Dimanche 14 juillet 7 14 /07 /Juil 13:30

Episode précédent :   Un chalet en montagne - 6/26

 

Chapitre 7/26 : Douleurs et boules


En hésitant, je me redresse et me présente devant lui. Il se met à genoux devant moi et, passant une main sous mes couilles, me les tire vers le devant. Je grimace sous la douleur, puis il enserre mon sexe et la base de mes bourses avec 2 anneaux reliés. Il m'explique :

- « C'est un cock-strap. Tu vas le porter jusqu'à demain matin. »

Avec un tournevis il serre alors les petites vis qui tiennent les 2 anneaux serrés. Le premier anneau me serre la base de la bite. Le deuxième les couilles. La sensation est surprenante. Je pense que ce truc risque de me faire bander rapidement. Puis il me demande de me tourner. J'obéis et je présente alors mon dos et mon postérieur à Raldo. Mais en me tournant ma queue est maintenant visible par mes deux compagnons. Ils regardent d'un air surpris ce dispositif qui m'enserre le sexe.

Raldo m'ordonne alors :

- « Les mains dans le dos ! »

Et il me met une paire de menottes aux poignets.

- « Voilà, c'est ta punition. Tu gardes tout ça jusqu'à demain matin. »

Puis il s'adresse à nous tous :

- « N'essayez pas de lui enlever ! Il y a une caméra là-haut… »

Il tend alors un bras vers le plafond :

- « Un de mes gardes vous surveille. Au moindre problème, il arrive et vous serez punis. »

Il se dirige vers la porte et se retourne une dernière fois vers nous :

- « Dans une heure vous aurez à manger. On se revoit demain matin. »

Puis il ferme la porte. Le verrou claque. Je relève la tête vers la caméra. Effectivement elle est bien dirigée vers nous et un petit voyant rouge indique son bon fonctionnement. Nous sommes donc sous surveillance. John, intrigué par mon cock-strap, s'approche et l'examine avec attention. Je n'apprécie pas vraiment sa curiosité.

- « C'est bon ! Laisse tomber ! On n'est pas dans un zoo ! »

Mon cousin Chris intervient pour prendre ma défense :

- « Laisse-le tranquille. C'est facile pour toi, t'es habillé maintenant en plus ! »

En effet, John a remis ses vêtements ainsi que Chris d'ailleurs. Je suis le seul à être nu et en plus avec mon sexe enserré dans ces deux anneaux. Chris me propose alors :

- « Si tu veux je me remets à poil aussi. Comme ça tu ne seras pas tout seul. De toute façon après ce qu'on a fait tout à l'heure … »

John qui regrette son comportement voyeur approuve.

- « Oui, Excuse-moi, on se met tous à poil comme toi. »

Et sans attendre mon avis sur la question mes deux compagnons retirent à nouveau leurs vêtements. Nous sommes donc à nouveau tous les trois nus. Mais moi j'ai en plus les mains attachées dans le dos. C'est sympa de leur part mais je pense à la caméra. Cette initiative ne risque t'elle pas d'énerver nos geôliers ? Je prends alors la parole :

- « Merci les gars, c'est sympa mais… »

Et d'un signe de la tête je désigne la caméra.

- « Ben… Je ne pense pas que çà pose problème ! Vu qu'ils aiment les mecs à poils.
C'est vrai après tout. Ils ont passé leur temps à nous filmer nus en train de baiser… »

Une bonne heure passe. Nous n'avons pas grand-chose à nous dire et nous commençons à avoir faim.

Soudain la porte s'ouvre et un garde, que nous n'avons pas encore vu, ouvre la porte. Il a le crâne rasé et une mine patibulaire. De plus il porte dans sa main une matraque. Pas vraiment sympathique le gaillard. Une tronche à faire peur. Sa voix claque :

- « Debout tous les 3 ! Contre le mur ! »

Sa voix est sévère. Nous obtempérons rapidement et avec appréhension.

- « Pourquoi êtes-vous à poil aussi tous les deux ? »

John lui répond :

- « C'est pour qu'il ne soit pas le seul.

- Ha ha ! Vous êtes solidaires alors ? C'est bien ! Et bien vous allez le rester. Qui a eu cette idée ? »

Il se moque de nous et je crains le pire. Que prépare-t'il ? Courageusement, John lui répond que c'est lui.

Le garde me saisit alors par les épaules et m'oblige à m'asseoir. Puis se rapprochant de mon cousin il lui fixe des menottes aux poignets, les mains dans le dos. Puis il l'oblige à s'asseoir près de moi. Seul John reste debout. D'une violente poussée le garde le pousse contre le mur. Il y a là un espalier destiné normalement à faire de la gymnastique. Mais John se voit attaché les 2 poignets à 2 barreaux, les bras vers le haut. Alors le garde le tire en arrière et lui fait comprendre qu'il doit se cabrer et mettre en évidence son cul. Notre malheureux compagnon ne peut qu'exécuter cet ordre. John, bronzé de partout, seulement couvert de quelques poils blonds est magnifiquement offert. Sa posture est vraiment hot. Je sais qu'il aime s'exhiber mais je ne suis pas certain qu'il aime le présent traitement.

Soudain le garde présente l'extrémité de sa matraque sur son bas du dos. Puis doucement il glisse l'objet dur dans la raie offerte. John est surpris par ce contact et réagit. Mais peu importe la matraque continue sa descente vers l'anus de John. Et effectivement le garde stoppe son engin sur la rosette de John.

- « Bien ! Tu aimes être enculé il parait ? Raldo me l'a dit... Alors on va voir si c'est vrai ! »

Et plaçant une main sur le devant de John pour mieux assurer sa prise il enfonce derechef la matraque dans le cul de notre compère. John crie de douleur et tente de résister mais le garde le maintien d'une poigne puissante et il ne peut rien faire. Il se fait ainsi sodomiser à sec par la matraque. Il souffre et je détourne les yeux, dégoûté de cette cruauté gratuite.
A présent au moins 10 cm de matraque sont enfoncés dans les entrailles de John… Le garde stoppe alors sa progression puis il se recule et contemple son travail. Il semble satisfait de son œuvre et de voir souffrir notre camarade. Il se rapproche ensuite de John et, lui passant les mains sur le ventre devant, lui saisit le sexe plutôt violemment. Encore une fois le captif grimace sous la douleur. Le garde lui explique alors :

- « Je vais te détacher et tu feras ce que je te dirais ! Sinon, ce sera encore pire ! Tu as compris ? »

D'un signe hésitant de la tête, John approuve. Le garde lui retire alors les liens présents aux poignets. Il retrouve l'usage de ses bras et reste planté là, devant le garde, avec sa matraque enfoncée en lui.

- « A 4 pattes sur le sol ! »

Sans discuter John prend la position demandée et le garde lui retire alors la matraque, non sans arracher un cri de douleur au passage.

- « Ne bouge pas ! »

Il regarde alors mon cousin Chris et lui demande :

- « Hé toi, le gamin, approche ! »

Après m'avoir regardé d'un œil hésitant en signe d'interrogation, Chris se lève difficilement avec les mains attachées dans le dos et se rapproche du garde.

- « Je suis sûr que t'as jamais vu un beau cul de mec de près ? N'est ce pas ? Tu vas voir… »

Et sans attendre aucune réponse il force Chris à s'accroupir derrière le postérieur de John et lui approche la tête de la raie ouverte.

- « Lèche-le ! Mets-y de la salive ! Ca lui fera moins mal après… »

Chris n'a pas envie d'obéir. Il trouve cet ordre un tantinet dégoûtant. Voyant ses hésitations, le garde lui plonge littéralement la tête dans le cul offert devant lui.

- « Vas-y ! Je te dis ! »

Comprenant qu'il n'a le choix, Chris sort alors sa langue et commence à lécher la raie de John. Il hésite à se rapprocher de l'anus.

- « Mieux que çà ! Sinon je te mets ma matraque dans le cul ! »

A cette idée Chris comprend qu'il doit s'appliquer et qu'il est moins douloureux de lécher un cul que de se faire sodomiser à sec. Il lèche alors consciencieusement la raie et l'anus présent devant lui. Le garde le regarde faire et semble satisfait. Il sort alors une clé de sa poche et délivre également Chris de ses menottes.

- « Branle-le en même temps. »

Mon cousin passe alors une main entre les jambes de John toujours à 4 pattes et se saisit de son sexe. Il masturbe alors John tout en poursuivant son léchage sur sa raie et son trou. Ainsi sollicité, et bien malgré lui, John ne peut qu'entrer en érection. Mais le garde ne veut pas qu'il prenne du plaisir.

- « Stop, tu vas l'enculer maintenant. »

Chris proteste :

- « Mais j'ai pas envie !

- M'en fous ! C'est çà ou ma matraque dans ton cul ! Tu choisis ! »

Le choix est vite fait, le choix n'est pas une option existante. Chris va devoir réaliser une première pour lui. Il commence alors à se branler afin de donner de la vigueur à son jeune sexe. Bien qu'il ne soit pas homo, la vue de John ainsi offert l'aide à se stimuler. De plus, à cet âge, les hormones sont plutôt bien présentes et de fait, très rapidement, il présente un sexe en érection complète. Sous le regard et la contrainte du garde il se présente face au cul ouvert et exposé de John. Il est hésitant. Il place ses mains sur les hanches de son camarade et positionne son sexe devant le trou lubrifié par sa salive. Puis, doucement, il commence sa pression contre le corps de son compagnon. A sa grande surprise il pénètre facilement et force sans problème les muscles anaux de John. Je regarde alors le visage de John : il ne souffre pas, c'est vrai que le pénis de Chris n'a rien à voir avec une matraque ! Il est plus petit et donc pénètre bien. En plus la salive aide. Chris pistonne à présent les entrailles et il est moins hésitant dans ses gestes. Assez rapidement il jouit dans le corps de John. Il se retire et reste là, debout, l'air hésitant, regardant à nouveau le garde et ne sachant que faire… Le garde semble satisfait mais une nouvelle idée germe dans sa tête.

Il demande d'abord à John de se lever et lui remet les menottes, les mains dans le dos. Puis il lui fait comprendre de se rasseoir à coté de moi.

Chris attend seul, debout et nu, le sexe débandé, le traitement prévu pour lui.

Il est inquiet et il y a de quoi, ce garde est vraiment sadique et pervers ! Justement il s'adresse à lui :

- « Mets-toi à 4 pattes sur la table, là ! »

Chris, hésitant et craintif, monte sur la table et prend la position demandée. Il est très mal à l'aise et tremble légèrement de peur. De ses mains, le garde lui écarte davantage les jambes et lui cabre le postérieur. Il est ainsi mis en valeur et tout est visible : la raie imberbe et blanche, l'anus rose et serré, les bourses qui pendent entre ses jambes. Il sort alors de sa poche 4 boules de bois reliées toute ensemble par un fil. Chaque boule à une taille différente. La plus petite fait environ 3 cm et la plus grosse environ 5 cm. Il agite le tout devant le visage stupéfait de Chris.

- « Voilà, c'est un nouveau gadget. Je vais l'essayer sur toi. Il faut voir si c'est bien en vidéo pour le film de demain. »

Je vois alors clairement Chris faire la grimace. Il ne peut s'empêcher de se contracter.

- « T'inquiètes pas. Je vais mettre du gel. Tu as un beau petit cul et il ne faut pas l'abîmer ! Sinon, Raldo ne va pas être content ! »

Il sort alors un tube de gel et en met une grosse noix dans la raie de mon cousin. Puis il étale ce gel, en insistant particulièrement sur l'anus. Il présente alors la première boule devant l'anus serré de Chris. A nouveau, Chris se contracte et le garde n'aime pas :

- « Non, reste bien écarté ! Sinon je t'attache ! »

Courageusement Chris offre alors son postérieur et se cabre davantage. Il préfère cela à des liens. Le garde pousse alors doucement mais fermement la boule la plus petite, et je vois l'anus s'ouvrir et absorber cette boule en entier. Au passage Chris semble avoir eu un peu mal. Il reste encore trois boules. Est-il vraiment possible pour Chris de les absorber toutes ?

La deuxième boule est maintenant prête à être introduite dans le rectum de notre jeune compagnon. Elle est légèrement plus grosse mais, d'une pression ferme, le garde l'enfonce complètement dans le cul de Chris. Non sans provoquer au passage un petit cri de douleur.

- « Lèves-toi et fais quelques pas. Tu es trop contracté. Ca ne va pas aller pour les autres. »

Avec hésitation, Chris se lève et fait quelques pas à coté de la table. La scène est étrange, les deux boules restantes pendent au bout de la ficelle, à environ 5 cm sous son cul. Curieusement il ne semble pas gêné par les deux boules déjà introduites en lui.

- « Bien, remonte sur la table. »

Docilement il s'exécute et reprend la position, jambes écartées et cul ouvert à la vue de tous. Le garde remet du gel sur son trou. Puis c'est au tour de la troisième boule de se retrouver en position, prête à l'introduction. Le garde commence à la pousser mais, malgré ses efforts, elle ne rentre pas et je vois bien le visage de Chris exprimer une douleur vive. Le garde s'en moque et, vigoureusement, écarte davantage les jambes de Chris, mais il ne semble pas satisfait.

- « Ca va pas ! Mets-toi sur le dos et replie tes jambes vers toi. »

Avec résignation, Chris obéit. Il replie ses jambes sur sa poitrine et le garde lui écarte au maximum possible.

- « Voilà ! Tu ne bouges pas ! »

Il présente à nouveau la boule n°3 devant l'anus offert à lui. Cette position dilate davantage le cul de mon jeune cousin et, d'une poussée franche et décidée, le garde enfonce la boule à l'intérieur de ses entrailles non sans provoquer une grimace de douleur sur son visage.

Il reste maintenant la dernière boule, la plus grosse. Chris n'a jamais subi de pénétration et il est certain qu'il va avoir mal. Son anus n'est pas entraîné à de tels actes, mais il ne peut que subir, sans s'opposer au sadisme de ce garde. A nouveau il étale du gel sur la rosette. Il ne veut pas abîmer mon cousin. Malgré tout peu lui importe sa souffrance…

Il présente alors cette dernière boule devant le trou à peine dilaté par les introductions précédentes. Elle est grosse et j'ai mal pour Chris. Effectivement, malgré les efforts du garde, elle ne veut pas rentrer. Le garde hésite à forcer davantage. Il remet alors du gel et introduit un, puis deux doigts dans le cul de Chris. Celui-ci est obligé de subir ce nouvel affront sans rechigner. Le garde masse alors et élargi doucement les lèvres anales. Progressivement et malgré la mauvaise volonté de leur propriétaire, les muscles se détendent. Les doigts coulissent à présent sans difficulté apparente, baignant dans le gel. Le garde s'adresse alors à Chris :

- « Tu vois, malgré toi, ton cul s'ouvre. Il suffit de prendre son temps. »

Il retire alors sa main et approche à nouveau la quatrième et récalcitrante dernière boule. De la paume de la main il appuie fortement dessus et, à mon grand étonnement, l'anus de mon cousin se dilate suffisamment pour l'absorber. Chris n'a rien. Tout au plus a t'il grimacé un peu lors du passage de la boule. Le garde le félicite :

- « Bien ! Tu vois finalement ! Ha ha ! Tu peux te redresser maintenant. »

Chris se redresse alors et se retrouve assis sur le bord de la table. Le garde lui fait signe de se mettre debout. Il obéit.

- « Bon, il faut que je récupère les boules maintenant. Attends. »

Et il quitte la pièce, sans oublier de fermer le verrou derrière lui. Je demande de suite à mon cousin s’il a mal.

- « Euh… un peu, mais en fait j'ai plutôt comme envie de chier… »

- Ben je pense que les boules vont sortir comme cela.

- T'as raison, mais je veux pas… »

La porte s'ouvre à nouveau et le garde entre. Nous ne terminons pas nos propos. Inutile d'agacer ce sadique. Chris reste piteusement debout, nu, à attendre la suite des évènements. Le garde tient un seau plein d'eau et le pose sur le sol. Il fixe mon cousin.

 - « Assieds-toi là-dessus et expulse les boules. »

 Chris rougit sous l'idée de devoir s'accroupir ainsi devant nous. Mais n'ayant pas d'autre possibilité, il s'exécute en nous tournant le dos. Il pousse et tout le monde entend distinctement les quatre boules tomber dans l'eau l'une après l'autre. La sortie est plus rapide et facile que l'introduction. Après tout, un anus, c'est fait pour expulser les déchets vers la sortie…

Le garde fait alors signe à Chris de se relever puis, le saisissant par la taille, il le force à se retourner et d'une poussée dans le dos l'oblige ensuite à se pencher en avant. Chris lui offre ainsi son postérieur et le garde lui écarte rapidement les globes fessiers pour examiner son anus.

- « Écarte plus les jambes ! Je ne vois rien ! »

Mon cousin obéit et expose davantage son intimité. Le garde continue alors son examen visuel. Il semble satisfait et se relève.

- « Parfait. Pas de trace. Tout va bien. »

Il nous regarde alors tous les trois.

- « Je vais vous amenez un repas d'ici une heure. »

Il me désigne d'un signe de tête :

- « Et toi, tu te feras aider par tes copains. »

Il quitte alors la pièce et nous laisse seuls. Il semble avoir oublié que John aussi a les mains menottées dans le dos. Seul Chris n'est pas entravé mais il ne peut rien faire contre nos menottes métalliques. Nous discutons peu, sachant très bien que pour l'instant, nous ne pouvons ni lutter contre nos gardiens, ni leur échapper.

Une heure plus tard notre gardien entre. Il pousse devant lui une table roulante. Au-dessus, le plateau contient trois assiettes pleines de pâtes et d'autres victuailles. Les couverts sont en plastiques. Nos geôliers sont prudents et ne veulent pas nous fournir le moindre outil métallique…

Il désigne John et lui demande de se lever. Il passe derrière lui et lui détache alors ses menottes. Puis il me fait signe de me lever aussi. J'obéis aussitôt. J'espère qu'il va me libérer aussi ; au moins pour manger. Mais non ! Il se penche vers moi et d'une main se saisit de mon sexe toujours entravé dans son cock-strap. Il vérifie que l'engin n'est pas trop serré et que le sang circule bien.

- « Bien ! Jusqu'à demain matin. Comme Raldo a dit. »

Je baisse la tête et ne dit rien.

- « Je reviens dans un moment récupérer la table. Alors manger tout. »

Il nous laisse alors seuls. Chris me regarde :

- « T'en fais pas. Je vais t'aider à manger.

- Merci, t'es sympa. »

Nous nous rapprochons alors de la table et, restant debout autour, nous commençons à manger. Chris me donne à manger en portant la fourchette à ma bouche comme avec un gamin. Ce n’est pas marrant du tout, voire humiliant, mais comme je meurs de faim, je n'ai pas d'autre solution. Il m'aide aussi à boire.

Finalement le repas ne se passe pas trop mal. C'est copieux et correct. Nous retournons ensuite nous asseoir sur un des matelas.

Peu après le garde revient et constate que le plateau et vide. Il ne dit rien et sort en poussant la table. La lampe s'éteint, sans doute commandée de l'extérieur de la pièce. Nous nous allongeons et progressivement chacun de nous plonge dans le sommeil.

Sauf moi avec les mains dans le dos. J'ai mal aux épaules et je dors finalement très peu. Je me réveille plusieurs fois. Impossible de dormir normalement en étant nu et les mains attachées !

 

La suite :  Un chalet en montagne - 8/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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