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Episode précédent : Un chalet en montagne - 5/26
Chapitre 6/26 : Plaisirs électriques !
Le garde le positionne alors 20 cm devant la table et, d'une poussée dans le dos, l'oblige à se plier à 90° vers l'avant. Le ventre de mon cousin repose alors sur la table à partir du nombril.
Puis Raldo lui attache les bras devant lui et les jambes écartées à 2 anneaux fixés au sol. La position est très inconfortable pour Chris. Je ne vois pas son visage étant derrière lui. Et lui ne
voit rien étant collé et attaché sur la table.
Les caméras et les lumières se dirigent vers le postérieur de Chris. Pour le moment son short le protège mais je devine que cela ne va pas durer. Effectivement Raldo m'explique :
- « Tu vas lui découper ses vêtements avec ce ciseau. Puis tu lui enfonceras un petit gode. Après on verra. Si tu n'obéis pas je fouette ton cousin et je le fais moi. Et toi aussi tu seras puni. Ok ? »
Je ne réponds rien mais d'un petit signe de tête acquiesce. Autant que ce soit moi qui agisse. Je vais essayer de ne pas lui faire mal…
Il me tend une paire de ciseau et me fait signe de me mettre juste derrière mon cousin, c'est-à-dire juste devant ses fesses en évidence, offertes. Après quelques hésitations et voyant que Raldo s'impatiente je commence à découper le short en commençant par le bas de la cuisse droite. En quelques coups de ciseau j'arrive à la ceinture. Le short pend alors d'un coté. Puis je procède de même de l'autre coté. Ce premier vêtement tombe alors par terre. Le boxer de Chris est alors son dernier rempart. Il moule parfaitement ses fesses. Normal, il est plié en deux avec les jambes écartées en prime. Je m'attaque alors à son sweet. En une minute il se retrouve torse nu. Je tire sur le sweet, ou plutôt ce qu’il en reste, pour le décoincer de sous son ventre. Maintenant il me reste à lui découper son boxer. Je suis partagé entre la gêne de dominer ainsi mon cousin et un sentiment de puissance. Chris ne dit rien mais il est évident qu'il est humilié par sa position.
Je commence alors la découpe du boxer. Raldo m'encourage :
- « Ok, ok… C'est bon… »
Les caméras zooment et suivent mes mouvements de découpe. La première cuisse du boxer est maintenant coupée et pend. Le postérieur de mon cousin se dégage. A nouveau, je remarque la blancheur de ses fesses par rapport au bronzage du reste de son corps. Je découpe alors doucement le reste de son ultime rempart. Je fais attention de ne pas le blesser. Au dernier coup de ciseau le boxer tombe à terre, dévoilant totalement le derrière ouvert de mon jeune cousin. Sa raie est totalement dégagée. Son anus est visible de tous. Il ne comporte aucun poil sur ces zones intimes. La blancheur de son cul le fait davantage ressortir… La forte lumière des spots brille sur sa peau. Aucun détail n'est caché. Tout le monde voit tout. Et les caméras filment. Je suis gêné de voir ainsi de près mon cousin qui, lui, subit cette exposition forcée. A travers ses jambes je distingue ses couilles qui pendent. L'extrémité de sa bite est également visible.
Raldo me tend alors un tube de gel lubrifiant et un petit gode de plastique noir. Son diamètre ne me semble pas plus important que nos queues. Je tente néanmoins de rassurer mon cousin :
- « Euh… Je vais essayer de pas de faire mal, Chris. »
Il ne comprend pas. C'est vrai qu'il ne voit rien.
- « Je vais te mettre du gel dans le cul. Euh… et après je dois t'enfoncer un gode. »
Il ne dit rien et semble résigné. De toute façon, attaché comme il l'est, il ne peut strictement rien faire.
J'ouvre le tube et étale une grosse dose de gel sur sa rondelle et son anus. Sa peau est douce. Il s'agite légèrement mais les liens l'empêchent fermement de bouger davantage. J'approche alors le gode de son trou. Je le positionne et attend quelques instants. Je ne sais pas trop comment procéder pour limiter la douleur subie par Chris. Finalement je commence à enfoncer le gode doucement. Sans grande résistance, la totalité de ce phallus de plastique s'enfonce dans le cul ouvert du jeune garçon. Chris s'est bien cambré un peu sous l'action mais n'a rien pu faire d'autre.
Raldo semble trouver cela trop facile et me tend maintenant un autre gode, plus gros.
- « Mais je vais lui faire mal !
- T'occupe ! Tu lui mets, c'est tout ! »
Il va falloir obéir. Encore et toujours. Je retire le gode noir du trou de Chris, je remets du gel sur sa rondelle puis je présente le gode. Il doit mesurer environ 4 cm de diamètre. Il est vraiment plus gros. Doucement j'appuie dessus et, lentement, l'engin rentre dans le fondement de Chris. Il ne crie pas mais à voir son corps se tendre et s'arquer je devine qu'il a davantage mal... Je pousse l'objet doucement, très doucement. Finalement mon cousin absorbe le gode en entier. C'est très étrange pour moi d'enfoncer ainsi un objet étranger dans le corps de mon jeune cousin. Doucement je commence à retirer l'objet et finis par le sortir complètement. Le sexe de Chris pend toujours entre ses jambes complètement au repos. Contrairement à John tout à l'heure il n'a pas aimé cette violation de son intimité.
Raldo me demande alors de recommencer.
Je suis alors bien obligé de renfoncer le gode dans l'anus dilaté de mon cousin. Puis Raldo me fait signe de m'écarter. Un garde/caméraman s'approche alors des fesses de mon cousin et filme en gros plan sa rondelle dilatée et le gode qui en sort. Ses lèvres anales entourent et serrent le morceau de plastique. Chris remue légèrement sous la douleur, la gêne ou l'inconfort de la position, plié en deux sur la table depuis déjà bientôt dix minutes. Ces petits mouvements ajoutent à l'érotisme ou à l'obscénité de la scène.
Puis je dois retirer le gode, ce que je fais rapidement. L'anus de Chris se ferme rapidement dès la sortie réalisée.
- « Ecartes-toi ! » M'ordonne alors Raldo.
Je me recule de un mètre en me demandant le pourquoi de cette demande. Un garde me tend alors un grand verre remplit d'un liquide incolore.
- « Bois. C'est de la vodka. »
A l'odeur, oui je reconnais bien cet alcool fort. Je bois alors le verre puis il m'en tend un deuxième, et un troisième. Je suis bien obligé de les boire. Apparemment ils veulent me rendre saoul. Dix minutes passent. Personne ne bouge. Et moi je sens les effets de l'alcool se répandre dans mon corps…
Un garde s'approche alors derrière mon cousin avec un écheveau de fils d'où pendent des électrodes en aluminium blanc. Un truc du genre Sport Elec. Il s'agenouille alors devant le postérieur offert et colle une électrode sur le haut de chaque cuisse de mon cousin. Puis deux autres sur ses fesses. Encore deux autres sur les hanches et, pour terminer, deux dernières sur le bas ventre, juste au-dessus des quelques poils du pubis. Tous les fils sont alors reliés à un petit boîtier gris que Raldo tient à la main. Je suis horrifié par ce montage. Mais ce n'en est pas fini pour mon cousin.
Le garde, passant une main entre les jambes, lui saisit le sexe qui pendouille et tirant légèrement sur la peau lui fixe une pince crocodile à son extrémité. Mon cousin ne peut s'empêcher de crier sous la douleur. Une autre pince lui est également fixée à la peau de ses bourses. Là encore il a mal lorsque la pince se referme sur sa jeune et tendre peau.
Raldo me fixe alors :
- « C'est très simple, il va recevoir des petites impulsions électriques. Ca va le faire remuer. Et toi, pendant ce temps, tu vas le sodomiser. »
Et il met en route le courant dans les différentes électrodes. Je vois alors mon cousin frétiller et remuer sur ses jambes. Son cul s'agite au rythme des décharges électriques. Il ne peut que subir ce traitement désagréable et certainement douloureux. Je ne peux m'empêcher de m'écrier :
- « Arrêter ! Vous lui faites mal !
- Mais non ! Il aura mal si j'augmente le courant… et si tu ne veux pas faire ce qu'on te demande… »
Au regard déterminé de Raldo je comprends alors que le seul moyen de stopper le supplice de Chris c’est que j'obéisse aux ordres demandés. C'est-à-dire que je dois enculer mon cousin devant les caméras.
Dégoûté et résigné, mais également légèrement saoul à présent, je regarde alors la raie blanche et offerte présente devant moi. L'anus et sa rondelle présente une tache foncée bien visible. Le trou est bien évident et il va falloir y aller. L'alcool absorbé me désinhibe et dédouble mes pensées. Je n’ai pas envie de pénétrer mon cousin mais j'ai envie quand même. Tous mes sentiments se mélangent dans ma tête et finalement, je ne peux résister aux ordres donnés.
Mais pour le moment je ne bande pas du tout. Je me concentre alors sur les fesses présentes devant moi et, avec une main, commence à les caresser. De mon autre main je m'astique la tige pour aider mon érection. J'essaie d'oublier qu'il s'agit de mon cousin. J'oublie aussi les caméras. Je dois bander et vite. Assez rapidement mon sexe se redresse et je finis par avoir la bite à l'horizontale. Je présente alors mon sexe devant le trou de mon cousin. Durant ce temps Raldo continue d'envoyer du courant aux électrodes fixées sur le corps de Chris qui s'agite alors d'un coté ou de l'autre, selon les désirs électriques du cinéaste.
Les mouvements involontaires de ce postérieur m'empêchent de me positionner devant le trou du cul. Je place alors mes mains sur les hanches de Chris et me colle littéralement à lui. Ainsi mon gland peut se présenter devant son orifice et y rester quelques instants. D'une franche poussée je pénètre alors mon cousin assez rapidement. Habitué par le précédent godage il ne semble pas souffrir de mon introduction rapide. Mes couilles heurtent alors ses fesses. Je suis enfoncé complètement en lui et je ressens alors moi aussi les décharges électriques envoyées par Raldo. Elles ne sont pas très fortes mais provoquent quand même des petites contractions involontaires de mes muscles. Je reçois aussitôt l'ordre de branler Chris. J'avance ma main droite vers son sexe et, à ma grande surprise, je constate qu'il est complètement bandé. Sans doute à cause de l'électrode fixée dessus.
Ne faisant qu'un avec mon cousin, mon sexe enfoncé à fond en lui, je le masturbe avec énergie. Je sens chacun de mes mouvements à travers son corps, à travers mon sexe planté en lui. Son corps n'est plus que le prolongement du mien. Dans l'action et sous l'emprise de l'alcool, le cerveau embrumé j'ai tout oublié : les caméras, les spots, Raldo… Chacun de mes mouvements sur sa tige se répercute dans son corps et dans mon sexe fiché en lui. Je ne sais plus si je le branle ou si je me branle à travers lui…
Son corps s'arque et finalement mon cousin explose en quelques jets de sperme. Sa jouissance se transmet à mon sexe et je jouis en lui, mon sperme se perdant dans ses entrailles. Je reprends alors pied avec la réalité présente et me retire des fesses de Chris. Je réalise brusquement que j'ai pris plaisir dans cet acte imposé. Mais sans doute l'alcool et l'électricité y sont pour beaucoup... Le plan de Raldo était machiavélique. Le regard en coin je le regarde. Il semble satisfait de ma prestation.
- « Parfait. Je vais libérer ton cousin. On va s'arrêter là pour aujourd'hui. »
Il libère alors Chris des liens qui l'entravaient. Péniblement, après plus d'une heure plié en deux il se redresse doucement. Il me regarde d'un air bizarre, mélange de tristesse et de colère. Puis un garde nous ramène dans la salle de sport où nous retrouvons John. Comme nous John est toujours nu. Je m'assois sur un matelas posé à même le sol. Chris fait de même. Il semble affecté par les événements qu'il vient de subir. Je lui demande si ça va. Il me regarde en souriant faiblement :
- « Ca va, ça va… J'ai pas eu mal tu sais mais j'aime pas être obligé de le faire devant ces types et leur caméra ! »
- Moi non plus mais pour l'instant on n'a pas le choix. »
Une question me brûle les lèvres. Je regarde John :
- « Dis-moi, tu sembles avoir une grande expérience dans ce domaine toi ?
- Euh… oui, j'ai 2 cousins qui m'ont appris et avec qui je baise souvent.
- Mais tu baises qu'avec des garçons ?
- Presque. J'ai déjà essayé avec des filles mais je préfère les mecs, c'est vrai...
- Ah !? Ben au moins t'es direct toi.
- Ben oui ! Je suis comme ça… »
A ce moment là, la porte s'ouvre et Raldo apparaît. Il porte des vêtements dans sa main. Il les pose sur un matelas. C'est ceux de Chris et de John. Il les regarde alors :
- « Rhabillez-vous. »
Il se tourne ensuite vers moi :
- « Toi Pascal, lève-toi ! »
Je proteste :
- « Mais j'ai rien fait !
- Si ! Tu as menti tout à l'heure. Je n'ai pas oublié. Tu vas être puni. Allez debout ! »
La suite : Un chalet en montagne - 7/26
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