Dimanche 30 juin 7 30 /06 /Juin 11:27

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Chapitre 5/26 : Acteurs débutants !


- « Je m'en doute mais vois-tu je vais vérifier. Alors tu obéis ! »

Et de sa main droite il me gifle violemment. Le choc me déséquilibre et je vacille légèrement.

- « Bien, tu en veux une autre ? »

Je ne peux résister davantage. Inutile de lutter. Sa force physique est nettement supérieure à la mienne. Je ne fais pas le poids ! Et en plus il y a les 2 gardes/caméraman. Je bredouille donc :

- « Non… non… C'est bon ! »

Je me redresse et, fixant mon regard au loin car n'osant les regarder, je commence à me caresser le sexe. Je suis rouge de honte et de gêne. Je ne me suis jamais branlé dans de telles conditions, aussi exposé sous les lumières et les caméras. Je n'ai pas la décontraction indispensable et mon sexe ne veut pas se rigidifier… Raldo intervient :

- « Allez ! Allez ! Plus d'ardeur ! »

J'augmente alors mes mouvements et leur vitesse. Petit à petit mes efforts portent leurs fruits et maintenant ma tige érige ses 17 cm dont habituellement je suis si fier. Raldo se rapproche alors de moi et se saisit de ma queue bandée.

- « Écarte tes mains ! »

Il palpe alors ma bite et en vérifie la dureté. Il me fait aussi coulisser plusieurs fois le prépuce, masquant et démasquant mon gland rouge vif. Il me palpe aussi les bourses et les testicules. Il semble satisfait.

- « Ecarte tes jambes et ne bouge plus ! »

Encore une fois, je m'exécute sous la contrainte.

Il se met alors à genoux devant moi et passe sa main gauche sous mes bourses. Sa main m'écarte l'entrejambe et un doigt s'approche de mon anus. Je ne peux m'empêcher de serrer les fesses. Ce qu'il sent immédiatement.

- « Ne résiste pas ! »

Soumis à ses ordres je relâche la pression. Son doigt se fait insistant et se présente maintenant franchement à l'entrée de mon intimité.

- « Tu t'es déjà fait enculer mon garçon ? me demande-t-il alors.

- « Euh non, jamais.

- Bon, alors je vais être sympa, je vais mettre du gel. »

Il se lève et va alors chercher un tube de gel. Il me retourne et me demande de me pencher en avant. Je lui dévoile ainsi mes fesses, ma raie et mon anus. Il m'étale alors une bonne dose de gel froid entre mes fesses, puis il me fait reprendre la position initiale debout devant lui.
Curieusement, je bande toujours autant, voire même plus. Me faire toucher le cul par Raldo m'a fait bander davantage. Il le remarque.

- « Tiens tiens… Tu vois quand tu veux… »

Il repasse alors une main entre mes cuisses et présente à nouveau son doigt contre mon anus. Puis en même temps qu'il commence à me branler il introduit son doigt dans mon fondement. Jamais je n'ai subi cette sensation. Je suis humilié mais j'éprouve pourtant un certain plaisir à être manipulé comme un objet. Ma queue le montre et émet des ondes de plaisir qui remontent dans mon cerveau. A ma grande surprise je ne peux m'empêcher d'écarter les jambes, invitant Raldo à enfoncer davantage son doigt en moi. Avec le gel je ne sens aucune douleur et à présent il remue son doigt dans mon fondement, me procurant un plaisir jusque là inconnu... Je trépigne sur place et alors que ma queue est branlée vigoureusement par Raldo, j'oublie peu à peu les caméras et mon plaisir augmente. Je sens que je vais jouir. Raldo sent mes crispations et devine que mon explosion finale est imminente. Il s'écarte légèrement et poursuit ses va et vient sur ma tige bandée à mort et ses titillements dans mon rectum. J'éjacule alors abondement : 5 jets blanchâtres. Raldo retire alors son doigt et me dit :

- « Ben voila ! Tu vois, c'était mieux de coopérer ! Tiens essuies-toi. »

Il me tend un mouchoir en papier. Je devine qu'il me faut essuyer le bout de ma bite et enlever toute trace de sperme. Je m'exécute sans rechigner. Puis sagement je reste debout devant lui mon pénis est redevenu flasque une fois son œuvre accomplie.

- « Bien, devant tout est Ok ! Nous allons voir derrière maintenant… »

Il s'adresse à un des deux gardes :

- « Apporte la table ! »

Alors que je m'inquiète sur la suite des évènements, le garde apporte une lourde table en bois. Elle est recouverte d'un fin matelas et comporte plusieurs anneaux métalliques. Je devine tout de suite que c'est pour m'attacher. J'ai malheureusement vu juste.

- « Allonge-toi sur le dos juste au bord. »

Ne pouvant encore une fois que réaliser ses ordres, je m'allonge sur le dos, sur cette table. Le garde me tire les bras en avant au-dessus de ma tête et, à l'aide d'une cordelette, les attache à deux anneaux. Puis saisissant mes jambes, il les écarte et les lève. Raldo m'attache alors les chevilles à deux cordes fixées au plafond.

Le dos au bord de la table je suis ainsi écartelé de force. Je peux à peine bouger. Impossible de m'échapper... Les cuisses et les fesses écartées j'offre une vision parfaite de ma raie, de mon entrejambe et de mon intimité profonde... Je n'apprécie pas du tout ce traitement et m'exhiber ainsi me met très mal à l'aise.

Les deux gardes déplacent les projecteurs pour les diriger vers mon cul largement ouvert. Raldo passe devant moi, se positionne entre mes jambes et effleure mon anus.

- « Rassure-toi, je vais y aller doucement. Tu vas aimer tu verras… »

Je n'en suis pas certain et j'appréhende fortement la suite.

Il me remet du gel sur ma rosette et commence à enfoncer un doigt en moi. Avec les jambes attachées et écartées, impossible de résister le moins du monde. Brusquement il retire son doigt.

- « J'ai une meilleure idée. »

Et s'adressant aux deux gardes :

- « Je reviens dans une minute. »

Il quitte alors la pièce, me laissant attaché sur la table, les jambes en l'air.

Il n'est pas long et revient avec John qu'il tient par le poignet. John est torse nu et en short. Sa surprise est grande lorsqu'il découvre la pièce aménagée en studio et plus encore lorsqu'il me voit ainsi attaché et écartelé. Raldo le place devant moi entre mes jambes écartelées. Je suis rouge de honte. John que je connais à peine est alors bien obligé de voir mon entrejambe et mon anus. Bref, il voit tout de mon intimité !

- « Déshabille-toi ! »

Le ton de Raldo est sans réplique. John enlève son short et son boxer. Comme moi il est maintenant nu et le sexe au repos.

- « Tu vas te branler et enculer ton ami ! »

John proteste avec véhémence :

- « Non pas question ! »

Raldo lui allonge illico une gifle magistrale qui le fait tomber sur le sol. Puis lui envoie un coup de pied dans le ventre. Mon camarade gémit et se tord de douleur. Le coup a été violent. Quand à moi, attaché comme je le suis, je ne peux strictement rien faire.

- « Tu en veux encore ? »

Raldo relève John qui se tient courbé en deux et se remet lentement du coup dans son ventre. Il ne dit rien et son visage exprime la souffrance.

- « Bien, maintenant tu obéis, tu as compris ? »

John bafouille par l'affirmative. Il ne peut lui non plus résister à notre tortionnaire. Raldo se recule et se déplace hors champ des caméras. John se remet lentement et comprend qu'il va devoir obéir. Il porte une main à son sexe et, enserrant sa bite, commence doucement à se masturber. Lentement son sexe commence à grossir et à s'ériger. Son prépuce se dégage et laisse finalement apparaître le gland rose et humide. Puis à force de mouvements de va et vient, il bande franchement et semble concentrer son regard sur ma raie et mon trou. Je ne connais pas ses expériences sexuelles passées mais il semble fasciné par mon corps entravé et exposé nu devant ses yeux. Il ne me jette pas un regard. Ses yeux fixent mon trou et ne le quittent pas.

Son sexe, d'un diamètre très honorable, est maintenant érigé et se dresse telle une tige d'acier de 16 cm. Il place alors une main sur chacune de mes cuisses et place son gland à l'entrée de ma rosette. Je suis crispé et j'appréhende la suite. Son sexe est bien plus gros que le doigt que Raldo m'a enfoncé tout à l'heure. Je crains d'avoir mal. Tout doucement il augmente la pression et s'enfonce lentement en moi. Le restant de gel facilite le passage. Lentement il s'enfonce en moi et, millimètre par millimètre, je sens sa queue forcer le passage et mes muscles céder devant ce piston. A le voir aussi à l'aise je me demande s'il n'a pas déjà fait cela... Il y va lentement mais franchement. Son gland passe et le reste suit. Finalement ses bourses heurtent mes fesses. Il est à fond en moi et ne peut aller plus loin. Ma douleur physique n'est finalement que très faible. J'éprouve davantage la honte de subir ce viol et l'exposition intime de mon corps devant les caméras. Malgré tout, je ne dis rien. A quoi cela servirait il d'ailleurs ?

John reste enfoncé en moi quelques instants, absolument immobile. Je sens sa tige palpiter au plus profond de moi. Puis il se retire lentement et entame des mouvements de va et vient de plus en plus rapides. Je suis certain à présent qu'il a déjà pratiqué cet acte. Il est trop sûr de lui pour que ce soit une première fois. Il me lime en règle et je ne peux que constater avec quelle facilité mon cul dilaté accepte son membre. Il semble prendre du plaisir et enfonce vaillamment à chaque fois sa bite jusqu'au maximum. Il halète et sa respiration s'accélère. Je devine qu'il va jouir sous peu. Je réalise alors qu'il n'a pas mis de préservatif. J'espère qu'il n'a pas le sida ou autres maladies... Quoiqu’à son âge cela serait vraiment surprenant. Pourtant sa façon de m'enculer démontre une certaine expérience, à défaut d'une expérience certaine.

Ses halètements se font maintenant de plus en plus pressants, forts et rapides. Il semble vraiment prendre plaisir à la situation et faire abstraction du contexte et de moi aussi d'ailleurs. Il s'agrippe fort à mes cuisses pour mieux s'enfoncer en moi. Il finit par éjaculer en moi et je sens alors nettement son sperme chaud jaillir et se répandre dans mes entrailles. Ce que d'ailleurs je n'apprécie pas vraiment. Il se retire alors complètement, le sexe encore bandé. Les caméras ont bien sûr tout enregistré. Raldo semble satisfait et regarde John droit dans les yeux :

- « Tu l'as déjà fait, n'est ce pas ?

- Euh non, jamais !

- Je ne te crois pas ! Attends, on va voir autre chose. »

Raldo passe alors devant moi et me détache les bras. Puis il fait de même avec mes jambes.

- « Lève-toi. »

J'obéis alors, non sans avoir quelques courbatures liées à mon immobilité forcée. Raldo me pousse à coté de la scène et me place à coté d'une des 2 caméras. Il me menotte les deux mains dans le dos et me dit alors :

- « Tu regardes et tu dis rien. Je vais m'occuper de lui. »

Il désigne alors John du regard.

Puis il se dirige vers John, le positionne devant la table et l'oblige à se plier à 90° le ventre sur la table. Puis il lui attache les bras en avant. John ne résiste aucunement. Il semblerait même satisfait de s'exhiber ainsi. Enfin il oblige mon camarade à écarter fortement les jambes et lui passe deux menottes aux chevilles, fixées à deux anneaux dans le sol. Il ne peut plus bouger. Son postérieur est ainsi fortement ouvert. Sa raie est complètement dégagée, son anus clairement exposé à notre vue. Ses fesses sont vraiment bronzées comme son corps quoique blanches à l'intérieur de la raie. Je ne peux m'empêcher de regarder l'intimité de John. Il est très peu poilu à ce niveau-là. De plus, les quelques poils présents sont blonds et sont donc très peu visibles. Raldo examine soigneusement sa raie et son périnée. Il lui caresse ensuite les fesses, les cuisses et le bas du dos. Après une minute de ce traitement le sexe de John qui pendouillait entre ses cuisses prend de la vigueur ce que Raldo attendait semble t-il.

- « Tu vois. J'en étais sûr : tu aimes montrer ton cul. Et je suis sûr que t'a envie d'être pris maintenant, devant les caméras. »

John ne répond rien mais sa queue maintenant bandée semble répondre à sa place. Raldo devine alors qu'il a raison.

- « Très bien. Cela fera une bonne séquence. »

Il va alors chercher dans un carton un pot de gel et un gode. Je le trouve énorme. Il est plus gros que le sexe que John m'a enfoncée tout à l'heure. Raldo met une noix de gel sur le trou de mon compagnon et enfonce un doigt, puis deux, dans son fondement.

- « J'en étais sûr ! Ca rentre tout seul... Je suis sûr que t'es plus puceau de ce coté-là depuis longtemps… »

Il met un troisième doigt. John ne semble absolument pas éprouver la moindre douleur, bien au contraire. Loin de résister il cabre ses reins pour mieux encore exposer son cul. Je réalise alors qu'il doit aimer cela et que pour lui, ce n'est pas une première fois, loin s'en faut !

A présent c'est le gode que Raldo présente à l'entrée du trou de John. Sans hésitation il l'enfonce d'une quinzaine de centimètres. Là encore, malgré ses attaches, John se cabre et se tortille de plaisir. Il ne peut dissimuler son plaisir. Il n'essaye même plus d'ailleurs. Son sexe est bandé à fond. Raldo remue le gode et fait des mouvements d'avant en arrière. Le plaisir de John augmente et il finit par éjaculer sans que personne ne lui ai touché le sexe. Uniquement par l'action du gode dans son cul.

Je comprends alors que John n'est pas si innocent qu'il y parait. Je me demande même s’il n'est pas homosexuel. Il semble avoir l'expérience de la sodomie. Je comprends maintenant mieux son attitude de tout à l'heure au bord du ruisseau. Il a dû être ravi de nous croiser nous baigner nu. Et c'est vrai aussi qu'il était un peu exhib…

Raldo stoppe alors les mouvements du gode mais laisse celui-ci enfoncé au fond des entrailles de John. C'est très étrange pour moi de voir sortir ce gode des fesses de ce jeune garçon. Je n'avais jamais vu cela en vrai.

Raldo demande alors à John :

- « Dis-moi la vérité ! Tu t'es déjà fait sodomisé n'est ce pas ? »

John ne dit rien et garde la bouche close. Ce qui n'est pas du goût de Raldo. Il enfonce alors davantage le gode. Je vois alors nettement John grimacer de douleur.
- « Répond ou alors je vais encore plus loin ! »

Et il augmente encore un peu la pression sur le gode qui est devenu un instrument de torture après avoir procuré du plaisir. John esquisse une nouvelle grimace, et se décide enfin à parler.

- « Oui, c'est vrai.

- Par qui ? »

John, qui après tout n'a rien à perdre à dire la vérité, continue :

- « Par mon cousin, et par des amis.

- Plusieurs fois donc ?

- Ouais.

- Et tu aimes cela, n'est ce pas ?

- Oui !

- Tu ne serais pas homo par hasard ? 

- Euh… Je ne sais pas vraiment. J'ai aussi déjà fait avec des filles. Et j'ai aimé aussi. »

Décidément, cet ange blond n'est vraiment plus innocent ! Mais après tout je ne le connais que depuis quelques heures, et je ne peux prétendre le connaître vraiment...

- « Bon… peu importe. Tu aimes avec les garçons et c'est parfait pour moi. Je vais te détacher et tu vas m'aider à terminer d'initier ton copain. »

Je comprends alors que "son copain" c'est moi. Je n'ai pas envie d'être initié. Et surtout pas de force et devant des caméras ! Avec surprise j'entends John approuver les paroles de Raldo.

- « Euh oui… Si vous voulez… »

Raldo détache alors complètement John et lui demande de se mettre à 4 pattes au bord de la table. Il a toujours son gode entre les fesses et bouge lentement pour ne pas se faire mal. Puis Raldo m'empoigne par l'épaule et me place juste devant le cul de John. Il m'enlève également les menottes.

- « Voila, à ton tour de le pénétrer. Et vas-y sans crainte. Il aime cela ! »

Peut être que lui aime cela et qu'il a l'habitude, mais pour moi c'est une première, et je ne suis pas certain d'aimer cela... Quoique ça devrait être plus agréable que de se faire sodomiser. Pour l'instant je reste pétrifié, immobile devant le cul ouvert. Je regarde son anus et le gode qui en sort. Ses lèvres anales frémissent régulièrement autour du corps étranger. Il va me falloir retirer ce gode. Timidement j'entoure le cylindre noir d'une main et commence à le retirer. C'est facile et il vient sans problème. Dès son retrait complet je vois l'anus de John se refermer doucement et normalement.
- « Inutile de mettre du gel ! »

Je regarde attentivement le cul de John. Sa raie quasiment imberbe me fascine. Je n'ai jamais examiné un garçon aussi intimement. Je ne peux m'empêcher de regarder en détail l'anatomie intime de ce jeune garçon. Je sais que je vais devoir le sodomiser. Je tends alors ma main vers ses bourses pendantes. Je tâte ses testicules et les malaxe. Il semble apprécier, et son sexe se redresse rapidement. Son scrotum durcit. Quand à moi je découvre que procurer du plaisir à un garçon est finalement très agréable. Mon sexe lui aussi durcit et se redresse doucement. J'oublie la caméra et me concentre uniquement sur le derrière de John. Son trou est une invitation. Je n'ai jamais enculé quelqu'un mais après tout, tout le monde dit que c'est plus serré qu'une fille. C'est donc le moment de vérifier.

Je saisis ses hanches de mes deux mains et j'approche mon gland de son anus. Il n'attend que cela car il me tend davantage sa croupe et creuse davantage son dos. Je commence alors à le pénétrer doucement. D'un mouvement égal je sens ses défenses s'ouvrir à mon passage. Il ne résiste aucunement, bien au contraire. Mes bourses effleurent maintenant sa raie. Il remue légèrement de contentement. Je décide alors d'y aller avec plus de fermeté. Je commence un mouvement de piston dans ses entrailles. Il semble vraiment apprécier. D'une main je vérifie la dureté de son sexe bandé. Je le pistonne rapidement et aussi amplement que possible. Après quelques minutes je sens que mon explosion finale est proche. Je m'enfonce alors à fond en lui et éjacule au plus profond de son corps. Je me retire aussitôt et je réalise alors que j'ai vraiment pris du plaisir à le sodomiser. Ce qui n'a pas échappé à Raldo :

- « Bien. Tu as aimé. Tu t'occuperas alors de ton cousin tout à l'heure.

- Non ! Pas mon cousin ! Il est trop jeune !

- Ben justement, pour le film c'est parfait. En attendant on va tourner une autre séquence. »

Il s'adresse alors à John :

- « Allonge-toi sur le dos, les bras écartés. »

John docilement s'exécute et Raldo lui glisse un petit coussin sous les fesses. Son sexe est ainsi relevé et davantage en évidence. Il est à moitié débandé.

- « Tu vas le sucer jusqu'à ce qu'il éjacule. Mais avant tu vas lui laver la bite. »

Et un des gardes approche avec une bassine d'eau dans laquelle baignent un savon et un gant de toilette.

- « Vas-y ! »

Et, comme pour un bébé, à l'aide du gant de toilette je savonne soigneusement le sexe de John puis le rince. Autant qu'il sente le savon après tout. A part mon sexe je n'en ai jamais lavé d'autres. Le fait que John se laisse faire sans résistance aucune me procure un sentiment de domination et de plaisir. Je lui lave également ses bourses et tout le bas ventre. Le caresser ainsi, même avec un gant de toilette plutôt rugueux, ne me déplait pas finalement. Par contre j'appréhende la suite des opérations.

Encore une fois je vais devoir réaliser une première. Je regarde le visage de John. Il a les yeux fermés et semble attendre que je m'occupe de lui. Il est vraiment à l'aise dans son rôle d'acteur ! Je baisse mon regard en direction de son ventre. Ses pectoraux sont lisses et imberbe et les muscles sont joliment dessinés. Plus bas, à partir de son nombril, part une fine ligne de poils qui se perdent dans la touffe ornant son pubis. Son sexe toujours légèrement durci repose tranquillement sur ses couilles entre ses jambes écartées. Son prépuce recouvre complètement le gland et je distingue une fine veine bleue qui parcourt ce joli morceau de chair rose. Je n'ai pas vraiment envie d'avaler et de sucer sa bite. Ca me dégoûterait plutôt en fait. Mais n'ayant pas le choix il va bien falloir le faire ! Je décide de le faire bander avant. J'entoure son sexe de ma main droite et, tout doucement, je commence à le branler. Je place ma main gauche sous ses couilles et les remue légèrement. John réagit très rapidement à mes attouchements et son sexe reprend du volume à vue d'œil. Après quelques instants, c'est une belle tige qui se dresse fièrement vers le ciel, à la verticale. Le gland rose vif luit et brille, humidifié par son précum. Je ne peux reporter davantage le moment d'agir et doucement me penche en avant et approche mes lèvres de son sexe dressé. Je sens alors la main de Raldo sur ma nuque qui me pousse en avant. J'ouvre la bouche et avale complètement la bite dure de John. Raldo me tient la tête poussée ce qui manque de m'étouffer : sa verge atteint facilement le fond de ma gorge. Heureusement, après mon nettoyage elle sent propre le savon. La pression de Raldo sur ma nuque se relâche. Il m'a montré ainsi ce que je dois obligatoirement faire. Je suce alors cette bite avec application. Je sens les vibrations de plaisir de son propriétaire. Durant cinq bonnes minutes je suce et lèche consciencieusement ce sexe érigé. Je porte mes efforts sur le gland qui est normalement la zone la plus sensible. Petit à petit je sens que mes caresses buccales portent leurs fruits. Mes mains que j'ai portées sur les hanches de John me permettent de sentir les soubresauts grandissants de son corps. Il ressent un très grand plaisir et se laisse porter par ma fellation imposée. Pourtant, je découvre que son plaisir est entre mes mains, ou plutôt entre mes lèvres, et cela me procure également un petit sentiment de domination. Son corps s'agite maintenant davantage et soudain s'arque davantage. Il jouit alors dans ma bouche avec violence. Je m'apprête à m'éloigner et à recracher sa semence lorsque Raldo, qui a deviné mes intentions, me donne l'ordre de tout avaler et de bien nettoyer son sexe.

A nouveau je ne peux qu'obéir et j'avale rapidement le sperme de mon compagnon. Je découvre au passage son goût nouveau pour moi. Pas spécialement agréable… Puis je lèche les quelques petits filets de sperme qui restent sur son méat. Son sexe commence à se ramollir et le prépuce retrouve naturellement sa place et cache son gland. Je me redresse et regarde Raldo d'un air inquiet.

- « C'est bon. Tu t'en es bien sorti. »

Il me fait signe de m'écarter. Je m'exécute. Puis il demande à John de se lever et s'adresse à un des gardes :

- « Ramènes celui-là ! Et tu reviens avec son cousin... »

Le gardien quitte alors la pièce avec John. Après quelques instants il revient, poussant mon cousin devant lui. Chris est vêtu d'un short et de son sweet. Il me regarde d'un air surpris et légèrement apeuré. Il jette un regard circulaire autour de lui et découvre les caméras. Il semble comprendre la situation et son regard s'assombrit.

 

La suite :  Un chalet en montagne - 6/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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