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Episode précédent : Frèresjumaux 1 : la bouche de mon frère
Le réveil sonne. Il est 6 heures 30. Depuis une semaine, il sonne un quart d'heure plus tôt. Pour mon plus grand plaisir. Finies la difficulté à me réveiller et la mauvaise humeur. Je repousse la couette. Je vais connaître une chaleur plus agréable. Julien, mon frère, se lève de son lit et se rapproche du mien. Il se met à genoux, prêt à adorer mon phallus triomphant, déjà bandé à l'idée du plaisir imminent. Les Anciens idolâtraient le sexe de l'homme, ils avaient raison. Julien revient à la religion primitive et naturelle, celle de l'époque bénie et heureuse de l'homme libre de l'hypocrisie. Il mordille mes couilles à travers le short de mon pyjama, humidifie le tissus en me léchant la queue. Il finit par mettre fin à cette torture (il sait bien ce que j'attends !) en baissant le vêtement avec ses dents. Je comprends bien qu'il est fétichiste des sous-vêtements masculins, mais cela ne me dérange plus...
Il lèche ma hampe dressée, agressive, et fait mine de gober enfin mon gland avant de descendre traîtreusement vers mes couilles... Le salaud ! Impatient, n'en pouvant plus, je prends sa tête entre mes mains et enfonce de force mon chibre dans sa jolie petite gueule. Il alterne gorge profonde et jeux délicats et savants de langue. Il prend son plaisir dans le mien, il bande sans que je le touche. Cela m'arrange, je suis hétéro moi, non ? Il aime tellement la queue et a attendu tant d'années, le pauvre... Nous sommes parfaitement complémentaires, lui la bouche gourmande, moi la bite juteuse. Je n'ai plus aucune gène à me faire sucer par mon homo de frère, quel mal y a-t-il à prendre son plaisir où on le trouve ? Je suis un ado de seize ans, il est normal de tenter des expériences diverses. J'ai le temps de vivre une relation normale avec une gentille petite femme, de me marier et d'avoir des enfants. Comme tout le monde. L'inceste ne me pose pas de problème moral, je ne risque pas de le mettre en cloque !
Une chaleur envahit mon ventre, mes membres se contractent, je râle et éjacule mon jus dans la bouche de mon frère. Putain ! Quel pied ! Surtout ne pas crier ! Il avale tout ce qu'il peut, mon foutre semble lui être si précieux... Pourtant, mes couilles, bien remplies par les rêves de la nuit, sont trop généreuses pour sa petite gueule, et le jus coule sur son menton. Je récolte avec mes doigts les gouttes de sperme les unes après les autres et lui donne mes doigts à lécher. Il accomplit sa mission avec zèle. Il sait que les draps ne doivent pas être tâchés. Je suis fier de lui. J'ai vraiment le frère idéal, tu ne penses pas ? Julien a joui en même temps que moi. J'ai remarqué que c'est le jet de mon jus dans sa bouche qui déclenche son orgasme. Jamais avant, jamais après. Parfaitement complémentaires, j'te dis ! Il rapproche son visage du mien, ouvre la bouche et me montre mon sperme qui lui tapisse la langue et le palais. Puis, le regard effronté et pervers, il avale lentement, en savourant mon lait de couilles, avant de d'exhiber sa bouche vide. Pas pour longtemps : il lèche ses doigts foutreux, récupère les gouttes perdues sur ses cuisses et ses abdos, et recommence le même petit jeu. Je rebande mais il est temps de se lever. Nous recommencerons ce soir.
Notre père est ravi de notre changement d'attitude. Julien est moins taiseux et effacé, je suis moins agressif et de mauvais poil. S'il savait ? Plus de dispute entre nous depuis qu'il me pompe matin et soir. Cette nouvelle complicité nous est précieuse. Le petit déjeuner pris, nous allons à la salle de bain. Là où tout a commencé... Nous nous sommes toujours lavés en même temps, un se lavait les dents pendant que l'autre se douchait. Maintenant nous nous douchons ensemble, en faisant mille conneries. Nous restons des ados ! Je me demande comment je n'avais jamais remarqué que mon frère était homo (tiens, je ne dis plus PD !). Nous partageons la même chambre depuis toujours, la même salle de bain. J'étais le moins pudique, je n'ai jamais eu aucun problème avec la nudité, et je n'ai jamais surpris mon frère, plus pudique, en train de me mater. Ses érections matinales ne m'avaient pas alerté, car je bandais aussi, sans que son corps nu en fût la cause.
— Pas trop dur pendant toutes ses années, Juju, de partager la salle de bain avec un Apollon ? De dormir à deux mètres de mon corps de rêve ?
— Si, répond-t-il en riant. J'avais peur de ta réaction. Je pouvais regarder un mec inconnu à la piscine, mais je ne pouvais pas me faire griller auprès de mon frère. La vie pouvait devenir un enfer. Mais franchement,tu n'avais pas de doutes ?
— Parfois un peu, je dois l'avouer, mais comme tu n'aimes pas Mylène Farmer !
— Salaud, crie-t-il en me donnant un grand coup sur les fesses avec sa serviette. Nous rions.
— Merci pour le plaisir que tu me donnes, frangin...
— Mais le plaisir est partagé ! Je préfère sucer ta bite que sniffer vos slips, à toi et à Papa. Même si...
— Ça ne te dégoûte pas, l'odeur, les différentes traces ?
— Non, au contraire, c'est ce qui m'excite !
— Drôles de fantasmes... Mais je les respecte, tu me rends plus tolérant, moins con.
— Rassure-toi, il reste encore pas mal de travail !
— Petit salaud ! Et je lui donne à mon tour un coup sur les fesses, mais de ma main. Ça ne te dérange pas que je ne te suce pas ? Tu me trouves égoïste ? Tu dois avoir toi aussi envie d'essayer ?
— Tu n'es pas égoïste, tu es hétéro ! Tu me donnes déjà beaucoup, ajoute-t-il avec son sourire le plus vicieux.
— Tu vas draguer d'autres mecs, maintenant que tu as de l'expérience et plus de confiance en toi ?
— Pourquoi ? Je suce le plus beau mec au monde !
— Petit prétentieux ! Si je suis si beau, comme tu es mon jumeau...
— Tu comprends vite, dit-il en souriant. Je suis heureux avec toi, je ne demande que ce que tu veux me donner. Ton bonheur est mon bonheur, ajoute-t-il en me fixant dans les yeux.
— Merci, répondè-je, en l'embrassant sur la bouche. Rapidement, sans la langue, bouche fermée. Je ne sais pas ce qui m'a pris, je vais me reculer brusquement quand Julien me serre contre lui et me roule une pelle magistrale. C'est une expérience troublante, rien à voir avec un baiser avec Mathilde. Elle, elle se laisse embrasser. C'est la première fois que j'ai une langue vigoureuse dans la bouche. C'est viril et passionné. Je ne crois pas que je recommencerai, je n'aime pas être dominé. Mais pourquoi le fait que Julien me soit fidèle m'a-t-il fait tellement plaisir ? Je continue à sortir avec ma copine. Bon, notre relation n'avance toujours pas, mais quand même nous nous embrassons, allons au ciné, et sommes un couple pour tous les camarades du lycée. Je suis amoureux de la pipe, pas de mon frangin.
Grâce à cette pipe matinale et à la pensée de celle qui m'attend le soir, la journée se passe bien. Je supporte plus facilement les résolutions d'équations qui me restent inconnues en Mathématiques, les conditions du Traité de Versailles en Histoire ou un texte passionnant en Espagnol sur l'opposition entre Révolution et traditions au Mexique entre 1910 et 1920... Vivement ce soir, quand même !
A suivre...
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