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Episode précédent : Un chalet en montagne - Episode 3/26
Chapitre 4/26: Piégés !
Raldo nous regarde alors en saisissant le téléphone :
- "Excusez une minute. Ne bougez pas je reviens !
Et sans nous laisser le temps de réagir il sort et ferme la porte. J'entends le bruit d'un verrou qui claque. Chris m'interpelle :
- "Hé ! Il nous enferme ?"
En proie au doute je vais vérifier. La porte est bien fermée. Impossible pour moi de l'ouvrir.
- "Je ne comprends pas. Ils ne vont quand même nous enfermer ici ?!
- Attends, je vais le rappeler !"
Chris bat alors des poings sur la porte et, malgré le bruit d'enfer qu'il génère, personne ne vient.
Nous commençons à être inquiets. Je regarde l'ensemble de la pièce : elle est sans fenêtre et la porte est bloquée. Impossible pour nous de sortir. Chris me demande alors, la voix angoissée :
- "Mais pourquoi ils n'ouvrent pas ?"
J'essaie de le rassurer :
- "Je ne sais pas moi. Ce Raldo nous a quand même pas kidnappé !?"
John, qui était resté jusque là silencieux prend la parole.
- "Euh…Vous peut-être pas…mais moi si !"
Je ne comprends pas ces propos et lui demande de préciser. Il me regarde alors avec attention :
- "Euh…mon père est très riche…très très riche. C'est peut être moi qu'ils veulent enlever pour du fric ?
- Il fait quoi ton père ?
- Euh…Il est dans le commerce international. En fait, il vend…des armes.
- Des armes ?
- Ben oui…D'ailleurs, il est toujours en voyage…et il m'a déjà dit avoir des ennemis…"
Je réfléchis. Peut-être que c'est une explication. Mais dans ce cas, Chris et moi n'avons rien à voir là dedans !
Brusquement la lumière s'éteint. La pièce se retrouve plongée dans le noir. Nous nous asseyons alors dans le noir et notre angoisse augmente. Combien de temps allons nous attendre ainsi, assis
sur le sol ? Que se passe t-il ?
Après environ 1h, la porte s'ouvre et la lumière se rallume nous laissant éblouis pour quelques secondes. Raldo entre mais il n'est pas seul. 2 gardes armés et à la mine patibulaire
l'accompagnent.
- "Levez-vous tous les 3 !"
Nous obéissons.
- "Lequel d'entre vous est John Leperec ?"
Obéissant à je ne sais quelle impulsion, je réponds du tac au tac :
- "C'est moi !"
John me regarde alors avec surprise, ce qui n'échappe pas à Raldo qui me regarde alors avec attention :
- "Tu es sûr que c'est bien toi ?
- Oui c'est moi.
- Pourtant tout à l'heure, tu ne m'as pas dit cela ?"
Zut ! J'ai oublié les présentations réalisées sur la terrasse...
Raldo se tourne alors vers un des gardes.
- "Je vais vérifier. Sors la photo ! J'ai l'impression qu'il ment !"
Le garde sort alors une photo de sa poche et la donne à son patron Raldo. Il l'examine attentivement et réfléchit. Il nous regarde à tour de rôle et nous compare à la photo. Brusquement il me met
la photo sous le nez :
- "Tu te moques de moi !"
Je regarde la photo. Le cliché semble pris de loin et montre une plage de nudiste avec beaucoup de monde. Au milieu de la photo, un jeune garçon est entouré d'un cercle rouge. Je reconnais tout
de suite John et je comprends que cette photo à été prise alors qu'il faisait du naturisme comme il nous l'a dit tout à l'heure...
Raldo me fixe méchamment :
- "Tu vois, tout le monde est à poil sur cette photo. C'est une plage naturiste. Alors si John c'est toi, tu dois être bronzé de partout. Baisse donc ton short pour que je vérifie !"
Le 2ème garde me fait alors signe d'obéir en avançant légèrement et en pointant son arme vers moi. Je ne peux qu'obéir et je baisse lentement mon short jusqu'aux genoux. Mais mon boxer cache mon
bas ventre. Raldo s'énerve :
- "A poil ! Enlève tout !"
Le garde et le ton de Raldo me dissuadent de résister. Je retire complètement mon short et mon sweet. Puis je retire mon boxer et je me retrouve nu devant eux 3. Avec mes mains je cache mon sexe.
Je tremble légèrement de peur et de honte aussi. Raldo examine mes cuisses et mon ventre.
- "Tourne toi !"
Je me tourne sur place. Mon mensonge est révélé. Mes fesses sont blanches et contrastent fortement avec le bronzage du reste de mon corps. La marque du maillot est bien visible.
- "Tu vois ! C'est pas toi John !"
Voulant en avoir le cœur net, Raldo se tourne alors vers Chris et John :
- "A poil ! Tous les 2 !"
Comme moi John et Chris sont bien obligés d'obéir. Ils se déshabillent rapidement devant les gardes et Raldo. Comme moi par pudeur, ils masquent leurs parties génitales avec leurs mains. Il est
alors facile de reconnaître John : C'est le seul de nous 3 à ne pas avoir les fesses blanches ! Comme le reste de son corps elles sont bien bronzées et aucune marque de maillot n'est visible.
Raldo se tourne vers John :
- "C'est toi John, n'est ce pas ?"
John ne peut qu'avouer l'évidence :
- "Oui c'est moi. Eux c'est des amis.
- Ok !" Il se tourne alors vers moi :
- "Et toi, pour m'avoir menti, tu seras puni !"
Je ne dis rien. Je baisse la tête de peur et de honte mêlée. J'aurais mieux fait de me taire ! Quel idiot !
Raldo poursuit :
- "C'est John que l'on voulait. Mais puisque vous êtes avec lui, vous allez subir le même traitement ! Vous allez être prisonnier comme lui. Et vous servirez d'acteur aussi. Après tout, vous êtes
très bien aussi pour le rôle…
Nous ne comprenons rien. Acteur ? Le rôle ? Quel rôle ? Mais aucun de nous 3 n'ose poser de questions pour le moment.
A ce moment là entre un homme âgé. Raldo lui désigne alors John :
- "C'est lui, c'est John Leperec.
- Bien, parfait. Mais qui sont les 2 autres ?
- Des amis qui étaient avec lui.
- Des amis ? Ce n'était pas prévu ça. Mais peu importe. Ils feront l'affaire aussi."
Il regarde alors Chris attentivement. Comme nous 3, il cache son sexe avec ses mains et maintient la tête baissée.
- "Et lui, il n'est pas un peu trop jeune ?"
Il s'adresse alors à Chris d'un ton autoritaire :
- "Mets tes mains sur la tête ! Et avance un peu..."
Le premier garde pointe alors son arme sur mon cousin qui ne peut qu'obéir. Il lève timidement les mains et dégage ainsi son sexe orné seulement d'une petite touffe brune. Le nouvel arrivant se
penche alors vers lui et d'une main lui saisit son sexe. Il le soulève. Puis il soulève et examine alors les bourses de Chris. Revenant sur la verge il décalotte rapidement le pénis de mon
cousin. Je regarde le visage de Chris. Il pleure doucement et quelques larmes perlent dans le coin de ses yeux. Je suis dégoûté du traitement que subit mon camarade. Mais l'homme âgé n'en a pas
fini avec lui :
- "Tourne-toi."
Chris ne peut qu'obéir et se tourne lentement. Il présente maintenant son cul à son examinateur. D'une poussée dans le dos, celui-ci lui fait comprendre qu'il doit se baisser en avant. Ce que
fait Chris.
L'homme âgé se penche alors en avant et, plaquant une main sur chacun des globes fessiers de Chris, écarte ses fesses blanches et dévoile ainsi sa raie et son anus.
- "Ho Ho…oui il est jeune mais il devrait faire l'affaire. Tant pis pour lui ! Il n'avait qu'a pas être là !"
Il se redresse et renvoie Chris en arrière. Mon cousin vient se placer près de moi après ce traitement humiliant. L'homme âgé s'adresse alors à nous :
- "Je m'appelle Cadi. C'est un pseudonyme bien sûr. Je tourne des films X avec de jeunes acteurs comme vous. Des acteurs qui… n'ont pas toujours la majorité légale pour cela. Ce qui fait que je…
les oblige à jouer. Et donc ils sont mes prisonniers. Vous allez donc rester ici quelques jours, le temps de faire un film. Et après on vous relâchera.
Il poursuit en se tournant vers John :
- "Toi, on t'a repéré sur la plage il y a une semaine. Tu es beau et tu feras un bon acteur. J'ai demandé à un de mes associés de te suivre. Cà a été facile de trouver le chalet de tes parents
ici. Et donc on a loué ce chalet pas loin. Et l'occasion de te capturer s'est présentée tout à l'heure. Raldo vous a bien eus !"
Oui, effectivement, Raldo nous a bien eu avec son faux air sympathique.
- "Quand à vous 2, comme vous êtes des amis de John je vous embauche aussi ! Vous n'avez pas le choix de toute façon !"
Il nous désigne les 2 gardes armés. Notre choix semble en effet très réduit ! Comment leur résister ?
Il termine en s'adressant à Raldo.
- "Bien, au travail. Tu les laves et tu vérifies leur capacité. On verra ensuite comment on fait.
- Ok, comme vous voulez."
Et Cadi quitte la pièce. Ces propos m'inquiètent grandement. Visiblement ces hommes sont habitués à être obéis et sont prêts à employer la force dans le cas contraire...
Raldo s'adresse aux gardes.
- "Attachez-les ! Sauf lui !" Et il me désigne...
Les gardes poussent John et Chris en avant, les obligent à s'asseoir près du mur et avec chacun une paire de menottes leur attache une main à un anneau scellé dans le mur. Puis les 2 gardes leur
lancent leurs vêtements et quittent la pièce. Raldo me saisit alors par le poignet et m'oblige à le suivre. Je ne fais pas le poids et je ne peux que me laisser entraîner. Toujours nu il
m'entraîne vers la salle de bain du chalet. Il me pousse alors sous la douche :
- "Tu as 10 mn pour te laver. Je ne te quitte pas des yeux. Et fais ça bien, je vérifierais !"
Je pense qu'il est plus prudent d'obéir à ses ordres sans rechigner. J'ouvre le robinet d'eau chaude et, me saisissant du champoing, je commence à me savonner le corps. Raldi reste devant moi et
ne perd pas un de mes mouvements. Je suis assez gêné de me laver devant lui mais je n'ai pas d'autre choix.
- "Lave ta bite et ton cul aussi. Allez !"
La mort dans l'âme, je me lave le sexe et les fesses devant lui. Je suis rouge de honte. Brusquement, il coupe l'eau chaude et ouvre davantage l'eau froide. Le jet devient glacé. Je hurle :
- "Merde ! C'est glacé !
- C'est bien fait ! Ca t'apprendra à mentir ! Et puis, c'est bon pour la peau."
Je m'avance pour sortir de sous ce jet glacial mais il me repousse :
- "Tu restes encore un peu !"
Il ne me reste plus qu'à baisser la tête sous cette douche froide. Après quelques instants je commence à trembler de froid. Il s'en aperçoit et ferme l'eau. Je reste là devant lui, nu, tremblant
et frigorifié. Il me fait sortir de la douche et me tend une serviette. Je me sèche avec vigueur pour me réchauffer. Et dans un soupçon de pudeur, j'enroule naïvement la serviette autour de ma
taille. Mais Raldo me reprend :
- "Donne-moi la serviette. Je vais vérifier si tu es propre."
Son ton ne m'incite pas à résister. Je lui tend la serviette et me retrouve nu comme un ver devant lui.
- "Lève les bras et mets tes mains sur ta tête."
J'obéis. Il se met
alors à genoux devant moi et examine ma bite. Me décalottant sans douceur mais avec dextérité, il vérifie que mon gland est propre. Puis plaçant ses mains sur ma taille, il m'oblige à me
retourner et à me pencher en avant. Je suis très humilié par cette inspection intime. Il écarte mes fesses et examine avec soin la propreté de mon trou du cul. Il conclut en me donnant une tape
sur les fesses ce qui augmente encore plus ma gêne. Il me traite vraiment comme un esclave.
- "Parfait. Maintenant que tu es propre, je vais vérifier tes capacités. Suis moi."
A nouveau il me saisit par le poignet et m'entraîne dans une nouvelle pièce. En son centre se trouvent 2 tapis de sol minces, posés côte à côte. Et autour de ces 2 tapis se trouvent plusieurs
projecteurs lumineux et 2 caméras. Derrière chaque caméra il y a un garde faisant maintenant office de caméraman. Il s'agit d'un petit studio d'enregistrement vidéo. Raldo me place sur les tapis
et m'explique.
- "Voilà. Tu vas être filmé. Si tu refuses de coopérer on t'obligera par la force et ce sera beaucoup moins agréable pour toi. Tu as compris ?"
Je ne peux que répondre par l'affirmative, d'une voix mal assurée.
Raldo passe alors derrière un pupitre de commande. Et allume les projecteurs.
Je me retrouve violement éclairé de tout coté et, instinctivement, je porte mes mains à mon sexe pour le protéger des regards. Raldo m'ordonne :
- "Tu restes droit et tu gardes les mains sur la tête !"
A contrecoeur je m'exécute. Je vois les 2 opérateurs qui manipulent les caméras et me filment. Je ne suis pas à l'aise, partagé entre la pudeur, la honte et la peur. Je n'ai pas l'habitude d'être
filmé nu devant 3 adultes. Je ne suis pas un acteur de film X !
Mais il semble que je vais devoir le devenir, de gré ou de force.
Raldo me donne des ordres :
- "Tourne sur toi-même."
J'obéis et entame un mouvement de rotation. Je vois bien les caméras qui zooment alors sur mes fesses. Je fais un tour complet.
- "Stop ! Tu bouges plus maintenant. Tu gardes une main sur ta tête et de l'autre tu te branles. Je vais vérifier si tout est normal."
Je n'ai pas du tout envie de me masturber devant eux au centre de cette scène. Je ne suis pas un animal de foire ! Je regarde Raldi et d'un ton que je voudrais ferme, je lui dis :
- "Je vous assure que je suis normal."
Raldo lève les sourcils de surprise, me regarde droit dans les yeux et finalement s'approche de moi, l'air méchant :
La suite : Un chalet en montagne - 5/26
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