Episode précédent : Visite des zincous sur Paname - 2
Pour moi la suite de la soirée est claire. On va être grave à l'étroit tous les trois dans mon pieu cette nuit et ça devrait favoriser tous les détournements de situations possibles. Avec deux rebeus aussi canons dans mon pieu, deux zobs XXL qui ne demandent qu'à s'éclater entre keums, c'est clair que je ne vais pas laisser filer l'affaire et que je vais faire le maximum pour que les deux zincous se souviennent longtemps de leur séjour à Paname.
On rentre chez moi par le dernier métro. Arrivés à l'appart, je propose à mes potes de mater une petite vidéo histoire de finir la soirée tranquille. Comme par hasard j'ai choisi un film de bastons enregistré sur une chaîne du câble et je sais que juste derrière le film y'a un pur film de boules. Ça devrait mettre tout le monde en condition... Sofiane et Hassan suivent mon exemple et se mettent à l'aise. On se retrouve tous les trois sur mon pieu, torses nus, en short de foot à regarder le film. Pendant la diffusion je m'amuse à effleurer les deux zincous à tour de rôle et je me marre intérieurement de leur réaction.
A chaque fois l'un ou l'autre m'envoie un petit regard entre agacement et satisfaction en jetant un œil vers son cousin du genre : « reste trankil il est là, y'a pas moyen ! ». Seulement moi je sais qu'il y a moyen... Vers deux heures du mat le film se termine enfin et je trace à la salle de bain pour me brosser les dents. Le timing est top : le temps que je revienne et la cassette aura passé le générique de fin pour arriver au film X. Y'a plus qu'à attendre la réaction des deux zincous.
J'arrive dans la piaule et je les trouve tous les deux sous la couette. Il ne faut pas être médium pour voir qu'ils ont la main sur le zob sous leur short de foot. Sofiane me balance un sourire complice : « Wesh mon pote, c'est cho ta cassette vidéo. Ça te dit de venir te soulager un peu avec nous, entre potes ? »
Aussitôt dit, aussitôt fait, je me glisse entre les deux rebeus et, en dix secondes chrono, j'ai moi aussi une trique d'enfer. On est posé tous les trois les yeux rivés sur l'écran à se taper une queue et y'a une ambiance de sexe qui pèse dans l'atmosphère. Il faut que je lance l'offensive. C'est Hassan qui me donne une occasion en or. Il speede comme un ouf sur les dialogues du film qui ne pétillent pas d'originalité. Une blondasse prétexte qu'elle a perdu sa bague pour passer sous la table et en profite pour sucer un type. « Hé mon pote, t'as perdu quelque chose toi sous la couette ? »
La perche qu'il me tend est trop belle et je la saisis aussitôt : « Merde t'as raison, j'ai perdu ma montre ! »
Et je plonge direct sous les draps avec un sourire de lopsa aux lèvres. Je distingue bien, malgré la pénombre qui règne là-dessous, les deux gros zobs bien raides que mes potes rebeus sont en train de palucher avec force. Je vois la main d'Hassan qui secoue sa teub dans ma direction. Il avance sa main et me pousse la tête vers sa queue. Aussi sec je l'engouffre dans ma bouche et je commence à le pomper comme une chienne. Sofiane vire la couette et va se caler contre son zincou. Je me retrouve avec deux trop belles teubs à téter. Je passe de l'une à l'autre à grands coups de langue experte. En levant le nez je m'aperçois que les deux cousins sont en train de se rouler une pelle pendant que je les pompe. « C'est sympa mon pote, j'aime bien ton sens de l'accueil. » me lance Sofiane. Il se lève la teub à la main et vient se placer vers ma queue bien raide. En moins de deux on est tous les trois allongés en triangle sur le pieu et on attaque une bonne chaîne de suceurs. J'ai le zob XXL d'Hassan dans la bouche, Sofiane me pompe pendant que son zincou s'occupe de son zgeg. On reste un bon quart d'heure à se bouffer la queue comme ça et c'est trop bon ! Histoire d'en profiter un max, on inverse les positions et je me retrouve à sucer Sofiane qui se fait téter par Hassan qui, lui, s'occupe de moi. Vue la façon dont il s'y prend par rapport à Sofiane ça ne doit pas être la première teub qu'il a dans la bouche ! Je tends la main vers la table de nuit pour en sortir du gel et des capotes, la soirée a trop bien commencé pour qu'on en reste là !
Quand les deux rebeus captent la suite possible de notre aventure, ils mettent les choses au clair tout de suite : « Ecoute-moi bien man, nous on se fait pas niquer, ok ? » - « Pas de problème les keums, je suis assez entraîné pour m'occuper de vous deux ! »
Je balance alors une capote à Hassan qui la déroule direct sur sa grosse queue. Il me met à quatre pattes sur le pieu et vient se caler derrière moi. Je m'envoie une grosse sniffette de poppers car, vu les deux mastards qui m'attendent, j'ai plutôt intérêt à être bien dilaté. Sofiane passe à genoux devant moi et je me remets à lui téter le dard comme une lopsa en tortillant du cul pour bien chauffer Hassan. Il commence à me travailler le cul avec un doigt puis deux et, surprise, je sens sa tête passer entre mes fesses et il commence à me bouffer le trou comme s'il avait à faire à une chatte de meuf ! Sa langue tiède et baveuse me chauffe grave et je commence à pousser des petits gémissements qui font se raidir la teub de Sofiane que j'ai dans la bouche. Hassan sort sa face de mon boule et approche son zgeg de mon trou. Accroupi derrière moi il place son gros zob et commence à me le rentrer dans le cul. Je sens ses vingt-deux centimètres qui m'envahissent petit à petit. Patiemment il se penche sur moi pour me mordiller le lobe de l'oreille. Après quelques va-et-vient patients sa teub est engloutie à quatre-vingt pour cent par mon cul et il commence à me limer avec plus d'entrain. Très vite je sens ses couilles qui viennent taper contre mes fesses pendant que Sofiane se branle dans ma bouche. Le corps musclé d'Hassan transpire sur le mien et son souffle rauque de plaisir vient me chauffer la nuque. Sofiane retire soudain sa teub de ma bouche et va rejoindre son zincou. Il le mate en train de m'exploser le cul en se branlant le zob qui a pris une taille hallucinante : vingt-quatre centimètres aussi large, c'est pas tous les jours dimanche ! Sofiane prend la place d'Hassan qui vire sa capote pour venir se branler sous mon nez. Il me retourne sur le dos pour me baiser comme une meuf. Les jambes en appui sur ses épaules je vois sa bonne face de racaille rebeu en face de moi : son regard a quelque chose de conquérant et de vicieux et, vu de là, sa teub a l'air encore plus impressionnante ! Il la prend bien en main et vient se positionner sur mon trou déjà bien ouvert. Je suis tellement och qu'elle rentre comme dans du beurre et je peux voir le rictus de plaisir de Sofiane trop heureux de pouvoir faire rentrer sa matraque aussi facilement. Il commence à bien me casser le boule et son corps musclé ondule dans mon cul au rythme de mes gémissements de plaisir. Hassan, qui s'est bien chauffé en nous matant, vient se mettre à genoux au-dessus de moi, me relève la tête avec sa main ferme pour que je lui pompe le dard. Les deux zincous jouent au petit train et c'est moi qui fais la locomotive avec deux wagons au cul ! L'un derrière l'autre les deux rebeus me font monter au septième ciel ! Sofiane me pilonne le fion de plus en plus fort et je sens toute la longueur de sa teub qui me déchire les entrailles. Pendant ce temps Hassan ne lâche pas ma face pour me piner la gueule comme un vrai acteur de film porno. Nos cris se mélangent à ceux de la vidéo et, durant quelques secondes, je me dis que mes voisins vont s'imaginer que j'organise les pires partouzes dans mon appartement ! On a baisé comme ça pendant tout le film. Soudain Sofiane s'est mis à gueuler : « J'vais cracher, j'vais cracher ! ». Il s'est retiré de mon cul d'un coup et a viré sa capote pour venir se branler vers mon visage. Hassan a attaqué une branlette, le gland circoncis sur mes lèvres bien humides et ils m'ont joui tous les deux sur la face et le torse. Putain, un vrai déluge de sperme de rebeu sur moi ! Avec ça, je n’ai pas eu de problème pour enchaîner et envoyer à mon tour quelques belles giclées de liquide blanc sur la couette.
On est allé prendre une douche tous les trois puis on s'est pieuté le sourire aux lèvres. Le lendemain, j'ai ramené mes deux potes rebeus à la gare leur séjour touchant déjà à sa fin. Avec le weekend qu'ils ont passé chez moi ils m'ont promis de revenir régulièrement. Moi en tout cas je ne suis pas prêt d'oublier la visite des deux zincous sur Paname !
FIN
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