L'histoire de la semaine

Dimanche 20 octobre 7 20 /10 /Oct 13:44

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 20/26

 

Chapitre 21/26: Test concluant


Raldo nous ordonne de nous lever et de nous aligner les uns à coté des autres. Nous obéissons prestement. Un des 2 inconnus me désigne du doigt avec Archie et demande à Raldo :

- « Pourquoi ne sont-ils pas à poil comme les 2 autres ?

- C'est les habits de leur dernière scène, c'est tout.

- Et ils peuvent les enlever ? »

Du tac au tac, Raldo répond :

- « Oui. Bien sûr. »

Il se tourne vers Archie et moi. Je devine déjà l'ordre qui va arriver…

- « Allez, vous 2 ! Virez vos fringues.

- Attend ! Pas lui ! »

Il désigne Archie, qui du coup reste habillé et ne fait rien. Quand à moi, inutile de protester. Je me déshabille rapidement. Le gardien récupère mon linge. Archie reste debout et habillé. Nous sommes à présent 3 jeunes garçons nus, alignés comme à la parade devant ces 4 adultes qui nous surveillent et nous regardent avec attention.

- « Et ils sont tous rasés ?

- Oui, de partout.

- Ok, et ils jouent comment ? »

Raldo fait l'article et nous vend comme on devait vendre des esclaves dans les temps anciens de notre ère.

- « Très bien. Ils obéissent à tous les ordres. Pas de problème.

- Bien, mais je vais vérifier avec lui.

- Pas de problème. Ils savent faire… »

L'homme nous parcourt alors du regard tous les 4. Aucun de nous ne cherche à protéger ses organes sexuels avec ses mains. Nous restons les bras ballants le long du corps à suivre cette conversation ou nous sommes considérés comme de la simple marchandise. Son choix est rapidement fait et se porte sur Archie, toujours habillé, qu'il désigne de sa main tendue.

- « Toi ! Approche. »

Archie s'approche doucement de l'inconnu qui examine à présent Archie, debout devant lui.

- « Tourne-toi. »

Sous le regard de l'inconnu, mais aussi de tous, Archie se retourne. L'inconnu le regarde de haut en bas sans rien dire.

- « Ok, retourne-toi. »

A nouveau Archie pivote de 180° et se retrouve face à son examinateur.

- « Bien, tu es vraiment mignon toi… On va vérifier le reste… »

Et, sur ces paroles, il se penche et passe une main sous le t-shirt du garçon et lui caresse le torse.

- « Retire ton maillot. »

Archie, sans discuter, se met torse nu.

- « Main sur la nuque. »

Toujours docilement, notre compagnon obéit aux ordres donnés. L'inconnu introduit alors une main dans le short et dans le boxer d'Archie. Il descend jusqu'au sexe et se saisit de la verge molle. Il commence à palper cette tige. Les bourses sont également malaxées. Puis il retire sa main et, plaçant ses deux mains sur les hanches d'Archie, il baisse d'un coup le short et le boxer jusqu'aux genoux. La nudité d'Archie est alors face à lui et à sa totale disposition. Il porte alors une main sur le sexe glabre de notre compagnon. Il lui palpe les couilles. Humilié mais soumis Archie se laisse faire. Et aucun de nous n'ose protester ou dire quoique ce soit.

A présent l'inconnu descend sa main entre les cuisses du garçon et un doigt finit par effleurer l'anus d’Archie. Il ne résiste pas et se fait doigter devant nous tous par cet inconnu. Durant plusieurs secondes il se fait fourailler le trou. Puis l'inconnu retire sa main.

- « Bien, tourne-toi. »

Bien que gêné par ses vêtements situés au milieu de ses jambes Archie s'exécute. Il n'est pas question pour lui de remonter son short ou de l'enlever ! L'inconnu lui donne alors cet ordre débile :

- « Bien, fait le tour de la pièce maintenant. »

A petit pas, et ne pouvant marcher normalement, les mains toujours sur la nuque, notre camarade parcourt stoïquement la pièce. Il est parfaitement ridicule ainsi. Mais il supporte les caprices de son examinateur. Une fois son tour terminé il revient exactement au même endroit devant l'inconnu qui hoche la tête de satisfaction.

- « Parfait… Parfait… »

Mais il est loin d'en avoir terminé avec l'adolescent. La suite arrive sous la forme d'un nouvel ordre :

- « A poil maintenant ! »


Archie fini donc d'enlever son short et son boxer. Il se retrouve nu comme nous tous.

- « Ok, mets-toi à 4 pattes maintenant. Je veux voir ton cul. »

Sans sourciller et à peine surpris Archie s'exécute. Il prend la pose demandée, écarte les jambes et les fesses. Je réalise alors que nous sommes devenus des acteurs X coopératifs en très peu de temps. Aucun ordre ne nous surprend plus et notre soumission est totale. Il faut dire que les arguments en cas de refus sont terriblement efficaces et surtout très douloureux !

- « Mieux que ça ! »

Archie met alors ses coudes sur le sol et place son visage entre ses bras. Il se cabre également davantage et fait ainsi ressortir ses fesses au maximum. La raie ouverte et sa rondelle s'offre alors pleinement à cet inconnu qui lui donne les ordres.

L'homme s'accroupi derrière Archie examine et palpe ses fesses et sa raie. Il semble satisfait de son exploration. Il examine ensuite l'anus et le périnée offert à sa vue. Sortant un tube de sa poche, il étale un peu de gel sur le trou de notre compagnon, qui au contact froid du gel devine la suite. Puis à nouveau il enfonce un doigt dans le fondement de notre ami qui se laisse manipuler sans aucune réaction d'opposition. Son doigt rentre et tourne sans problème dans l'anus souple. Puis un deuxième doigt est introduit et enfin un 3ème. Archie subit cette énième intromission intime sans piper mot et sans révolte aucune. L'homme est satisfait de sa totale soumission et retire ses doigts.

- « Très bien. Raldo vous a bien appris. C'est parfait. Mais je dois encore vérifier un truc. Ne bouge pas. »

Il étale à nouveau du gel sur la rosette d'Archie et graisse soigneusement son anus. Puis il présente un gros et long gode devant l'anneau serré. D'une poussée franche il introduit le cylindre dur dans le fondement d'Archie. Une douzaine de centimètres entre rapidement et sans problème. L'anus d'Archie, comme les nôtres d'ailleurs, est maintenant habitué à accepter un tel engin. C'est à peine si Archie grimace, plus sous l'effet de l’humiliation que sous la douleur d'ailleurs. Le gode introduit est très long et dépasse encore d'autant. Je remarque alors que sa 2ème extrémité est aussi arrondie. Je réalise qu'il s'agit d'un double gode pouvant se plier au milieu sur une zone plus souple. Notre inconnu va-t-il utiliser cette possibilité ? Bien sûr, oui. Il se redresse et son regard se porte sur nous trois sagement alignés. Il désigne John et lui fait signe de venir.

- « Viens la toi ! »

John avance de deux pas et se voit remettre le tube de gel lubrifiant par l'inconnu.

- « Tiens. Mets-toi s'en. Ensuite tu t'accroupis sur ton copain. »

Ayant déjà compris ce qu'on attendait de lui, John, comprenant vite son intérêt, plie légèrement ses jambes et sans pudeur aucune se met les doigts dans la raie et tartine son trou du cul avec le gel. Puis il rend le tube à l'homme d'un regard neutre. Il s'approche alors d'Archie toujours à 4 pattes, le cul en l'air avec son gode dépassant largement. John se retourne, son dos face aux fesses d'Archie et place une jambe de chaque coté du corps d'Archie. Il plie les jambes pour baisser son corps et rapprocher ses fesses du gode. Il empoigne ensuite d'une main le gode pour le positionner avec précision devant son propre trou. Pliant ses jambes davantage et avec précaution il s'empale doucement sur le gode. L'inconnu le surveille avec attention. Raldo aussi. En trente secondes environ le gode, toujours maintenu par John, pénètre dans ses entrailles. Puis alors que les deux fessiers se touchent, il retire sa main et relâche davantage son poids pour enfoncer au maximum l'engin en lui. Encore une fois il semble se donner en spectacle sans problème. A présent il est carrément assis sur le cul d'Archie et le gode nous est invisible. L'inconnu est satisfait mais n'en a pas terminé pour autant avec nous. Il me regarde :


- « Bien, à ton tour maintenant. »

Surpris je me demande bien ce qu'il veut m'obliger à faire. Je ne vois pas trop comment intervenir avec John et Archie toujours reliés par le double gode. Mais lui sait.

- « Glisse toi sous eux, sur le dos et vite ! »

Et il me montre le passage entre les jambes de John et sous la bite pendante d'Archie à genoux. Je passe alors devant John et m'allonge sur le sol, sur le dos. Puis je me glisse en rampant entre les cuisses d'Archie. Je me retrouve alors le visage juste sous le sexe d'Archie. Au passage, à travers les raies de mes 2 compagnons, j'ai entrevu le gode emmanché dans leurs culs.

- « Bien. Suce-le. Allez ! »

Sans réfléchir je lève légèrement la tête et avale la tige molle d'Archie. Le pauvre avec son gode dans les fesses et le poids de John n'a pas vraiment envie de bander. Je commence ma fellation et rapidement sa queue durcit.

Pendant ce temps John à reçu lui aussi l'ordre de se masturber. Il s'exécute lui aussi, imprimant à son corps des petites secousses qui, à travers le gode liant mes 2 camarades, me parviennent. Archie aussi commence à remuer et à s'exciter sous mes caresses buccales. Son sexe est maintenant un bâton de chair qui s'enfonce profondément dans ma gorge. Je baisse alors ma tête pour ne pas me faire étouffer et je lèche avec application son gland. Après environ deux minutes de mon traitement, et également stimulé par le gode remuant en lui, il est prêt à jouir dans ma bouche. Je devine que l'instant va arriver et retire sa queue de ma bouche. Dans un dernier soubresaut il jute sur mon visage qui se trouve quelques centimètres devant son gland. Je ferme les yeux et subit sans rien dire la projection de sa liqueur. Quant à John, lui aussi vient de jouir après sa branlette en solo. Plusieurs filets de son sperme se perdent sur le haut de mes cuisses et un autre sur mes couilles. Je n'ose bouger ni me nettoyer et j'attends allongé.

- « Parfait ! Vraiment parfait ! »

Il ordonne alors à John de se retirer. John obéit et doucement se retire du gode qui reste toujours enfoncé entre les fesses d'Archie les genoux et les coudes posés sur le sol. Quand à moi, je reste allongé sur le sol, le visage souillé de sperme. Je n'aime pas du tout mais je préfère attendre que de subir la colère de nos dirigeants. L'homme me donne alors l'ordre de me mettre moi aussi à 4 pattes mais en inverse devant Archie. Je me positionne comme demandé. Mes fesses sont alors à 50 cm de celles d'Archie, face à face.

- « Bien, maintenant recule doucement. »

Je recule alors doucement et, bien sûr, l'inconnu positionne la deuxième extrémité du gode qui se rapproche de mon cul face à mon trou. Nos pieds et nos jambes se croisent. Je dois alors m'empaler en reculant sur l'instrument et, d'une poussée volontairement franche, lui fait passer la barrière de mes sphincters. Puis plus je recule plus il s'enfonce en moi. Mes fesses finissent par rejoindre celles d'Archie. Impossible d'aller plus loin. Chacun a la moitié du gode enfoncée en lui. Du fait de nos positions respectives le gode forme un V inversé, assez ouvert, et il est donc plié en son milieu. Cette configuration donne alors une nouvelle idée à notre scénariste. Il s'adresse à moi :

- « C'est bon, tu peux avancer. »

J'avance donc, toujours à genoux et bien sûr, le gode se retire naturellement de mes entrailles. Une fois sorti de mon anus je reçois aussitôt l'ordre de me remettre sur le dos. Archie quand à lui peut se redresser et retirer le double gode. Il obéit rapidement et il est visiblement soulagé d'en avoir terminé.

Et c'est finalement mon cousin Chris, qui jusqu'à présent n'a pas pris part à l'action, qui se voit donner l'ordre de se branler sur mon ventre puis de me lécher le corps pour m'enlever les traces de sperme me maculant.

Prestement il se met alors à genoux et très rapidement, fortement excité malgré lui par la scène qui vient de se dérouler sous ses yeux, il se branle et me balance sa purée épaisse et blanchâtre sur le ventre. Puis il lèche mon ventre soigneusement et en retire toute trace de sa liqueur. Par contre c'est plus difficile pour lui de nettoyer les jets de John sur mes cuisses et sur mes parties. Il s'applique néanmoins. Puis il me lèche le visage et goûte alors le sperme d'Archie. Je ferme les yeux et me laisse faire. La sensation est étrange et vraiment inhabituelle. Heureusement que c'est mon cousin !
A présent l'inconnu est rassuré sur notre soumission totale. Il sait que, quels que soient les ordres reçus nous obéissons toujours.

Il discute maintenant à voix basse avec Raldo. Je ne comprends pas leur discussion qui dure plusieurs minutes. Raldo s'adresse alors à nous :

- « Bien. Je suis content de vous. Et mes amis aussi. Maintenant l'un d'entre vous va venir avec nous pour une … nouvelle scène. Et c'est toi ! »

Il désigne John de sa main tendue.

- « Tu viens avec nous. »

L'air résigné notre camarade s'avance.

- « Et au fait, comment t'appelles-tu mon garçon ? »

Docilement notre camarade répond : « John. »

- « John comment ?

- John Leperec. »

Le visage de l'inconnu semble surpris et se tourne vers Raldo :

- « C'est lui le gamin Leperec ?

- Ben oui. Je t'avais bien dit qu'il était là.

- Ah oui c'est vrai. Bon, il va venir avec nous alors. »

Il met alors sa main sur la nuque de John qui ne comprend rien et le pousse devant lui. Raldo et le gardien le suivent ainsi que l'autre inconnu. Ils quittent tous la pièce. Le verrou de la porte claque bruyamment derrière eux. Nous nous regardons :

- « Mais c'est quoi encore leur plan ? Et pourquoi John ?

- Je ne sais pas… Peut-être parce que ses parents sont riches…

- Je ne vois pas le rapport.

- Moais… Je ne le sens pas là… mais pas du tout ! »

Moi aussi, je suis inquiet pour John. Je suis sûr qu'il a été choisi en connaissance de cause et que son nom était parfaitement connu de l'ami de Raldo, cet inconnu qui vient de tester notre soumission dans la chambre.

 

La suite :  Un chalet en montagne - 22/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 13 octobre 7 13 /10 /Oct 16:37

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 19/26

 

Chapitre 20/26: Simulation


Raldo poursuit :

- « Voila donc le scénario que vous allez réaliser. Ecoutez bien car il ne faut pas le rater, il ne pourra pas être recommencé ! Archie est le seul qui ne soit pas encore rasé au niveau du pubis… »

Il me regarde :

- « Tu vas donc le raser et pas que dessus sa bite. Ses bourses et sa raie aussi. Il ne doit rester aucun poil ! Je vérifierai bien sûr ! Mais pour le film, tu seras habillé en médecin, avec une blouse. Et lui sera ton malade. Vous prétexterez une maladie de peau pour le rasage. Débrouillez-vous pour être un minimum convaincant ! Sinon vous connaissez la punition… »

Archie me regarde et ne dit rien. Quand à moi, j'ose poser une question :

- « Euh… et où est le reste du décor ?

- Il va arriver justement. Je vais voir. »

Il quitte alors la salle et nous laisse seuls durant quelques minutes. Voulant absolument nous éviter une terrible punition, nous affinons le scénario proposé, ou plutôt imposé. Raldo revient peu de temps après, suivi d'un gardien. Il pousse un lit style médical : une simple couchette d'examen en moleskine beige. Le gardien apporte ensuite deux chaises et un bureau sur roulette. Il dispose le tout à la manière d'un petit cabinet médical. Durant ce temps Raldo me montre alors un carton :

- « Habille-toi. Et tu mets la blouse dessus. »

Je m'exécute en enfilant un boxer, un pantalon de toile, un sweat et des souliers. Je termine en enfilant la blouse blanche. Il reste des gants en latex dans le carton, de la crème, des rasoirs, des serviettes et une loupe. Le scénario est visiblement bien préparé.

De son coté, Archie se voit remettre lui aussi des habits. Il s'habille rapidement et complètement. Raldo contrôle et met en place les caméras. Derrière l'une se tient le garde et Raldo gère la seconde.

- « Voila ! A vous de jouer maintenant... Et je ne veux pas de problème. Archie, tu sors et tu frappes à la porte. Toi Pascal, derrière le bureau. »

Je m'assois alors derrière le bureau et je fais sembler d'écrire.

- « Action ! Ca tourne ! »

Les 2 caméras s'enclenchent. Nous sommes encore une fois des acteurs forcés, et nous n'avons pas le droit à une seconde prise en cas d'échec. Enfin bon, le scénario n'est pas vraiment dur. Toc ! Toc ! Toc ! C'est Archie qui frappe à la porte.

- « Entrez ! »

La porte s'ouvre et mon compagnon entre.

- « Bonjour Docteur.

- Bonjour. Asseyez-vous je vous en prie. »

Assez à l'aise jusqu'à présent, Archie s'assoit.

- « Bien, que vous arrive-t’il, jeune homme ?

- Euh… Voila, j'ai des rougeurs sur la peau… Et ça me gratte beaucoup le soir…

- Des rougeurs ? A quel endroit ? »

Gêné il me désigne son bas-ventre avec son index.

- « Bien, nous allons donc examiner cela. »

Je me lève, contourne le bureau et m'avance devant lui :

- « Bien, posez votre maillot et mettez vous torse nu. »

Suivant notre scénario il se lève et se met torse nu. Je me penche alors vers son bas-ventre et commence un examen visuel.

- « Ici ?

- Euh oui… et plus bas aussi…

- Plus bas ? Ha bon, alors dans ce cas, déboutonnez votre pantalon et baissez le un peu s'il vous plait.

- Euh … oui. D'accord. »

Il déboutonne son jean, ouvre la braguette et le baisse d'environ 6 cm. La limite supérieure de ses vêtements est au niveau de son pubis et seuls quelques poils de sa toison sont visibles. Il est évident que Raldo en veut plus. Je dois aller plus loin. Sur un ton ferme, je poursuis :

- « Hum… Je ne vois pas vraiment bien. Je dois vous demander de retirer votre pantalon. Ce serait vraiment mieux.

- D'accord. »

Archie retire alors son pantalon. Puis il se présente à nouveau devant moi. Son boxer bleu moulant cache toujours sa toison pubienne. Je décide donc de le lui baisser davantage. Avec mes mains je baisse franchement le vêtement bleu clair. Je dégage complètement ses poils et le début de sa queue. Archie ne bouge pas.

Les caméras filment et zooment sur cette zone dégagée. Raldo nous surveille.

A nouveau j'examine le bas-ventre d'Archie. Avec des gestes que j'espère professionnel je lui palpe le bas-ventre.

- « Effectivement, la peau est rouge ici. Ca vous gratte là ?

- Oui, un peu.

- Et ici ? »

J'ai à présent mes doigts dans ses poils, nombreux, noirs et épais.

- « Oui aussi. »

Je reprends un ton ferme et clair :

- « Bien. J'aimerais voir aussi plus bas. Vous allez enlever votre boxer.

- Euh… C'est vraiment nécessaire ?

- Oui. Il est classique que ces rougeurs s'étendent entre les cuisses et entre les fesses. Je dois contrôler. Rassurez-vous, l'examen n'est pas douloureux.

- Ah… ok. »

Et docilement Archie retire son dernier rempart contre la nudité. Il est maintenant debout devant moi, nu comme un ver et dans l'attente de mes ordres. Je continue donc mon travail de médecin. Je me penche vers son sexe et lui caresse le haut des cuisses.

- « Et ici ?

- Euh non, là ça va. »

Je caresse à présent la peau fine et douce de ses bourses. Au contraire de son pubis il y a ici peu de poils.
- « Ici ?

- Un petit peu oui. »

Je remonte et mes doigts caressent maintenant sa verge molle.

- « Et là ? 

- Euh… non. 

- Bien. Je vais vous demander de vous allonger sur le lit. Je vais vous examiner encore plus bas. C'est indispensable. »

Archie acquiesce et s'allonge le dos sur le lit d'examen.

- « Ecartez les jambes maintenant. »

Docilement il écarte les jambes fortement. Son périnée et son anus apparaissent. Mais pas assez visiblement pour les caméras car Raldo me fait signe qu'il en faut davantage. Je réfléchi en 4ème vitesse et trouve une idée.

- « Refermez vos jambes. Vous allez faire autrement… »

Archie referme les jambes.

- « Bien. Pliez les genoux sur votre poitrine maintenant. »

Il réalise mon ordre et a maintenant les jambes repliées sur son ventre.

- « Parfait, serrez vos chevilles avec vos mains et écartez les jambes. »

Toujours docile dans son rôle de patient il s'exécute. Maintenant, son cul est vraiment ouvert et sa raie entière est visible. Son anus, entouré de quelques petits poils noirs est clairement en évidence. Je poursuis mes palpations. Je tourne mes doigts autour de son trou.

- « Vous me dites si ça vous démange là ?

- Non. »

Je remonte vers la base de ses couilles.

- « Et ici ?

- Oui. Un petit peu.

- Bon ok, ne bougez surtout pas. »

Je mets la main dans le carton et en retire la loupe. Puis, me penchant à nouveau sur son entrejambe, j'examine son périnée à la loupe. Je dois reconnaître que c'est surprenant. Chaque détail de sa peau m'apparaît grossi 5 fois. Du coup je visionne en gros plan chaque sillon de sa peau, chaque pli, chaque veine et chaque poil séparément. Je décide de terminer là mon examen. Je me retire et me redresse. Archie remet ses jambes à plat sur la couchette et les bras le long de son corps nu. Il attend docilement mon pseudo diagnostic.

- « Bien, vous souffrez en fait d'une rougeur due à un excès d'hormone H. C'est classique à votre âge. Ce n'est pas très grave. Rassurez-vous.

- Mais je dois prendre des cachets ?

- Non, non, le traitement est simple et efficace : il suffit de vous raser les poils là où la peau est rouge.

- Me raser ? 

- Oui. Et je vous conseille de le faire le plus vite possible. Ensuite il y a aussi une crème apaisante. Mais il faut vraiment enlever les poils avant.

- Ah bien… mais je ne vais pas arriver à me raser seul… euh… entre les jambes je veux dire !

- Je comprends bien. Si vous voulez je peux vous aider. J'aimerais d’ailleurs autant, comme cela je suis sûr du résultat.

- Ben… oui alors.

- Ok ! Mettez-vous debout. On va commencer par le pubis. »

Archie se met alors debout les fesses appuyées sur la couchette.

- « Très bien. Ne bougez surtout plus. »

Je prends alors la bassine d'eau chaude qu’un autre gardien vient d'apporter et à l'aide d'un gant de toilette je mouille légèrement sa toison pubienne qui est assez dense et épaisse. Puis j'étale une grosse dose de mousse à raser dessus. Je masse enfin le tout avec deux doigts. Malgré la future perte de ses poils, donc de sa virilité de jeune homme, Archie bande légèrement sous l'excitation de mes doigts.

- « Voila ! Ne bougez plus et rester calme. »

Je prends un rasoir : il y en a plusieurs dans le carton, un seul ne suffira pas pour le raser complètement, et doucement je commence à enlever ses poils, au-dessus de ses couilles. Passe après passe son bas-ventre se dégage et laisse la place à sa peau lisse et fine. Je vais très doucement. Attentif à chacun de mes gestes je glisse le rasoir avec délicatesse. A présent son pubis est tout lisse et Archie semble avoir rajeuni de plusieurs années... Ses poils pubiens ont disparus et son ventre est entièrement glabre. Mais il reste de nombreux poils sur ses bourses et sous ses couilles entre ses cuisses. Il va falloir qu'il change de position. Bien sûr les caméras ne perdent pas une miette et enchaînent gros plans sur gros plans.

Archie, qui jusqu'à présent portait son regard au loin, examine son ventre. Il touche et caresse sa peau fraîchement rasée. Il ne dit rien, bien qu'il semble étonné par la nouvelle vision qu'offre son sexe.
- « Bien, je vais continuer par vos testicules. »

Je pousse Archie au milieu de la pièce en plein devant les caméras qui tournent. Puis je lui fais comprendre d'écarter les jambes et d'avancer son bassin pour bien dégager son service trois pièces. Il accepte sans sourciller mes demandes.

Je me mets alors à genoux devant lui et d'une main lui remonte ses bourses. J'étale de la mousse à raser et approche le rasoir de cette fine peau tendre et fragile. J'ai peur de le couper. J'ai alors une idée pour minimiser les risques. Il risque de ne pas forcément apprécier mais je préfère cela à une vilaine coupure de rasoir.

- « Bien. Ce serait plus facile si vous bandez. La peau sera alors tendue et plus ferme.

- Hein ! Mais je ne peux… »

Il stoppe brusquement sa phrase et se rappelle qu'il ne peut rien. Il doit obéir et jouer le jeu. Raldo, derrière sa caméra veille.

- « Euh… oui. D'accord. »


Il place alors sa main droite sur sa bite et commence à se masturber vigoureusement. Rapidement son sexe durcit et son gland se dégage. Ses bourses deviennent également plus rondes et plus fermes. Ses 2 testicules forment de belles boules ovales et bien marquées. Là, devant mes yeux, j'assiste à son érection sans rien dire et sans rien faire. A présent son sexe est bien tendu et pointe devant lui vers le haut. Telle une hampe de drapeau il se dresse vers le ciel. Je peux dès lors poursuivre mon rasage.

- « C'est bon ! Stopper et ne bouger plus maintenant. »

Archie retire sa main de son sexe et moi je replace une main sur ses bourses. Je commence alors à lui raser ses couilles. Délicatement, car ce n’est pas facile. De plus il est très sensible et mes mouvements sur sa peau sont comme des caresses pour lui. Il fait des efforts pour ne pas s'exciter davantage. Doucement je rase ses bourses en essayant d'ignorer son gland turgescent qui pointe vers moi. Ce qui n'est pas vraiment facile... J'essaie de rester dans le rôle "technique" du médecin.
Je nettoie à présent ses bourses débarrassées de tous ses poils. Son sexe redevient un sexe de petit garçon pré pubère sans aucun poil. Toutefois sa taille en érection est bien celle d'un jeune adulte !

- « Bien, voilà, il me reste à aller plus bas. Remettez vous sur le lit et sur le dos comme tout à l'heure, les jambes écartées. »

Toujours avec docilité il s'allonge sur son dos et replie ses genoux sur sa poitrine. Puis écarte fortement les jambes pour dégager son sillon et son anus. Il tient ses jambes en position avec ses mains. Ma vue sur son cul écartelé est totale et son périnée m'est accessible pour un rasage sans difficulté. Je poursuis ma procédure maintenant bien rodée : humidification à l'eau chaude, mousse, rasage et rinçage. Je tiens ses couilles tirées vers son ventre pour bien avoir le champ libre. Je fais également très attention à ne pas le couper et manipule le rasoir lentement et avec précaution. De plus il fait très attention à ne pas bouger et va jusqu'à respirer calmement.

A présent, mon travail est terminé et sa raie est vierge de tout poil. Il est à nouveau imberbe comme au jour de sa naissance. Plus nu que nu ! Je passe plusieurs fois mes doigts sur sa peau pour vérifier la qualité et la douceur de mon rasage. C'est tout doux. Pour faire bonne figure je revérifie ses bourses et sa bite. Il a à présent débandé. Tout va bien, le rasage est nickel et aucun poil n'a survécu à la lame des rasoirs.

- « C'est bon, vous pouvez vous relever maintenant. J'ai terminé. »

Archie se redresse à coté du lit.

- « Voilà, c'est fini. Vos rougeurs devront disparaître d'ici deux jours. Sinon, vous reviendrez me voir… Vous pouvez maintenant vous rhabiller.

- Ok ! Merci docteur. »

Il se rhabille avec rapidité et un plaisir évident. C'est vrai que dans cette scène il a été très exposé dans sa nudité et qu'en plus il a perdu ce qui fait la fierté, enfin en partie, d'un adolescent, à savoir ses poils, symbole de virilité et de maturité. Mais bon, nous aussi, ses 3 compagnons de captivité, avons été aussi soigneusement rasés sur nos parties intimes.

La scène se termine. Je regarde Archie qui se rhabille tout en espérant que Raldo sera satisfait. Je ne vois pas ce qu'on aurait pu faire de mieux !

- « Au revoir.

- Au revoir. »

Et Archie se dirige vers la porte. Mais Raldo le stoppe.

- « C'est bon ! On arrête de filmer maintenant. C'était bon. »

Ouf. Nos efforts ont payés. Notre scénariste est satisfait. Raldo s'adresse au gardien :

- « Manzello, tu les ramènes dans la chambre. Avec les autres.

- Ok. »

Et nous suivons le gardien, dont nous connaissons à présent le prénom, jusque dans notre chambre. Nous y retrouvons Chris et John qui eux sont toujours à poil. Je réalise alors que j'ai même gardé la blouse blanche. Une fois le gardien parti j'explique à nos camarades un résumé de ce qui vient de se passer. Aucun des deux ne réagit vraiment.

Nous sommes à présent tous assis en cercle. D'un commun accord, par crainte de représailles, chacun reste dans la tenue qu'il porte. Enfin, pour Archie et moi, car Chris et John sont eux sans vêtements. Mais encore une fois la discussion tourne rapidement court. Rien de nouveau. Pas de nouvelles idées d'action ou d'évasion…

Brusquement la porte s'ouvre et quatre hommes entrent. Il y a Raldo et le gardien prénommé Manzello. Les deux autres nous sont inconnus. Ils n'ont pas vraiment l'air sympa et me font penser à des militaires avec leurs coupes rasées. Que se passe-t’il et surtout que nous veulent-ils encore ?

 

La suite :  Un chalet en montagne - 21/26

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Dimanche 6 octobre 7 06 /10 /Oct 13:30

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 18/26

 

Chapitre 19/26: H & Air


Raldo me reconduit devant les caméras mais le décor n'est plus du tout le même. Sur une table, par dessus un mince matelas de mousse, je découvre une étrange structure métallique en forme de H  comportant 4 anneaux. Ces anneaux, de plusieurs centimètres de diamètre, semblent prévus pour attacher un poignet ou un mollet. Un anneau de gros diamètre est fixé en hauteur. Je n'arrive pas à comprendre la position que pourrait avoir quelqu'un qui serait attaché à cette structure.

Raldo se tourne vers moi et m'ordonne sèchement :

- « Monte là-dessus, tu te mets à 4 pattes, les coudes sur le tapis. »

Avec appréhension je monte et je m'installe au dessus du H. Raldo se saisit de mes mollets et me les pose sur deux anneaux qu'il ouvre et referme au niveau de la cheville avec une goupille. Mes jambes sont ainsi prisonnières. Puis il fait la même chose avec mes poignets qui se retrouvent eux aussi entravés par deux cercles de métal. Puis mon cou est enserré par le dernier anneau, un genre de gros collier que Raldo referme avec deux boulons papillons… Je me retrouve alors à 4 pattes, toujours nu comme un ver, en étant complètement entravé. Impossible de bouger ni les bras ni les jambes. Je ne peux non plus avancer ou reculer, le collier à mon coup m'en empêchant. Mon cul est légèrement plus haut que ma tête et ainsi bien en évidence. Mes fesses découvertes et ouvertes sont justes devant les caméras. Je devine que c'est bien là l'objectif de mes entraves métalliques. Je ne peux tourner la tête. Mon regard est obligatoirement porté vers l'avant, vers mes poignets encerclés. Je ne peux baisser la tête non plus pour voir entre mes jambes, une tige métallique me bloquant alors le menton.

Raldo passe derrière moi et m'écarte davantage les jambes. Puis il serre une vis de réglage pour bloquer le tout. Maintenant ma raie est davantage ouverte et mon anus est pleinement offert, accessible et visible pour la suite des évènements. Je suis un esclave 100% entravé qui attend son sort. Et dans une position humiliante au possible. Mais comme toujours je ne peux que subir. Raldo me donne une tape sur les fesses :

- « Voilà ! Ne bouges pas, on va commencer le film dans 5 mn. »

Comme si je pouvais bouger !!! J'entends alors Raldo qui quitte la salle. Que va-t-il se passer ? Je devine que, si mon cul est ainsi exposé aux regards, c'est qu'il va servir de point central à leur film. Mais je ne peux qu’attendre…

Deux minutes après, Raldo revient poussant devant lui Archie. Je remarque que contrairement à moi il porte maintenant un boxer moulant.

- « Voila, à son tour maintenant, c'est lui qui va utiliser tes fesses… »

Tous les deux passent derrière moi et sortent de mon champ de vision.

Je sens alors qu'on m'étale du gel sur mon anus. Je frissonne brusquement. J'ai beau savoir qu’ils ne veulent pas "m'abimer", je ne peux m'empêcher d'avoir peur… De plus je ne vois rien et je ne sais pas qui me tripote ainsi. Même si je pense qu'il s'agit d'Archie, obligé à son tour de s'occuper de moi. Puis une main commence à me caresser les fesses. D'abord hésitante elle se rapproche petit à petit de ma rondelle. Les doigts effleurent, passent et repassent au fond de ma raie et sur mon petit trou. Sachant combien c'est inutile j'essaie de ne pas serrer les fesses, de ne pas jouer de mes muscles pour fermer mon anus. Progressivement ma raie se tartine ainsi de gel. Puis je sens qu'on présente un objet, de consistante plutôt molle, devant mon anus. Il doit s'agir d'un gode en caoutchouc. La pression augmente et doucement l'objet entre en moi. Je ne résiste pas, sachant combien cela est inutile.

Le gode est maintenant complètement entré en moi et je sens mon anus se fermer à nouveau. L'engin a complètement disparu dans mes entrailles ! Cela ne semble pas être un gode classique, comme les modèles déjà utilisé auparavant. En réalité il reste un petit tuyau souple qui sort encore de mon anus et qui est relié à une poire : Il s'agit d'un gode gonflable. J'entends alors un bruit d'air, comme une pompe à vélo et je sens l'engin grossir doucement en moi. Je comprends alors ce dont il s'agit. L'impression est nouvelle et étrange. L'objet gonfle en moi, logé dans mon ventre. Je ne vois pas bien l'utilité visuelle de ce truc…

La sensation est étrange mais pas douloureuse. Enfin bon, faut pas trop qu'il grossisse ! Ca me donne en fait envie d'aller chier… Un autre bruit d'air, une valve qui s'ouvre et brusquement l'engin se dégonfle presque totalement. Puis on le retire vers l'arrière et doucement le gode se retire de mon rectum. Il s'arrête à mi chemin, me laissant la rondelle ouverte au maximum de son diamètre. Le bruit de pompe reprend et le diamètre de ce truc en plastique augmente à nouveau. Mais à présent mon anus suit cette inflation. Ce qui est plus douloureux. Le diamètre augmente encore et je sens mon anus s'écarteler. La douleur augmente. Heureusement le gonflage de l'instrument stoppe. Une  minute passe. C'est long une minute à être ainsi humilié et exposé aux objectifs des caméras qui, je le sais bien, filment mon intimité dilatée en gros plan. Il y a aussi Archie qui est obligé de m'enfoncer ce gode sous les ordres de Raldo. Lui aussi à une vue grandiose sur mon anatomie la plus secrète.

Soudain le gode se dégonfle brusquement. Mon supplice va enfin se terminer. Du moins, c'est ce que je pense. Le gode est retiré de mon anus. Je sens alors qu'on m'étale du gel puis le gode est à nouveau réintroduit et le manège reprend. Il est regonflé pour dilater ma rondelle. Cette fois, il est davantage gonflé.

Gel… introduction du gode… gonflage… dilatation… retrait… Ce manège se répète plusieurs fois et à chaque fois le diamètre de ma rondelle augmente davantage sans douleur pour moi. Petit à petit, les muscles autour de mon trou s'assouplissent et se dilatent avec plus de facilité. A ma grande surprise d'ailleurs. Enfin le gode est retiré une dernière fois de mes fesses. J'ai l'impression d'avoir le trou toujours ouvert en grand et de ne plus contrôler mon anus.

Raldo m'explique alors :

- « C'est bien ! Tu n'as rien dit et ton cul est maintenant bien souple et bien dilaté. Bravo ! Encore quelques minutes et tu seras libéré. »

Je ne dis toujours rien mais j'attends avec impatience ma libération. Je commence à avoir des crampes à force de rester immobile dans cette position, à 4 pattes sans pouvoir bouger d'un pouce.
J'entends Raldo qui se retire, je suppose alors qu'il va enlever mes liens. Mais non, au lieu de cela il remet du gel sur ma raie et mon trou. Ce n'est donc pas fini ! Effectivement, Raldo présente un gode devant ma rondelle et pousse doucement. Il rentre sans difficulté. Ma rondelle est souple et bien lubrifiée par les exercices précédents. J'ai le sentiment d'avoir l'anus grand ouvert, à disposition de tous. Puis le gode tourne en moi, est remué dans mes entrailles et enfin il est retiré
pour céder la place à un autre, plus gros celui-là, qui rentre aussi sans problème. Voyant que cela se passe bien, Raldo passe à un diamètre supérieur.

C'est ainsi qu'un troisième gode est introduit dans mon cul largement ouvert. Celui-ci est plus gros et j'ai légèrement mal. A mes mouvements involontaires de soustractions, Raldo devine que j'ai atteins la limite de ce que je peux supporter sans grande douleur :

- « Ok on va s'arrêter là ! C'est bon pour le moment. »

Il retire ce gros gode. Je ne sens plus vraiment mon anus se refermer. A force d'exercice, ma rondelle s'est assouplie bien malgré moi.

Raldo me libère les poignets, les jambes et le cou. Doucement je me redresse et me mets debout devant la table. Je découvre alors qu’Archie est toujours derrière moi, debout. C'est certainement lui qui a manipulé au début le gode gonflable. Mais bon il est lui aussi soumis aux ordres de Raldo et de nos geôliers scénaristes.

Et la suite du scénario est déjà pensée par Raldo :

- « Archie, tu prends sa place. A ton tour ! »

Archie me jette un regard apeuré et perplexe. Je ne peux que lui répondre par une moue signifiant "t'as pas vraiment le choix" et "je ferai attention à ne pas te faire mal". Résigné et sous une poussée de Raldo, il monte sur la table et s'installe dans la structure métallique. Comme pour moi précédemment Raldo attache ses poignets et ses jambes. Son cou est aussi fixé dans le collier. Une vraie camisole de force l'empêche ainsi du moindre mouvement.

Il se retrouve donc à 4 pattes, les jambes écartées et les fesses offertes. Et il ne peut rien voir derrière lui. Pour le moment il a encore son boxer. Raldo me montre alors une paire de ciseaux. Je devine que c'est pour découper l'unique vêtement d'Archie. Avec précaution je découpe donc son boxer et rapidement je redécouvre son intimité. Son anus rose et légèrement plissé se détache sur sa raie parcourue seulement de quelques petits poils noirs. Raldo me fait passer un pot de gel et le gode gonflable. Il ne m'explique rien. Il suppose avec raison que je sais ce que je dois faire puisque je l'ai vécu juste auparavant... Je commence donc par étaler une bonne dose de gel dans la raie de mon compagnon d'infortune. Je masse doucement son anus. Avec un doigt je fais pénétrer le gel au mieux. Puis doucement je présente le gode gonflable devant son trou rose. Comprenant la suite il ne résiste pas et me laisse pousser l'instrument en lui sans résistance. Après quelques centimètres d'introduction je stoppe. Je commence alors à gonfler l'instrument. Son diamètre augmente dilatant avec lui l'anus d'Archie. L'effet est impressionnant vu de ce coté. Ses chairs roses se dilatent et entourent le gode. Sa rondelle s'ouvre largement. Une fois le gode gonflé j'attends 2 mn puis je réduis le diamètre en ouvrant la vanne d'air. Je retire le gode du trou de mon compagnon. Vite je remets du gel et rentre à nouveau le gode qui pénètre maintenant plus facilement. A nouveau, gonflage, attente, et retrait. Archie se laisser docilement faire. C'est vrai qu'il est attaché et que sa raie est offerte à mes actions. Bien sûr tout cela est filmé en gros plan. A chaque fois le gode rentre plus facilement et je le gonfle davantage. Je découvre avec une certaine surprise que les lèvres anales s'ouvrent et se dilatent rapidement. Maintenant le cul d'Archie accepte sans mal un gode de gros diamètre et le tout visiblement sans trop de douleur physique pour son propriétaire. Comme le mien quelques instants auparavant. Au bout de 10 mn de ce manège Raldo me fait signe de stopper et de retirer définitivement le gode du fondement d'Archie. Je m'exécute. La caméra recule. La scène est dans la boite. Contrairement à moi tout à l'heure, Raldo n'utilise pas de gros gode ensuite. Pourtant Raldo ne libère pas le captif.

Avec surprise il nous donne alors l'ordre d'attendre et quitte la salle. Je reste débout à coté de Archie, ne sachant ni que dire, ni que faire. Je préviens Archie que nous sommes seuls :

- « Il est parti !

- Ouais, mais je suis sûr qu'il va revenir dans 30s !

- T'as raison, il va bien encore trouver autre chose ! »

Je reste muet. La porte s'ouvre. Mike et John entrent, suivis de Raldo et d'un gardien. Raldo pousse mes deux camarades nus comme des vers devant Archie, surpris.

- « Voila ! J'ai vu tout à l'heure que tu étais encore un peu trop timide devant tes copains. Alors ils vont regarder la fin, comme cela tu t'habitueras ! Et eux aussi ! »

D'un geste, Raldo nous ordonne alors de nous positionner derrière Archie. Mes compagnons découvrent ainsi les fesses offertes et ouvertes du prisonnier. Raldo sort alors du papier essuie tout et le tend à Chris.

- « Essuie-lui le gel qu'il a dans le cul. Nettoie-le bien ! »

Surpris par cet ordre, Chris prend le rouleau de papier, en découpe plusieurs carrés et nettoie la raie et l'anus d'Archie. Il est ainsi bien obligé de découvrir l'anatomie intime de son nouveau compagnon. Par contre, pour Archie qui se fait nettoyer le derrière comme un bébé, la scène est très humiliante. Mais les sentiments personnels n'ont plus cours depuis longtemps dans ce chalet de montagne.
Puis Raldo tend un pot de chocolat liquide à mon cousin.

- « Tiens, tu lui en mets plein sur les fesses. Et partout surtout ! »

Le gardien prend alors la caméra et se prépare à filmer.

Sans trop se poser de question sur l'étrangeté de cet ordre Chris badigeonne les fesses d'Archie avec le chocolat. Il s'applique à ne pas laisser un centimètre de peau blanche. La raie est tartinée, enduite du dos à la base des bourses.

- « Ok, c'est bon. »

Raldo tire alors Chris en arrière, et fixe John :

- « Voila, maintenant, tu vas le nettoyer avec ta langue. »

John, comme moi d'ailleurs, s'attendait à cet ordre et ne semble pas surpris. Il coopère d'autant plus qu'il sait maintenant que c'est son seul choix. Il rapproche son visage des fesses recouvertes de chocolat noir. Puis, sortant sa langue, il lèche avec application la peau d'Archie. Pour atteindre l'anus son visage disparaît presque complètement dans le sillon fessier. Avec application il fait disparaître toute trace de chocolat. Ce qui lui prend bien cinq bonnes minutes. Il est obligé d'insister au niveau des plis de la rondelle du garçon et du périnée. Il doit enfoncer sa langue entre les lèvres anales du garçon pour bien faire disparaître tout le chocolat noir. Il finit par relever son visage et se reculer, avec l'air de dire "voila, j'ai fini, en maintenant ?".

- « Bien ! C'est bon. »

Raldo s'adresse maintenant au gardien :

- « Ramène ces deux-la dans la chambre pour le moment… »

Il désigne Chris et John. Le gardien acquiesce et quitte la salle avec eux. Je reste seul avec Archie, toujours prisonnier dans la structure métallique. Raldo se rapproche de lui :

- « Je vais te libérer. »

Raldo le libère alors, défait les liens et les anneaux qui immobilisaient Archie.
Archie se redresse doucement, ankylosé par la durée de sa position. Docilement il se met debout à coté de moi. Raldo, désormais infatigable, poursuit le strict contrôle des opérations :

- « Archie, regarde cela. »

Et il manipule une des caméras pour rembobiner la cassette qu'elle contient. Après quelques secondes de retour, il appuie sur la touche Play et nous montre la télévision de contrôle sur une petite table à coté de la caméra. La scène est prise du plafond à la verticale. Je me reconnais alors, attaché, allongé les mains dans le dos et non loin de moi Chris, maintenu au sol par un gardien, à qui Raldo verse de l'alcool sur le sexe. Il s'agit de la punition cruelle de mon cousin hier. Ses hurlements sont très forts et Archie découvre alors le sadisme et la force de nos geôliers. Avec stupeur et même horreur il visionne toute la scène sans dire un mot et les yeux écarquillés. Puis à la fin, Raldo stoppe la diffusion de la cassette :

- « Voila ! C'est un rappel pour vous deux… »

La menace est évidente et claire, et il est évident qu'en cet instant chacun de nous va obéir sans discuter et avec application aux ordres de Raldo.

 

La suite :  Un chalet en montagne - 20/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 29 septembre 7 29 /09 /Sep 13:00

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 17/26

 

Chapitre 18/26: quatrième acteur


Mike m'ordonne alors :

- « A quatre pattes sur le tapis et présente bien ton cul. »

Pas vraiment surpris j'obtempère. Je me mets à quatre pattes et sur les coudes. Avec moins de gêne qu’hier. Je creuse les reins, cabre mes fesses et j’attends docilement la suite du scénario. Raldo explique à Archie :

- « Voila. Caresse-le, doigte-le puis tu le branleras. »

Et il tend un tube de gel à Archie qui s'en saisit. A travers mes jambes je vois le visage étonné de mon compagnon. Il se retrouve brutalement devant mes fesses ouvertes et visiblement il n'y est pas habitué. C'est vrai que c'est une initiation rapide et pas très conventionnelle.
Archie pose alors mes mains sur mon dos et commence doucement à explorer mon corps. Il parcourt mon dos puis mon ventre, et saute directement à mes cuisses. Ses mouvements sont lents et il n'est pas vraiment à l'aise. Raldo intervient :

- « Plus doux… et surtout partout ! Vas-y franchement… »

Comprenant qu'il ne pourra échapper à une vraie exploration de mon corps et de mes parties intimes, Archie commence alors à me caresser les fesses puis, progressivement, ses mains se rapprochent de mes couilles et de ma tige. Mes organes pendent vers le sol. Il n'ose pas encore vraiment les toucher. Il finit quand même par passer sa main au fond de ma raie imberbe et se saisit doucement de mes testicules avec lesquels il joue doucement. Il fait très attention à ne pas me faire mal. Ses caresses sont maintenant bien mieux maîtrisées et plus franches. Du coup mon sexe commence à s'ériger doucement. Raldo et Mike, debout à coté de nous, surveillent attentivement les opérations. Archie me met alors du gel sur l'anus puis, pour la première fois de sa vie, il présente un doigt à l'entrée de mon trou. Il hésite en sachant que tôt ou tard il devra s'exécuter, et finit par  appuyer sur ma rondelle et enfonce son doigt dans mon anus. Sans problème mon corps accepte ce petit corps étranger. Il reste ainsi immobile plusieurs secondes le doigt enfoncé au maximum. Puis doucement il le retire. Mike lui suggère alors :

- « Bien... Tu en mets deux maintenant et tu les remues un peu comme pour agrandir son trou ! »

Avec hésitation, Archie me réintroduit un doigt, puis me masse doucement l'anus. Le gel facilite grandement ses mouvements et je ne ressens aucune douleur. Mon anus est manipulé par Archie devant Raldo et Mike et je dois dire que cela ne me fait plus vraiment grand-chose... Un deuxième doigt s'introduit maintenant à coté du premier et écarte davantage mes lèvres anales. Toujours sans problème Archie joue maintenant avec deux doigts et masse ma rondelle qui s'ouvre et se dilate facilement.

- « Parfait ! Maintenant, branle-le avec ton autre main. »

Cette fois c'est Raldo qui a donné cet ordre.

Archie m'entoure alors la verge de sa main et commence des va et vient sur celle-ci, tout en continuant à me doigter. Rapidement ma queue durcit sous mon ventre, mon gland se dégage. A présent Archie y va franchement, aussi bien pour s'occuper de mon trou que de ma bite. Visiblement il apprend vite ce petit jeune... Faut dire qu'il est bien obligé ! Je ne vais pas tarder à lâcher ma semence. Et effectivement je jute dans la main de mon compagnon qui, n'ayant pas vu venir ma jouissance, m'entourait l'extrémité de ma bite à ce moment. Il ne sait pas vraiment comment réagir et Raldo lui ordonne alors de lécher sa main. Archie prend alors un air dégoûté mais obéit prestement sans attendre un rappel à l'ordre. Il nettoie consciencieusement ses doigts en les portant un à un dans sa bouche. Il ne peut toutefois laisser échapper une petite grimace qui n'échappe pas aux regards inquisiteurs de nos deux surveillants. Raldo décide alors d'en rajouter :

- « Pascal, relève-toi. »

Je me relève et me mets debout. Puis Raldo s'adresse à Archie :

- « Tu vois, il a encore du sperme sur le bout de sa queue. Tu vas le nettoyer avec ta langue. »

Surpris mais résigné, Archie se penche alors vers ma queue à demi molle. Avec 2 doigts il la pince et la porte devant sa bouche puis, obéissant à l'ordre reçu, il me donne des petits coups de langue sur le gland et le méat. Rapidement il enlève soigneusement toute trace de mon éjaculation. Il pense alors que Raldo sera satisfait. Mais ce n'est pas le cas :

- « Tu es trop timide ! Ca ne va pas. Tu aurai dû avaler sa bite ! Tu vas donc sucer Mike pour améliorer cela. Reste à genoux ! Et appliques toi ! Tu commences à m'énerver la ! »

Mike, sentant grandir la colère de son chef, lui fait un signe d'apaisement puis il se rapproche ensuite d'Archie et se place devant lui. Il prend la direction des opérations pour poursuivre l'apprentissage imposé par Raldo décidément très exigeant.

- « Baisse mon short et mon slip. »

Archie, comprenant que la situation s'envenime pour lui, obéit prestement et baisse franchement les vêtements de Mike. Il se retrouve alors avec le gros sexe poilu d'un adulte en face de son visage. Mike lui met une main derrière la tête et approche doucement mais fermement le visage du garçon contre sa tige.

- « Allez, ouvre la bouche et avale. Et surtout fait attention avec tes dents ! »

Archie va devoir réaliser sa première pipe de sa vie, sous la contrainte et sous le regard de plusieurs personnes. Encore une fois il va devoir apprendre très vite. Docilement il ouvre grand la bouche et avale la queue molle devant lui. Même s'il n'a jamais pratiqué cet acte il devine à peu près ce qu'il doit faire. Il suce le sexe du gardien et avec sa langue effleure le gland. Petit à petit le gros chibre de Mike augmente de volume et se durcit. De sa main Mike guide les mouvements de tête de mon compagnon. A présent Archie doit sucer un sexe qui lui remplit la bouche et qui frappe le fond de sa gorge à chaque fois. Mike accélère la cadence et oblige Archie à le suivre. Archie a du mal à respirer, tant le rythme est maintenant rapide. Mais il poursuit son œuvre. Mike se cabre. Je devine alors qu'il vient de juter dans la gorge de son suceur.

- « Avale tout ! »

Avec résignation et bien obligé, Archie avale le sperme de Mike puis, sans attendre, il suce délicatement le gland rouge vif et nettoie la queue du gardien avec application. Je ne vois pas ce qu'il aurait pu faire de mieux. Je regarde Raldo qui, bien sûr, a suivi la scène avec attention.

- « Parfait. Maintenant tu es prêt pour les autres scènes. Tu verras plus tard... »

 Archie ne dit rien et se contente de fixer Raldo le regard neutre.

- « Ok, suivez-moi. Je vais vous ramener dans votre chambre. »

Docilement et toujours nu, Raldo suivi de Mike nous ramène dans la chambre. Nous y retrouvons Chris et John. A la vue de mes compagnons de captivité, Archie ne peut s'empêcher dans un mouvement réflexe de se cacher le sexe avec ses mains. Puis très vite, s'apercevant que Chris et John sont nus comme lui, il réalise combien ce geste au demeurant naturel ne sert à rien dans ce contexte... Il retire alors ses mains et adopte une position plus naturelle. Toutefois, ce petit geste n'a pas échappé à Raldo mais il ne dit rien. Immédiatement nos deux gardiens nous laissent seuls et ferment la porte derrière eux. Je présente alors Archie à mes camarades et fait un résumé des derniers événements.

- « Et vous ? Vous êtes restés ici ?

- Oui. On n'a même pas eu à déjeuner ! »

La conversation se poursuit mais rapidement s’arrête : personne n'a d'idée nouvelle pour nous sortir de cette situation.

Une demi-heure plus tard, un petit déjeuner arrive. C'est un nouveau gardien qui le pousse sur un chariot. Mais combien sont-ils ?

Nous dévorons les victuailles. Nous avons faim. Je remarque que tous les couverts sont en plastiques comme toujours. Impossible de s'en servir comme arme. Nos geôliers pensent vraiment à tout… Une heure passe encore. Nous sommes tous les quatre assis sur nos lits alors que la porte s'ouvre et que Raldo entre. Il me désigne :

- « Toi, Pascal, suis-moi ! »

Je me lève et me rapproche de lui. Mes trois compagnons me regardent d'un air résigné mais ne disent rien. Je quitte la chambre en suivant le maître du chalet.

 

La suite :  Un chalet en montagne - 19/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 22 septembre 7 22 /09 /Sep 13:20

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 16/26

 

Chapitre 17/26: Affolement


Raldo se dirige vers Archie et lui attache les mollets à 2 anneaux. Le garçon a ainsi les pieds écartés d'un mètre environ et ne peut donc plus resserrer ses jambes. J'ai un mauvais pressentiment et je crains pour la suite…

Puis il tend les cordes qui tirent les bras d'Archie en l'air. Au final c'est tout juste si Archie repose sur le sol. Il est presque sur la pointe des pieds.

Sa position est pénible et je devine Archie qui grimace sous son bâillon. Mais ce n'est pas fini… Raldo se saisit d'une ficelle, passe devant le garçon dont le corps est tendu comme un arc et entoure la base de son sexe et de ses couilles avec un nœud coulant. Puis il passe la ficelle entre les jambes et il se déplace deux mètres en arrière. Il tend alors le lien et, sous la douleur et la menace de se faire arracher les parties, Archie est obligé de reculer son bas ventre en se cabrant davantage. Ses fesses sont ainsi mises en évidence, offertes vers l'arrière. Et il ne peut bouger car au moindre mouvement vers l'avant, le lien se tend et il a l'impression de se faire arracher la bite.

Raldo farfouille alors dans un carton, derrière les caméras et en ressort une baguette, souple et ferme à la fois : Archie va recevoir une fessée…

Je n'ose rien dire, sachant que cela ne servira à rien. Raldo se place alors derrière Archie, lève le bras et lui assène le premier coup. La baguette siffle en fendant l'air et frappe avec un claquement sonore et sec les tendres fesses du prisonnier. Sous la violence du coup, le corps de l'adolescent s'arque. Instinctivement il avance sous le coup. Mais se faisant il tire sur la cordelette entourant son sexe et croit s'arracher la queue. Il hurle alors de douleur, mais bâillonné comme il est, son cri ne porte pas.

Raldo poursuit ses coups et froidement frappe le postérieur du garçon avec grande force. A chaque fois Archie lutte et hurle. Mais il ne peut rien faire, ni bouger, ni hurler… Il ne peut contrer les coups et doit lutter pour ne pas avancer et ne pas s'arracher ainsi les couilles.

Je suis horrifié par cette violence gratuite et je ferme les yeux pour ne plus voir le pauvre garçon souffrir à chaque coup. Encore une dizaine de coup et Raldo stoppe.

Je rouvre alors les yeux et les lève vers le visage du supplicié. Archie est épuisé et ne tient debout que par les cordes qui tirent ses bras vers le haut. Son visage est en larme.  Je remarque alors que son sexe est bandé au maximum. Bien involontairement, sous la tension de la ficelle, il bande fortement. Même plus que cela : les veines sont saillantes et le gland rouge vif est très gonflé. Je me demande alors si la ficelle ne lui coupe pas la circulation sanguine dans ses organes génitaux.

Raldo passe alors devant lui, se positionne et, avec une précision diabolique, assène un dernier coup de baguette sur les testicules d'Archie. Le coup ne semble pas fort, pourtant Archie hurle à nouveau et manque s'évanouir de douleur. Je me retiens d'hurler moi aussi, de colère et de dégoût.

Calmement Raldo se retourne vers moi et m'explique :

- « Voila, j'ai fini avec lui, libère-le et réconforte-le. Il en a besoin. Lève-toi ! »

Je me lève et il me retire mes menottes. Je suis toujours nu mais au moins je n'ai plus d'entraves. Puis il pose le fouet dans son carton et me jette un tube de crème. D'un réflexe je le rattrape sans comprendre. Je regarde l'étiquette et je devine qu'il doit s'agir de crème apaisante contre les coups et les rougeurs.

Me laissant à ma surprise Raldo, non sans me prévenir de ne pas toucher aux caméras en place, m'annonce aussi qu'il reviendra d'ici une heure.

Je me précipite alors vers Archie qui semble assez mal en point. Son visage est baigné de larmes. Je commence par la ficelle entourant son sexe. Avec précaution je la retire. Je défais ensuite ses liens aux poignets et aux pieds. Il s'effondre alors littéralement dans mes bras. Je l'assoie sur un oreiller, en égard à ses fesses certainement douloureuses, et doucement commence à le réconforter.

- « C'est fini. Il est parti… »

Petit à petit, il reprend ses esprits. Après quelques minutes de repos il va mieux. Son sexe a débandé et a repris des couleurs normales. Il me demande alors :

- « Mais qui sont-ils ? Pourquoi ils nous ont filmés ? 

- Je t'expliquerai… »

Doucement Archie se calme et me demande alors de lui expliquer la situation. Je lui raconte rapidement notre randonnée puis notre capture. Et je termine par les scènes que Raldo nous a obligé à réaliser en nous filmant. Je ne lui cache rien. Après tout il est dans la même galère que nous et il a le droit de savoir ce que, malheureusement, il risque de subir par la suite… Il reste sans voix pendant quelques minutes à la fin de mon récit. Je le laisse le digérer. Puis à mon tour je lui demande de m'expliquer comment il est arrivé ici.

- « C'est hier soir vers 18h. Je me baignais seul dans la rivière en bas de la vallée. Et j'étais dans un endroit que personne ne connaît. Soudain deux hommes sont arrivés. Ils ne me regardaient pas spécialement, ils se sont juste assis sur les cailloux. Puis je suis remonté sur la berge pour partir. Et dès que j'ai eu fini de me rhabiller ils se sont emparés de moi. J'ai rien pu faire. Ils m'ont surpris, je ne m'y attendais vraiment pas. Ils m'ont attaché et ramené dans le coffre de leur voiture jusqu'à ce chalet. J'ai passé la nuit dans une chambre enfermé. Et ce matin ils m'ont attaché là où tu m'as trouvé. Je ne comprenais rien à mon enlèvement... Mes parents ne sont pas spécialement riches. Maintenant, j'ai compris…

- « Mais tu habites dans le coin ?

- Oui, c'est pour cela que je me baignais dans un endroit tranquille que personne ne connaît.

- Ben comment t’ont-ils trouvé alors ?

- Je ne sais pas. Ils m'ont peut être suivi depuis la route…

- Moais… Et tes parents ? T'as pas de portable ?

- Si bien sûr. Mais ils m'ont confisqué toutes mes affaires. »

Il est évident, que nos agresseurs n'auraient pas commis une faute aussi grossière en lui laissant de quoi prévenir le monde extérieur. Il me demande alors :

- « Et tes deux copains ?

- Ben… Ils doivent être encore dans la salle d'à côté. Je ne sais pas vraiment. Ce matin, Raldo m'a embarqué seul pour venir te rejoindre.


- Et vous n'avez pas réussi à prévenir quelqu'un ou à faire quelque chose ?

- Euh non. On est trop bien gardé. Tu as bien vu d'ailleurs… »

Il se tait et réfléchit. J'ai encore une question à lui poser :

- « Et dis-moi, tout à l'heure, avant euh… le gode que j'ai dû te mettre. Quand je suis sorti, que s'est il passé ?

- Ah ! Raldo m'a donné 2 gifles et m'a menacé avec un fouet si je ne coopérais pas davantage. C'est la première fois qu'il me frappait depuis hier soir. J'ai eu très peur… Je ne comprenais rien… Et je n'ai plus résisté. Tu as bien vu d'ailleurs…

- Oui. J'espère que tu n'as pas eu trop mal avec le gode.

- Non tu as fait attention, j'ai bien vu. Le pire, ce n’était pas toi… c'était lui quand il m'a frappé.

- Pourtant depuis hier jamais ils ne nous ont frappés devant les caméras. Au contraire, ils ont fait attention à ne pas "nous abîmer". Enfin, sauf les 2 gardiens… Enfin un surtout.

- J'espère qu'ils ne vont pas recommencer ? »

Sa voix tremble légèrement. Il est inquiet et ne souhaite pas souffrir à nouveau comme tout à l'heure.
- « Et maintenant, que fait-on ?

- J'en sais rien… Mais alors vraiment rien… »

Nous nous taisons. Aucun de nous deux ne voit comment se sortir de cette situation... Archie réfléchit et son regard se porte sur moi. Puis, soudain, il descend ses yeux vers mon sexe rasé et revient vers mon visage. Il réalise alors que c'est anormal et me demande avec étonnement :

- « Tu te rases les couilles ?

- Non, c'est eux qui nous ont obligés.

- Hein ?

- Oui, ils nous ont obligés à nous raser entre nous et devant les caméras en prime. J'ai bien peur que toi aussi tu y passes… »

Il ne dit alors plus rien. Cinq minutes passent. Puis son visage s'éclaire :

- « Et si on pouvait… »

Brusquement Archie se tait. La porte vient de s'ouvrir et Raldo entre. Il n'est pas tout seul, un garde l'accompagne : c'est Mike. J'espère alors qu'il va me "protéger" ou tout au moins éviter que Raldo ne nous fasse mal... Mais Raldo, son chef, est présent et comme d'habitude il ordonne et dirige les opérations :

- « Archie ! Lève-toi et approche. »

Mon nouveau compagnon obéit prestement. Mike passe alors derrière lui et lui écarte les jambes.

- « Bien. Penche-toi en avant maintenant. »

Archie obéit et Mike voit alors le cul du jeune garçon s'ouvrir et son sillon devenir visible. Il écarte les fesses d'Archie avec ses mains et dégage ainsi davantage sa rondelle et son anus. Puis il palpe la raie quasi imberbe du garçon et examine son anus qui semble ne rien présenter d'anormal. Ses fesses par contre sont encore rouges. Je réalise alors que je n'ai pas utilisé la crème apaisante que Raldo m'avait balancée avant de sortir. J'espère qu'il ne va pas s’en apercevoir…

Mike me regarde alors :

- « C'est bien, tu as mis de la crème ? »

Je décide de mentir, redoutant une punition.

- « Oui, tout à l'heure.

- Bien, mais vas lui en mettre encore. Approche. Et toi Archie mets-toi à quatre pattes et écarte les jambes… »

Archie, comprenant qu'il ne risque rien, prend la position demandée. A nouveau j'ai une vue précise sur son entre jambe. Je m'accroupis devant son postérieur offert et je commence à lui étaler une bonne couche de crème sur ses fesses. Sa peau est blanche et lisse. Rapidement, Mike m'interrompt.

- « Parfait. C'est bon. Maintenant on va montrer à Archie comment jouer avec un autre garçon. »

Raldo demande alors à Archie qui se redresse doucement.

- « Tu n'as jamais joué sexuellement avec un gars je parie ?

- Euh non…

- Et bien ce sera une première ! Il y a un début à tout dans la vie.

 

La suite :  Un chalet en montagne - 18/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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