Dimanche 31 mars 7 31 /03 /Mars 19:07

Episode précédent :  Comment je devins modèle - Episode 1

 

Le samedi je sonnais à sa porte. Il me fit entrer, me présenta à ses parents et leur dit qu’on allait se promener dans la campagne. Dans sa chambre il mit dans un sac une couverture, une serviette de toilette et une petite pochette dont je ne vis pas le contenu. On partit dans la campagne d’automne comme deux enfants qui se promènent nonchalamment.
Il me dirigea vers un endroit où je n’étais jamais allé et où vraisemblablement personne n’allait jamais... Il prit un sentier dans la forêt puis le quitta, escalada un talus, franchit une palissade et me désigna un endroit où personne ne pouvait nous voir, loin de tout, à l’abri des buissons. Pendant tout ce temps il n’avait pas dit un mot. Moi non plus. Les idées se bousculaient dans ma tête, je l’observais. Son corps de jeune homme était un peu plus épais que le mien mais il n’était pas gros. Il était habillé d’un short en toile de couleur genre « surfer » et d’un blouson sur un tee-shirt. Ses fesses étaient bien rondes sous le tissu qui les recouvrait, les reins bien cambrés. Il me revint à l’idée la réflexion du photographe mardi matin à propos des miennes et j’eus envie de les tâter pour voir si elles étaient « fermes ». Il étendit la couverture et me dit :
– On ne sera pas bien ici ? Installes-toi je te rejoins...
Il s’éloigna de quelques mètres et se mit à pisser contre un arbre. Je sentis moi aussi une envie. Je le rejoignais et me débraguettais discrètement à un mètre de lui en lui tournant un peu le dos. Il se rapprocha, la queue à la main et me regarda faire. Quand j’eu fini, il me prit la bite qui déjà avait grossi et la secoua.
– Faut toujours secouer la dernière goutte !
Je le laissais faire : après tout on était là pour ça. Je sentais l’excitation me gagner, ou plutôt gagner ma queue. Il ouvrit mon pantalon et le baissa ainsi que mon slip. J’étais déjà en érection, le sexe bien à l’horizontal.
– C’est vrai ! T’es bien foutu.
– Et toi, t’es comment ? Montre-moi.
Je le déshabillais. Il bandait lui aussi. Sa queue était plus petite que la mienne, plus courbée vers le haut, le gland entièrement décalotté, il était circoncis.
– Elle te plait ? me demanda-t-il.
Pour toute réponse je me mis à le branler.
– Tu vois, tu sais faire.
– C’est que ça ?
– Pas tout à fait, mais c’est un début, tu le lui as fait mardi ?
– Non, mais lui me l’a fait.
– Et t’as pas aimé ?
– Si, j’ai failli jouir. Surtout quand il me l’a avalée.
– Ah, il t’a sucé aussi ? Super ! Et il t’a fait quoi encore ?
– C’est tout. Il était midi et on a arrêté.
– Et toi t’as rien fait ? Tu l’as laissé sur sa faim ? Je comprends mieux ! Quand on reçoit, il faut donner aussi, me dit-il sur un ton de reproche... Viens ! Je vais te montrer beaucoup mieux.
Il m’amena sur la couverture et on finit de se déshabiller. Quand on fut nus tous les deux, il me prit tout contre lui et on s’embrassa. Je sentais son corps chaud contre le mien et surtout sa bite dressée contre mon ventre pendant que la mienne était contre le sien. Par des mouvements de mon bassin je frottais mon gland contre son ventre le décalottant et recalottant. Il faisait de même…
On se caressa pendant un long moment, découvrant chacun le corps de l’autre. Il me branlait de temps en temps, me suçait ; je faisais de même, prenant la position du soixante-neuf. Je découvris le plaisir d’avoir un sexe d’homme dans la bouche, vivant et mobile, chaud et dur, avec la peau qui glisse comme une gangue de soie.
Il me demanda de me retourner et de me coucher sur le ventre. Il continua ses caresses sur mon dos, mes fesses, l’arrière de mes cuisses et de mes genoux. C’était excitant et agréable... Il s’allongea de tout son long sur moi. Nos corps s’épousaient parfaitement. Je sentais sa verge prendre place entre mes globes fessiers et glisser entre eux comme si cet emplacement était prévu pour ça ! Il se frottait contre moi, je ne sentais pratiquement pas le poids de son corps, il m’embrassait dans le cou, me chatouillait les côtes, les hanches. Je fis de même : on échangeait les positions chacun à notre tour.
Il me lécha la raie des fesses, s’arrêtant sur mon petit trou, descendit entre les jambes. Pour cela il me les fit écarter au maximum puis il m’allongea sur le dos, remonta mes jambes pour pouvoir atteindre mon anus en passant sous mes couilles et il se mit à lécher mon périnée, des testicules jusqu’au trou du cul… J’avais les fesses en l’air, les genoux repliés vers mes épaules, comme enroulé sur moi-même.
Il s’allongea sur moi. Je sentais son sexe pointer en direction de mon petit trou qu’il venait de mouiller avec sa salive. Il frotta longuement son gland sur mon sphincter, sans chercher à le pénétrer.
– Tu veux bien que je te prenne ?
– Ça fait mal ? Demandais-je un peu inquiet.
– Un peu la première fois, mais ça passe vite… Je vais y aller très doucement.
Il se pencha et prit la petite sacoche dont je vous ai parlé tout à l’heure. Il en sortit un flacon. Il me demanda de me retourner sur le ventre. Il écarta mes fesses et après m’avoir bien léché l’anus, essaya avec un doigt de me pénétrer. Il parvint à faire entrer une phalange, la fit tourner longuement puis il mit du produit du flacon qu’il avait sorti de sa sacoche.
– Décontracte toi, je te sens tout tendu, respire à fond ... N’aie pas peur.
Le produit fit un effet glacé sur mes muqueuses mais au lieu de me contracter, il me détendit. Son doigt pénétrait mieux. Il mit même un deuxième doigt pour mieux m’écarter. Le concours du lubrifiant et les caresses de ses doigts faisaient leur effet : je me décontractais ! Ma rosette s’assouplissait, s’ouvrait. Ses deux doigts tournaient aisément dans mon conduit, c’était agréable.
– Voilà, tu es prêt ! Je vais te dépuceler le cul. Tu vas voir, c’est super, c’est même si génial que si je pouvais, je me ferai enculer toute la journée !
Pendant ce temps, il s’était couché sur moi. De ses pieds il me fit écarter les jambes, de ses mains il écartait mes fesses. Il se mit à frotter son gland le long de ma raie.
– Aide-moi, me dit-il, tiens ton cul ouvert !
Pendant que je maintenais mes fesses écartées, je sentis qu’il mettait une forte dose de lubrifiant qu’il faisait pénétrer avec un doigt profondément dans mon conduit. Puis il se mit à nouveau à faire glisser sa tige le long de ma raie pour répandre le produit sur toute la longueur. Elle glissait bien. Tout d’un coup, il a arrêté son gland sur mon anus et en poussant se mit à forcer l’entrée.
Je sentais mon trou s’ouvrir petit à petit sous la poussée de son gland. J’émis un petit « ah » de stupeur. Il respirait très fort, lui aussi. Je sentais son souffle chaud dans mon cou. Je lâchais mes fesses et cherchais de mes mains à sentir les siennes au dessus de moi. Elles étaient mobiles, musculeuses, elles durcissaient sous l’effort...
Mon trou s’ouvrait de plus en plus. Sa bite s’enfonçait sous sa poussée puissante et virile. Il poussa un petit soupir quand son bourrelet franchit l’anneau de mon anus. Pas un cri de douleur, plutôt un soupir de satisfaction... Je le sentais tout entier en moi.
– Voila Mathieu, j’y suis, je ne t’ai pas fait mal ?
– Non ça va ! Je n’ai pas eu mal.
– Continue à te décontracter. Respire : le plus dur est passé, maintenant ça ne va être que du bonheur !
Je sentais sa colonne de chair s’enfoncer en moi sans effort. Elle glissait sans difficulté et je me sentais envahi par sa queue. J’étais sa chose. Je lui appartenais tout entier, le plaisir par la domination en quelque sorte. J’étais si bien que j’aurais aimé que le temps s’arrête, que nous restions ainsi longtemps, longtemps…
– Ça va toujours ? Me glissa-t-il dans le creux de l’oreille, sa bouche étant tout près. Je t’adore.
– Moi aussi.
Il s’immobilisa quelques instants de façon que je m’habitue à sa présence en moi m’expliqua-t-il. Puis il commença à se retirer.
J’eus l’impression qu’une pompe aspirante me vidait les entrailles. Ça ne dura pas longtemps, il reprit son mouvement vers l’avant et ainsi de suite, tout doucement… Je n’imaginais pas que ce « pieu » si dur, si gros, était si tendre, si doux, si câlin. Le plaisir s’installait en moi. Il ne me faisait pas du tout mal, au contraire. Il m’a ramoné comme ça pendant quelques minutes puis s’est mit à accélérer, poussant chaque fois plus profondément. Je l’aidais de mes mains sur ses fesses à me pénétrer plus loin, plus intensément. Il poussait des petits « Han ! Han ! » comme un bucheron. Quand tout à coup il s’immobilisa, tétanisé, le buste cambré sur ses bras tendus, poussant son sexe au plus profond de mes entrailles et je sentis son sperme chaud, brûlant, se répandre en moi. Tous mes muscles du bas ventre se mobilisaient pour tirer la moindre goutte de liquide de son zob.
Il fit encore quelques allées et venues dans mon arrière train puis se retira, épuisé.
On resta comme ça quelques instants puis il me dit :
– T’as aimé ? Tu veux m’enculer à ton tour ?
– Si tu veux ! Répondis-je, étonné par sa proposition, moi qui croyais naïvement qu’en matière de sexe les rôles étaient spécialisés.
– Tiens me dit-il, en me tendant le tube de lubrifiant.
Malgré mon inexpérience je me mis à faire la même chose qu’il venait de faire sur moi. De passif je devenais actif…
Son trou était apparemment beaucoup plus ouvert que le mien.
– On te l’a fait souvent ? Lui demandais-je.
– Quelques fois.
– Depuis quand ?
– Depuis cet hiver. C’est Pierre qui m’a apprit. Tu verras, il est très gentil et très doux…
Pendant qu’il m’enculait, j’avais débandé et ma verge était devenue toute molle. Quand son anus fut bien lubrifié, ma teub avait retrouvé toute sa vigueur et je pus la présenter bien lubrifiée et bien dure à l’entrée de son trou d’amour.
– Pousse ! N’aie pas peur, pousse fort ! M’encourageait-il.
Je poussais et mon gland se fit un chemin dans ses entrailles sans difficultés.
Quand ma bite fut toute entrée, je commençais le mouvement de va et viens. Je sentis rapidement le plaisir monter. Il venait de mes couilles, traversait ma verge et remontait le long de ma colonne vertébrale. J’essayais de me retenir pour prolonger le plaisir. Le frottement de mon gland et de toute ma queue contre ses muqueuses qui formaient une gaine serrée autour était si agréable que j’accélérais le mouvement.
– Ne va pas trop vite, prends ton temps ! me dit David. C’est meilleur quand c’est long !
Quand je ne pus plus me retenir, j’éjaculais ma première fois dans le corps d’un partenaire ! Pour la première fois avec tant de plaisir que je poussais un cri de bonheur qu’on a dû entendre jusqu’au fond des bois… Je crachais une dizaine de fois. Tout mon corps participait. Le plaisir était si intense et si nouveau pour moi que j’éprouvais une réelle tendresse pour David, voulant le garder serré contre moi. Cette fois c’est moi qui dominais : il était à moi et j’éprouvais une réelle tendresse pour lui.
Je m’effondrais, épuisé, sur mon ami qui me dit qu’il avait bien aimé. On resta ainsi couchés l’un sur l’autre pendant un bon moment. J’étais un bon élève. Mais tout a une fin, il fallait rentrer.
Après une rapide toilette, on s’est rhabillés puis nous sommes doucement rentrés à la maison, heureux et satisfaits.
– On recommencera ? Demanda-t-il.
– J’espère bien ! Répondis-je, et souvent…
Il m’embrassa et je rentrai chez moi sans passer chez lui. A peine arrivé chez moi, je dis à mes parents qu’on avait fait une longue ballade avec David et que j’étais en sueur, que j’allais prendre une douche.
J’étais encore tout excité et, sous la douche, je ne pus m’empêcher de me caresser et de me branler en recherchant le souvenir des caresses de l’après-midi où j’avais découvert l’amour… Je passais un doigt sur mon anus pour essayer de sentir une transformation, je m’examinais en prenant des positions pas possible devant la glace : rien n’avait changé. Pas de trace. L’intrusion en moi de mon ami n’avait laissé aucune séquelle. J’étais le même qu’avant, plus heureux de ma découverte, c’est tout ! J’en fus réconforté.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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