Dimanche 20 avril 7 20 /04 /Avr 13:43

Comme chaque soir, alors que j’étais déjà couché, la lampe de chevet allumée, j’entendis les mêmes pas assurés dans le couloir. Il entrebâilla la porte de ma chambre et s’assura que je ne dormais toujours pas. Vêtu de son seul slip en gros coton blanc il s’est avancé vers moi avec ce regard à la fois pervers et amoureux que je lui connaissais tant. La simple idée de ce qui m’attendait m’a fait tressaillir.

Il avait fait installer tout un appareillage pour satisfaire ses pulsions les plus intimes. Deux rails équipaient mon lit, un de chaque côté, sur lesquels il avait fixé horizontalement une planche coulissante. En son absence je faisais coulisser la planche jusqu’au pied du lit pour être plus à l’aise.

— « C’est l’heure de la tétée, mon cœur ! »

Aussitôt je me relevai sur mon oreiller alors qu’il ramenait la planche à hauteur de mon visage. Le bavoir à la main il s’assit sur la planche face à moi et m’observa quelques secondes, le sourire aux lèvres. Sous cet angle, son corps massif et poilu était encore plus impressionnant. Mal rasé, sa bouche légèrement ouverte laissait apparaître le bout de sa langue qui parcourait sa lèvre supérieure. Je sentais qu’à l’instant même nos envies concordaient. Il fixa le bavoir sous mon menton ce qui provoqua l’ouverture de ma bouche. Il en profita alors pour plonger son gros doigt inquisiteur que je me mis à suçoter immédiatement.

Ses cuisses étant très largement écartées, son appareil génital, prisonnier de l’épaisse étoffe, n’était qu’à une vingtaine de centimètres de ma bouche. À chaque fois il me paraissait encore plus gros. Conscient de l’admiration que j’éprouvais à l’égard de son paquet, de sa main libre il dégagea ses grosses bourses de l’échancrure du slip. Comme il était assis au bord de la planche l’énorme sac de jus pendait alors légèrement au-dessous de la planche.

— « Joue avec, mon cœur, c’est comme ça que je vais produire beaucoup de lait ensuite... »

De mes deux mains je saisis le sac de lait et commençai à le malaxer maladroitement. L’organe, que je devinais au travers de son slip, était devenu démesuré. Il étouffait dans cette prison de coton qui laissait échapper une belle goutte de liquide. Le doigt toujours plongé dans mon intimité buccale, il libéra son membre par là même où étaient sortis ses énormes testicules. L’appareil reproducteur retrouva alors sa forme érigée : celle qui précède la fécondation.

— « Maintenant tu vas téter, mon cœur, en me regardant bien dans les yeux ! »

En faisant coulisser la planche vers l’avant, il parcourut les quelques centimètres qui séparaient mes lèvres de l’énorme champignon et engouffra son gland dans ma bouche toute rose et humide. La disproportion du chibre vis-à-vis de l’ouverture buccale était saisissante, voire obscène. L’orifice totalement dilaté je me mis à savourer le bout de ce membre que je vénérais tant. Alors qu’il me caressait les cheveux, il s’aperçut que la taille de son engin me faisait baver plus que d’habitude. Il retira sa verge délicatement et saisit le bavoir pour essuyer l’ouverture dans laquelle il s’apprêtait à se vider.

— « Ben alors mon cœur, le biberon n’est pourtant pas plus gros que d’habitude ! T’es trop pressé, prends ton temps, tu verras et y aura encore plus de lait ! »

Aussitôt je me mis à sucer dans le vide, réclamant ainsi sa tétine.

— « Oui mon cœur, ouvre bien grand et regarde-moi bien dans les yeux. »

Il réintroduit son organe au comble de l’excitation en le guidant jusqu’à son orifice préféré. J’obéis alors à celui qui m’allaitait chaque jour avec tant d’amour et m’appliquai à le sucer. Il adorait me nourrir de cette façon. Il m’avait promis que tout son sperme servirait à me nourrir. L’idée de féconder ma bouche l’a fasciné très tôt. Dès lors qu’il était excité il venait me trouver pour se vider. Je pris goût très vite à sa perversion, convaincu que ce liquide me faisait du bien. Il m’arrivait même de réclamer ma tétée à des heures inhabituelles. Parfois il refusait faute de temps et parfois il acceptait. Je courrais alors m’installer dans mon lit pour que recommence le scénario.

Plongé dans le bonheur je suçais de manière très bruyante et fermais les yeux. Il me rappela aussitôt à l’ordre en retirant son organe prêt à exploser.

— « Je t’ai demandé de me regarder, mon cœur, quand tu tètes ! »

Immédiatement j’ouvris les yeux et fixai mon bienfaiteur. Il abrégea alors mes souffrances en entrant un peu plus loin son organe. Je sus à cet instant précis qu’il allait très vite éjaculer. Mes deux mains sur ses bourses je fis de mon mieux pour satisfaire son appareil reproducteur. J’appuyai davantage ma succion et aspirai comme un petit fou assoiffé. Je sentis alors les premières convulsions dans son sac de lait. Dans un feulement animal il déversa des quantités inhumaines de sperme dans ma bouche que je m’empressai de savourer avant d’avaler. Je restai cinq bonnes minutes ma bouche encore pleine de jus, à regarder le spectacle de cette verge à demi-molle qui venait de me féconder.

Il repartit, son slip dans une main et mon bavoir de l’autre, non sans avoir déposé un baiser sur ma bouche. Repu, je m’endormis tendrement, en attendant le lendemain matin…

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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