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Episode précédent : Un chalet en montagne - 10/26
Chapitre 11/26 : Punitions !
Raldo, toujours énervé, appelle un autre garde en renfort. A eux deux ils obligent Chris à s'allonger sur le dos directement sur le sol, bras et jambes écartées, en forme de X. Puis ils attachent les quatre membres du garçon aux pieds de deux chevaux d'arçons qu'ils rapprochent pour être au niveau des mains et des pieds. Vu le poids de ces instruments de gymnastique, Chris est littéralement immobilisé au sol. Son visage est seulement à 2 m du mien. Il a peur du traitement qui va lui être infligé. Raldo est sans pitié et toute résistance est punie avec sévérité, voire avec cruauté. Il fait juste très attention de ne pas marquer ni abîmer nos jeunes corps d'adolescents car dans ce cas, impossible de jouer devant une caméra.
Le garde se rapproche de moi et de John pour nous surveiller. Mais nous ne bougeons pas d'un iota. Raldo s'assoie alors sur les jambes et, de ses genoux, le serre sous son poids d'adulte. Chris ne peut alors vraiment plus bouger. Son corps lisse et nu me semble petit et très vulnérable avec Raldo qui le plaque au sol. La partie est très inégale. Raldo se saisit alors du sexe de Chris recroquevillé par la peur et le décalotte d'un mouvement très professionnel. Puis sur le gland parfaitement dégagé de son prépuce il pince avec délicatesse le méat et ouvre ainsi le conduit urinaire. La punition est la même que celle de John. A savoir l'introduction d'un coton tige imbibé d'alcool dans le sexe. Du moins c'est ce à quoi je pense en regardant Raldo s'affairer sur la verge de Chris. Effectivement, Raldo sort le flacon d'alcool de sa poche. Il l'ouvre et l'approche de l'extrémité pincée de la bite de mon cousin. Il incline le flacon. Je comprends alors, horrifié, qu'il va verser directement l'alcool sur le sexe de Chris ! Et effectivement, d'un geste franc, il verse un petit filet du liquide transparent dans le méat de mon jeune cousin.
- « Haaaaaaaaaa !!!!!! »
La douleur est terrible, similaire à une forte brûlure ou à un coup de couteau et Chris hurle et se tord de douleur en essayant d'échapper à son tortionnaire. Mais le poids de Raldo ne lui permet que peu de mouvements de fuite. Avec cynisme et froideur, Raldo tient la bite du garçon immobile et à la verticale, pour empêcher l'alcool de couler. Chris continue ainsi à souffrir durant de longues secondes, le corps agité de soubresauts. John et moi sommes muets de peur. J'ai mal pour Chris.
Enfin, Raldo se saisit d'une carafe d'eau que lui tend le garde et verse de l'eau sur le sexe de mon cousin pour le rincer. L'eau chasse l'alcool. Tout doucement la brûlure s'atténue et Chris stoppe ses hurlements qui se transforment en pleurs. Il n'a jamais autant souffert. La punition est terrible et cruelle. Raldo libère ensuite mon cousin de ses liens. Chris reste allongé sur le sol en pleurant.
Raldo s'adresse à nous tous :
- « Voilà, je n'ai plus de temps à perdre. J'espère que la leçon est comprise ? »
Je ne réponds rien, John non plus. Que dire d'ailleurs ?
Sur un signe de Raldo le garde quitte la pièce et revient 30 secondes plus tard. Il tient une serviette humide. Il s'approche de Chris, le saisit par les épaules et l'oblige à s'asseoir. Chris se laisse manipuler sans la moindre résistance. Après John, lui aussi est définitivement vaincu.
- « Essuies-toi le visage ! »
Chris obtempère. Il arrête de pleurer et se rince la figure, essuyant ses larmes. Son visage retrouve un aspect normal mais ses yeux expriment désormais la peur et la soumission.
Puis Raldo lui reprend la serviette et, s'approchant de moi, me nettoie le ventre des quelques traces de sperme qui y restaient. Je ne bouge pas et me laisse faire sans protester aucunement.
- « Bien. Vous allez maintenant reprendre la scène : toi Pascal tu te branles et ensuite, Chris, tu lèche son jus mais avec application cette fois. »
Le caméraman reporte son attention sur moi. Je comprends et, docilement, je recommence à me branler. Encore bouleversé par la scène que je viens de voir, je n'ai pas le cœur à l'ouvrage. Pourtant il me faut faire le vide dans mon esprit. Petit à petit et animé par de vigoureux mouvements de mon poignet mon sexe durcit, s'érige et se tend doucement. C'est laborieux et j'ai du mal à me concentrer. Je n'ose imaginer la réaction de Raldo si je n'y arrive pas. Il me faut donc activer la chose. Faisant donc fis de toute pudeur et pour augmenter ma stimulation, je décide de faire des va et vient avec le gode toujours enfoncé dans mon anus. De ma main gauche je le retire donc sur quelques centimètres et le renfonce d'autant. Je mets du cœur à l'ouvrage. Après quelques minutes de masturbation frénétiques je devine que mon désir est enfin prêt à exploser. Enfin la jouissance parvient. Je m'arque sur le cousin et, à nouveau, quelques jets de sperme crémeux jaillissent sur mon ventre. J'ai d'ailleurs bien pris soin de viser mon ventre avec ma bite. Il ne faut plus contrarier notre cruel scénariste.
Chris, qui a suivi du regard et avec attention toute ma vigoureuse branlette, entre maintenant en scène. Sans un mot de quiconque, il se met à 4 pattes et j’approche sa tête de mon ventre. Puis avec application il se met à lécher ma peau. Surmontant son dégoût il avale soigneusement chaque trace de mon liquide blanchâtre et crémeux. Puis voulant en faire le maximum pour satisfaire Raldo et ainsi ne plus être puni, il lèche délicatement les quelques filets de sperme qui pendent à l'extrémité de mon gland. En effet ma bite n'est pas encore débandée et mon gland brille toujours d'humidité, mélange de précum et de sperme. Une fois l'extrémité de mon gland nettoyée, ce que je trouve très agréable d'ailleurs, mon cousin se recule et attend les ordres en regardant Raldo.
D'un signe de la main celui-ci lui fait comprendre qu'il doit me retirer mon gode. Chris acquiesce d'un signe de tête et se positionne entre mes jambes que j'écarte alors davantage. Je me cabre aussi pour bien dégager mon cul et ma raie. Chris se saisit du gode et le retire entièrement. Après plus d'une heure avec cet instrument enfiché en moi, j'apprécie de pouvoir enfin serrer les fesses normalement.
Le caméraman stoppe sa caméra. La scène est terminée, enfin. Raldo nous explique alors :
- « Bien, ça suffit pour ce matin. On reprendra après le repas. Suivez le garde jusque dans votre chambre. Il vous apportera à manger. »
Docilement, chacun de nous trois se lève. Nous suivons le garde jusque dans la chambre. Il nous quitte. La porte se ferme et nous restons seuls. Je me tourne vers Chris :
- « Ca va ?
- Putain ! L'enfoiré ! Je n'ai jamais eu mal comme cela ! J'ai eu l'impression qu'il me coupait la bite avec une lame ! Ca me brûle encore un peu même. Je vais essayer de me rincer encore avec de
l'eau.
- Oui, c'est une bonne idée, approuve John. »
Lui aussi à subi ce traitement douloureux et comprend bien la douleur supportée par mon cousin.
- « Ouais. Mais on n'a pas d'eau là …
- Ben, peut-être qu'avec le repas. Ils vont bien en apporter.
- Oui, on va attendre. On n'a rien d'autre à faire de toute façon. »
Nous nous asseyons sur un matelas. Chris, sans pudeur aucune, examine alors l'extrémité de son sexe qui lui brûle encore. Il veut voir son anatomie pour se rassurer et ne peut attendre davantage.
Notre présence ne l'indispose aucunement. Il faut dire qu’après les scènes vécues, chacun connaît tout des autres. Je me penche pour mieux regarder. Il s'en moque complètement. D'un geste hésitant, il retire son prépuce et laisse ainsi apparaître le gland rouge vif. Puis il examine avec attention son extrémité.
- « Ca a l'air d'aller. Ce n'est pas plus rouge que d'habitude… »
Je me rapproche davantage.
- « Ouais. Ca semble normal. »
Et c'est bien là toute la cruauté de Raldo : nous punir mais sans laisser de traces qui nous empêcheraient ensuite de jouer les jeunes acteurs gays.
- « Je rincerai si on amène de l'eau. » Me dit Chris.
Justement la porte s'ouvre et le garde arrive avec une table chargée de nourriture. Et d'une bouteille d'eau. Il roule la table jusque devant nous.
- « Voilà ! Vous avez deux heures devant vous. Raldo a dit qu'on reprendrait vers 14h. »
Et il quitte la pièce. Le verrou claque. Nous sommes toujours bien prisonniers. Curieusement je remarque alors que nos vêtements sont présents sur une chaise, dans un coin. Sans doute un garde les a-t-il placés ici ? Nous sommes toujours tous les trois complètement nus. Et j'aimerai bien que cela cesse. Ne serait-ce que pour manger. J'en fais la remarque à mes compagnons :
- « Vous avez vu ? Y a nos fringues sur la chaise. Et si on se rhabillait ? »
Chris regarde John avec un regard perplexe. John hoche la tête de négation.
- « Euh… Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Ils ne nous ont rien dit. Et je n'ai pas envie d'être puni à nouveau. »
Chris obtempère :
- « Moi non plus, Tu ne peux pas imaginer comme ça fait mal, de l'alcool sur la bite. Je reste à poil, je préfère. »
Je m'incline. Effectivement ils ont raison : ce n'est pas une bonne idée. Inutile de faire quelque chose qui pourrait énerver nos gardiens… »
Chris regarde la bouteille d'eau, la saisit et en verse dans un verre. Puis tenant son verre à la main, il réfléchit. Puis me regarde.
- « Je pense que je vais avoir besoin d'aide. Je ne peux pas y arriver tout seul, il me faudrait trois mains. Je vais m'allonger et tu vas me verser de l'eau. »
Il doit avoir vraiment mal pour me demander un tel service aussi rapidement et directement. Mais je ne me vois pas lui pincer le bout de son jeune sexe…
- « Euh… »
John me coupe.
- « Laisse, je vais le faire moi. Allonge-toi.
- Ok. »
Et Chris s'allonge devant nous sur le matelas, sans pudeur aucune. John s'agenouille à coté de lui et, délicatement, lui saisit le sexe. Puis comme Raldo tout à l'heure il dégage complètement le gland en retirant le prépuce. Enfin il pince doucement l'extrémité du sexe et ouvre ainsi le conduit urinaire du jeune garçon. Je lui tends alors le verre d'eau. John l'approche du gland rose et, l'inclinant, il verse directement un petit filet d'eau dans la bite de mon cousin. L'effet est immédiat et la sensation de brûlure diminue fortement.
- « Vas-y oui, encore. »
John poursuit alors son rinçage, continue à verser de l'eau et, mouillant ses doigts, rince aussi le gland dans sa totalité. Ce traitement simple est efficace et bientôt toute douleur résiduelle disparaît. Chris se relève.
- « C'est bon. Merci John.
- De rien. »
Chris a retrouvé ses couleurs et je suis content qu'il aille mieux.
- « Ok, on va pouvoir manger maintenant. »
Je partage alors les différents plats froids présents sur la table. Il n'y a aucun couteau ni ustensile métalliques. Tout est servi dans des assiettes en carton. Les verres aussi sont en
plastiques. C'est sans doute une mesure de précaution. Néanmoins la qualité est correcte et nous dévorons de bon cœur les sandwichs et salades présents. Nous terminons notre repas avec des fruits
et des flans. Puis nous rangeons sommairement la table. D'un commun accord, nous savons maintenant qu'il est préférable de coopérer…
Nous finissons par nous allonger sur les matelas. Nous discutons rapidement de notre sort. Impossible de résister ou de nous échapper, nous sommes trop bien surveillés. Chris a du mal à comprendre pourquoi la police n'est pas encore là. J'explique alors que personne ne sait que nous sommes dans ce chalet. De plus c'est un chalet luxueux. Pas le genre d'endroit où l'on penserait à chercher trois jeunes garçons absents. On doit nous croire perdu en montagne ou en train de fuguer. C'est plus classique pour expliquer une disparition…
Après discussion nous pensons que le mieux pour l'instant est de coopérer. Déjà pour éviter les punitions douloureuses et si possible pour endormir la méfiance de nos gardiens. Si une occasion de s'échapper se présente nous la saisirons. Mais nous avons le désagréable sentiment que notre destin n'est pas entre nos mains…
Je réfléchis à tout cela lorsque la porte s'ouvre et le gardien apparaît. Il nous regarde tous les trois, allongés nus sur nos matelas. Et il s'adresse à nous :
- « Suivez-moi, tous les trois. »
Sans rien dire nous nous levons et le suivons. Il nous ramène dans la salle de sport que nous ne connaissons que trop bien. Raldo et le caméraman sont déjà présents à nous attendre.
- « Toi, Pascal, approche ! »
M'interrogeant sur mon sort je m'approche de Raldo. Il me positionne devant le cheval d'arçon et me demande de tendre les bras. J'obéis sagement. Puis il m'attache chaque poignet aux deux poignées présentes sur le dessus de l'instrument de gymnastique.
- « Parfait, recule maintenant et penche-toi en avant. »
Toujours docilement, je m'exécute.
- « Encore… »
Je recule davantage les pieds. J'ai maintenant le dos à l'horizontale et les bras dans l'alignement. Puis d'une poussette de son pied contre mon mollet, il me fait comprendre que je dois écarter les jambes. Ce que je fais. Je me retrouve ainsi les fesses ouvertes, la raie écartée et offerte.
- « Cambre-toi davantage. »
Je creuse alors davantage mes reins et fait ainsi ressortir mon cul. Il est ainsi parfaitement écarté. Mon anus est complètement dégagé et accessible. Mes couilles pendent librement vers le sol. Déjà le caméraman fait quelques gros plans sur mes fesses puis zoome sur ma rondelle et mon trou. Lui aussi semble apprécier ma raie blanche et imberbe puisque rasée. Puis il se recule. Je me demande quelle sera la suite même si je m'en doute bien un peu…
Raldo s'adresse maintenant à Chris :
- « Toi, approche. »
Chris obéit et se positionne juste derrière moi.
- « Tu ne fais rien pour le moment, tu regardes juste. Ton tour viendra après… »
Ces mots ne sont pas faits pour me rassurer et j'appréhende la suite des évènements. Mais Raldo poursuit :
- « John, approche aussi. »
Docile comme nous tous John se rapproche. Raldo rapproche alors une table roulante chargée de pots divers et explique alors… :
La suite : Un chalet en montagne - 12/26
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