L'histoire de la semaine

Dimanche 25 mai 7 25 /05 /Mai 14:22

Episode précédent :  Visite des zincous sur Paname - 2

 

Pour moi la suite de la soirée est claire. On va être grave à l'étroit tous les trois dans mon pieu cette nuit et ça devrait favoriser tous les détournements de situations possibles. Avec deux rebeus aussi canons dans mon pieu, deux zobs XXL qui ne demandent qu'à s'éclater entre  keums, c'est clair que je ne vais pas laisser filer l'affaire et que je vais faire le maximum pour que les deux zincous se souviennent longtemps de leur séjour à Paname.

On rentre chez moi par le dernier métro. Arrivés à l'appart, je propose à mes potes de mater une petite vidéo histoire de finir la soirée tranquille. Comme par hasard j'ai choisi un film de bastons enregistré sur une chaîne du câble et je sais que juste derrière le film y'a un pur film de boules. Ça devrait mettre tout le monde en condition... Sofiane et Hassan suivent mon exemple et se mettent à l'aise. On se retrouve tous les trois sur mon pieu, torses nus, en short de foot à regarder le film. Pendant la diffusion je m'amuse à effleurer les deux zincous à tour de rôle et je me marre intérieurement de leur réaction.

A chaque fois l'un ou l'autre m'envoie un petit regard entre agacement et satisfaction en jetant un œil vers son cousin du genre : « reste trankil il est là, y'a pas moyen ! ». Seulement moi je sais qu'il y a moyen... Vers deux heures du mat le film se termine enfin et je trace à la salle de bain pour me brosser les dents. Le timing est top : le temps que je revienne et la cassette aura passé le générique de fin pour arriver au film X. Y'a plus qu'à attendre la réaction des deux zincous.

J'arrive dans la piaule et je les trouve tous les deux sous la couette. Il ne faut pas être médium pour voir qu'ils ont la main sur le zob sous leur short de foot. Sofiane me balance un sourire complice : « Wesh mon pote, c'est cho ta cassette vidéo. Ça te dit de venir te soulager un peu avec nous, entre potes ? »

Aussitôt dit, aussitôt fait, je me glisse entre les deux rebeus et, en dix secondes chrono, j'ai moi aussi une trique d'enfer. On est posé tous les trois les yeux rivés sur l'écran à se taper une queue et y'a une ambiance de sexe qui pèse dans l'atmosphère. Il faut que je lance l'offensive. C'est Hassan qui me donne une occasion en or. Il speede comme un ouf sur les dialogues du film qui ne pétillent pas d'originalité. Une blondasse prétexte qu'elle a perdu sa bague pour passer sous la table et en profite pour sucer un type. « Hé mon pote, t'as perdu quelque chose toi sous la couette ? »

La perche qu'il me tend est trop belle et je la saisis aussitôt : « Merde t'as raison, j'ai perdu ma montre ! »

Et je plonge direct sous les draps avec un sourire de lopsa aux lèvres. Je distingue bien, malgré la pénombre qui règne là-dessous, les deux gros zobs bien raides que mes potes rebeus sont en train de palucher avec force. Je vois la main d'Hassan qui secoue sa teub dans ma direction. Il avance sa main et me pousse la tête vers sa queue. Aussi sec je l'engouffre dans ma bouche et je commence à le pomper comme une chienne. Sofiane vire la couette et va se caler contre son zincou. Je me retrouve avec deux trop belles teubs à téter. Je passe de l'une à l'autre à grands coups de langue experte. En levant le nez je m'aperçois que les deux cousins sont en train de se rouler une pelle pendant que je les pompe. « C'est sympa mon pote, j'aime bien ton sens de l'accueil. » me lance Sofiane. Il se lève la teub à la main et vient se placer vers ma queue bien raide. En moins de deux on est tous les trois allongés en triangle sur le pieu et on attaque une bonne chaîne de suceurs. J'ai le zob XXL d'Hassan dans la bouche, Sofiane me pompe pendant que son zincou s'occupe de son zgeg. On reste un bon quart d'heure à se bouffer la queue comme ça et c'est trop bon ! Histoire d'en profiter un max, on inverse les positions et je me retrouve à sucer Sofiane qui se fait téter par Hassan qui, lui, s'occupe de moi. Vue la façon dont il s'y prend par rapport à Sofiane ça ne doit pas être la première teub qu'il a dans la bouche ! Je tends la main vers la table de nuit pour en sortir du gel et des capotes, la soirée a trop bien commencé pour qu'on en reste là !

Quand les deux rebeus captent la suite possible de notre aventure, ils mettent les choses au clair tout de suite : « Ecoute-moi bien man, nous on se fait pas niquer, ok ? » - « Pas de problème les keums, je suis assez entraîné pour m'occuper de vous deux ! »

Je balance alors une capote à Hassan qui la déroule direct sur sa grosse queue. Il me met à quatre pattes sur le pieu et vient se caler derrière moi. Je m'envoie une grosse sniffette de poppers car, vu les deux mastards qui m'attendent, j'ai plutôt intérêt à être bien dilaté. Sofiane passe à genoux devant moi et je me remets à lui téter le dard comme une lopsa en tortillant du cul pour bien chauffer Hassan. Il commence à me travailler le cul avec un doigt puis deux et, surprise, je sens sa tête passer entre mes fesses et il commence à me bouffer le trou comme s'il avait à faire à une chatte de meuf ! Sa langue tiède et baveuse me chauffe grave et je commence à pousser des petits gémissements qui font se raidir la teub de Sofiane que j'ai dans la bouche. Hassan sort sa face de mon boule et approche son zgeg de mon trou. Accroupi derrière moi il place son gros zob et commence à me le rentrer dans le cul. Je sens ses vingt-deux centimètres qui m'envahissent petit à petit. Patiemment il se penche sur moi pour me mordiller le lobe de l'oreille. Après quelques va-et-vient patients sa teub est engloutie à quatre-vingt pour cent par mon cul et il commence à me limer avec plus d'entrain. Très vite je sens ses couilles qui viennent taper contre mes fesses pendant que Sofiane se branle dans ma bouche. Le corps musclé d'Hassan transpire sur le mien et son souffle rauque de plaisir vient me chauffer la nuque. Sofiane retire soudain sa teub de ma bouche et va rejoindre son zincou. Il le mate en train de m'exploser le cul en se branlant le zob qui a pris une taille hallucinante : vingt-quatre centimètres aussi large, c'est pas tous les jours dimanche ! Sofiane prend la place d'Hassan qui vire sa capote pour venir se branler sous mon nez. Il me retourne sur le dos pour me baiser comme une meuf. Les jambes en appui sur ses épaules je vois sa bonne face de racaille rebeu en face de moi : son regard a quelque chose de conquérant et de vicieux et, vu de là, sa teub a l'air encore plus impressionnante ! Il la prend bien en main et vient se positionner sur mon trou déjà bien ouvert. Je suis tellement och qu'elle rentre comme dans du beurre et je peux voir le rictus de plaisir de Sofiane trop heureux de pouvoir faire rentrer sa matraque aussi facilement. Il commence à bien me casser le boule et son corps musclé ondule dans mon cul au rythme de mes gémissements de plaisir. Hassan, qui s'est bien chauffé en nous matant, vient se mettre à genoux au-dessus de moi, me relève la tête avec sa main ferme pour que je lui pompe le dard. Les deux zincous jouent au petit train et c'est moi qui fais la locomotive avec deux wagons au cul ! L'un derrière l'autre les deux rebeus me font monter au septième ciel ! Sofiane me pilonne le fion de plus en plus fort et je sens toute la longueur de sa teub qui me déchire les entrailles. Pendant ce temps Hassan ne lâche pas ma face pour me piner la gueule comme un vrai acteur de film porno. Nos cris se mélangent à ceux de la vidéo et, durant quelques secondes, je me dis que mes voisins vont s'imaginer que j'organise les pires partouzes dans mon appartement ! On a baisé comme ça pendant tout le film. Soudain Sofiane s'est mis à gueuler : « J'vais cracher, j'vais cracher ! ». Il s'est retiré de mon cul d'un coup et a viré sa capote pour venir se branler vers mon visage. Hassan a attaqué une branlette, le gland circoncis sur mes lèvres bien humides et ils m'ont joui tous les deux sur la face et le torse. Putain, un vrai déluge de sperme de rebeu sur moi ! Avec ça, je n’ai pas eu de problème pour enchaîner et envoyer à mon tour quelques belles giclées de liquide blanc sur la couette.

On est allé prendre une douche tous les trois puis on s'est pieuté le sourire aux lèvres. Le lendemain, j'ai ramené mes deux potes rebeus à la gare leur séjour touchant déjà à sa fin. Avec le weekend qu'ils ont passé chez moi ils m'ont promis de revenir régulièrement. Moi en tout cas je ne suis pas prêt d'oublier la visite des deux zincous sur Paname !

 

FIN

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 18 mai 7 18 /05 /Mai 13:21

Episode précédent : Visite des zincous sur Paname - 1

 

Une heure plus tard Sofiane revient de son rencard et nous trouve en train de squatter devant la télé. On part tous les trois faire une virée sur Paris et je prends la casquette de guide. Self bouffe sur les Champs Elysées c'est toujours plus classe et, à la nuit tombante, je les emmène dans le métro direction Pigalle. Le vieux quartier chaud de la capitale devrait réveiller la libido de mes deux invités avant qu'on rentre dans mon studio pour une nuit qui ne sera pas de tout repos, enfin j'espère !

Les deux zincous de province hallucinent devant les façades illuminées d'images hot en tous genres, les bars à putes à ciel ouvert, les meufs qui déambulent en résilles. Bref, comme le dit joliment Sofiane : « Ca sent grave le cul dans ce quartier » ! Je décide de les emmener faire un tour dans un sex-shop mais Hassan ne résiste pas et décide de nous lâcher un petit quart d'heure pour aller tirer un coup en profitant des services d'une belle blonde siliconée. Je pars donc avec Sofiane qui hallucine du nombre de vidéos à sa disposition dans les rayons. Je remarque qu'il a de plus en plus de mal à maîtriser la trique qu'il a chopé sous son bas de survet. Il est chaud bouillant mon pote, c'est peut-être le moment de tenter quelque chose...

Je l'emmène donc découvrir les cabines de projection privée. Sofiane est excité comme une puce et ne me cache pas son envie de profiter un max de cette visite nocturne dans un lieu de débauche de la ville lumière. Les portes des cabines défilent devant nos yeux et il lit avec application les différents thèmes qui y sont abordés.

« Vas y matte, y'a même des salles avec des films de boules de pédé !

         Tu sais Sofiane, c'est Sodome et Gomorrhe ici : que ce soit entre keums ou avec des meufs, l'essentiel c'est de se faire plaisir, non ?

         Ah ouais ? J'ai jamais vu un film avec des keums. Viens, files-moi deux euros. »

Gagné ! Je me retrouve dans une minuscule cabine avec mon pote rebeu. Dans la pénombre moite de l'endroit il envoie la thune et le grand écran commence à diffuser un film gay où deux minous sont en train de se sucer comme des oufs. Assis sur le fauteuil Sofiane est en train de monter le chapiteau du Cirque Pinder sous son survet. Je suis assis sur l'accoudoir à côté de lui et mon regard a du mal à se détacher de la bosse de son fute. Il est temps de passer à l'action !

En bon parisien habitué de ces lieux je suis censé montrer l'exemple : je dégrafe mon fute, je sors ma queue et je commence à me branler. Sofiane est immobile dans son fauteuil et commence à se palper le zob lui aussi. Son regard est vissé sur les deux minets à l'écran et, à ma grande surprise, il me lâche : « Ça a l'air d'être kiffant une pipe entre keums ! » Et, joignant le geste à la parole, il chope ma teub et commence à me sucer direct. Je suis là, assis sur l'accoudoir, avec mon pote rebeu en train de me tailler une pipe devant un film de boules gay. Sofiane manque d'expérience et suce un peu maladroitement mais je sens bien qu'il s'applique et qu'il a l'air de kiffer. Il a sorti son gros zob et se branle comme un malade en même temps. J'ai sous les yeux sa bonne bouche de rebeu qui s'active sur ma teub bien raide et je ne peux pas détacher mon regard de son gros zgeg en érection maximale : putain, vingt-quatre centimètres sur six ou sept de large, y'a de quoi avoir le cœur qui palpite à deux cents à l'heure ! N'y tenant plus j'avance ma main et je lui chope la queue pour le branler à mon tour. « A toi de jouer mon pote ! » Sofiane lâche ma teub et se cale bien à fond dans le fauteuil, les pattes écartées. Je glisse aussitôt entre ses cuisses et je gobe son zob direct. Je tête son gros dard circoncis comme une chienne, je monte et descends avec ma langue le long de sa hampe, je lui bouffe les couilles et mon pote a l'air de bien apprécier. Il pousse des petits mugissements de satisfaction tout en matant les deux mecs à l'écran. « Viens maintenant, on va se finir tous les deux ! »

Il se lève le zob à la main et vient se mettre à côté de moi. Je chope sa teub et il prend la mienne dans sa main et on commence à se branler mutuellement en face de l'écran. Les deux minets du film sont en pleine enculade et je sens que mes couilles vont exploser. La main ferme de Sofiane me branle vigoureusement, il tourne sa tête vers moi, me balance un sourire de killer et approche sa bouche de la mienne. On se roule une grosse pelle baveuse et ce baiser inattendu nous fait grimper au plafond direct. Nos langues mélangées font résonner des cris étouffés de jouissance et on gicle tous les deux sur l'écran de télé. Je sors des mouchoirs en papier et on s'essuie vite fait nos zobs bien collants. Sofiane me lance un petit sourire de vice et me dit : «Pas un mot à mon zincou, je ne suis pas sûr qu'il kiffe les plans entre mecs ! »

Je me garde bien de dire à Sofiane que je me suis déjà bien éclaté avec Hassan pendant qu'il était de sortie.

On sort tous les deux et on retourne à l'entrée du métro Pigalle où on a rencard avec Hassan.

Dix minutes plus tard, le rebeu nous rejoint la démarche légère, sourire aux lèvres. Apparemment il s'est bien éclaté avec une pute dans le quartier ! Durant le trajet de retour chez moi Hassan nous détaille son plan, les différentes positions qu'il a pris pour niquer la meuf et on speede tous les trois comme de bons hétéros fiers de leurs prouesses. Sofiane et son zincou me lancent à tour de rôle des clins d'œil complices faisant référence à nos parties de baise de la journée et je me marre intérieurement du petit jeu d'hypocrites qu'on se livre tous les trois.

 

A suivre...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 11 mai 7 11 /05 /Mai 13:18

Ca faisait quatre ans que je n'avais pas vu Sofiane, depuis le lycée en fait. Moi j'étais parti taffer sur Paris, lui était resté en province et on s'était perdu de vue. Et là, bingo ! De passage pour le week-end dans le sud, je tombe sur Sofiane en uniforme à l'entrée d'un grand magasin. Mon pote était devenu agent de sécurité et le costard bleu marine tranchait un peu avec sa gueule de lascar. On s'était échangé nos phones vite fait en promettant de se donner des nouvelles et j'étais remonté sur Paris sans y croire plus que ça.

Trois semaines plus tard, surprise ! J'ai un message de Sofiane sur mon répondeur qui m'annonce qu'il débarque chez moi pour le week-end. Quarante-huit heures en tête à tête avec ce beau rebeu qui vient chez moi pour, comme il le dit sur le message, « taper un pur weekend de folie à Panam » ! Moi j'ai bien une idée de ce que je voudrais qu'on se tape tous les deux... Sofiane m'a toujours fait kiffer : il est grand, dans les un mètre quatre-vingt-dix, carré et avec une bonne tête de caillera comme je les aime ! Je me souviens de la première fois que j'ai vu sa teub sous les douches après un cours de sport. J'ai dû me rincer à toute vitesse pour sortir me rhabiller au plus vite, impossible de contrôler la gaule que la vue de son braquemard de molosse m'avait mise. J'étais trop timide à l'époque pour tenter quoi que ce soit, mais aujourd'hui quatre ans plus tard...

J'ai tout prévu pour l'accueillir dans mon studio et bien le chauffer : petite visite hot à Pigalle, un petit film de boule tombé par hasard quand on rentre bien och à l'appart et la fin de la nuit tous les deux dans mon pieu ! C'est ça le grand avantage des micros studios de la capitale !

Le vendredi soir je vais récupérer Sofiane à la gare de Lyon. A peine descendu du train je ne vois que lui au milieu de la foule. Sapé en survet blanc logué, la démarche balancée, le sac de sport sur l'épaule, il en jette un max. Je suis tellement scotché que je n'ai remarqué son cousin Hassan que quand il est venu me serrer la main. Un roi du gag ce Sofiane ! Il me ramène son zincou pour le weekend sans me prévenir ! Il doit voir à ma tête que je suis un peu contrarié par cet invité surprise et il me choppe par l'épaule pour m'attirer vers lui : «  T'inquiète il est trop tranquille mon zincou. Avec lui on peut se taper tous les délires qu'on veut, il est toujours partant. Pis c'est un bogosse, matte ! Je croyais que ça te ferait plaisir ! »

Il éclate de rire et on trace tous les trois à mon appartement. Pendant le trajet j'en profite pour mater Hassan en repensant aux paroles de mon pote Sofiane. C'est vrai qu'il est bogosse lui aussi : un mètre soixante-quinze pour soixante kilos, musclé sec, sûr de sa petite gueule de racaille et de son regard insolent. Il est assis en face de moi dans le métro et il me regarde, les jambes écartées, la main dans la bande élastique de son survet. J'aperçois les quelques poils qui couvrent ses plaquettes d'abdos, le teint mat de sa peau et l'élastique de son caleçon blanc de marque. Il avait raison Sofiane, finalement ça me fait plaisir son invité surprise et j'espère que ce n'est qu'un début !

Arrivé dans mon mini studio, les deux zincous ont l'air un peu surpris par la confidentialité des lieux. Sofiane m'explique qu'il a un rencard avec un pote et qu'il en a pour deux heures à s'absenter. Il me confie le soin de « bien s'occuper de son zincou Hassan » le temps qu'il revienne. M'occuper d'Hassan ? Mais c'est quand il veut !

Aussitôt que Sofiane a quitté l'appart je propose à Hassan de prendre une douche pour se remettre de son long trajet en train. Direct la petite racaille commence à se dessaper devant moi. Le truc d’ouf ! En quelques secondes mon invité surprise est en caleçon moulant devant mes yeux ébahis, le torse bombé et la teub bien moulée dans le tissu blanc qui contraste avec sa peau mate. Il va se poser dans la salle de bain et passe sous la douche. J'entends l'eau couler, j'imagine les gouttes ruisseler sur son corps et j'ai une trique d'enfer. La voix d'Hassan me sort soudain de mes pensées lubriques. Le zincou me réclame une serviette pour s'essuyer. Evidemment je ne me fais pas prier pour débarquer dans la salle de bain et je tombe sur le beau rebeu à oilp, attendant patiemment que je lui passe de quoi se mettre au sec. Putain, il est canon le mec ! Tout en muscle sec, les jambes légèrement poilues, le torse imberbe avec de bons pecs et... un zob d'au moins quinze centimètres qui pend entre ses cuisses musclées. Je prends tout mon temps pour lui choisir une belle serviette de bain et je me place face à lui pour lui remettre. Il n'a pas l'air gêné du tout de se retrouver la teub à l'air devant moi et commence à s'essuyer tranquillement. Un peu perturbé je reste debout à le mater sans rien dire. Il lève ses yeux noirs vers moi et me dit : « Wesh mon pote, t'as vu un peu le sportif ? Tu crois que y'a moyen d'attraper quelque chose sur Paname quand on est gaulé comme moi ? » - « Alors là tu chopes ce que tu veux, quand tu veux, Hassan ! »- « Cool, je sens qu'on va bien s'éclater ici. Tiens, vas-y, frottes-moi le dos s'te plait ! »

Le rêve éveillé se poursuit : Hassan me tend la serviette et me tourne le dos. Ses épaules sont larges et puissantes et il a un petit cul légèrement poilu, bien rebondi qui me refile direct une gaule d'enfer incontrôlable. Je lui frotte le dos avec vigueur quand il saisit ma main et la ramène devant lui sur sa teub. Il bande déjà un peu et se retourne carrément devant moi : « T'as vu le morceau man ? Y'a de quoi rendre ouf tous les parisiens et les parisiennes, non ? »

Tu m'étonnes ! Je salive déjà à la vue du calibre qu'il me propose. Mon regard croise le sien qui pétille d'une petite lueur de vice. Pas la peine d'échanger plus de mot, le message est clair entre nous. Je plonge à genoux sur le carrelage de la salle de bain et je commence à lui pomper le zob. Sa teub grossit à vue d'œil sous mes coups de langue experts. Je lui titille le gland avec dextérité, caresse ses boules bien pleines et, en une poignée de secondes, il trique comme un vrai acteur de X professionnel. Waouh, sacré morceau le zincou ! Apparemment c'est de famille. Déjà Sofiane m'avait impressionné sous les douches en sport au lycée mais son cousin n'a rien à lui envier. Vingt-deux centimètres de teub, bien large, matte et circoncise : de quoi me rassasier pour mon quatre heures !

Bien en appui sur ses deux jambes musclées Hassan passe sa main derrière ma nuque pour mieux guider ma tête sur son zob. Je salive comme une chienne pour bien lubrifier sa queue et il arrive à m'en enfoncer les deux tiers dans la bouche. Je suis obligé d'écarter ma mâchoire au maximum pour pouvoir en avaler le plus possible. Tranquille Hassan me lime la gueule, debout, les muscles contractés, et je m'aperçois qu'il prend son pied à se mater dans la glace de la salle de bain en train de se faire tailler une pipe. De mon côté j'ai sorti ma teub et je me branle tout en suçant avec application, de quoi lui laisser un bon souvenir de son passage à la capitale...

Il accélère soudain le rythme et me bloque la tête entre ses mains. Ses coups de reins dans ma gueule s'accélèrent et je sens sa grosse teub qui me défonce le fond de la gorge. J'accélère moi aussi le mouvement de ma main droite, y'a de la giclette dans l'air... et sur le carrelage ! Hassan se cambre subitement, sors son zgeg baveux de ma bouche et s'astique le morceau frénétiquement. Il pousse des grognements de mâle en rut et décharge des jets puissants de sperme épais et crémeux sur le carrelage. J'enchaîne dans la foulée, et le sol de la salle de bain se transforme en patinoire à foutre !

Hassan s'essuie vite fait et part au salon pour se rhabiller pendant que je nettoie l'étendue des dégâts. Je le retrouve vautré sur le lit, une clope à la main et il me matte avec un petit sourire de satisfaction : « C'est chaud Paname ! En tout cas pas un mot de ce qu'on vient de faire à mon zincou, je ne suis pas sûr qu'il kiffe ce genre de plan, ok ? Pas de problème Hassan, çà reste entre nous. » Il peut en penser ce qu'il veut, je compte bien faire le nécessaire pour chauffer aussi Sofiane afin qu'on puisse profiter tous les trois de ce petit weekend de détente.

 

A suivre...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 27 avril 7 27 /04 /Avr 14:02

À l'âge de 17 ans j'allais très souvent à la piscine pour me muscler un peu. Je pratiquais une à deux fois par semaine au bassin communal près de chez moi. J'y allais en général le soir de 18h à 19h30 après mes leçons et en particulier les mardis et vendredis car il y avait plus de jeunes de mon âge. Je ne m’étais jamais vraiment avoué mon homosexualité et, mis à part quelques branlettes avec des copains, je n'avais jamais eu de relation véritable ni avec une fille, ni même avec un mec. La piscine était le seul endroit où je pouvais mater des mecs à poil, enfin presque !

Un mardi soir parmi tant d'autres restera cependant à tout jamais gravé dans ma mémoire…

Deux mecs à la peau bronzée, des Marocains, attirèrent tout de suite mon regard. Ils étaient ensemble et faisaient des longueurs en comparant leurs performances. Ils se sont vite aperçus que je les regardais trop souvent et, quand nos regards se sont croisés, l’un des deux m'a fait un clin d'œil. Je me suis senti terriblement mal à l'aise et j’ai failli déguerpir sur-le-champ. Mais ce gars est venu me voir simplement pour me demander si je voulais bien nager avec eux pour m'entraîner. Sans trop hésiter, j’ai accepté.

Il s'appelait Yasid  et m’a présenté son frère Karim. Après quelques longueurs de performance, nous nous sommes arrêtés près du bord pour souffler un peu. Ils me posaient un tas de questions, aussi bien sur mes études que sur ma vie privée. Me sentant un peu inférieur car eux étaient deux, je répondais mais ne posais aucune question.

Il était déjà 20h ce soir-là quand je suis sorti de l'eau en leur disant que nous ne pouvions plus rester car la piscine allait fermer. Eux aussi sont sortis de l'eau et ils m'ont dit qu'ils allaient partir en même temps que moi.

Arrivé au vestiaire j’ai pris mon gel douche dans mon casier pour aller prendre ma douche. Karim me demanda si cela ne me dérangerait pas de le leur prêter car ils n’en avaient pas. À cette heure il n'y avait presque plus personne. En ouvrant une porte des douches Yasid me bouscula à l'intérieur et son frère entra aussi et ferma la porte derrière lui ! Bien que je m’en doutais très précisément j’ai demandé d’un air innocent ce qui leur prenait. Karim me dit à voix basse : "Ça te dirait de te faire prendre par deux Arabes?" J'étais complètement perdu : d'un côté il y avait la peur et de l'autre l’excitation… Surtout que comme beaucoup de beurs ils étaient vraiment aussi bien foutus l’un que l’autre !

Sans aucune conviction je leur ai quand même demandé de me laisser tranquille. Mon timbre de voix laissant paraître une certaine hésitation. Yasid me dit de ne pas avoir peur, qu'ils voulaient juste prendre du plaisir avec moi car je les attirais beaucoup. Puis, en s'approchant de moi et en allumant la douche, il me dit simplement : "Laisse toi faire !"

Là, il me mit la main dans le slip de bain tout en me regardant fixement. J'ai approché ma bouche de la sienne pour l'embrasser, il s’est laissé faire et on s’est roulé un patin goulu-goulu. Ensuite il a baissé mon maillot tout en me branlant. C'était la première fois que la main d’un vrai homme entourait ma queue d’adolescent ! Il arrêta de me branler et appuya sur mes épaules pour que je me baisse. Me laissant influencer je me suis mis à genoux. Là, il enleva son slip pour laisser apparaître une queue, une très belle queue, qui bandait déjà. J'étais tétanisé sur place alors Yasid m'a pris par la nuque et a approché ma tête de sa bite. J'ai ouvert la bouche et j’ai embouché sa queue jusqu'au fond de la gorge. Il me donnait le rythme avec ses mains qui me tenaient toujours la nuque.

Karim enleva son maillot à son tour et s'approcha à côté de Yasid, face à moi. Il bandait aussi et sa queue paraissait plus grosse que celle de son frère. Yasid allait de plus en plus vite et j’avais un peu peine à suivre : c’était quand même ma première fellation ! Puis il regarda vers le haut, gémit un peu, colla ma tête contre son bassin. Là je sentis un liquide chaud et visqueux m'envahir la bouche. Je voulus me dégager pour ne pas avaler mais avec sa force c'était impossible. Alors, essayant de ne pas m'étouffer, j'avalai au fur et à mesure... Je savais que c’était dangereux mais le pire c’est que ça m’excitait tellement que j’espérais déjà que Karim en ferait autant !

Yasid se mit en arrière et là son frère se mit devant moi en me disant : "Tiens, voilà la deuxième tournée." Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait et ne le cherchais même pas dans l'immédiat. Je pris la belle queue de Karim dans les mains pour la gober mais je commençais à avoir mal aux mâchoires à rester ainsi, la bouche si grande ouverte. N’empêche que ça me plaisait foutrement bien... c’est le cas de le dire ! Yasid vint derrière moi et me dit de me relever. Je me retrouvai courbé en deux toujours en train de sucer Karim. Tout d'un coup je sentis quelque chose de froid envahir mon dos : Yasid me renversait mon gel douche sur le bas des reins. Il se mit à m'en badigeonner la raie puis il me mit un doigt dans le cul. Il l'enfonçait de plus en plus mais vraiment en douceur. Je dois dire que je supportais ça très bien, m’étant godé à plusieurs reprises avec des flacons de plus en plus gros. Puis je sentis qu'il m'enfonçait un deuxième doigt : la sensation était toujours aussi agréable surtout que je savais tellement bien que ce qui allait m’arriver était mon plus grand fantasme... Yasid retira ses doigts, je sentais ma rondelle bien dilatée et sa queue en érection contre mes fesses.

Il plaça son gland contre ma rosette. Il glissait dans le gel avec lequel il m’avait massé la raie. J'étais à présent dans un état second. Ses mains me tenaient les hanches, son bassin était contre mes fesses et ça y est : il enfonça sa teub dans mon cul ! Je continuais à sucer Karim quand son frère commença à faire ses mouvements de va-et-vient. Je n'avais pas mal. Yasid, je pense, devait être un véritable expert en la matière. Il me limait le cul de plus en plus vite, ses couilles venaient frapper mes fesses à chaque passage. Je ressentais de plus en plus un plaisir anal que je n’avais jamais soupçonné. Je bandais à tel point que j’en avais presque mal à la queue.

Sans prévenir, d'un seul geste, Karim m'enfonça sa queue au maximum dans la bouche et il gémissait à voix haute. À nouveau j’ai goûté et avalé cette substance chaude et un peu visqueuse qui m’envahissait la bouche. Lui aussi me jouissait dans la gorge ! Il me tenait la tête de manière à ce que je ne puisse pas me dégager mais au point où j’en étais je ne demandais que ça : tout avaler ! La quantité de sperme sortant de sa teub me parut abondante ; le sperme coulait le long de mon menton.

De son côté Yasid me prenait de plus en plus par les hanches. Il me limait tellement vite que je jouis à mon tour. Puis, quand il se mit à gémir à voix haute, je compris qu'il jouissait en moi pour la deuxième fois et c’était une première pour mon cul qui attendait ça inconsciemment depuis longtemps... Enfin, il retira sa queue tout en se masturbant. Karim me retira sa bite de la bouche et regarda sa montre. Je me suis redressé sans vraiment réaliser tout ce qui venait de se passer. Tout avait été tellement vite, la situation m'avait complètement échappé.

Les deux frères m’ont pris dans leur bras et m’ont demandé comment je voulais jouir à mon tour en précisant qu’il ne fallait quand même pas traîner. Je leur ai proposé qu’ils me sucent à deux en même temps et, sans hésiter, ils se sont agenouillés à mes côtés et ont commencé à me pomper. J’étais aux anges. Quand j’ai joui, j’ai cru que le sol vacillait. Heureusement qu’ils me tenaient tous les deux. Je ne sais même pas dans quelle bouche était ma teub quand j’ai éjaculé mais tous les deux, avec application, m’ont reléché la bite et le gland jusqu’à la dernière goutte. Leurs délicieux coups de langues augmentaient mon excitation et j’avais l’impression que je n’arrêtais plus de jouir. Quels experts !

On s’est donné rendez-vous pour le mardi suivant à la piscine mais ils ne sont pas venus. Je ne les ai plus jamais revus. J'ai pensé encore tellement souvent à eux que, pendant des années, j'étais sûr que si je les avais rencontrés, je les aurais reconnus sans peine.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 20 avril 7 20 /04 /Avr 13:43

Comme chaque soir, alors que j’étais déjà couché, la lampe de chevet allumée, j’entendis les mêmes pas assurés dans le couloir. Il entrebâilla la porte de ma chambre et s’assura que je ne dormais toujours pas. Vêtu de son seul slip en gros coton blanc il s’est avancé vers moi avec ce regard à la fois pervers et amoureux que je lui connaissais tant. La simple idée de ce qui m’attendait m’a fait tressaillir.

Il avait fait installer tout un appareillage pour satisfaire ses pulsions les plus intimes. Deux rails équipaient mon lit, un de chaque côté, sur lesquels il avait fixé horizontalement une planche coulissante. En son absence je faisais coulisser la planche jusqu’au pied du lit pour être plus à l’aise.

— « C’est l’heure de la tétée, mon cœur ! »

Aussitôt je me relevai sur mon oreiller alors qu’il ramenait la planche à hauteur de mon visage. Le bavoir à la main il s’assit sur la planche face à moi et m’observa quelques secondes, le sourire aux lèvres. Sous cet angle, son corps massif et poilu était encore plus impressionnant. Mal rasé, sa bouche légèrement ouverte laissait apparaître le bout de sa langue qui parcourait sa lèvre supérieure. Je sentais qu’à l’instant même nos envies concordaient. Il fixa le bavoir sous mon menton ce qui provoqua l’ouverture de ma bouche. Il en profita alors pour plonger son gros doigt inquisiteur que je me mis à suçoter immédiatement.

Ses cuisses étant très largement écartées, son appareil génital, prisonnier de l’épaisse étoffe, n’était qu’à une vingtaine de centimètres de ma bouche. À chaque fois il me paraissait encore plus gros. Conscient de l’admiration que j’éprouvais à l’égard de son paquet, de sa main libre il dégagea ses grosses bourses de l’échancrure du slip. Comme il était assis au bord de la planche l’énorme sac de jus pendait alors légèrement au-dessous de la planche.

— « Joue avec, mon cœur, c’est comme ça que je vais produire beaucoup de lait ensuite... »

De mes deux mains je saisis le sac de lait et commençai à le malaxer maladroitement. L’organe, que je devinais au travers de son slip, était devenu démesuré. Il étouffait dans cette prison de coton qui laissait échapper une belle goutte de liquide. Le doigt toujours plongé dans mon intimité buccale, il libéra son membre par là même où étaient sortis ses énormes testicules. L’appareil reproducteur retrouva alors sa forme érigée : celle qui précède la fécondation.

— « Maintenant tu vas téter, mon cœur, en me regardant bien dans les yeux ! »

En faisant coulisser la planche vers l’avant, il parcourut les quelques centimètres qui séparaient mes lèvres de l’énorme champignon et engouffra son gland dans ma bouche toute rose et humide. La disproportion du chibre vis-à-vis de l’ouverture buccale était saisissante, voire obscène. L’orifice totalement dilaté je me mis à savourer le bout de ce membre que je vénérais tant. Alors qu’il me caressait les cheveux, il s’aperçut que la taille de son engin me faisait baver plus que d’habitude. Il retira sa verge délicatement et saisit le bavoir pour essuyer l’ouverture dans laquelle il s’apprêtait à se vider.

— « Ben alors mon cœur, le biberon n’est pourtant pas plus gros que d’habitude ! T’es trop pressé, prends ton temps, tu verras et y aura encore plus de lait ! »

Aussitôt je me mis à sucer dans le vide, réclamant ainsi sa tétine.

— « Oui mon cœur, ouvre bien grand et regarde-moi bien dans les yeux. »

Il réintroduit son organe au comble de l’excitation en le guidant jusqu’à son orifice préféré. J’obéis alors à celui qui m’allaitait chaque jour avec tant d’amour et m’appliquai à le sucer. Il adorait me nourrir de cette façon. Il m’avait promis que tout son sperme servirait à me nourrir. L’idée de féconder ma bouche l’a fasciné très tôt. Dès lors qu’il était excité il venait me trouver pour se vider. Je pris goût très vite à sa perversion, convaincu que ce liquide me faisait du bien. Il m’arrivait même de réclamer ma tétée à des heures inhabituelles. Parfois il refusait faute de temps et parfois il acceptait. Je courrais alors m’installer dans mon lit pour que recommence le scénario.

Plongé dans le bonheur je suçais de manière très bruyante et fermais les yeux. Il me rappela aussitôt à l’ordre en retirant son organe prêt à exploser.

— « Je t’ai demandé de me regarder, mon cœur, quand tu tètes ! »

Immédiatement j’ouvris les yeux et fixai mon bienfaiteur. Il abrégea alors mes souffrances en entrant un peu plus loin son organe. Je sus à cet instant précis qu’il allait très vite éjaculer. Mes deux mains sur ses bourses je fis de mon mieux pour satisfaire son appareil reproducteur. J’appuyai davantage ma succion et aspirai comme un petit fou assoiffé. Je sentis alors les premières convulsions dans son sac de lait. Dans un feulement animal il déversa des quantités inhumaines de sperme dans ma bouche que je m’empressai de savourer avant d’avaler. Je restai cinq bonnes minutes ma bouche encore pleine de jus, à regarder le spectacle de cette verge à demi-molle qui venait de me féconder.

Il repartit, son slip dans une main et mon bavoir de l’autre, non sans avoir déposé un baiser sur ma bouche. Repu, je m’endormis tendrement, en attendant le lendemain matin…

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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