L'histoire de la semaine

Dimanche 15 septembre 7 15 /09 /Sep 16:37

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 15/26

 

Chapitre 16/26 : Un quatrième


Le lendemain matin c'est Raldo qui ouvre la porte le premier. Je suis encore allongé sur les matelas et à moitié endormi. Je regarde mes compagnons de captivité. Ils dorment encore. Raldo ne dit rien et me fait signe de me lever puis d'approcher. Surpris je m'exécute docilement. Je me retrouve dans le couloir et Raldo referme la porte derrière moi. Il me conduit dans la salle de bain et me conduit sous la douche.

- « Rince-toi, vite ! »

Sans chercher à comprendre je me rince rapidement sous la douche. Ca me réveille complètement. Puis il me tend une serviette et m'ordonne de me sécher. Enfin il me tend des habits :

- « Habille-toi ! »

Je passe alors les vêtements proposés qui sont bien fashion et ajustés à ma taille. Ce n'est pas les mêmes que ceux de Mike hier. Je me demande ce qu'il prépare. C'est inhabituel. D'habitude on est plutôt nu avec lui.

- « Bien, maintenant, suis-moi. »

Il me conduit alors devant une autre porte. Nous ne sommes jamais entrés dans cette salle. Il ouvre la porte et me pousse en avant. Un rideau cache un coin de la pièce. Je ne comprends rien à la situation.
- « Assieds-toi, là sur la chaise. »

Il prend alors une autre chaise et s'assoit en face de moi.

- « Ecoute bien. Je ne répèterais pas. Nous allons tourner une autre scène avec toi et le garçon qui est derrière le rideau. Tu ne le connais pas mais tu vas vite faire connaissance. Il est attaché et bâillonné. Quand à toi tu ne dois rien lui dire. J'ai bien dit : RIEN ! Compris ? »

Je bredouille, encore sous le coup de la surprise :

- « Euh… oui. »

Raldo poursuit :

- « Vous serez filmés et tu obéiras aux ordres qui s'inscriront sur la télé au fond de la salle derrière lui. Lui, il ne voit pas la télé, c'est fait exprès. Tu as compris ? 

- Oui.

- Bien, alors souviens-toi, tu ne dis rien et tu obéis. Maintenant avance devant lui. Au fait, il s'appelle Archie. »

Et il m'ouvre le rideau et me pousse en avant.

Je découvre alors deux caméras posées sur trépied et devant, à 3m de distance, un adolescent debout, assez grand et les mains attachées en l'air par des menottes fixées à un portique. Il est habillé normalement mais sa bouche est bâillonnée par un bandeau fortement serré. Il ne peut donc pas parler. Ses yeux sont grands ouverts et me fixent avec curiosité. Il est évident qu'il ne comprend rien à ce qui lui arrive. Je voudrais bien le rassurer mais je ne peux rien lui dire. Je sais bien que derrière les caméras Raldo me surveille. Je vois alors derrière lui la télévision dont Raldo m'a parlé. Dessus, rien n'est écrit actuellement. Ne sachant que faire je reste devant ce garçon… Que nous prépare Raldo ? Ils ont encore capturé une personne de plus. Leurs moyens semblent vraiment importants !

Je découvre alors deux autres caméras qui filment le jeune garçon de dos. Tous nos gestes sont donc épiés et il n'y a aucun angle mort. C'est fait exprès bien sûr. Brusquement, la télé s'anime :

« Déshabille-le. Coupe ses fringues avec les ciseaux. »

Je m'en doutais un peu. C'est encore et toujours des scènes de sexe que veulent nos gardiens. Je sais que je vais devoir obéir. Le rideau s'entrouvre et Raldo me tend sans rien dire, une paire de ciseaux. Je la prends et me dirige vers Archie.

Ne comprenant rien, il s'affole et ses yeux expriment la peur. Il s'agite et essaie de se libérer, mais ses efforts restent vains. Il est bien attaché. Je lui fais un signe d'apaisement qu'il semble comprendre. Il se calme. Je m'approche alors de lui et je commence par lui retirer ses baskets. Il a compris que moi aussi je suis prisonnier comme lui et que je n'ai pas le choix. A défaut de coopérer il se laisse faire sans résister. Puis je lui retire ses chaussettes. Il est à présent pieds nus. Le plus facile est fait.

Je réfléchis alors à la suite. Je regarde attentivement ses vêtements et je décide de commencer par le sweet fin qu'il porte. Je commence à découper les manches. Je procède doucement pour ne pas risquer de le blesser. Je finis par une grande entaille dans le dos et le sweat tombe sur le sol. Archie porte dessous un maillot court. Je procède de même et peu de temps après il se retrouve torse nu devant moi. Le torse d'Archie est légèrement musclé. Il est également bien bronzé. Je réalise alors que, comme nous, il est plutôt "beau mec". Nos ravisseurs semblent sélectionner avec soin leurs acteurs forcés ! Dessous ses bras une petite touffe de poil brune apporte un peu de virilité et de maturité à ce jeune garçon.

Je le regarde. A travers ses yeux la question qu'il me pose est évidente : « Tu vas me mettre complètement à poil ? ». D'un signe de tête j'acquiesce. Il me sourit d'un air résigné. Il a maintenant parfaitement compris notre situation. Je l'encourage de la main. Que puis-je faire d'autre ?

Résigné moi aussi je me mes à genoux devant lui et, en commençant par le bas, je découpe une jambe de son pantalon de toile. Je finis en ressortant délicatement les ciseaux au niveau de la ceinture. Je recommence avec l'autre jambe et son pantalon tombe lui aussi en lambeau devant lui. Ses jambes étant juste devant moi je constate qu'elles sont bien bronzées également et très peu poilues. Derrière moi les caméras zooment sur le boxer vert et étroit que porte Archie. Ce boxer est juste devant mon nez et je ne peux m'empêcher de le fixer. Il semble bien rempli. Je sais que dans quelques secondes je vais devoir lui retirer. Et alors ses organes génitaux m'apparaîtront... Je suis même certain qu’il faudra aller plus loin dans la découverte de son corps...

Afin de ne pas risquer de le blesser je passe un doigt de chaque coté de son sous-vêtement au niveau de la ceinture. Puis, après m'être légèrement décalé sur le coté pour faciliter les vues des caméras, je descends franchement ce boxer vert sur les genoux d'Archie. Je vois alors surgir un joli sexe, de taille honorable et surmonté d'une toison noire assez épaisse. L'extrémité de sa verge est recouverte par le prépuce et le gland n'est pas visible. Ses bourses sont quasi imberbes et ses testicules sont bien marqués, comme deux jolies petites prunes. Bien qu'il me soit possible de retirer le boxer par ses pieds je le coupe pour satisfaire aux ordres de Raldo. Ce qui reste du sous-vêtement rejoint alors les autres restes devant Archie... Il reste calme et résigné. Avec ses bras attachés en l'air il est vraiment dans une position de soumission totale. Sa nudité éclate complètement, éclairée par les spots, et filmées par 4 caméras devant et derrière lui. Ayant terminé ma tâche je me recule et regarde à nouveau la télévision dans l'attente de l'ordre suivant.

Celui-ci ne tarde pas à s'inscrire sur l'écran : « Tu as trente secondes pour te mettre à poil. »

Sans réfléchir davantage, je me dépêche d'obéir devant Archie qui ne comprend rien à ma soudaine précipitation. Je me retrouve en 2 temps 3 mouvements nu moi aussi. J'ai jeté mes fringues dans un coin sans vraiment savoir où... La situation est vraiment étrange. Je regarde Archie et lui me détaille de la tête au pied et son regard s'attarde sur mon sexe. Son regard est un mélange de perplexité et de crainte.

A nouveau la télévision me dicte la suite : « Passe derrière lui, dégage sa raie et lèche son anus. »

Je grimace devant cet ordre qui ne m'enchante guère. Mais n'ayant pas le choix je m'exécute. Je contourne Archie et m'assois derrière lui. Je place mes mains sur ses mollets et, d'une pression lui fait comprendre qu'il doit écarter les jambes. Il résiste ne comprenant pas... J'insiste et il finit par comprendre. Il écarte alors les jambes et dégage ainsi un peu sa raie. A hauteur de mon visage sa raie, au milieu des fesses fermes et blanches reste malgré tout fermée et son anus ne m'est pas visible... Je porte alors mes mains sur ses fesses et écarte les deux globes fessiers. Son intimité profonde est alors bien visible. Sa raie est presque vierge de tout poil et sa peau est lisse et blanche. Un petit anus rose et serré s'offre alors à ma vue. Contrant ma répulsion je plonge littéralement la langue dans son cul et, sans réfléchir davantage, je lèche avec application le trou d’Archie.

Visiblement il n'a pas pris de douche juste avant et il sent la transpiration. Un goût acre et désagréable parcourt également mes papilles, sans doute la peur… Ne sachant combien de temps je dois continuer, je n'ose stopper. Bien au contraire j'appuie fortement ma langue sur sa rosette. Je sens alors le corps du garçon s'agiter. De plaisir me semble-t'il… Après 2 mn environ sa raie est pleine de ma salive et bien humide. Je pense que c'est bon et que c'est suffisant. Je me retire. Je tourne alors la tête vers la télévision.

La suite y est déjà inscrite : « Prends le gode et enfonce lui. »

Aie ! Je m'en doutais un peu. Le problème c'est qu’Archie ne voit rien. Il va devoir subir cela peut-être pour la première fois... Je n'en sais absolument rien... Je vais essayer de ne pas lui faire mal mais il risque malgré tout de ne pas apprécier ! A travers le rideau la main de Raldo me tend un gode métallique. Je le saisis. Il n'est pas vraiment gros, mais si Archie est encore vierge, il va malgré tout le sentir passer…

Me sachant filmé et surveillé je me dois de passer à l'action. Sinon je serais moi-même puni et je n’aurais rien de plus. Je mouille l'extrémité du gode et doucement l'approche de la rondelle d'Archie. A son contact il tressaille. Le métal doit être froid et il devine alors la suite. Je fais glisser le gode au fond de sa raie en passant plusieurs fois sur son trou. Il serre davantage ses fesses et résiste. S'il ne coopère pas je ne vais pas arriver... J'augmente la pression mais il résiste davantage et commence à remuer sérieusement les jambes pour m'empêcher de continuer ma tache. Je ne sais comment réagir, je devine déjà la colère de nos gardiens. J'entends alors Raldo qui hurle :

- « STOP les caméras ! »

Puis il s'approche de moi et me fait signe de sortir de la pièce. Un gardien m'accompagne. Je me retrouve devant la porte. Trois minutes passent. J'ai peur pour Archie. La pauvre doit se faire ramener à la raison. Puis Raldo ouvre la porte et me dit :

- « Tu retournes derrière lui et tu continues. Il va coopérer maintenant. »

Sans rien dire je rentre et vais me placer derrière Archie toujours nu et attaché les bras en l'air dans la même position. Au passage, un coup d'œil sur son visage, me montre des signes de soumission et d'abattement. Je ne sais pas ce qui s'est passé mais il a perdu toute volonté de résister semble-t il.
Je lui écarte à nouveau les cuisses et, passant ma main sur son ventre, je le fais se cabrer pour bien dégager son cul. La pénétration en sera plus facile. Il ne résiste pas et se soumet totalement. Il se penche en avant autant que ses liens lui autorisent. Puis je représente le gode devant son trou. Les caméras ronronnent et zooment sur ce trou qui va devoir s'ouvrir. Je pousse alors doucement mais fermement et le gode force doucement la barrière de ses lèvres anales. Il ne lutte pas et, passé cette première barrière, le métal rentre facilement dans ses entrailles. Ma salive encore présente facilite le passage. Je pousse jusqu'à rentrer environ 10 cm du gode en lui, puis je commence à revenir sans toutefois ressortir complètement l'instrument métallique de son corps. Après quelques va et vient il me semble qu'il se détend et se décrispe. Je poursuis alors mes mouvements, allant même jusqu'à ressortir et remettre le cylindre de métal en lui. Sa rosette s'ouvre à chaque fois plus facilement et Archie ne lutte plus, bien au contraire me semble-t il…

De ma main gauche, toujours sur son ventre pour m'aider à prendre appui, je sens son sexe durcir et se dresser. Je descends ma main et entoure alors sa verge de mes doigts. Il semble apprécier et tressaille de plaisir. Il ne peut s'empêcher de bander fortement. Visiblement le cauchemar redouté est en train de se transformer en acte de plaisir. Peut-être malgré lui. Je ne sais pas mais il se tortille maintenant franchement et son sexe est dur comme du bois. Cette torture annoncée est en train de tourner à son plaisir… Je décide alors d'y aller franco. Au moins les scénaristes de ce scénario digne de Machiavel seront servis ! Tout en continuant de remuer le gode emmanché dans les fesses d'Archie je le masturbe. Je me surprends moi-même à donner du plaisir à ce garçon inconnu. J'éprouve un sentiment de puissance et je constate avec surprise que mon propre sexe s'est durci lui aussi. Peu m'importe je continue mes actions sur son corps et très rapidement Archie approche de la jouissance. Malgré son bâillon, ou à cause de celui-ci, il halète de plus en plus rapidement et finit par se cabrer sèchement. Son sexe se tend une dernière fois dans ma main et il éjacule alors fortement. Les jets de sperme jaillissent avec force vers le haut et retombent devant lui. Je retire alors complètement le gode de ses entrailles et me place légèrement en retrait. Je réalise alors que le scénario prévu par Raldo ne s'est peut-être pas passé comme prévu. Mais finalement la scène était plutôt pas mal ! Enfin, j'espère que nos gardiens vont le penser aussi...

Je me retourne et regarde la télévision. Un nouvel ordre est maintenant présent. « Suce-le et doigte-le en même temps. »

Bon. Encore un ordre qui ne procurera pas de douleur ni à l'un ni à l'autre ! En parfait esclave soumis je passe devant Archie. Son sexe est mi bandé et son gland est à nouveau recouvert par le prépuce. Un filet de sperme brille à son extrémité. Je m'approche de sa bite et l'engloutit. Je commence alors ma fellation. Mes mains passent dans son dos, parcourent ses fesses et explorent sa raie encore humide. Mon index s'approche de sa rosette et de son anus. Je force légèrement et entre mon doigt en lui. Entre ma langue qui s'affaire sur sa bite déjà raide et mon doigt qui lui fouille le cul, il remue et il est évident qu'il éprouve du plaisir... Après une minute de ce traitement il jouit en moi et jute violemment au fond de ma gorge. Je décide d'avaler sa semence. Il vient de jouir pour la seconde fois en quelques minutes et semble essoufflé. Il faut dire aussi que son bâillon l'empêche de respirer normalement.

A nouveau je regarde l'écran pour la suite. Mais l'écran reste noir pour le moment. Au contraire, le rideau s'écarte et Raldo entre.

- « Bien, c'est fini pour toi, temporairement. Retourne-toi. »

J'obtempère et je lui présente mon dos. Il me saisit les poignets et me les menottes dans le dos. Puis il me force à m'asseoir à environ cinq mètres devant Archie, hors du champ des caméras.

Archie, lui, ne comprend rien et roule des yeux affolés.

- « Tu restes assis ici et tu regardes ! »

 

La suite :  Un chalet en montagne - 17/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 8 septembre 7 08 /09 /Sep 13:00

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 14/26

 

Chapitre 15/26: Chacun son tour


- « Voila de quoi vous habiller : boxer, short et maillot. Allez, enfilez moi tout cela. »

Nous ne comprenons pas pourquoi il veut qu'on se rhabille. Mais bon, rapidement on se sert et chacun de nous trouve des vêtements à sa taille. Mike nous surveille et attend tranquillement que nous ayons fini. Je suis perplexe : il ne peut pas nous demander de nous habiller pour la nuit ! Ce n'est pas dans leurs habitudes...

Je remarque alors que les vêtements que nous portons sont de bonnes factures et plutôt moulants. Rien que de la marque. Ils sont très modes et fashion en fait. Encore une fois, ce détail me montre que nos geôliers n'ont pas de problème d'argent. C'est vraiment pour nos corps que sous sommes ici. Le fric ne les intéresse absolument pas.

J'en suis là de mes réflexions quand Mike ordonne alors à Chris et à John de se reculer légèrement. Puis il me regarde :

- « Toi ! Reste là et ne bouge pas ! »

Il dirige alors un petit projecteur portatif vers mon bas ventre et l'allume. Puis il s'approche lentement de moi. Il me dit alors :

- « Laisse toi faire. Je vais juste te mettre à poil. »

Je ne peux m'empêcher d'être surpris. Dans ce cas, pourquoi nous avoir fait rhabiller ? Je comprends alors qu'il veut me déshabiller pour son plaisir. Et effectivement c'est bien là son souhait. Il s'approche de moi et se saisit de mon maillot. Puis il le tire vers le haut. Je lève les bras et le maillot m'est retiré. Je suis à présent torse nu. Je jette un regard autour de moi et voit John et Chris qui me fixent. Je suis le seul à être manipulé et cela me met mal à l'aise. Je me demande si ce n’est pas fait exprès…

Mais Mike n'en a pas terminé avec moi. Il s'accroupit devant moi et me baisse doucement le short. Il me le retire complètement et le lance au loin. A présent, seul mon boxer moulant me protège de la nudité. Il me caresse ensuite le paquet et les fesses, à travers le coton doux de mon unique rempart. Docilement je me laisse faire. Une nouvelle fois il profite de son autorité pour jouer avec nous, avec nos corps. Il met une main de chaque coté de mon boxer et, saisissant l'élastique, il le baisse doucement de 10 cm. Mon sexe est alors à moitié dégagé ainsi que mes fesses. A nouveau il me caresse les parties et joue doucement avec ma tige et les bourses. Il enfile la main dans le boxer, plus profondément, passe à coté de mes organes génitaux puis sous mes couilles et atteint d'un doigt mon anus. Il le titille mais ne cherche pas à y rentrer. La situation est très humiliante et gênante pour moi. J'ai l'air ridicule avec ce boxer à peine baissé, en train de me faire tripoter et malaxer ! De plus, le faisceau lumineux du projecteur éclaire mon corps avec violence aux yeux de tous.

Puis il baisse à nouveau mon boxer de 20 cm, jusqu'aux genoux cette fois-ci. A présent mon sexe et mon cul sont parfaitement dégagés du textile. Il en profite et, devant mes deux camarades, il continue à me caresser et à jouer avec mes organes sexuels. A bout de quelques minutes il m'enlève complètement le boxer. Je suis à présent complètement nu devant lui et devant mes camarades qui eux sont habillés… Quoique depuis hier, nous ayons tous découverts les corps des autres, il m'est très désagréable d'être le seul ainsi exhibé à poil devant tous. Je ne sais où porter mon regard. Je suis gêné d'être ainsi utilisé pour son streap-tease personnel. Mais je sais bien que notre gardien se moque de nos sentiments et de nos états d'âme…

A présent Mike me demande de m'allonger sur un des matelas qui repose sur le sol. Je m'y allonge sur le dos. Il me glisse un coussin sous la tête et un autre sous les reins. Ce deuxième coussin est destiné à soulever mes fesses. Puis il ordonne à Chris et à John de se saisir chacun d'un de mes pieds et de me tenir les jambes relevées, légèrement repliées, mais en l'air. Ils obéissent et me voila à nouveau mes parties intimes, mes fesses, ma raie et mon anus exposés aux yeux de tous. En plus le projecteur est dirigé en plein sur mon entre jambe... Mon sillon imberbe et blanc est fortement éclairé, en pleine cible du faisceau lumineux. Dans le genre "plus exposé", il est difficile de faire mieux ! Mes deux compagnons, toujours habillés eux, ont aussi une vue imprenable sur moi. Je comprends alors que c'est la stratégie de Mike : moi seul suis nu et exposé afin de renforcer ma gène au dépend de ma pudeur. En plus je suis allongé presque par terre. Ils me dominent tous les trois. Mon sentiment de vulnérabilité est ainsi augmenté. J'ai beau savoir que Mike ne doit pas "nous abîmer" je n'en suis pas vraiment rassuré pour autant…

Mike farfouille dans le carton qui contenait nos vêtements et en ressort un tube et un gode long mais fin. Je devine alors qu'il va alors m'enfoncer ce gode. Mais à ma grande surprise il me tend le gode.
- « Tiens, voila : tu joues avec puis tu te branles à fond. C'est simple ! »

C'est simple certes, mais terriblement humiliant !

Quant à Mike il va tranquillement s'asseoir entre mes deux camarades, c'est-à-dire juste entre mes jambes. Sa vue sur moi est ainsi imprenable. Il va pouvoir me mater parfaitement, voir la moindre de mes actions et surtout, admirer mon cul et ma bite, car c'est cela qu'il aime.

- « Allez ! Vas-y ! »

Dans mon humiliation je ne sais plus où porter mon regard. Je décide alors de fixer un point au plafond. Je sais très bien que je vais devoir accomplir les ordres donnés. Alors je commence doucement à ouvrir le tube qui est en fait du gel lubrifiant. Je m'en étale une couche sur l'anus et aussi sur l'extrémité du gode. Ce gode n'est pas très gros et il devrait rentrer sans problème. Il est moins gros que ceux déjà utilisés auparavant... Puis je le présente devant ma rosette. Je me trouve ridicule de faire tout cela devant eux trois, mais ma gêne fait partie du plaisir de Mike…

Je commence alors à enfoncer le gode en moi. Très facilement et sans douleur mon sphincter s'ouvre et laisse passer l'instrument. Mes chairs s'écartent avec facilité. C'est finalement plus facile et moins douloureux quand on contrôle soi-même les opérations mais c'est plus humiliant, surtout sous les feux de la rampe ! Je continue à enfoncer le gode. A présent, dix bons centimètres du cylindre noir sont logés dans mes entrailles. Doucement je remue le gode et lui impulse des petits mouvements d'aller retour. Je me rends alors compte que mon sexe ne reste pas insensible à ces sollicitations annales. Je commence doucement à durcir et à bander. Je ferme alors les yeux et me concentre sur le plaisir solitaire qu'on m'oblige à me donner et à donner en spectacle aux autres… Petit à petit ma gêne et ma honte se réduisent et s'effacent progressivement. Comme tous acteurs le trac se réduit en jouant. Mon autre main parcourt mon ventre lisse et mes cuisses. Une minute plus tard ma verge est devenue une tige de béton dure et droite. Je bande fortement : maintenant toute ma honte est refoulée et cette exhibition forcée est devenue un plaisir… Je ne comprends pas ce revirement mais pour le moment je ne m'en inquiète pas outre mesure. Après tout puisqu'il faut se donner en spectacle allons-y de bon cœur ! Alors que ma main gauche s'occupe de titiller et de remuer le gode toujours profondément en moi, ma main droite saisit vigoureusement ma verge et je commence à asticoter mon membre. Je regarde à présent Mike qui me sourit. Il semble content de ma prestation. A nouveau il me fait un clin d'œil. A présent dans mon trip je le prends comme un encouragement. J'écarte davantage les jambes, je lève légèrement mon cul du cousin sur lequel il reposait jusqu'à présent. Alors que tout à l'heure j'étais honteux et gêné de montrer ainsi les parties les plus secrètes et intimes de mon corps, j'ai maintenant envie de me dévoiler complètement...

Je regarde alternativement Chris et John. Bien malgré eux, ou bien volontairement, leur regard est dirigé sur mon sexe et le gode qui sort de mon cul. Ils regardent avec détail mon exhibition qui, de forcée, est devenue un plaisir... Je retire complètement le gode et arque davantage mon cul ouvert. Je veux que les trois spectateurs voient chaque centimètre carré de mes fesses, de ma raie et bien sur de ma rondelle ouverte. Je replonge le gode en moi, dans un râle de plaisir que je ne peux m'empêcher d'émettre. Cette pénétration rapide me procure un plaisir intense et je la reproduis plusieurs fois. A chaque fois, j'offre aux spectateurs attentifs la vue sur mon anus ouvert et dilaté qui n'a pas vraiment le temps de se refermer entre chaque intromission. Sur mon sexe turgescent à l'extrême, mon autre main s'active toujours aussi vigoureusement.

Je suis devenu en quelques minutes une vraie salope qui aime s'exhiber. Toutes mes barrières sont tombées. Bien qu'au fond de moi une petite voix me dit que j'en fais trop, je ne peux pas l'entendre.
Dans mon nirvana de plaisir, je sens que je ne vais pas tarder à juter. Encore quelques mouvements vifs et rapides de ma main sur ma hampe et quelques jets de ma liqueur blanche jaillissent de ma queue. Je referme alors les yeux et profite de ces derniers instants du trip dans lequel je me suis enfermé, avec force plaisir, je dois maintenant l'avouer…

Les ondes de jouissance qui me parcouraient diminuent rapidement. Le gode est toujours fiché en moi, bien enfoncé dans mon cul. Je ne bouge pas et calmement ma respiration retrouve un rythme plus raisonnable.

- « Ne bouges pas ! Reste comme cela. »

C'est Mike qui me donne cet ordre. Je reste alors immobile écartant juste mes bras de mon corps. Je reste les yeux fermés pour ne pas voir le ridicule de ma situation et le regard de mes compagnons. Je sens alors que Mike se saisit du gode et me retire doucement l'instrument de mon fondement. Puis sa langue lèche avec délectation le sperme qui tache mon ventre. Il nettoie ensuite avec soin ma queue, à demi débandée après cette forte jouissance.

- « Très bien. Tu as été parfait. Relève-toi. »

Chris et John lâchent mes pieds et docilement je me relève. Au passage John me jette un regard désapprobateur. Il m'en veut de m'être ainsi offert en spectacle. Et peut être aussi d'avoir pris du plaisir dans cette action... Je le comprends mais je n'ai pas pu m'en empêcher. Je ne suis qu'humain et, finalement, ne maîtrise pas tout complètement. Mike continue à ordonner :

- « Ok, tu te rhabilles et maintenant c'est Chris qui va te remplacer. »

Je remets le boxer, le short et le maillot que je portais. Chris se place debout et reste immobile. Mike se met devant lui. La scène est prête à être rejouée avec un nouvel acteur dans le rôle principal : mon jeune cousin.

Comme à moi tout à l'heure, Mike lui retire lentement et un à un ses vêtements en jouant doucement avec son sexe et ses fesses. Il est longuement caressé et malaxé. Puis une fois complètement nu, de lui-même et sans attendre les ordres du gardien, il s'allonge sur le matelas. Je saisis dès lors son pied gauche et John le droit. Nous lui levons et écartons ses jambes. Il se retrouve alors dans la même posture que moi précédemment et j'ai ainsi la vision qu'ils avaient sur mon corps… Je regarde son entre jambe et je peux alors constater à quel point cette position met en évidence son jeune corps, lisse et quasiment imberbe. Sa raie est très ouverte, sa rondelle marron clair entoure son anus rose et serré. Ses bourses pendent et reposent devant son périnée. Chaque détail, chaque pli est visible. Son exposition à nos yeux est totale. Sa queue se trouve pour l'instant au repos. Il va devoir arranger cela et il le sait.

Lui aussi est gêné par sa position et son visage est empourpré de rouge. Alors que son regard croise le mien je lui prodigue un petit signe de la tête pour l'encourager. Il me répond par un léger sourire à peine esquissé. J'en suis rassuré.

Mike s'assoie maintenant devant lui, entre ses jambes, et lui donne le gode et le tube de gel. Mon cousin ferme les yeux et répète à son tour le scénario imaginé par Mike. Il s'enfile le gode qui semble rentrer sans douleur entre ses lèvres anales, puis il commence sa masturbation. Il a du mal à bander et il met beaucoup de temps avant d'obtenir une érection correcte. Il est évident qu'il n'arrive pas à prendre ne serait ce qu'un minimum de plaisir dans cette exhibition forcée. Toutefois il s'applique au mieux car il redoute les colères de notre gardien en cas de refus… Petit à petit, à force de mouvement de va et vient vigoureux sur sa tige érigée, il arrive enfin à jouir et à propulser trois jets de sperme sur son ventre. Je réalise alors que j'ai suivi avec attention ses mouvements, je l'ai maté sans vergogne et avec attention. Et je dois avouer que le spectacle de sa rondelle dilatée par le gode qui sort de son anus me fascine grandement ! Cette fascination se traduit d'ailleurs au niveau de ma queue : je suis légèrement bandé. La scène ne m'a pas laissé indifférent. Mais personne ne semble le remarquer cette fois.

Et Mike lèche aussi le ventre de Chris et avale avec attention la liqueur de mon cousin. Puis il se relève.
- « Relevez-vous tous les trois ! »

Avec docilité nous obtempérons. Quelle suite a-t'il prévue ? Chris est toujours à poil et se trouve à ma gauche. Mike nous ordonne alors :

- « Pascal et John : à poil ! »

Ainsi donc les fringues n'étaient qu'un accessoire du scénario. Je les retire rapidement et me retrouve comme Chris. John fait de même. Mike les ramasse et les met tous dans le carton. Puis il reprend également le gode et le tube. Il nous regarde enfin tous les trois :

- « Voila j'ai terminé, je vous laisse. Raldo revient demain matin. D'ici là, vous resterez enfermés ici.  Je vous porterais un repas dans la soirée. »

Puis il se retourne vers moi :

- « Tu t'es bien comporté tout à l'heure, tu devrais faire acteur de film X… »

Je ne sais que répondre et bafouille :

- « Euh… oui… enfin… »

Sans répondre mais me jetant un sourire il se retourne et quitte la salle. Le verrou qui se referme émet un clac sonore. Nous sommes toujours tous les trois nus et prisonniers dans ce chalet.

L'après midi s'étire lentement. Après avoir encore une fois discuté sur les possibilités inexistantes de fuite, chacun se repose et réfléchit aux derniers événements. Pour ma part je me demande encore comment et pourquoi j'ai pris autant de plaisir à me branler avec un gode entre les fesses devant mes camarades de captivité et devant Mike. Mais plus je réfléchis, plus je m'embrouille et moins j'y vois clair dans mes sentiments... Finalement je finis par m'endormir sur un des matelas. Je me réveille un long moment plus tard. Alors que la nuit tombe, Mike fait son entrée avec des plateaux repas qu'il pose par terre.

- « Levez-vous. Je dois juste vérifier un truc. Pascal, approche ! »

Je me lève du matelas et m'approche. Il me fait signe de me tourner.

- « Penche-toi en avant et écarte les fesses avec tes mains. Je veux voir ta raie et ton trou du cul. »

Docilement je m'exécute. J'écarte mes globes fessiers avec mes mains et lui présente mon cul ainsi ouvert. Il vérifie alors soigneusement que mon anus ne porte aucune trace des scènes qu'il nous a imposées en début d'après-midi, auquel cas il aurait de sérieux problèmes avec le vrai maître des lieux, c'est-à-dire Raldo. Mon inspection intime est à présent terminée.

- « Ok, au suivant. A toi John. »

Avec mauvaise grâce John obéit. Mike l'examine rapidement. Puis c'est au tour de Chris de lui présenter son anus. Il est examiné durant une longue minute et avec attention.

- « Ok, c'est tout bon. Mangez maintenant. On se retrouve demain matin. »

Et sur ces paroles notre gardien se retire. Nous restons à présent seuls avec nos repas. Nous avons faim et nous finissons les copieux plateaux, puis chacun de nous cherche le sommeil, dans l'attente du lendemain incertain... Je finis par m'endormir, perdu dans des tourbillons de pensée érotiques où se mélangent des scènes de cul, des bites érigées et fières, des anus ouverts par des godes surdimensionnés…

 

La suite :  Un chalet en montagne - 16/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 1 septembre 7 01 /09 /Sep 13:29

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Chapitre 14/26: Douceurs & Examens


Le garde porte alors une main sur le sexe de notre compagnon. Délicatement il examine et palpe les organes sexuels du jeune garçon. Puis il demande à John de se retourner. C'est alors ses fesses complètement bronzées qui sont examinées. Le garde prend son temps. Ses gestes sont délicats et il ne montre aucune brutalité.

- « Allonge-toi sur le dos et tu lèves les jambes en les tenant avec tes mains. »

Docilement John prend la position demandée. Le garde examine alors la raie et l'anus ainsi parfaitement dégagés. Il tripote à nouveau le sexe de John. Il prend vraiment son temps. Il joue et examine le corps de John mais sans violence aucune. Rien à voir avec le gardien précédent !
Je tourne alors la tête vers Chris assis à ma gauche. Il me jette un regard perplexe. Pourquoi un tel examen aussi minutieux ?

- « Bien, à toi maintenant. »

Il me désigne. Je me lève alors que John se rassoie. Comme pour mon camarade le garde examine avec attention mon sexe et mes bourses puis m'examine les fesses. Je me laisse faire docilement. Au moins cet examen ne fait pas mal. Certes c'est assez désagréable d'être ainsi manipulé mais bon, depuis le temps, je finis par m'y habituer. J'ai perdu toute pudeur ou presque.
Je finis moi aussi sur le dos, les jambes en l'air et écartées, la raie offerte au regard inquisiteur de notre jeune gardien. Il passe longuement son doigt sur ma raie, s'attarde sur mon petit trou. Il examine avec attention ma rondelle et l'écarte même avec ses mains. Son petit jeu dure bien plusieurs minutes.

- « Attends. Ne bouge pas. »

Il se lève et va chercher une bombe de gel dans le coin de la pièce.

- « Je ne veux pas te faire de mal… Laisse-toi faire, t'inquiète pas. »

Je le regarde et je vois qu’il me fait un petit sourire d'encouragement. Je ne sais pas quelles sont ses intentions exactes mais il est nettement moins brutal que son compagnon qui est parti.
Il met un peu de gel sur ma rondelle qu'il étale avec application et, doucement, me pénètre d'un doigt. Puis de son autre main il commence à me caresser les bourses et le sexe. Il accentue sa masturbation sur ma tige et continue de jouer avec son doigt dans mon fondement. L'extrémité de son doigt effleure ma prostate et cela m'excite fortement. Il veut me faire jouir, c'est maintenant évident. Je ferme les yeux et, petit à petit, mon sexe prend du volume. Et finit par pointer fièrement à la verticale. Il poursuit ses caresses sur ma tige tendue. Mon anus est toujours massé par son doigt. Tout doucement j'approche de la jouissance. Il s'en rend bien compte mais n'accélère pas pour autant ses mouvements. Je finis quand même par gicler plusieurs jets de sperme qui tombent sur mon ventre en longs filaments blancs. Il retire alors son doigt de mon anus et place ses mains sur mes jambes.

- « Reste allongé. Mets tes bras derrière ta tête. »

Je rouvre les yeux et je lui obéis. Il m'allonge les jambes à plat légèrement écartées. Mon sexe retombe lentement et revient tout naturellement à l'état de repos. Seul le sperme présent sur mon ventre montre l'éjaculation que je viens d'avoir.

Avec surprise je le vois alors approcher le visage de mon ventre et se mettre à lécher mon sperme. Il nettoie avec hésitation les traces blanches et épaisses. Puis après une nouvelle hésitation il s'attaque à l'extrémité de ma queue et, la tenant entre 2 doigts, la lèche avec sa langue. Il enlève ainsi les quelques traces de sperme présentes sur mon gland. Je me laisse faire docilement. Le traitement n'est pas vraiment désagréable en fait. Enfin, il se redresse :

- « Parfait, à Chris maintenant. »

Encore tout surpris de que qui vient de se passer je retourne à coté de John. Chris, lui, se lève et se présente devant le garde. Il a vu à présent que ce garde n'est pas brutal. Il profite en fait de sa position et de notre soumission pour réaliser ses fantasmes.

Comme pour nous auparavant, le garde examine le détail de l'anatomie intime du jeune garçon. Du bas de son dos à l'entrejambe et en remontant jusqu'au ventre, chaque parcelle de peau, chaque millimètre passe sous le regard acéré du gardien. Sur le dos, jambes écartées et relevées, ou à 4 pattes le cul offert et l'anus dilaté, Chris se soumet sans réticence à cette inspection. Il est à présent allongé sur le dos, les jambes écartées et c'est son sexe qui fait à présent l'objet des attentions du garde. Il va maintenant plus loin dans la recherche du désir de Chris et palpe, mesure, soupèse, malaxe les couilles de mon cousin. Une main sur les bourses, une autre autour de la tige, le gardien commence doucement à le masturber. Chris se laisse aller et coopère volontiers. Il est ainsi rapidement mené jusqu'à éjaculation. Quelques jets blancs jaillissent avec force de son méat et finissent sur son ventre. A nouveau le garde lèche soigneusement la semence fraîche. Je suis maintenant quasi certain qu'il aime les garçons. Au moins lui ne nous fait pas de mal. Du moins, jusqu'à présent…

- « Bien, parfait ! Mets-toi à 4 pattes à présent. »

Chris obéit, à contre cœur car il croyait en avoir terminé.

- « Baisse la tête et tes coudes sur le matelas et fait ressortir ton cul. »

Le garde pose ses mains sur les cuisses de Chris et, d'une pression, lui demande d'écarter davantage les jambes. La raie imberbe est ainsi dégagée et ouverte à tous les regards. Son anus aussi. Le cercle froncé et plissé l'entourant, vierge de tout poil, se dégage joliment dans sa raie blanche.

Et justement c'est que qui semble intéresser actuellement le garde. Il examine à nouveau le trou serré de notre compagnon. Puis il sort un instrument métallique, le montre à Chris, et explique :

- « C'est fait pour ouvrir le trou. Je vais mettre du gel, tu verras ça fait pas mal. »

Chris veut se redresser mais il reçoit une tape sur les cheveux. Comprenant que toute résistance est inutile il reste immobile. Le garde étale alors du gel sur la rondelle du garçon et sur l'instrument. Puis il l'approche des fesses de Chris. Le métal brillant tranche avec la peau légèrement rosée des fesses imberbes et rebondies. Le spéculum, car il s'agit de cet instrument médical, entre alors dans le conduit anal de mon cousin. Il n'est pas plus gros qu'une bite et avec le gel l'introduction se passe sans douleur. Au terme de quelques centimètres, le gardien stoppe son avancée.

- « Voilà, maintenant je vais écarter doucement. Surtout ne bouge pas… »

Chris tourne son visage vers moi. Il est légèrement inquiet. Le métal glacé dans son anus doit lui procurer une sensation nouvelle et étrange. Toutefois il ne bouge pas et essaye de rester stoïque. Le garde tourne alors une petite vis sur le coté du spéculum et lentement les 2 demi coques de l'engin s'écartent. Et, petit à petit, l'anus de Chris se dilate. Le garde continue de tourner la vis et le diamètre de l'anus dilaté de Chris augmente. A présent je distingue clairement son trou ouvert en son centre vers ses entrailles. Encore quelques tours de vis et le trou fait maintenant plus de 2 cm environ. Le garde se redresse alors et se tourne vers moi :

- « Approche. »

Je le regarde d'un air stupéfait puis je me lève et lui obéis. Je m'approche alors du cul ouvert mécaniquement de Chris. C'est étrange de voir ce trou ouvert vers ses entrailles. Ca à un coté mécanique, froid et inhumain. Le garde me pousse la tête vers la raie de mon cousin. Bien malgré moi j'ai droit à un très gros plan de l'anus complètement ouvert. L'éclairage ambiant ne parvient pas à pénétrer l'anus ainsi ouvert et, seul un trou noir est visible.

Puis le garde me relâche la pression et me demande de retirer moi-même l'engin. Je dévisse alors rapidement la petite vis et l'anus de Chris se resserre au même rythme. Puis je retire doucement l'engin du fondement. Sans problème son trou se referme et retrouve sa forme initiale. Sa rondelle ne garde aucune trace de cette ouverture forcée.

Notre gardien me repousse alors à ma place. Chris lui, reste toujours le cul bombé et à 4 pattes. Il n'ose bouger. Mais le gardien en a terminé avec lui pour l'instant. Il s'adresse à Chris qui attend docilement ses directives.

- « Retourne t'asseoir à coté de tes copains. »

Chris revient près de nous et se met assis en tailleur à ma droite. Nos regards sont tournés vers notre gardien. Il semble réfléchir et hésiter sur la suite des opérations. Après une longue minute il s'adresse à nous :

- « Bon ! Ecoutez-moi bien, l'occasion est trop belle. Vous êtes… euh… plutôt pas mal foutus et vous l'avez compris j'aime bien les petits mecs comme vous et vous êtes obligé de m'obéir… Alors voilà ce que je vous propose : on va faire une touze tous les quatre ! »

Je regarde mes compagnons. Comme moi, ils ne semblent pas vraiment surpris. Le garde poursuit :

- « Vous allez en fait surtout vous occuper de moi. Si vous ne voulez pas et bien… je vous punirais. Vous savez très bien ce qui se passe alors… »

Il se tait et laisse planer la menace… Puis il reprend :

- « Voilà. Alors votre choix ? »

Chris me regarde et m'interroge du regard. John, lui, me fait un petit signe d'assentiment. De toute manière les dés sont pipés. Il est peut-être pas brutal mais il use de son autorité sur nous. Et en cas de refus nous savons ce que nous risquons. Je lui réponds donc :

- « OK, nous sommes d'accord.

- Très bien. Je m'en doutais. Je vais aller me doucher et je reviens dans 10 mn. »

Sur ces paroles il nous quitte en prenant bien soin de fermer la porte derrière lui. Aucun de nous n'ose prendre la parole en premier. Finalement, John parle :

- « L'enfoiré ! Il va encore falloir qu'on baise avec lui !

- Ouais mais au moins lui, c'est pas une grosse brute comme l'autre !

- Hum… »

John ne dit plus rien. Ni aucun de nous trois d'ailleurs…

Finalement, dix minutes plus tard comme annoncé, le garde revient. Il a maintenant juste une serviette autour de la taille et commence par placer trois matelas les uns à coté des autres.

- « Voilà ! On sera bien là-dessus. Allez ! Approchez. »

Il se met au milieu des matelas et s'allonge. Puis il me fait signe de la main. Je m'approche de lui. Je ne sais pas vraiment comment débuter. Je n'ai jamais participé à une partouze entre mecs ! Voyant mon hésitation, il retire sa serviette et m'ordonne :

- « Tiens, suces-moi pour commencer. »

Je regarde alors son gros sexe qui, pour l'instant, est flasque. Avec mauvaise volonté j'approche mon visage, ouvre la bouche et commence à le sucer. Son sexe sent le champoing, normal après sa douche. Au moins, c'est pas trop désagréable comme odeur.

- « Allez vous deux aussi, venez ! Au fait je m'appelle Mike ! »

John s'approche et commence à caresser le torse de notre gardien. Quand à Chris il se laisse palper les couilles et l'entrejambe par Mike. Ainsi sollicité le sexe de Mike grossit rapidement dans ma bouche. J'ai du mal à respirer mais son propriétaire semble apprécier aussi la situation.

- « Attendez, on va faire mieux. Pascal, stoppe trente secondes. »

J'obéis tout de suite.

- « Allonges-toi sur le dos. »

Je prends la position demandée. Il se met alors à 4 pattes et avec une jambe de chaque coté de mon corps, au dessus de moi, il se positionne pour que son sexe soit à hauteur de ma bouche.

- « John, tu t'occupes de mon cul et toi Chris, approche. Je vais sucer ta jolie petite bite. »

John se place alors derrière lui et commence à lui caresser la raie, l'anus et les fesses. Chris se fait happer le sexe et moi je reprends ma fellation sur Mike.

Ainsi positionné Mike est sollicité de tous les cotés. D'un accord tacite et aussi par obligation nous faisons le maximum pour combler Mike. John après s'être branlé pour faire durcir son sexe se prépare à prendre Mike par derrière. Moi je pompe avec vigueur le sexe turgescent de notre gardien. Il semble adorer mes efforts et pousse vigoureusement son chibre au fond de ma gorge au risque de m'étouffer par ailleurs.

Chris, lui, est sucé par Mike qui a bien du mal à se concentrer sur cette dernière activité. En levant les yeux je vois le sexe de Chris en érection. Il se fait pomper le dard et finalement y trouve du plaisir. Pour lui les rôles sont inversés : C'est le gardien qui lui procure du plaisir.
Mais il est évident que Mike adore...

Brusquement le gland de Mike me rentre au fond de la gorge. Je manque m'étouffer. Il s'est en fait cabré alors que John pénètre en lui. Pourvu qu'il le prenne bien ! Je réalise alors aussitôt qu’en fait c'est ce qu’a demandé Mike…

A présent Mike essaie de synchroniser tous nos mouvements mais il n'y arrive pas vraiment. Peu importe, je sens qu'il ne va pas tarder à jouir dans ma bouche. Une dernière poussée et oui, il éjacule dans ma gorge. Résigné et ne voulant surtout pas le contrarier j'avale tout son sperme, malgré le peu de plaisir que j'ai pour cela. Je retire alors mon visage de sa bite et je le regarde s'activer sur le sexe de Chris. Le bassin de Chris ondule de plaisir sous la fellation. Quelques instants plus tard c'est au tour de Chris d'éjaculer. Avec délectation Mike avale et lèche le gland de mon jeune cousin. Puis Mike baisse davantage son visage vers le mien et se cabre davantage. C'est bien sur une invitation à John pour qu'il poursuive son enculade. Mike semble vraiment aimer tout…

John y va de bon cœur et pistonne allègrement le cul offert devant lui. Mike me regarde d'un air complice. Il me laisse perplexe. Mais bon, puisqu'il aime… Après quelques instants John éjacule avec un cri de satisfaction dans les entrailles de notre gardien.

Je vois alors la bouche de Mike s'ouvrir et s'arrondir de plaisir. Puis, brusquement, il me passe une main derrière la tête, ses lèvres se rapprochent des miennes et il m'embrasse avec fougue. Surpris je ne résiste pas et laisse sa langue explorer ma bouche. Il me roule un patin du diable. Il roule avec moi sur le coté et de son autre main me saisit les couilles qu'il me malaxe. Puis il abandonne son étreinte et son baiser passionné et d'un mouvement rapide se retourne et me gobe mon sexe pour me le pomper. Il est vraiment excité et semble avoir du mal à se contrôler. Je m'étire davantage et le laisse s'occuper de ma tige qui, sous ses caresses buccales, ne tarde pas à reprendre sa vigueur. Je vois alors Chris et John, debout à coté des matelas qui ne savent pas vraiment quoi faire. Toutefois ils regardent avec attention Mike et moi. Mike me passe à présent une main sous les fesses et explore ma raie. Je lui facilite son exploration et, écartant les jambes, je suis moi aussi vraiment excité. A nouveau toute pudeur m'a abandonné et j'éprouve même du plaisir à cette scène. Je me laisse aller sans retenue, m'exhibant sous les regards de John et de Chris. Un doigt me pénètre l'anus et va gratouiller ma prostate. Mike est certes un gardien pervers mais il me prodigue une fellation de 1er choix. Je suis au nirvana du plaisir et très rapidement, dans un dernier soubresaut, je jute ma semence blanche dans sa bouche.

Comme pour Chris tout à l'heure, il lèche mon sexe avec application et ne veut pas perdre une goutte de mon sperme. Il a vraiment l'air d'aimer cela. Il bande d'ailleurs un maximum. Il lèche jusqu'à la dernière trace puis se redresse, l'air satisfait.

- « C'est bien ! Vous avez bien joué le jeu ! Mais ce n'est pas fini. Il me reste encore un peu de temps, on va en profiter… »

Puis il me regarde et m'ordonne :

- « Pascal, allonges-toi sur le ventre, les bras en avant. »

Docilement je m'exécute et m'étale sur les matelas.

- « Et toi Chris, pareil, à côté de lui. Serrez-vous bien. »

Chris me rejoint alors à ma droite et se colle à mon corps. Pas assez toutefois au goût de Mike qui le presse davantage contre moi.

- « Levez votre ventre ! »

Malgré le manque d'appui nous décollons notre ventre d'environ 10 cm. Mike y glisse alors un polochon. Nous avons donc maintenant le cul légèrement en hauteur. Puis notre gardien prend la jambe droite de mon cousin et l'écarte au maximum. Il fait la même chose avec ma jambe gauche. Il a donc à présent nos deux paires de fesses ouvertes, serrées l'une contre l'autre, sous ses yeux. Les raies imberbes sont ouvertes et dégagent nos rondelles. Je devine la suite qui me semble assez évidente.
Il me passe alors une main sous le ventre et me tire en arrière mes bourses et mon sexe pour que mes organes ne soient pas coincés sous mon ventre. Bien évidement pour Chris c'est itou.
Il se met ensuite à genoux à califourchon derrière nous et de sa main droite commence à me caresser le cul. Par symétrie sa main gauche s'occupe des fesses de mon cousin. Longuement il caresse nos postérieurs. Ses mains ondulent de nos cuisses à nos reins en passant par nos raies. Il s'attarde aussi souvent sur notre trou et parfois y entre légèrement un doigt. Il profite de nos jeunes corps et notre peau lisse et semble prendre beaucoup de plaisir dans ses simples caresses. Il est à la limite du massage érotique et je me surprends à sentir mon sexe grossir. Bien que retirée en arrière, ma bite est comprimée et cette compression aide mon érection. Entre mes fesses grandes ouvertes, Mike voit mon gland qui prend forme et devine les effets agréables que me procurent ses caresses. Du coup il en profite pour effleurer de ses doigts l'extrémité rose et sensible de mon gland. Ce contact m'électrise à chaque fois. Je suis maintenant bandé dur. C'est quand même surprenant cette rapidité à bander à chaque fois. Certes les caresses de Mike sont efficaces mais il reste quand même notre gardien et nous manipule sous la contrainte. Je me demande si Chris, dont le corps est toujours collé au mien, est dans le même état d'excitation.

- « Retournez-vous ! Mettez-vous pareil, mais sur le dos. »

Mike se relève alors pour nous laisser manœuvrer. Chris et moi nous retournons sur le dos. Je peux alors constater que Chris aussi est en pleine érection. Comme le mien, son joli sexe pointe vers le ciel. Ce qui me rassure aussitôt. Aucun garçon ne saurait résister aux caresses appuyées et expertes de notre gardien.

Mike se remet tout de suite à califourchon sur nos jambes. Il a devant lui nos jeunes tiges érigées à la verticale. Il est souriant et empoigne vigoureusement une bite dans chaque main. Puis il nous masturbe avec vigueur et synchronisme. Pour ma part je sens que la conclusion est proche. Un dernier petit sursaut de ma part et plusieurs jets de sperme s'échappent de ma queue. Ne sachant que faire, je reste ainsi allongé, immobile. Je jette un regard à Mike qui me répond par un clin d'œil complice et un léger sourire. Je ne sais comment interpréter sa réaction. Je décide de ne pas réagir et d'attendre la suite, c'est-à-dire mon cousin. Je devine alors que Chris n'a pas encore joui. A travers son corps collé au mien je ressens très bien les mouvements masturbatoires que Mike imprime à sa tige gorgée de plaisir. La respiration de mon cousin s'accélère et dans un râle à peine perceptible il éjacule à son tour. Mike a fait en sorte de récolter la liqueur dans sa main. Et comme je le pressentais, il lèche maintenant sa main pour ne rien perdre du sperme blanc et gluant de mon cousin. Une fois terminé de nettoyer sa main, il se penche vers moi et me lèche les traces de mon sperme sur mon ventre. Avec application et délectation il lèche ma peau douce et, quoique surprenant, l'effet n'est pas désagréable... Toutefois je le trouve vraiment bizarre dans ses goûts… Heureusement, il n'est pas violent, c'est déjà ça.

Notre gardien se redresse. Son sexe est maintenant devenu un vrai barreau et se tient à l'horizontal. Il est énorme et bien plus gros que les nôtres. Il n'y tient plus et a envie visiblement de se vider les couilles. Depuis le temps qu'il joue avec nos corps il n'en peut plus. Il ordonne alors à John de s'approcher.
- « Tourne-toi ! »

Résigné, John s'exécute. Sous une poussée des mains de Mike il se penche en avant. Mais pas assez au goût de Mike :

- « Encore, empoignes tes chevilles avec tes mains ! »

Chris se penche et se casse davantage en deux et agrippe ses chevilles. Afin de ne pas perdre l'équilibre il doit écarter un peu ses jambes. Dans cette position son cul, très ouvert et bien accessible, est pile poil à la hauteur du sexe érigé de Mike et il est parfaitement positionné pour se faire prendre par ce dernier. Et effectivement c'est bien là le sort qui attend John. Au ton qu'emploi Mike pour le diriger, je devine que John n'est pas son préféré de nous trois. Je ne sais pas pourquoi. Quoiqu'il en soit c'est John qui va devoir subir ce gros braquemart dans son cul. Et sans préparation en plus ! Rapidement, Mike le saisit aux hanches et positionne son gland entre les fesses de John qui à bien compris ce qui l'attend. Puis d'un coup sec il pénètre le garçon. Son chibre est gros et John ne peut résister à un sursaut de douleur. Mais il est solidement maintenu par bien plus fort que lui. La lutte est inégale. Mike s'enfonce en lui complètement. Vaillamment, le garçon encaisse la douleur et ne crie pas. Mike reste collé à lui quelques secondes avant de se retirer et de continuer son enculade. John subit alors un pistonnage en règle et en force. Il se fait enculer avec passion ou plutôt avec violence... Au bout de 2 minutes de ce pistonnage fiévreux, Mike libère enfin sa pression et jouit au fond des entrailles de John. John vient de lui servir de vide-couilles. Mike se retire alors et s'écarte de nous trois.

- « Attendez-moi, je reviens de suite ! »

Il quitte illico la salle. John se redresse et nous regarde avec de la haine dans ses yeux :

- « Quel connard ! Putain faut qu'on se tire d'ici ! »

Je fais la moue :

- « Ouais ! Mais comment ??!! »

Chris ajoute :

- « Moi aussi j'ai ai marre ! »

Je regarde alors et examine notre lieu de détention. Aucune issue bien sûr. Et il y a des gardiens dehors dans les couloirs. Chacun de nous le sait pertinemment. Encore une fois, personne n'a d'idée concrète... Mike tarde à revenir. Dix grosses minutes passent avant qu'il ne revienne. Il est à présent habillé. Il porte un carton qu'il dépose sur le sol devant nous.

 

La suite :  Un chalet en montagne - 15/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 25 août 7 25 /08 /Août 12:41

Episode précédent :   Un chalet en montagne - 12/26

 

Chapitre 13/26: Cauchemars !


Et il nous laisse enfermés tous les trois, toujours sous la surveillance de la petite caméra. Mais au moins cette fois personne ne porte des menottes.

Nous mangeons puis nous discutons entre nous. On se demande quand on va nous retrouver et combien de temps ils veulent nous garder. Mais toutes nos questions restent sans réponse.
Impossible de discuter d'un plan d'évasion. La caméra nous surveille et il y a certainement des micros pour écouter nos paroles.

Finalement nous restons allongés sur les lits sans plus rien avoir à se dire.

Un long moment après la porte s'ouvre. Le garde sadique de hier soir rentre avec un vilain sourire en coin sur sa face patibulaire. Je crains la suite. Il va profiter de l'absence de Raldo pour s'amuser à nos dépends.

- « Bien les gamins on va s'amuser un peu. Et j'ai invité un ami… »

Rentre alors un autre garde, plus jeune, à l'allure militaire comme lui. Il nous regarde avec curiosité pendant les explications du 1er garde :

- « Tu vois ils sont bien. Je t'avais dit. Tu fais ce que tu veux mais faut pas les abîmer sinon Raldo le verra.

- Ouais…

- Allez debout tous les 3 ! »

Résigné, nous nous levons tous les 3. Chris semble très apeuré. Le plus jeune garde se rapproche alors de lui et lui retire sa serviette. Il examine alors mon cousin nu devant lui.

- « Houla, c'est un bébé celui-là ! J'ai jamais baisé un gars si jeune… »

Puis il retire la serviette de John et, dans la foulée, la mienne. Il les jette au loin. Nous sommes maintenant tous les 3 nus devant eux deux, à attendre quelle sera la prochaine victime de leurs jeux et de leurs envies.

Finalement, Chris semble avoir sa préférence. Le jeune garde le tire par la main et l'éloigne de nous deux.

- « Toi ! Mets-toi à genoux et suce-moi ! »

Le garde défait son pantalon et Chris se met devant lui. Il va devoir comme toujours obéir. Le garde baisse son slip et montre un gros sexe poilu. Il met une main sur les cheveux de Chris et lui dirige le visage vers son sexe. Chris ne résiste pas.

Durant ce temps, le 1er garde nous a fait asseoir et nous surveille. Chris, toujours maintenu par la tête, suce avec application le sexe du gardien qui remplit visiblement sa bouche. A entendre les exclamations ravies du garde il est évident que la fellation se passe bien pour lui. Et la scène excite l'autre garde qui semble avoir hâte de prendre part à l'action lui aussi.

- « Attends je te rejoins ! Je vais neutraliser ses 2 copains. »

Il nous regarde alors :

- « Allongez-vous sur le coté et dos contre dos. Vite ! »

John et moi prenons la position demandée. Il nous met alors à chacun une paire de menottes, les poignets dans le dos mais en prenant soin de les croiser. Nous sommes ainsi liés l'un à l'autre. Puis il procède de même pour nos mollets. C'est au final 4 paires de menottes qui nous tiennent intimement ficelés. Le garde rejoint alors son compère. Etant dirigé de leur coté je peux voir leurs mouvements.

Chris est toujours affairé sur le sexe du jeune garde.

- « Attends, je vais moi aussi en profiter. »

Il met alors nos 3 matelas l'un sur l'autre. Ils forment une pile d'environ 40 cm. Il s'adresse à son comparse :

- « Arrêtes-toi une minute, tu vas voir. »

Chris, ne voyant rien et ne comprenant pas grand-chose, se voit tirer la tête en arrière. Puis il est forcé à se mettre à 4 pattes sur les matelas mais en travers. Je comprends alors l'idée : Il va pouvoir sucer un garde d'un coté alors que le 2ème le sodomise de l'autre coté.

Et c'est exactement ce qui se prépare : le jeune garde se repositionne devant le visage de Chris qui comprend qu'il doit poursuivre la fellation interrompue. Chris s'exécute. Durant ce temps l'autre gardien s'est placé devant les fesses ouvertes de Chris et lui écarte davantage les jambes. Chris comprend alors leur intention mais la main de fer qui s'applique sur ses cheveux lui fait comprendre que toute résistance est vaine. L'homme patibulaire sort malgré tout une bombe de gel de sa poche et en étale rapidement une dose sur l'anus rose de mon cousin. Puis il baisse son pantalon et présente un sexe déjà parfaitement rigide et bandé. Immédiatement il positionne son chibre devant la rosette grande offerte devant lui puis il pénètre directement mon cousin, lentement mais sûrement. Il assure sa prise en le maintenant aux hanches. Mon cousin, la bouche occupée, ne peut rien exprimer. Je vois juste son dos se tendre. Durant plusieurs minutes les 2 hommes l'utilisent ainsi pour leur plaisir et de manière violente.

Cette scène me révolte mais, ficelé par terre comme je le suis, je ne peux rien faire. Quand à crier ou à leur demander de stopper, je préfère ne pas essayer, de peur de les énerver davantage.
John quand à lui ne voit rien. Mais il certain qu'il devine tout rien qu'en écoutant.
Finalement, un garde éjacule dans la bouche de Chris. Presque au même instant l'autre joui dans ses entrailles.

- « Allez, on échange ! »

Les deux gardes changent respectivement de position. Chris est obligé de s'appliquer à nouveau sur un nouveau sexe alors qu'il se fait enculer par un autre... A nouveau il est le jouet de ces 2 gardiens.

Bien obligé, il s'applique dans sa fellation et, rapidement, l'homme éjacule dans sa bouche. Chris doit avaler le sperme puis nettoyer le sexe de l'homme. Et de l'autre coté l'autre comparse jouit dans ses entrailles avec un soupir de jouissance bien marqué.

- « Parfait ! Il est super ce jeune ! » S’exclame alors le plus jeune des deux.

- Bon et les deux autres ? On fait quoi pour eux ?

- Euh… Je ne sais pas… »

Les deux gardes se retournent vers John et moi. Je regarde ailleurs. Je ne peux regarder ces deux brutes dans les yeux. Chris reste allongé sur sa pile de matelas sans oser ce lever. Soudain, le plus ancien s'exclame :

- « Je sais, j'ai une idée ! On va les obliger à s'enculer entre eux. Comme ça, on se reposera pendant ce temps. »

L'autre garde ne semble pas emballé.

- « Bof, ils l'ont déjà fait pour les films…

- Ouais… C'est vrai… »

A ce moment là, le téléphone du garde le plus âgé sonne. Il répond.

- « Oui ?... Ok ! J'arrive. »

Il se tourne vers son compère :

- « Je dois partir et je ne reviendrais pas avant demain matin. C'est toi qui vas les garder cette nuit donc. Tu fais ce que tu veux mais surtout pas de trace ! Sinon Raldo et le grand chef ne te le pardonneront pas. Compris ? 

- OK, ne t’inquiète pas. »

Il quitte alors la salle. Au moins le pire des gardes est parti pour la nuit. Du moins c'est ce que je pense. J'espère ne pas me tromper...

Pour le moment son compagnon reste là, debout devant nous. Son regard passe alternativement de John et moi, toujours attachés sur le sol, à Chris maintenant assis sur les matelas. Il ne semble pas savoir que faire. Sa réflexion dure un bon moment. Il finit par prendre la parole.

- « Toi Chris, vas t'asseoir à coté des 2 autres. »

Chris se lève et vient se rasseoir en tailleur à coté de nous. Le garde lui balance alors une clé. Par réflexe, Chris la rattrape.

- « Libère tes camarades ! »

Avec surprise Chris obéit et nous enlève nos menottes. Docilement nous nous asseyons tous les trois les uns à coté des autres, en tailleur et bien sûr toujours complètement nus. Le jeune garde récupère les menottes et finalement s'assoie devant nous sur les matelas.

- « OK, je préfère vous voir non attachés. Je ne veux pas vous faire du mal. Mais comprenez bien que si vous n'obéissez pas je serai moins sympathique. Compris ? »

Nous échangeons des regards intrigués mais nous hochons la tête en signe d'assentiment. Il désigne John :

- « Toi ! Lèves-toi et approche. »

John se lève et s'approche doucement du garde puis, arrivé 50 cm devant lui il stoppe et reste debout, les bras ballants…

 

La suite :  Un chalet en montagne - 14/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 18 août 7 18 /08 /Août 12:09

Episode précédent : Un chalet en montagne - 11/26  

 

Chapitre 12/26: Acteurs confirmés


- « Voila. Il s'agit maintenant d'utiliser un gode de plus gros diamètre. Le voila. »

Et il sort un gode noir d'un sac de sport. Je ne le vois pas. Mais, entre mes jambes, je vois une grimace de surprise sur le visage de John. Il tend le gode à John et poursuit ses explications:

- « Avant, tu vas lui assouplir et lui masser la rondelle. Pour cela, tu vas d'abord utiliser cette huile de massage. Puis tes doigts. Tu as aussi un autre gode plus petit et cette crème qui assouplit les muscles. Il y a du gel aussi. Débrouille-toi. A la fin, tu dois lui enfoncer ce gode à fond. Et tu fais en sorte que le champ soit bien libre, pour la caméra. Tu as compris ?

- Euh …oui. Mais si je n’y arrive pas ?

- Impossible ! Dans ce cas, je vous punis tous les 2. Toi et Pascal. »

A ces mots, prononcés sur un ton sec, nous comprenons que comme d'habitude les désirs de notre scénariste sont en fait des ordres. Il ne nous reste donc plus qu'à obéir docilement.

Avant de commencer, Raldo me montre le gros gode en me le présentant devant le visage.

Effectivement, ce n'est plus le gode de 4 cm déjà utilisé. Celui-ci fait bien 4 cm de diamètre, mais seulement sur la dernière section. Il ressemble en fait à une fusée à étage de 2 sections. D'abord une section de 4 cm puis le diamètre augmente progressivement jusqu'à environ 8 cm. Enfin, j'évalue cela rapidement n'ayant pas de règle graduée sous la main... En tous cas, c'est gros et c'est long.

Pourtant il va falloir que j'absorbe ce cylindre dans mon fondement. Après quelques hésitations sur la démarche à suivre, John se saisit d'un flacon d'huile de massage et m'en verse généreusement sur la raie. Puis il commence à me masser et à me pétrir les fesses. Doucement il s'approche de mon trou. Il remet de l'huile et poursuit son massage. Progressivement mes muscles se détendent. Il positionne alors un doigt sur ma rosette et appuie dessus pour me faire comprendre qu'il va commencer à s'occuper vraiment de mon trou. J'essaye alors de ne pas serrer mes muscles anneaux et de lutter contre ce réflexe naturel. Il rentre alors son doigt en moi et le fait doucement tourner.

Puis un deuxième doigt rejoint le premier. Grâce à l'huile, cette double pénétration se passe sans souci et sans douleur. Mais ce n'est que le commencement. Il ressort ses doigts, les remets. Petit à petit mes lèvres annales s'assouplissent et se dilatent. A présent il étale la crème assouplissante sur mon anus et, pour bien la faire pénétrer, il poursuit ses massages avec ses doigts.

Pour le moment ça ne se passe pas trop mal. Le plus inconfortable pour moi étant la position de mon corps. De quoi avoir des courbatures rapidement.

La crème me procure une sensation de brûlure mais à nouveau je sens mes muscles anaux s'assouplir. Je ne sais pas si John a déjà pratiqué cela mais il semble relativement à l'aise. Il poursuit à m'enfoncer et à tourner 2 ou même 3 doigts dans mon anus et la douleur reste minime pour moi.
A présent il me présente le premier gode de 4 cm de diamètre. Il l'enduit généreusement de gel lubrifiant puis le presse contre ma rondelle dilatée. Il augmente la poussée et, doucement, ce gode s'enfonce très facilement en moi. Ses massages, l'huile et la crème assouplissante m'ont bien préparé et cette introduction se déroule sans douleur. A vrai dire, si ce n'était le contexte si particulier et la présence de la caméra, je pense que j'y prendrais même du plaisir… Mais découvrir tout cela sous la contrainte et en étant filmé est nettement moins plaisant et glamour !

John joue maintenant avec le gode. Il le retire et me le renfonce plusieurs fois. Une fois bien enfoncé il l'agite en moi. Tout cela finit par me faire de l'effet et je vois mon sexe qui durcit et bande de plus en plus. Mais l'action se situe au niveau de mon cul et John, après bien dilaté ma rondelle avec le 1er gode, sait qu'il doit maintenant passer au 2ème. Celui qui a la forme d'une fusée. Il s'en saisit et l'enduit de gel. Il me répand également beaucoup de gel dans ma raie et s'attarde particulièrement sur mon anus avec force introduction de ses doigts. Le gode fusée est maintenant pressé contre mon anus. J'écarte davantage les jambes et fait le maximum pour faciliter l'introduction de ce gros corps en plastique noir. Sans problème je sens le 1er étage, le plus fin, rentrer en moi et John stoppe alors la progression. J'attends la suite et, dirigeant mon regard vers ma queue, je constate qu'elle est bandée à fond et que le gland dégagé est humidifié par des filets de précum. John force davantage et le 2ème étage du gode fusée commence à m'élargir l'anus et à pénétrer en moi. La douleur est vive mais finalement moins grande que ce que je redoutais. La pénétration se poursuit doucement et mon camarade m'enfonce la totalité du gode... J'ai mal mais passé la 1ère douleur, cette douleur se mélange au plaisir et à la sensation d'être rempli par cet instrument. Je ne sais plus vraiment si je baigne dans un océan de douleur ou de plaisir… Finalement je suis surpris que mon cul puisse absorber si vite un tel instrument.

A travers mes jambes je vois John se retirer. Sans doute à la demande de Raldo. Le programme prévu va-t-il être modifié ? Effectivement, Raldo qui a bien vu ma queue bandée et perçu mes sentiments me demande :

- « Si tu veux je te libère et tu finis la scène en te branlant et en gardant le gode dans le cul. Mais attention, tu ne dois rien faire d'autre, compris ? »

Je réfléchis quelques instants et préfère être libéré. Ce sera toujours moins désagréable. Au moins, je serais seul à gérer mes gestes et mes actions.

- « Ok, je suis d'accord. »

Raldo me détache alors le poignet gauche et me guide la main jusqu'au gode, toujours complètement introduit dans mon fondement.

- « Tiens-le, il ne doit pas sortir. »

Docilement je saisis le gode. Il me libère l'autre main. Doucement je me redresse et me retourne. Je garde toujours une main sur le gode. Je voir alors que John, Chris, Raldo et le caméraman ont les yeux fixés sur ma bite.

Je bande comme jamais et un gros filet de précum pendouille à l'extrémité du gland parfaitement dégagé. C'est surprenant mais je bande à mort alors que personne ne m'a touché le sexe. Raldo approche un tabouret :

- « Mets un pied là-dessus, ça t'écartera les jambes. Pour la caméra, c'est mieux… »

Je m'exécute et ainsi ma pose devient plus hard et plus sexuelle. Plus que jamais j'ai envie de me donner en spectacle. Je ne comprends pas vraiment le pourquoi de cette envie subite de m'exhiber. Mais peu importe je ne pense qu'à l'instant présent. Oubliant tout : la caméra et les regards tournés vers moi je commence donc à me branler, tout en appuyant sur le gode de la main gauche. L'effet est extraordinaire et mon plaisir intense. Je tortille et remue mes fesses comme jamais. Je regarde mon cousin et Chris, toujours nus et debout quelques mètres devant moi. Ils ont l'air surpris de me voir aussi à l'aise. Sans doute pensent-ils que je simule mais ce n'est pas le cas ! Je prends vraiment mon pied dans cette scène, pourtant des plus hots. Peu m'importe, je poursuis dans mes ondes de plaisirs égoïstes et je perçois le plaisir qui monte rapidement. Dans un spasme de grande jouissance, j'éjacule et 4 jets de semence chaude et blanche jaillissent avec force de ma bite. Le caméraman qui connaît bien son métier agrandit alors l'angle de vue de sa caméra pour tout bien enregistrer. Je réalise alors que je me suis vraiment donné en spectacle comme jamais. Mais Raldo me stoppe dans mes réflexions :

- « Bien ! C'était parfait. Retournes-toi maintenant. On va passer au suivant. »

Passer au suivant ? Je ne comprends rien. Mais docilement je me retourne. Il me pousse le dos en avant. J'en déduis qu'il en veut à mon cul. J'ai toujours le gode en moi. Mais je me suis inquiété pour rien. Il se contente seulement de me retirer l'instrument. Il procède avec délicatesse à ma grande surprise. Je sens mon anus se refermer. Puis avec soin il vérifie que mon orifice ne présente pas de lésion. A part une légère douleur je ne sens rien. Raldo semble satisfait.

- « OK, redresse-toi. »

Il nous regarde maintenant tous les 3 :

- « Bon, le métier commence à rentrer. Poursuivez comme cela et tout ira bien. »

Il me regarde :

- « Maintenant, c'est à ton tour de l'enfoncer dans le cul de Chris. Et prépare-le bien sinon il va avoir mal… »

Aie ! C'est justement ce que je craignais. Chris est quand même plus petit que moi. Et je me demande comment je vais pouvoir ne pas lui faire mal avec ce gros gode fusée. Il est bien plus gros que celui que je lui ai déjà enfoncé hier. Mais déjà notre scénariste poursuit ses explications :

- « Chris, tu te mets à 4 pattes sur le matelas et tu plies les coudes, la tête entre les bras. Je ne t'attache pas. Tu sais ce qui se passe si tu ne veux pas jouer ? »

Oui, Chris ne veut pas subir à nouveau la torture de l'alcool sur le sexe et, résigné, il prend la position demandée. Il écarte les jambes et creuse son dos pour dégager au maximum sa raie et son anus. Un projecteur est braqué sur son anatomie intime. Le caméraman est prêt. A mon tour d'entrer en scène. Pas vraiment le choix...

Je me mets à genoux derrière Chris et fixe du regard sa raie blanche, lisse et imberbe. La peau marron clair autour de son anus est parcourue de petits plis, tous dirigés vers le centre de son trou. Il est bien étroit et je me demande comme il va réagir à l'introduction. Déjà hier, il a eu du mal avec des godes bien plus petits. Je comprends alors qu'il va me falloir soigner la préparation. Je commence avec un massage à l'huile. Je prends mon temps et lui assouplis les fesses et les muscles.

Petit à petit, il se détend et se relâche. S'il ne coopère pas on ne va jamais y arriver, ou alors il va vraiment souffrir... Je passe une main sur son ventre pour l'inciter à se cambrer davantage. Docilement il accompagne mon geste et m'offre davantage son cul. Je passe ensuite à la crème et m'attarde longuement sur la rondelle. Reproduisant le traitement que John m'a fait tout à l'heure - Je me dis que si ça a marché pour moi ça devrait aller pour lui - j'introduis un doigt dans son trou. Je passe ensuite à 2 puis 3 doigts. Je masse avec attention le pourtour de son orifice et ses lèvres anales. La crème est très efficace et assouplit bien cette zone. Je lève la tête et vois la caméra qui filme tous mes gestes. Raldo est derrière et regarde avec attention. Je reviens sur l'objet de mes préoccupations, à savoir l'anus dilaté de mon jeune cousin. A présent bien plus souple je décide d'utiliser le 1er gode, celui de 4 cm. Après l'avoir badigeonné de gel lubrifiant, je le positionne devant son orifice et commence ma poussée. Il réagit bien et ne se contracte pas. Son œillet cède facilement et j'enfonce lentement l'engin d'une bonne dizaine de cm. Le dos de Chris se crispe et je sens ses muscles se tendre. Je devine qu'il lutte pour ne pas bouger. Il stoppe sa respiration. A travers ses jambes écartées je vois son visage crispé. Les yeux fermés, la bouche grande ouverte, il essaye de conserver la maîtrise de son corps et d'ignorer la douleur. Je stoppe tout mouvement et attend qu'il s'habitue à la présence du gode fiché en lui. Doucement la douleur s'estompe, du moins c'est ce que je suppose en le voyant reprendre son souffle et se détendre un peu. Je laisse passer une minute. A présent Chris respire normalement et son visage a retrouvé une allure presque normale.

Je retire alors doucement le gode et le sors complètement du corps de mon jeune cousin. Je devine aussitôt son soulagement. Pourtant son épreuve est loin d'être finie. Il doit encore absorber plus gros... Je ne vois pas comment, techniquement parlant, son anus va pouvoir se dilater davantage. Ce n'est pas possible. Je ne sais que faire. Si je refuse, Raldo emploiera la force et Chris souffrira encore davantage.

Tout en continuant à réfléchir sur le moyen d'en rester là et donc de ne pas utiliser le gode fusée, je remets du gel sur la rondelle de Chris et, à nouveau, présente le 1er gode devant son anus. Je l'enfonce une nouvelle fois. Ce coup-ci Chris absorbe mieux l'instrument et je devine que sa douleur est moins importante.

Je recommence donc l'opération plusieurs fois. Je remets du gel entre chaque introduction. Et au final, l'instrument rentre facilement et sans douleur physique dans son rectum. Comme précédemment pour moi je suis surpris de la capacité de son cul à se dilater…

Mais je ne vois pas comment je vais pouvoir utiliser le gros gode fusée dont j'estime le diamètre de la seconde section à 8 cm. A coup sûr, le fondement de mon cousin n'y résistera pas. Et il serait blessé. J'en suis là de mes réflexions lorsque Raldo m'interpelle :

- « Recule-toi et laisse-moi la place. »

Aie ! Que signifie ce changement de programme ? Je recule en laissant le gode enfoncé dans le cul de Chris. Raldo se rapproche et se saisit de l'instrument. Il le remue légèrement et le retire. Puis il introduit de nouveau le cylindre dans l'anus de mon cousin qui, courageusement et stoïquement, reste le cul en l'air dans une pose parfaitement indécente. Il faut dire qu'il n'a pas vraiment le choix.
Raldo retire à nouveau l'instrument et c'est maintenant avec ses doigts qu'il évalue la souplesse de l'anus exposé devant nous tous. Il introduit plusieurs doigts et semble satisfait.

- « Parfait, il est bien préparé. Mais tu vas utiliser un autre gode, différent, et tu vas le branler de ton autre main. Je veux qu'il ait du plaisir. Ca sera mieux pour le film. »

Ouf ! Cette idée me plaît davantage. Au moins, je ne risque pas de blesser mon jeune cousin.
Raldo me tend alors un gode un peu plus gros que celui que j'utilisais jusqu'à présent. Mais surtout le niveau de détail de cet instrument est saisissant : il s'agit d'une reproduction d'une grosse queue, avec tous ses détails : veines, plis, prépuce retroussé et gland bien marqué.

Je reprends alors ma position, à genoux juste derrière Chris. Je le regarde. Il me fait un sourire forcé mais lui aussi semble soulagé du changement de scénario. Je regarde ensuite ses couilles qui pendent. Il n'est absolument pas bandé. Il me semble évident qu'il n'éprouve aucun plaisir dans sa situation. Mais je vais devoir changer cela, sinon Raldo pourrait bien revenir sur sa décision…

J'enduis le nouveau gode d'une fine couche de gel et le présente devant l'orifice anal de Chris. Puis, fermement, je pousse l'instrument en lui. Bien assoupli par les exercices précédents son anus se dilate aisément et laisse passer le gode. Je mets ma main droite sur son sexe et, l'empoignant délicatement, je commence un mouvement masturbatoire régulier. En même temps, de mon autre main, j'agite doucement le gode dans le cul offert à la caméra. Je m'applique et essaie de procurer du plaisir à mon cousin. Il a d'ailleurs bien compris où est son intérêt et il essaie de participer en remuant sa croupe et en essayant de profiter au mieux des sensations que je lui procure avec mes différents instruments. Assez rapidement son sexe se durcit et finit par devenir très dur dans ma main. Son gland, maintenant découvert, luit d'une belle couleur rosée. Je poursuis alors mes efforts, lorsque j'entends Raldo qui s'adresse à John :

- « Mets-toi sur le dos, dessous lui et tu le suces ! »

John semble surpris puis obéit à ce nouvel ordre. Il se rapproche, se met sur le dos et se glisse sous le ventre de Chris. Je retire ma main de son sexe et John avale cette tige dressée mais qui n'a pas encore craché sa semence blanche. Il s'applique alors dans sa fellation et il accentue rapidement le niveau de jouissance de Chris.

- « Et tu fais en sorte qu'il éjacule sur toi. » Ordonne Raldo.

Avec la bite de Chris dans la bouche, John ne peut pas répondre. Mais il est évident qu'il a compris. Quand à moi je continue à remuer le gode dans les entrailles de mon cousin. Ainsi doublement sollicité Chris ne tarde plus à se rapprocher de la jouissance finale. Son corps se tend et je devine qu'il ne reste qu'une poignée de seconde avant qu'il n'éjacule. Finalement, même sous la contrainte, et dans une position non désirée, il va prendre bien malgré lui du plaisir…

John, qui lui aussi sent venir l'explosion se retire légèrement. Juste à temps pour recevoir 3 jets puissants de sperme épais sur son visage. Il ferme les yeux et ne dit rien obéissant à Raldo. Bien sur, la caméra s'est déplacée et n'a pas perdu une miette de cette éjaculation faciale.

Je retire alors complètement le gode et attends la suite. John reste allongé sur le dos, le visage recouvert de sperme. Chris débande doucement mais reste à 4 pattes, le cul en l'air.
En fait aucun de nous n'ose bouger. Toute résistance vaincue nous attendons docilement les ordres de notre scénariste Raldo.

- « C'est bon. On stoppe là pour ce matin. Vous allez retourner dans la chambre et vous lavez aussi. Je reviens en fin d'après midi. »

Il poursuit en s'adressant au garde le plus proche :

- « Je te les laisse. Ils doivent être parfaits pour ce soir. Tu t'occupes d'eux. »

Le garde d'un signe de tête acquiesce, et Raldo quitte la salle. Il doit être aux alentours de midi. A travers le velux je vois le soleil briller haut dans le ciel. Malheureusement nous sommes toujours prisonniers ici.

- « Allez levez-vous et suivez-moi. »

Nous obtempérons immédiatement et le garde nous ramène dans la chambre. Puis il s'adresse à John :

- « Toi, suis-moi : tu vas à la douche. »

Docilement, John le suit. Je reste seul avec Chris.

- « J'espère qu'ils vont nous apporter à manger. J'ai faim.

- Je ne sais pas… »

Je suis en fait préoccupé par l'absence de Raldo. J'ai peur que le garde de hier soir n'en profite pour satisfaire son sadisme et profiter librement de nous. Je garde mes pensées pour moi. Inutile d'inquiéter davantage mon cousin. Dix minutes plus tard John revient, le corps mouillé et une serviette autour de la taille. Le garde me fixe :

- « A ton tour. »

Je le suis et il me conduit à la salle de bain. Je me douche sans sa surveillance. Il ne dit rien et se contente de me surveiller. Il semble plus sympa que les autres. Lorsque je sors de la douche, il me montre une serviette. Je la saisis et l'utilise pour me sécher. Je la ceinture autour de ma taille puis je rejoins mes 2 camarades. A son tour Chris se douche et revient lui aussi avec sa serviette autour de la taille. Le garde semble s'en moquer. Il nous laisse et revient peu après avec 3 plateaux repas.

- « Voila, vous avez 4h de repos devant vous. Raldo ne revient pas avant. »

 

Episode suivant :  Un chalet en montagne - 13/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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