Dimanche 2 mars 7 02 /03 /Mars 15:31

Salut mec ! Moi, c'est Jérémy, 16 ans.

J'ai un frère jumeau (personne n'est parfait !). Impossible de nous confondre cependant, autant je suis sportif et aventureux, autant Julien est studieux et timide ! Un intello, quoi ! Nous faisons un mètre quatre-vingts, nous sommes bruns, les yeux bleus. Je suis un peu plus musclé que mon frangin. Pourtant je l'apprécie, car comme nous n'avons jamais été séparés à l'école, il a toujours fait mes devoirs. Et comme les profs ne sont pas très malins, quand je copie sur lui, aucun problème. Ils doivent présumer que les jumeaux pensent la même chose au même moment ! Les bouffons ! T'as déjà compris que je suis le leader du duo... Il en faut un, alors autant que ce soit moi ! Nous ne sommes pas fusionnels, j'ai mes potes pour déconner, alors que lui fréquente surtout des filles. Je suis pas jaloux, aucune n'est baisable ! J'ai une copine, Mathilde. On n'a pas fait grand-chose jusqu'à présent... elle est plutôt coincée ! Bien sûr, aux copains je raconte mes exploits, je ne sais pas s'ils sont dupes, car je crois bien qu'on en est tous au même point : la branlette devant Internet !

Nous vivons avec notre père en semaine et avec notre mère le week-end : mes parents ont divorcé quand Papa a surpris Maman dans les bras (sur la bite plutôt !) de Christophe, son propre frère ! Solidarité masculine oblige, nous avons choisi de vivre avec notre père, d'autant plus que notre mère s'est mise en ménage avec son beau-frère ! La honte ! Nous sommes sans doute les seuls ados qui n'aimons pas le week-end : on ne le supporte pas, le tonton, et il nous le rend bien ! Matthieu, son fils de 18 ans a tous les droits, nous aucun. Et notre mère est trop dépendante de sa bite pour nous défendre... Et elle sait qu'on ne lui a pas pardonné.

Bon, passons aux choses sérieuses...

Un mercredi après-midi, en rentrant du foot, alors que mon frère était censé résoudre nos exos de maths, je l'ai surpris dans la salle de bain, reniflant un de mes slips crades sorti de la panière à linge sale pendant qu'il branlait sa grosse tige bien dure : le choc ! Quand mes copains disaient que Julien faisait un peu PD, je les faisais taire rapido, y a pas de tapettes dans la famille ! J'étais sûr que je l'aurais deviné, quand même ! Non, mon frère était juste un intello un peu timide ! Le petit salopard se branlait, le nez dans mes traces de pisse et de jus (et oui, faut bien que je m'essuie après la branlette !). Il a même léché le tissus et s'appliquait tellement qu'il ne se rendait pas compte de ma présence. La honte s'est transformée en rage et je lui suis tombé dessus ; je me sentais trahi pour toutes les fois où je l'avais défendu et, surtout, j'avais une peur bleue que cela se sache. Si Julien est PD, tout le monde va croire que son jumeau l'est forcément ! Le cauchemar...

— Ça t'excite, salope, mes slips crades, hein ? Non seulement t'es PD, mais en plus t'es pervers. Tu me dégoûtes, tu es malade, traînée...

— Arrête, je n'ai rien fait ! Tu me fais mal, Jérem' !

— C'est bien le but, p'tit PD, tu comprends vite ! Je vais te soigner, moi ! Je vais te faire jouir à ma façon ! T'es pas prêt d'oublier, putain !

— Arrête, s'il te plaît !

Ses pleurs ne me calmaient pas, au contraire. J'ai cessé les coups de poings car il commençait à saigner du nez. Je pense que mon père aurait fait la même chose, l'honneur de la famille était déjà assez entaché comme ça par ma mère et mon oncle, mais on ne sait jamais... Il ne bandait plus. C'était déjà ça.

— Tu te fais enculer, salope ? Tu suces ? Des vieux ? Tu te fais payer ? Tu baises dans les chiottes ? Combien de mecs te sont passés dessus ? Tu me dégoûtes ! Tu sniffes sans doute aussi les calbuts des copains dans les vestiaires du gymnase du lycée ? Et si tu te fais surprendre ? Tu as pensé à moi ? Et si encore un de tes complices me prend pour toi dans la rue ? T'imagines ? Tu vas me le payer, sale pute !

— Non, je n'ai encore rien fait avec personne... Je n'ai pas de copain. Je me branle juste dans tes slips et ceux de Papa... C'est plus fort que moi... Je suis toujours vierge, comme toi non ?

Bon, personne n'est encore au courant... Mais il se moque de moi, le petit con ! Et quel porc, les slips de son propre père ! Jamais je ne snifferai la culotte de Mathilde, le jour où j'arriverai à la faire glisser... Salope d'allumeuse ! Je ne veux plus l'abîmer, mais je dois le changer, le dégoûter de son état, ou au moins l'humilier. C'est mon devoir, ma responsabilité, je ne peux pas le laisser continuer. Il me remerciera plus tard.

— Entre dans la douche, sale chien !

Julien obéit sans poser de question. J'ouvre ma braguette. Il sourit, le petit cochon. Je baisse mon calbut et lui pisse dessus pour le punir ; ah, il aime les gouttes de pisse sur mes boxers, passons à la vitesse supérieure ! Et là, l'horreur ! Au lieu de pleurer, d'éviter mon jet rageur, il ouvre la bouche et me boit ! Comment imaginer une telle perversion ! Moi qui voulais le châtier ! D'un autre côté, je me sens troublé, flatté par son adoration, car il doit m'adorer pour boire ma pisse avec ce sourire extatique ! Quand mon jet se tarit, il semble déçu... Comment vais-je faire pour redresser un tel tordu ? Eh, que fait-il ? Il prend ma bite dans sa sale bouche de pédale... mais j'ai la queue déjà bandée ? Je ne m'en étais pas rendu compte... Sa sale petite bouche parfumée à ma pisse... Je veux me retirer, mais je change d'idée : je vais lui apprendre à vivre. Julien lèche mon gland, gobe mes couilles, j'ai du mal à croire que c'est sa première fois... les PD doivent avoir le gène de la suce !

— Suce salope ! Je vais te repeindre la gueule, bâtard ! Sers-toi de ta langue ! Ouais, comme ça, c'est bon, continue, crevure !

— Oui, fais-moi ce que tu veux !

Et en plus les insultes l'excitent ; pas de doute, il tient de notre mère, aussi salope qu'elle ! Ce n'est peut-être pas de sa faute, l'hérédité... Faire ce que je veux ? Faut pas me le dire deux fois ! Je lui enfonce mes dix-huit centimètres à fond ! Il s'étouffe, pleure, et ce n'est plus de plaisir. Ce qui augmente le mien. Je suis gâté : une gorge profonde pour ma première fois ! Ça fait des drôles de bruits dans sa gorge, je bande encore plus... Mais j'ai 16 ans et c'est ma première pipe, alors je lui remplis rapidement la bouche de mon jus bien chaud en le tenant durement par les oreilles. Putain, quatre jets bien crémeux ! Quel pied ! Je n'ai jamais autant juté. Je pousse un cri de plaisir, c'est trop bon, trop fort. Je lui pince le nez d'instinct, pour qu'il avale... Je crois que ce n'était pas la peine. Il rebande, je le laisse faire pendant que je pisse à nouveau dans sa bouche offerte. Julien jouit, lui aussi lâche des litres de sperme qui coulent de sa bite jumelle de la mienne. C'est étrange de sentir les soubresauts de son corps qui se répercutent dans sa bouche, et donc sur ma queue...

— Lèche ton foutre de PD !

— Oui, maître ! dit-il soumis et heureux.

Il lèche le foutre qui dégouline sur ses doigts, puis les gouttes tombées sur le carrelage, de lui-même. Où a-t-il trouvé ça ? "Maître" ? ! Je ne me sens pas sado, mais l'idée d'avoir un esclave séduit l'ado que je suis ; j'en ai marre d'obéir à mes parents, à l'oncle Christophe, aux profs... Je rebande et lui remets ma bite dans la bouche. Cette deuxième pipe, je l'apprécie davantage ; vingt minutes dans la bouche souple, chaude et aimante de Julien... Sa langue est magique et je finis par jouir en me disant qu'il va faire encore des progrès, être encore plus doué. J'ai du mal à imaginer, c'est déjà si bon... Je ne culpabilise pas car moi je ne suis pas PD, ce sont les PD qui sucent, pas ceux qui se font sucer, tout le monde le sait... Je n'ai rien dit à notre père.

Comme nous dormons dans la même chambre, Julien me suce encore le soir avant de dormir, c'est génial. Non seulement il me suce, mais il me lèche aussi et m'aspire, comme si sa vie en dépendait. Je rêvais depuis longtemps de me faire pomper, mais j'étais loin d'imaginer le plaisir que peuvent donner une bouche chaude et une langue agile... Rien à voir avec la branlette qui était pourtant ma meilleure amie depuis quelques années. Julien est si content d'être ma salope, ce serait égoïste de ne pas lui donner ma queue. Il sait déjà me rendre fou de plaisir. Mon frère me dit que mon jus est bon, qu'il m'aime et qu'il est à moi. Ces évidences me font ronronner de satisfaction. Dans un dernier geste royal de maître bienveillant, je lui passe mon slip bien tâché par cette journée hors du commun. Trois pipes, il l'a bien mérité. Et comment ne pas être touché par son air de profonde gratitude ? Je l'entends se branler, mon calcif sur la tronche, et mon frangin jouit à son tour dans son lit...

Mes couilles seront moins lourdes à partir d'aujourd'hui...

 

A suivre...


Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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