L'histoire de la semaine

Dimanche 28 avril 7 28 /04 /Avr 15:53

Je m'appelle Bastien, j'ai 15 ans, je fais partie d'une bande de copains, nous habitons à la campagne. Souvent le weekend, nous allons à la rivière pour nous détendre. Nous passons de grands moments à nous amuser, nous chahutons beaucoup et, depuis quelques temps, nos jeux ont pris une nouvelle orientation.

En effet, il y a 6 mois, nous allions comme souvent avec mes copains : Cyril, Lionel, Jérôme, Grégory et moi même, à la rivière. Quand, arrivé près de l'eau, Cyril nous raconte une aventure qui lui est arrivé cette semaine au lycée (il est en pension et ne rentre que les weekends et pour les vacances). Il nous raconte que le mardi, après le cours de gym, il rentre au vestiaire avec toute la classe pour se changer et que là, un de ses copains lui parle et en fait le retient sans qu'il ne s'en rende compte pendant que les autres quittent le vestiaire à l'exception de 3 garçons de sa classe. Dès qu'il se retrouvent entre eux, l'un des 3 mecs ferme la porte avec le verrou puis tous se jettent sur lui et lui font une «mise à l'air».

— Tu as fait quoi?

— Rien, je n'ai rien pu faire, ils étaient trois à me tenir et le quatrième m'a enlevé mon jogging et mon slip. Je me suis retrouvé la bite à l'air devant eux, c'est tout.

— Ça t'a plu?

— Bof, on est tous pareils, c'est pas grave !

— Oui, t'as raison, on est tous pareils. Mais maintenant, je pense qu'on va te faire la même chose pour voir si tu es bien comme nous. Vous en pansez quoi les autres ?

— Oui OK !

Pendant que je dis ça à Cyril, je me suis approché de lui et mes potes aussi. Il ne peut pas se sauver, il le sait. Alors je passe derrière lui, lui attrape les bras pour qu'il ne puisse pas se débattre tandis que Grégory prend sa ceinture et lui attache les poignets. On finit par le coucher par terre. Il ne peut rien faire. Jérôme et Lionel le tiennent au niveau des épaules, Grégory lui prend les chevilles, moi, je vais me charger de sortir sa queue mais avant de le faire, je passe ma main sur la bosse que fait son sexe dans son survêt.

— Mais tu bandes !

Je dis ça en lui caressant la bite à travers le pantalon. Je sens une bite dure comme du fer. Il ne dit rien. Les autres regardent tout en le maintenant au sol. Et effectivement, dès que j'arrête de lui toucher la queue, on voit tous la grosse bosse dans son pantalon. Les uns après les autres, on échange nos places pour que tous les quatre on lui caresse la queue pour vérifier chacun à son tour. Puis je reprends ma place de leader et lui baisse son jogging puis son slip et découvre une belle bite de 15 ou 16cm, droite, avec un prépuce qui recouvre en partie le gland et deux couilles qui pendent bien, dans leur sac entouré de poils bruns. Je ne veux pas m'arrêter là.

— Alors c'est ce qu'ils t'ont fait au bahut ?

— Oui, mais je bandais pas. Ils ne m'ont pas touché, juste déssapé.

— Et c'est tout ? Ils ont rien fait de plus ?

— Non, que veux-tu qu'ils fassent ? Tout comme ici, je suis à poil devant vous comme je l'étais devant eux. Tu veux quoi de plus ?

— Voir ton foutre !

— Quoi ?

— Voir ton foutre, ton sperme, ta jute quoi ! Appelle ça comme tu veux, mais on va te voir éjaculer...

— Ah oui, mais pour ça il faudrait me donner du plaisir, c'est-à-dire me branler !

— Oui t'as raison...

Et sans rien dire de plus, je lui attrape la queue et je commence une branlette qui a l'air de lui plaire. Les autres aussi car ils n'en perdent pas une miette. Je lui fais un mouvement de piston, assez lent, en prenant bien soin de le décalotter à fond puis de bien remonter tout en haut, en recouvrant son gland puis en rebaissant la peau. Je le branle pendant plus de dix minutes. Chaque fois que je sens une secousse dans son sexe, j'arrête. Je veux qu'il jouisse mais pas trop vite : il n'en peut plus. Là aussi, nous échangeons nos places et en fait ce n'est pas une main mais quatre différentes qui le branlent.

— Vas-y, branle moi et finis moi s'il te plait. C'est trop bon, continue jusqu'au bout, ne t'arrête pas !

— Ok mais tu vas toi aussi me faire jouir... et les autres aussi...

— Oui si tu veux, détachez-moi et je vous branle !

— Non, les mains dans le dos, tu peux nous faire jouir aussi !

— Uh ! Mais comment ?

— Avec ta bouche !

— Non pas ça...

— Si, allez ! Mettez-le à genoux, qu'il ait la bouche à hauteur de nos braguettes...

J'ai dit ça et mes copains le font. Cyril est maintenu par terre, à genoux, la bite droite. Je me place devant lui, dégraffe mon jean, sors ma bite. Les autres ont eux aussi le sexe à l'air, on bande tous.

— Allez, ouvre la bouche !

Je dis ça en avançant ma queue. Il ne peut pas bouger car il est bien maintenu. Il ouvre alors la bouche et je m'introduis.

— Bien ! Maintenant, lèche-moi comme une glace...

Il obéit. Je lui éjacule dans la bouche en moins de deux minutes puis je m'agenouille à mon tour. Il se relève, mon sperme coule de ses lèvres. Il approche à son tour sa queue de ma bouche :

— À ton tour !

Je lui fais alors une super pipe puis aux autres aussi. Nous avons tous joui plusieurs fois dans l'après-midi, et depuis nous le refaisons souvent. Il ne se passe plus une semaine sans que nous nous branlions et nous sucions mutuellement.

 

à suivre...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 21 avril 7 21 /04 /Avr 12:40

Un mardi soir de fin novembre, au lieu d'aller à la piscine apprendre la natation, je traîne sur le boulevard. J'ai 17 ans à cette époque. Je regarde les auto-tamponneuses où des jeunes rient et s'amusent à rentrer dans la voiture conduite par une jeune fille. Un homme paraissant 30/35 ans s'approche de moi et me dit : "Tu veux venir faire l'amour avec moi ?" Il a les cheveux courts et il est légèrement basané.
Je lui rétorque : "Pardon ?"
- Oui, tu viens avec moi et on va faire l'amour ?

Je ne connais pas grand chose à tout cela. Je me masturbe de temps en temps ayant découvert un jour que si l'on s'astiquait le bout il en sortait un liquide sous forme de jets et que c'était très agréable... D'un naturel curieux, je lui dis : "D'accord. Mais on va où ?"
Et lui de répondre le plus simplement du monde :

- Je m'appelle Ali. Viens, on va aller dans un hôtel et on fera cela dans une chambre, tranquillement. Et toi, c'est quoi ton nom ?
- Moi c'est Anthony.
Nous voila partis en métro jusqu'à une station et je le suis dans une rue jusqu'à un hôtel. Une femme est à la réception et elle semble connaître Ali car elle lui dit :

- Cela fait un moment que l'on ne vous a pas vu. Une chambre ?
- Oui, répond-il et après qu'il eut payé, elle lui tend une clef et lui donne le numéro de la chambre.

Nous montons à l'étage et entrons dans la chambre. Elle est assez sombre avec un lit déjà ouvert, les draps tirés.
Ali me dit "Déshabilles-toi, et il commence à se dévêtir lui aussi.
Il ne fait pas une chaleur terrible dans cette piaule et je commence à enlever mes vêtements. Je garde mon pantalon. Il me dit de l'enlever.
Il est nu comme un ver avec un sexe bien tendu et surmonté par une touffe de poils. Il est circoncis et le gland est bien apparent. Il s'étend sur le lit et, pendant que j'enlève mon pantalon, il me dit : "Viens sur le lit". Encore avec mon slip et mes chaussettes je monte sur le lit et me mets à genoux à coté de lui. Il me sourit et me dit :

- Détends toi...
De le voir bander me fait bander également. Mon slip fait une bosse à l'endroit où mon sexe se tient tout droit.
Il me demande :

- Tu as déjà fait l'amour avec un homme ?
- Non jamais ! On fait comment ?
Il m'attire contre lui et colle ses lèvres sur les miennes. Je ne résiste pas. Il insinue sa langue entre mes lèvres serrées forçant l'entrée de la bouche que je finis par laisser pénétrer. Il me roule un de ces patins qui me fait manquer de souffle.
En même temps il me caresse le corps puis arrive à mon slip qu'il m'enlève d'une main, l'autre me tenant collé contre lui et sa langue fouillant toujours ma bouche.

Il caresse mon sexe et, libérant ma bouche, il me dit :

- Caresses-moi le sexe.
Maladroitement je le prends entre mes doigts et lui fais faire des petits mouvements. Lui de son coté a pris le mien à pleine main et me masturbe énergiquement. Il me souffle à l'oreille :

-  Fais comme moi.
Je lui obéis et je prends sa bite dans ma main et le masturbe. Il me réconforte de la voix :

- C'est bien ! Continues et serres un peu plus.
Je m'exécute. Il relâche un peu son étreinte et sa main descend sur mes fesses et s'égare entre les deux globes. Il me les malaxe doucement puis je sens un doigt qui doucement se frotte sur ma raie et passe doucement sur ma pastille avec une légère pression à cet endroit. Il insiste sur ma pastille et me dit à l'oreille :

- Décontractes toi. Laisses moi te pénétrer le cul avec mon doigt.
J'essaye de me décontracter et je le sens qui tente d'insinuer son doigt dans mon trou. Ca me fait mal et je le lui dis.
Il porte sa main devant ma figure et me tendant son index, me dit :

- Suces le et mouilles le bien.
Il introduit son doigt dans ma bouche et autant que je peux, je salive pour le lui mouiller comme il faut. Il repart sur ma pastille avec son doigt humide et en même temps qu'il me caresse ma rosette, il me dit :

- Décontracte tes fesses. Tu vas voir cela va rentrer tout seul...
Je décontracte mes fesses et il pousse un peu plus son index qui pénètre en me procurant une légère douleur. Il attend un moment que la douleur s'estompe et il commence un lent mouvement de va et vient dans mon cul. C'est la première fois qu'on me fait ça : mon trou est vierge. Ce n'est pas désagréable et mon sphincter se dilate doucement. Il accentue la cadence et m'enfonce le doigt de plus en plus profondément. C'est divin !
Il voit que cela me plait : "Tu vas te coucher sur le ventre sur le lit et je vais m'introduire en toi."
Je m'étends, le doigt toujours enfoncé et je le sens se positionner à genoux derrière moi. Il crache sur mon cul et continue à me doigter un peu pour que ça glisse mieux. Il se couche sur moi. Sa bite frotte contre une de mes fesses. Il relève un peu son bassin :

- Avec tes mains écartes bien tes fesses que cela dégage ton petit trou !

Je m'exécute et il sort son doigt. Je sens le bout de son sexe appuyer sur mon trou. Il se crache dans une main et je sens sa main venir enduire sa bite. Il appuie maintenant sa bite sur mon trou et pousse. Je lui dis que cela fait mal. Il remet de la salive, se positionne à nouveau et cette fois appuie fortement son sexe et d'un coup sec me pénètre. Je pousse un petit cri de douleur. J'ai l'impression que l'on m'a enfoncé une épée dans le cul ! Je cherche à fuir mais son corps repose sur le mien et il me dit : "ne bouges pas attends un peu". La douleur finit par disparaître et après lui avoir confirmé que cela allait, il commence un mouvement de va et vient dans mes entrailles. Son sexe est long mais pas trop épais. A chaque fois qu'il s'enfonce, j'ai l'impression qu'il m'en introduit une grande longueur. Ses mouvements sont lents et amples. Il ne sort jamais le gland mais le fait remonter pratiquement à la sortie. Puis doucement il s'enfonce en moi et je sens les poils de son pubis qui me chatouillent les fesses. Arrivé au fond il reste immobile un moment et fait remonter son corps vers le haut du lit ce qui a pour effet de me faire élargir l'anus sans être douloureux. Après quelques minutes de ces va et viens langoureux, il poursuit le mouvement et sort complètement son sexe avant de le replonger entièrement. Il poursuit son mouvement et, le bassin très relevé il fait uniquement entrer et sortir le gland qui frotte divinement mon sphincter. Je le sens haletant au dessus de moi et d'un coup il s'enfonce entièrement en moi et ne bouge plus. Il me souffle à l'oreille de ne pas bouger également. Collé à moi, nous restons ainsi quelques instants puis il se met à me pilonner le fion en gestes de plus en plus saccadés. Je sens son sexe se gonfler et lui reste immobilisé au fond de moi. Je sens les jets chauds de son sperme remplir mes entrailles. Je serre mon sphincter comme pour le garder en moi. Il m'écrase de tout son corps et, sentant son sexe se ramollir, il s'écarte et se redresse. Il me dit : "viens c'est à ton tour de jouir !". Il est debout et je me lève face à lui. Mon sexe est tout mou. Il s'agenouille et décalotte ma bite qu'il prend dans sa bouche. Après quelques succions des lèvres sur mon gland, mon sexe retrouve de la vigueur. Ali se redresse, se colle derrière moi et avec sa main il me masturbe énergiquement. Je lui dis que cela ne va pas tarder. Il prend une serviette et, au moment où j'explose, il récupère les jets dans la serviette. Il attend que j'ai le sexe flacide, il me tourne vers lui et nous échangeons un dernier baiser.
Nous nous habillons et en passant devant la réception, alors qu'Ali remet la clef, la dame avec un clin d'œil lui demande : "Cela a été ?"

- Très, très bien ! répond Ali avec un sourire.

Je quitte Ali à la station Blanche et il me demande si l'on se reverra. Je lui réponds que je ne sais pas.

La semaine est passée et le mardi soir suivant, je retourne aux auto-tamponneuses en espérant bien retrouver Ali.
Il ne tarde pas à paraître et me dit simplement : "On y va !".
Je le suis et nous nous retrouvons au même hôtel avec la même femme à la réception.
- A ce que je vois cela plait ! dit elle simplement en donnant la clef à Ali et en encaissant l'argent. Je suis cramoisi...

A peine arrivé dans la chambre nous nous dévêtons rapidement et, nus comme des vers, Ali me renverse sur le lit et, collé à moi, il me donne un baiser fougueux et profond. Je sens sa bite qui gonfle le long de ma jambe alors que la mienne se redresse entre nos corps. Il se met sur mon coté et sa main libre vient caresser mon sexe, puis descend faire rouler les testicules entre les doigts et enfin m'oblige à lever les fesses qu'il se met à caresser.
Ali me dit de relever les jambes et de faire monter mes fesses très haut. Il se place devant mes fesses et pousse encore sur les jambes pour faire remonter plus haut mon bassin. Il écarte mes fesses et son souffle chaud caresse ma rosace. Je ne vois que le haut de sa tête et j'essaye de deviner ce qu'il va me faire.
Soudain sa langue chaude et humide se pose sur mon anus et il se met à me lécher l'endroit comme lèche un chien. C'est doux et agréable. Je sens mes tissus qui se relâchent, appréciant la caresse. Sa langue s'insinue dans mon sphincter que je sens s'ouvrir comme une fleur. Il accentue encore le mouvement et dépose énormément de salive. Sa langue est bientôt remplacée par son index qui pénètre sans problème. Il continue à déposer de la salive sur mon trou et me doigte en faisant des ronds avec son doigt, agrandissant le trou. A un moment il insinue un deuxième doigt et les écartant, il fait des ronds pour agrandir encore plus l'entrée. Il crache abondamment sur mon anus afin de le maintenir bien humide.
Il se rapproche de mes fesses et me laisse redescendre mon dos de façon que mon anus se trouve face à sa bite qui se tient droite et que je sens contre une de mes fesses. Arrivé à bonne hauteur, il ôte ses doigts et place son sexe en face du trou et, poussant doucement, il me pénètre sans douleur. Il maintient mes jambes dans ses bras et il s'étend au-dessus de moi en collant sa bouche contre la mienne. Tout en m'embrassant profondément il se met à me défoncer doucement le cul et je sens ses couilles ballotter contre mes fesses. Il a des couilles très pendantes et c'est très excitant de les sentir battre ainsi. Il sort doucement et s'enfonce à fond d'un coup sec. Il s'astique ainsi un très long moment et, s'étant redressé, il se met à me masturber. Il se met à accélérer le mouvement sur ma bite et je sens son sexe se gonfler alors que les premiers jets sortent de mon sexe. Je serre mon sphincter au moment où il explose et se vide en jets bouillants en moi. Mon sperme tombe sur mon ventre et mon torse. Il me l'étale sur toute la surface. Il reste en moi jusqu'à ce que son sexe soit devenu mou puis, après m'être essuyé, nous nous rhabillons et quittons la chambre repassant devant la patronne qui demande à Ali avec une oeillade si cette fois ça été bon et elle m'adresse un sourire en entendant Ali dire que ce fut très bon.

Je retrouve Ali le mardi suivant et l'accompagne encore à cet hôtel. La femme dit à Ali en souriant :

- Il a l'air d'aimer ça ce jeune homme !

Et Ali de répondre :

- Oh oui, et il se laisse bien faire...

Je suis rouge de honte mais je monte avec Ali à la chambre.
Après nous être rapidement dévêtus, il me dit : "Couche-toi sur le dos sur le lit et au milieu. Descends un peu..."

Il vient se placer au-dessus de moi, son sexe à hauteur de ma bouche et sa bouche devant mon sexe. J'ouvre la bouche et il enfourne sa pine que j'enserre entre mes lèvres. Il prend ma bite entre ses lèvres et commence à me butiner le dard. Il prend ma bouche pour mon cul et je dois mettre ma main autour de son sexe pour ne pas être étouffé par son gland qui vient cogner contre ma glotte. Il s'active, faisant des gestes rapides dans ma bouche. Je sens son sexe se gonfler et, sans prévenir, il s'enfonce au maximum de ce que je lui permets avec ma main et il se vide en moi en chaudes giclées que je ne peux qu'avaler compte tenu qu'il ne me laisse aucun mouvement, ayant coincé ma tête avec ses jambes. C'est la première fois que je reçois du sperme dans la bouche et je n'ai pas de dégoût. Il continue à me branler avec sa bouche et quand il sent que je vais jouir, il retire sa bouche et me branle avec sa main jusqu'à la dernière goutte.
Nous nous habillons et en sortant, la patronne ne peut s'empêcher de demander :

- C'est bien rapide aujourd'hui, on n'a pas joui ?

Et Ali de répondre :

- Oh si, il m'a fait une pipe divine ! C'est pour cela que c'est moins long...

Et elle d'ajouter :

- Et vous avez aimé ? Moi je n'aime pas !

Je suis sorti sans répondre.

J'ai revu Ali plusieurs fois encore sur le boulevard. Nous sommes à chaque fois retournés au même hôtel avec toujours les mêmes remarques débiles de la patronne.
Puis j'ai perdu de vue Ali mais je ne l'oublierai jamais car c'est lui qui m'a initié à ces jeux et je les ai aimé et les aime encore.

 

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 7 avril 7 07 /04 /Avr 10:30

Episode précédent : Comment je devins modèle - Episode 2

 

Le mardi suivant Pierre m’accueillit assez froidement :
– On reprend où on en était restés ? Lui demandais-je.
– Où est-ce qu’on en était ? Me demanda-t-il étonné.
– Eh bien, j’étais tout nu et tu me photographiais. On venait juste de faire une pause. On peut reprendre à la pause si tu veux ?
– A la pause ? Eh bien si tu veux, pourquoi pas ?
Je me déshabillais complètement et m’assis sur le canapé en l’attendant. Il m’avait regardé faire, se touchant l’entrejambe.
– Même au repos, t’es pas mal, je peux m’approcher ?
– Fais comme chez toi, je suis à ton service ! Lui répondis-je.
– Attention à ce que tu dis, je pourrais en profiter, dit-il en riant et en venant s’asseoir à coté de moi.
– Tu n’as pas trop chaud ? Lui demandais-je.
– Mais dis-donc, t’as mangé du lion ? Où est le gamin effarouché de la semaine dernière, c’est David qui t’a déniaisé ?
– Non, Pourquoi ?
Pendant ces quelques mots, mon sexe s’était redressé, et de le voir se mettre torse nu m’excitait. Quand il quitta son pantalon mon sexe était à la verticale et quand il fut à poil à coté de moi, une perle de liquide apparut au sommet de mon gland.
– Comme ça j’ai en effet moins chaud. Si je comprends bien, tu n’es pas venu pour des photos cette fois ci, est-ce que je me trompe ?
– Je ne sais pas : je suis à votre disposition, je ferai ce que vous voulez.
Il me prit dans ses bras et me dit.
– Appelle-moi Pierre je t’appellerais Mathieu si tu veux bien.
Il se mit à me caresser, me branler, me sucer... Je vis sa bitte grossir et se redresser. Elle prit une belle taille, aussi longue que la mienne (à peu près) mais beaucoup plus épaisse. Ses couilles surtout étaient beaucoup plus volumineuses. Comme il me voyait le regarder, il me dit :
– Tu peux toucher, c’est permis.
– C’est vrai, je peux ? Imitant une dame du monde à qui on offre une friandise.
– Faites cher Mathieu, tout le plaisir sera pour moi !
On éclata de rire et on se mit à rouler l’un sur l’autre, tombant du canapé sur la moquette.
On se caressa longuement découvrant le corps de l’autre, se suçant, se léchant se caressant sous toutes les coutures. Il mit un doigt dans mon anus, je le laissais faire. J’en mis un dans le sien, il me travailla cet endroit avec la langue, ses doigts, mit de la salive puis du lubrifiant.
– Tu veux que je te prenne ?
Il m’embrassa sur la bouche sans me laisser répondre. D’ailleurs il avait déjà les doigts au bord de mon trou. On était assis face à face, mes jambes autour de sa taille. Il me tendit un préservatif mais comme je n’étais pas très habile dans son maniement et m’y prenait à l’envers, il le mit lui-même. Il me souleva en mettant ses mains sous mes fesses, il m’assit sur sa tige que je laissais pénétrer en moi, poussé par mon propre poids. Lui restait immobile.
Nos visages étaient face à face. Nous nous embrassâmes pendant que son engin me pénétrait et que je sentais mon anus chatouillé par ses poils pubiens.
Quel plaisir ! Son gros dard m’écartelait l’anus mais ça n’était pas douloureux. Il se releva et me coucha sur le dos. Il replia mes jambes vers mes épaules et allongea les siennes. Son corps pesait sur mes testicules et écrasait ma bite. Il se souleva et la saisit sous lui puis se mit à me branler pendant qu’il entamait des mouvements de va et vient en moi.
Il allait tout doucement, puissamment comme s’il s’appliquait.
Je sentais sa colonne chaude entrer et sortir de moi. Il sortait même complètement, retrouvant son chemin à l’aveugle et chaque fois le passage de son énorme gland me procurait un plaisir incommensurable. Quand il se mit à accélérer la cadence, je sentis des picotements dans mes testicules et dans mon bas ventre qui devinrent si intenses qu’ils remontèrent tout le long de ma colonne vertébrale. Mon corps entier fut pris de soubresauts. De la tête aux pieds j’eus des spasmes pendant que je sentais mon sperme s’écouler de ma queue sur mon ventre, comme un liquide qui suinte et pas par saccades comme quand je me branle tout seul...
Il se retira et, arrachant sa capote, il se branla au dessus de mon ventre et jouit abondamment sur moi crachant avec force son sperme jusque sur mon visage. Une giclée m’atteignit même à l’oeil.
Quand il eut tiré la dernière goutte de jus, il se mit à me masser le ventre en mêlant nos deux spermes puis il lécha les gouttes sur mon visage.
Puis il roula sur le coté.
La jouissance avait été plus intense qu’avec David. Etait-ce parce que je commençais à mieux apprécier ? Était-ce à cause de sa bite plus grosse que celle de David ? Était-ce parce qu’il s’y prenait mieux ? En tout cas, j’avais joui d’une façon nouvelle. Un plaisir qui ne venait que de mon anus, différent de celui que procure la masturbation ou la pénétration. Ni plus, ni moins intense, mais différent. Je venais de découvrir le plaisir anal...
On resta enlacés ainsi quelques instants puis quelqu’un frappa à la porte.
– Mathieu ! Il est midi et quart, il faut y aller ! C’était David qui me rappelait à l’ordre.
– Tiens me dit Pierre en fouillant dans sa poche. Un petit cadeau, tu as été génial !
Il me glissa un petit paquet dans la main en me disant de ne l’ouvrir que chez moi. Je l’enfouis dans ma poche et je me rhabillais en vitesse, tout collant de sperme.
Heureusement que personne ne m’attendait chez moi et que je pourrai prendre une douche !
David me demanda combien il m’avait donné.
Je fouillais ma poche et ouvrit le paquet. C’était un MP3. Celui dont je rêvais mais que je n’espérais jamais pouvoir m’offrir.
– Super cadeau ! Me dit-il. Il ne m’en a jamais donné de si beau. T’as dû lui faire très plaisir ! Je commence à être jaloux !... Si tu savais qu’il m’avait dit il y a quinze jours que tu ne lui convenais pas vraiment et que si tu ne faisais pas d’efforts, il ne voulait plus te revoir. Je lui ai dit que cette fois ça irait. Je vois que tu ne m’as pas fait mentir !
J’étais moi aussi étonné de recevoir un pareil cadeau, d’autant plus qu’en rentrant chez moi je trouvais encore un billet de cinquante euros glissé dans l’emballage.
– Mais Mathieu ! M’expliqua David quelques jour plus tard, ce ne sont pas des photographes ! C’est un couple d’amis qui m’aiment bien et qui voulaient que je leur présente un autre ami pour s’amuser, comme avec moi. Je sais que tu les as satisfaits puisqu’ils veulent nous revoir tous les deux !
Nous y sommes en effet souvent retournés. Nous avons fait l’amour à quatre, j’y ai même passé quelques fois le weekend... avec David et parfois avec d’autres de leurs amis, jeunes comme nous ou même de leur âge...

Chaque fois on était couverts de cadeaux.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 31 mars 7 31 /03 /Mars 19:07

Episode précédent :  Comment je devins modèle - Episode 1

 

Le samedi je sonnais à sa porte. Il me fit entrer, me présenta à ses parents et leur dit qu’on allait se promener dans la campagne. Dans sa chambre il mit dans un sac une couverture, une serviette de toilette et une petite pochette dont je ne vis pas le contenu. On partit dans la campagne d’automne comme deux enfants qui se promènent nonchalamment.
Il me dirigea vers un endroit où je n’étais jamais allé et où vraisemblablement personne n’allait jamais... Il prit un sentier dans la forêt puis le quitta, escalada un talus, franchit une palissade et me désigna un endroit où personne ne pouvait nous voir, loin de tout, à l’abri des buissons. Pendant tout ce temps il n’avait pas dit un mot. Moi non plus. Les idées se bousculaient dans ma tête, je l’observais. Son corps de jeune homme était un peu plus épais que le mien mais il n’était pas gros. Il était habillé d’un short en toile de couleur genre « surfer » et d’un blouson sur un tee-shirt. Ses fesses étaient bien rondes sous le tissu qui les recouvrait, les reins bien cambrés. Il me revint à l’idée la réflexion du photographe mardi matin à propos des miennes et j’eus envie de les tâter pour voir si elles étaient « fermes ». Il étendit la couverture et me dit :
– On ne sera pas bien ici ? Installes-toi je te rejoins...
Il s’éloigna de quelques mètres et se mit à pisser contre un arbre. Je sentis moi aussi une envie. Je le rejoignais et me débraguettais discrètement à un mètre de lui en lui tournant un peu le dos. Il se rapprocha, la queue à la main et me regarda faire. Quand j’eu fini, il me prit la bite qui déjà avait grossi et la secoua.
– Faut toujours secouer la dernière goutte !
Je le laissais faire : après tout on était là pour ça. Je sentais l’excitation me gagner, ou plutôt gagner ma queue. Il ouvrit mon pantalon et le baissa ainsi que mon slip. J’étais déjà en érection, le sexe bien à l’horizontal.
– C’est vrai ! T’es bien foutu.
– Et toi, t’es comment ? Montre-moi.
Je le déshabillais. Il bandait lui aussi. Sa queue était plus petite que la mienne, plus courbée vers le haut, le gland entièrement décalotté, il était circoncis.
– Elle te plait ? me demanda-t-il.
Pour toute réponse je me mis à le branler.
– Tu vois, tu sais faire.
– C’est que ça ?
– Pas tout à fait, mais c’est un début, tu le lui as fait mardi ?
– Non, mais lui me l’a fait.
– Et t’as pas aimé ?
– Si, j’ai failli jouir. Surtout quand il me l’a avalée.
– Ah, il t’a sucé aussi ? Super ! Et il t’a fait quoi encore ?
– C’est tout. Il était midi et on a arrêté.
– Et toi t’as rien fait ? Tu l’as laissé sur sa faim ? Je comprends mieux ! Quand on reçoit, il faut donner aussi, me dit-il sur un ton de reproche... Viens ! Je vais te montrer beaucoup mieux.
Il m’amena sur la couverture et on finit de se déshabiller. Quand on fut nus tous les deux, il me prit tout contre lui et on s’embrassa. Je sentais son corps chaud contre le mien et surtout sa bite dressée contre mon ventre pendant que la mienne était contre le sien. Par des mouvements de mon bassin je frottais mon gland contre son ventre le décalottant et recalottant. Il faisait de même…
On se caressa pendant un long moment, découvrant chacun le corps de l’autre. Il me branlait de temps en temps, me suçait ; je faisais de même, prenant la position du soixante-neuf. Je découvris le plaisir d’avoir un sexe d’homme dans la bouche, vivant et mobile, chaud et dur, avec la peau qui glisse comme une gangue de soie.
Il me demanda de me retourner et de me coucher sur le ventre. Il continua ses caresses sur mon dos, mes fesses, l’arrière de mes cuisses et de mes genoux. C’était excitant et agréable... Il s’allongea de tout son long sur moi. Nos corps s’épousaient parfaitement. Je sentais sa verge prendre place entre mes globes fessiers et glisser entre eux comme si cet emplacement était prévu pour ça ! Il se frottait contre moi, je ne sentais pratiquement pas le poids de son corps, il m’embrassait dans le cou, me chatouillait les côtes, les hanches. Je fis de même : on échangeait les positions chacun à notre tour.
Il me lécha la raie des fesses, s’arrêtant sur mon petit trou, descendit entre les jambes. Pour cela il me les fit écarter au maximum puis il m’allongea sur le dos, remonta mes jambes pour pouvoir atteindre mon anus en passant sous mes couilles et il se mit à lécher mon périnée, des testicules jusqu’au trou du cul… J’avais les fesses en l’air, les genoux repliés vers mes épaules, comme enroulé sur moi-même.
Il s’allongea sur moi. Je sentais son sexe pointer en direction de mon petit trou qu’il venait de mouiller avec sa salive. Il frotta longuement son gland sur mon sphincter, sans chercher à le pénétrer.
– Tu veux bien que je te prenne ?
– Ça fait mal ? Demandais-je un peu inquiet.
– Un peu la première fois, mais ça passe vite… Je vais y aller très doucement.
Il se pencha et prit la petite sacoche dont je vous ai parlé tout à l’heure. Il en sortit un flacon. Il me demanda de me retourner sur le ventre. Il écarta mes fesses et après m’avoir bien léché l’anus, essaya avec un doigt de me pénétrer. Il parvint à faire entrer une phalange, la fit tourner longuement puis il mit du produit du flacon qu’il avait sorti de sa sacoche.
– Décontracte toi, je te sens tout tendu, respire à fond ... N’aie pas peur.
Le produit fit un effet glacé sur mes muqueuses mais au lieu de me contracter, il me détendit. Son doigt pénétrait mieux. Il mit même un deuxième doigt pour mieux m’écarter. Le concours du lubrifiant et les caresses de ses doigts faisaient leur effet : je me décontractais ! Ma rosette s’assouplissait, s’ouvrait. Ses deux doigts tournaient aisément dans mon conduit, c’était agréable.
– Voilà, tu es prêt ! Je vais te dépuceler le cul. Tu vas voir, c’est super, c’est même si génial que si je pouvais, je me ferai enculer toute la journée !
Pendant ce temps, il s’était couché sur moi. De ses pieds il me fit écarter les jambes, de ses mains il écartait mes fesses. Il se mit à frotter son gland le long de ma raie.
– Aide-moi, me dit-il, tiens ton cul ouvert !
Pendant que je maintenais mes fesses écartées, je sentis qu’il mettait une forte dose de lubrifiant qu’il faisait pénétrer avec un doigt profondément dans mon conduit. Puis il se mit à nouveau à faire glisser sa tige le long de ma raie pour répandre le produit sur toute la longueur. Elle glissait bien. Tout d’un coup, il a arrêté son gland sur mon anus et en poussant se mit à forcer l’entrée.
Je sentais mon trou s’ouvrir petit à petit sous la poussée de son gland. J’émis un petit « ah » de stupeur. Il respirait très fort, lui aussi. Je sentais son souffle chaud dans mon cou. Je lâchais mes fesses et cherchais de mes mains à sentir les siennes au dessus de moi. Elles étaient mobiles, musculeuses, elles durcissaient sous l’effort...
Mon trou s’ouvrait de plus en plus. Sa bite s’enfonçait sous sa poussée puissante et virile. Il poussa un petit soupir quand son bourrelet franchit l’anneau de mon anus. Pas un cri de douleur, plutôt un soupir de satisfaction... Je le sentais tout entier en moi.
– Voila Mathieu, j’y suis, je ne t’ai pas fait mal ?
– Non ça va ! Je n’ai pas eu mal.
– Continue à te décontracter. Respire : le plus dur est passé, maintenant ça ne va être que du bonheur !
Je sentais sa colonne de chair s’enfoncer en moi sans effort. Elle glissait sans difficulté et je me sentais envahi par sa queue. J’étais sa chose. Je lui appartenais tout entier, le plaisir par la domination en quelque sorte. J’étais si bien que j’aurais aimé que le temps s’arrête, que nous restions ainsi longtemps, longtemps…
– Ça va toujours ? Me glissa-t-il dans le creux de l’oreille, sa bouche étant tout près. Je t’adore.
– Moi aussi.
Il s’immobilisa quelques instants de façon que je m’habitue à sa présence en moi m’expliqua-t-il. Puis il commença à se retirer.
J’eus l’impression qu’une pompe aspirante me vidait les entrailles. Ça ne dura pas longtemps, il reprit son mouvement vers l’avant et ainsi de suite, tout doucement… Je n’imaginais pas que ce « pieu » si dur, si gros, était si tendre, si doux, si câlin. Le plaisir s’installait en moi. Il ne me faisait pas du tout mal, au contraire. Il m’a ramoné comme ça pendant quelques minutes puis s’est mit à accélérer, poussant chaque fois plus profondément. Je l’aidais de mes mains sur ses fesses à me pénétrer plus loin, plus intensément. Il poussait des petits « Han ! Han ! » comme un bucheron. Quand tout à coup il s’immobilisa, tétanisé, le buste cambré sur ses bras tendus, poussant son sexe au plus profond de mes entrailles et je sentis son sperme chaud, brûlant, se répandre en moi. Tous mes muscles du bas ventre se mobilisaient pour tirer la moindre goutte de liquide de son zob.
Il fit encore quelques allées et venues dans mon arrière train puis se retira, épuisé.
On resta comme ça quelques instants puis il me dit :
– T’as aimé ? Tu veux m’enculer à ton tour ?
– Si tu veux ! Répondis-je, étonné par sa proposition, moi qui croyais naïvement qu’en matière de sexe les rôles étaient spécialisés.
– Tiens me dit-il, en me tendant le tube de lubrifiant.
Malgré mon inexpérience je me mis à faire la même chose qu’il venait de faire sur moi. De passif je devenais actif…
Son trou était apparemment beaucoup plus ouvert que le mien.
– On te l’a fait souvent ? Lui demandais-je.
– Quelques fois.
– Depuis quand ?
– Depuis cet hiver. C’est Pierre qui m’a apprit. Tu verras, il est très gentil et très doux…
Pendant qu’il m’enculait, j’avais débandé et ma verge était devenue toute molle. Quand son anus fut bien lubrifié, ma teub avait retrouvé toute sa vigueur et je pus la présenter bien lubrifiée et bien dure à l’entrée de son trou d’amour.
– Pousse ! N’aie pas peur, pousse fort ! M’encourageait-il.
Je poussais et mon gland se fit un chemin dans ses entrailles sans difficultés.
Quand ma bite fut toute entrée, je commençais le mouvement de va et viens. Je sentis rapidement le plaisir monter. Il venait de mes couilles, traversait ma verge et remontait le long de ma colonne vertébrale. J’essayais de me retenir pour prolonger le plaisir. Le frottement de mon gland et de toute ma queue contre ses muqueuses qui formaient une gaine serrée autour était si agréable que j’accélérais le mouvement.
– Ne va pas trop vite, prends ton temps ! me dit David. C’est meilleur quand c’est long !
Quand je ne pus plus me retenir, j’éjaculais ma première fois dans le corps d’un partenaire ! Pour la première fois avec tant de plaisir que je poussais un cri de bonheur qu’on a dû entendre jusqu’au fond des bois… Je crachais une dizaine de fois. Tout mon corps participait. Le plaisir était si intense et si nouveau pour moi que j’éprouvais une réelle tendresse pour David, voulant le garder serré contre moi. Cette fois c’est moi qui dominais : il était à moi et j’éprouvais une réelle tendresse pour lui.
Je m’effondrais, épuisé, sur mon ami qui me dit qu’il avait bien aimé. On resta ainsi couchés l’un sur l’autre pendant un bon moment. J’étais un bon élève. Mais tout a une fin, il fallait rentrer.
Après une rapide toilette, on s’est rhabillés puis nous sommes doucement rentrés à la maison, heureux et satisfaits.
– On recommencera ? Demanda-t-il.
– J’espère bien ! Répondis-je, et souvent…
Il m’embrassa et je rentrai chez moi sans passer chez lui. A peine arrivé chez moi, je dis à mes parents qu’on avait fait une longue ballade avec David et que j’étais en sueur, que j’allais prendre une douche.
J’étais encore tout excité et, sous la douche, je ne pus m’empêcher de me caresser et de me branler en recherchant le souvenir des caresses de l’après-midi où j’avais découvert l’amour… Je passais un doigt sur mon anus pour essayer de sentir une transformation, je m’examinais en prenant des positions pas possible devant la glace : rien n’avait changé. Pas de trace. L’intrusion en moi de mon ami n’avait laissé aucune séquelle. J’étais le même qu’avant, plus heureux de ma découverte, c’est tout ! J’en fus réconforté.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 24 mars 7 24 /03 /Mars 14:24

Au lycée je n’ai pas beaucoup de copains. Je suis un peu « sauvage ». Un garçon quand même fait souvent le chemin avec moi car il n'habite pas loin. Il s’appelle David, on est dans la même classe et on se voit parfois en dehors des trajets. Il est sportif, bien fait, grand, de la même taille que moi, musclé un peu plus que moi, calme et gentil. J’aime bien être avec lui. Un jour où on trainait ensemble en ville et on regardait les vitrines des magasins, je lui dis que je m’achèterais bien un MP3 mais que je n’avais pas assez d’argent.
– Si tu veux t’en faire, je connais un truc.
– Ouais super ! C’est lequel ?
– Ben... Je ne sais pas si tu vas être d’accord ?
– Ouais, pourquoi ? Je suis près à faire n’importe quoi !
– Là, je ne sais pas si ça va te plaire ! Tu peux te faire facile 50 euros en quelques heures, mais c’est spécial. C’est un photographe et faut se mettre à poil...
– Ah d’accord ! Je l’ai jamais fait.. Et c’est tout ?
– Ben oui. Tu prends des poses, ils te diront ce qu’il faut faire, c’est tout. Si tu leur plais, tu peux te faire beaucoup d’argent.
Je ne voyais pas de difficultés et après tout, se mettre à poil ce n’était pas bien difficile ! Je ne risquais rien à essayer.
– Tu l’as déjà fait toi ?
– Quoi, des photos ? Oui bien sûr !
– Et ce n’est pas difficile de se mettre à poil devant un étranger ?
– Tu te mets bien en maillot de bain devant tout le monde à la piscine ou à la plage... Là c’est pareil sauf qu’il n’y a pas de maillot. C’est tout !
Je réfléchis quelques instants. C’est vrai, après tout : au vestiaire, je me mets bien à poil et ça ne me gêne pas...

– Si tu peux me présenter ce photographe, je veux bien essayer. Si ça rapporte tant que ça.
– Tu verras ils sont très gentils, tu n’as pas a avoir peur. Je leur parlerai de toi et je te dirais.
Le lendemain au lycée, David me dit qu’ils nous attendaient mardi prochain à 10 heures. On n’avait pas cours de 10 heures à midi et on avait tout le temps.
Le mardi matin, je m’étais fais beau : bien coiffé, propre comme un sou neuf, sapé de propre, j’étais prêt ! A 10 heures David et moi nous présentions à la porte d’un pavillon dans une rue calme non loin du lycée.
Le mec qui nous accueillit fut très sympa. Il emmena David et me laissa avec un type qui s’appelait Pierre. Il avait environ trente cinq ans, sportif, décontracté, un peu artiste, très élégant.
Il me posa quelques questions, me dit qu’il faisait des photos de garçons pour des sites pornos américains et qu’il n’y avait que peu de chance que l’on me reconnaisse. Il me proposa de me maquiller un peu et de me poser des tatouages fictifs pour qu’on me reconnaisse moins.
– D’accord ? T’es prêt ? On y va ?
– Prêt ! Répondis-je. Il m’emmena dans une pièce meublée comme une salle de séjour, toute blanche, confortable. Il y avait un canapé en cuir et des fauteuils, des lampadaires et des projecteurs. Au mur une sorte de sculpture abstraite, des tableaux éclairés par des spots lumineux, des appareils photos sur pieds, et tout un tas de matériel de photographie.
– Tu te mets sur le canapé et tu te déshabilles lentement en essayant d’allécher l’objectif ! Tu vois ce que je veux dire ?
– Oui, je vais essayer.
Je m’assis dans le canapé, et il me donna des conseils.
– Moins raide ! Ne regarde pas l’objectif, juste à coté ! Oui, comme ça ! Écarte les jambes qu’on voit bien ton paquet, caresse-toi un peu, si tu bandais ce serait mieux... N’y pense pas, pense plutôt à un truc cochon : au dernier porno que t’as vu !... Maintenant quitte ton polo. Voilà, comme ça ! Caresse-toi les tétons, oui ! Tire un peu la langue. Oui, super !
J’essayais d’être le plus sexy possible, de montrer mon corps, mes formes même si je n’avais pas l’habitude de ça. Je sentais mon sexe gonfler dans mon slip... Est-ce que ça se voyait ?
– Allez c’est bien, on dirait que tu l’as déjà fait. Tu l’as déjà fait ?
– Non, c’est la première fois !
– Alors t’es doué, continue. Déboutonne ton pantalon. Vas-y, ouvre le, laisse apercevoir ton slip, ouais ! Super !
– Et David, il est où ?
– Oh, je ne sais pas, sans doute à coté, en train de faire des photos. Pourquoi ?
– Comme ça, pour savoir.
– Tu sais, ici il ne faut pas s’intéresser à ce que font les autres. La discrétion est la règle. Ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire !
En disant cela, toujours l’oeil sur l’écran de son appareil, il le prit à la main et s’approcha de moi pour faire des gros plans.
De sa main libre il ajusta la mèche sur mon front, il me fit tourner la tête en me prenant le menton, écarta ma ceinture puis me l’arracha. Il fit descendre un peu mon pantalon pour dégager mes hanches.
– Quitte-le !
Je baissais donc mon pantalon et me retrouvais en slip. Il me photographia en gros plan et cette situation m’excita un peu plus. Je sentais mon sexe grossir de plus en plus. De sa main il soupesa mon sexe dans la poche de mon slip. J’eu un réflexe de recul...
– N’aie pas peur, je veux juste te mettre en valeur, m’expliqua-t-il. Vas-y, continue à bouger.
On reprit les poses.
– Quitte-le aussi ! Dit-il.
– Quoi ? Mon slip ?
– Ben oui, t’as plus que ça que je sache ! Me répondit-il en riant. T’es là pour ça, non ?
Devant cette évidence je ne pouvais plus me dérober. Je  mis les mains sur ma ceinture élastique et commençais en hésitant à le quitter.
– Allez, vas-y doucement ! Arrête-toi là, oui, retourne toi, c’est ça, montre-moi tes fesses !
– Ah j’adore, elles sont bien rondes et fermes comme j’aime.
Il était tout près et me mis une petite tape.
– Allez tourne toi encore, allez baisse un peu plus ton slibard ! Montre-moi tes poils et la naissance de ta queue.
Il tendit la main et mit mon slip dans la position voulue. Pour cela il effleura ma bite, j’eus de nouveau un réflexe de recul. Je n’avais pas l’habitude qu’un homme – ou une femme– s’approche de mon intimité...
– Oh t’es craintif ! T’en fais pas, je ne vais pas te violer.
Je cru l’entendre murmurer : « Quoi que !... », mais je n’en suis pas sur...
Il continuait à faire ses photos. Puis tout d’un coup, il annonça la pose. Il déposa son appareil par terre et s’assit à côté de moi.
J’avais encore mon slip en haut des cuisses, la bite à moitié découverte. Il se tourna vers moi et me quitta complètement mon slip.
– Fais-moi voir comment t’es monté... Oh, pas mal pour ton âge ! S’exclama-t-il. Je peux toucher ?
Et sans attendre de réponse il prit ma tige en main et se mit à la branler. Il mit l’autre main entre mes cuisses et me caressa les testicules.
– T’es très mignon. Je sens qu’on va bien s’entendre tous les deux...
Je ne répondis pas et me laissais faire. Je le regardais me branler et quand il se pencha pour déposer sur mon gland un baiser je m’enfonçais dans le canapé.
– Tu aimes qu’on te caresse ? Me demanda-t-il négligeamment.
– Je ne sais pas, c’est la première fois.
– Oh tu blagues ! C’est pas la première fois qu’on te caresse ?
– La première fois avec un homme, je ne suis pas pédé.
– T’es pas pédé et tu viens de te foutre à poil devant moi ? Tu te laisses caresser ? Explique-moi.
– Ben j’ai besoin d’argent avançais-je timidement.
– Ah, c’est pour l’argent ? Ca explique tout ! Et pour 50 de plus tu veux bien que je te suce ? Dit-il en riant.
Il se mit à me sucer la bite. C’était bon. Je me sentis de plus en plus excité. Je sentais le sperme monter dans ma tige.
– Arrête je viens !
Il me lacha et se mit à me regarder dans les yeux.
– Tu sais que t’es pas mal pour un hétéro. T’as une petite amie ?
– Non.
– Et avec David, tu l’as déjà fait ?
– Non ! Il est pédé ? Demandais-je étonné.
– A ton avis ?
Je compris que j’avais été piégé. J’allais me faire mettre pour pas cher !
– Bon c’est midi, il faut que tu rentres chez toi, ta mère va se faire du souci ! Comme t’as été sympa et un bon modèle je te donne le double du prix convenu. Ça te va ?
– Oui très bien merci. Je peux revenir ?
– Quand tu veux, on reprendra cette conversation. Je vais voir où en est David pendant que tu te rhabilles.
Il quitta la pièce et laissa la porte ouverte. Je vis David dans la pièce à coté avec le mec qui nous avait accueillis. Ils discutaient avec mon photographe.
Quand je fus rhabillé, je les rejoignais.
– Alors cette séance de photos, pas trop difficile pour une première fois ?
– Si un peu, mais je m’y ferais !
– Si je comprends bien tu as l’intention de revenir ?
– Oui ! Si vous êtes d’accord.
– Pas de problème. Il parait que tu t’y prends bien. Voyons le programme... Mardi prochain à 10 heures ça va ?
– Parfait pour moi dis-je.
– Pour moi aussi dit David.
Sur le chemin du retour, David me dit.
– Alors, Il t’a donné combien ?
– 100.
– Seulement, t’as pas dû faire tout ce qu’il te demandait ! D’ailleurs il n’avait pas l’air très content. Il me l’a dit.
– Ah ? A moi il m’a dit qu’il était content et qu’il me donnait le double du prix convenu parce qu’il était satisfait.
– D’accord, c’est la première fois, c’est normal. T’as pas dû faire tout ce qu’il voulait, ils m’ont plus ou moins dit de t’initier. La prochaine fois laisse-toi faire : tu verras il sera encore plus généreux.
– Le laisser faire, tu veux dire tout ? Même le laisser me faire l’amour s’il veut ?
– Ben oui ! Il n’a pas essayé ?
– Si, mais je ne l’ai pas laissé faire.
– Eh bien voilà ! La prochaine fois laisse le faire ce qu’il veut ...
– Mais je ne l’ai jamais fait avant. Je ne sais pas...
– Tu veux que je te montre ?
– T’as qu’à venir samedi chez moi, je te montrerai.
Rendez-vous fut prit...

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