L'histoire de la semaine

Dimanche 7 juillet 7 07 /07 /Juil 14:00

Episode précédent Un chalet en montagne - 5/26

 

 

Chapitre 6/26 : Plaisirs électriques !


Le garde le positionne alors 20 cm devant la table et, d'une poussée dans le dos, l'oblige à se plier à 90° vers l'avant. Le ventre de mon cousin repose alors sur la table à partir du nombril. Puis Raldo lui attache les bras devant lui et les jambes écartées à 2 anneaux fixés au sol. La position est très inconfortable pour Chris. Je ne vois pas son visage étant derrière lui. Et lui ne voit rien étant collé et attaché sur la table.

Les caméras et les lumières se dirigent vers le postérieur de Chris. Pour le moment son short le protège mais je devine que cela ne va pas durer. Effectivement Raldo m'explique :

- « Tu vas lui découper ses vêtements avec ce ciseau. Puis tu lui enfonceras un petit gode. Après on verra. Si tu n'obéis pas je fouette ton cousin et je le fais moi. Et toi aussi tu seras puni. Ok ? »

Je ne réponds rien mais d'un petit signe de tête acquiesce. Autant que ce soit moi qui agisse. Je vais essayer de ne pas lui faire mal…

Il me tend une paire de ciseau et me fait signe de me mettre juste derrière mon cousin, c'est-à-dire juste devant ses fesses en évidence, offertes. Après quelques hésitations et voyant que Raldo s'impatiente je commence à découper le short en commençant par le bas de la cuisse droite. En quelques coups de ciseau j'arrive à la ceinture. Le short pend alors d'un coté. Puis je procède de même de l'autre coté. Ce premier vêtement tombe alors par terre. Le boxer de Chris est alors son dernier rempart. Il moule parfaitement ses fesses. Normal, il est plié en deux avec les jambes écartées en prime. Je m'attaque alors à son sweet. En une minute il se retrouve torse nu. Je tire sur le sweet, ou plutôt ce qu’il en reste, pour le décoincer de sous son ventre. Maintenant il me reste à lui découper son boxer. Je suis partagé entre la gêne de dominer ainsi mon cousin et un sentiment de puissance. Chris ne dit rien mais il est évident qu'il est humilié par sa position.

Je commence alors la découpe du boxer. Raldo m'encourage :

- « Ok, ok… C'est bon… »

Les caméras zooment et suivent mes mouvements de découpe. La première cuisse du boxer est maintenant coupée et pend. Le postérieur de mon cousin se dégage. A nouveau, je remarque la blancheur de ses fesses par rapport au bronzage du reste de son corps. Je découpe alors doucement le reste de son ultime rempart. Je fais attention de ne pas le blesser. Au dernier coup de ciseau le boxer tombe à terre, dévoilant totalement le derrière ouvert de mon jeune cousin. Sa raie est totalement dégagée. Son anus est visible de tous. Il ne comporte aucun poil sur ces zones intimes. La blancheur de son cul le fait davantage ressortir… La forte lumière des spots brille sur sa peau. Aucun détail n'est caché. Tout le monde voit tout. Et les caméras filment. Je suis gêné de voir ainsi de près mon cousin qui, lui, subit cette exposition forcée. A travers ses jambes je distingue ses couilles qui pendent. L'extrémité de sa bite est également visible.

Raldo me tend alors un tube de gel lubrifiant et un petit gode de plastique noir. Son diamètre ne me semble pas plus important que nos queues. Je tente néanmoins de rassurer mon cousin :

- « Euh… Je vais essayer de pas de faire mal, Chris. »

Il ne comprend pas. C'est vrai qu'il ne voit rien.

- « Je vais te mettre du gel dans le cul. Euh… et après je dois t'enfoncer un gode. »

Il ne dit rien et semble résigné. De toute façon, attaché comme il l'est, il ne peut strictement rien faire.

J'ouvre le tube et étale une grosse dose de gel sur sa rondelle et son anus. Sa peau est douce. Il s'agite légèrement mais les liens l'empêchent fermement de bouger davantage. J'approche alors le gode de son trou. Je le positionne et attend quelques instants. Je ne sais pas trop comment procéder pour limiter la douleur subie par Chris. Finalement je commence à enfoncer le gode doucement. Sans grande résistance, la totalité de ce phallus de plastique s'enfonce dans le cul ouvert du jeune garçon. Chris s'est bien cambré un peu sous l'action mais n'a rien pu faire d'autre.

Raldo semble trouver cela trop facile et me tend maintenant un autre gode, plus gros.

- « Mais je vais lui faire mal !

- T'occupe ! Tu lui mets, c'est tout ! »

Il va falloir obéir. Encore et toujours. Je retire le gode noir du trou de Chris, je remets du gel sur sa rondelle puis je présente le gode. Il doit mesurer environ 4 cm de diamètre. Il est vraiment plus gros. Doucement j'appuie dessus et, lentement, l'engin rentre dans le fondement de Chris. Il ne crie pas mais à voir son corps se tendre et s'arquer je devine qu'il a davantage mal... Je pousse l'objet doucement, très doucement. Finalement mon cousin absorbe le gode en entier. C'est très étrange pour moi d'enfoncer ainsi un objet étranger dans le corps de mon jeune cousin. Doucement je commence à retirer l'objet et finis par le sortir complètement. Le sexe de Chris pend toujours entre ses jambes complètement au repos. Contrairement à John tout à l'heure il n'a pas aimé cette violation de son intimité.

Raldo me demande alors de recommencer.

Je suis alors bien obligé de renfoncer le gode dans l'anus dilaté de mon cousin. Puis Raldo me fait signe de m'écarter. Un garde/caméraman s'approche alors des fesses de mon cousin et filme en gros plan sa rondelle dilatée et le gode qui en sort. Ses lèvres anales entourent et serrent le morceau de plastique. Chris remue légèrement sous la douleur, la gêne ou l'inconfort de la position, plié en deux sur la table depuis déjà bientôt dix minutes. Ces petits mouvements ajoutent à l'érotisme ou à l'obscénité de la scène.

Puis je dois retirer le gode, ce que je fais rapidement. L'anus de Chris se ferme rapidement dès la sortie réalisée.

- « Ecartes-toi ! » M'ordonne alors Raldo.

Je me recule de un mètre en me demandant le pourquoi de cette demande. Un garde me tend alors un grand verre remplit d'un liquide incolore.

- « Bois. C'est de la vodka. »

A l'odeur, oui je reconnais bien cet alcool fort. Je bois alors le verre puis il m'en tend un deuxième, et un troisième. Je suis bien obligé de les boire. Apparemment ils veulent me rendre saoul. Dix minutes passent. Personne ne bouge. Et moi je sens les effets de l'alcool se répandre dans mon corps…

Un garde s'approche alors derrière mon cousin avec un écheveau de fils d'où pendent des électrodes en aluminium blanc. Un truc du genre Sport Elec. Il s'agenouille alors devant le postérieur offert et colle une électrode sur le haut de chaque cuisse de mon cousin. Puis deux autres sur ses fesses. Encore deux autres sur les hanches et, pour terminer, deux dernières sur le bas ventre, juste au-dessus des quelques poils du pubis. Tous les fils sont alors reliés à un petit boîtier gris que Raldo tient à la main. Je suis horrifié par ce montage. Mais ce n'en est pas fini pour mon cousin.

Le garde, passant une main entre les jambes, lui saisit le sexe qui pendouille et tirant légèrement sur la peau lui fixe une pince crocodile à son extrémité. Mon cousin ne peut s'empêcher de crier sous la douleur. Une autre pince lui est également fixée à la peau de ses bourses. Là encore il a mal lorsque la pince se referme sur sa jeune et tendre peau.

Raldo me fixe alors :

- « C'est très simple, il va recevoir des petites impulsions électriques. Ca va le faire remuer. Et toi, pendant ce temps, tu vas le sodomiser. »

Et il met en route le courant dans les différentes électrodes. Je vois alors mon cousin frétiller et remuer sur ses jambes. Son cul s'agite au rythme des décharges électriques. Il ne peut que subir ce traitement désagréable et certainement douloureux. Je ne peux m'empêcher de m'écrier :

- « Arrêter ! Vous lui faites mal ! 

- Mais non ! Il aura mal si j'augmente le courant… et si tu ne veux pas faire ce qu'on te demande… »

Au regard déterminé de Raldo je comprends alors que le seul moyen de stopper le supplice de Chris c’est que j'obéisse aux ordres demandés. C'est-à-dire que je dois enculer mon cousin devant les caméras.

Dégoûté et résigné, mais également légèrement saoul à présent, je regarde alors la raie blanche et offerte présente devant moi. L'anus et sa rondelle présente une tache foncée bien visible. Le trou est bien évident et il va falloir y aller. L'alcool absorbé me désinhibe et dédouble mes pensées. Je n’ai pas envie de pénétrer mon cousin mais j'ai envie quand même. Tous mes sentiments se mélangent dans ma tête et finalement, je ne peux résister aux ordres donnés.

Mais pour le moment je ne bande pas du tout. Je me concentre alors sur les fesses présentes devant moi et, avec une main, commence à les caresser. De mon autre main je m'astique la tige pour aider mon érection. J'essaie d'oublier qu'il s'agit de mon cousin. J'oublie aussi les caméras. Je dois bander et vite. Assez rapidement mon sexe se redresse et je finis par avoir la bite à l'horizontale. Je présente alors mon sexe devant le trou de mon cousin. Durant ce temps Raldo continue d'envoyer du courant aux électrodes fixées sur le corps de Chris qui s'agite alors d'un coté ou de l'autre, selon les désirs électriques du cinéaste.

Les mouvements involontaires de ce postérieur m'empêchent de me positionner devant le trou du cul. Je place alors mes mains sur les hanches de Chris et me colle littéralement à lui. Ainsi mon gland peut se présenter devant son orifice et y rester quelques instants. D'une franche poussée je pénètre alors mon cousin assez rapidement. Habitué par le précédent godage il ne semble pas souffrir de mon introduction rapide. Mes couilles heurtent alors ses fesses. Je suis enfoncé complètement en lui et je ressens alors moi aussi les décharges électriques envoyées par Raldo. Elles ne sont pas très fortes mais provoquent quand même des petites contractions involontaires de mes muscles. Je reçois aussitôt l'ordre de branler Chris. J'avance ma main droite vers son sexe et, à ma grande surprise, je constate qu'il est complètement bandé. Sans doute à cause de l'électrode fixée dessus.

Ne faisant qu'un avec mon cousin, mon sexe enfoncé à fond en lui, je le masturbe avec énergie. Je sens chacun de mes mouvements à travers son corps, à travers mon sexe planté en lui. Son corps n'est plus que le prolongement du mien. Dans l'action et sous l'emprise de l'alcool, le cerveau embrumé j'ai tout oublié : les caméras, les spots, Raldo… Chacun de mes mouvements sur sa tige se répercute dans son corps et dans mon sexe fiché en lui. Je ne sais plus si je le branle ou si je me branle à travers lui…

Son corps s'arque et finalement mon cousin explose en quelques jets de sperme. Sa jouissance se transmet à mon sexe et je jouis en lui, mon sperme se perdant dans ses entrailles. Je reprends alors pied avec la réalité présente et me retire des fesses de Chris. Je réalise brusquement que j'ai pris plaisir dans cet acte imposé. Mais sans doute l'alcool et l'électricité y sont pour beaucoup... Le plan de Raldo était machiavélique. Le regard en coin je le regarde. Il semble satisfait de ma prestation.

- « Parfait. Je vais libérer ton cousin. On va s'arrêter là pour aujourd'hui. »

Il libère alors Chris des liens qui l'entravaient. Péniblement, après plus d'une heure plié en deux il se redresse doucement. Il me regarde d'un air bizarre, mélange de tristesse et de colère. Puis un garde nous ramène dans la salle de sport où nous retrouvons John. Comme nous John est toujours nu. Je m'assois sur un matelas posé à même le sol. Chris fait de même. Il semble affecté par les événements qu'il vient de subir. Je lui demande si ça va. Il me regarde en souriant faiblement :

- « Ca va, ça va… J'ai pas eu mal tu sais mais j'aime pas être obligé de le faire devant ces types et leur caméra ! »

- Moi non plus mais pour l'instant on n'a pas le choix. »

Une question me brûle les lèvres. Je regarde John :

- « Dis-moi, tu sembles avoir une grande expérience dans ce domaine toi ?

- Euh… oui, j'ai 2 cousins qui m'ont appris et avec qui je baise souvent.

- Mais tu baises qu'avec des garçons ?

- Presque. J'ai déjà essayé avec des filles mais je préfère les mecs, c'est vrai...

- Ah !? Ben au moins t'es direct toi.

- Ben oui ! Je suis comme ça… »

A ce moment là, la porte s'ouvre et Raldo apparaît. Il porte des vêtements dans sa main. Il les pose sur un matelas. C'est ceux de Chris et de John. Il les regarde alors :

- « Rhabillez-vous. »

Il se tourne ensuite vers moi :

- « Toi Pascal, lève-toi ! »

Je proteste :

- « Mais j'ai rien fait !

- Si ! Tu as menti tout à l'heure. Je n'ai pas oublié. Tu vas être puni. Allez debout ! »

 

La suite :  Un chalet en montagne - 7/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 30 juin 7 30 /06 /Juin 11:27

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Chapitre 5/26 : Acteurs débutants !


- « Je m'en doute mais vois-tu je vais vérifier. Alors tu obéis ! »

Et de sa main droite il me gifle violemment. Le choc me déséquilibre et je vacille légèrement.

- « Bien, tu en veux une autre ? »

Je ne peux résister davantage. Inutile de lutter. Sa force physique est nettement supérieure à la mienne. Je ne fais pas le poids ! Et en plus il y a les 2 gardes/caméraman. Je bredouille donc :

- « Non… non… C'est bon ! »

Je me redresse et, fixant mon regard au loin car n'osant les regarder, je commence à me caresser le sexe. Je suis rouge de honte et de gêne. Je ne me suis jamais branlé dans de telles conditions, aussi exposé sous les lumières et les caméras. Je n'ai pas la décontraction indispensable et mon sexe ne veut pas se rigidifier… Raldo intervient :

- « Allez ! Allez ! Plus d'ardeur ! »

J'augmente alors mes mouvements et leur vitesse. Petit à petit mes efforts portent leurs fruits et maintenant ma tige érige ses 17 cm dont habituellement je suis si fier. Raldo se rapproche alors de moi et se saisit de ma queue bandée.

- « Écarte tes mains ! »

Il palpe alors ma bite et en vérifie la dureté. Il me fait aussi coulisser plusieurs fois le prépuce, masquant et démasquant mon gland rouge vif. Il me palpe aussi les bourses et les testicules. Il semble satisfait.

- « Ecarte tes jambes et ne bouge plus ! »

Encore une fois, je m'exécute sous la contrainte.

Il se met alors à genoux devant moi et passe sa main gauche sous mes bourses. Sa main m'écarte l'entrejambe et un doigt s'approche de mon anus. Je ne peux m'empêcher de serrer les fesses. Ce qu'il sent immédiatement.

- « Ne résiste pas ! »

Soumis à ses ordres je relâche la pression. Son doigt se fait insistant et se présente maintenant franchement à l'entrée de mon intimité.

- « Tu t'es déjà fait enculer mon garçon ? me demande-t-il alors.

- « Euh non, jamais.

- Bon, alors je vais être sympa, je vais mettre du gel. »

Il se lève et va alors chercher un tube de gel. Il me retourne et me demande de me pencher en avant. Je lui dévoile ainsi mes fesses, ma raie et mon anus. Il m'étale alors une bonne dose de gel froid entre mes fesses, puis il me fait reprendre la position initiale debout devant lui.
Curieusement, je bande toujours autant, voire même plus. Me faire toucher le cul par Raldo m'a fait bander davantage. Il le remarque.

- « Tiens tiens… Tu vois quand tu veux… »

Il repasse alors une main entre mes cuisses et présente à nouveau son doigt contre mon anus. Puis en même temps qu'il commence à me branler il introduit son doigt dans mon fondement. Jamais je n'ai subi cette sensation. Je suis humilié mais j'éprouve pourtant un certain plaisir à être manipulé comme un objet. Ma queue le montre et émet des ondes de plaisir qui remontent dans mon cerveau. A ma grande surprise je ne peux m'empêcher d'écarter les jambes, invitant Raldo à enfoncer davantage son doigt en moi. Avec le gel je ne sens aucune douleur et à présent il remue son doigt dans mon fondement, me procurant un plaisir jusque là inconnu... Je trépigne sur place et alors que ma queue est branlée vigoureusement par Raldo, j'oublie peu à peu les caméras et mon plaisir augmente. Je sens que je vais jouir. Raldo sent mes crispations et devine que mon explosion finale est imminente. Il s'écarte légèrement et poursuit ses va et vient sur ma tige bandée à mort et ses titillements dans mon rectum. J'éjacule alors abondement : 5 jets blanchâtres. Raldo retire alors son doigt et me dit :

- « Ben voila ! Tu vois, c'était mieux de coopérer ! Tiens essuies-toi. »

Il me tend un mouchoir en papier. Je devine qu'il me faut essuyer le bout de ma bite et enlever toute trace de sperme. Je m'exécute sans rechigner. Puis sagement je reste debout devant lui mon pénis est redevenu flasque une fois son œuvre accomplie.

- « Bien, devant tout est Ok ! Nous allons voir derrière maintenant… »

Il s'adresse à un des deux gardes :

- « Apporte la table ! »

Alors que je m'inquiète sur la suite des évènements, le garde apporte une lourde table en bois. Elle est recouverte d'un fin matelas et comporte plusieurs anneaux métalliques. Je devine tout de suite que c'est pour m'attacher. J'ai malheureusement vu juste.

- « Allonge-toi sur le dos juste au bord. »

Ne pouvant encore une fois que réaliser ses ordres, je m'allonge sur le dos, sur cette table. Le garde me tire les bras en avant au-dessus de ma tête et, à l'aide d'une cordelette, les attache à deux anneaux. Puis saisissant mes jambes, il les écarte et les lève. Raldo m'attache alors les chevilles à deux cordes fixées au plafond.

Le dos au bord de la table je suis ainsi écartelé de force. Je peux à peine bouger. Impossible de m'échapper... Les cuisses et les fesses écartées j'offre une vision parfaite de ma raie, de mon entrejambe et de mon intimité profonde... Je n'apprécie pas du tout ce traitement et m'exhiber ainsi me met très mal à l'aise.

Les deux gardes déplacent les projecteurs pour les diriger vers mon cul largement ouvert. Raldo passe devant moi, se positionne entre mes jambes et effleure mon anus.

- « Rassure-toi, je vais y aller doucement. Tu vas aimer tu verras… »

Je n'en suis pas certain et j'appréhende fortement la suite.

Il me remet du gel sur ma rosette et commence à enfoncer un doigt en moi. Avec les jambes attachées et écartées, impossible de résister le moins du monde. Brusquement il retire son doigt.

- « J'ai une meilleure idée. »

Et s'adressant aux deux gardes :

- « Je reviens dans une minute. »

Il quitte alors la pièce, me laissant attaché sur la table, les jambes en l'air.

Il n'est pas long et revient avec John qu'il tient par le poignet. John est torse nu et en short. Sa surprise est grande lorsqu'il découvre la pièce aménagée en studio et plus encore lorsqu'il me voit ainsi attaché et écartelé. Raldo le place devant moi entre mes jambes écartelées. Je suis rouge de honte. John que je connais à peine est alors bien obligé de voir mon entrejambe et mon anus. Bref, il voit tout de mon intimité !

- « Déshabille-toi ! »

Le ton de Raldo est sans réplique. John enlève son short et son boxer. Comme moi il est maintenant nu et le sexe au repos.

- « Tu vas te branler et enculer ton ami ! »

John proteste avec véhémence :

- « Non pas question ! »

Raldo lui allonge illico une gifle magistrale qui le fait tomber sur le sol. Puis lui envoie un coup de pied dans le ventre. Mon camarade gémit et se tord de douleur. Le coup a été violent. Quand à moi, attaché comme je le suis, je ne peux strictement rien faire.

- « Tu en veux encore ? »

Raldo relève John qui se tient courbé en deux et se remet lentement du coup dans son ventre. Il ne dit rien et son visage exprime la souffrance.

- « Bien, maintenant tu obéis, tu as compris ? »

John bafouille par l'affirmative. Il ne peut lui non plus résister à notre tortionnaire. Raldo se recule et se déplace hors champ des caméras. John se remet lentement et comprend qu'il va devoir obéir. Il porte une main à son sexe et, enserrant sa bite, commence doucement à se masturber. Lentement son sexe commence à grossir et à s'ériger. Son prépuce se dégage et laisse finalement apparaître le gland rose et humide. Puis à force de mouvements de va et vient, il bande franchement et semble concentrer son regard sur ma raie et mon trou. Je ne connais pas ses expériences sexuelles passées mais il semble fasciné par mon corps entravé et exposé nu devant ses yeux. Il ne me jette pas un regard. Ses yeux fixent mon trou et ne le quittent pas.

Son sexe, d'un diamètre très honorable, est maintenant érigé et se dresse telle une tige d'acier de 16 cm. Il place alors une main sur chacune de mes cuisses et place son gland à l'entrée de ma rosette. Je suis crispé et j'appréhende la suite. Son sexe est bien plus gros que le doigt que Raldo m'a enfoncé tout à l'heure. Je crains d'avoir mal. Tout doucement il augmente la pression et s'enfonce lentement en moi. Le restant de gel facilite le passage. Lentement il s'enfonce en moi et, millimètre par millimètre, je sens sa queue forcer le passage et mes muscles céder devant ce piston. A le voir aussi à l'aise je me demande s'il n'a pas déjà fait cela... Il y va lentement mais franchement. Son gland passe et le reste suit. Finalement ses bourses heurtent mes fesses. Il est à fond en moi et ne peut aller plus loin. Ma douleur physique n'est finalement que très faible. J'éprouve davantage la honte de subir ce viol et l'exposition intime de mon corps devant les caméras. Malgré tout, je ne dis rien. A quoi cela servirait il d'ailleurs ?

John reste enfoncé en moi quelques instants, absolument immobile. Je sens sa tige palpiter au plus profond de moi. Puis il se retire lentement et entame des mouvements de va et vient de plus en plus rapides. Je suis certain à présent qu'il a déjà pratiqué cet acte. Il est trop sûr de lui pour que ce soit une première fois. Il me lime en règle et je ne peux que constater avec quelle facilité mon cul dilaté accepte son membre. Il semble prendre du plaisir et enfonce vaillamment à chaque fois sa bite jusqu'au maximum. Il halète et sa respiration s'accélère. Je devine qu'il va jouir sous peu. Je réalise alors qu'il n'a pas mis de préservatif. J'espère qu'il n'a pas le sida ou autres maladies... Quoiqu’à son âge cela serait vraiment surprenant. Pourtant sa façon de m'enculer démontre une certaine expérience, à défaut d'une expérience certaine.

Ses halètements se font maintenant de plus en plus pressants, forts et rapides. Il semble vraiment prendre plaisir à la situation et faire abstraction du contexte et de moi aussi d'ailleurs. Il s'agrippe fort à mes cuisses pour mieux s'enfoncer en moi. Il finit par éjaculer en moi et je sens alors nettement son sperme chaud jaillir et se répandre dans mes entrailles. Ce que d'ailleurs je n'apprécie pas vraiment. Il se retire alors complètement, le sexe encore bandé. Les caméras ont bien sûr tout enregistré. Raldo semble satisfait et regarde John droit dans les yeux :

- « Tu l'as déjà fait, n'est ce pas ?

- Euh non, jamais !

- Je ne te crois pas ! Attends, on va voir autre chose. »

Raldo passe alors devant moi et me détache les bras. Puis il fait de même avec mes jambes.

- « Lève-toi. »

J'obéis alors, non sans avoir quelques courbatures liées à mon immobilité forcée. Raldo me pousse à coté de la scène et me place à coté d'une des 2 caméras. Il me menotte les deux mains dans le dos et me dit alors :

- « Tu regardes et tu dis rien. Je vais m'occuper de lui. »

Il désigne alors John du regard.

Puis il se dirige vers John, le positionne devant la table et l'oblige à se plier à 90° le ventre sur la table. Puis il lui attache les bras en avant. John ne résiste aucunement. Il semblerait même satisfait de s'exhiber ainsi. Enfin il oblige mon camarade à écarter fortement les jambes et lui passe deux menottes aux chevilles, fixées à deux anneaux dans le sol. Il ne peut plus bouger. Son postérieur est ainsi fortement ouvert. Sa raie est complètement dégagée, son anus clairement exposé à notre vue. Ses fesses sont vraiment bronzées comme son corps quoique blanches à l'intérieur de la raie. Je ne peux m'empêcher de regarder l'intimité de John. Il est très peu poilu à ce niveau-là. De plus, les quelques poils présents sont blonds et sont donc très peu visibles. Raldo examine soigneusement sa raie et son périnée. Il lui caresse ensuite les fesses, les cuisses et le bas du dos. Après une minute de ce traitement le sexe de John qui pendouillait entre ses cuisses prend de la vigueur ce que Raldo attendait semble t-il.

- « Tu vois. J'en étais sûr : tu aimes montrer ton cul. Et je suis sûr que t'a envie d'être pris maintenant, devant les caméras. »

John ne répond rien mais sa queue maintenant bandée semble répondre à sa place. Raldo devine alors qu'il a raison.

- « Très bien. Cela fera une bonne séquence. »

Il va alors chercher dans un carton un pot de gel et un gode. Je le trouve énorme. Il est plus gros que le sexe que John m'a enfoncée tout à l'heure. Raldo met une noix de gel sur le trou de mon compagnon et enfonce un doigt, puis deux, dans son fondement.

- « J'en étais sûr ! Ca rentre tout seul... Je suis sûr que t'es plus puceau de ce coté-là depuis longtemps… »

Il met un troisième doigt. John ne semble absolument pas éprouver la moindre douleur, bien au contraire. Loin de résister il cabre ses reins pour mieux encore exposer son cul. Je réalise alors qu'il doit aimer cela et que pour lui, ce n'est pas une première fois, loin s'en faut !

A présent c'est le gode que Raldo présente à l'entrée du trou de John. Sans hésitation il l'enfonce d'une quinzaine de centimètres. Là encore, malgré ses attaches, John se cabre et se tortille de plaisir. Il ne peut dissimuler son plaisir. Il n'essaye même plus d'ailleurs. Son sexe est bandé à fond. Raldo remue le gode et fait des mouvements d'avant en arrière. Le plaisir de John augmente et il finit par éjaculer sans que personne ne lui ai touché le sexe. Uniquement par l'action du gode dans son cul.

Je comprends alors que John n'est pas si innocent qu'il y parait. Je me demande même s’il n'est pas homosexuel. Il semble avoir l'expérience de la sodomie. Je comprends maintenant mieux son attitude de tout à l'heure au bord du ruisseau. Il a dû être ravi de nous croiser nous baigner nu. Et c'est vrai aussi qu'il était un peu exhib…

Raldo stoppe alors les mouvements du gode mais laisse celui-ci enfoncé au fond des entrailles de John. C'est très étrange pour moi de voir sortir ce gode des fesses de ce jeune garçon. Je n'avais jamais vu cela en vrai.

Raldo demande alors à John :

- « Dis-moi la vérité ! Tu t'es déjà fait sodomisé n'est ce pas ? »

John ne dit rien et garde la bouche close. Ce qui n'est pas du goût de Raldo. Il enfonce alors davantage le gode. Je vois alors nettement John grimacer de douleur.
- « Répond ou alors je vais encore plus loin ! »

Et il augmente encore un peu la pression sur le gode qui est devenu un instrument de torture après avoir procuré du plaisir. John esquisse une nouvelle grimace, et se décide enfin à parler.

- « Oui, c'est vrai.

- Par qui ? »

John, qui après tout n'a rien à perdre à dire la vérité, continue :

- « Par mon cousin, et par des amis.

- Plusieurs fois donc ?

- Ouais.

- Et tu aimes cela, n'est ce pas ?

- Oui !

- Tu ne serais pas homo par hasard ? 

- Euh… Je ne sais pas vraiment. J'ai aussi déjà fait avec des filles. Et j'ai aimé aussi. »

Décidément, cet ange blond n'est vraiment plus innocent ! Mais après tout je ne le connais que depuis quelques heures, et je ne peux prétendre le connaître vraiment...

- « Bon… peu importe. Tu aimes avec les garçons et c'est parfait pour moi. Je vais te détacher et tu vas m'aider à terminer d'initier ton copain. »

Je comprends alors que "son copain" c'est moi. Je n'ai pas envie d'être initié. Et surtout pas de force et devant des caméras ! Avec surprise j'entends John approuver les paroles de Raldo.

- « Euh oui… Si vous voulez… »

Raldo détache alors complètement John et lui demande de se mettre à 4 pattes au bord de la table. Il a toujours son gode entre les fesses et bouge lentement pour ne pas se faire mal. Puis Raldo m'empoigne par l'épaule et me place juste devant le cul de John. Il m'enlève également les menottes.

- « Voila, à ton tour de le pénétrer. Et vas-y sans crainte. Il aime cela ! »

Peut être que lui aime cela et qu'il a l'habitude, mais pour moi c'est une première, et je ne suis pas certain d'aimer cela... Quoique ça devrait être plus agréable que de se faire sodomiser. Pour l'instant je reste pétrifié, immobile devant le cul ouvert. Je regarde son anus et le gode qui en sort. Ses lèvres anales frémissent régulièrement autour du corps étranger. Il va me falloir retirer ce gode. Timidement j'entoure le cylindre noir d'une main et commence à le retirer. C'est facile et il vient sans problème. Dès son retrait complet je vois l'anus de John se refermer doucement et normalement.
- « Inutile de mettre du gel ! »

Je regarde attentivement le cul de John. Sa raie quasiment imberbe me fascine. Je n'ai jamais examiné un garçon aussi intimement. Je ne peux m'empêcher de regarder en détail l'anatomie intime de ce jeune garçon. Je sais que je vais devoir le sodomiser. Je tends alors ma main vers ses bourses pendantes. Je tâte ses testicules et les malaxe. Il semble apprécier, et son sexe se redresse rapidement. Son scrotum durcit. Quand à moi je découvre que procurer du plaisir à un garçon est finalement très agréable. Mon sexe lui aussi durcit et se redresse doucement. J'oublie la caméra et me concentre uniquement sur le derrière de John. Son trou est une invitation. Je n'ai jamais enculé quelqu'un mais après tout, tout le monde dit que c'est plus serré qu'une fille. C'est donc le moment de vérifier.

Je saisis ses hanches de mes deux mains et j'approche mon gland de son anus. Il n'attend que cela car il me tend davantage sa croupe et creuse davantage son dos. Je commence alors à le pénétrer doucement. D'un mouvement égal je sens ses défenses s'ouvrir à mon passage. Il ne résiste aucunement, bien au contraire. Mes bourses effleurent maintenant sa raie. Il remue légèrement de contentement. Je décide alors d'y aller avec plus de fermeté. Je commence un mouvement de piston dans ses entrailles. Il semble vraiment apprécier. D'une main je vérifie la dureté de son sexe bandé. Je le pistonne rapidement et aussi amplement que possible. Après quelques minutes je sens que mon explosion finale est proche. Je m'enfonce alors à fond en lui et éjacule au plus profond de son corps. Je me retire aussitôt et je réalise alors que j'ai vraiment pris du plaisir à le sodomiser. Ce qui n'a pas échappé à Raldo :

- « Bien. Tu as aimé. Tu t'occuperas alors de ton cousin tout à l'heure.

- Non ! Pas mon cousin ! Il est trop jeune !

- Ben justement, pour le film c'est parfait. En attendant on va tourner une autre séquence. »

Il s'adresse alors à John :

- « Allonge-toi sur le dos, les bras écartés. »

John docilement s'exécute et Raldo lui glisse un petit coussin sous les fesses. Son sexe est ainsi relevé et davantage en évidence. Il est à moitié débandé.

- « Tu vas le sucer jusqu'à ce qu'il éjacule. Mais avant tu vas lui laver la bite. »

Et un des gardes approche avec une bassine d'eau dans laquelle baignent un savon et un gant de toilette.

- « Vas-y ! »

Et, comme pour un bébé, à l'aide du gant de toilette je savonne soigneusement le sexe de John puis le rince. Autant qu'il sente le savon après tout. A part mon sexe je n'en ai jamais lavé d'autres. Le fait que John se laisse faire sans résistance aucune me procure un sentiment de domination et de plaisir. Je lui lave également ses bourses et tout le bas ventre. Le caresser ainsi, même avec un gant de toilette plutôt rugueux, ne me déplait pas finalement. Par contre j'appréhende la suite des opérations.

Encore une fois je vais devoir réaliser une première. Je regarde le visage de John. Il a les yeux fermés et semble attendre que je m'occupe de lui. Il est vraiment à l'aise dans son rôle d'acteur ! Je baisse mon regard en direction de son ventre. Ses pectoraux sont lisses et imberbe et les muscles sont joliment dessinés. Plus bas, à partir de son nombril, part une fine ligne de poils qui se perdent dans la touffe ornant son pubis. Son sexe toujours légèrement durci repose tranquillement sur ses couilles entre ses jambes écartées. Son prépuce recouvre complètement le gland et je distingue une fine veine bleue qui parcourt ce joli morceau de chair rose. Je n'ai pas vraiment envie d'avaler et de sucer sa bite. Ca me dégoûterait plutôt en fait. Mais n'ayant pas le choix il va bien falloir le faire ! Je décide de le faire bander avant. J'entoure son sexe de ma main droite et, tout doucement, je commence à le branler. Je place ma main gauche sous ses couilles et les remue légèrement. John réagit très rapidement à mes attouchements et son sexe reprend du volume à vue d'œil. Après quelques instants, c'est une belle tige qui se dresse fièrement vers le ciel, à la verticale. Le gland rose vif luit et brille, humidifié par son précum. Je ne peux reporter davantage le moment d'agir et doucement me penche en avant et approche mes lèvres de son sexe dressé. Je sens alors la main de Raldo sur ma nuque qui me pousse en avant. J'ouvre la bouche et avale complètement la bite dure de John. Raldo me tient la tête poussée ce qui manque de m'étouffer : sa verge atteint facilement le fond de ma gorge. Heureusement, après mon nettoyage elle sent propre le savon. La pression de Raldo sur ma nuque se relâche. Il m'a montré ainsi ce que je dois obligatoirement faire. Je suce alors cette bite avec application. Je sens les vibrations de plaisir de son propriétaire. Durant cinq bonnes minutes je suce et lèche consciencieusement ce sexe érigé. Je porte mes efforts sur le gland qui est normalement la zone la plus sensible. Petit à petit je sens que mes caresses buccales portent leurs fruits. Mes mains que j'ai portées sur les hanches de John me permettent de sentir les soubresauts grandissants de son corps. Il ressent un très grand plaisir et se laisse porter par ma fellation imposée. Pourtant, je découvre que son plaisir est entre mes mains, ou plutôt entre mes lèvres, et cela me procure également un petit sentiment de domination. Son corps s'agite maintenant davantage et soudain s'arque davantage. Il jouit alors dans ma bouche avec violence. Je m'apprête à m'éloigner et à recracher sa semence lorsque Raldo, qui a deviné mes intentions, me donne l'ordre de tout avaler et de bien nettoyer son sexe.

A nouveau je ne peux qu'obéir et j'avale rapidement le sperme de mon compagnon. Je découvre au passage son goût nouveau pour moi. Pas spécialement agréable… Puis je lèche les quelques petits filets de sperme qui restent sur son méat. Son sexe commence à se ramollir et le prépuce retrouve naturellement sa place et cache son gland. Je me redresse et regarde Raldo d'un air inquiet.

- « C'est bon. Tu t'en es bien sorti. »

Il me fait signe de m'écarter. Je m'exécute. Puis il demande à John de se lever et s'adresse à un des gardes :

- « Ramènes celui-là ! Et tu reviens avec son cousin... »

Le gardien quitte alors la pièce avec John. Après quelques instants il revient, poussant mon cousin devant lui. Chris est vêtu d'un short et de son sweet. Il me regarde d'un air surpris et légèrement apeuré. Il jette un regard circulaire autour de lui et découvre les caméras. Il semble comprendre la situation et son regard s'assombrit.

 

La suite :  Un chalet en montagne - 6/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 23 juin 7 23 /06 /Juin 13:47

Episode précédent :  Un chalet en montagne - Episode 3/26

 

 

Chapitre 4/26: Piégés !

Raldo nous regarde alors en saisissant le téléphone :
- "Excusez une minute. Ne bougez pas je reviens !
Et sans nous laisser le temps de réagir il sort et ferme la porte. J'entends le bruit d'un verrou qui claque. Chris m'interpelle :
- "Hé ! Il nous enferme ?"
En proie au doute je vais vérifier. La porte est bien fermée. Impossible pour moi de l'ouvrir.
- "Je ne comprends pas. Ils ne vont quand même nous enfermer ici ?!
- Attends, je vais le rappeler !"
Chris bat alors des poings sur la porte et, malgré le bruit d'enfer qu'il génère, personne ne vient.
Nous commençons à être inquiets. Je regarde l'ensemble de la pièce : elle est sans fenêtre et la porte est bloquée. Impossible pour nous de sortir. Chris me demande alors, la voix angoissée :
- "Mais pourquoi ils n'ouvrent pas ?"
J'essaie de le rassurer :
- "Je ne sais pas moi. Ce Raldo nous a quand même pas kidnappé !?"
John, qui était resté jusque là silencieux prend la parole.
- "Euh…Vous peut-être pas…mais moi si !"
Je ne comprends pas ces propos et lui demande de préciser. Il me regarde alors avec attention :
- "Euh…mon père est très riche…très très riche. C'est peut être moi qu'ils veulent enlever pour du fric ?
- Il fait quoi ton père ?
- Euh…Il est dans le commerce international. En fait, il vend…des armes.
- Des armes ?
- Ben oui…D'ailleurs, il est toujours en voyage…et il m'a déjà dit avoir des ennemis…"
Je réfléchis. Peut-être que c'est une explication. Mais dans ce cas, Chris et moi n'avons rien à voir là dedans !
Brusquement la lumière s'éteint. La pièce se retrouve plongée dans le noir. Nous nous asseyons alors dans le noir et notre angoisse augmente. Combien de temps allons nous attendre ainsi, assis sur le sol ? Que se passe t-il ?
Après environ 1h, la porte s'ouvre et la lumière se rallume nous laissant éblouis pour quelques secondes. Raldo entre mais il n'est pas seul. 2 gardes armés et à la mine patibulaire l'accompagnent.
- "Levez-vous tous les 3 !"
Nous obéissons.
- "Lequel d'entre vous est John Leperec ?"
Obéissant à je ne sais quelle impulsion, je réponds du tac au tac :
- "C'est moi !"
John me regarde alors avec surprise, ce qui n'échappe pas à Raldo qui me regarde alors avec attention :
- "Tu es sûr que c'est bien toi ?
- Oui c'est moi.
- Pourtant tout à l'heure, tu ne m'as pas dit cela ?"
Zut ! J'ai oublié les présentations réalisées sur la terrasse...
Raldo se tourne alors vers un des gardes.
- "Je vais vérifier. Sors la photo ! J'ai l'impression qu'il ment !"
Le garde sort alors une photo de sa poche et la donne à son patron Raldo. Il l'examine attentivement et réfléchit. Il nous regarde à tour de rôle et nous compare à la photo. Brusquement il me met la photo sous le nez :
- "Tu te moques de moi !"
Je regarde la photo. Le cliché semble pris de loin et montre une plage de nudiste avec beaucoup de monde. Au milieu de la photo, un jeune garçon est entouré d'un cercle rouge. Je reconnais tout de suite John et je comprends que cette photo à été prise alors qu'il faisait du naturisme comme il nous l'a dit tout à l'heure...
Raldo me fixe méchamment :
- "Tu vois, tout le monde est à poil sur cette photo. C'est une plage naturiste. Alors si John c'est toi, tu dois être bronzé de partout. Baisse donc ton short pour que je vérifie !"
Le 2ème garde me fait alors signe d'obéir en avançant légèrement et en pointant son arme vers moi. Je ne peux qu'obéir et je baisse lentement mon short jusqu'aux genoux. Mais mon boxer cache mon bas ventre. Raldo s'énerve :
- "A poil ! Enlève tout !"
Le garde et le ton de Raldo me dissuadent de résister. Je retire complètement mon short et mon sweet. Puis je retire mon boxer et je me retrouve nu devant eux 3. Avec mes mains je cache mon sexe. Je tremble légèrement de peur et de honte aussi. Raldo examine mes cuisses et mon ventre.
- "Tourne toi !"
Je me tourne sur place. Mon mensonge est révélé. Mes fesses sont blanches et contrastent fortement avec le bronzage du reste de mon corps. La marque du maillot est bien visible.
- "Tu vois ! C'est pas toi John !"
Voulant en avoir le cœur net, Raldo se tourne alors vers Chris et John :
- "A poil ! Tous les 2 !"
Comme moi John et Chris sont bien obligés d'obéir. Ils se déshabillent rapidement devant les gardes et Raldo. Comme moi par pudeur, ils masquent leurs parties génitales avec leurs mains. Il est alors facile de reconnaître John : C'est le seul de nous 3 à ne pas avoir les fesses blanches ! Comme le reste de son corps elles sont bien bronzées et aucune marque de maillot n'est visible. Raldo se tourne vers John :
- "C'est toi John, n'est ce pas ?"
John ne peut qu'avouer l'évidence :
- "Oui c'est moi. Eux c'est des amis.
- Ok !" Il se tourne alors vers moi :
- "Et toi, pour m'avoir menti, tu seras puni !"
Je ne dis rien. Je baisse la tête de peur et de honte mêlée. J'aurais mieux fait de me taire ! Quel idiot !
Raldo poursuit :
- "C'est John que l'on voulait. Mais puisque vous êtes avec lui, vous allez subir le même traitement ! Vous allez être prisonnier comme lui. Et vous servirez d'acteur aussi. Après tout, vous êtes très bien aussi pour le rôle…
Nous ne comprenons rien. Acteur ? Le rôle ? Quel rôle ? Mais aucun de nous 3 n'ose poser de questions pour le moment.
A ce moment là entre un homme âgé. Raldo lui désigne alors John :
- "C'est lui, c'est John Leperec.
- Bien, parfait. Mais qui sont les 2 autres ?
- Des amis qui étaient avec lui.
- Des amis ? Ce n'était pas prévu ça. Mais peu importe. Ils feront l'affaire aussi."

Il regarde alors Chris attentivement. Comme nous 3, il cache son sexe avec ses mains et maintient la tête baissée.
- "Et lui, il n'est pas un peu trop jeune ?"
Il s'adresse alors à Chris d'un ton autoritaire :
- "Mets tes mains sur la tête ! Et avance un peu..."
Le premier garde pointe alors son arme sur mon cousin qui ne peut qu'obéir. Il lève timidement les mains et dégage ainsi son sexe orné seulement d'une petite touffe brune. Le nouvel arrivant se penche alors vers lui et d'une main lui saisit son sexe. Il le soulève. Puis il soulève et examine alors les bourses de Chris. Revenant sur la verge il décalotte rapidement le pénis de mon cousin. Je regarde le visage de Chris. Il pleure doucement et quelques larmes perlent dans le coin de ses yeux. Je suis dégoûté du traitement que subit mon camarade. Mais l'homme âgé n'en a pas fini avec lui :
- "Tourne-toi."
Chris ne peut qu'obéir et se tourne lentement. Il présente maintenant son cul à son examinateur. D'une poussée dans le dos, celui-ci lui fait comprendre qu'il doit se baisser en avant. Ce que fait Chris.
L'homme âgé se penche alors en avant et, plaquant une main sur chacun des globes fessiers de Chris, écarte ses fesses blanches et dévoile ainsi sa raie et son anus.
- "Ho Ho…oui il est jeune mais il devrait faire l'affaire. Tant pis pour lui ! Il n'avait qu'a pas être là !"
Il se redresse et renvoie Chris en arrière. Mon cousin vient se placer près de moi après ce traitement humiliant. L'homme âgé s'adresse alors à nous :
- "Je m'appelle Cadi. C'est un pseudonyme bien sûr. Je tourne des films X avec de jeunes acteurs comme vous. Des acteurs qui… n'ont pas toujours la majorité légale pour cela. Ce qui fait que je… les oblige à jouer. Et donc ils sont mes prisonniers. Vous allez donc rester ici quelques jours, le temps de faire un film. Et après on vous relâchera.
Il poursuit en se tournant vers John :
- "Toi, on t'a repéré sur la plage il y a une semaine. Tu es beau et tu feras un bon acteur. J'ai demandé à un de mes associés de te suivre. Cà a été facile de trouver le chalet de tes parents ici. Et donc on a loué ce chalet pas loin. Et l'occasion de te capturer s'est présentée tout à l'heure. Raldo vous a bien eus !"
Oui, effectivement, Raldo nous a bien eu avec son faux air sympathique.
- "Quand à vous 2, comme vous êtes des amis de John je vous embauche aussi ! Vous n'avez pas le choix de toute façon !"
Il nous désigne les 2 gardes armés. Notre choix semble en effet très réduit ! Comment leur résister ?
Il termine en s'adressant à Raldo.
- "Bien, au travail. Tu les laves et tu vérifies leur capacité. On verra ensuite comment on fait.
- Ok, comme vous voulez."
Et Cadi quitte la pièce. Ces propos m'inquiètent grandement. Visiblement ces hommes sont habitués à être obéis et sont prêts à employer la force dans le cas contraire...
Raldo s'adresse aux gardes.
- "Attachez-les ! Sauf lui !" Et il me désigne...
Les gardes poussent John et Chris en avant, les obligent à s'asseoir près du mur et avec chacun une paire de menottes leur attache une main à un anneau scellé dans le mur. Puis les 2 gardes leur lancent leurs vêtements et quittent la pièce. Raldo me saisit alors par le poignet et m'oblige à le suivre. Je ne fais pas le poids et je ne peux que me laisser entraîner. Toujours nu il m'entraîne vers la salle de bain du chalet. Il me pousse alors sous la douche :
- "Tu as 10 mn pour te laver. Je ne te quitte pas des yeux. Et fais ça bien, je vérifierais !"
Je pense qu'il est plus prudent d'obéir à ses ordres sans rechigner. J'ouvre le robinet d'eau chaude et, me saisissant du champoing, je commence à me savonner le corps. Raldi reste devant moi et ne perd pas un de mes mouvements. Je suis assez gêné de me laver devant lui mais je n'ai pas d'autre choix.
- "Lave ta bite et ton cul aussi. Allez !"
La mort dans l'âme, je me lave le sexe et les fesses devant lui. Je suis rouge de honte. Brusquement, il coupe l'eau chaude et ouvre davantage l'eau froide. Le jet devient glacé. Je hurle :
- "Merde ! C'est glacé !
- C'est bien fait ! Ca t'apprendra à mentir ! Et puis, c'est bon pour la peau."
Je m'avance pour sortir de sous ce jet glacial mais il me repousse :
- "Tu restes encore un peu !"
Il ne me reste plus qu'à baisser la tête sous cette douche froide. Après quelques instants je commence à trembler de froid. Il s'en aperçoit et ferme l'eau. Je reste là devant lui, nu, tremblant et frigorifié. Il me fait sortir de la douche et me tend une serviette. Je me sèche avec vigueur pour me réchauffer. Et dans un soupçon de pudeur, j'enroule naïvement la serviette autour de ma taille. Mais Raldo me reprend :
- "Donne-moi la serviette. Je vais vérifier si tu es propre."
Son ton ne m'incite pas à résister. Je lui tend la serviette et me retrouve nu comme un ver devant lui.
- "Lève les bras et mets tes mains sur ta tête."
J'obéis. Il se met
alors à genoux devant moi et examine ma bite. Me décalottant sans douceur mais avec dextérité, il vérifie que mon gland est propre. Puis plaçant ses mains sur ma taille, il m'oblige à me retourner et à me pencher en avant. Je suis très humilié par cette inspection intime. Il écarte mes fesses et examine avec soin la propreté de mon trou du cul. Il conclut en me donnant une tape sur les fesses ce qui augmente encore plus ma gêne. Il me traite vraiment comme un esclave.
- "Parfait. Maintenant que tu es propre, je vais vérifier tes capacités. Suis moi."
A nouveau il me saisit par le poignet et m'entraîne dans une nouvelle pièce. En son centre se trouvent 2 tapis de sol minces, posés côte à côte. Et autour de ces 2 tapis se trouvent plusieurs projecteurs lumineux et 2 caméras. Derrière chaque caméra il y a un garde faisant maintenant office de caméraman. Il s'agit d'un petit studio d'enregistrement vidéo. Raldo me place sur les tapis et m'explique.
- "Voilà. Tu vas être filmé. Si tu refuses de coopérer on t'obligera par la force et ce sera beaucoup moins agréable pour toi. Tu as compris ?"
Je ne peux que répondre par l'affirmative, d'une voix mal assurée.
Raldo passe alors derrière un pupitre de commande. Et allume les projecteurs.
Je me retrouve violement éclairé de tout coté et, instinctivement, je porte mes mains à mon sexe pour le protéger des regards. Raldo m'ordonne :
- "Tu restes droit et tu gardes les mains sur la tête !"
A contrecoeur je m'exécute. Je vois les 2 opérateurs qui manipulent les caméras et me filment. Je ne suis pas à l'aise, partagé entre la pudeur, la honte et la peur. Je n'ai pas l'habitude d'être filmé nu devant 3 adultes. Je ne suis pas un acteur de film X !
Mais il semble que je vais devoir le devenir, de gré ou de force.
Raldo me donne des ordres :
- "Tourne sur toi-même."
J'obéis et entame un mouvement de rotation. Je vois bien les caméras qui zooment alors sur mes fesses. Je fais un tour complet.
- "Stop ! Tu bouges plus maintenant. Tu gardes une main sur ta tête et de l'autre tu te branles. Je vais vérifier si tout est normal."
Je n'ai pas du tout envie de me masturber devant eux au centre de cette scène. Je ne suis pas un animal de foire ! Je regarde Raldi et d'un ton que je voudrais ferme, je lui dis :
- "Je vous assure que je suis normal."
Raldo lève les sourcils de surprise, me regarde droit dans les yeux et finalement s'approche de moi, l'air méchant :

 

La suite : Un chalet en montagne - 5/26

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Dimanche 16 juin 7 16 /06 /Juin 13:21

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Chapitre 3/26 : jeux d'ados

Je réfléchis un peu avant d'adhérer à son plan :
- "Ouais, si tu veux !  Après tout, ce sera une petite vengeance et ça lui apprendra à nous mater à poil."
Pour le moment John est dans l'eau et nage tranquillement. Après 5 mn passées dans l'eau glacée, il revient doucement vers nous.
- "C'est vrai qu'elle est froide !
- Oui, viens t'asseoir ici, j'ai des gâteaux si tu veux.
- Oh merci, j'en ai aussi. Et il sort de son sac un paquet de gâteaux aux citrons qu'il nous propose gentiment:
- Tenez ! Servez vous."
Je sors aussi à boire et ensemble nous commençons un petit goûter. Brusquement, Chris qui veut savoir la vérité et qui n'a pas vraiment apprécié d'être surpris tout nu, lève la tête et regarde John bien en face :
- "Dis moi, tout à l'heure, tu es sûr que tu nous as pas vu nous baigner ?"
John semble décontenancé et rougit :
- "Euh…en fait j'ai entendu vos cris et je me suis approché doucement sous les arbres. Je ne savais pas qui c'était…"
Chris demande alors confirmation :
- "Et donc tu nous a bien vu nous baigner ?
- Euh…oui…Et comme vous aviez l'air sympa et pas méchant, je me suis dit qu'on pouvait faire connaissance."
Je le regarde alors en souriant et, en même temps, je fais un discret signe de main à mon cousin. Il a compris, se lève et passe derrière John, l'air de rien. Je m'adresse alors à John :
- "Ouais, tu as bien fait mais je pense qu'il faut faire davantage connaissance…"
John me regarde avec surprise. Sans lui laisser le temps de comprendre, Chris lui saisit les bras et le tire en arrière. Puis il s'assoit rapidement sur son torse. Quant à moi je m'assois sur ses jambes. En 3 secondes John est impuissant, allongé sur le dos et cloué par le poids de nos 2 jeunes corps. Il se débat un peu mais est vraiment immobilisé :
- "Hé ! Que faites vous ?!"
Je le rassure :
- "Rien, rien, mais comme tu nous a maté à oilpé, on va faire la même chose !"
Et je mets alors une main de chaque coté de son slip de bain. Il comprend alors nos intentions et se débat davantage.
- "Non ! non, pas ça !
- Ben fallait pas nous regarder !"
Et sans attendre davantage je baisse rapidement son slip de bain jusque sur ses genoux. A ma vue apparaissent alors ses organes sexuels. Sa bite semble de belle taille, quoique recroquevillée par son bain glacé. Le prépuce cache entièrement le gland et son pubis est très peu poilu. Seule une petite touffe de poils blond le compose. Ses bourses sont imberbes et collées à la base de sa tige. Il ne se débat plus maintenant. J'en profite pour le soulever un peu et lui enlever complètement son slip. Je le donne à Chris qui le lance tout de suite à 15 m de distance. Chris rigole et se relève, tout comme moi.
- "Voila ! Comme moi tout à l'heure... Va le chercher maintenant !"
John ne semble finalement pas vraiment gêné de se retrouver nu devant nous.
- "Ah c'est malin !"
Et tranquillement, il va chercher son slip et revient vers nous sans le remettre. Il s'adresse alors à Chris :
- "Tu sais, mes parents pratiquent le naturisme alors j'ai l'habitude…"
Je remarque alors que, contrairement à nous, ses hanches et son bas ventre sont aussi bronzés que le reste de son corps : la marque blanche du maillot n'existe pas. Il semble dire vrai.
Notre vengeance n'en est plus vraiment une alors. Chris semble déçu de voir John autant à l'aise, 100% nu devant nous :
- "Ha ben alors ! Tu sais, c'était juste pour s'amuser.
- Oui mais maintenant oserez-vous faire la même chose ?"
Et John nous regarde avec un air à la fois malicieux et de défi. On a l'air malin maintenant, si on n'ose pas se mettre à oilpé devant lui ! Notre petite vengeance se retourne contre nous... Je regarde alors Chris et comme moi il semble bien gêné. Nous n'avons jamais pratiqué le naturisme et nous sommes plutôt pudiques. Mais je ne veux pas perdre la face devant John et je décide de me déshabiller à nouveau. Je retire à nouveau mon boxer et me retrouve nu devant John et Chris. Je suis un peu gêné et John approuve mon geste :
- "Bravo ! Viens on retourne se baigner."
Et ensemble on se replonge dans l'eau toujours aussi glacée.
Quand à Chris, il reste assis et ne vient pas.
John et moi jouons dans l'eau. Il semble vraiment naturel pour lui d'être nu. On voit qu'il a l'habitude. Quand à moi je fais quand même attention à ne pas trop m'exposer et reste plutôt dans l'eau. Il me demande :
- "Il est vexé ton cousin ?
- Je crois que oui. Il a pas aimé être surpris à poil tout à l'heure ! Et puis je lui avais déjà enlevé son maillot de force, alors…
- Ha…ben oui alors."
Après quelques minutes de bain glacial, le froid nous chasse et nous retournons rejoindre Chris toujours assis sur le bord. Je remets de suite mon boxer. Quand à John, il s'étale nu au soleil et se réchauffe. Je ne peux m'empêcher de regarder son sexe, recroquevillé par l'eau froide. Il est vraiment plus petit et flasque que tout à l'heure. Je remarque également que son bronzage, très marqué, est vraiment uniforme. Pas de trace de maillot de bain comme Chris. Il dit vrai : il doit pratiquer le naturisme. Je trouve un peu étrange son comportement. Se baigner nu, ok, mais s'allonger au soleil devant nous 2 ! Moi je ne pourrais pas, je suis trop pudique.
Après quelques minutes John prend la parole :
- "Vous redescendez au village maintenant ?
- Oui il va falloir y aller, sinon mon père va finir pas s'inquiéter. On est parti depuis ce matin.
- Je peux retourner avec vous ?
- Oui si tu veux.
- OK merci mais avant je vais aller pisser."
John se lève alors et, toujours nu, se dirige tranquillement vers un arbre situé à 10m de là. Je le suis du regard comme Chris d'ailleurs. Comme sur le devant ses fesses ne portent aucune marque de bronzage par rapport au reste du corps. Chris m'en fait la remarque :
- "Ben dis donc ! Il est vraiment naturel lui.
- Oui, on voit qu'il a l'habitude.
- Ouais…ben moi pas vraiment !
- Je sais…j'ai vu…moi non plus tu sais."
Après avoir uriné contre l'arbre John revient vers nous.
- "Bon, on se rhabille et on y va ?
- Oui."
Comme il est debout devant moi et que je suis toujours assis, son sexe est pile à la hauteur de mes yeux. A croire qu'il le fait exprès ! Je regarde alors une dernière fois sa bite. Seul l'extrémité de son gland est visible au bout du prépuce. A son extrémité pointe une petite goutte d'urine... Visiblement il n'a pas bien secoué son engin ! Toujours aussi naturellement il renfile son maillot et son short. Nous faisons de même et, en quelques instants, tout le monde est prêt pour le départ.
Commence alors le retour vers le village, à environ 40 mn de marche, en descente par un bon sentier. Il fait chaud et rapidement nous regrettons l'eau fraîche du ruisseau.
Nous arrivons enfin au dessus du village et passons devant un magnifique chalet tout neuf. Chris s'exclame :
- "Wouah ! Il est vachement grand celui-là !
- Ouais, et en plus il est tout neuf ! Tu sais qui habite là ? Je pose la question à John.
- Euh…Il parait que c'est un riche industriel et son frère."
Le chemin passe vraiment à coté et John regarde avec intérêt le magnifique chalet :
- "Il est vraiment super chouette ! J'aimerais bien le visiter.
- Tu aimes les chalets toi ?
- Oui, mes parents vont peut être en faire un et moi j'en ai déjà fait un en maquette."
A ce moment sort du garage un homme en noir, crâne rasé et à l'air pas vraiment sympathique. Un gardien de sécurité je pense... Il s'adresse à nous :
- "Bonjour messieurs ! Merci de ne pas traîner à proximité du chalet, s'il vous plait !"
J'avais pensé juste, c'est bien un gardien. Je lui réponds alors tranquillement :
- "Pas de problème ! On fait que passer ! Au revoir !"
Derrière lui surgit alors un homme en tenue légère et chemise à fleur. Il semble assez jeune, la trentaine. Il s'adresse au gardien avec un fort accent étranger :
- "Manuel, du calme ! Ces jeunes gens ne font que passer sur le chemin. Inutile de les réprimander !"
Il se tourne alors vers nous 3, nous dévisage avec attention et s'adresse à nous :
- "Bonjour les jeunes ! Excusez mon gardien ! J'espère qu'il n'a pas été trop méchant avec vous ?"
Chris et John sont un peu décontenancés par la situation. En tant que plus âgé du groupe je prends la parole :
- "Euh…Non non, ça va ! On s'en va de toute manière. Au revoir monsieur !
- Attendez ! Ne partez pas comme cela ! Je vous offre à boire."
Je me tourne vers Chris et John et les interroge à voix basse :
- "Qu est ce qu'on fait ? On y va ?"
John me répond :
- "Ben ouais, comme ça on verra dedans comment c'est !"
Je regarde à nouveau l'homme qui semble être le propriétaire. Il me sourit et semble assez cool. Son gardien est rentré. Pourquoi pas après tout ? On est à coté du village et quasiment arrivé. On peut bien s'arrêter 5 minutes. On ne risque rien.
- "Ok on veut bien. Il est à vous le chalet ?"
L'homme me sourit et explique :
- "Oui, il est juste fini mais venez sur la terrasse, je fais emmener des boissons."
L'homme nous guide alors jusque sur la terrasse qui s'atteint par un escalier extérieur.
- "Vous voyez, la vue est magnifique !"
C'est vrai que la vue est belle. Le village est toutefois hors de vue, caché par une dernière bosse du terrain. Toutefois la vue sur la vallée et les sommets environnants est de toute beauté.
John, lui, tourne le dos au paysage et regarde le chalet. Il examine la charpente, les balcons…
Le gardien arrive alors sur la terrasse avec un plateau chargé de boissons. Il pose son chargement sur la table. Le propriétaire nous invite à nous asseoir et à nous servir à boire.
- "Moi c'est Raldo, et vous ?"
Je fais les présentations :
- "Là c'est mon cousin Chris et lui c'est John. Et moi c'est Pascal.
- Et vous arrivez d'où comme cela ?"
Je lui explique alors notre randonnée. Il semble admiratif.
- "C'est bien, c'est bien ! Belle promenade ! Moi j'ai pas le temps de faire des ballades comme cela…"
John demande alors :
- "Mais vous n'êtes pas en vacances là ?
- Si, si, mais je viens juste d'arriver et j'ai encore un peu de travail à terminer.
- Mais le chalet semble fini pourtant ?
- Le chalet ? Oui, il est fini. Tu veux voir l'intérieur ? On dirait que ça te branche ? Demande alors Raldo à John.
- Euh…oui, j'aimerais bien."
Raldo se lève alors :
- "Et bien suivez moi !"
John se lève immédiatement. Chris hésite et finalement se lève aussi :
- "Je viens aussi."
Je ne vais pas rester seul sur la terrasse. Autant profiter de la visite de ce superbe chalet. Je ne suis jamais rentré dans un chalet aussi somptueux et grand. Et Raldo est vraiment sympathique.
Justement, il ouvre la porte d'entrée et nous invite à rentrer à l'intérieur.
- "Vous allez voir, c'est assez grand…"
Effectivement, le hall d'entrée est très grand et magnifique. On voit au premier regard que Raldo est riche et que ce chalet est digne d'un hôtel 4 étoiles. Nous roulons des yeux ébahis. Je regarde John qui me fait un discret signe du pouce pour me signifier qu'il est lui aussi impressionné par le luxe de ce lieu. Raldo poursuit :
- "Et ici il y a une petite salle de sport. Mais elle n'est pas encore finie d'aménager…"
Il ouvre alors une porte et nous invite à le précéder. Ce que nous faisons. Nous nous retrouvons alors dans une grande pièce avec quelques accessoires de sports. Je reconnais un cheval d'arçon, des espaliers. Dans un coin une pile de matelas. Brusquement, le gardien surgit alors, un téléphone à la main et s'adresse à Raldo :
- "Excusez moi, un appel urgent, monsieur !"

 

La suite :  Un chalet en montagne - Episode 4/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 9 juin 7 09 /06 /Juin 14:34

Episode précédent :  Un chalet en montagne - Episode 1/26

 

 

Chapitre 2/26 : Sacré cousin !

Il porte alors un doigt à sa bouche et le mouille franchement de salive. Puis il s'approche de mon anus et doucement, très doucement, l'enfonce dans mon fondement. Je découvre cette sensation nouvelle. Je ne ressens que du plaisir et décolle mon ventre de 10 cm environ pour lui faciliter le travail et mieux lui exposer mon cul. Il prend alors ma queue raide de son autre main et commence à me branler avec vigueur. A ce régime là je ne vais pas résister longtemps ! Son doigt s'agite doucement en moi et me procure des ondes de plaisir inconnu. J'halète doucement, je profite pleinement de l'instant présent et je sens que l'explosion finale est proche...
Quelques instants plus tard, dans un sursaut d'énergie, j'éjacule comme jamais, directement sur le lit. Je m'écroule de plaisir et reste quelques instants étendu ainsi, sur le ventre, les jambes écartées, dans une posture somme toute très impudique devant mon cousin.
- "Wouah…tu as aimé on dirait ?
- Ouais ! J'ai adoré ! Mais qui t'a appris …"
A ce moment là, la voix forte de mon père s'élève depuis l'escalier.
- "Alors, vous êtes bien installé là-haut ?"
Et nous entendons les premières marches de l'escalier grincer... Il est en train de monter ! Nous n'avons que quelques secondes avant qu'il ne nous découvre nus tous les 2 ! Ce qui serait une catastrophe... Vite je fais signe à Chris de retourner dans la salle de bain. Ce qu'il fait d'un air affolé et précipité. Quand à moi je renfile uniquement mon short, pas le temps de mettre le boxer. Et dans un dernier réflexe je jette une serviette sur mon boxer et les taches de sperme fraîches qui brillent encore sur le lit.
Mon père entre alors dans la chambre et je fais mine de mettre mon maillot.
- "Oui papa, tout va bien. Chris est encore sous la douche.
- Ok pas de problème, on mange dans 10 mn.
- Pas de souci, il aura fini.
- Bien. Il me regarde en souriant et poursuit : Essayez de ne pas mettre le bazar là-dedans…"
Je le rassure :
- "T'inquiète. On fera attention.
- Bon, à tout de suite, je redescends finir le repas."
Et, tranquillement, il quitte la chambre et retourne au premier étage. Ouf, on a eu chaud ! C'est vrai qu'on n'a pas vraiment été prudents sur ce coup...
Chris, qui a tout entendu derrière la porte de la salle de bain, rentre à nouveau. Il me regarde et pousse un ouf de soulagement. Je lui fais un clin d'oeil complice.
Il s'habille rapidement. Quand à moi je retire mon short et mets mon boxer. J'essuie aussi les taches de sperme sur le lit.
Nous sommes maintenant parfaitement présentables et ensemble, sans mot dire, nous descendons rejoindre mon père pour le repas. Dans ma tête pourtant j'ai plusieurs questions à poser à mon cousin. Ce sera pour plus tard…
A table, devant le repas préparé par mon père, nous discutons du projet du lendemain. La météo est excellente et nous pensons aller faire une randonnée au-dessus du village. Comme nous ne sommes pas vraiment entraînés, nous ferons le sommet le plus proche : le Mont Exes. Normalement il s'atteint en 3 h de montée. Mon père approuve ce choix et il sait que je connais le parcours. Toutefois il me recommande la plus grande prudence.
- "Et tu veilleras sur Chris. Il n'a quasiment jamais fait de montagne, tu sais.
- Pas de problème, je ferais attention, Papa !"
Il n'a pas de doute à avoir. Je veillerai bien sur mon cher cousin. S'il savait pour tout à l'heure !
Une fois le repas fini, nous disons bonsoir à mon père et montons direct dans la chambre. Je suis fatigué et Chris aussi. Et comme demain matin il va falloir se lever tôt… Et j'ai aussi des questions à poser à mon cousin !

Arrivés en haut de l'escalier, c'est à qui s'affalera le 1er sur son lit, en rigolant. Il prend une revue de voitures et commence tranquillement à lire. Quand à moi, je ne peux attendre davantage :
- "Dis moi Chris, qui t'a appris… pour le doigt dans mon cul tout à l'heure ?"
Il lève la tête et se retourne vers moi :
- "Euh… c'est y a 6 mois, j'étais avec mon correspondant anglais, il avait 2 ans de plus que moi et un soir il m'a montré. J'ai adoré aussi tu sais. Mais tu es le premier garçon à qui je l'ai fait.
- Ah bon ! Tu l'as déjà fait à une fille ?
- Non, non…Ma copine elle ne veut pas.
- Ta copine ? T'es plus puceau alors ?
- Euh…non. Depuis 3 mois environ. Et toi au fait ?"
Moi non plus, j'ai été dépucelé il y a un an à l'occasion des dernières vacances d'été sur la plage.
- "Depuis un an déjà. J'avais rencontré une fille sur la plage l'année dernière et…voilà…ça s'est fait.
- Tu l'as revue depuis ?
- Euh…juste une fois à Noël. Elle habite loin en fait."
Mon cousin se moque alors gentiment de moi :
- "Ha ! Je comprends alors mieux pourquoi tout à l'heure... T'étais en manque ! Je parie que t'a pas baisé depuis 6 mois ?"
Je suis embarrassé car c'est la vérité. Au lycée aucune copine n'a accepté d'aller aussi loin… Puis j'ai pas vraiment rompu avec la première…
- "Euh…oui. T'as raison… Mais je vais la revoir dans 3 semaines et on se rattrapera ! Enfin, j'espère bien.
- Ouais…t'as raison ! Bon allez, on se met au lit ? Je suis naze là.
- Moi, aussi je suis fatigué, ok."
Mon cousin se lève alors de son lit, se retourne et, tranquillement, se déshabille complètement devant moi. Je le vois de dos et je ne peux m'empêcher de regarder ses fesses blanches et imberbes, qui tranchent avec le reste de son corps bronzé. Je me surprends à imaginer le caresser et à lui faire ce qu'il m'a fait tout à l'heure... Mais cette pensée fugitive s'estompe rapidement alors qu'il se couche tout nu. Il est tourné de l'autre coté et ne me voit pas. Quand à moi je retire mon maillot, mon short et mon boxer et enfile un pyjacourt très ample. Je reste torse nu pour dormir, il ne fait vraiment pas froid dans la chambre.
- "Allez Bonne nuit, j'ai mis le réveil à 7h.
- 7h ??!! Houlà, c'est tôt !!
- T'inquiète, il fera moins chaud pour marcher, tu verras.
- Ok, ok…Bonne nuit alors."
Et je coupe la lumière. Je m'endors rapidement.
Bip… Bip… Bip… Le réveil sonne désagréablement mais, à la pensée de la belle journée qui s'annonce, je saute allègrement hors du lit. J'ouvre tout de suite les volets et laisse le jour pénétrer la chambre. Chris se réveille aussi et alors qu'il se lève et se précipite nu dans la salle de bain, je constate qu'il a une belle érection matinale. Dans une vision fugitive je vois son sexe s'agiter devant lui alors qu'il court presque. Après quelques minutes il sort habillé et ensemble nous descendons déjeuner.
Une heure après nous nous élançons, sac sur le dos, vers le sommet prévu. Le temps est magnifique et le soleil va rayonner.
3h plus tard nous atteignons le sommet du Mont Exes. La vue est magnifique. Nous sommes seuls. Nous n'avons croisé qu'un randonneur durant la montée mais il se dirigeait vers le col Sinep que nous emprunterons à la descente.
Après un bon casse-croûte nous entamons la descente. Une fois le col Sinep atteint, nous rentrons dans la forêt pour la dernière partie du retour. Le sentier devient ombragé et c'est agréable. Je me souviens alors que, à environ 200m d'ici, le ruisseau comporte une zone assez profonde pour pouvoir se baigner sans avoir pied. Je propose à Chris :
- "Et si on passait se baigner ? Je connais un endroit pas loin.
- Se baigner ? Oui c'est une bonne idée. Mais on n'a pas de maillot !
- C'n'est pas grave, ya personne : on se baignera à poil. Ce n'est pas un endroit connu.
- A poil ? euh…t'es sûr ?
- Oui…T'inquiète, y'aura personne !"
Cette idée ne semble pas vraiment l'enchanter mais il est bien obligé de me suivre. Et après 5 mn de marche hors sentier le long du ruisseau, nous arrivons à l'endroit de la baignade.
- "Tu vois c'est pas très grand, ni très profond mais on y sera tranquille.
- Ouais, je vois."
La zone de bain mesure environ 8m de long sur 2m de large et la profondeur est au maximum de 1,5m. Mais vu la chaleur ambiante ce sera bien agréable quand même.
Je pose mon sac et tranquillement, je commence à retirer mon maillot et mon short. Chris jette des regards autour vers les arbres. Il semble inquiet.
- "Tu es sûr qu'il y a personne ?
- Oui… oui… Personne ne connaît cet endroit. Il n'est pas sur le chemin. Allez ! N'aies pas peur. T'as rien à craindre."
Je quitte mon boxer et me retrouve nu devant mon cousin qui n'ose toujours pas se mettre en tenue. Je l'interpelle :
- "Ben alors ? Hier soir, tu as bien osé.
- Ben oui…mais là, en pleine nature…si quelqu'un arrivait…
- Tu sais, ce n'est pas interdit de se mettre à poil après tout."
Je le laisse planter là et commence à rentrer doucement dans l'eau très froide. Le contraste est saisissant. C'est bien un ruisseau de montagne et l'eau ne doit pas dépasser les 15° !
Une fois complètement immergé je me retourne vers mon cousin :
- "Allez, viens, c'est super !"
Il hésite encore un peu puis, rapidement, enlève son tee-shirt et son short et commence à entrer dans l'eau. Je lui demande :
- "Ben tu ne te mets pas à poil ?
- Euh non…non…
- Poule mouillée, va !"
Je décide alors de jouer un tour à mon cousin et de lui enlever par la ruse son boxer…
Après quelques instants, il est lui aussi dans l'eau.
- "Wouah…Elle est froide !
- Ouais….mais ça fait du bien !"
Nous chahutons joyeusement mais la froideur de l'eau calme vite nos ardeurs. Chris commence à sortir de l'eau. Je me place juste derrière lui. Il fait encore quelques pas et se retrouve avec de l'eau aux genoux. Je crie alors :
- "Là-bas, regarde : un animal ! Et je désigne un arbre, 50m devant lui.
- Où ?
- Là-bas. Regarde."
Il regarde fixement le point que je lui désigne et moi je me rapproche sans bruit juste derrière lui. Je ne dois pas rater mon coup. Je n'aurais pas une seconde chance ! Alors qu'il scrute toujours les arbres à la recherche de mon animal imaginaire, je me baisse derrière lui et, plaçant brusquement mes 2 mains de chaque coté de son boxer, je le baisse violement jusque sur ses chevilles.
- "Hé ! Enfoiré !"
Il se baisse brutalement pour remonter son vêtement mais, glissant sur une pierre ronde, il glisse dans l'eau et y plonge la tête quelques instants. Je profite alors de cette petite chute pour lui retirer complètement son boxer.
- "Ha ha ! Et voilà ! T'es à poil aussi maintenant."
Et je lance son boxer trempé dans la forêt où il atterrit 20m plus loin.
- "Enfoiré !"
Et il m'empoigne pour me faire tomber à l'eau moi aussi. Nous chahutons alors quelques minutes dans l'eau glaciale. Nos sexes sont ratatinés complets par le froid. Je commence à trembler et décide de sortir.
Je sors de l'eau et me dirige vers mes vêtements posés sur un petit rocher. A l'aide de mon maillot je m'essuie sommairement et renfile mon boxer. Puis je me retourne vers mon cousin.
- "Ben alors, tu viens ?
- J'arrive."
Chris sort alors de l'eau, non sans jeter des coups d'œil furtifs à droite et à gauche et doucement, sans prendre le temps de s'essuyer, se dirige vers son boxer que j'ai jeté plus loin. A le voir si embarrassé à se promener nu dans la nature je rigole et me moque de lui gentiment :
- "Ne t'inquiète pas ! Je te dis qu'il n'y a personne."
A ce moment là, juste pour me contredire, un adolescent d'environ 16 ans surgit de derrière les arbres à 10m,  et se dirige vers mon cousin. Surpris de voir mon cousin nu, il stoppe brusquement et le regarde avec surprise. Quand à Chris il a brutalement plaqué ses 2 mains sur son sexe et n'ose plus avancer.
- "Euh…Bonjour. Vous venez de vous baigner je parie ?"
Je prends la parole :
- "Oui et mon cousin (que je désigne alors de la main) est à la recherche de son boxer…
A ses mots, Chris rougit et, reprenant ses esprits, parcourt rapidement les quelques mètres le séparant de son précieux vêtement et prestement l'enfile. Le nouvel arrivant n'a pas cessé de regarder les fesses blanches de Chris et a toujours le regard fixé sur mon cousin. Chris, maintenant vêtu de son boxer, se retourne et l'interpelle :
- "Et toi, tu viens te baigner aussi ?
- Euh… oui… je m'appelle John, j'habite au village. Et vous ?"
Je poursuis les présentations :
- Moi c'est Pascal et lui mon cousin Chris. On est en vacances ici.
- Ok, je ne pensais pas trouver du monde ici…
- Ben… nous non plus en fait…"
John éclate alors de rire :
- "Ouais… je m'en doute, sinon vous ne vous seriez pas baigné à poil."
Je lui demande alors :
- "Mais comment sais-tu qu'on s'est baigné à oilpé ?"
Il s'embrouille et semble embarrassé :
- "Euh…ben ton cousin était nu à mon arrivée alors je suppose… Mais peu importe je vais me baigner moi aussi."
Et rapidement il se met torse nu, quitte son short, se retrouve en maillot de bain et se dirige vers l'eau dans laquelle il entre doucement. C'est un bel adolescent, mince et de grande taille et très fortement bronzé. De type scandinave, son visage fin et souriant est surplombé par ses cheveux blonds en bataille. Comme mon cousin il ne doit pas avoir fini sa puberté car il est très glabre sur le corps. Seul des poils blonds et fins se distinguent sur ses mollets et ses cuisses. Chris vient s'asseoir à coté de moi et, comme moi, se réchauffe au soleil.
Il me regarde et me fait part de ces soupçons en baissant la voix :
- "Je suis sûr qu'il était là avant et qu'il nous a vu nous baigner !
- Tu crois ? Je ne sais pas moi...
- Ben écoute, dès qu'il sort de l'eau je lui demande. On verra bien sa réaction.
- Si tu veux ! Mais bon, même s'il nous a vu c'est pas interdit.
- Ouais mais bon, c'est pas sympa ! Et dans ce cas je lui fais comme tu m'as fait : Je lui enlève son maillot !"


La suite : Un chalet en montagne - Episode 3/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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