vois alors clairement que ses fesses sont rouges et couvertes de zébrures violettes. La marque de la fessée. Mes fesses doivent avoir le même horrible aspect. Angelo tapote les joues de Chris et lui nettoie le visage avec une serviette humide. Rapidement Chris reprend ses esprits et ouvre les yeux. Angelo aussi gentil avec lui maintenant qu'il a été cruel quelques instants auparavant lui tend un verre de soda à l'orange. Chris le boit goulûment. Un deuxième verre lui est offert. Il a maintenant retrouvé tous ses esprits. Angelo lui ordonne doucement :

- « Mets-toi debout maintenant. J'ai de la crème anti douleur… »

Chris se redresse et se met debout. Il reste planté là encore un peu abasourdi par son évanouissement. Angelo passe alors derrière lui et constate que mon cousin a toujours le gode enfoncé en lui.

- « Attention je vais te le retirer. »

Angelo tire alors le gode vers l'extérieur. Chris ne peut esquisser un léger rictus de douleur lorsque la partie la plus épaisse franchit ses lèvres anales.

Puis il lui badigeonne les fesses d'une couche épaisse de crème blanche. Sans oublier de pénétrer dans sa raie. Et pour terminer Angelo repasse devant Chris et lui soulève les bourses. Il le badigeonne également de crème sous les bourses. Chris se laisse manipuler sans réaction.

- « Bien. Suis Raldo maintenant. Il va te ramener dans la chambre. »

Ils sortent alors tous les deux. Quant à moi je suis toujours attaché debout, nu, les bras en l'air et les jambes écartées. Et un gode métallique enfoui dans mon cul aussi… Dans l'action j'ai oublié mes fesses douloureuses et qui me cuisent fortement. Angelo se dirige vers moi et passe sa main sur mon postérieur. C'est horrible et j'essaie de me rétracter et de contracter mes fesses. Mais je ne crie pas. Il vérifie ensuite la dureté de ma queue qui décidément ne débande toujours pas. Il semble satisfait.
Angelo en déduit alors que je ne vais pas si mal que cela et qu'il peut donc finir sa scène avec moi seul.

- « Ok, encore quelques minutes et c'est fini. »

Résigné je me prépare au pire. Angelo, qui se transforme d'ange en démon en 2 temps 3 mouvements, me frappe alors mes fesses avec un bouquet d'ortie. La piqûre urticante sur ma peau à vif est terrible. Je hurle et saute de douleur. C'est pire qu'un fer chauffé à vif. Il me frappe encore quelques coups sur le postérieur, puis sous les bourses et enfin sur ma bite. Je brûle de partout. Ca me chauffe et me démange fortement. J'ai une furieuse envie de me gratter mais impossible de le faire. Encore quelques petits coups et Angelo jette au loin son bouquet maléfique. C'est terminé pour moi et j'en soupire de soulagement. Puis rapidement il me badigeonne les fesses et tout mon entre cuisse de crème apaisante. Sans oublier mes organes génitaux. Ma queue enfin est au repos. Curieusement il me laisse le gode. L'effet de la crème est immédiat et elle me soulage fortement.

 - « Tu restes comme cela encore 10 mn. Il ne faut surtout pas te gratter sinon c'est pire. »

Je ne réponds rien. Il se dirige vers le gardien toujours impassible derrière sa caméra et vérifie les dernières séquences tournées.

Et moi, j'attends debout, attaché et nu. Rapidement mes brûlures s'estompent. Absorbé par son visionnage Angelo ne voit pas le temps passer. Un bon quart d'heure après il se relève enfin et passe derrière moi. Le gode m'est retiré et il me remet une forte couche de crème. Puis il me libère les bras et les jambes. Je suis enfin libre de mes mouvements. Il me fait alors signe de le suivre jusqu'à la chambre. J'y retrouve mon cousin et John. Archie n'est pas là. Dès que Angelo se retire je pose la question :

- « Et Archie ?

- Il est parti avec Raldo quand Chris est arrivé !

- Aie ! »

C'est le dernier à ne pas avoir tourné de scènes violentes. Je comprends que c'est alors son tour. Plus tard, après notre libération, il me racontera ce qui lui est arrivé. Et jamais je n'aurai pensé cela possible…

 

La suite :  Un chalet en montagne - 24/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 27 octobre 7 27 /10 /Oct 14:00

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 21/26

 

Chapitre 22/26: Urtica


La suite nous sera racontée par John lui-même bien plus tard... A partir de ses explications, voila ce qui s'est passé pour lui.

Toujours maintenu par la nuque John est emmené dans la salle où se trouvent les caméras. Dès son entrée on lui tend une petite pilule bleue qu'il est forcé d'avaler avec un verre d'eau. Il suppose, avec raison, que c'est du viagra. Il en ressentira d'ailleurs les effets sans tarder.

Devant les caméras, deux matelas ont été rapprochés. John est poussé au centre de ces matelas.

- « Bien, écarte un peu les jambes et ne bouge plus. »

Inquiet mais docile il reste debout et écarte ses jambes.

- « Branle-toi. Il faut que tu bandes. »

John est surpris. Les caméras ne tournent toujours pas comme à l'accoutumée. Il pressent que quelque chose d'autre se prépare. Et quelque chose de pas agréable pour lui.
Toutefois, sachant qu'il est parfaitement inutile de résister, il place sa main sur son sexe. Il commence alors à se branler. Malgré le contexte et les regards portés sur lui, il bande très rapidement à sa grande surprise d'ailleurs. Il comprend alors la grande efficacité de la pilule qu'il a avalée. Son sexe est dur et érigé vers le haut, presque plaqué contre son ventre. Le gland est plus que dégagé, le prépuce retroussé. Il bande en fait comme un âne sans qu'il ne puisse rien y faire.

- « Ok ! C'est bon. Arrête-toi. »

L'inconnu s'approche alors de lui et, à l'aide d'une ficelle, lui enserre la base des couilles et réalise un nœud complexe qui sépare les 2 testicules du garçon. Chacune de ses boules se trouve séparée et attachée. C'est suffisamment serré pour que la ficelle ne puisse s'enlever mais pas trop pour ne pas couper la circulation sanguine. Mais cette pression maintient et renforce l'érection de John malgré lui. La ficelle se prolonge ensuite sur plusieurs mètres et l'inconnu en tient l'extrémité.
A présent, Raldo et le gardien ont pris place derrière les caméras et commencent à filmer. C'est l'inconnu qui dirige la scène. Le dernier homme reste légèrement en retrait et ne dit rien.

- « Allonge-toi sur le dos ! Et tu écartes les bras et les jambes. »

John obéit. L'homme lui attache alors les chevilles à une barre d'environ 1m de long. Cette barre lui tient les jambes écartées. Au milieu de cette barre un anneau est fixé au sol par une petite cordelette. John ne peut donc lever cette barre vers le haut. Ses bras sont tirés en arrière et de la même manière, une autre barre les maintient écartés et fixés au sol. Il est ainsi écartelé sur le dos mais avec un peu de liberté. Chacun de ses membres peut bouger un peu mais pas trop. Au milieu de son corps, son sexe est toujours en érection, plaqué sur son ventre.

A présent John a peur et roule des yeux effarés. L'homme s'approche de son visage et lui ordonne d'ouvrir la bouche. Le pauvre garçon ne peut qu'obéir. On lui enfonce alors une grosse boule de mousse dans la gueule. Cette boule est trouée pour permettre le passage de l'air mais il ne peut plus parler et ses éventuels cris seront étouffés. Un bâillon l'empêche de cracher cet objet qui lui maintient la gueule ouverte. Jamais il n'a eu aussi peur et ne s'est senti aussi vulnérable.
- « Parfait. Je vais t'expliquer un peu quand même. »

John regarde alors l'homme au-dessus de lui. Il aimerait comprendre pourquoi tout cela.

- « Voila. Jusqu'à présent Raldo a tourné des films avec vous. Mais des films sympas et plutôt soft. Du classique quoi. Moi je produis des films plus hard et plus vrai. Voila pourquoi tu es attaché. Tu vas avoir mal. C'est normal, c'est fait pour. Mais rassure-toi, rien de définitif. Mes acteurs doivent rejouer ensuite, tu comprends ? »

Apeuré par ce discours John comprend surtout qu'il est l'acteur de film genre sado maso mais sans son accord. Et qu'il doit s'attendre au pire. Il se débat mais ses entraves ne lui laissent aucune chance. Il ne réussit qu'à gigoter maladroitement sur ses matelas. Et c'est exactement le but du cruel scénariste : lui faire peur pour augmenter la crédibilité du film...

- « Bien, nous allons commencer. »

L'homme se saisit d'une bougie, l'allume avec son briquet et l'avance sur le sexe toujours en érection du supplicié. Il attend quelques instants que la bougie chauffe et que la cire tombe en goutte. Il dirige la première goutte sur le gland violacé du jeune garçon. A son contact, John crie et s'arque violement, dans un réflexe de douleur. Avec calme et sans tenir aucunement compte de la douleur de son esclave sexuel, l'homme continue à diriger les gouttes de cire sur le sexe tendu. A chaque goutte John subit le martyr. Il crie, gigote, se tortille, essaie de se libérer, remue violement, se cabre mais tout cela ne sert à rien. Ou plutôt si : à produire un film très réaliste. Les gouttes sur le gland sont les plus douloureuses. Sur la verge la tendre peau atténue la douleur mais elle reste forte. Sur les bourses également la souffrance est grande. Pendant environ 10 mn, le temps pour la bougie de fondre de moitié, John se convulse et souffre beaucoup à chaque goutte brûlante. Il ne crie plus mais pleure. Et ne peut s'empêcher de réagir en remuant son corps, en essayant de se libérer avec force.

A présent John ne sait plus si c'est son sexe qui lui fait mal ou les gouttes chaudes sur sa peau. A force de douleur et d'avoir les couilles serrées dans sa ficelle il a mal de partout. Son supplice dure plusieurs longues minutes.

L'homme s'arrête enfin et éteint la bougie. Il examine alors le visage de John plein de larmes. Sur un signe le gardien s'approche de lui et, à l'aide d'une serviette humide, essuie ses larmes. John reprend un peu ses esprits, en même temps que les douleurs à son sexe s'éloignent doucement.

- « Ok ! Tu as subi la première partie. Je passe maintenant à la suite. »

Ces propos ne sont pas faits pour rassurer le pauvre garçon…

Les 2 barres sont désolidarisées du sol mais restent fixées à ses membres. John est relevé et mis debout. Puis la barre liant ses poignets est fixée en hauteur. Il a les bras tendu en V au dessus de sa tête. A nouveau il peut remuer un peu tant ses liens sont lâches. Mais il s'agit d'une liberté de mouvement très relative. A sa grande surprise son érection dure toujours. L'effet de la pilule. Son sexe est rouge et lui fait toujours mal. Il est toujours bâillonné et la boule dans sa bouche le fait saliver anormalement. Le gardien lui donne alors un dernier coup de serviette sur son visage qui redevient dès lors présentable.

Les caméras devant lui se remettent à fonctionner. Une nouvelle séance commence. L'inconnu passe derrière John qui ne voit donc rien et fouette légèrement ses fesses bronzées. John ressent alors non pas une douleur vive mais de cuisantes brûlures sur ses fesses. Il ne comprend pas et hurle de douleur. A chaque coup quelque chose de souple s'écrase sur son corps et l'irrite fortement. Après plusieurs coups il commence à comprendre qu'il s'agit de plantes. Et plus précisément des orties. L'homme tient un gros bouquet de cette plante urticante et s'en sert pour fouetter notre camarade. La brûlure est forte et urticante. De plus John me dira plus tard qu'il craint particulièrement les piqûres d'orties ! Pour le moment ses fesses rougissent et brûlent comme si un fer à repasser était posé dessus. Il se tortille pour essayer d'échapper aux coups mais impossible bien sûr… Ses mouvements ne sont autorisés que pour renforcer le réalisme du film. Avec un cruel sang froid les scénaristes ont tout prévu.

A présent l'homme passe le bouquet d'ortie entre les jambes écartées de John. La peau sensible de ses bourses est atteinte et les brûlures sont encore plus vives. Sur ses cuisses et dans sa raie c'est également très douloureux. Son anus lui brûle également. Habituellement les orties provoquent une vive sensation brève de brûlure qui s'estompe rapidement mais là, le pauvre adolescent est piqué régulièrement et sans arrêt. Ce supplice qui n'est pas dangereux est très simple et douloureux et John déguste. Pour la plus grande satisfaction des caméras et de ceux qui les contrôlent. Les orties passent et repassent entre ses jambes. Il a beau se démener et remuer comme un beau diable, rien n'y fait.

Puis l'homme passe devant et, à bout de bras pour ne pas être dans le champ des caméras, s'attaque à la verge gonflée et violacée de John. Il bande toujours à fond. Déjà que les ficelles lui faisaient mal. Mais là, la piqûre des feuilles le fait littéralement bondir de douleur. Le pire étant les brûlures sur le gland à vif que le prépuce ne protège aucunement. Paradoxalement, sous l'action de la plante urticante, il bande encore plus et il n'a jamais eu si mal de sa vie à son sexe. Ses couilles ne sont plus qu'un bloc rouge, gonflées et irritées de douleur. Sa queue est tendue à l'extrême, les veines saillantes. On dirait qu'elle va exploser. Plusieurs fois et durant plusieurs minutes les orties sont passés sur sa bite, ses couilles et à nouveau entre ses jambes. Jamais John n'aurait pensé avoir autant mal avec une simple plante. Il danse littéralement accroché à ses liens. Pour finir l'homme le flagelle également sur le dos. Puis il change le bouquet et, ne gardant qu'une jeune pousse, celle qui pique le plus, il promène la branche doucement sur les fesses, entre les jambes et bien sûr les couilles, sans oublier le gland fortement gonflé. John encaisse difficilement cette dernière souffrance et ne peut empêcher les larmes de couler sur ses joues.

Son supplice est enfin terminé. L'homme s'approche de son sexe et défait la ficelle nouée autour de ses couilles. Cette libération procure à John un bien fou. Il sent le sang revenir normalement dans sa bite.

- « Voila. C'est fini pour toi. Je te laisse 15 mn encore attaché debout. Pour ne pas que tu te grattes. La douleur va disparaître toute seule. Y qu'à attendre... »

John comprend alors que son calvaire est enfin terminé. Petit à petit la douleur et les brûlures se réduisent. Il a une furieuse envie de se gratter mais bien sûr il ne peut pas. Après quelques minutes on lui retire son bâillon et la boule dans sa bouche. Il peut enfin respirer normalement. L'homme lui tend également un verre d'eau.

- « Tu en veux ?

- Oui. »

Avec gentillesse le verre d'eau lui est porté à ses lèvres. Il peut ainsi se rafraîchir. Durant ce temps Raldo a stoppé les caméras et s'affaire devant les écrans de contrôle. John a maintenant débandé et ses douleurs ont presque disparu. Il reprend ses esprits et va mieux. L'inconnu s'adresse à lui :

- « C'est bien, le film est bon. »

Le garçon ne sait pas trop quoi répondre et choisi la prudence.

- « Ah bien. »

Puis, sentant que l'homme est bien luné, il ose une question :

- « Mais vous ne trouvez pas de vrais acteurs pour faire cela ?

- Si, mais ce n’est pas pareil du tout. Ce n'est jamais aussi bien. Il faut quelqu'un de neuf. Un jeune qui n'a jamais été acteur et qui ne sait pas ce qui l’attend. C'est vraiment plus réaliste. »

John ose poursuivre.

- « Mais ça fait vraiment mal !

- Oui et c'est le but. Mais tu vois après 1h il n'y a plus de trace. Je ne veux pas laisser de traces sur les corps de mes acteurs même s'ils sont forcés. »

Devant la bonne volonté de son scénariste John enchaîne :

- « Mais… euh… on va rester longtemps ici ?

- Ah non, là mon garçon tu vas trop loin, je ne peux te répondre. »

John n'insiste pas et se tait. Le rangement se poursuit. Mais lui reste attaché. Un bon quart d'heure passe. Brusquement l'inconnu lève la tête vers lui et le regarde et lui dit :

- « Tu sais, je sais très bien qui sont tes parents. Et surtout ton père qui est riche. Tu n'es pas là contre une rançon. Mais c'est ce qu'il doit penser et ça nous arrange bien en fait… »

C'est une confirmation pour John qui comprend alors qu'il est prisonnier et acteur uniquement car il est un bel adolescent.

Le montage des images se poursuit par Raldo et l'inconnu toujours penchés sur leurs écrans. Puis l'homme se lève et se dirige vers John. Il lui examine alors les couilles, sa raie et ses fesses. Il vérifie soigneusement l'aspect de sa peau. Il va même jusqu'à retirer avec douceur le prépuce de son sexe. Le gland a retrouvé un aspect et une couleur normale.

- « Tu vois, ta peau n'est même plus rouge maintenant. Je vais pouvoir te libérer. »

Il défait alors les poignets et les mollets du jeune garçon. John a un peu mal aux épaules d'être resté les bras en l'air assez longtemps. Mais à part une douleur diffuse aux couilles il ne ressent plus trace de sa séance de torture. Il est alors ramené par le gardien dans la chambre où il nous retrouve avec soulagement.

Il nous raconte alors ce qu'il vient de vivre. Un silence de plomb suit son récit. Chacun de nous s'attend maintenant à devoir subir une telle séance. De plus nous ne savons toujours pas quand nous serons libérés. En fait on ne sait même pas si ce sont les intentions de nos geôliers...
Une heure passe. La fin de la journée approche. Effectivement un repas nous est porté. Le gardien nous laisse une heure pour manger puis, sans mot dire, passe reprendre la table roulante et les restes. Comme d'habitude pas le moindre couvert en métal. Couvert en plastique et assiette en carton. Rien pour servir d'arme. Nous sommes toujours à la complète disposition de nos scénaristes. Un moment après Raldo entre et demande à John d'approcher. John obéit rapidement.

- « Ecarte un peu tes bras et tes jambes. »

Docilement il réalise l'ordre de Raldo qui se penche alors vers son sexe. A nouveau Raldo vérifie minutieusement l'aspect physique des parties intimes du garçon. Puis c'est au tour des fesses et de la raie d'être examiné avec le même soin.

- « Bien, allonge-toi sur le dos et plie les jambes. »

Sachant maintenant que Raldo ne veut qu'une vue dégagée de son anus et de son périnée John s'exécute rapidement et prend sans crainte la pose demandée. Raldo vérifie alors que sa peau ne comporte plus de rougeur. Tout semble donc aller bien pour John.

- « C'est bon, redresse-toi. »

Et s'adressant à tous :

- « Voilà, maintenant on se revoit demain matin. »

Puis il nous quitte sans dire un mot de plus. Lentement la nuit tombe à travers la seule fenêtre haute et inaccessible de la salle nous servant de chambre. L'éclairage étant contrôlé par nos gardiens, nous nous retrouvons dans le noir dès la nuit tombée. Chacun essaye alors de s'endormir en espérant qu'aucun gardien ne vienne nous importuner et ainsi profiter de la nuit.

 

La suite :  Un chalet en montagne - 23/26

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