Episode précédent : Un chalet en montagne -
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Chapitre 25/26: Tests unitaires
Le lendemain matin, le jour est déjà bien présent lorsque je me réveille. Je jette un regard circulaire sur mes compagnons. Seul Archie est réveillé. Je le salue d'un léger signe de la main. Il
me répond par un sourire forcé. A travers son regard je vois qu'il se pose la même question que moi. A savoir combien de temps allons-nous rester encore prisonniers et que va t-il nous arriver
aujourd'hui ? Questions sans réponse. A part attendre et voir on ne peut rien dire, ni rien faire.
Un long moment après le gardien Manuelo arrive avec le petit déjeuner et réveille nos deux autres camarades. Je le questionne mais il ne sait rien. Il m'explique toutefois qu'il pense que ses
chefs vont bientôt devoir quitter le chalet, car par prudence ils n'aiment pas rester trop longtemps au même endroit. Il nous laisse sur cet espoir ténu.
Environ 30 mn plus tard il revient pour nous emmener à la douche un par un. A raison d'un quart d'heure chacun il nous laisse tranquillement nous laver. Nous sommes à présent tous les quatre nus
dans la chambre à attendre la suite des événements. Manuelo revient alors avec deux sacs. Ils contiennent des vêtements pour nous tous. Nous devons nous rhabiller. Sans comprendre pourquoi nous
obtempérons. Ce n'est pas désagréable de retrouver un semblant de dignité en étant normalement habillé. Et, à nouveau, il nous laisse seuls.
Environ 10 mn plus tard, Manuelo et un autre gardien viennent nous chercher tous les quatre. Nous devons les suivre dans la pièce qui fait office de studio d'enregistrement. Le décor n'a que peu
changé. Devant les deux caméras se trouve une table épaisse et solide en bois, d'environ 2m de long pour 1m de large. Un matelas fin la recouvre. Elle est fortement éclairée par plusieurs spots
et constitue donc le centre de la future scène. Car il s'agit bien du tournage d'une énième scène qu'il s'agit. Deux autres gardiens manipulent les caméras. Il y a donc un gardien par prisonnier.
Comme toujours nous sommes bien encadrés.
Raldo nous aligne alors tous les quatre devant la table. Il nous explique ensuite le scénario que nous allons devoir suivre. Un par un nous allons devoir nous déshabiller complètement devant la
table puis exhiber aux caméras notre sexe et notre cul avec l'anus bien visible évidemment. Il sort également un tube de gel et un gode que chacun de nous devra utiliser. Puis une masturbation
terminera la scène. Chacun est libre de ses positions et de ses mouvements mais devra être convaincant sous peine d'une sévère punition. Il s'agit en fait d'un solo mais tourné sous les yeux de
sept personnes. Car, et nous ne savons pas pourquoi, nous allons tous les quatre assister au tournage complet de chacun.
Aucun de nous ne dit mot et écoute avec application les paroles de notre cinéaste. Le prix à payer est trop fort pour ne pas faire ce qu'il veut…
John est désigné pour commencer. Il se place devant la table et sur un ordre qui lance le tournage commence son show. Rapidement il se met nu et exhibe son corps entièrement bronzé sur la table.
Ses mouvements sont fluides et il semble relativement être à l'aise. Il s'allonge sur le ventre, écarte les jambes et relève le bassin. Après s'être enduit la rondelle de gel lubrifiant il
enfonce doucement le gode en lui, le laisse un instant et le retire. Puis après encore quelques mouvements lascifs et langoureux il s'assoit en tailleur et se masturbe avec soin. Rapidement son
sexe entre en érection et il finit par jouir. Plusieurs jets de son sperme se perdent à coté de la table. Raldo est satisfait de son acteur :
- « OK, c'est bon ! »
Il nous regarde alors tous les trois :
- « A vous de faire aussi bien. A toi Chris maintenant. »
John descend de la table et reprend ses vêtements qu'il avait placés en tas à coté. Mais Raldo lui interdit d'y toucher et lui ordonne de rester à poil. Il est bien obligé d'obéir et revient donc
se placer avec nous en restant tout nu.
Chris, lui, s'apprête à faire son show sexuel. Il quitte un à un ses vêtements et finit par se retrouver nu comme un ver devant cette assemblée. Il n'est pas très à l'aise mais fait de son mieux.
Je lui lance plusieurs clins d'œil pour l'encourager. Mais il se débrouille bien. Finalement si cette scène est difficile, car il faut s'exhiber intimement en pleine lumière et devant plusieurs
personnes, elle n'est aucunement douloureuse physiquement. A présent mon cousin est sur la table, à genoux, le dos à l'horizontale et s'enfonce le gode dans le fondement. Il obéit bien aux
consignes et expose franchement ses fesses et sa raie ouverte. Aucun des personnages présents ne perd une miette du spectacle. Curieusement je constate que même nous, ses compagnons d'infortune,
le regardons avec soin. Malgré les scènes déjà vécues et bien que chacun connaît maintenant en détail le corps des autres nous ne pouvons que regarder celui qui s'expose sexuellement.
Chris a maintenant retiré le gode et commence à se masturber. Il est couché sur le dos. Sa tige s'érige rapidement vers le haut, son gland libéré de la protection du prépuce est rouge vif et,
rapidement, il finit par juter. Son sperme retombe sur son ventre. Son tour est terminé. Pour lui aussi Raldo est satisfait de sa prestation. Il me désigne :
- « A toi maintenant. Mais tu vas plus lentement et tu garderas le gode jusqu'à la fin. Compris ? »
Je ne peux que répondre :
- « Euh oui… D'accord.
- Et tu lècheras ton sperme sur tes mains aussi. »
Il me place alors devant la table. Chris, qui doit lui aussi rester nu, rejoint mes camarades légèrement en retrait. C'est donc à mon tour et j'ai bien du mal à être à l'aise devant autant de
personnes. Je commence néanmoins à me dessaper. Au moment de retirer le boxer je respire un grand coup et y vais franchement. Je me retrouve nu et exposé devant tous. Curieusement et comme dans
une scène précédente je suis alors plus à l'aise et je commence mon exhibition avec de moins en moins de gêne. Je monte sur la table, me met à 4 pattes et met en valeur le plus possible mon trou.
J'écarte les cuisses, relève mes reins et place mon dos en dessous de l'horizontale. Tout le monde fixe mes fesses fortement écartées, ma raie imberbe offerte et ma rondelle qui va s'ouvrir sous
la pression du gode. Mes couilles pendent vers le bas. Pour l'instant je ne bande pas mais je sens que cela ne va pas tarder. Je mets du gel et présente ensuite l'instrument devant ma rondelle.
Je presse doucement et, lentement, introduit l'engin luisant de gel en moi. L'avantage de le contrôler soi même c'est que cela ne fait absolument pas mal. Je me tortille un peu. Je suis
maintenant à l'aise et le fait d'être dans cette situation commence même à m'exciter. Ma queue se redresse et durcit doucement. J'essaye d'aller lentement dans mes gestes pour obéir à notre
scénariste. Toujours en tenant l'extrémité du gode enfoncée dans mon cul, je me redresse et me met sur les genoux. Le ventre dirigé vers les caméras, Raldo et mes 3 camarades. Dans le mouvement
je remarque alors une troisième caméra au plafond qui filme pile à la verticale de la table. Pas un détail de notre anatomie n'échappe ainsi à ces yeux électroniques. Je poursuis ma prestation et
place ma main droite sur mon sexe déjà bien bandé. Rapidement ma queue atteint ses dimensions maximales et s'étire à l'horizontale. La jouissance est imminente. Je place ma main juste devant mon
gland et avec quelques secousses de mon corps et de ma bite j'éjacule plusieurs jets de liqueur blanche. Ma main évite à mes projections de se perdre et se macule ainsi de ma semence. Je la porte
alors à ma bouche et, doigt après doigt, je suce et nettoie. Le goût n'est pas vraiment agréable et cela me répugne un peu. Mais n'ayant absolument pas le choix je m'applique pour ne pas subir
les foudres de nos dirigeants.
- « OK, c'est bon ! On termine par Archie. »
Je suis toujours avec mon gode enfoncé. Je le retire prestement et libère la scène pour mon quatrième et dernier camarade. Je reste moi aussi à poil et retourne me placer à coté de Chris et
John.
Sans problème particulier Archie va réaliser son show aux yeux de tous. Suivant les nouvelles consignes de Raldo il se place sur le dos, les jambes repliées sur sa poitrine. Un coussin est
positionné derrière sa tête. Il est très humilié dans cette position car il voit à travers ses jambes l'assemblée qui le regarde. Les caméras filment en détail ses fesses ouvertes et ses
couilles. Malgré sa honte d'être ainsi exposé devant nous tous il ne peut s'empêcher de bander dès l'introduction du gode. Il ne parvient pas à contrôler son érection et sa queue se redresse
entre ses jambes pliées. Une fois le gode retiré il jouira très rapidement, après seulement quelques caresses de sa main sur sa hampe érigée.
Mal dirigé et n'ayant pas eu le réflexe de mettre une main devant sa queue avant l'explosion finale, son sperme atterrit sur le tapis, à droite de son ventre. Il ne sait alors que faire. D'un
signe de la main Raldo lui donne alors l'ordre de lécher le tapis. Surmontant son dégoût Archie obéit, se retourne et lèche soigneusement toutes les traces de son jus blanc et épais. Les caméras
n'en perdent pas une miette.
Nous avons à présent tous les quatre terminés notre solo sans problème. Il y a un côté effrayant : nous sommes devenus des vrais acteurs X. Faut dire que sous la contrainte nous n'avons pas
le choix.
Il reste à Raldo une dernière scène à filmer. C'est pour cela qu'il nous a obligé de rester à poil. Il sort alors quatre godes, rouges et assez gros et nous en donne un à chacun :
- « Vous allez vous mettre à quatre pattes sur la table, alignés, et les uns serrés aux autres. Evidemment vous montrez votre trou du cul. Et, à mon signal, vous vous godez. »
Nous sommes à peine surpris. Chris monte sur la table et s'installe dans la position demandée. Raldo lui demande de plier ses bras et de baisser le dos. Son visage atteint le tapis. Ses fesses se
relèvent d'autant et son anus est parfaitement exposé. Il est rejoint par John qui se colle à lui et prend la même position. Puis c'est à mon tour. Enfin Archie termine en se collant à ma gauche.
Nous nous collons les uns aux autres.
- « Personne ne bouge pour le moment. »
Raldo filme alors en gros plans nos fesses et nos anus. Il a devant lui quatre paires de belles fesses exposées et offertes à ses caméras. Il resserre son zoom et filme les raies ouvertes et les
anus en gros plan. Il parcourt ainsi plusieurs allez-retours derrière nos culs.
- « Bien, les godes maintenant. Et débrouillez-vous pour être synchro. »
Servilement, chacun libère alors sa main droite - Heureusement on est tous les 4 droitiers ! - et présente son engin rouge devant sa rondelle. Doucement les godes s'enfoncent simultanément dans
les trous qui se dilatent sans problème. Les sphincters cèdent et laissent passer les engins de plastique dur. Comme on est serrés les uns aux autres on ressent ce que fait son voisin et, peu ou
prou, on arrive à être relativement synchrone et ainsi à satisfaire Raldo. Pour ma part j'enfonce à fond le gode en moi. Les fesses de mes voisins remuent elles aussi et me permettent de savoir
que John et Archie ont eux aussi enfoncé l'instrument.
Sur un signal de Raldo nous devons retirer nos godes. Les 4 godes sortent lentement et les lèvres anales se referment. Les instruments sont sortis.
- « Très bien. Retournez-vous maintenant, et placez-vous à genoux. »
Les uns après les autres nous obéissons. Doucement car, à quatre sur la table, il n'y a pas vraiment de place pour se tourner. Nous sommes à présent tous à genoux sur le bord de la table. Nos
sexes en évidence sont alors filmés en gros plans puis en plans larges et collectifs. Aucun de nous ne bande. Nous sommes tous les quatre imberbes, le pubis rasé et c'est vraiment étrange d'être
ainsi collés à mes copains. Nos sexes sans poil font vraiment penser à des sexes d'enfants. Je devine déjà l'ordre qui va suivre.
Effectivement Raldo nous ordonne de nous branler, en ensemble bien sûr…
Là au moins on voit ce que fait son voisin et c'est plus facile d'assurer le synchronisme de nos ébats. Quoique. Rapidement, excité les uns par la vue des autres et par nos mouvements de la main,
nos jeunes tiges se redressent à l'horizontale. Chacun surveille les autres et essaye d'accélérer ou de ralentir le rythme de ses caresses. Et de
déterminer le niveau d'excitation des ses partenaires de scène... Mais ce n'est pas si évident. De plus nos corps collés nous transmettent les mouvements de nos voisins. Pendant ce temps, les
caméramans se déplacent devant nous et filment nos sexes érigés ou nos corps dans leur ensemble.
Finalement John jute le premier suivi de Chris. Après quelques instants c'est à mon tour de lâcher la purée, et de réaliser un génocide de spermatozoïde d'après certains ! Excité par la
jouissance de ses compagnons, Archie se termine et éjacule avec force.
Raldo est satisfait :
- « Ok c'est bon. C'est fini pour le moment. Rhabillez-vous. »
Avec soulagement chacun descend de la table et, prenant son paquet de vêtements, se rhabille prestement. Manuelo nous ramène alors dans la chambre. On s'allonge sur nos lits respectifs. Nous
n'avons rien à nous dire. Manuelo n'a pas dit un mot cette fois et nous n'avons donc rien appris de neuf.
Très rapidement, à peine 5 mn plus tard, Raldo entre suivi d'un jeune garçon. Sur le coup je pense immédiatement à un nouveau prisonnier. Mais un examen attentif de ce garçon me laisse penser
qu'il a au moins 20 ans et surtout il ne se comporte pas du tout comme un prisonnier. Bien au contraire il semble ami avec Raldo.
Sur un ordre de Raldo nous nous alignons comme à la parade. Le garçon nous regarde alors attentivement et semble faire son choix. Après une longue minute d'hésitation il m'adresse la parole:
- « Toi, comment t’appelles-tu ? »
Si son visage est encore juvénile, sa voix est au contraire bien marquée et empreinte d'une certaine autorité. Je lui réponds donc :
- « Pascal.
- Bien. Alors tu vas venir avec moi. »
Et d'un geste il m'invite à le suivre. Raldo passe derrière nous et ferme la marche. Je laisse mes compagnons perplexes. J'ai été choisi mais je ne sais pas pourquoi. Et qui est ce jeune homme
?
Il me conduit dans la salle de sport. Il y a toujours les matelas et les caméras. Mais à ma grande surprise Raldo n'entre pas et nous laisse seuls.
L'individu me fait signe de m'asseoir. J'obtempère. Il s'assoit aussitôt en face de moi. Je reste sur mes gardes.
- « Bon ok. Je vais t'expliquer. Moi c'est Lucio. Je travaille avec Raldo depuis 1 an. Et je suis arrivé ici ce matin. C'est pourquoi tu ne m'as jamais vu. Ok ? »
Ne sachant que répondre je reste prudent :
- « Euh… oui. »
Il poursuit :
- « Je n'ai pas vu les films que Raldo a tourné avec vous. Mais je sais très bien qu'ils sont à tendances gays, n'est ce pas ?
- Euh oui…
- Rassure-toi je ne suis pas là pour te filmer. Je veux juste essayer avec toi… »
J'ai peur de mal comprendre :
- « Essayer quoi ?
- Ben la baise entre mecs. Je n’ai jamais essayé. Je préfère les filles. Mais comme Raldo me l'a dit, il serait con de ne pas essayer au moins une fois dans sa vie, juste pour voir. Alors voila,
j'en profite et tu vas devoir m'obéir. Ok ? »
Sa voix est devenue plus autoritaire. Je devine très bien ce qui se passera si je refuse. Je n'ai pas le choix. Il le sait et en abuse froidement.
- « Euh oui. Mais je ne suis pas gay moi non plus.
- Ha ? Je croyais ! »
Puis après dix secondes de réflexion :
- « Bon, c'est pas grave. Tu m'obéis et on verra bien. Si j'ai plus envie, ben on arrêtera. »
Résigné je m'apprête donc à lui servir de prostitué pour essayer une baise homosexuelle. Au moins il ne semble pas brutal. C'est déjà çà. L'expérience ne devrait pas être trop douloureuse.
- « Lève-toi et dessape-toi. Tu ne gardes que ton sous-vêtement. »
Obéissant je me lève et quitte prestement les quelques vêtements que je porte. Il me fixe attentivement. Je suis à présent debout en boxer moulant devant lui. Je reste immobile. Sans dire un mot
il se lève et commence à me caresser le torse puis les cuisses. Mais il est hésitant. Peu appuyées, ses caresses parcourent le haut de mon corps et finissent tout de même par atteindre mes fesses
toujours protégées par le boxer. Il semble plus à l'aise à présent :
- « Allonge-toi. »
Je m'allonge sur le matelas, il se met à genou sur le coté et poursuit ses caresses. Plusieurs fois il passe sa main sur mes organes sexuels, dessus mon vêtement. A chaque passage il est plus
franc et s'enhardit. Je n'y reste pas insensible bien malgré moi et je sens ma tige durcir dans mon boxer. Il porte toujours plus souvent la main à mon paquet et ne peut ignorer que je bande de
plus en plus. Je fixe alors son entre jambe mais ne peut deviner s'il bande ou pas car il porte un pantalon de toile très ample qui ne moule absolument pas son corps.
- « Attends… »
Ne pouvant rien faire d'autre je reste sans bouger. Rapidement il quitte son fut et se met torse nu. Il ne garde que son boxer. Ses jambes sont musclées et couvertes de poils épais et noirs. Son
nombril est le départ d'une ligne de poil se dirigeant vers le pubis. En fait seul son visage présente encore les signes de l'adolescence. Pour le reste de son corps il est adulte. Puis il
s'allonge à coté de moi.
- « Caresse-moi. »
Je commence alors à le caresser sur la poitrine. J'en profite pour constater qu'il bande lui aussi. Une belle barre déforme son boxer vert clair. Ne sachant jusqu'où je peux le caresser je reste
à l'écart de son unique vêtement. Il s'étire davantage et semble en demander plus. Dans un murmure il m'ordonne :
- « Vas-y, continue. C'est bien... »
Je décide alors de passer à la vitesse supérieure. Me prenant à son jeu, je poursuis mes caresses et parfois passe un doigt sous la bordure de son boxer. Je le regarde alors en tirant légèrement
son rempart de tissu vers le bas. A ma question muette il hoche affirmativement la tête. Je lui baisse alors doucement son boxer et le lui retire. Il m'aide en soulevant ses fesses puis ses
jambes. C'est bien ce qu'il voulait. Je découvre alors son intimité. Son sexe poilu - il n'est pas rasé lui ! - est de bonne taille et ses bourses contiennent deux belles prunes bien marquées.
Dans un souci technique je remarque que le diamètre de sa queue est plus petit que certains godes que Raldo a employé avec nous. Quelque part cela me rassure. Car je suis quasiment certain qu'il
va vouloir me sodomiser.
Je poursuis mes caresses sur sa tige maintenant bandée à mort. Il semble apprécier mes efforts. Il se laisse faire et profite de la situation. Etiré sur le matelas sans pudeur aucune il se
tortille à présent sous mes caresses que j'appuie de plus en plus. Je passe une main sous ses couilles et les malaxe doucement. Il se laisse faire et apprécie. Son sexe est dur comme du granit et
s'érige fièrement vers le haut. Son gland luit de liquide séminal et brille de rouge éclatant. A ce rythme-là il ne va pas tarder à jouir. Mais brusquement il se redresse sur ses genoux et me
saisit par les hanches. Avec force il me couche sur le matelas, sur le ventre. Je ne résiste guère. Déjà il est bien plus fort que moi et je sais très bien que si je lui résiste ça va mal finir.
Alors je coopère et réalise ses désirs en essayant de gérer la situation de mon mieux.
Sans rien dire, de ses deux mains, il tire mon boxer vers le bas de mes jambes. Je me tortille, soulève légèrement mes fesses et le laisse faire. Arracher serait le terme le plus exact tant il
est pressé. Il me retire complètement ce dernier rempart contre ma nudité et le jette au loin. Mon cul s'offre maintenant à lui. Il m'écarte alors les cuisses de ses mains et me dégage ainsi ma
raie et mon trou. Je pense qu'il veut m'enculer directement et rapidement. J'en rajoute et écarte encore un peu plus les jambes. Autant lui faciliter le passage. Surtout qu'il va me prendre sans
préparation et sans lubrifiant. Je crains une intromission violente et rapide. Pourtant, contrairement à mes prévisions, il reste assis à coté de moi, me pelote et masse mes globes fessiers avec
énergie. Ses mains descendent au plus profond de ma raie et finissent par atteindre mon périnée et mes bourses. Puis je le vois se pencher vers son jean à coté du matelas et, d'une poche, en
sortir un tube de gel. Il a visiblement préparé son coup ce qui me rassure un peu. Il étale une bonne dose de gel au fond de ma raie et sur ma rondelle. Puis il présente son majeur devant mon
trou et commence à forcer l'entrée de mes muscles. Autant lui faciliter la tache : je décolle mon bassin du sol et cabre mon cul. Il enfonce alors complètement son doigt dans mon fondement.
Il le retire et le réintroduit aussitôt. Plusieurs fois il explore ainsi mon anus. Il observe ma rondelle absorber sans problème son doigt. Puis, constatant que tout se passe bien, il introduit
deux doigts. Puis trois... Avec le gel abondant tout cela rentre sans problème. Bien au contraire son massage involontaire et maladroit finit par me faire bander moi aussi. Ma queue, écrasée sous
mon ventre par mon propre poids, est maintenant érigée tout comme la sienne.
Il finit par retirer sa main et remet un peu de gel sur ma rondelle maintenant assouplie. Puis il m'écarte davantage les cuisses. Je devine qu'il va m'enculer sans tarder. Son envie est trop
forte et il ne tient plus.
Et effectivement il s'allonge sur mon dos et positionne son gland turgescent à l'entrée de mon anus. Connaissant maintenant les sensations qui vont suivre, je m'apprête à recevoir sa bite au plus
profond de moi. Puis, sans plus de préliminaire, il s'enfonce en moi en pesant de tout son poids sur mon corps écrasé. Forcée, ma rondelle se dilate et laisse passer facilement sa tige. C'est à
peine si j'ai mal. Les exercices imposés pour nos films ont portés leurs fruits et mon cul encaisse maintenant sans problème la bite de ce jeune gars. Pourtant, dans mon esprit, je n'apprécie pas
vraiment de servir de cobaye à ce jeune excité.
Ses bourses heurtent à présent mes fesses. Il s'est enfoncé en moi le plus loin possible. Pour une première - si vraiment ç’en est une - il est direct et rapide ! Il se retire et me pistonne
rapidement et frénétiquement. Il est vraiment excité et rapide. Je le laisse faire et subit sans broncher ses assauts fougueux et le poids de son corps sur le mien. Après deux minutes de cet
intense pilonnage il se cabre et, dans un dernier râle, déverse son sperme au fond de mes boyaux. Il jute abondamment, ses bourses étaient visiblement pleines, ce qui explique peut-être sa fougue
et son impatience. Il reste allongé sur moi un petit moment. Dans mon cul je sens son sexe se ramollir. Il se retire enfin. Je reste sans bouger, toujours allongé, à poil, les jambes écartées sur
le ventre. Lui se met assis à coté de moi et m'ordonne de me retourner. Ce que je fais illico.
Voulant visiblement essayer autre chose avec moi il se saisit alors de ma bite au repos et commence à la malaxer. Doucement il effectue des allers retours avec sa main comme pour me branler. Puis
il accélère le rythme. A chaque fois mon prépuce dégage le gland et se retire. Mais le cœur n'y est pas. Autant pour lui que pour moi. Il est hésitant et ne semble pas vraiment aimer tenir le
sexe d'un gars dans sa main. Et cela se sent. Il ne m'excite pas vraiment et ma verge reste désespérément molle. Il stoppe rapidement son action et abandonne ma masturbation. Ce n'est pas son
truc c'est évident.
Je pense qu'il préfère utiliser mon cul pour y trouver son plaisir. Et effectivement un nouvel ordre survient :
- « Mets-toi à 4 pattes ! »
Je prends la position demandée. Résigné je cambre mon dos et me prépare à une nouvelle enculade de sa part. Il se place derrière moi et commence à se branler avec sa main droite. Son sexe durcit
à nouveau et cette fois, plus doucement, il s'enfonce dans mes entrailles. A nouveau mon corps accepte cette nouvelle intrusion. Le gel restant et le sperme de sa précédente sodomie y sont aussi
pour quelque chose et facilitent son intrusion. Il est moins rapide et semble écouter son corps et les nouvelles sensations qu'il découvre. Enfoncé à fond en moi il prend le temps de rester une
minute sans bouger. Puis à nouveau il me pistonne. Il sort de mon cul et y rentre plusieurs fois. Il prend son pied et y va de plus en plus franchement. Visiblement il aime bien ce qu'il est en
train de faire. Son rythme s'accélère et rapidement, comme la dernière fois, il lâche sa semence quelques minutes plus tard. A nouveau sa production est abondante et, cette fois, mon anus déborde
de sa crème laiteuse et blanchâtre. J'ai alors vraiment le sentiment de n'avoir été qu'un cobaye et rien de plus. Il m'a baisé comme un fou et rien que pour lui. Je suis à ses yeux un vulgaire
mouchoir jetable et rien de plus. Je ne lui dis rien de mes pensées bien sûr. Cela se servirait absolument à rien. Au pire à l'énerver et cela ne pourrait que me retomber dessus.
Il se retire de moi et me demande de me lever. Toujours servile je lui obéis. Je me sens sale avec le mélange de sperme et de gel qui tapisse ma raie. Il me dévisage de haut en bas. Il me désigne
mon paquet. Je ne bande pas du tout et ma bite est au repos entre mes jambes.
- « Pourquoi tu es tout rasé ?
- C'est Raldo qui nous a obligés.
- Ha ? Je ne savais pas. Bon, suis-moi maintenant. Je te ramène avec tes potes mais avant tu peux prendre une douche si tu veux. »
Je désigne alors mes vêtements qui forment un tas non loin de nous.
- « Je les reprends ?
- Tu peux oui ! »
Je ramasse alors les fringues et le suis jusqu'à la salle de bain. Il me laisse dix minutes pour me doucher. Je me rince et me débarrasse enfin du sperme maculant mes fesses. Puis rapidement je
me sèche et me rhabille. Il me surveille et me ramène alors vers la chambre ou mes copains doivent se trouver. Avant d'ouvrir la porte il stoppe et me regarde :
- « Tu sais, tout à l'heure, j'ai pris mon pied avec toi mais c'est quand même étrange de baiser un mec tout rasé de partout. »
A cet aveu surprenant je réponds par la prudence :
- « Ah ? Ben moi aussi j'aurai préféré ne pas être rasé…
- Ouais. Mais bon si Raldo l'a fait c'est qu’il avait ses raisons... »
Il ne s'étend pas davantage et m'ouvre la porte.
- « Allez entre. »
Je rentre et retrouve mes trois copains. Lucio ferme la porte derrière moi. John m'explique rapidement que pour eux rien ne s'est passé depuis mon départ. Je résume rapidement ce que j'ai vécu
avec Lucio. Mes camarades ne réagissent pas vraiment. Depuis le temps qu'on fait ce qu'on veut de nous dans ce chalet…
Le temps passe lentement et s'étire. Personne ne rentre dans la chambre.
A suivre...
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