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Episode précédent : Séance photo d'initiation - Suite
Le mardi suivant Pierre m’accueillit assez froidement.
– « On reprend où on en était resté ? » Lui demandais-je.
– « Où est-ce qu’on en était ? » Me demanda-t-il étonné.
– « Eh bien… J’étais tout nu et tu me photographiais. On venait juste de faire une pause, on peut reprendre à la pause si tu veux ?
– A la pause ? Eh bien si tu veux, pourquoi pas ?
Je me déshabillais complètement et m’assis sur le canapé en l’attendant. Il m’avait regardé faire, se touchant l’entrejambe.
– « Même au repos t’es pas mal ! Je peux m’approcher ?
– Fais comme chez toi, je suis à ton service ! » Lui répondis-je.
– « Attention à ce que tu dis, je pourrais en profiter ! » Dit-il en riant et en venant s’asseoir à coté de moi.
– « Tu n’as pas trop chaud ? » Lui demandais-je.
– « Mais dis-donc t’as mangé du lion ? Où est le gamin effarouché de la semaine dernière ? C’est David qui t’a déniaisé ?
– Non, pourquoi ? »
Pendant ces quelques mots mon sexe s’était redressé et, de le voir se mettre torse nu, m’excitait. Quand il quitta son pantalon mon sexe était à la verticale et quand il fut à poil à coté de moi une perle de liquide apparut au sommet de mon gland.
– « Comme ça j’ai en effet moins chaud. Si je comprends bien tu n’es pas venu pour des photos cette fois-ci, est-ce que je me trompe ?
– Je ne sais pas… Je suis à votre disposition... Je ferai ce que vous voulez...
Il me prit dans ses bras et me dit :
– « Appelle-moi Pierre, je t’appellerai Mathieu si tu veux bien. »
Il se mit à me caresser, me branler, me sucer. Je vis sa bitte grossir et se redresser. Elle prit une belle taille, aussi longue que la mienne (à peu près) mais beaucoup plus épaisse. Surtout ses couilles étaient beaucoup plus volumineuses. Comme il me voyait le regarder, il me dit :
– « Tu peux toucher, c’est permis.
– C’est vrai, je peux ? » Imitant une Dame du monde à qui on offre une friandise...
– « Faites cher Mathieu ! Tout le plaisir sera pour moi ! »
On éclata de rire et on se mit à rouler l’un sur l’autre tombant du canapé sur la moquette.
On se caressa longuement, découvrant le corps de l’autre, se suçant, se léchant, se caressant sous toutes les coutures. Il mit un doigt dans mon anus. Je le laissais faire, j’en mis un dans le
sien, il me travailla cet endroit avec sa langue, avec ses doigts, mit de la salive puis du lubrifiant.
– « Tu veux que je te prenne ? »
Il m’embrassa sur la bouche sans me laisser répondre. D’ailleurs il avait déjà les doigts au bord de mon trou… On était assis face à face mes jambes autour de sa taille. Il me tendit un préservatif mais comme je n’étais pas très habile dans son maniement et m’y prenant à l’envers il le mit lui-même... Il me souleva en mettant ses mains sous mes fesses. Il m’assit sur son dard que je laissais pénétrer en moi poussé par mon propre poids tandis que lui restait immobile…
Nos visages étaient face à face. Nous nous embrassâmes pendant que son engin me pénétrait et que je sentais mon anus chatouillé par ses poils pubiens. Quel plaisir ! Son gros vit m’écartelait l’anus mais ça n’était pas douloureux. Il se releva et me coucha sur le dos, il replia mes jambes vers mes épaules et allongea les siennes. Son corps pesait sur mes testicules et écrasait ma bite. Il se souleva et la saisit sous lui puis se mit à me branler pendant qu’il entamait des mouvements de va et vient en moi. Il allait tout doucement, puissamment, comme s’il s’appliquait. Je sentais sa colonne chaude entrer et sortir de moi. Il sortait même complètement retrouvant son chemin à l’aveugle et chaque fois le passage de son énorme gland me procurait un plaisir incommensurable. Quand il se mit à accélérer la cadence je sentis des picotements dans mes testicules et dans mon bas ventre qui devinrent si intenses qu’ils remontèrent tout le long de ma colonne vertébrale et mon corps entier fut pris de soubresauts de la tête aux pieds. J’eus des spasmes pendant que je sentais mon sperme s’écouler de ma verge sur mon ventre comme un liquide qui suinte, pas par saccades comme quand je me branle tout seul…
Il se retira et arrachant sa capote, il se branla au-dessus de mon ventre et jouit abondamment sur moi crachant avec force son sperme jusque sur mon visage. Une giclée m’atteignit même à
l’œil.
Quand il eut tiré la dernière goutte de jute il se mit à me masser le ventre en mêlant nos deux spermes puis il lécha les gouttes sur mon visage et roula sur le coté.
La jouissance avait été plus intense qu’avec David. Etait-ce parce que je commençais à mieux apprécier ? Était-ce à cause de sa bite plus grosse que celle de David ? Était-ce parce qu’il s’y
prenait mieux ? En tout cas j’avais joui d’une façon nouvelle. Un plaisir qui ne venait que de mon anus, différent de celui que procure la masturbation ou la pénétration… Pas moins ni plus
intense mais différent. Je venais de découvrir le plaisir anal…
On resta enlacés ainsi quelques instants puis quelqu’un frappa à la porte.
– « Mathieu ! Il est midi et quart il faut y aller ! » C’était David qui me rappelait à l’ordre.
– « Tiens, me dit Pierre en fouillant dans sa poche, un petit cadeau : tu as été génial ! »
Il me glissa un petit paquet dans la main me disant de ne l’ouvrir que chez moi. Je l’enfouis dans ma poche et me rhabillais en vitesse tout collant de sperme. Heureusement que personne ne m’attendait chez moi et que je pourrai prendre une douche.
David me demanda combien il m’avait donné. Je fouillais ma poche et ouvris le paquet : c’était un MP3 : celui dont je rêvais mais que je n’espérais jamais pouvoir m’offrir.
– « Super cadeau ! » Me dit-il. « Il ne m’en a jamais donné de si beau, t’as dû lui faire très plaisir ! Je commence à être jaloux !... Si tu savais qu’il m’avait dit il y a quinze jours que tu ne lui convenais pas vraiment et que si tu ne faisais pas d’efforts il ne voulait plus te revoir. Je lui ai dit que cette fois ça irait. Je vois que tu ne m’as pas fait mentir ! »
J’étais moi aussi étonné de recevoir un pareil cadeau d’autant plus qu’en rentrant chez moi je trouvais encore un billet de cinquante euros glissé dans l’emballage.
– « Mais Mathieu, m’expliqua David quelques jours plus tard, ce ne sont pas des photographes mais un couple d’amis qui m’aiment bien et qui voulaient que je leur présente un autre ami pour s’amuser, comme avec moi. Je sais que tu les as satisfaits puisqu’ils veulent nous revoir tous les deux… »
Nous y sommes en effet souvent retournés. Nous avons fait l’amour à quatre. J’y ai même passé quelques fois le weekend avec David et parfois avec d’autres de leurs amis, jeunes comme nous, ou de leur âge. Chaque fois on était couverts de cadeaux.
FIN
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