L'histoire de la semaine

Dimanche 29 décembre 7 29 /12 /Déc 14:07

Je viens me confesser car j'ai honte... Honte de m'être laissé branler par ce vieux vicieux et d'avoir aimé ça !

Après avoir joui je suis sorti du wagon en pleurant. Je courais dans la rue, le slip encore humide et la queue raide, suintante. Comme si je pleurais aussi par le gland.
Il faut que je raconte, il faut que j'exorcise...

C'était un soir où je suis rentré chez moi très tard. J'ai pris mon train de banlieue, réfugié dans le wagon de première classe un peu apeuré par l'heure tardive. L'homme est arrivé. Il avait au moins la soixantaine et portait le vice sur son visage. Avec quel éclat bestial dans les yeux il m'a regardé ! J'ai sorti un magazine et je me suis plongé dedans pour échapper à son regard salace. Il s'est assis à côté de moi. Le wagon était entièrement libre et il a fallu qu'il vienne à côté de moi !

Les mots dansaient devant mes yeux. J'ai tressailli quand la main du vieux s'est posée sur ma cuisse. Quelle idée aussi de me mettre en short !

J'ai crié mais la main progressait très vite entre mes cuisses. Les doigts étaient sous mon short, sous mon slip, lorsque j'ai voulu saisir le poignet de l'homme.

- « Arrêtez ! » Ai-je hurlé. Mais, de ma gorge ne s'est échappé qu'un faible gargouillis.

Ca y est, ses doigts touchaient ma bite, mes couilles, s'insinuaient lentement dans mon anus et un plaisir maudit montait en moi, lentement, irrépressiblement. Le vieux avait les deux mains plongées sous mon short, une devant, une derrière. Et il soufflait comme une vieille loco poussive. C'était ignoble à entendre.

Je ne gargouillais plus. J'essayais d'étouffer les gémissements qui montaient de ma gorge et déliaient ma langue. Je me pinçais les lèvres et transformais mes ahanements en faibles plaintes de victime violée. Ca n'empêchait pas le vieux de continuer à enfoncer ses doigts dans mon trou. Oh, il le faisait si bien ! Je ne pouvais plus bouger, de peur que chacun de mes gestes n'aie l'air d'un encouragement à continuer. Il retira ses doigts d'un seul coup et je me décidai à commencer à me lever mais déjà son visage était entre mes cuisses et je n'ai rien trouvé de mieux que de couvrir avec mon blouson sa face grimaçante de plaisir.

Sa langue était chaude, chaude, elle me lapait, m'aspirait la bite, encore, encore, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Le plaisir m'embrumait, j'étais dans du coton, ne pensant plus que par ma bite, sucé sans cesse, léché comme j'aimerais qu'on me lèche tous les jours, toutes les heures.

Il y eut une longue plainte dans le wagon et c'était moi qui la poussais alors que des hoquets et des gargarismes s'élevaient de la tête masquée entre mes cuisses. Je jouissais, il lapait, il avalait et alors que le terminus arrivait, que le train ralentissait, je reprenais possession de mon corps, de mon âme et la culpabilité, la honte et le dégoût montaient en moi comme une envie de vomir.

Je courais sur le quai avec une envie de pleurer qui s'est vite exprimée. Mon slip mouillé de sperme collait à ma bite. Je bandais encore.

Aussitôt arrivé chez moi je me suis jeté sur mon lit, pleurant toujours, avec encore dans les oreilles les bruits de déglutition du vieux alors qu'il buvait mon sperme. J'ai repensé à sa tête entre mes cuisses, à sa langue chaude et, malgré moi, mes doigts ont touché ma bite, là où il m'avait si bien léché. Oh mon pénis coupable qui grossissait encore, oh le plaisir, oh l'haïssable envie que tout recommence, que le vieux me suce, que n'importe quel homme me lèche, que je sois pompé à vie.

Je me hais, et je sais hélas que le plaisir et l'envie reviendront et que je donnerai encore ma bite à n'importe qui, pourvu qu'il sache la sucer...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 22 décembre 7 22 /12 /Déc 13:07

Je rentrais par une belle nuit d'août de chez des amis (hétéros) et j'avais passé une bonne soirée. Vers quatre heures du matin, je marchais sous le ciel étoilé dans un quartier pavillonnaire de banlieue. Je rejoignais la maison de mes parents. J'étais vêtu d'un t-shirt, d'un jean, d'un caleçon CK et de tennis blancs. Par précaution, puisque circulant à pied la nuit, je n'avais rien de valeur sur moi : pas d'argent, juste ma carte d'identité. Je n'étais pas trouillard mais je pensais ainsi m'éviter des ennuis.

Arrivant à proximité d'un petit parc je vis, à 50 mètres environ, un groupe de jeunes garçons. De loin à leur allure (casquettes et pantalon blancs) je vis qu'il s'agissait de jeunes beurs. J'aime bien ce type de mecs. Ils ont des corps peu ou pas poilus et sexuellement ils ne se posent pas de question, obéissant à leur instinct du moment. Je n'étais tout de même pas trop rassuré car ils étaient six et paraissaient désœuvrés. Mais il était trop tard pour reculer et prendre un autre chemin, ils m'avaient bien vu.

Arrivé à leur hauteur je pressai le pas mais deux garçons me barrèrent le passage. "Où vas-tu comme ça beau blond, t'es pressé ?" me dit l'un d'eux qui semblait être le chef de la bande. Et, sans attendre la réponse il ajouta : "Donne ton fric." "J'en ai pas," répondis-je. Et, me menaçant d'un cutter, ils me poussèrent à l'intérieur du jardin public. Les quatre autres garçons rejoignirent le groupe.

"Fouillez-le," dit le chef qui, je l'entendis plus tard, s'appelait Karim et il ajouta : "Bouge pas sinon tu prends un coup de cutter sur la jolie petite gueule." Malgré la trouille, je m'aperçus qu'il était plutôt beau et bien foutu le Karim. Lui d'ailleurs était en jeans ainsi qu'un mec qui semblait rivaliser avec Karim. Les autres qui me semblaient pas mal non plus étaient en pantalon de survêtement blanc.

"Foutez-le à poil," dit Karim. "On va voir s'il ne planque rien." À six autour de moi et sur moi je n'avais aucune chance d'y échapper, aussi je préférai me laisser faire que de recevoir de mauvais coups ou pire un coup de cutter…

Ils me déchirèrent mon t-shirt et l'un d'eux que ses copains appelaient Rachid dit : "On va jouer à la guerre des boutons." Rachid sortit un couteau et, un à un, coupa les boutons de mon jean. Ils me poussèrent dans l'herbe et me retirèrent mes tennis. Puis ils ont tiré mon jean par les pieds. Rachid a fouillé mes poches mais en vain...

Alors Karim s'est approché et a vu mon caleçon blanc CK. Il s'est écrié : "Il a au moins un beau caleçon. À défaut de fric, je vais le prendre pour moi." Et il a descendu mon caleçon qu'il a retiré de mes jambes et l'a mis dans ses poches.

J'étais complètement à poil devant ces six mecs sauf mes chaussettes blanches qui ne le restèrent que quelques minutes. Ils me firent relever et un des garçons me passa un doigt dans la raie des fesses. "Pour voir si je planquais rien" dit-il. Karim me regardait et dit à ses copains : "Mais il bande!" (c'est vrai, je bandais à moitié, me retenant pour ne rien leur montrer mais ma bite ne voulait plus obéir à ma tête) "C'est un PD !" annonça Rachid. "D'ailleurs il se rase les poils du cul et des boules" dit celui qui m'avait mis la main au cul. Je commençais à avoir la trouille car ils n'avaient pas trouvé de fric et je pensais qu'ils allaient me tabasser. C'étaient peut-être des casseurs de PD.

Cependant Karim dit : "Vous avez vu son beau cul ? Et il a une peau de fille" ajouta-t-il en me caressant les fesses. "Dites les mecs, il est 4h, on a plus de fric et on trouvera plus de filles, je propose qu'on l'encule."

J'étais coincé au milieu de ces six mecs. Je ne pouvais qu'y passer. Ce n'était pas complètement pour me déplaire mais j'avais peur qu'ils soient trop violents (mon cul avaient connu plusieurs bites mais pas six à la suite l'une de l'autre).

"T'as le choix," me dit Karim. "Tu te laisses faire, on te baise et tu suces tant que nous n'aurons pas les couilles vides et après on te laisse partir sans te tabasser, sinon on te frappe, éventuellement on te découpe un peu ; tiens on pourrait te circoncire !" Et il m'attrapa la bite par le bout, tira la peau qui recouvrait mon prépuce, sortit son couteau et le posa sur ma peau. "Alors, on coupe ?" me demanda-t-il. "Non !" dis-je. "Je ferai ce que vous voulez." "Voilà qui est raisonnable" dit Karim. "Car consentant ou non on t'aurait toujours tiré. Allez à quatre pattes !" me dit-il.

"Je suis un mec sympa" me dit Karim. "Je suis sûr que tu vas aimer sucer ma grosse queue pour commencer et quand je l'aurai encore plus raide je te défonce le cul." Rachid, qui me regardait dit à Karim : "Tu vas pas baiser un mec qui bande non ?" "T'as raison Rachid." Puis s'adressant à moi il m'ordonna : "Branle-toi et vide tes couilles. D'ailleurs ça te fera du bien" ajouta-t-il.

Je m'exécutais donc. Mais je ne voulais pas être en reste et je les provoquais un peu me masturbant d'une main et me caressant de l'autre les seins et les fesses. Pendant ce temps, les six garçons s'étaient mis à l'aise. Karim et Rachid avaient débraguetté leur jean et sorti leur bite. Karim avait la plus longue (au moins 20 cm) et assez large. Quant à Rachid elle était un peu moins longue, mais très large. Comme tous les arabes ils étaient circoncis. Les quatre autres avaient retiré le bas de leur survêtement et leur slip pour être plus à l'aise. En tout cas, ils bandaient tous et cela m'excitait beaucoup. Quelques instants plus tard je balançais dans l'herbe de longues giclées de foutre blanc.

Karim me poussa à ses pieds et me dit : "Suce salope !" Il retira l'élastique qui tenait mes cheveux et me dit : "Tiens, ainsi tu auras plus l'air d'une fille." Et mes cheveux blonds couvrirent une partie de mes épaules. La "salope" ouvrit la bouche et avala le membre chaud. L'engin de Karim sentait bon le jeune mâle et j'avais beaucoup de plaisir surtout qu'il semblait bien apprécier ma langue et mes lèvres. "Arrête !" me dit-il. "À quatre pattes, montre ton cul." J'eus un peu peur et lui dit d'un ton demandeur et interrogatif : "Vous mettez des capotes ?"

Ils se mirent tous à rire et Karim me dit : "On te viole mon petit bourge, les violeurs ne mettent pas de capote, on va te remplir le cul !" et puis, plus rassurant, il ajouta : "T'inquiètes pas on s'est jamais fait baiser et c’est la première fois qu'on va fourrer un mec." Je n'étais pas pour autant rassuré mais l'idée de me faire baiser sans capote et de ne pas avoir le choix m'excitait beaucoup. Je n'avais fait cela qu'une fois sans capote, le jour de mon dépucelage avec un mec aussi puceau que moi.

Karim se positionna derrière moi, je pensais qu'il allait m'enculer à sec et j'avais peur d'avoir très mal. Mais à ma grande surprise il me cracha plusieurs fois dans la raie des fesses et sur la rondelle. Puis il mit un doigt puis deux pour faire entrer un peu de salive. "Tu vois on n'est pas des salauds, on ne veut pas t'esquinter, juste prendre un bon pied !" "Moi je t'aurais enculé à sec" dit Rachid.

Mais les bonnes manières étaient terminées et Karim s'enfonça d'un seul coup dans mon cul. Ouah ! Le morceau… Il me ramona vivement, je prenais un pied d'enfer avec mon cul et je me mis à bander. Rachid passa devant moi, poussa sa bite bandée dans ma bouche et me dit : "Suce !" Il essayait de me la mettre au plus profond.

Karim et Rachid jouirent en même temps en criant leur plaisir. Rachid m'avait tenu par les oreilles pour me forcer à avaler. Il n'en finissait pas de jouir et j'ai failli m'étouffer. Karim lui se déversait dans mon cul et j'ai senti ses jets de foutre chaud dans mon ventre. J'étais tellement excité que je me mis à juter dans l'herbe alors que je ne m'étais même pas touché.

Quelques instants de répit et les quatre autres qui sans doute avaient été bien excités de la scène s'approchèrent. Je dus sucer deux bites en même temps et, dans mon cul, les deux autres mecs se relayaient. Je ne ressentais rien que du plaisir car la taille de la bite de Karim et son foutre avaient bien préparé le terrain. En l'espace d'un quart d'heure, les couilles s'étaient vidées plusieurs fois dans ma bouche ou dans mon cul. Je ne pouvais plus compter ni savoir qui faisait qui ou quoi. J'avais mal à la mâchoire et le foutre débordait de mon cul.

Je pensais que c'était fini et qu'ils allaient partir, mais Rachid et Karim s'approchèrent de moi. J'étais toujours à 4 pattes offrant mon cul à leurs désirs. Rachid me mit un doigt dans le cul et dit : "Ah merde, il est plein !" et je lui dis : "Tu vois, ça sert au moins à ça les capotes." Rachid était fou de rage et me donna un coup de pied dans le ventre qui me fit tomber sur le côté. Mais Karim le retint et lui dit : "Prends pas la mouche et encule-le." Mais Rachid ne l'entendait pas comme ça et dit à Karim : "Il mérite quand même une punition, je vais le corriger," et il ajouta : "Qui c'est le mâle ici ?". Il me dit : "à quatre pattes." Puis je le vis défaire la ceinture de son jean. Avec sa ceinture il me fouetta avec rage et violence. J'avais le cul en feu mais pas pour la bonne cause. Mais Karim qui était bien le chef de la bande lui dit : "Arrête Rachid ça suffit."

Rachid qui s'était calmé lui obéit aussitôt. Puis il m'entraîna vers la table en bois du parc et me fit allonger dessus, les fesses sur le bord. "Relève les jambes" me dit-il et il m'empala d'un seul coup de sa bite bien large. Heureusement cinq bites m'avaient déjà pénétré et m'avaient bien élargi le cul et le foutre qui continuait de couler de mon trou constituait un bon lubrifiant. Rachid me baisa violemment.

Karim vint nous rejoindre et je fus surpris de le voir tranquillement retirer son jean et son slip. Il monta sur le banc pour se mettre à califourchon sur moi. Je comprenais maintenant pourquoi il s'était ainsi déculotté, c'était pour être plus à l'aise. Mais qu'il était beau : de belles jambes peu poilues et bien musclées. J'eus même le temps de voir ses fesses bien rondes et imberbes. Quant à son pénis que je connaissais déjà, je n'aurais eu aucune chance de le voir au repos...

Il s'installa donc sur ma poitrine, sa bite bandée à quelques centimètres de ma bouche, je le regardais dans les yeux et passais ma langue sur mes lèvres pour l'exciter. Il ne disait rien, alors j'ouvris la bouche et il y introduisit son pénis. Je me mis à le lécher, le sucer, ma langue tournait autour de son gland. D'une main je le branlais doucement. Je glissais mon autre main sous ses couilles. Il soupirait d'aise, mon doigt continua et atteint son petit trou. Il me dit : "Touche pas ça !" mais il ne fit rien pour se dégager. Aussi tout en continuant à le pomper et lui caresser les couilles, j'entrai juste le bout de mon index dans son cul. Cette fois-ci, il ne dit rien et continua à râler.

Rachid continuait à me bourrer et pourtant je l'avais presque oublié alors que je jouissais du cul. Mon sexe était raide à nouveau et j'ai eu la surprise de sentir une bouche chaude et humide sur mon gland. Je me penchais un peu et vit que c'était Momo, le plus jeune des mecs qui me pompait. Il me caressait les couilles et le ventre et me branlait doucement. Je ne savais plus du tout où était mon plaisir, dans mon cul, autour de ma bite ou dans ma bouche, mais je crois que c'était le plaisir que je donnais à Karim qui m'apportait le plus de bonheur.

Et presque en même temps, ce fut l'explosion : Karim se vidait au fond de ma bouche et j'eus l'impression d'avaler des litres de foutre et que sa jouissance ne s'arrêterait pas. Je me mis à juter dans la bouche de Momo qui à ma surprise avala tout mon foutre. Enfin Rachid se mit à hurler et je sentis à nouveau dans mon cul de nombreux jets de sperme. Karim se releva après que je lui aie rendu une bite bien propre. Rachid se retira et j'eus une sensation de vide dans le cul. Je me relevais de la table et quand je fus debout, le sperme coulait sur mes jambes s'échappant de mon cul qui semblait ne plus vouloir se refermer.

Mes six "amants" se rhabillaient lentement, ils semblaient un peu fatigués. Je retrouvai mon t-shirt déchiré et mon jean sans bouton que je renfilais moi aussi doucement. Le soleil se levait et les six beurs partirent rejoindre leur voiture sans se retourner sur moi. J'étais à la fois honteux d'avoir pris du plaisir à subir ainsi six mecs en chaleur, satisfait d'avoir tant pris mon pied et déçu de voir partir Karim sans un regard. Je m'apprêtais à quitter le square quand je vis Karim revenir vers moi. Il s'arrêta devant moi et me dit : "Tiens, voilà ta carte d'identité, je l'avais mise dans ma poche pendant la fouille." Puis il posa un rapide et bref bisou sur mes lèvres, se retourna et partit en courant.

Je regardai ma carte d'identité. Un numéro de téléphone y était inscrit au crayon...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 15 décembre 7 15 /12 /Déc 15:01

Retour à la première partie :  Arrête, Damien - 1ère partie

On s'est encore embrassés et caressés avant de prendre un petit-déjeuner, tout nus bien sûr. On se caressait tout en mangeant côte-à-côte.

— Luc j'ai toujours envie de te sentir en moi.

— Moi aussi Damien mais je ne l'ai jamais fait et je crois qu'on doit se préparer.

— Préparer, comment ça ?

— Je pense que nos petits trous sont trop serrés on va se faire mal.

— Mais comment font les autres alors ?

— Si on allait voir sur Internet ?

— Bonne idée.

 

Après avoir débarrassé la table, on a allumé l'ordinateur. On ne savait pas trop quoi demander à « Gogole notre ami ». On a commencé par anus étroit... anus large... puis les résultats donnés par le moteur de recherche nous ont fait connaître d'autres façons de parler de ça comme « dilatation anale ». Là, on est tombés sur des forums dont les premiers étaient des sites pour femmes. On a vu des photos débiles : des trous de cul de gonzesses capables d'avaler un ordinateur en entier ! On n'a même pas bandé en voyant ça, tellement on rigolait... Puis on a trouvé des sites gay. Pour moi c'était la première fois que j'en parcourais et Damien m'a dit que lui aussi. Là, on a appris des tas de choses : l'utilisation de godes et de plugs (on s'est dit qu'on en achèterait), l'emploi des doigts qui devaient être propres (on ne va pas risquer de blesser les muqueuses avec des doigts pleins de cambouis), les ongles courts (ça, on l'aurait deviné), les lavements si on est trop vite dégoûté, les lubrifiants qui facilitent la tâche, la façon d'y aller progressivement avec un doigt puis deux et plus selon le relâchement du partenaire, et surtout la PATIENCE : prendre le temps de préparer son copain avec amour, assouplir son petit cul par des mouvements tendres, recherchant son plaisir et évitant toute douleur, le caresser de l'autre main...

L'ordinateur n'était pas encore éteint que je fonçais à la salle de bain chercher le lubrifiant qui pourrait nous convenir. Le type de lubrifiant n'avait pas trop d'importance, nous étions tous deux en parfaite santé (quoique à bien y réfléchir on a été imprudents...). C'était pour nous nos toutes premières relations sexuelles, j'ai opté pour un body milk (les andouilles, ça les écorcherait d'écrire ça en français ?!). J'avais à peine trouvé le flacon que Damien était déjà à quatre pattes sur le lit. Je l'ai fait se coucher : « Pas comme ça Damien, on n'est pas à l'abattoir ! ». Il a voulu s'excuser et mon baiser lui a pardonné sa fougue.

Je l'ai couché sur le dos, j'ai mis ses mains aux barreaux de la tête du lit, lui ai demandé de les laisser là puis j'ai commencé à le caresser sur tout le corps. Je lui ai léché le cou, les bras, les aisselles. C'est lui qui m'a demandé de lui attacher les poignets à la tête du lit. Il était implorant, je l'ai fait. Il voulait m'être soumis pour toutes les fois où il m'avait terrassé en luttant. Je l'ai fait. Il souriait mais ses yeux marquaient un peu de peur. J'ai continué à l'embrasser tout partout. Son corps m'appartenait et il savait qu'il allait m'appartenir encore plus... Ma bouche est passée sur ses boules, sur sa queue, juste un peu mais pas trop. Même si je ne savais pas comment ça allait se passer entre nous, je voulais que ce soit inoubliable pour lui... et pour moi ! Je suis passé à ses cuisses, j'ai glissé deux oreillers sous ses fesses, il ne pouvait plus voir ce que j'allais faire de son cul. J'ai léché sa petite corolle jusqu'à ce qu'elle se détende. J'ai étalé le lait de soin doucement en continuant à le caresser. Petit à petit, j'ai appuyé mon doigt qui a pu entrer facilement. Damien n'arrêtait pas de couiner de plaisir. Je suis passé à deux sans problème mais pour trois j'ai vu qu'il souffrait, alors je suis redescendu à deux et quand je l'ai senti détendu, j'ai remis le troisième. Il souriait. C'est lui qui m'a dit : « Donne-moi ta queue mon amour, s'il te plaît !» et il a relevé ses jambes. J'ai enduit ma teub de crème puis mon gland a touché sa rosette. Il avait le cul aussi ouvert que sa bouche. J'ai senti ma teub avalée, aspirée jusqu'au fond de lui. Ce n'est qu'au bout qu'il a gémi quelque peu. J'ai attendu jusqu'à ce que son visage fasse apparaître autre chose que de la douleur et j'ai commencé à sortir complètement, à rentrer à fond et, petit à petit, j'ai eu cette image débile : ma queue était dans un pot de mayonnaise (on peut être con, quand même !). A cette mayonnaise j'ai voulu ajouter ma sauce à moi et j'ai commencé en lui les mouvements que ma teub appréciait tellement entre mes doigts et les siens. J'étais partagé entre l'envie de jouir tout de suite et le bonheur que je voyais sur son visage. J'ai tout fait pour que ça dure longtemps mais c'est la chaleur et les resserrements musculaires de Damien sur ma teub qui ont eu raison de mon plaisir. J'ai hurlé : « Mon Damien, mon amour !» et je me suis vidé en lui tandis que lui s'est envoyé je ne sais combien de jets de sperme sur le visage et sur le corps... Quand j'ai pu reprendre ma respiration, je ne l'ai pas détaché avant de lécher jusqu'à la dernière goutte tout son jus sur son visage et son corps. On s'est affalés et endormis aussi sec dans les bras l'un de l'autre.


On s'est réveillés le dimanche à onze heures, les yeux cernés mais brillants de bonheur. On s'est embrassés tendrement, amoureusement, avant d'aller reprendre des forces devant une bonne assiette. On a mangé plus qu'un ptit-déj : on y a ajouté des œufs, du jambon, du pâté. On a fait deux repas en un ! Damien a mangé sur mes genoux, je touchais sa teub entre deux bouts de tartine, de la même main d'ailleurs pour que mes bouchées de pain goûtent son corps et son jus...

— Damien s'il te plaît.

— Je sais ce que tu veux et tu l'auras avant ce soir.

On s'est embrassés longuement. Il voyait que quelque chose me chagrinait.

— Luc, ma puce adorée, dis-moi ce qui ne va pas, on s'aime non ?

— Oui mon poussin, mais...

— Mais quoi ? Dis-moi.

— J'ai adoré hier mais je me sens mal. Tu as deux ans de moins que moi, j'ai l'impression de t'avoir...

— Violé, c'est ça ?

— Oui en quelque sorte.

— Alors on va reprendre le cours de math : tu as 16 ans et tu as commencé à juter à 14, ok ?

— Oui.

— Moi j'en ai 14 et j'ai juté à 12, ça fait bien deux ans pour tous les deux, non ?

— Oui mais quand même...

— Mon amour il n'y a pas de mais : nous sommes devenus tous les deux des petits hommes depuis deux ans, nous avons chacun découvert les plaisirs que notre corps pouvait nous donner en même temps et peut-être était-ce le même jour ?

— T'es con.

— Si con que ça tu crois ? On devient ado entre 11 et 18 ans, on peut devenir adulte à partir de 14 ans, parfois moins mais certaines personnes ne le deviendront qu'à leur mort... Alors on arrête les maths et on laisse la place à l'amour.

— ...

— J'ai tort ?

— Tu as raison, c'est moi qui suis con ! Damien mon cœur, mon poussin, fais-moi l'amour, s'il te plaît.

— Laisse tomber la vaisselle ma puce, on monte !

Quand je suis arrivé dans la chambre, mon Damien était sur le lit, jambes écartées, la queue bien raide. Il m'a fait mettre à califourchon sur lui, ma tête vers ses pieds. Il a attiré mes fesses vers sa bouche et il m'a longuement léché. J'avais envie de jouir mais je savais que ce n'était pas le moment. Il s'est saisi du flacon et en a enduit mes fesses et mon petit trou. Je gémissais comme un gosse qu'on chatouille. Il m'en a mis plein autour et dedans puis il m'a passé le flacon. J'en ai enduit sa belle teub que j'adorais puis il m'a dit en quelques mots tous simples : « Tu te retournes et tu t'assieds dessus ».

Mon Damien qui était d'habitude toujours sur moi, là c'était le contraire. Il me laissait le champ libre. Je me suis retourné, l'ai embrassé et j'ai guidé sa teub vers mon anus. Je la voulais tellement que j'ai pu me laisser descendre sans aucune douleur. Y avait-il des mots pour expliquer ce que je ressentais ? Y en avait-il d'autres pour décrire son visage, ses yeux ? Chaque coup de rein qu'il me donnait était comme un cadeau dont je n'avais jamais pu imaginer l'existence ! En tenant mes hanches il imprimait le mouvement que lui avait décidé : j'étais sa chose, son trou, une partie de lui dont il décidait tout. Il m'a fait le supplier mon poussin de 14 ans, il m'aurait demandé n'importe quoi, je l'aurais fait ! Je voulais qu'il jute en moi, qu'il me donne son jus le plus intime et quand il l'a fait je me suis évanoui...

Il était 15 heures quand ses lèvres ont réveillé les miennes.

— Ça va ma puce, entendis-je ?

— Coucou mon cœur.

— Ça te gêne pas que je t'appelle ma puce ?

— Non mon cœur, tu m'appelles comme tu veux ! Tu sais que je t'aime et moi je t'appelle bien mon poussin.

— Ma puce, ta queue est dure : entre-la moi encore s'il te plaît.

Damien a mis ma teub en bouche pour qu'elle soit au max. Je me suis approché de son petit cul, il s'était mis à quatre pattes sur le lit et je l'ai pénétré facilement. Il gémissait, si pas criait chaque fois que je m'enfonçais en lui...

— Putain ! Vous faites quoi, là ?

La porte venait de s'ouvrir. Loïc, mon jeune frère de quatorze ans était dans l'embrasure de la porte. Je me suis désolidarisé de Damien.

— Loïc qu'est-ce que tu fous là ?

— On vient de rentrer. Les parents sont en train de décharger la voiture.

— Merde !

— Vous foutez quoi là ?

— Loïc, on t'expliquera mais ne dis rien aux vieux...

— T'inquiète Luc, je ne suis pas une balance mais promets-moi que tu m'expliqueras.

— C'est promis frangin. Allume mon ordi et nous on se rhabille.

— Dac frérot, mais tiens ta promesse !

On s'est passé un coup de gant de toilette sur le sexe et le cul avant de se rhabiller, j'ai ouvert une fenêtre internet sur un site de grammaire française puis on est descendus voir les parents, la peur au ventre que Loïc ait parlé. Mais non, il avait su la fermer.


Après le goûter on est remontés dans ma chambre. On ne savait que penser. Loïc nous avait vus nous aimer. Pour moi c'était encore un gamin, j'avais peur... On a frappé à la porte : c'était Loïc. On l'a laissé entrer. Il a fermé la porte à clé puis s'est approché de nous et, devant nos yeux hagards, il s'est déshabillé complètement et s'est couché au milieu du lit. Je ne l'avais plus vu nu depuis trois ans et effectivement ce n'était plus un gamin : sa queue était plus longue que la mienne !

— Venez près de moi mais tout nus comme moi.

Je ne savais plus où me mettre. Damien et moi n'avions pas trop le choix. On s'est couchés nus à ses côtés. Dans chaque main, il a saisi une de nos queues.

— Paniquez pas les gars : je suis comme vous.

— Quoi ? Tu aimes les garçons ?

— Luc réveille-toi, mon meilleur pote Vincent, tu ne le connais pas ?

— Toi et Vincent ?

— Ben oui banane, tu n'avais pas capté ?

— Loïc, garde-ça pour toi mais jusqu'à ce weekend...

— Tu ne savais pas que tu aimais les garçons ?

— ...

— Grand frère, moi je le savais !

— Comment ça ?

— Écoute, j'ai quatorze ans mais je sais que j'ai toujours eu une préférence pour les garçons. Alors il y a des signes qui ne trompent pas, comme tes yeux de cabillaud crevé quand tu regardais Damien !

— Pourquoi tu ne m'en as jamais parlé ?

— Je savais que tu n'étais pas prêt et je suis prêt à parier que c'est Damien qui t'a un peu « expliqué » !

Damien se bidonnait tandis que moi j'aurais bien mis ma tête dans un slip. Ils étaient pliés de rire tous les deux.

— Tu es vraiment une crapule Loïc.

— C'est quoi pour toi une crapule ? Celui qui aime la même chose que toi et qui ne dira jamais rien à notre maman chérie ?

— Excuse-moi Loïc, je me rends compte que c'est moi le con crapuleux.

— Pour te faire pardonner, suce-moi !

— Tu es fou ou quoi ? Tu es mon petit frère !

Damien a caressé mon cou et a poussé ma tête vers l'entrejambe de mon petit frère. J'ai compris que j'étais con et j'ai sucé mon petit Loïc. J'ai pu me rendre compte que sa teub était plus importante que la mienne malgré les deux ans de différence et j'ai avalé tout son jus de jeune ado. Loïc s'est ensuite dirigé vers Damien et l'a sucé jusqu'à la moelle.

C'était le soir et Damien a dû rentrer chez lui. J'étais plus que triste mais je savais que ça ne tarderait pas avant de nous retrouver.

Cette nuit-là, où je me trouvais seul sans mon Damien, Loïc a trouvé l'excuse du cauchemar pour se glisser nu dans mon lit. Nous avons beaucoup parlé, chacun a raconté l'histoire de sa jeune vie et nous nous sommes aimés. Loïc et Vincent avaient déjà eu des rapports sexuels et nous avons mis ça en pratique sauf mon petit trou que je voulais réserver à Damien. On a joué avec nos corps puis on s'est serrés l'un contre l'autre : ça n'était jamais arrivé...

— Loïc, tu ne trouves pas que c'est idiot de ne pas m'en avoir parlé ?

— Je sais Luc, mais tu n'aurais pas été prêt. Tu m'aurais traité de tous les noms et tu en aurais parlé aux vieux.

— Tu as raison, rien à dire.

— Luc j'aimerais qu'on puisse faire des choses à quatre.

— Avec Vincent ? Mais on se connaît si peu et puis il est si jeune.

— T'occupe ! Jeune peut-être mais il pourrait t'en apprendre...

— Il faut que j'en parle à Damien.

— Luc c'est la première fois que je te demande ça : tu me fais confiance ou pas ?

— Je voudrais bien.

— Oui ou non ?

— Oui Loïc, je te fais confiance.

— Mets-toi à quatre pattes.

— Non Loïc, tout mais pas ça.

— Luc ! Je veux t'envoyer mon jus dans ton trou.

— S'il te plaît, non Loïc.

Et Loïc a insisté.

— Loïc je veux bien m'offrir à toi mais ne le dis à personne ; surtout pas à Damien s'il te plaît, promets-le moi !

— Damien le sait déjà !Tais-toi et montre-moi ton trou.

— Damien quoi ?

— Ton cul, tout de suite !

J'ai obéi à ses ordres : je lui ai montré mon cul pour la première fois de ma vie. Il s'est emparé de mes fesses, les a léchées, a sucé mon petit trou, y a mis trois doigts d'un coup avant de me remplir l'anus de son jus puis il a mis sa teub dans ma bouche pour que je la nettoie. Il m'a fait lécher son cul et ses pieds puis m'a penché sur ses genoux et m'a donné une fessée à en pleurer. Je lui étais totalement soumis et j'aimais ça. Tout ce que j'ai trouvé à dire c'est :

— Tu me le referas ?

— Oui je sais que tu aimes ça.

— Loïc, je te promets de t'obéir en tout.

— Je suis content de te l'entendre dire. Je t'aime ma petite salope.

Le lendemain soir quand papa est rentré du bureau il est venu dans ma chambre où j'étudiais. Il a mis sa main sur mon paquet.

— Papa, que fais-tu ?

— Déshabille-toi, complètement !

— Mais papa...

— Fais ce que je te dis Luc.

Il a serré mes boules si fort que j'en ai crié puis il s'est assis sur mon lit et je me suis mis à poil devant lui. Il m'a examiné la teub, les boules et le cul où il a entré son index en entier. Il s'est relevé et s'est déshabillé complètement.

— Suce, après tu t'assieds sur ma queue.

J'ai obéi comme totalement soumis à papa. Sa grosse queue m'a fait crier et pleurer de mal quand elle est entrée en moi. Je le suppliais d'arrêter. Loïc et Vincent étaient près de nous, ils nous regardaient, ils étaient nus tous les deux, ils caressaient mes cheveux et mes joues pour m'aider à supporter. Quand papa a été au fond et que j'ai commencé à ressentir du bonheur de sentir papa en moi, Loïc mon jeune frère a enfourné sa teub dans ma bouche tandis que le petit Vincent me suçait. Ils ont joui tous les deux en moi puis Loïc a mis la queue de papa en bouche pour la nettoyer. Et papa m'a dit d'enculer Vincent.

C'en était trop pour moi. En quatre jours, Damien, Loïc, puis papa et Vincent, tous avaient profité de mon corps et m'avaient dépucelé, pénétré, moi qui ne connaissais rien au sexe, à part mes va-et-vient dirigés vers un mouchoir en papier ! Je me suis effondré sur le lit en pleurant. J'ai senti un corps nu se coucher sur moi et une teub entrer dans mes fesses. Je ne me suis même pas retourné, j'ai laissé faire et quand la teub a joui en moi j'ai entendu la voix de Vincent, l'ami de Loïc : « Merci Luc, ton cul est terrible ! ». Puis il m'a fait mettre sur le dos et il m'a sucé de nouveau pour avaler ce qu'il me restait de sperme.

Loïc et Vincent se sont couchés à mes côtés, tout contre moi, en me disant que Damien avait reçu la permission de venir dormir à la maison ce soir. Cela a calmé immédiatement mes larmes et je les ai embrassés tous les deux avec la langue. Quand Damien est arrivé avec papa, nus tous les deux, les deux garçons se sont éloignés de moi pour s'asseoir sur le bord du lit avec papa et Damien a plongé sur le lit. Mes larmes se sont vite évaporées, on s'est embrassés, cajolés, étreints, sans aucune pudeur devant les six yeux qui nous observaient et Damien m'a fait amoureusement l'amour tandis que six mains nous caressaient.

Puis sans que je ne le demande, Damien m'a tout expliqué : il m'aimait depuis toujours mais ne savait pas comment me le faire comprendre. Il savait que mon frère aimait les garçons, il l'avait déjà vu embrasser Vincent, il lui en a donc parlé et Loïc en a parlé avec notre père qui savait pour lui et avait accepté son homosexualité sans aucun problème. Et c'est ce soir-là que notre père avait pris Loïc sur les genoux et l'avait caressé intimement pour la première fois tandis que Loïc lui expliquait le problème. C'est mon père qui a conseillé pour Damien la lutte amicale et les caresses sexuelles à me faire. Et ça a marché ! Damien était le plus heureux des garçons car on s'aimait. J'ai fait venir tout le monde près de moi, j'ai embrassé papa, Loïc et Vincent sur la bouche tout en les serrant très fort puis j'ai repris mon Damien et comme je recommençais à bander, j'ai pu lui faire l'amour devant les trois autres.

Depuis ce jour quand maman n'est pas là, on reste nus et on fait l'amour tous ensemble. Quand la maman de Damien nous a surpris une fois dans sa chambre elle s'est approchée de nous, nous a caressé la joue et nous a embrassés, en disant : « J'avais deviné que vous étiez plus que des amis, vous pouvez l'annoncer à papa on en a déjà parlé !». Nous pouvions nous aimer sans peur chez eux. Un des jours suivants les parents de Damien faisaient l'amour sans avoir fermé leur porte. On devait passer devant leur chambre, on s'est arrêté, leur disant : « Bonjour les parents ! ». Ils ont répondu :  « Bonjour les enfants et notre bisou ? ». On est entrés, ils se sont interrompus le temps de nous embrasser tous les deux puis ils ont repris leurs ébats. Nous avons foncé dans la chambre de Damien et sans fermer la porte, nous nous sommes aimés. Quand nous avons eu fini, ses parents étaient dans l'embrasure de la porte et en chœur, nous avons lancé : « Et notre bisou ? ». Depuis lors, aucun des deux couples ne ferme plus la porte de sa chambre et les cris de plaisir des uns stimulent les autres !

Par contre quand ma maman a appris pour nous elle s'est mise dans une colère folle. Papa l'a calmée vertement et deux mois plus tard elle nous quittait. En fait elle fricotait avec un de ses collègues depuis six mois et quand papa a su qu'il était cocu il ne l'a pas retenue. Loïc et moi en étions attristés mais cela nous offrait de telles perspectives de vie en commun à la maison qu'on s'est bien vite consolés. Papa s'occupait sexuellement de nous comme on s'occupait de lui mais surtout il régnait dans nos murs un amour entre nous, des gestes de profonde affection, ce qui n'avait jamais existé auparavant surtout avec mon petit frère que je me suis mis à adorer... Mais mon amour restait pour mon Damien, mon poussin, mon cœur à moi.

 

FIN

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 8 décembre 7 08 /12 /Déc 12:45

Chaque fois qu'on luttait pour s'amuser, il avait toujours le dessus, au propre comme au figuré. Je me retrouvais à 16 ans, battu par mon voisin de 14 ans ! Il faut dire que pour son âge il était vachement costaud. On s'est pour ainsi dire toujours connus, on a toujours habité là et on était toujours l'un chez l'autre. J'ai bien sûr grandi avant lui et, l'année passée encore, je le dépassais de plus d'une tête. Mais en quelques mois il s'est bien développé et il ne restait plus que cinq centimètres de différence entre nous. Par contre il me dépassait en carrure : il faut dire que je suis loin d'avoir un corps d'athlète. A croire que « sainte puberté » n'avait pas pensé à tout !

— J'en ai marre, tu me bats chaque fois.

— T'as qu'à manger plus de soupe.

— C'est malin, banane !

— Comment t'as dit ?

— Banane, et je le répète.

— Attends, tu vas voir.

— Mais qu'est-ce que tu fous ?

— Tu ne le sens pas ?

— Arrête de mettre tes fesses sur ma teub.

— Je ne suis pas sur ta teub, mais sur ta banane !

— Tire-toi de là, c'est pas marrant.

— Pas question, je viens de m'installer sur ta queue et je m'y sens bien, et encore, j'ai une idée.

— Damien, je vais me fâcher.

— Et si tu te fâches, tu vas faire quoi ?

— S'il te plaît, Damien.

— Ah oui, je vois ce qui te dérange... Enfin, je le sens !

— Tu es dégueu ! Arrête je n'aime pas ça !

— Si tu n'aimais pas, tu ne banderais pas...

— Non Damien, arrête de frotter ton cul sur ma teub.

— Je n'arrêterai que quand t'auras juté.

— Fais pas ça Damien, merde quoi !

— Oh que si... Laisse-toi aller.

— Damien, on va plus être copains si tu continues.

— Tu vas juter Luc, je veux que tu jutes !

— Non...

— Laisse-toi aller : y'a pas de mal à se faire du bien.

— Damien non... je vais venir !

— Vas-y, sois pas timide.

— Je ne veux pas... non arrête, nooooooon, oh putain !

— Voilà, je t'avais dit que t'allais juter.

— C'est malin, j'en ai plein le calcif.

— Je me remets sur ton ventre et je te l'étends, dit-il en me malaxant l'entrejambe.

— Arrête tes conneries, tu ne crois pas que ça suffit, non ?

— Bon ok, je te libère.

— C'est salaud ce que tu as fait.

— Tu n'as pas aimé ?

— C'est pas ça, mais pas comme ça.

— Allez fais pas ta tête.

— Ne fais plus jamais ça !

— Luc, on va pas se fâcher pour si peu. Je t'ai fait jouir et tu as aimé, c'est tout !

— Tu crois que c'est facile d'accepter qu'un gamin de 14 ans en fasse éjaculer un de 16 et de force ?

— Arrête on n'est pas au cours de math.

— C'est malin.

— Et arrête de rougir : t'oublies qu'on s'est déjà touché la teub ?

— Oui quand on avait neuf et onze ans, c'étaient des jeux de gamins.

— Et parce qu'on est ados on n'a plus le droit de jouer ?

— Si mais pas à ça...

— Mais dis-moi pourquoi ?

— Je n'en sais rien, mais pour moi le sexe c'est privé. C'est un truc personnel. Je me branle quand je suis seul, c'est tout !

— Et quand t'auras une copine, elle pourra pas te branler ?

— Ce n'est pas la même chose.

— C'est cela oui, t'en as d'autres, des réponses bateau comme ça ?

— Damien si on parlait d'autre chose ?

— D'accord si tu réponds d'abord à deux questions... Mais tu promets de ne pas mentir ?

— Vas-y je t'écoute, mais il y a un joker ?

— Non alors tu promets ?

— Oui.

— As-tu détesté ce que je t'ai fait ?

— ...Non.

— Seconde question : as-tu envie de me faire la même chose ?

— Damien non, demande-moi autre chose.

— Tu m'as promis de répondre.

— Tu es un salaud Damien. Oui j'ai envie de m'asseoir sur ta teub et de te faire cracher, rien que pour me venger.

— Viens, je suis à toi.

— Comme ça ? Je suis bien à la bonne place ?

— Tu ne sens pas qu'elle est dure ?

— Tais-toi Damien, je te le fais mais tu te tais !

J'avais bien senti que la queue de Damien était en pleine érection. Cela me rebutait de faire ça à mon ami de toujours, celui dont j'étais l'aîné et que j'avais toujours voulu protéger de tous et de tout. Mais d'un autre côté, j'en avais envie. J'ai hésité avant de commencer à le « masser » et puis merde, il me l'avait bien fait, lui ! J'ai commencé à faire aller mes fesses, lentement, mais en appuyant bien pour le branler avec mon cul le mieux possible. Comment peut-on être excité au point de faire des trucs qu'on ne veut pas ? J'observais son visage : j'ai vu dans son regard rien que du bonheur et ses yeux suppliaient que je lui donne le plaisir qu'il attendait... Je me suis appliqué, l'excitant à fond, puis je m'arrêtais à temps pour qu'il n'éjacule pas trop vite et je recommençais. Je me sentais fort et puissant car son plaisir dépendait de moi. J'ai compris le plaisir qu'il avait eu quand ses fesses touchaient ma queue. Pendant une demi-heure je l'ai torturé et quand j'ai vu qu'il n'en pouvait plus d'attendre, j'ai accéléré et il a joui en criant puis il s'est mis à pleurer.

J'ai paniqué. Lui avais-je fait mal ? Je me suis couché à côté de lui et je l'ai pris dans mes bras, comme pour le protéger, le consoler.

— Que se passe-t-il Damien, pourquoi tu pleures ?

— Je peux pas te dire.

— Mais pourquoi ? On n'a jamais eu de secrets tous les deux...

— Je sais mais là c'est trop difficile. Serre-moi bien fort dans tes bras !

J'ai fait ce qu'il m'avait demandé. Je me suis collé tout contre lui et je lui ai caressé les cheveux. J'ai senti que ma queue durcissait dans mon boxer, c'était quoi ça ? Bander parce que j'avais mon ami d'enfance tout contre moi ? Je devenais dingue, mais malgré tout je voulais le garder contre moi et je le serrais de plus en plus fort. Il m'a aussi enserré de ses bras et on est restés comme ça longtemps, longtemps, même quand il a arrêté de pleurer... Il a senti que je bandais et moi aussi je l'ai senti dans le même état que moi. Aucun des deux n'en a parlé, on était bien, tout simplement bien comme ça : couchés accolés.

— Damien, tu n'as pas envie de prendre une douche ? Je pense que ton corps en a besoin, non ?

— Oui, tu as raison.

— Vas-y d'abord, j'irai après toi.

— Luc, je voudrais qu'on la prenne ensemble.

— Quoi à deux ?

— Ben oui ! Si on n'a pas pris deux cents douches ou bains ensemble on n'en a pris aucun...

— Je sais mais...

— C'est parce que tu as peur que je vois ta teub bandée ?

— Peut-être ! Excuse-moi mais je ne sais plus où j'en suis...

— Te pose pas tant de questions !

Damien a pris ma main et m'a emmené à la salle de bains. On s'est retrouvés face à face dans la petite pièce : qui allait se déshabiller en premier ? On avait l'air vraiment idiots comme ça...

— Luc, je te retire un vêtement puis tu m'en enlèves un, ou le contraire ça te va ?

— D'accord, commence.

Damien a retiré mon t-shirt. Ses mains frémissaient un peu et quand j'ai retiré le sien je tremblais comme une feuille. Nous étions torse nu, on s'est regardé comme si c'était la première fois qu'on était ainsi l'un devant l'autre. On s'est retiré les chaussettes l'une après l'autre. Pour les jeans ce fut plus difficile : chacun allait voir l'érection de l'autre ! J'ai fermé les yeux quand le jean a glissé le long de mes jambes et, quand j'ai retiré le sien, j'ai vu qu'il bandait aussi fort que moi ce qui a fait disparaître toutes mes appréhensions. Je ne lui ai pas laissé le temps de baisser mon boxer, j'ai retiré le sien, il a souri puis m'a retiré le dernier rempart cachant ma nudité. On était nus l'un devant l'autre comme on l'avait été si souvent tous les deux mais là, il y avait quelque chose de différent, quelque chose qui nous empêchait de parler mais nous nous observions mutuellement de haut en bas, comme on admire une statue de nu grec. Et, bien que nous étions à distance l'un de l'autre, nos queues bien dures se touchaient presque. Nous étions faits à peu près pareils : je savais pour avoir mesuré la mienne qu'elle faisait 15 cm, tandis que la sienne avait peut-être un centimètre de moins mais elle était plus grosse. Nos glands étaient tout à fait sortis et visibles et là c'était une première : on ne s'était jamais vus en pleine érection et encore moins entièrement décalottés !

Damien m'a attiré sous la douche. Il a voulu qu'on se lave mutuellement. J'ai accepté. On l'a fait en même temps : ses mains sur mon corps et les miennes sur le sien, c'était magique ! Je savonnais chaque centimètre de sa peau et lui explorait mon corps... Quand j'ai touché sa queue il a pris la mienne en main et on s'est branlés mutuellement. Quel plaisir de faire jouir un autre garçon et de jouir sous ses doigts ! Puis on s'est serrés l'un contre l'autre. Nos queues redevenues à moitié molles continuaient à se toucher et à échanger leur chaleur.

— Damien...

— Chut, ne dis rien Luc, on a tout le temps...

— Damien, tu voudrais bien rester avec moi cette nuit ?

— Bien sûr que j'en ai envie, je n'osais pas te le demander.

— On aurait tout le temps de parler : mes parents sont absents tout le weekend. J'espère que les tiens seront d'accord ? Demande pour rester jusqu'à dimanche soir.

Chacun s'est séché, Damien est sorti à poil et a plongé sur son téléphone. Quand je suis arrivé dans ma chambre, nu comme lui, il raccrochait, un grand sourire aux lèvres et m'a sauté au cou ! Nous étions enlacés, nous serrant fort à en avoir mal, joue contre joue, puis nos bouches ont quitté les oreilles pour glisser vers la bouche de l'autre. Nos lèvres se sont touchées puis tout naturellement entrouverte, ma langue a caressé pour la première fois une autre langue et ce n'était pas celle d'une fille mais de Damien, mon meilleur ami de toujours... Tout en nous embrassant à pleine bouche nous nous sommes dirigés vers le lit et on s'est retrouvés couchés à se lécher et à se donner des bisous sur tout le corps. Que c'était bon ! Qu'il sentait bon ! J'aurais voulu le manger tout cru ! Quand ma bouche s'est approchée de son ventre, sans hésiter ni réfléchir j'ai mis sa teub en bouche. Il a fait de même. Qu'est-ce qu'on était bien comme ça ! Je n'y croyais pas mais même après avoir joui deux fois en peu de temps on bandait encore et chacun s'activait à faire jouir l'autre. Il n'y eut que quelques gouttes de part et d'autre mais assez pour avoir une bonne idée du goût du jus de l'autre ! J'ai été surpris d'aimer ça. On s'est de nouveau embrassés très fort.

— Excuse-moi Damien d'avoir été fâché sur toi quand tu étais assis sur moi.

— C'est moi qui dois m'excuser : je savais que tu allais le prendre mal et que tu allais peut-être m'en vouloir à mort, mais j'ai voulu prendre le risque, je souffrais trop.

— Tu m'aimes tant que ça ?

— Tu peux pas savoir ! Et depuis si longtemps...

— Même petit ?

— Oui, même si c'était de l'amitié entre nous je rêvais tout le temps d'être dans tes bras.

— Damien, mon Damien, pardonne-moi de ne pas avoir compris ou de n'avoir pas voulu comprendre. S'il te plaît, pardonne-moi !

On a pleuré tous les deux. Moi, de tristesse du mal que je lui avais fait sans le savoir et de joie de découvrir que j'aimais Damien et qu'il m'avait toujours aimé. Lui, de joie de ne pas avoir perdu son meilleur ami et de savoir que je l'aimais aussi fort qu'il m'aimait... On se léchait nos larmes, on se léchait les yeux, on s'est encore embrassés.

— Damien, je t'aime très fort.

— Moi aussi Luc, je t'aime, tu ne peux pas savoir comme je suis heureux.

— Tu m'apprendras à faire l'amour complètement ?

— De quoi as-tu envie ? Que je sois en toi ou d'être en moi ?

— Les deux Damien ! Je veux te connaître entièrement, je veux être toi.

— Moi aussi je veux être toi ! J'attends ça depuis si longtemps...

— On le fera demain car ce soir je crois qu'on n'a plus beaucoup de ressources !

— Ok mais promets-moi que ce soir on se sucera encore.

— Promis juré ! C'est trop bon de sentir ta queue dans ma bouche et de boire ton jus...

— Le tien était super aussi ! Mais, si on se mangeait quelque chose ? Je commence à avoir la dalle.

— Excellente idée mais on reste à poil ça te va ?

— Je n'avais aucune intention de m'habiller !

— Tope-là !

— Ah oui, mes parents sont d'accord pour le weekend mais ils veulent qu'on aille déjeuner les deux jours chez eux.

— Pas grave : ça nous laisse assez de temps pour...

— ...pour nous aimer !

On a roulé l'un sur l'autre et on s'est chatouillés comme des gamins. La joie était dans nos cœurs. Puis nous sommes descendus à la cuisine. Après un repas frugal, nous nous sommes installés dans un fauteuil face à la télé.

— Luc, je peux me mettre sur tes genoux comme avant ?

— Viens Damien, j'ai toujours aimé que tu viennes sur moi, je sais maintenant pourquoi !

Il s'est installé le dos contre mon ventre et des deux mains j'ai caressé sa teub et ses boules. Je l'entendais couiner de plaisir. Il me tenait par le cou, me demandant de ne pas aller trop vite, il voulait que je le suce avant de nous endormir... J'ai donc dosé mes gestes pour qu'il n'éjacule pas. Il a avancé un peu ses fesses vers mes genoux et a glissé sa main entre elles et mon ventre. Il a pris ma teub en main et l'a caressée tendrement. On se donnait des baisers dans le cou. Combien d'heures n'étions-nous pas restés ainsi quand on était plus jeunes ? Mais aujourd'hui on se caressait le sexe pour le plus grand plaisir de l'autre... J'ai commencé à me rappeler tous les petits gestes amicaux que nous nous échangions. J'ai pensé à toutes ces fois où il était sur mes genoux, ce qui était bien agréable. Il le faisait encore il y a deux ans mais ma puberté commençait et je me souviens que parfois ma teub grossissait et je faisais tout pour qu'il ne s'en aperçoive pas. Mais à bien y réfléchir, il en profitait pour bouger de plus en plus et quand je repoussais ses fesses loin de ma teub, il trouvait toujours une bonne occasion pour se relever légèrement et revenir, les fesses contre mon ventre et bien sûr sur ma teub raide.

— Damien, tu te rappelles quand tu venais sur mes genoux et que je te repoussais ?

— Ah ouais, quand tu bandais et que je prenais un malin plaisir à revenir m'asseoir sur ta bosse bien dure ?

— Déjà à douze ans tu ne pensais qu'à ça ?

— Tu sais, j'ai eu mon premier sperme à cet âge-là et j'aimais sentir ta queue bien dure et tu te rappelles qu'à ce moment je gardais ma main sur mon paquet ?

— C'était donc ça ! Tu te caressais la teub !

— Et oui Luc : j'adorais ça et j'avais envie de te toucher mais j'étais sûr que tu te serais fâché.

— Tu n'as pas tort: pour moi tu étais encore un gosse !

— Alors je me rattrapais en te prenant la main le plus souvent possible. Parfois en glissant mes doigts entre les tiens ou alors je prenais ta main et me la mettais sur le cou ou sur l'épaule et tu me caressais comme on caresse un petit frère.

— Et dire que je n'ai rien vu, ni rien compris.

— T'inquiète c'est du passé ! Pense à maintenant, à nous là, tout de suite.

— Il t'intéresse ce film ?

— Je pense plutôt à un autre film.

— Lequel ?

— « Deux jeunes ados au paradis ».

— Coquin va, j'y pensais aussi !

En moins de dix minutes nous avions rangé la cuisine, nous étions douchés et brossé les dents pour nous retrouver couchés sur mon lit.

— Damien j'ai envie de me battre avec toi.

— Et si je gagne ?

— Tu t'assoiras sur ma poitrine et tu me mettras ta teub de force dans ma bouche même si je me défends.

— Marché conclu !

On s'est relevés, bagarrés un peu pour la forme et je me suis retrouvé avec Damien sur le haut de ma poitrine. Il a approché sa teub, me l'a frottée sur les lèvres. J'ai fait mine de me débattre. Finalement j'aimais cette sensation quand il me dominait et comme je ne voulais pas ouvrir la bouche, il m'a pincé les narines tout en tirant mon menton vers le bas. Je dus bien respirer à un moment et j'ai ouvert la bouche. Il en a profité et sa teub m'est rentrée jusque dans le fond de la gorge. J'ai failli m'étrangler. Il s'est retiré puis l'a rentrée moins loin et en plusieurs fois en y allant par à-coups. J'ai pu la prendre en entier sans plus de haut-le-cœur.

— Tu es merveilleux Luc, je te ferai la même chose mais maintenant on va faire autre chose.

Il s'est retourné et j'ai eu ses fesses sur mon visage. Je ne savais que faire. Il m'a dit de lui donner des bisous sur ses fesses, ce que j'ai fait puis de ses deux mains il a écarté les fesses et j'ai eu une vue directe sur son petit trou. Il est descendu petit à petit. Ce petit trou tout rose m'attirait mais j'étais un peu dégoûté de faire ça. Damien m'a encouragé : « Allez, lèche-moi mon petit trou s'il te plaît ! ». Je me suis lancé péniblement mais quand j'ai entendu qu'il me répétait sans cesse que c'était bien, que je faisais ça bien, j'ai écarté moi-même ses fesses le plus fort possible et je l'ai léché encore mieux en essayant de faire pénétrer ma langue dans son petit trou. Puis une idée me vint. J'ai retiré ma langue et j'ai entré mon index en entier. Il a crié de douleur ou de surprise mais n'a pas voulu que je le retire. J'ai continué à trifouiller dans son petit cul et il couinait de plaisir...

— Arrête Luc, je vais jouir ! Alors j'ai retiré doucement mon doigt.

— Damien c'est formidable. Je veux te faire la même chose, tu veux bien ?

— Oui, s'il te plaît.

Damien a plongé sur ma queue et l'a embouchée le plus loin possible. Il a eu plus de difficultés que moi : j'ai quand même un centimètre de plus que lui. Mais il voulait y arriver et il y est parvenu. Toute ma teub était dans sa bouche et je sentais la douceur de sa gorge autour de mon gland. Il a quand même dû se retirer pour reprendre sa respiration mais, ni une ni deux, il m'a fait mettre à quatre pattes sur le lit, a écarté mes fesses et a foncé bouche ouverte vers mon anus. Sa langue à cet endroit-là me procurait des frissons. Je criais presque de plaisir. Il est arrivé à faire entrer un bout de langue à l'intérieur : c'était merveilleux. Je lui ai demandé de continuer mais il a fatigué et sa langue fut remplacée par son index. Sentir passer quelque chose dans ce conduit mais de l'extérieur vers l'intérieur était phénoménal ! Il a joué du doigt à l'intérieur. C'est comme si mon petit trou était devenu son jouet ! A mon tour je dus l'arrêter car je sentais ma jouissance arriver. On s'est retournés et embrassés comme des fous, nous remerciant l'un l'autre pour le plaisir reçu...

Mais sa teub me manquait. Je me suis retourné, l'ai saisie et enfoncée le plus loin possible. Ca devenait de plus en plus facile pour moi. Damien a fait de même : on s'est forcés tous les deux à la prendre en entier dans la bouche. Son derrière était à portée de mes doigts, j'ai passé mon index dans ma bouche pour bien l'humidifier et je le lui ai rentré petit à petit. Damien a gémi de plaisir puis il a fait de même : nos doigts entraient et sortaient, nos lèvres coulissaient et en moins de deux minutes j'ai eu un orgasme fulgurant, bientôt suivi par celui de Damien... On s'est avalé tout sans en perdre une goutte. Je me suis laissé tomber sur le lit, mon doigt toujours fiché en lui et lui aussi a recommencé à entrer et sortir, à caresser mes muqueuses. Enfin, épuisé, je me suis remis près de son visage et on s'est embrassés à corps perdu. Si nos corps avaient pu se souder l'un à l'autre on aurait été encore mieux. On a fini par s'endormir : je suçais son index, il gardait le mien en bouche.

C'est une langue chaude sur mes boules qui m'a réveillé.

— Continue Damien, c'est bon.

— Je suis content que tu n'aies pas encore de poils, c'est plus agréable à lécher !

— Le médecin m'a dit que je n'en aurais jamais : on est plusieurs comme ça dans la famille.

— Et ça t'ennuie ?

— Pas plus que ça ! Et puis quand je vois comment tu peux me lécher, j'aime autant ne pas en avoir !

— J'espère que je n'en aurai pas non plus.

— Si tu en as, je te les raserai.

— Tu ferais ça ?

— Tu sais que je te ferai tout ce que tu voudras.

— Je peux en mettre une en bouche ?

— Si tu y arrives.

Quelle sensation de sentir mon testicule dans sa bouche et quelle joie de pouvoir faire entièrement confiance en mon Damien, d'offrir ma source de vie à ses dents acérées. Après il a pris l'autre. Je l'ai laissé jouer avec mon sexe comme il l'entendait : il s'appliquait à me donner le plus de plaisir possible. Il examinait et tâtait chaque endroit, me décalottait très lentement, j'étais aux anges ! Puis il a tout pris entre ses mains et m'a dit :

— Tout ça, c'est à moi maintenant !

— Couche-toi, c'est à mon tour et je veux aussi que ton sexe soit à moi...

Après avoir gobé l'une puis l'autre de ses boules et vu qu'elles étaient plus petites que les miennes, j'ai pu les mettre toutes les deux en bouche : il a crié de joie. J'ai aussi pris le temps d'examiner chaque contour de son sexe, je l'ai léché comme on lèche une crème glacée. Qu'il était beau ! Parfait ! Puis j'ai pris tout son paquet et j'ai dit à mon tour :

— Tout ceci est à moi maintenant... et je veux le garder toute ma vie mon Damien !

— Je t'aimerai toute ma vie mon Luc.

 

A suivre...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 1 décembre 7 01 /12 /Déc 13:10

Je rentre du collège et je suis déjà dans tous mes états ! Sur le chemin de la maison je n'ai pas traîné avec mes potes, non, non. J'ai un truc à faire, une urgence ! Je déboule dans le petit appartement et balance mes affaires dans l'entrée, vite, vite, vite ! Heureusement Ahmed est là, affalé sur le canapé. Il vient juste de rentrer de son entraînement et ses pieds, fraîchement déchaussés, émettent un fumet qui me presse plus encore !

— Ahmed, vite, vite, j'ai trop envie !

— Quoi ? Encore ! Tu fais chier, p’tit frère !

Il râle mais son érection déforme déjà son caleçon. Fébrile, je retire mon short et grimpe sur lui. Je pousse un soupir d'apaisement lorsque je m’empale sur sa queue tendue. Ça fait des heures que je l'attends, celle-là ! Mes hanches commencent à s'activer alors que je retire mon tee-shirt. En dessous de moi, le corps en sueur de mon grand frère commence à s'activer.

— Sérieux, t'en a jamais assez ? Il faut que je garde des forces pour ma copine, moi !

Ses mains viennent quand même se poser sur mes hanches pour amplifier mes va-et-vient.

— J'y peux rien si j'ai toujours envie !

Tous les jours on a la même conversation et tous les jours c'est moi qui gagne...

— Oh p’tit frère, ta chatte est trop bonne !

Mes mains s'aventurent sous son tee-shirt trempé et s'activent sur ses tétons. C'est quelque chose que sa copine ne lui fait jamais ! Ses mains me malaxent les fesses et mes gémissements de salope l’excitent davantage. Il décule et se redresse. Me voici dans le canapé, sur le dos, pendant qu'il retire tant bien que mal son short de foot qui entrave ses jambes. J'adore ses cuisses de footeux musclées et couvertes de poils noirs ! Il retire aussi son tee-shirt, dévoilant son torse finement poilu. Une fois nu Ahmed relève mes genoux sur mes épaules et plonge sa tête entre mes fesses. Je sais qu'avec lui j'aurai toujours droit à un bouffage de cul. Il adore ça, mon frère ! Ses lèvres charnues embrassent mon petit trou et sa langue ne tarde pas à goûter l'intérieur de mes entrailles. Il relève soudain la tête, intrigué.

— Mais ? C'est déjà plein de sperme là-dedans…

— Bah oui ! J'ai vu mon prof d'Histoire et mon coach cet aprèm. Mais ces connards ne pensent qu'à leur plaisir et une fois qu'ils ont joui c'est fini !

— Humm petite pute, grogne mon frère en lapant mon trou foutreux.

Après l'avoir bien dégusté, il vient partager le goût en m'embrassant et sa queue retrouve la chaleur de mes entrailles... Mon grand frère baise vraiment comme un dieu !

Mais je n'en ai jamais assez : alors qu'Ahmed est chez sa copine et que mon père rentre du boulot je l’accueille en lui sautant dans les bras :

— Papa, vite, vite ! Ta bite dans mon cul !

— Oh hé, tu vas attendre deux secondes ! Je viens à peine de passer la porte et je dois pisser de toute façon !

— Pisse dans ma bouche !

— Tiens, voilà ! Et avale tout… Qu'est-ce que j'ai fait pour avoir un fils aussi salope, je vous le demande ?

— Rien de mal, Papa ! Glups !

Je bois goulûment toute sa pisse âcre et je continue à le téter jusqu’à ce qu'il bande. Mon père a la plus grosse bite que j'ai jamais vue : énorme, large, veineuse et odorante ! J'y suis accro depuis la toute première fois !

Après m'avoir pissé dans le gosier, mon père s'assoit au balcon et allume sa cigarette, comme d'habitude. Religieusement, je lui enlève ses chaussures de chantier et en profite pour bien renifler le fumet de ses pieds... Tranquillement comme chaque soir, je viens m'installer sur ses genoux et je lui raconte ma journée alors qu'il me caresse et que je sens son paquet se gonfler en-dessous de mes fesses...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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