L'histoire de la semaine

Dimanche 9 mars 7 09 /03 /Mars 15:33

Episode précédent : Frèresjumaux 1 : la bouche de mon frère

 

Le réveil sonne. Il est 6 heures 30. Depuis une semaine, il sonne un quart d'heure plus tôt. Pour mon plus grand plaisir. Finies la difficulté à me réveiller et la mauvaise humeur. Je repousse la couette. Je vais connaître une chaleur plus agréable. Julien, mon frère, se lève de son lit et se rapproche du mien. Il se met à genoux, prêt à adorer mon phallus triomphant, déjà bandé à l'idée du plaisir imminent. Les Anciens idolâtraient le sexe de l'homme, ils avaient raison. Julien revient à la religion primitive et naturelle, celle de l'époque bénie et heureuse de l'homme libre de l'hypocrisie. Il mordille mes couilles à travers le short de mon pyjama, humidifie le tissus en me léchant la queue. Il finit par mettre fin à cette torture (il sait bien ce que j'attends !) en baissant le vêtement avec ses dents. Je comprends bien qu'il est fétichiste des sous-vêtements masculins, mais cela ne me dérange plus...

Il lèche ma hampe dressée, agressive, et fait mine de gober enfin mon gland avant de descendre traîtreusement vers mes couilles... Le salaud ! Impatient, n'en pouvant plus, je prends sa tête entre mes mains et enfonce de force mon chibre dans sa jolie petite gueule. Il alterne gorge profonde et jeux délicats et savants de langue. Il prend son plaisir dans le mien, il bande sans que je le touche. Cela m'arrange, je suis hétéro moi, non ? Il aime tellement la queue et a attendu tant d'années, le pauvre... Nous sommes parfaitement complémentaires, lui la bouche gourmande, moi la bite juteuse. Je n'ai plus aucune gène à me faire sucer par mon homo de frère, quel mal y a-t-il à prendre son plaisir où on le trouve ? Je suis un ado de seize ans, il est normal de tenter des expériences diverses. J'ai le temps de vivre une relation normale avec une gentille petite femme, de me marier et d'avoir des enfants. Comme tout le monde. L'inceste ne me pose pas de problème moral, je ne risque pas de le mettre en cloque !

Une chaleur envahit mon ventre, mes membres se contractent, je râle et éjacule mon jus dans la bouche de mon frère. Putain ! Quel pied ! Surtout ne pas crier ! Il avale tout ce qu'il peut, mon foutre semble lui être si précieux... Pourtant, mes couilles, bien remplies par les rêves de la nuit, sont trop généreuses pour sa petite gueule, et le jus coule sur son menton. Je récolte avec mes doigts les gouttes de sperme les unes après les autres et lui donne mes doigts à lécher. Il accomplit sa mission avec zèle. Il sait que les draps ne doivent pas être tâchés. Je suis fier de lui. J'ai vraiment le frère idéal, tu ne penses pas ? Julien a joui en même temps que moi. J'ai remarqué que c'est le jet de mon jus dans sa bouche qui déclenche son orgasme. Jamais avant, jamais après. Parfaitement complémentaires, j'te dis ! Il rapproche son visage du mien, ouvre la bouche et me montre mon sperme qui lui tapisse la langue et le palais. Puis, le regard effronté et pervers, il avale lentement, en savourant mon lait de couilles, avant de d'exhiber sa bouche vide. Pas pour longtemps : il lèche ses doigts foutreux, récupère les gouttes perdues sur ses cuisses et ses abdos, et recommence le même petit jeu. Je rebande mais il est temps de se lever. Nous recommencerons ce soir.

Notre père est ravi de notre changement d'attitude. Julien est moins taiseux et effacé, je suis moins agressif et de mauvais poil. S'il savait ? Plus de dispute entre nous depuis qu'il me pompe matin et soir. Cette nouvelle complicité nous est précieuse. Le petit déjeuner pris, nous allons à la salle de bain. Là où tout a commencé... Nous nous sommes toujours lavés en même temps, un se lavait les dents pendant que l'autre se douchait. Maintenant nous nous douchons ensemble, en faisant mille conneries. Nous restons des ados ! Je me demande comment je n'avais jamais remarqué que mon frère était homo (tiens, je ne dis plus PD !). Nous partageons la même chambre depuis toujours, la même salle de bain. J'étais le moins pudique, je n'ai jamais eu aucun problème avec la nudité, et je n'ai jamais surpris mon frère, plus pudique, en train de me mater. Ses érections matinales ne m'avaient pas alerté, car je bandais aussi, sans que son corps nu en fût la cause.

— Pas trop dur pendant toutes ses années, Juju, de partager la salle de bain avec un Apollon ? De dormir à deux mètres de mon corps de rêve ?

— Si, répond-t-il en riant. J'avais peur de ta réaction. Je pouvais regarder un mec inconnu à la piscine, mais je ne pouvais pas me faire griller auprès de mon frère. La vie pouvait devenir un enfer. Mais franchement,tu n'avais pas de doutes ?

— Parfois un peu, je dois l'avouer, mais comme tu n'aimes pas Mylène Farmer !

— Salaud, crie-t-il en me donnant un grand coup sur les fesses avec sa serviette. Nous rions.

— Merci pour le plaisir que tu me donnes, frangin...

— Mais le plaisir est partagé ! Je préfère sucer ta bite que sniffer vos slips, à toi et à Papa. Même si...

— Ça ne te dégoûte pas, l'odeur, les différentes traces ?

— Non, au contraire, c'est ce qui m'excite !

— Drôles de fantasmes... Mais je les respecte, tu me rends plus tolérant, moins con.

— Rassure-toi, il reste encore pas mal de travail !

— Petit salaud ! Et je lui donne à mon tour un coup sur les fesses, mais de ma main. Ça ne te dérange pas que je ne te suce pas ? Tu me trouves égoïste ? Tu dois avoir toi aussi envie d'essayer ?

— Tu n'es pas égoïste, tu es hétéro ! Tu me donnes déjà beaucoup, ajoute-t-il avec son sourire le plus vicieux.

— Tu vas draguer d'autres mecs, maintenant que tu as de l'expérience et plus de confiance en toi ?

— Pourquoi ? Je suce le plus beau mec au monde !

— Petit prétentieux ! Si je suis si beau, comme tu es mon jumeau...

— Tu comprends vite, dit-il en souriant. Je suis heureux avec toi, je ne demande que ce que tu veux me donner. Ton bonheur est mon bonheur, ajoute-t-il en me fixant dans les yeux.

— Merci, répondè-je, en l'embrassant sur la bouche. Rapidement, sans la langue, bouche fermée. Je ne sais pas ce qui m'a pris, je vais me reculer brusquement quand Julien me serre contre lui et me roule une pelle magistrale. C'est une expérience troublante, rien à voir avec un baiser avec Mathilde. Elle, elle se laisse embrasser. C'est la première fois que j'ai une langue vigoureuse dans la bouche. C'est viril et passionné. Je ne crois pas que je recommencerai, je n'aime pas être dominé. Mais pourquoi le fait que Julien me soit fidèle m'a-t-il fait tellement plaisir ? Je continue à sortir avec ma copine. Bon, notre relation n'avance toujours pas, mais quand même nous nous embrassons, allons au ciné, et sommes un couple pour tous les camarades du lycée. Je suis amoureux de la pipe, pas de mon frangin.

Grâce à cette pipe matinale et à la pensée de celle qui m'attend le soir, la journée se passe bien. Je supporte plus facilement les résolutions d'équations qui me restent inconnues en Mathématiques, les conditions du Traité de Versailles en Histoire ou un texte passionnant en Espagnol sur l'opposition entre Révolution et traditions au Mexique entre 1910 et 1920... Vivement ce soir, quand même !

 

A suivre...

 

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 2 mars 7 02 /03 /Mars 15:31

Salut mec ! Moi, c'est Jérémy, 16 ans.

J'ai un frère jumeau (personne n'est parfait !). Impossible de nous confondre cependant, autant je suis sportif et aventureux, autant Julien est studieux et timide ! Un intello, quoi ! Nous faisons un mètre quatre-vingts, nous sommes bruns, les yeux bleus. Je suis un peu plus musclé que mon frangin. Pourtant je l'apprécie, car comme nous n'avons jamais été séparés à l'école, il a toujours fait mes devoirs. Et comme les profs ne sont pas très malins, quand je copie sur lui, aucun problème. Ils doivent présumer que les jumeaux pensent la même chose au même moment ! Les bouffons ! T'as déjà compris que je suis le leader du duo... Il en faut un, alors autant que ce soit moi ! Nous ne sommes pas fusionnels, j'ai mes potes pour déconner, alors que lui fréquente surtout des filles. Je suis pas jaloux, aucune n'est baisable ! J'ai une copine, Mathilde. On n'a pas fait grand-chose jusqu'à présent... elle est plutôt coincée ! Bien sûr, aux copains je raconte mes exploits, je ne sais pas s'ils sont dupes, car je crois bien qu'on en est tous au même point : la branlette devant Internet !

Nous vivons avec notre père en semaine et avec notre mère le week-end : mes parents ont divorcé quand Papa a surpris Maman dans les bras (sur la bite plutôt !) de Christophe, son propre frère ! Solidarité masculine oblige, nous avons choisi de vivre avec notre père, d'autant plus que notre mère s'est mise en ménage avec son beau-frère ! La honte ! Nous sommes sans doute les seuls ados qui n'aimons pas le week-end : on ne le supporte pas, le tonton, et il nous le rend bien ! Matthieu, son fils de 18 ans a tous les droits, nous aucun. Et notre mère est trop dépendante de sa bite pour nous défendre... Et elle sait qu'on ne lui a pas pardonné.

Bon, passons aux choses sérieuses...

Un mercredi après-midi, en rentrant du foot, alors que mon frère était censé résoudre nos exos de maths, je l'ai surpris dans la salle de bain, reniflant un de mes slips crades sorti de la panière à linge sale pendant qu'il branlait sa grosse tige bien dure : le choc ! Quand mes copains disaient que Julien faisait un peu PD, je les faisais taire rapido, y a pas de tapettes dans la famille ! J'étais sûr que je l'aurais deviné, quand même ! Non, mon frère était juste un intello un peu timide ! Le petit salopard se branlait, le nez dans mes traces de pisse et de jus (et oui, faut bien que je m'essuie après la branlette !). Il a même léché le tissus et s'appliquait tellement qu'il ne se rendait pas compte de ma présence. La honte s'est transformée en rage et je lui suis tombé dessus ; je me sentais trahi pour toutes les fois où je l'avais défendu et, surtout, j'avais une peur bleue que cela se sache. Si Julien est PD, tout le monde va croire que son jumeau l'est forcément ! Le cauchemar...

— Ça t'excite, salope, mes slips crades, hein ? Non seulement t'es PD, mais en plus t'es pervers. Tu me dégoûtes, tu es malade, traînée...

— Arrête, je n'ai rien fait ! Tu me fais mal, Jérem' !

— C'est bien le but, p'tit PD, tu comprends vite ! Je vais te soigner, moi ! Je vais te faire jouir à ma façon ! T'es pas prêt d'oublier, putain !

— Arrête, s'il te plaît !

Ses pleurs ne me calmaient pas, au contraire. J'ai cessé les coups de poings car il commençait à saigner du nez. Je pense que mon père aurait fait la même chose, l'honneur de la famille était déjà assez entaché comme ça par ma mère et mon oncle, mais on ne sait jamais... Il ne bandait plus. C'était déjà ça.

— Tu te fais enculer, salope ? Tu suces ? Des vieux ? Tu te fais payer ? Tu baises dans les chiottes ? Combien de mecs te sont passés dessus ? Tu me dégoûtes ! Tu sniffes sans doute aussi les calbuts des copains dans les vestiaires du gymnase du lycée ? Et si tu te fais surprendre ? Tu as pensé à moi ? Et si encore un de tes complices me prend pour toi dans la rue ? T'imagines ? Tu vas me le payer, sale pute !

— Non, je n'ai encore rien fait avec personne... Je n'ai pas de copain. Je me branle juste dans tes slips et ceux de Papa... C'est plus fort que moi... Je suis toujours vierge, comme toi non ?

Bon, personne n'est encore au courant... Mais il se moque de moi, le petit con ! Et quel porc, les slips de son propre père ! Jamais je ne snifferai la culotte de Mathilde, le jour où j'arriverai à la faire glisser... Salope d'allumeuse ! Je ne veux plus l'abîmer, mais je dois le changer, le dégoûter de son état, ou au moins l'humilier. C'est mon devoir, ma responsabilité, je ne peux pas le laisser continuer. Il me remerciera plus tard.

— Entre dans la douche, sale chien !

Julien obéit sans poser de question. J'ouvre ma braguette. Il sourit, le petit cochon. Je baisse mon calbut et lui pisse dessus pour le punir ; ah, il aime les gouttes de pisse sur mes boxers, passons à la vitesse supérieure ! Et là, l'horreur ! Au lieu de pleurer, d'éviter mon jet rageur, il ouvre la bouche et me boit ! Comment imaginer une telle perversion ! Moi qui voulais le châtier ! D'un autre côté, je me sens troublé, flatté par son adoration, car il doit m'adorer pour boire ma pisse avec ce sourire extatique ! Quand mon jet se tarit, il semble déçu... Comment vais-je faire pour redresser un tel tordu ? Eh, que fait-il ? Il prend ma bite dans sa sale bouche de pédale... mais j'ai la queue déjà bandée ? Je ne m'en étais pas rendu compte... Sa sale petite bouche parfumée à ma pisse... Je veux me retirer, mais je change d'idée : je vais lui apprendre à vivre. Julien lèche mon gland, gobe mes couilles, j'ai du mal à croire que c'est sa première fois... les PD doivent avoir le gène de la suce !

— Suce salope ! Je vais te repeindre la gueule, bâtard ! Sers-toi de ta langue ! Ouais, comme ça, c'est bon, continue, crevure !

— Oui, fais-moi ce que tu veux !

Et en plus les insultes l'excitent ; pas de doute, il tient de notre mère, aussi salope qu'elle ! Ce n'est peut-être pas de sa faute, l'hérédité... Faire ce que je veux ? Faut pas me le dire deux fois ! Je lui enfonce mes dix-huit centimètres à fond ! Il s'étouffe, pleure, et ce n'est plus de plaisir. Ce qui augmente le mien. Je suis gâté : une gorge profonde pour ma première fois ! Ça fait des drôles de bruits dans sa gorge, je bande encore plus... Mais j'ai 16 ans et c'est ma première pipe, alors je lui remplis rapidement la bouche de mon jus bien chaud en le tenant durement par les oreilles. Putain, quatre jets bien crémeux ! Quel pied ! Je n'ai jamais autant juté. Je pousse un cri de plaisir, c'est trop bon, trop fort. Je lui pince le nez d'instinct, pour qu'il avale... Je crois que ce n'était pas la peine. Il rebande, je le laisse faire pendant que je pisse à nouveau dans sa bouche offerte. Julien jouit, lui aussi lâche des litres de sperme qui coulent de sa bite jumelle de la mienne. C'est étrange de sentir les soubresauts de son corps qui se répercutent dans sa bouche, et donc sur ma queue...

— Lèche ton foutre de PD !

— Oui, maître ! dit-il soumis et heureux.

Il lèche le foutre qui dégouline sur ses doigts, puis les gouttes tombées sur le carrelage, de lui-même. Où a-t-il trouvé ça ? "Maître" ? ! Je ne me sens pas sado, mais l'idée d'avoir un esclave séduit l'ado que je suis ; j'en ai marre d'obéir à mes parents, à l'oncle Christophe, aux profs... Je rebande et lui remets ma bite dans la bouche. Cette deuxième pipe, je l'apprécie davantage ; vingt minutes dans la bouche souple, chaude et aimante de Julien... Sa langue est magique et je finis par jouir en me disant qu'il va faire encore des progrès, être encore plus doué. J'ai du mal à imaginer, c'est déjà si bon... Je ne culpabilise pas car moi je ne suis pas PD, ce sont les PD qui sucent, pas ceux qui se font sucer, tout le monde le sait... Je n'ai rien dit à notre père.

Comme nous dormons dans la même chambre, Julien me suce encore le soir avant de dormir, c'est génial. Non seulement il me suce, mais il me lèche aussi et m'aspire, comme si sa vie en dépendait. Je rêvais depuis longtemps de me faire pomper, mais j'étais loin d'imaginer le plaisir que peuvent donner une bouche chaude et une langue agile... Rien à voir avec la branlette qui était pourtant ma meilleure amie depuis quelques années. Julien est si content d'être ma salope, ce serait égoïste de ne pas lui donner ma queue. Il sait déjà me rendre fou de plaisir. Mon frère me dit que mon jus est bon, qu'il m'aime et qu'il est à moi. Ces évidences me font ronronner de satisfaction. Dans un dernier geste royal de maître bienveillant, je lui passe mon slip bien tâché par cette journée hors du commun. Trois pipes, il l'a bien mérité. Et comment ne pas être touché par son air de profonde gratitude ? Je l'entends se branler, mon calcif sur la tronche, et mon frangin jouit à son tour dans son lit...

Mes couilles seront moins lourdes à partir d'aujourd'hui...

 

A suivre...


Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 15:13

En guise d'histoire aujourd'hui, et pour sortir des traditionnels fantasmes en texte (une fois n'est pas coutume !), voici le célèbre conte "Jack et le haricot géant" en version bande dessinée et revisité version sexe : je suis sûr que vous allez kiffer !

 


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Dimanche 16 février 7 16 /02 /Fév 14:07

Episode précédent :  Séance photo d'initiation - Suite

 

Le mardi suivant Pierre m’accueillit assez froidement.

– « On reprend où on en était resté ? » Lui demandais-je.

– « Où est-ce qu’on en était ? » Me demanda-t-il étonné.

– « Eh bien… J’étais tout nu et tu me photographiais. On venait juste de faire une pause, on peut reprendre à la pause si tu veux ?

– A la pause ? Eh bien si tu veux, pourquoi pas ?

Je me déshabillais complètement et m’assis sur le canapé en l’attendant. Il m’avait regardé faire, se touchant l’entrejambe.

– « Même au repos t’es pas mal ! Je peux m’approcher ?

– Fais comme chez toi, je suis à ton service ! » Lui répondis-je.

– « Attention à ce que tu dis, je pourrais en profiter ! » Dit-il en riant et en venant s’asseoir à coté de moi.

– « Tu n’as pas trop chaud ? » Lui demandais-je.

– « Mais dis-donc t’as mangé du lion ? Où est le gamin effarouché de la semaine dernière ? C’est David qui t’a déniaisé ?

– Non, pourquoi ? »

Pendant ces quelques mots mon sexe s’était redressé et, de le voir se mettre torse nu, m’excitait. Quand il quitta son pantalon mon sexe était à la verticale et quand il fut à poil à coté de moi une perle de liquide apparut au sommet de mon gland.

– « Comme ça j’ai en effet moins chaud. Si je comprends bien tu n’es pas venu pour des photos cette fois-ci, est-ce que je me trompe ?

– Je ne sais pas… Je suis à votre disposition... Je ferai ce que vous voulez...

Il me prit dans ses bras et me dit :

– « Appelle-moi Pierre, je t’appellerai Mathieu si tu veux bien. »

Il se mit à me caresser, me branler, me sucer. Je vis sa bitte grossir et se redresser. Elle prit une belle taille, aussi longue que la mienne (à peu près) mais beaucoup plus épaisse. Surtout ses couilles étaient beaucoup plus volumineuses. Comme il me voyait le regarder, il me dit :

– « Tu peux toucher, c’est permis.

– C’est vrai, je peux ? » Imitant une Dame du monde à qui on offre une friandise...

– « Faites cher Mathieu ! Tout le plaisir sera pour moi ! »

On éclata de rire et on se mit à rouler l’un sur l’autre tombant du canapé sur la moquette.
On se caressa longuement, découvrant le corps de l’autre, se suçant, se léchant, se caressant sous toutes les coutures. Il mit un doigt dans mon anus. Je le laissais faire, j’en mis un dans le sien, il me travailla cet endroit avec sa langue, avec ses doigts, mit de la salive puis du lubrifiant.

– « Tu veux que je te prenne ? »

Il m’embrassa sur la bouche sans me laisser répondre. D’ailleurs il avait déjà les doigts au bord de mon trou… On était assis face à face mes jambes autour de sa taille. Il me tendit un préservatif mais comme je n’étais pas très habile dans son maniement et m’y prenant à l’envers il le mit lui-même... Il me souleva en mettant ses mains sous mes fesses. Il m’assit sur son dard que je laissais pénétrer en moi poussé par mon propre poids tandis que lui restait immobile…

Nos visages étaient face à face. Nous nous embrassâmes pendant que son engin me pénétrait et que je sentais mon anus chatouillé par ses poils pubiens. Quel plaisir ! Son gros vit m’écartelait l’anus mais ça n’était pas douloureux. Il se releva et me coucha sur le dos, il replia mes jambes vers mes épaules et allongea les siennes. Son corps pesait sur mes testicules et écrasait ma bite. Il se souleva et la saisit sous lui puis se mit à me branler pendant qu’il entamait des mouvements de va et vient en moi. Il allait tout doucement, puissamment, comme s’il s’appliquait. Je sentais sa colonne chaude entrer et sortir de moi. Il sortait même complètement retrouvant son chemin à l’aveugle et chaque fois le passage de son énorme gland me procurait un plaisir incommensurable. Quand il se mit à accélérer la cadence je sentis des picotements dans mes testicules et dans mon bas ventre qui devinrent si intenses qu’ils remontèrent tout le long de ma colonne vertébrale et mon corps entier fut pris de soubresauts de la tête aux pieds. J’eus des spasmes pendant que je sentais mon sperme s’écouler de ma verge sur mon ventre comme un liquide qui suinte, pas par saccades comme quand je me branle tout seul…

Il se retira et arrachant sa capote, il se branla au-dessus de mon ventre et jouit abondamment sur moi crachant avec force son sperme jusque sur mon visage. Une giclée m’atteignit même à l’œil.
Quand il eut tiré la dernière goutte de jute il se mit à me masser le ventre en mêlant nos deux spermes puis il lécha les gouttes sur mon visage et roula sur le coté.
La jouissance avait été plus intense qu’avec David. Etait-ce parce que je commençais à mieux apprécier ? Était-ce à cause de sa bite plus grosse que celle de David ? Était-ce parce qu’il s’y prenait mieux ? En tout cas j’avais joui d’une façon nouvelle. Un plaisir qui ne venait que de mon anus, différent de celui que procure la masturbation ou la pénétration… Pas moins ni plus intense mais différent. Je venais de découvrir le plaisir anal…

On resta enlacés ainsi quelques instants puis quelqu’un frappa à la porte.

– « Mathieu ! Il est midi et quart il faut y aller ! » C’était David qui me rappelait à l’ordre.

– « Tiens, me dit Pierre en fouillant dans sa poche, un petit cadeau : tu as été génial ! »

Il me glissa un petit paquet dans la main me disant de ne l’ouvrir que chez moi. Je l’enfouis dans ma poche et me rhabillais en vitesse tout collant de sperme. Heureusement que personne ne m’attendait chez moi et que je pourrai prendre une douche.

David me demanda combien il m’avait donné. Je fouillais ma poche et ouvris le paquet : c’était un MP3 : celui dont je rêvais mais que je n’espérais jamais pouvoir m’offrir.

– « Super cadeau ! » Me dit-il. « Il ne m’en a jamais donné de si beau, t’as dû lui faire très plaisir ! Je commence à être jaloux !... Si tu savais qu’il m’avait dit il y a quinze jours que tu ne lui convenais pas vraiment et que si tu ne faisais pas d’efforts  il ne voulait plus te revoir. Je lui ai dit que cette fois ça irait. Je vois que tu ne m’as pas fait mentir ! »

J’étais moi aussi étonné de recevoir un pareil cadeau d’autant plus qu’en rentrant chez moi je trouvais encore un billet de cinquante euros glissé dans l’emballage.

– « Mais Mathieu, m’expliqua David quelques jours plus tard, ce ne sont pas des photographes mais un couple d’amis qui m’aiment bien et qui voulaient que je leur présente un autre ami pour s’amuser, comme avec moi. Je sais que tu les as satisfaits puisqu’ils veulent nous revoir tous les deux… »

Nous y sommes en effet souvent retournés. Nous avons fait l’amour à quatre. J’y ai même passé quelques fois le weekend avec David et parfois avec d’autres de leurs amis, jeunes comme nous, ou de leur âge. Chaque fois on était couverts de cadeaux.

 

FIN

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 9 février 7 09 /02 /Fév 14:05

Début de l'histoire : Séance photo d'initiation - 1ère partie

 

Le samedi suivant je sonnais à sa porte. Il me fit entrer, me présenta à ses parents et leur dit qu’on allait se promener dans la campagne. Dans sa chambre, il mit dans un sac une couverture, une serviette de toilette et une petite pochette dont je ne vis pas le contenu. On partit dans la campagne d’automne comme deux enfants qui se promènent nonchalamment.

Il me dirigea vers un endroit où je n’étais jamais allé et où vraisemblablement personne n’allait jamais... Il prit un sentier dans la forêt puis le quitta, escalada un talus, franchit une palissade et me désigna un endroit où personne ne pouvait nous voir, loin de tout, à l’abri des buissons. Pendant tout ce temps il n’avait pas dit un mot. Moi non plus. Les idées se bousculaient dans ma tête. Je l’observais. Son corps de jeune homme était un peu plus épais que le mien mais il n’était pas gros. Il était habillé d’un short en toile de couleur, genre « surfer », et d’un blouson sur un t-shirt. Ses fesses étaient bien rondes sous le tissu qui les recouvrait, les reins bien cambrés. Il me revint à l’idée la réflexion du photographe mardi matin à propos des miennes et j’eus envie de les tâter pour voir si elles étaient « fermes ».

Il étendit la couverture et me dit :

– « On ne sera pas bien ici ? Installes-toi je te rejoins... »

Il s’éloigna de quelques mètres et se mit à pisser contre un arbre. Je sentis moi aussi une envie. Je le rejoignais et me débraguettais discrètement à un mètre de lui en lui tournant un peu le dos. Il se rapprocha la queue à la main et me regarda faire. Quand j’eus fini il me prit la bite qui déjà avait grossie et la secoua.

– « Faut toujours secouer la dernière goutte ! »

Je le laissais faire : après tout on était là pour ça ! Je sentais l’excitation me gagner ou plutôt gagner ma queue. Il ouvrit mon pantalon et le baissa ainsi que mon slip. J’étais déjà en érection, le sexe bien à l’horizontal.

– « C’est vrai ! T’es bien foutu.

– Et toi, t’es comment ? Montre-moi. »

Je le déshabillais. Il bandait lui aussi. Sa queue était plus petite que la mienne, plus courbée vers le haut, le gland entièrement décalotté, il était circoncis.

– « Elle te plait ? » Me demanda-t-il.

Pour toute réponse je me mis à le branler.

– « Tu vois, tu sais faire.

– C’est que ça ?

– Pas tout à fait mais c’est un bon début, tu le lui as fait mardi ?

– Non, mais lui me l’a fait.

– Et t’as pas aimé ?

– Si j’ai failli jouir ! Surtout quand il me l’a avalée.

– Ah, il t’a sucé aussi ? Super ! Et il t’a fait quoi encore ?

– C’est tout. Il était midi et on a arrêté.

– Et toi t’as rien fait ? Tu l’as laissé sur sa faim ? Je comprends mieux ! Quand on reçoit il faut donner aussi… » Me dit-il sur un ton de reproche... « Viens ! Je vais te montrer beaucoup mieux. »

Il m’amena sur la couverture et on finit de se déshabiller. Quand on fut nus tous les deux il me prit tout contre lui et on s’embrassa. Je sentais son corps chaud contre le mien et surtout sa bite dressée contre mon ventre pendant que la mienne était contre le sien. Par des mouvements de mon bassin, je frottais mon gland contre son ventre, le décalottant et recalottant. Il faisait de même…

On se caressa pendant un long moment découvrant chacun le corps de l’autre. Il me branlait de temps en temps, me suçait. Je faisais de même prenant la position du soixante-neuf. Je découvris le plaisir d’avoir un sexe d’homme dans la bouche, vivant et mobile, chaud et dur, avec la peau qui glisse comme une gangue de soie.

Il me demanda de me retourner et de me coucher sur le ventre. Il continua ses caresses sur mon dos, mes fesses, l’arrière de mes cuisses et de mes genoux. C’était excitant et agréable... Il s’allongea de tout son long sur moi. Nos corps s’épousaient parfaitement. Je sentais sa verge prendre place entre mes globes fessiers et glisser entre eux comme si cet emplacement était prévu pour ça ! Il se frottait contre moi. Je ne sentais pratiquement pas le poids de son corps. Il m’embrassait dans le cou, me chatouillait les côtes, les hanches. Je fis de même : on échangeait les positions chacun à notre tour.
Il me lécha la raie des fesses, s’arrêtant sur mon petit trou, descendit entre les jambes. Pour cela, il me les fit écarter au maximum puis il m’allongea sur le dos, remonta mes jambes pour pouvoir atteindre mon anus en passant sous mes couilles et il se mit à lécher mon périnée, des testicules jusqu’au trou du cul… J’avais les fesses en l’air, les genoux repliés vers mes épaules, comme enroulé sur moi-même.

Il s’allongea sur moi. Je sentais son sexe pointer en direction de mon petit trou qu’il venait de mouiller avec sa salive. Il frotta longuement son gland sur mon sphincter sans chercher à le pénétrer.

– « Tu veux bien que je te prenne ?

– Ça fait mal ? » Demandais-je un peu inquiet.

– « Un peu la première fois mais ça passe vite… Je vais y aller très doucement. »

Il se pencha et prit la petite sacoche dont je vous ai parlé tout à l’heure. Il en sortit un flacon. Il me demanda de me retourner sur le ventre. Il écarta mes fesses et après m’avoir bien léché l’anus, essaya avec un doigt de me pénétrer. Il parvint à faire entrer une phalange, la fit tourner longuement puis il mit du produit du flacon qu’il avait sorti de sa sacoche.

– « Décontracte-toi, je te sens tout tendu, respire à fond ... N’aie pas peur. »

Le produit fit un effet glacé sur mes muqueuses mais au lieu de me contracter il me détendit. Son doigt pénétrait mieux. Il mit même un deuxième doigt pour mieux m’écarter. Le concours du lubrifiant et les caresses de ses doigts faisaient leur effet : je me décontractais ! Ma rosette s’assouplissait, s’ouvrait. Ses deux doigts tournaient aisément dans mon conduit, c’était agréable.

– « Voilà, tu es prêt ! Je vais te dépuceler le cul. Tu vas voir c’est super, c’est même si génial que si je pouvais, je me ferai enculer toute la journée ! »

Pendant ce temps il s’était couché sur moi. De ses pieds il me fit écarter les jambes, de ses mains il écartait mes fesses. Il se mit à frotter son gland le long de ma raie.

– « Aide-moi, me dit-il, tiens ton cul ouvert ! »

Pendant que je maintenais mes fesses écartées je sentis qu’il mettait une forte dose de lubrifiant qu’il faisait pénétrer avec un doigt profondément dans mon conduit. Puis il se mit à nouveau à faire glisser sa tige le long de ma raie pour répandre le produit sur toute la longueur. Elle glissait bien. Tout d’un coup il a arrêté son gland sur mon anus et, en poussant, se mit à forcer l’entrée.
Je sentais mon trou s’ouvrir petit à petit sous la poussée de son gland. J’émis un petit « ah » de stupeur. Il respirait très fort lui aussi. Je sentais son souffle chaud dans mon cou. Je lâchais mes fesses et cherchais de mes mains à sentir les siennes au-dessus de moi. Elles étaient mobiles, musculeuses, elles durcissaient sous l’effort...

Mon trou s’ouvrait de plus en plus. Sa bite s’enfonçait sous sa poussée puissante et virile. Il poussa un petit soupir quand son bourrelet franchit l’anneau de mon anus. Pas un cri de douleur, plutôt un soupir de satisfaction... Je le sentais tout entier en moi.

– « Voila Mathieu, j’y suis ! Je ne t’ai pas fait mal ?

– Non ça va ! Je n’ai pas eu trop mal.

– Continue à te décontracter. Respire : le plus dur est passé ! Maintenant ça ne va être que du bonheur ! »

Je sentais sa colonne de chair s’enfoncer en moi sans effort. Elle glissait sans difficulté et je me sentais envahi par sa queue. J’étais sa chose. Je lui appartenais tout entier, le plaisir par la domination en quelque sorte... J’étais si bien que j’aurais aimé que le temps s’arrête, que nous restions ainsi longtemps, longtemps…

– « Ça va toujours ? » Me glissa-t-il dans le creux de l’oreille, sa bouche étant tout près. « Je t’adore.
– Moi aussi. »

Il s’immobilisa quelques instants de façon que je m’habitue à sa présence en moi m’expliqua-t-il. Puis il commença à se retirer. J’eus l’impression qu’une pompe aspirante me vidait les entrailles. Ça ne dura pas longtemps, il reprit son mouvement vers l’avant et ainsi de suite, tout doucement… Je n’imaginais pas que ce « pieu » si dur, si gros, était si tendre, si doux, si câlin. Le plaisir s’installait en moi. Il ne me faisait pas du tout mal, au contraire. Il m’a ramoné comme ça pendant quelques minutes puis s’est mit à accélérer, poussant chaque fois plus profondément. Je l’aidais de mes mains sur ses fesses à me pénétrer plus loin, plus intensément. Il poussait des petits « Han ! Han ! » comme un bûcheron. Quand tout à coup il s’immobilisa, tétanisé, le buste cambré sur ses bras tendus, poussant son sexe au plus profond de mes entrailles et je sentis son sperme chaud, brûlant, se répandre en moi. Tous mes muscles du bas ventre se mobilisaient pour tirer la moindre goutte de liquide de son zob.

Il fit encore quelques allées et venues dans mon arrière-train puis se retira, épuisé. On resta comme ça quelques instants puis il me dit :

– « T’as aimé ? Tu veux m’enculer à ton tour ?

– Si tu veux ! » Répondis-je, étonné par sa proposition, moi qui croyais naïvement qu’en matière de sexe les rôles étaient spécialisés.

– « Tiens ! » Me dit-il en me tendant le tube de lubrifiant.

Malgré mon inexpérience je me mis à faire la même chose qu’il venait de faire sur moi. De passif je devenais actif… Son trou était apparemment beaucoup plus ouvert que le mien.

– « On te l’a fait souvent ? » Lui demandais-je.

– Quelques fois.

– Depuis quand ?

– Depuis cet hiver. C’est Pierre qui m’a apprit. Tu verras, il est très gentil et très doux… »

Pendant qu’il m’enculait, j’avais débandé et ma verge était devenue toute molle. Quand son anus fut bien lubrifié, ma teub avait retrouvé toute sa vigueur et je pus la présenter bien lubrifiée et bien dure à l’entrée de son trou d’amour.

– « Pousse ! N’aie pas peur, pousse fort ! » M’encourageait-il.

Je poussais et mon gland se fit un chemin dans ses entrailles sans difficultés. Quand ma bite fut toute entrée je commençais le mouvement de va et viens. Je sentis rapidement le plaisir monter. Il venait de mes couilles, traversait ma verge et remontait le long de ma colonne vertébrale. J’essayais de me retenir pour prolonger le plaisir. Le frottement de mon gland et de toute ma queue contre ses muqueuses qui formaient une gaine serrée autour était si agréable que j’accélérais le mouvement.

– « Ne va pas trop vite, prends ton temps ! » me dit David. « C’est meilleur quand c’est long ! »

Quand je ne pus plus me retenir j’éjaculais ma première fois dans le corps d’un partenaire ! Pour la première fois avec tant de plaisir que je poussais un cri de bonheur qu’on a dû entendre jusqu’au fond des bois… Je crachais une dizaine de fois. Tout mon corps participait. Le plaisir était si intense et si nouveau pour moi que j’éprouvais une réelle tendresse pour David, voulant le garder serré contre moi. Cette fois c’est moi qui dominais : il était à moi et j’éprouvais une réelle tendresse pour lui.
Je m’effondrais, épuisé, sur mon ami qui me dit qu’il avait bien aimé. On resta ainsi couchés l’un sur l’autre pendant un bon moment. J’étais un bon élève. Mais tout a une fin, il fallait rentrer.
Après une rapide toilette on s’est rhabillés puis nous sommes doucement rentrés à la maison, heureux et satisfaits.

– « On recommencera ? » Demanda-t-il.

– « J’espère bien ! Répondis-je, et souvent… »

Il m’embrassa et je rentrai chez moi sans passer chez lui. A peine arrivé à la maison je dis à mes parents qu’on avait fait une longue ballade avec David et que j’étais en sueur, que j’allais prendre une douche.

J’étais encore tout excité et, sous la douche, je ne pus m’empêcher de me caresser et de me branler en recherchant le souvenir des caresses de l’après-midi où j’avais découvert l’amour… Je passais un doigt sur mon anus pour essayer de sentir une transformation. Je m’examinais en prenant des positions pas possible devant la glace : rien n’avait changé. Pas de trace. L’intrusion en moi de mon ami n’avait laissé aucune séquelle. J’étais le même qu’avant, plus heureux de ma découverte, c’est tout ! J’en fus réconforté.

 

A suivre :  Séance photo d'initiation - Fin

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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