L'histoire de la semaine

Dimanche 11 août 7 11 /08 /Août 14:00

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Chapitre 11/26 : Punitions !


Raldo, toujours énervé, appelle un autre garde en renfort. A eux deux ils obligent Chris à s'allonger sur le dos directement sur le sol, bras et jambes écartées, en forme de X. Puis ils attachent les quatre membres du garçon aux pieds de deux chevaux d'arçons qu'ils rapprochent pour être au niveau des mains et des pieds. Vu le poids de ces instruments de gymnastique, Chris est littéralement immobilisé au sol. Son visage est seulement à 2 m du mien. Il a peur du traitement qui va lui être infligé. Raldo est sans pitié et toute résistance est punie avec sévérité, voire avec cruauté. Il fait juste très attention de ne pas marquer ni abîmer nos jeunes corps d'adolescents car dans ce cas, impossible de jouer devant une caméra.

Le garde se rapproche de moi et de John pour nous surveiller. Mais nous ne bougeons pas d'un iota. Raldo s'assoie alors sur les jambes et, de ses genoux, le serre sous son poids d'adulte. Chris ne peut alors vraiment plus bouger. Son corps lisse et nu me semble petit et très vulnérable avec Raldo qui le plaque au sol. La partie est très inégale. Raldo se saisit alors du sexe de Chris recroquevillé par la peur et le décalotte d'un mouvement très professionnel. Puis sur le gland parfaitement dégagé de son prépuce il pince avec délicatesse le méat et ouvre ainsi le conduit urinaire. La punition est la même que celle de John. A savoir l'introduction d'un coton tige imbibé d'alcool dans le sexe. Du moins c'est ce à quoi je pense en regardant Raldo s'affairer sur la verge de Chris. Effectivement, Raldo sort le flacon d'alcool de sa poche. Il l'ouvre et l'approche de l'extrémité pincée de la bite de mon cousin. Il incline le flacon. Je comprends alors, horrifié, qu'il va verser directement l'alcool sur le sexe de Chris ! Et effectivement, d'un geste franc, il verse un petit filet du liquide transparent dans le méat de mon jeune cousin.

- « Haaaaaaaaaa !!!!!! »

La douleur est terrible, similaire à une forte brûlure ou à un coup de couteau et Chris hurle et se tord de douleur en essayant d'échapper à son tortionnaire. Mais le poids de Raldo ne lui permet que peu de mouvements de fuite. Avec cynisme et froideur, Raldo tient la bite du garçon immobile et à la verticale, pour empêcher l'alcool de couler. Chris continue ainsi à souffrir durant de longues secondes, le corps agité de soubresauts. John et moi sommes muets de peur. J'ai mal pour Chris.

Enfin, Raldo se saisit d'une carafe d'eau que lui tend le garde et verse de l'eau sur le sexe de mon cousin pour le rincer. L'eau chasse l'alcool. Tout doucement la brûlure s'atténue et Chris stoppe ses hurlements qui se transforment en pleurs. Il n'a jamais autant souffert. La punition est terrible et cruelle. Raldo libère ensuite mon cousin de ses liens. Chris reste allongé sur le sol en pleurant.

Raldo s'adresse à nous tous :

- « Voilà, je n'ai plus de temps à perdre. J'espère que la leçon est comprise ? »

Je ne réponds rien, John non plus. Que dire d'ailleurs ?

Sur un signe de Raldo le garde quitte la pièce et revient 30 secondes plus tard. Il tient une serviette humide. Il s'approche de Chris, le saisit par les épaules et l'oblige à s'asseoir. Chris se laisse manipuler sans la moindre résistance. Après John, lui aussi est définitivement vaincu.

- « Essuies-toi le visage ! »

Chris obtempère. Il arrête de pleurer et se rince la figure, essuyant ses larmes. Son visage retrouve un aspect normal mais ses yeux expriment désormais la peur et la soumission.
Puis Raldo lui reprend la serviette et, s'approchant de moi, me nettoie le ventre des quelques traces de sperme qui y restaient. Je ne bouge pas et me laisse faire sans protester aucunement.

- « Bien. Vous allez maintenant reprendre la scène : toi Pascal tu te branles et ensuite, Chris, tu lèche son jus mais avec application cette fois. »

Le caméraman reporte son attention sur moi. Je comprends et, docilement, je recommence à me branler. Encore bouleversé par la scène que je viens de voir, je n'ai pas le cœur à l'ouvrage. Pourtant il me faut faire le vide dans mon esprit. Petit à petit et animé par de vigoureux mouvements de mon poignet mon sexe durcit, s'érige et se tend doucement. C'est laborieux et j'ai du mal à me concentrer. Je n'ose imaginer la réaction de Raldo si je n'y arrive pas. Il me faut donc activer la chose. Faisant donc fis de toute pudeur et pour augmenter ma stimulation, je décide de faire des va et vient avec le gode toujours enfoncé dans mon anus. De ma main gauche je le retire donc sur quelques centimètres et le renfonce d'autant. Je mets du cœur à l'ouvrage. Après quelques minutes de masturbation frénétiques je devine que mon désir est enfin prêt à exploser. Enfin la jouissance parvient. Je m'arque sur le cousin et, à nouveau, quelques jets de sperme crémeux jaillissent sur mon ventre. J'ai d'ailleurs bien pris soin de viser mon ventre avec ma bite. Il ne faut plus contrarier notre cruel scénariste.

Chris, qui a suivi du regard et avec attention toute ma vigoureuse branlette, entre maintenant en scène. Sans un mot de quiconque, il se met à 4 pattes et j’approche sa tête de mon ventre. Puis avec application il se met à lécher ma peau. Surmontant son dégoût il avale soigneusement chaque trace de mon liquide blanchâtre et crémeux. Puis voulant en faire le maximum pour satisfaire Raldo et ainsi ne plus être puni, il lèche délicatement les quelques filets de sperme qui pendent à l'extrémité de mon gland. En effet ma bite n'est pas encore débandée et mon gland brille toujours d'humidité, mélange de précum et de sperme. Une fois l'extrémité de mon gland nettoyée, ce que je trouve très agréable d'ailleurs, mon cousin se recule et attend les ordres en regardant Raldo.

D'un signe de la main celui-ci lui fait comprendre qu'il doit me retirer mon gode. Chris acquiesce d'un signe de tête et se positionne entre mes jambes que j'écarte alors davantage. Je me cabre aussi pour bien dégager mon cul et ma raie. Chris se saisit du gode et le retire entièrement. Après plus d'une heure avec cet instrument enfiché en moi, j'apprécie de pouvoir enfin serrer les fesses normalement.

Le caméraman stoppe sa caméra. La scène est terminée, enfin. Raldo nous explique alors :

- « Bien, ça suffit pour ce matin. On reprendra après le repas. Suivez le garde jusque dans votre chambre. Il vous apportera à manger. »

Docilement, chacun de nous trois se lève. Nous suivons le garde jusque dans la chambre. Il nous quitte. La porte se ferme et nous restons seuls. Je me tourne vers Chris :

- « Ca va ? 

- Putain ! L'enfoiré ! Je n'ai jamais eu mal comme cela ! J'ai eu l'impression qu'il me coupait la bite avec une lame ! Ca me brûle encore un peu même. Je vais essayer de me rincer encore avec de l'eau.
- Oui, c'est une bonne idée, approuve John. »

Lui aussi à subi ce traitement douloureux et comprend bien la douleur supportée par mon cousin.

- « Ouais. Mais on n'a pas d'eau là …

- Ben, peut-être qu'avec le repas. Ils vont bien en apporter.

- Oui, on va attendre. On n'a rien d'autre à faire de toute façon. »

Nous nous asseyons sur un matelas. Chris, sans pudeur aucune, examine alors l'extrémité de son sexe qui lui brûle encore. Il veut voir son anatomie pour se rassurer et ne peut attendre davantage.

Notre présence ne l'indispose aucunement. Il faut dire qu’après les scènes vécues, chacun connaît tout des autres. Je me penche pour mieux regarder. Il s'en moque complètement. D'un geste hésitant, il retire son prépuce et laisse ainsi apparaître le gland rouge vif. Puis il examine avec attention son extrémité.

- « Ca a l'air d'aller. Ce n'est pas plus rouge que d'habitude… »

Je me rapproche davantage.

- « Ouais. Ca semble normal. »

Et c'est bien là toute la cruauté de Raldo : nous punir mais sans laisser de traces qui nous empêcheraient ensuite de jouer les jeunes acteurs gays.

- « Je rincerai si on amène de l'eau. » Me dit Chris.

Justement la porte s'ouvre et le garde arrive avec une table chargée de nourriture. Et d'une bouteille d'eau. Il roule la table jusque devant nous.

- « Voilà ! Vous avez deux heures devant vous. Raldo a dit qu'on reprendrait vers 14h. »

Et il quitte la pièce. Le verrou claque. Nous sommes toujours bien prisonniers. Curieusement je remarque alors que nos vêtements sont présents sur une chaise, dans un coin. Sans doute un garde les a-t-il placés ici ? Nous sommes toujours tous les trois complètement nus. Et j'aimerai bien que cela cesse. Ne serait-ce que pour manger. J'en fais la remarque à mes compagnons :

- « Vous avez vu ? Y a nos fringues sur la chaise. Et si on se rhabillait ? »

Chris regarde John avec un regard perplexe. John hoche la tête de négation.

- « Euh… Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Ils ne nous ont rien dit. Et je n'ai pas envie d'être puni à nouveau. »

Chris obtempère :

- « Moi non plus, Tu ne peux pas imaginer comme ça fait mal, de l'alcool sur la bite. Je reste à poil, je préfère. »

Je m'incline. Effectivement ils ont raison : ce n'est pas une bonne idée. Inutile de faire quelque chose qui pourrait énerver nos gardiens… »

Chris regarde la bouteille d'eau, la saisit et en verse dans un verre. Puis tenant son verre à la main, il réfléchit. Puis me regarde.

- « Je pense que je vais avoir besoin d'aide. Je ne peux pas y arriver tout seul, il me faudrait trois mains. Je vais m'allonger et tu vas me verser de l'eau. »

Il doit avoir vraiment mal pour me demander un tel service aussi rapidement et directement. Mais je ne me vois pas lui pincer le bout de son jeune sexe…

- « Euh… »

John me coupe.

- « Laisse, je vais le faire moi. Allonge-toi.

- Ok. »

Et Chris s'allonge devant nous sur le matelas, sans pudeur aucune. John s'agenouille à coté de lui et, délicatement, lui saisit le sexe. Puis comme Raldo tout à l'heure il dégage complètement le gland en retirant le prépuce. Enfin il pince doucement l'extrémité du sexe et ouvre ainsi le conduit urinaire du jeune garçon. Je lui tends alors le verre d'eau. John l'approche du gland rose et, l'inclinant, il verse directement un petit filet d'eau dans la bite de mon cousin. L'effet est immédiat et la sensation de brûlure diminue fortement.

- « Vas-y oui, encore. »

John poursuit alors son rinçage, continue à verser de l'eau et, mouillant ses doigts, rince aussi le gland dans sa totalité. Ce traitement simple est efficace et bientôt toute douleur résiduelle disparaît. Chris se relève.

- « C'est bon. Merci John.

- De rien. »

Chris a retrouvé ses couleurs et je suis content qu'il aille mieux.

- « Ok, on va pouvoir manger maintenant. »


Je partage alors les différents plats froids présents sur la table. Il n'y a aucun couteau ni ustensile métalliques. Tout est servi dans des assiettes en carton. Les verres aussi sont en plastiques. C'est sans doute une mesure de précaution. Néanmoins la qualité est correcte et nous dévorons de bon cœur les sandwichs et salades présents. Nous terminons notre repas avec des fruits et des flans. Puis nous rangeons sommairement la table. D'un commun accord, nous savons maintenant qu'il est préférable de coopérer…

Nous finissons par nous allonger sur les matelas. Nous discutons rapidement de notre sort. Impossible de résister ou de nous échapper, nous sommes trop bien surveillés. Chris a du mal à comprendre pourquoi la police n'est pas encore là. J'explique alors que personne ne sait que nous sommes dans ce chalet. De plus c'est un chalet luxueux. Pas le genre d'endroit où l'on penserait à chercher trois jeunes garçons absents. On doit nous croire perdu en montagne ou en train de fuguer. C'est plus classique pour expliquer une disparition…

Après discussion nous pensons que le mieux pour l'instant est de coopérer. Déjà pour éviter les punitions douloureuses et si possible pour endormir la méfiance de nos gardiens. Si une occasion de s'échapper se présente nous la saisirons. Mais nous avons le désagréable sentiment que notre destin n'est pas entre nos mains…

Je réfléchis à tout cela lorsque la porte s'ouvre et le gardien apparaît. Il nous regarde tous les trois, allongés nus sur nos matelas. Et il s'adresse à nous :

- « Suivez-moi, tous les trois. »

Sans rien dire nous nous levons et le suivons. Il nous ramène dans la salle de sport que nous ne connaissons que trop bien. Raldo et le caméraman sont déjà présents à nous attendre.

- « Toi, Pascal, approche ! »

M'interrogeant sur mon sort je m'approche de Raldo. Il me positionne devant le cheval d'arçon et me demande de tendre les bras. J'obéis sagement. Puis il m'attache chaque poignet aux deux poignées présentes sur le dessus de l'instrument de gymnastique.

- « Parfait, recule maintenant et penche-toi en avant. »

Toujours docilement, je m'exécute.

- « Encore… »

Je recule davantage les pieds. J'ai maintenant le dos à l'horizontale et les bras dans l'alignement. Puis d'une poussette de son pied contre mon mollet, il me fait comprendre que je dois écarter les jambes. Ce que je fais. Je me retrouve ainsi les fesses ouvertes, la raie écartée et offerte.

- « Cambre-toi davantage. »

Je creuse alors davantage mes reins et fait ainsi ressortir mon cul. Il est ainsi parfaitement écarté. Mon anus est complètement dégagé et accessible. Mes couilles pendent librement vers le sol. Déjà le caméraman fait quelques gros plans sur mes fesses puis zoome sur ma rondelle et mon trou. Lui aussi semble apprécier ma raie blanche et imberbe puisque rasée. Puis il se recule. Je me demande quelle sera la suite même si je m'en doute bien un peu…

Raldo s'adresse maintenant à Chris :

- « Toi, approche. »

Chris obéit et se positionne juste derrière moi.

- « Tu ne fais rien pour le moment, tu regardes juste. Ton tour viendra après… »
Ces mots ne sont pas faits pour me rassurer et j'appréhende la suite des évènements. Mais Raldo poursuit :

- « John, approche aussi. »

Docile comme nous tous John se rapproche. Raldo rapproche alors une table roulante chargée de pots divers et explique alors… :

 

La suite :  Un chalet en montagne - 12/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Chapitre 10/26: Sports & Sentiments


Aucun de nous trois ne répond. Raldo nous fustige du regard. Je décide donc de répondre.

- « Euh… Oui. On a compris. 

- Bien. Toi Chris allonge-toi sur le dos les jambes écartées. Et toi, Pascal tu te mets dessus lui mais dans le sens contraire. Et tu fais des pompes. »

Chris s'allonge sur le sol et écarte ses jambes. Je me positionne alors au dessus de lui, mes mains entre ses jambes et mes pieds de chaque coté de la tête. Puis je commence des pompes. La caméra s'approche et filme mes fesses et mon sexe qui pend. A chaque fois que je suis en bas mon sexe touche le bas-ventre de Chris. Le caméraman multiplie les angles de vue. Après une dizaine de pompes Raldo me donne l'ordre de stopper. Visiblement cette scène ne le convainc pas vraiment.

- « Bon, c'est pas terrible. Chris tu fais le poirier. Et vous deux vous l'aidez, chacun par une jambe.  Il doit rester à l'envers. »

Docilement Chris se prépare et, après avoir vérifié que nous sommes prêts, prend un peu d'élan et s'élance. Il pose ses deux mains sur le sol et se redresse à la verticale, les bras tendus. John se saisit alors de sa jambe gauche et moi de son autre jambe. Il peut rester ainsi facilement debout. Il faut dire que mon cousin est plutôt doué pour ce genre de gymnastique.

- « Parfait. Chris, écarte les jambes ! »

Chris, la tête en bas, écarte alors les jambes. Son sexe pend sur son ventre. Ainsi ouvert nous avons une vue de premier choix sur son anatomie intime. C'est vrai que sa raie et vraiment blanche et imberbe. Son anus est bien serré et forme une jolie couronne foncée. La caméra s'approche également et le filme en gros plan. La scène est des plus érotiques. Raldo décide alors de pimenter le tableau :

- « Pascal, passe derrière lui et tu lui caresses les fesses et la raie. »

Je lâche alors la jambe tendue de mon cousin. Heureusement il tient toujours sa position inversée et rapidement je me mets derrière lui. Je place mes mains sur ses fesses. Elles sont blanches et imberbes mais sont aussi très douces. Je commence alors à me rapprocher de sa raie lorsque, fatigué, ses bras le lâchant, mon cousin s'affaisse sur le sol. Aie ! Comment va réagir Raldo ?

- « Bon pas grave ! On va changer de personne. »

 Il me désigne :

- « A toi de faire le poirier maintenant. »

Chacun son tour, nous prenons la position inversée, le temps que la caméra filme et zoome sur notre raie, notre anus et notre sexe tombant sur le ventre par gravité.

- « Bien, c'est parfait. On va changer de sport… »

Que va-t-on faire maintenant ?

Raldo s'approche de John. Il sort une ficelle de sa poche et lui entoure la base de son sexe. John esquisse un mouvement de recul mais se souvenant de la punition déjà subie se laisse finalement faire sans résistance. La ficelle entoure donc les organes de John mais n'est pas serrée.

- « Assieds-toi maintenant. »

John s'exécute docilement. Puis Raldo désigne mon cousin.

- « Assieds-toi face à lui et tu mets tes jambes de chaque coté de son ventre. »

Là encore mon cousin obéit prestement. Une fois assis, Raldo pousse sur le dos de Chris pour le faire se rapprocher de John. Leurs ventres sont maintenant à moins de 5 cm l'un de l'autre. Leurs visages se touchent presque. Et leurs sexes aussi.

- « OK, ne bougez plus. »

Raldo se penche alors et, saisissant la ficelle déjà en place, entoure maintenant le sexe de Chris et fait un nœud. Cette ficelle réunit ainsi mes 2 camarades au niveau de leurs sexes. Il y a au maximum 5 cm de mou entre les deux corps.

- « Voilà. Levez-vous maintenant. »

John regarde alors Chris avec perplexité. Comment faire pour se lever sans tirer sur la ficelle ? Car dans ce cas la douleur serait grande. Raldo observe la scène d'un air amusé. Et bien sûr la caméra tourne et enregistre tout. L'imagination de Raldo est sans limite. Finalement John prend la parole et s'adresse à Chris.

- « OK, on va y aller ensemble et doucement. Commence à te redresser et à plier les genoux.

- Oui. »

Et, tout doucement, chacun se lève sur ses jambes en pliant d'abord les genoux et en s'aidant des bras. A un seul moment la ficelle se tend et je vois alors Chris grimacer. John stoppe aussitôt sa remontée. Puis d'un accord mutuel ils poursuivent le mouvement. Et finalement assez facilement, les deux jeunes garçons se retrouvent debout face à face. Raldo enlève la ficelle liant les sexes des deux garçons et me demande alors d'approcher. J'obéis sagement. Il me positionne à coté de mes compagnons et m'explique.

- « Tu prends un sexe dans chaque main et tu tournes en rond. Tes copains marcheront de coté pour te suivre. »

L'idée est surprenante. De ma main gauche je saisis le sexe de Chris et de ma main droite la queue de John. Puis doucement je commence à marcher en rond. Je vais doucement et fais attention à ne pas faire du mal à mes deux compagnons. Ceux-ci me suivent sans problème. Bien sûr la caméra suit nos mouvements. Après un tour, l'ordre de stopper est donné.

- « Bien, alignez-vous tous les trois et ne bougez plus. »

On se place les uns à coté des autres, moi au milieu. Le cameraman s'approche alors et filme successivement nos trois sexes en gros plan.

- « Demi-tour ! »

C'est maintenant au tour de nos fesses d'être sous le regard de la caméra.

- « Jambes écartées et touchez le sol avec vos mains. »

Chacun de nous se penche en avant. Contrairement à mes compagnons visiblement plus souples, j'ai du mal à toucher le sol. Nous devons garder la pose le temps de filmer nos culs exposés et écartés par la position. Bien sûr tous ces mouvements ne sont que des prétextes pour nous filmer dans des positions diverses et variées. Et avec les parties intimes de chacun bien visibles et dégagées. Raldo positionne un cousin sur le sol et me regarde :

- « Allonge-toi sur le dos. »

Je m'allonge docilement tel que demandé sur le sol.

- « Plie les jambes. Et toi, mets-toi devant lui et tiens ses jambes écartées. »

Il s'adresse ainsi à John. Je plie mes jambes et mes genoux atteignent mes épaules. John se saisit alors de mes pieds et m'écarte les jambes.

Raldo pousse alors le cousin sous le bas de mon dos pour mieux me soulever les fesses. Ainsi écartelé mon cul et ma raie sont ouverts au maximum. La caméra filme mon anus dilaté mais restant fermé en gros plan. Je ne ressens plus rien à être ainsi exposé. Ma pudeur a disparue mais la position est assez désagréable toutefois…

Raldo se rapproche alors de mes fesses. Il tient un pot de gel lubrifiant à la main. Il semblerait que le sport se termine et que les scènes vont devenir plus hard.

- « Bon. Fini le sport. On va faire dans le classique maintenant. »

Effectivement j'avais pensé juste. Il donne alors le pot de gel à Chris qui se tient toujours debout devant moi.

- « Tiens, prépare-le. Et après tu lui mettras un gode. »

Chris me regarde d'un air surpris puis résigné. Sachant qu’aucun de nous n'a le choix, je lui fais un petit signe d'encouragement de la tête. Il s'approche alors de ma raie et en hésitant m'étale du gel sur la raie. Il semble gêné de me tripoter ainsi. Mais n'ayant pas le choix il s'applique de son mieux. A présent ma rondelle et mon anus sont recouverts d'une bonne couche de gel. Raldo présente alors un gode à Chris sans rien dire. Mais Chris a parfaitement compris ce qu'il doit faire à présent.
Il approche alors l'extrémité du gode de mon anus. Je remarque alors que ce gode n'est pas comme les autres. Ses deux extrémités sont identiques et il a une articulation en son milieu. Je comprends alors. C'est un double gode. Qu'a encore imaginé notre scénariste ?

Pour l'instant Chris commence à faire pression sur l'instrument. Je ne résiste aucunement et, écarté comme je suis, la pénétration est facilitée. Doucement le gode s'enfonce dans mes entrailles d'une dizaine de cm. Le tout sous les regards de tous et sous l'objectif de la caméra. Je me sens tout d'un coup très ridicule ainsi, les jambes écartelées et ce gode qui dépasse de mon trou. Mais John, obéissant, me tient fermement les pieds au niveau de ma tête.

- « Bien, maintenant Chris, penche-toi en avant. »

Chris ne comprend pas ce que lui veut Raldo. Néanmoins il s'exécute. Raldo lui écarte alors ses fesses blanches et imberbes, lui passe la main dans la raie et lui étale ainsi rapidement du gel lubrifiant autour de son anus.

- « Voilà. Tu vas maintenant t'asseoir sur ton copain et bien sur… sur le gode. 

- Hein !? »

Froidement, Raldo coupe court aux protestations de mon cousin :

- « Tu n'as pas le choix et tu le sais. Inutile de protester. »

Chris comprend cet avertissement et se tait. Il se place alors devant moi, se retourne, me présente ainsi son dos et tout doucement, plie ses jambes. Tournant fortement la tête il positionne ses fesses devant le gode. Puis ajustant doucement sa position, son anus se retrouve prêt à absorber l'instrument. Raldo l'encourage :

- « OK, vas-y maintenant… »

Quand à moi je regarde avec attention l'anus lisse et serré de Chris en me demandant si techniquement cette manipulation est possible… Le gel lubrifiant brille au fond de sa raie et devrait faciliter l'opération.

Mon cousin, jouant sur ses jambes, s'abaisse alors lentement sur le gode. La pression augmente mais il ne rentre pas dans son anus. En fait il s'enfonce davantage en moi… Je décide alors de serrer d'une main l'instrument pour empêcher qu'il ne s'enfonce davantage dans mes entrailles. Ainsi maintenu ses lèvres anales cèdent et, tout doucement, mon jeune cousin s'empale sur le gode. La suite est plus facile. Je relâche ma main enserrant le gode et les fesses de Chris finissent par toucher les miennes. Il stoppe alors sa progression. Le lien qui nous unit intimement et fortement me transmet ses moindres mouvements. Je sens sa respiration à travers lui. Finalement et techniquement parlant la manipulation s'est bien passée. Mais la position est très très hard et me gêne énormément. Je n'ai pas mal physiquement mais moralement. Mais cela la caméra s'en moque…

Et justement le caméraman filme toujours en gros plan nos corps liés et soudés l'un à l'autre. Raldo semble satisfait mais a encore une nouvelle idée :

- « Bien Chris. Tu restes ainsi et tu te branles maintenant. »

Le caméraman va alors se placer devant le sexe semi bandé de Chris. Chris, obéissant, que peut-il faire d'autre ? et toujours en appui sur ses jambes pliées, place sa main droite sur son sexe et commence à se caresser. A travers le gode enfoncé en nous je ressens parfaitement ses petits mouvements de va et vient. Il accélère régulièrement l'allure et son sexe se redresse et durcit. Bien que je ne le voie absolument pas je devine qu'il est maintenant bandé. Le lien qui nous unit me transmet ses mouvements mais aussi ses sensations. Après deux minutes d'une branlette vigoureuse, je perçois son corps se crisper davantage. L'éjaculation n'est pas loin. De plus, le gode inséré en lui doit également augmenter son plaisir. De mon coté l'impression est étrange. Malgré moi et par le gode, il me transmet son plaisir. Je réalise alors que mon sexe se redresse malgré ma volonté de ne rien faire. Une nouvelle crispation du corps de Chris et il éjacule dans un râle de plaisir. Je suis alors même complètement bandé et mon sexe repose tendu sur mon ventre, à l'horizontal. C'est un peu effrayant. Malgré les contraintes et les positions extrêmement hard que nous imposent nos scénaristes, mon sexe s'exprime et semble animé d'une volonté propre. A moins que justement ce soit « pour cela » que je bande et non pas « malgré cela ». Cette analyse me trouble. Mais je n'ai pas le temps d'y réfléchir davantage… Déjà Raldo fait signe à Chris de se relever.

Comme tout à l'heure je tiens alors le gode d'une main. Lentement Chris se relève et se désolidarise du gode. Je regarde son anus coulisser et s'éloigner. Puis se refermer dès le gode complètement sorti. Chris se retrouve enfin debout.

Quand à moi je suis toujours sur le dos, les jambes maintenues par John. Dans mes fesses ouvertes, voire écartelées, le gode est toujours présent. En plus et bien malgré moi je bande fortement. Je regarde en direction de mon sexe. Il est complètement érigé, le gland rose et brillant laisse luire du precum. Du coup ma gêne revient et le ridicule de ma position me semble insoutenable. Mais la situation n'a pas échappée à Raldo : Il regarde fixement ma tige droite comme un I. Et une nouvelle idée lui vient à l'esprit. D'un air mi autoritaire, mi moqueur, il s'adresse à moi :

- « Ho Ho !! Il ne faut pas rester comme cela, mon garçon. Branle-toi maintenant. Et tu mets ton autre main sur le gode aussi. »

Le caméraman toujours en action tourne la caméra vers mon sexe et mon anus. Ma gêne augmente encore et atteint son paroxysme. Je deviens rouge tomate. Non seulement de me trouver dans une position de faiblesse et humiliante, il va falloir en plus me procurer du plaisir devant eux tous.
Mais n'ayant pas d'autre possibilité je ne peux faire autrement que de positionner ma main droite sur mon sexe dur comme du bois. Ma main gauche quant à elle s'empoigne du gode. Je ferme les yeux, n'arrivant plus à soutenir le regard de quiconque. Et je commence à me masturber. D'abord lentement et avec hésitation puis parvenant à me concentrer la cadence augmente régulièrement. Inconsciemment j'agite également le gode dans mon anus. Mon plaisir est ainsi augmenté et bien que cela m’ait semblé impossible, je parviens à oublier ma situation et à me rapprocher de la jouissance finale. Mes sentiments sont très confus et se télescopent. Un mélange de honte, de gêne et de plaisir intenses. J'imagine que j'offre un beau spectacle bien hard. Paradoxalement, cette dernière pensée intensifie mon plaisir et dans un dernier soubresaut, mes abdominaux se contractent, mon ventre se creuse et tous mes muscles se tendent. J'éjacule alors avec force. Trois jets de sperme blanchâtre et crémeux vont se perdre sur mon ventre. Je reste les yeux fermés, profitant de la plénitude qui m'envahit alors. Autant profiter de mon plaisir puisque après tout c'est ce que veulent nos scénaristes.

Je ne suis pas pressé d'ouvrir les yeux et de reprendre pied dans la réalité. Justement, Raldo, toujours d'une imagination débordante, ordonne à John de me lâcher les jambes. Je me déplie alors, appréciant de m'étendre et pose mes pieds devant moi, les genoux pliés à 90°. Bien sûr, j'ai toujours le gode enfoncé entre mes fesses. Heureusement le coussin toujours présent sous le bas de mon dos me les soulève du sol.

Raldo ordonne alors à Chris de me nettoyer le ventre des traces de ma jouissance. J'ouvre alors les yeux et regarde mon jeune cousin qui fait la moue. Il a parfaitement compris qu'il doit utiliser sa langue pour me nettoyer. Visiblement il n'est pas du tout emballé par cette idée. Pourtant, sachant ce qui se passe si on désobéit, il se penche vers moi. Son visage se rapproche de mon ventre et, sortant la langue, il commence alors à lécher doucement le sperme qui me macule.
Mais il n'aime pas et une grimace déforme son visage. Le caméraman fait un signe de négation à Raldo qui approuve. Ils ne sont pas contents de la prestation de mon jeune cousin. Raldo intervient, la voix chargée de colère :

- « Ca ne va pas ! Tu fais la gueule et pour le film c'est pas bon ! Il va falloir tout recommencer ! Relève-toi ! »

Chris se relève et semble hésitant sur ce qu'il doit faire. Raldo est énervé. Comment ne pas l'énerver davantage ? Mais c'est peine perdue. Raldo est furieux et continue d'invectiver mon cousin :

- « A cause de toi il va falloir rejouer la scène ! Tu vas être puni ! »

Aie, ce que je craignais arrive ! Je décide de prendre la défense de mon cousin :

- « Il n'a pas fait exprès ! Il va recommencer et… »

Raldo n'apprécie pas mon intervention et me coupe brutalement :

- « Silence ! J'ai dit qu'il sera puni et il le sera ! Et toi aussi si tu continues ! »

Je m'avoue vaincu et ne dis plus rien. Je reste allongé sur le sol toujours avec mon gode dans mon anus. Depuis le temps que je l'ai, je ne le sens d'ailleurs quasiment plus. Quand à John il est toujours devant moi, il ne dit rien et garde la tête baissée. Depuis sa punition, sa soumission est totale.
Que faire ? Nous sommes impuissants.

 

La suite : Un chalet en montagne - 11/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 28 juillet 7 28 /07 /Juil 13:30

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Chapitre 9/26 : Brisés et rasés !

Le garde quitte alors la salle de sport et revient rapidement avec mon cousin Chris. Mon cousin, comme moi d'ailleurs, est toujours entièrement nu. Le garde le positionne à coté de moi puis se place derrière nous.

- « Asseyez-vous ! »

J'obéis ainsi que Chris. Que vont-ils faire à John ? Pourquoi tant de méchanceté ?! Raldo prend alors une corde et entoure le ventre de John, juste sous le nombril puis il fait passer la corde dans les barreaux de l'espalier et l'attache. John ne peut ainsi plus bouger son bassin du moindre centimètre. La corde serrée sur son bas-ventre ainsi que son bâillon le gène pour respirer. Raldo se penche alors vers le sexe du garçon mais en se plaçant sur le coté pour que l'on voit bien ses gestes. Puis il décalotte le pénis. Le gland apparaît, rose vif, humide et brillant. Les yeux de John sont remplis d'inquiétude et de peur. Comme nous il se demande se qui va se passer.

Raldo nous montre alors un coton tige.

- « C'est simple, je vais lui introduire cela dans sa bite. Normalement c'est juste désagréable mais la, ça ne va pas être le cas cette fois-ci. »

Et il plonge le coton tige dans un petit flacon rempli d'un liquide transparent.

- « C'est juste de l'alcool à 90°. Ca va le chauffer. Ca fait mal mais c'est sans danger. »

Je suis horrifié et regarde le visage de John. Lui aussi a compris la suite et son visage exprime le désarroi. Raldo ressort le coton tige et le met sur le bout de la bite de John. Il effleure alors volontairement le prépuce de John. Ce simple contact provoque une vive brûlure et John gémit sous son bâillon. Son corps se tend sous la douleur mais, ligoté comme il l'est, il ne peut bouger le moins du monde.

- « Regardez bien maintenant. Le prochain qui nous résiste aura la même chose. »

Il pince alors l'extrémité du prépuce avec deux doigts et fait ainsi s'ouvrir le méat et donc le conduit urinaire de John. Puis, franchement, il enfonce le coton tige imbibé d'alcool dans la queue. La réaction de John est violente. Il hurle littéralement malgré son bâillon et se tortille frénétiquement dans tous les sens. La brûlure est terrible ! Nous sommes horrifiés ! Raldo tient toujours la bite de John et le coton tige enfoncé. Notre ami souffre terriblement durant de longues secondes. Il a l'impression d'avoir un poignard enfoncé dans le sexe ! Les larmes perlent sous les yeux du garçon.

Enfin, Raldo retire le coton tige. Mais la brûlure reste vive. John a le sexe en feu et s'agite toujours.
Raldo prend alors une seringue et injecte son contenu dans le méat qu'il tient toujours ouvert par pincement.

- « C'est de l'eau. C'est pour rincer l'alcool. »

Effectivement, John sent la douleur diminuer et cesse de lutter contre ses liens. Il continue néanmoins à pleurer doucement.

Raldo se redresse et s'adresse à mon cousin et à moi.

- « Voilà ! Je pense que vous avez compris. Maintenant je vais le libérer et c'est toi qui vas être rasé par tes deux copains. »

Moi ? Pourquoi moi ? Je suis désagréablement surpris mais je n'ose rien dire. Raldo libère John de ses liens et de son bâillon. John ne dit rien. Il est vaincu, garde la tête baissée et semble totalement soumis. Il essuie discrètement les larmes de son visage, puis il reste debout devant nous, à attendre.

Raldo me désigne de la main :

- « Bien, c'est lui qu'il faut raser maintenant. Devant et derrière. Mais on va faire cela devant la caméra. »

Un garde entre alors avec une caméra sur un trépied et deux projecteurs. Il installe cet équipement, puis allume les 2 lampes et les dirige sur un matelas posé à même le sol.

- « Voilà tu va te mettre là. Ton copain va te raser le cul. Fais en sorte que l'on voit tout ! Sinon tu sais ce qu'il en coûte… »

N'ayant pas envie de subir ce que John à enduré je préfère coopérer. D'autant plus que se faire raser est certes désagréable mais aucunement douloureux. Et John hier a déjà tout vu de mon corps...
Je m'avance donc sur le matelas. Je m'agenouille et me met à 4 pattes. Je baisse ma tête entre mes bras. Je cambre le dos et écarte légèrement les jambes. Bref, j'expose mon cul ouvert et le dilate au maximum : tant pis pour mon intimité ! J'offre à la caméra une vision parfaite et dégagée de mes couilles pendantes, de ma raie et bien sûr de mon anus. John vient alors se placer derrière moi et commence les préparatifs pour le rasage. Comme moi tout à l'heure, il m'humidifie la peau et me badigeonne de mousse à raser. Puis délicatement il commence à faire glisser le rasoir entre les fesses. Mais contrairement à lui mes poils sont bien noirs et plus nombreux. Il lui faut plusieurs minutes pour accomplir sa tache. Le mouvement du rasoir sur ma peau est sensuel et tout doucement je constate que mon sexe se durcit. En plus il s'aide parfois de son autre main pour me tendre la peau devant le rasoir. Le contact de ses doigts m'électrise. J'essaie de lutter contre cette érection mais n'y parvient pas vraiment. Quand il a fini, mon sexe est bandé dur et il est droit comme un I. Bien sûr tout le monde a vu mon état. Je suis rouge de honte à la pensée d'avoir à me relever ainsi, le sexe en érection.

La voix de Raldo m'ordonne :

- « Ne bouge pas. Je vais contrôler. »

John se recule alors et Raldo s'approche de mes fesses. Il me passe un doigt dans la raie, descend jusqu'à l’anus et au périnée. Il vérifie la qualité du rasage en passant et repassant le doigt sur ma peau. Ce qui me fait bander encore davantage. Enfin si c'est possible ! Mon sexe est déjà dur comme un morceau de bois. Mon gland perle maintenant de liquide séminal. Je ne contrôle vraiment plus rien. Raldo m'effleure plusieurs fois n'anus de manière sensuelle. Il a bien vu que je bandais et veut en rajouter…

- « Hum… Il reste des poils là sous les bourses. Tu vas changer de position. Retournes-toi sur le dos. »

Docilement et malgré mon sexe érigé je me retourne. Je me mets sur le dos. Mon sexe est tendu comme un piquet de tente ! Tant pis après tout, le ridicule ne tue pas.

Raldo m'écarte alors légèrement les jambes et me les replie à 180° vers l'arrière. Docilement j'accompagne son mouvement. J'ai les genoux sur les épaules. Mon sexe et mon anus sont ainsi encore plus exposés et accessibles à l'œil de la caméra.

- « Tiens tes jambes ainsi relevées ! Et écarte les encore plus ! »

Je place alors mes mains sur mes mollets et je tire sur mes bras. Je force et écarte davantage. Jamais mon cul n'a été aussi ouvert. Il m'est impossible d'écarter les jambes davantage. Mon sexe est lui toujours fier et bandé.

- « OK, ne bouge plus. »

Raldo s'écarte et le caméraman s'approche alors et fait des gros plans sur mes parties intimes. Puis John se rapproche de moi et, après un examen minutieux, me rase délicatement les quelques poils qui me restaient juste sous les bourses. Il se redresse et fait signe qu'il a fini.

- « Bien, relève-toi. C'est bon. C'est ton cousin qui va te raser devant. »

Rouge de honte je me redresse et me relève. Ma bite est au garde à vous. Plus je pense à autre chose, plus je bande. Ma queue semble avoir sa volonté propre. Evidemment, la caméra n'en perd pas une miette et zoome sur mon sexe érigé à l'horizontale. Je ne sais plus où me mettre tellement ma honte est grande. Je rougis davantage et mon visage s'empourpre. Raldo, que la situation présente semble amuser, me propose alors :

- « C'est pas permis de bander autant. T'as plus qu'à te branler pour évacuer la pression… Sinon, ton pote ne va pas pouvoir te raser… ha ha ! »

Aie ! Il va falloir me branler devant la caméra... J'en suis très gêné. Je ne sais où poser mes yeux. Je décide rapidement de fixer une lampe située sur le mur. J'essaie alors de faire abstraction de la caméra et des quatre paires d'yeux qui me dévisagent avec application. Je porte la main sur ma tige et commence les mouvements classiques de masturbation. Mon gland luit de liquide séminal et je pense que je ne vais pas en avoir pour longtemps avant de jouir. Mes sentiments se mélangent dans ma tête, partagé entre la gêne et l'excitation involontaire provoquée précédemment par le rasage de ma raie. Et, comme je le pensais, je jute rapidement. Plusieurs jets épais de sperme jaillissent de mon sexe et se perdent sur le sol. Je reste là, debout, immobile et toujours face à la caméra. Je repose mes mains le long du corps.

Et, comme l'avait supposé Raldo, cette masturbation m'a "libéré" : mon sexe débande enfin et retrouve rapidement sa position de repos. Mon prépuce se rétracte un peu mais laisse le gland découvert à moitié. Il reste un peu de sperme au bout de ma queue. Un petit filet qui pendouille…

John, qui a compris que c'est à lui d'intervenir, se rapproche devant moi. Consciencieusement il me nettoie l'extrémité du gland avec une serviette humide. Puis il me passe de la mousse à raser. Il m'enduit le pubis, la verge et le tour des bourses. Il commence alors par me raser le pubis et les poils situés sous le nombril. La sensation est étrange. J'étais très fier de mes poils comme tout adolescent je suppose... Mais, là encore, le mouvement du rasoir provoque en moi un certain plaisir. Malgré tout, pour le moment, mon sexe reste au repos. Justement John s'y attaque maintenant. Pour me couper les poils présents à sa base il est obligé de me saisir la bite et de la tendre. Sinon le rasoir me couperait la peau plissée. Délicatement il manipule mon sexe et manipule le rasoir. Là aussi mes poils disparaissent. Il lui reste maintenant à me raser les bourses. Toujours avec sa main gauche il me tire la peau devant le rasoir. Le contact de ses doigts finit tout de même par me faire de l'effet. Et doucement ma queue se redresse et durcit à nouveau. Enfin John arrive ses fins et maintenant il m'enlève les dernières traces de mousse à raser. Je regarde alors mon sexe, maintenant sans poil. J'ai l'impression de me retrouver il y a quelques années avant le début de ma puberté. Mon sexe est redevenu un sexe de gamin imberbe. C'est étrange : je me sens encore plus nu que nu ! Mes poils quoique finalement pas si nombreux et épais ne cachent plus rien. John s'écarte et je distingue clairement le zoom de la caméra qui fixe mes parties intimes. Pas question pour moi de bouger ou de me soustraire à la caméra. Je sais ce qui se passe si on refuse…

John s'écarte, sa besogne terminée et Raldo vient me caresser le sexe pour vérifier la qualité du rasage effectué.

- « OK ! Ils sont parfaits maintenant. Tous les trois. Vous allez retourner à la chambre et on va vous apporter à déjeuner. »

Il nous fait alors signe de le suivre. Avec le garde qui ferme la marche nous nous retrouvons tous les trois dans la chambre. Ils nous laissent seuls. Je demande alors immédiatement à John :

- « Tu as encore mal ? Ca te brûle ?

- Ca va maintenant, mais ça a fait vraiment mal ! J'ai cru m'évanouir ! Je n'aurai jamais imaginé un truc pareil !

- Ouais, en attendant, on ne peut que faire ce qu'ils demandent… Ils nous tiennent… »

John me regarde alors :

- « Oui, j'ai eu trop mal. Je ne veux pas recommencer. Sauf si je trouve une idée miracle pour m'évader, je ne… »

A ce moment-là le garde ouvre la porte. Devant lui il pousse la table à roulette avec de quoi déjeuner dessus.

- « Vous avez quinze minutes pour manger. »

Et le garde se retire. Nous mangeons alors de bon appétit. La nourriture est copieuse et de bonne qualité, à l'image du chalet d'ailleurs. Ce qui n'est pas le cas de ses occupants qui nous tiennent prisonniers et nous imposent de jouer les acteurs de films X gays…

Puis le garde revient chercher la table. Et juste après son départ, Raldo rentre.

- « Bien, suivez-moi, tous les trois. »

Docilement nous le suivons. Il nous ramène dans la salle de sport. Deux gardes sont déjà présents pour nous surveiller.

- « Bien, nous allons tourner des scènes de sports. Bien sûr il faut montrer vos culs et vos sexes à la caméra. Donc vous accentuez les mouvements. Et vous vous appliquez. Compris ? »

 

La suite :  Un chalet en montagne - 10/26

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Dimanche 21 juillet 7 21 /07 /Juil 10:00

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Chapitre 8/26: Rébellion matinale


Je me réveille à nouveau. A travers une petite lucarne en hauteur le jour s'infiltre. Je regarde mes deux compagnons de captivité. Ils dorment toujours. Ils sont nus et allongés à coté de moi. Je parcours leur corps du regard. Je repense alors aux expériences d’hier et à la vision intime que j'ai eue d'eux. Que va-t-il se passer aujourd'hui ?

A part attendre et supposer, je ne peux rien faire. Un moment après John se réveille lui aussi. Constatant que Chris dort encore il ne dit rien et me fait juste un petit signe pour me dire bonjour. Je lui réponds de la même manière.

La porte s'ouvre et notre garde, le même qu’hier soir, entre brusquement.

- « Alors les jeunes ? Bien dormi ? »

John se risque à répondre.

- « Ouais. Ca peut aller. On va avoir un petit déjeuner ?

- Oui, mais avant, toilette et douche pour tout le monde. Raldo veut vous avoir propre. »

Il regarde alors mon cousin Chris qui se réveille puis me fixe du regard.

- « Je vais commencer par toi. Et comme tu as les mains attachées, ton copain va venir t'aider. »

 Il désigne John.

- « Euh… Je préférerais que ce soit mon cousin qui m'aide…

- Non ! C'est lui. »

Le ton est sans réplique.

- « Suivez moi tous les deux. »

John se lève alors, tout comme moi, et nous suivons le garde. Nous quittons la pièce et quelques mètres plus loin nous entrons dans une grande salle de bain. Au passage j'ai remarqué un autre gardien, debout et immobile devant notre chambre. Nous sommes vraiment bien surveillés.

Il s'adresse à John :

- « Comme il est attaché tu vas le laver et l'aider. Tu fais ça bien. Je contrôlerais. Et tu te laves aussi. Compris ?

- Oui.

- Je reviens dans une demi-heure. »

Il quitte alors la salle de bains. John me demande alors :

- « Euh… On commence par quoi ?

- Ben… Je sais pas … »

Le problème c'est que j'ai envie de pisser mais aussi un gros besoin… Et je n'ose pas lui annoncer !

Puis je réalise qu’hier il m'a enculé, alors au point où j'en suis, je lui dis :

- « Euh… Faut que j'aille aux toilettes. Mais pas que pour pisser… »

Il me regarde avec un sourire gêné.

- « Ok, j'ai compris. Je vais me retourner. »

 
Il se retourne alors et je vais m'asseoir sur le trône situé à coté de la douche. Je fais mes besoins mais je ne peux m'essuyer ayant les mains attachées. Je suis quand même très gêné par cette situation. John m'explique alors, toujours sans se retourner.

- « Tu vas sous la douche après. Je te laverai avec le jet. Ne t'inquiète pas. »

Il se veut rassurant. J'aurais préféré que ce soit mon cousin qui soit là, à m'aider, mais bon…
En me contorsionnant j'arrive à actionner la chasse d'eau. Puis je me dirige dans le bac à douche. John se rapproche et ouvre le jet d'eau chaude. Je me tourne alors et, me cambrant, lui offre mon postérieur. Il dirige l'eau vers mon anus et me lave ainsi le fondement.

Puis il me verse du champoing sur les cheveux et me les lave rapidement. Curieusement je ne trouve pas désagréable de me faire laver. Je lui demande alors :

- « Tu vas me frotter partout maintenant. Je ne veux pas que le gardien m'ennuie.

- OK. »

Il n'y a pas de gant de toilette. A mains nues et avec beaucoup de savon, John me lave le dos, les bras et les jambes. Visiblement il hésite à se rapprocher de mon sexe et de mes fesses. Sachant très bien que nos gardiens vont vérifier ces endroits je lui dis :

- « Euh… J'aimerais que tu me laves aussi… les couilles et le cul...

- D'accord. »

Maintenant que je lui ai dit, il promène sa main sans hésiter sur mon sexe et me le lave longuement. Le cock-strap ne le gène aucunement. Il le décalotte même. Faut dire qu'avec le savon et l'eau chaude ça coulisse facilement. Puis j'écarte fortement les jambes et lui fais comprendre qu'il doit me laver les fesses et la raie. Il passe alors sa main dans mon entrejambe et commence à frotter.
Brusquement, il me regarde fixement :

- « Désolé… »

Et il se met à genoux devant moi et happe ma queue dans sa bouche. De surprise, j'esquisse un mouvement de recul mais il passe un bras derrière mon dos et me retient.

- « Hé ! Que fais … »

Puis je ne dis plus rien. Et ne résiste plus. Après tout, s'il veut me faire une petite gâterie et bien pourquoi pas ? Autant en profiter après tout.

Voyant que je m'abandonne à lui, sa main dans mon dos descend dans ma raie, entre mes fesses et ses doigts titillent mon anus. Je me laisse faire et il enfonce un doigt en moi. Cette pénétration étant facilitée par la mousse du savon.

Sur le devant il suce avidement mon sexe qui, progressivement, se redresse. Sa seconde main me tient les bourses par le dessous. Il me les malaxe et pétrit doucement. Mes testicules roulent délicatement entre ses doigts. Ainsi stimulé en 3 endroits simultanés, mon cerveau reçoit des ondes multiples de plaisirs et ordonne naturellement à ma queue de se dilater, de se détendre, de se redresser, de durcir, de grossir. Toujours sanglé dans le cock-strap, ma tige, toujours fortement stimulée par la langue et les lèvres de John, grossit dans sa bouche. Les lanières agissent comme un stimulant supplémentaire. Je ne peux m'empêcher de donner des petits coups de rein pour enfoncer ma tige au fond de sa gorge. Bien qu'il ait du mal à synchroniser sa respiration avec mes mouvements, il s'applique et aime cela. Son doigt dans mon cul me titille l'intérieur et augmente mon plaisir. Un mouvement avant enfonce ma tige vers le fond de sa gorge. Un mouvement arrière et son doigt s'enfonce davantage dans mon fondement. Je bande comme jamais. Ma bite est dure comme du bois. Ses caresses sur mes bourses participent à ma jouissance. J'oublie où je suis. Je m'évade dans un monde de plaisir et de luxure. Ma respiration se fait haletante. Je sens maintenant que je vais jouir sous peu. Effectivement cela ne tarde pas. Plus violemment je m'enfonce au fond de sa gorge et, dans une onde de plaisir ultime, mon sperme jaillit violemment. Bien obligé, quoique non contrarié et y prenant visiblement du plaisir, il avale tout et je sens même sa langue lécher mon gland et mon méat jusqu'à nettoyer la moindre goutte de ma semence. Puis il consent à libérer mon sexe débandant de sa gangue de plaisir c'est-à-dire de sa bouche. Je le regarde. Restant à genoux devant moi il lève la tête vers moi. Son regard est mi interrogateur, mi inquiet.

- « Tu as aimé ?

- J'ai adoré ! Tu es vraiment fort !

- Rassure-toi. Le plaisir était pour moi aussi.

- Ouais j'ai bien vu… Mais je ne te ferai pas la même chose tu sais… Je ne suis pas gay moi… »

Il se redresse alors et me regarde fixement avec un petit sourire en coin :

- « Je sais mais tout le monde peut changer… Il suffit parfois d'essayer…

- Je ne pense… »

Brusquement la porte s'ouvre et notre gardien entre et nous vois tous les deux encore sous la douche. Sa voix s'élève.

- « Vous n'avez pas encore fini !? Mettez le turbo ! Je vous attends. Dans 5 mn, ça doit être fini. »

Sans un mot John se savonne alors rapidement le corps. Quand à moi je sors et, ne pouvant m'essuyer je reste debout, dégoulinant de gouttelettes d'eau. Le garde me fait alors signe d'approcher. Je lui obéis. Il sort une clé de sa poche et me délivre de mes menottes. Enfin ! Depuis hier soir mes bras retrouvent doucement leur mobilité. Le garde se penche maintenant vers mon sexe et me retire aussi le cock-strap. Puis il me tend une grande serviette :

- « Essuies-toi. Après je t'inspecte. »

Je prends la serviette et me sèche le corps complet. Il est là devant moi, à attendre. Je fais rapidement. Inutile de l'énerver.

- « C'est bon ! Approche maintenant. Mets tes mains sur la nuque. »

Je fais comme il me demande. Pendant ce temps John termine sa douche. Lui aussi sait qu'une inspection l'attend et se lave donc soigneusement.

Le garde examine alors mon sexe et mes bourses. Il me décalotte, me dégage le gland et l'examine. Puis, me faisant comprendre d'écarter les jambes, il passe derrière moi et m'écarte les fesses de ses grosses mains. Il examine ma raie et mon anus. Je subis encore une fois ces outrages en rougissant de honte et de gêne. Il me traite vraiment comme un animal de boucherie !

- « C'est pas bon. Mets-toi à 4 pattes là sur le tapis. »

Résigné une fois de plus à lui obéir, je prends la pose demandée. Il se place alors derrière moi et m'écarte davantage les cuisses.

- « Creuse le dos. Je veux voir ton cul ! »

Je me cambre alors fortement. Mon cul est ainsi offert complètement à sa vue. Et il en profite pour me mâter à son aise. Il pose ses deux mains sur mes fesses et les écarte davantage. Mon anus est alors vraiment exposé et dilaté.

- « Bien. C'est propre. Relève-toi maintenant. Au tour de ton copain ! »

Je me relève. John qui maintenant se sèche, pose sa serviette et comme moi met ses mains sur sa nuque. Puis il s'approche du garde. Le garde vérifie que son sexe est propre puis lui montre le tapis sur le sol.

- « Allez ! En position. »

Comme moi précédemment John se positionne à 4 pattes. Et se cambre pour faire ressortir son cul. Mais le garde trouve qu'il n'en fait pas assez :

- « Mets-toi sur les coudes. La tête contre le sol. »

John ne peut qu'obéir. Son postérieur est ainsi encore plus exposé et plus saillant. Sa raie est très largement ouverte. Son anus est visible dans toute son intimité. Son périnée parfaitement visible lui aussi. A travers ses jambes je distingue son sexe et ses couilles qui pendent à la verticale, tombant vers le sol. Le garde lui écarte alors les fesses et lui distend ainsi sa rosette. Puis il examine le périnée et les bourses.

- « Il y a trop de poils. Ton copain va te raser ! »

Il me désigne alors :

- « Tu vas le raser. Il y a un rasoir au dessus du lavabo. »

John proteste et se redresse brusquement.

- « Non ! Je ne veux pas ! Vous n'avez pas le droit ! »

Le garde se redresse alors et, se plaçant devant John, brandit sa matraque en avant :

- « Reprends la position, et vite ! Sinon ça va mal finir pour toi ! »

John s'énerve et ne veut pas obéir.

- « Non ! J'en ai marre ! Libérez-moi, merde !

- Tant pis pour toi. Tu auras été prévenu. »

Le garde sort alors un sifflet de sa poche, le porte à sa bouche et siffle deux coups brefs. Quelques instants plus tard la porte s'ouvre et trois autres gardes entrent. Quand à moi je me recule vers le mur. Que va-t-il arriver à John ?

- « Aidez-moi ! Il ne veut pas obéir ce petit con ! On va retourner dans la salle de sport. »

Chaque garde se saisit alors d'un membre de John. Devant le nombre et la force de ces quatre hommes et malgré ses cris de protestation il ne peut aucunement résister. Les quatre gardes quittent la pièce emportant mon compagnon. La porte reste ouverte derrière eux. Ne sachant que faire je décide de rester là et d'attendre... Les cris de John diminuent puis cessent complètement. Une porte claque. Puis je n'entends plus rien. Dix minutes passent. Le garde principal revient alors et s'adresse à moi :

- « Prends des rasoirs, une serviette et une bassine d'eau chaude. Tu vas aller raser ton copain comme prévu. »

Sachant qu'il ne sert à rien de résister, je prends les accessoires demandés et je suis le garde jusqu'à la salle de sport. Je vois alors que John est attaché à un cheval d'arçon. Il est situé à une des deux extrémités. Sa tête et son ventre reposent sur le dessus. Il est bâillonné et ne peut donc plus parler ni crier. Ses bras entourent le corps de l'instrument et se rejoignent dessous, les poignets attachés. Ses pieds reposent sur le sol mais sont maintenus attachés et écartés par une grande tige de bois. Il est donc maintenu plié en deux et son cul est fortement ouvert. Sa raie est entièrement visible. Ses couilles pendent tranquillement entre ses jambes. Le garde me pousse derrière lui et m'explique :

- « Voilà ! Tu le rases ! Et comme il a fait l'idiot tu lui raseras aussi les couilles après… Ca lui apprendra. »

Je ne dis rien. Le garde se recule pour mieux me surveiller. N'ayant d'autre choix je vais raser les fesses et la raie de John. Comme c'est un vrai blond ses poils sont peu visibles. En plus ils ne sont pas si nombreux que cela. Je dois vraiment regarder avec attention pour les distinguer. Je commence donc par mouiller sa raie et son périnée avec de l'eau chaude. Puis j'étale une bonne dose de mousse à raser dans sa raie. J'étale bien le tout. Je dois essayer de ne pas le blesser. Heureusement, s'avouant vaincu, il ne lutte plus et reste vraiment immobile. Seule sa respiration fait bouger légèrement son dos de haut en bas. Je prends un rasoir jetable et commence à le raser. J'y vais doucement. Pour raser le pourtour de son anus je tire la peau avec mon autre main. Sans trop de peine et sans le blesser je parviens finalement à supprimer tous ses poils. Du coup sa raie maintenant imberbe parait encore plus blanche. Et le rose de son anus se détache davantage. Je termine en le rinçant avec la serviette humide. Mis à part la gêne provoquée par la zone du corps concernée ce n'est finalement pas si difficile. Je me retourne alors vers le garde :

- « Voila. J'ai terminé.

- Je vais voir. Recule ! »

Je lui laisse alors la place. Il examine alors très soigneusement la raie et le cul de John.

- « C'est bon, oui. »

Il promène son doigt sur la raie de John, son anus, et remonte jusqu'à la base de ses bourses. Il vérifie la douceur de la peau en ses endroits intimes. Il semble satisfait.

- « Il a vraiment un beau cul ! Raldo l’a bien choisi, oui ! »

Il sort alors un petit flacon rempli d'un liquide épais de sa poche. Il s'en enduit les mains et commence à masser les fesses et la raie du postérieur ouvert devant lui. Les fesses de John se mettent alors à reluire. Je comprends qu'il s'agit d'huile de massage. Le garde accentue ses mouvements et masse avec une vigueur accrue. De plus en plus il écarte les globes ronds et fermes de mon compagnon et dilate ainsi son anus. Puis il verse carrément de l'huile sur son anus. Et doucement pénètre un doigt dans son fondement. Puis il tourne son doigt, écarte et dilate le trou huilé. Il entre et ressort son doigt plusieurs fois. Puis il met deux doigts et fait de même. Ainsi huilé, les muscles anaux n'offrent aucune résistance et la pénétration se fait sans douleur. John ne peut que subir ce viol de son intimité. Ainsi forcé et attaché il ne doit pas apprécier c'est certain. Après encore quelques mouvements de massage le garde se redresse, s'essuie les mains et se penche alors vers la tête de John :

- « Je vais te libérer. Ne résiste pas sinon j'appelle du renfort. Compris ? »

John est vaincu et fait un signe affirmatif de la tête. Le garde lui délie alors les poignets et les entraves qui lui maintenaient les pieds écartés. Péniblement John se redresse, toujours bâillonné. Il baisse la tête et ne résiste aucunement. Le garde le pousse alors vers les espaliers présents sur le mur du fond.

- « Plaque ton dos contre et lève les bras. »

John obéit sans rechigner. Il sait maintenant qu'il ne peut lutter et qu'en cas de résistance il cédera sous le nombre et la force.

Ses poignets sont attachés à l'espalier, puis ses mollets aussi. Il est bras relevés et écartés ; ses jambes elles aussi sont écartées. L'ensemble de son corps forme un X. Le garde prend alors un cylindre de mousse dure d'environ 20 cm de diamètre et le glisse derrière son dos, dans le creux des reins de mon ami. Son ventre est ainsi poussé vers l'avant. Son sexe est ainsi mis en évidence sur le devant de son corps ainsi arrondi. Il pend au repos. Son prépuce cache toujours entièrement le gland. Je regarde alors la petite toison blonde au dessus de son pubis. Elle n'est pas très importante. Pourtant, je vais devoir la raser.

- « Allez ! Vas-y ! Rase le maintenant ! »

Je garde s'adresse ainsi à moi et me montre le sexe de John. Je m'approche alors de son corps et me mets à genoux devant lui. Puis, comme tout à l'heure, après avoir humidifié et badigeonné de mousse sa toison, je rase ses poils peu épais. Je termine par la fine ligne de poil entre son nombril et son pubis. En quelques mouvements de rasoir tout est parti et John se retrouve 100% imberbe, comme au premier jour de sa naissance... Je nettoie alors le restant de mousse à raser. J'ai maintenant terminé et me recule.

Bien sûr le garde s'approche pour vérifier mon travail. Il se saisit de la queue du jeune garçon et la soulève pour vérifier s'il y a des poils sur le scrotum. A cet endroit-là je n'ai pas eu besoin de raser… Y'avait rien à raser…

Le garde ricane :

- « C'est bon. Il est maintenant tout beau pour les photos ! »

A ce moment là, la porte s'ouvre et Raldo entre. Il parcourt la pièce du regard et semble comprendre immédiatement la situation. Son regard s'arrête longuement sur le corps de John, nu, attaché et écartelé sur les espaliers.

- « Bien ! Il est rasé maintenant ? »

Ces propos confirment mon intuition : il sait parfaitement ce qui se passe ici. Je suis certain que c'est lui qui a décidé de punir et de raser John.

- « Oui, c'est bon. J'ai huilé son cul aussi. 

- Parfait. Mais il mérite encore une sanction pour t'avoir résisté tout à l'heure. Il faut qu'ils comprennent. Vas chercher le troisième garçon. Il doit voir aussi. »

 

La suite :  Un chalet en montagne - 9/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 14 juillet 7 14 /07 /Juil 13:30

Episode précédent :   Un chalet en montagne - 6/26

 

Chapitre 7/26 : Douleurs et boules


En hésitant, je me redresse et me présente devant lui. Il se met à genoux devant moi et, passant une main sous mes couilles, me les tire vers le devant. Je grimace sous la douleur, puis il enserre mon sexe et la base de mes bourses avec 2 anneaux reliés. Il m'explique :

- « C'est un cock-strap. Tu vas le porter jusqu'à demain matin. »

Avec un tournevis il serre alors les petites vis qui tiennent les 2 anneaux serrés. Le premier anneau me serre la base de la bite. Le deuxième les couilles. La sensation est surprenante. Je pense que ce truc risque de me faire bander rapidement. Puis il me demande de me tourner. J'obéis et je présente alors mon dos et mon postérieur à Raldo. Mais en me tournant ma queue est maintenant visible par mes deux compagnons. Ils regardent d'un air surpris ce dispositif qui m'enserre le sexe.

Raldo m'ordonne alors :

- « Les mains dans le dos ! »

Et il me met une paire de menottes aux poignets.

- « Voilà, c'est ta punition. Tu gardes tout ça jusqu'à demain matin. »

Puis il s'adresse à nous tous :

- « N'essayez pas de lui enlever ! Il y a une caméra là-haut… »

Il tend alors un bras vers le plafond :

- « Un de mes gardes vous surveille. Au moindre problème, il arrive et vous serez punis. »

Il se dirige vers la porte et se retourne une dernière fois vers nous :

- « Dans une heure vous aurez à manger. On se revoit demain matin. »

Puis il ferme la porte. Le verrou claque. Je relève la tête vers la caméra. Effectivement elle est bien dirigée vers nous et un petit voyant rouge indique son bon fonctionnement. Nous sommes donc sous surveillance. John, intrigué par mon cock-strap, s'approche et l'examine avec attention. Je n'apprécie pas vraiment sa curiosité.

- « C'est bon ! Laisse tomber ! On n'est pas dans un zoo ! »

Mon cousin Chris intervient pour prendre ma défense :

- « Laisse-le tranquille. C'est facile pour toi, t'es habillé maintenant en plus ! »

En effet, John a remis ses vêtements ainsi que Chris d'ailleurs. Je suis le seul à être nu et en plus avec mon sexe enserré dans ces deux anneaux. Chris me propose alors :

- « Si tu veux je me remets à poil aussi. Comme ça tu ne seras pas tout seul. De toute façon après ce qu'on a fait tout à l'heure … »

John qui regrette son comportement voyeur approuve.

- « Oui, Excuse-moi, on se met tous à poil comme toi. »

Et sans attendre mon avis sur la question mes deux compagnons retirent à nouveau leurs vêtements. Nous sommes donc à nouveau tous les trois nus. Mais moi j'ai en plus les mains attachées dans le dos. C'est sympa de leur part mais je pense à la caméra. Cette initiative ne risque t'elle pas d'énerver nos geôliers ? Je prends alors la parole :

- « Merci les gars, c'est sympa mais… »

Et d'un signe de la tête je désigne la caméra.

- « Ben… Je ne pense pas que çà pose problème ! Vu qu'ils aiment les mecs à poils.
C'est vrai après tout. Ils ont passé leur temps à nous filmer nus en train de baiser… »

Une bonne heure passe. Nous n'avons pas grand-chose à nous dire et nous commençons à avoir faim.

Soudain la porte s'ouvre et un garde, que nous n'avons pas encore vu, ouvre la porte. Il a le crâne rasé et une mine patibulaire. De plus il porte dans sa main une matraque. Pas vraiment sympathique le gaillard. Une tronche à faire peur. Sa voix claque :

- « Debout tous les 3 ! Contre le mur ! »

Sa voix est sévère. Nous obtempérons rapidement et avec appréhension.

- « Pourquoi êtes-vous à poil aussi tous les deux ? »

John lui répond :

- « C'est pour qu'il ne soit pas le seul.

- Ha ha ! Vous êtes solidaires alors ? C'est bien ! Et bien vous allez le rester. Qui a eu cette idée ? »

Il se moque de nous et je crains le pire. Que prépare-t'il ? Courageusement, John lui répond que c'est lui.

Le garde me saisit alors par les épaules et m'oblige à m'asseoir. Puis se rapprochant de mon cousin il lui fixe des menottes aux poignets, les mains dans le dos. Puis il l'oblige à s'asseoir près de moi. Seul John reste debout. D'une violente poussée le garde le pousse contre le mur. Il y a là un espalier destiné normalement à faire de la gymnastique. Mais John se voit attaché les 2 poignets à 2 barreaux, les bras vers le haut. Alors le garde le tire en arrière et lui fait comprendre qu'il doit se cabrer et mettre en évidence son cul. Notre malheureux compagnon ne peut qu'exécuter cet ordre. John, bronzé de partout, seulement couvert de quelques poils blonds est magnifiquement offert. Sa posture est vraiment hot. Je sais qu'il aime s'exhiber mais je ne suis pas certain qu'il aime le présent traitement.

Soudain le garde présente l'extrémité de sa matraque sur son bas du dos. Puis doucement il glisse l'objet dur dans la raie offerte. John est surpris par ce contact et réagit. Mais peu importe la matraque continue sa descente vers l'anus de John. Et effectivement le garde stoppe son engin sur la rosette de John.

- « Bien ! Tu aimes être enculé il parait ? Raldo me l'a dit... Alors on va voir si c'est vrai ! »

Et plaçant une main sur le devant de John pour mieux assurer sa prise il enfonce derechef la matraque dans le cul de notre compère. John crie de douleur et tente de résister mais le garde le maintien d'une poigne puissante et il ne peut rien faire. Il se fait ainsi sodomiser à sec par la matraque. Il souffre et je détourne les yeux, dégoûté de cette cruauté gratuite.
A présent au moins 10 cm de matraque sont enfoncés dans les entrailles de John… Le garde stoppe alors sa progression puis il se recule et contemple son travail. Il semble satisfait de son œuvre et de voir souffrir notre camarade. Il se rapproche ensuite de John et, lui passant les mains sur le ventre devant, lui saisit le sexe plutôt violemment. Encore une fois le captif grimace sous la douleur. Le garde lui explique alors :

- « Je vais te détacher et tu feras ce que je te dirais ! Sinon, ce sera encore pire ! Tu as compris ? »

D'un signe hésitant de la tête, John approuve. Le garde lui retire alors les liens présents aux poignets. Il retrouve l'usage de ses bras et reste planté là, devant le garde, avec sa matraque enfoncée en lui.

- « A 4 pattes sur le sol ! »

Sans discuter John prend la position demandée et le garde lui retire alors la matraque, non sans arracher un cri de douleur au passage.

- « Ne bouge pas ! »

Il regarde alors mon cousin Chris et lui demande :

- « Hé toi, le gamin, approche ! »

Après m'avoir regardé d'un œil hésitant en signe d'interrogation, Chris se lève difficilement avec les mains attachées dans le dos et se rapproche du garde.

- « Je suis sûr que t'as jamais vu un beau cul de mec de près ? N'est ce pas ? Tu vas voir… »

Et sans attendre aucune réponse il force Chris à s'accroupir derrière le postérieur de John et lui approche la tête de la raie ouverte.

- « Lèche-le ! Mets-y de la salive ! Ca lui fera moins mal après… »

Chris n'a pas envie d'obéir. Il trouve cet ordre un tantinet dégoûtant. Voyant ses hésitations, le garde lui plonge littéralement la tête dans le cul offert devant lui.

- « Vas-y ! Je te dis ! »

Comprenant qu'il n'a le choix, Chris sort alors sa langue et commence à lécher la raie de John. Il hésite à se rapprocher de l'anus.

- « Mieux que çà ! Sinon je te mets ma matraque dans le cul ! »

A cette idée Chris comprend qu'il doit s'appliquer et qu'il est moins douloureux de lécher un cul que de se faire sodomiser à sec. Il lèche alors consciencieusement la raie et l'anus présent devant lui. Le garde le regarde faire et semble satisfait. Il sort alors une clé de sa poche et délivre également Chris de ses menottes.

- « Branle-le en même temps. »

Mon cousin passe alors une main entre les jambes de John toujours à 4 pattes et se saisit de son sexe. Il masturbe alors John tout en poursuivant son léchage sur sa raie et son trou. Ainsi sollicité, et bien malgré lui, John ne peut qu'entrer en érection. Mais le garde ne veut pas qu'il prenne du plaisir.

- « Stop, tu vas l'enculer maintenant. »

Chris proteste :

- « Mais j'ai pas envie !

- M'en fous ! C'est çà ou ma matraque dans ton cul ! Tu choisis ! »

Le choix est vite fait, le choix n'est pas une option existante. Chris va devoir réaliser une première pour lui. Il commence alors à se branler afin de donner de la vigueur à son jeune sexe. Bien qu'il ne soit pas homo, la vue de John ainsi offert l'aide à se stimuler. De plus, à cet âge, les hormones sont plutôt bien présentes et de fait, très rapidement, il présente un sexe en érection complète. Sous le regard et la contrainte du garde il se présente face au cul ouvert et exposé de John. Il est hésitant. Il place ses mains sur les hanches de son camarade et positionne son sexe devant le trou lubrifié par sa salive. Puis, doucement, il commence sa pression contre le corps de son compagnon. A sa grande surprise il pénètre facilement et force sans problème les muscles anaux de John. Je regarde alors le visage de John : il ne souffre pas, c'est vrai que le pénis de Chris n'a rien à voir avec une matraque ! Il est plus petit et donc pénètre bien. En plus la salive aide. Chris pistonne à présent les entrailles et il est moins hésitant dans ses gestes. Assez rapidement il jouit dans le corps de John. Il se retire et reste là, debout, l'air hésitant, regardant à nouveau le garde et ne sachant que faire… Le garde semble satisfait mais une nouvelle idée germe dans sa tête.

Il demande d'abord à John de se lever et lui remet les menottes, les mains dans le dos. Puis il lui fait comprendre de se rasseoir à coté de moi.

Chris attend seul, debout et nu, le sexe débandé, le traitement prévu pour lui.

Il est inquiet et il y a de quoi, ce garde est vraiment sadique et pervers ! Justement il s'adresse à lui :

- « Mets-toi à 4 pattes sur la table, là ! »

Chris, hésitant et craintif, monte sur la table et prend la position demandée. Il est très mal à l'aise et tremble légèrement de peur. De ses mains, le garde lui écarte davantage les jambes et lui cabre le postérieur. Il est ainsi mis en valeur et tout est visible : la raie imberbe et blanche, l'anus rose et serré, les bourses qui pendent entre ses jambes. Il sort alors de sa poche 4 boules de bois reliées toute ensemble par un fil. Chaque boule à une taille différente. La plus petite fait environ 3 cm et la plus grosse environ 5 cm. Il agite le tout devant le visage stupéfait de Chris.

- « Voilà, c'est un nouveau gadget. Je vais l'essayer sur toi. Il faut voir si c'est bien en vidéo pour le film de demain. »

Je vois alors clairement Chris faire la grimace. Il ne peut s'empêcher de se contracter.

- « T'inquiètes pas. Je vais mettre du gel. Tu as un beau petit cul et il ne faut pas l'abîmer ! Sinon, Raldo ne va pas être content ! »

Il sort alors un tube de gel et en met une grosse noix dans la raie de mon cousin. Puis il étale ce gel, en insistant particulièrement sur l'anus. Il présente alors la première boule devant l'anus serré de Chris. A nouveau, Chris se contracte et le garde n'aime pas :

- « Non, reste bien écarté ! Sinon je t'attache ! »

Courageusement Chris offre alors son postérieur et se cabre davantage. Il préfère cela à des liens. Le garde pousse alors doucement mais fermement la boule la plus petite, et je vois l'anus s'ouvrir et absorber cette boule en entier. Au passage Chris semble avoir eu un peu mal. Il reste encore trois boules. Est-il vraiment possible pour Chris de les absorber toutes ?

La deuxième boule est maintenant prête à être introduite dans le rectum de notre jeune compagnon. Elle est légèrement plus grosse mais, d'une pression ferme, le garde l'enfonce complètement dans le cul de Chris. Non sans provoquer au passage un petit cri de douleur.

- « Lèves-toi et fais quelques pas. Tu es trop contracté. Ca ne va pas aller pour les autres. »

Avec hésitation, Chris se lève et fait quelques pas à coté de la table. La scène est étrange, les deux boules restantes pendent au bout de la ficelle, à environ 5 cm sous son cul. Curieusement il ne semble pas gêné par les deux boules déjà introduites en lui.

- « Bien, remonte sur la table. »

Docilement il s'exécute et reprend la position, jambes écartées et cul ouvert à la vue de tous. Le garde remet du gel sur son trou. Puis c'est au tour de la troisième boule de se retrouver en position, prête à l'introduction. Le garde commence à la pousser mais, malgré ses efforts, elle ne rentre pas et je vois bien le visage de Chris exprimer une douleur vive. Le garde s'en moque et, vigoureusement, écarte davantage les jambes de Chris, mais il ne semble pas satisfait.

- « Ca va pas ! Mets-toi sur le dos et replie tes jambes vers toi. »

Avec résignation, Chris obéit. Il replie ses jambes sur sa poitrine et le garde lui écarte au maximum possible.

- « Voilà ! Tu ne bouges pas ! »

Il présente à nouveau la boule n°3 devant l'anus offert à lui. Cette position dilate davantage le cul de mon jeune cousin et, d'une poussée franche et décidée, le garde enfonce la boule à l'intérieur de ses entrailles non sans provoquer une grimace de douleur sur son visage.

Il reste maintenant la dernière boule, la plus grosse. Chris n'a jamais subi de pénétration et il est certain qu'il va avoir mal. Son anus n'est pas entraîné à de tels actes, mais il ne peut que subir, sans s'opposer au sadisme de ce garde. A nouveau il étale du gel sur la rosette. Il ne veut pas abîmer mon cousin. Malgré tout peu lui importe sa souffrance…

Il présente alors cette dernière boule devant le trou à peine dilaté par les introductions précédentes. Elle est grosse et j'ai mal pour Chris. Effectivement, malgré les efforts du garde, elle ne veut pas rentrer. Le garde hésite à forcer davantage. Il remet alors du gel et introduit un, puis deux doigts dans le cul de Chris. Celui-ci est obligé de subir ce nouvel affront sans rechigner. Le garde masse alors et élargi doucement les lèvres anales. Progressivement et malgré la mauvaise volonté de leur propriétaire, les muscles se détendent. Les doigts coulissent à présent sans difficulté apparente, baignant dans le gel. Le garde s'adresse alors à Chris :

- « Tu vois, malgré toi, ton cul s'ouvre. Il suffit de prendre son temps. »

Il retire alors sa main et approche à nouveau la quatrième et récalcitrante dernière boule. De la paume de la main il appuie fortement dessus et, à mon grand étonnement, l'anus de mon cousin se dilate suffisamment pour l'absorber. Chris n'a rien. Tout au plus a t'il grimacé un peu lors du passage de la boule. Le garde le félicite :

- « Bien ! Tu vois finalement ! Ha ha ! Tu peux te redresser maintenant. »

Chris se redresse alors et se retrouve assis sur le bord de la table. Le garde lui fait signe de se mettre debout. Il obéit.

- « Bon, il faut que je récupère les boules maintenant. Attends. »

Et il quitte la pièce, sans oublier de fermer le verrou derrière lui. Je demande de suite à mon cousin s’il a mal.

- « Euh… un peu, mais en fait j'ai plutôt comme envie de chier… »

- Ben je pense que les boules vont sortir comme cela.

- T'as raison, mais je veux pas… »

La porte s'ouvre à nouveau et le garde entre. Nous ne terminons pas nos propos. Inutile d'agacer ce sadique. Chris reste piteusement debout, nu, à attendre la suite des évènements. Le garde tient un seau plein d'eau et le pose sur le sol. Il fixe mon cousin.

 - « Assieds-toi là-dessus et expulse les boules. »

 Chris rougit sous l'idée de devoir s'accroupir ainsi devant nous. Mais n'ayant pas d'autre possibilité, il s'exécute en nous tournant le dos. Il pousse et tout le monde entend distinctement les quatre boules tomber dans l'eau l'une après l'autre. La sortie est plus rapide et facile que l'introduction. Après tout, un anus, c'est fait pour expulser les déchets vers la sortie…

Le garde fait alors signe à Chris de se relever puis, le saisissant par la taille, il le force à se retourner et d'une poussée dans le dos l'oblige ensuite à se pencher en avant. Chris lui offre ainsi son postérieur et le garde lui écarte rapidement les globes fessiers pour examiner son anus.

- « Écarte plus les jambes ! Je ne vois rien ! »

Mon cousin obéit et expose davantage son intimité. Le garde continue alors son examen visuel. Il semble satisfait et se relève.

- « Parfait. Pas de trace. Tout va bien. »

Il nous regarde alors tous les trois.

- « Je vais vous amenez un repas d'ici une heure. »

Il me désigne d'un signe de tête :

- « Et toi, tu te feras aider par tes copains. »

Il quitte alors la pièce et nous laisse seuls. Il semble avoir oublié que John aussi a les mains menottées dans le dos. Seul Chris n'est pas entravé mais il ne peut rien faire contre nos menottes métalliques. Nous discutons peu, sachant très bien que pour l'instant, nous ne pouvons ni lutter contre nos gardiens, ni leur échapper.

Une heure plus tard notre gardien entre. Il pousse devant lui une table roulante. Au-dessus, le plateau contient trois assiettes pleines de pâtes et d'autres victuailles. Les couverts sont en plastiques. Nos geôliers sont prudents et ne veulent pas nous fournir le moindre outil métallique…

Il désigne John et lui demande de se lever. Il passe derrière lui et lui détache alors ses menottes. Puis il me fait signe de me lever aussi. J'obéis aussitôt. J'espère qu'il va me libérer aussi ; au moins pour manger. Mais non ! Il se penche vers moi et d'une main se saisit de mon sexe toujours entravé dans son cock-strap. Il vérifie que l'engin n'est pas trop serré et que le sang circule bien.

- « Bien ! Jusqu'à demain matin. Comme Raldo a dit. »

Je baisse la tête et ne dit rien.

- « Je reviens dans un moment récupérer la table. Alors manger tout. »

Il nous laisse alors seuls. Chris me regarde :

- « T'en fais pas. Je vais t'aider à manger.

- Merci, t'es sympa. »

Nous nous rapprochons alors de la table et, restant debout autour, nous commençons à manger. Chris me donne à manger en portant la fourchette à ma bouche comme avec un gamin. Ce n’est pas marrant du tout, voire humiliant, mais comme je meurs de faim, je n'ai pas d'autre solution. Il m'aide aussi à boire.

Finalement le repas ne se passe pas trop mal. C'est copieux et correct. Nous retournons ensuite nous asseoir sur un des matelas.

Peu après le garde revient et constate que le plateau et vide. Il ne dit rien et sort en poussant la table. La lampe s'éteint, sans doute commandée de l'extérieur de la pièce. Nous nous allongeons et progressivement chacun de nous plonge dans le sommeil.

Sauf moi avec les mains dans le dos. J'ai mal aux épaules et je dors finalement très peu. Je me réveille plusieurs fois. Impossible de dormir normalement en étant nu et les mains attachées !

 

La suite :  Un chalet en montagne - 8/26

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