L'histoire de la semaine

Dimanche 7 septembre 7 07 /09 /Sep 13:21

 

La dernière fois que je suis allé en Tunisie, j'ai fait la connaissance de Youssouf, un jeune groom d’hôtel. Il était mince, la peau hâlée, le visage un peu renfrogné. Il portait une djellaba blanche. Je devinais que sous ce vêtement il y avait un corps adorable, avec des petits tétons féminins, une peau très douce au toucher... D'imaginer tout ça me faisait bander.

 

Trois jours après mon arrivée, j'étais en train de me caresser dans ma chambre, lorsqu'on a frappé à la porte. J'ai recouvert ma queue tendue d’un drap léger et j’ai permis à la personne qui frappait de rentrer. Il s’agissait de Youssouf. Il m'apportait des serviettes, du tabac, des allumettes. Je lui ai dit de me les lancer sur le lit. J'ai voulu les attraper au vol. Je les ai ratés et, dans mon mouvement, le drap a glissé, révélant ma bite bandée. Il a fixé ma queue sans rien dire puis il m'a regardé. Il a souri doucement tout en s'approchant. Mon coeur battait à tout rompre. Il s'est assis sur le lit, a glissé sa main vers mon sexe tendu. Il l'a à peine effleuré mais j'ai poussé un bref gémissement.

 

Youssouf était bien tel que je l'imaginais : tendre, imaginatif. Je lui ai caressé la nuque, il m'a mordillé les doigts. Sans que je lui demande rien il s'est débarrassé de sa djellaba. Dessous il était nu. Je me suis empourpré. Ma bite a enflé en voyant son corps mince, sa chair bronzée. Je me suis collé à son dos. Il avait une bonne odeur de fleurs. Il a tourné son visage vers moi et j'ai pu goûter à ses lèvres pleines. C'est lui qui a violé ma bouche avec une langue nerveuse. Il a posé sa main sur ma queue et m’a branlé.Il a fait ça avec une certaine rudesse, malaxant mes couilles, tirant sur la peau recouvrant mon gland étroit. Je sentais une étrange violence dans chacun de ses mouvements. J’ai cherché sa pine, j'ai trouvé un tuyau mince, des bourses imberbes, tout un paquet enfantin qui a contribué à me faire gicler dans la seconde. Un rayon de soleil le nimbait, il était vraiment d'une beauté surprenante. Sa petite queue en semi-érection me rendait fou. Youssouf a regardé mon jus sortir par saccades puis il m'en a badigeonné le visage et le ventre. Il a soudain eu un rictus de mépris à mon égard. Il s'est levé et a disparu, me laissant anéanti, encore tremblant de désir.

 

Je l'ai vainement cherché pendant deux jours. Il m'évitait. Puis un soir, je l'ai happé alors qu'il sortait de l'hôtel par la porte de service. Je l'ai collé au mur et je l'ai embrassé goulûment. Il s'est laissé faire. J’ai farfouillé dans sa djellaba à la recherche de sa pine, il est resté insensible. Pourtant, qu'il sentait bon ! J’aurais tout donné pour baiser avec lui, si fin... Je le lui ai dit. Il m'a répondu de le suivre. Nous sommes passés dans des ruelles tortueuses puis on est entré dans une maison blanche qui puait l’urine et pire encore. On a grimpé une volée de marches d'un escalier crasseux et il m'a fait entrer dans une pièce. À l'intérieur il y avait trois garçons plus âgés que Youssouf.

Le Tunisien m'a dit que je pouvais le baiser devant eux. Il adorait se faire prendre alors qu'il y avait du monde. Les trois autres ont ricané. J'étais mal à l'aise. Youssouf m’a rassuré en sortant des préservatifs. Il en a distribué à tout le monde puis, sans se faire prier, il s'est mis tout nu et il a tourné devant nous.

 

Les types se sont mis à poil à leur tour. Il régnait dans la pièce une chaleur de four. J'ai imité la petite troupe, observé par les Tunisiens. Sous leur regard ma bite a enflé. Elle n'était pourtant pas à la hauteur de celles des trois inconnus. Jamais je n'avais vu de telles bites : épaisses, énormément poilues, elles ressemblaient à de gros boudins sombres.

Youssouf m'a embrassé en me tripotant. Puis il s’est agenouillé devant chacun des autres types et, sans façon, il les a pompés. Il n'est pas allé très loin, il a simplement cherché à ce qu'ils bandent dur. Après quelques allées et venues, il enroulait le condom sur la tige et vérifiait qu'il tienne bien. Il m'a fait la même chose. J'ai eu énormément de mal à me retenir. Pour un peu j'aurais giclé mon foutre comme un puceau tellement l’intérieur de sa bouche était doux. Ensuite Youssouf s'est agenouillé et il a ouvert ses fesses. J’ai remarqué que son cul était gonflé. Il ressemblait à une bouche dodue.

 

Le premier arabe s'est enfoncé en lui sans problème. Les deux autres regardaient en se branlant réciproquement. Je me suis approché, le coeur battant. Un des Tunisiens a avancé la main et m'a touché la bite. Ca m'a fait comme un choc électrique. Je me suis collé à lui, respirant à pleins poumons l'odeur forte. Sa peau ruisselait de sueur. Comme si c'était naturel, l'arabe a attiré ma bite entre ses fesses et, en écartant les cuisses, il m'a montré que je pouvais l'enculer. D'ailleurs son copain s’était placé derrière celui qui sodomisait Youssouf. Il a posé son gland à hauteur du trou de l'enculeur et il s'y est enfoncé lentement.

— Viens, m'a soufflé l'arabe qui voulait que je l'encule.

Il a défoncé le second enculeur. Je n'ai pas eu d'autre choix que de l'imiter. À partir de ce moment on s'est tous enfilé, les uns après les autres... Mais le cul le plus agréable était celui de Youssouf. Pourtant, paradoxalement, c'est lui qui semblait le plus insensible puisqu'il a fallu qu'on lui passe tous sur le corps pour qu'il jouisse enfin, en quelques jets bien ridicules...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 31 août 7 31 /08 /Août 13:12

Paco, mon vrai pote, et moi, on adore baiser. Quand on part en week-end, on est toujours prêt à sauter une gonzesse. La dernière fois pourtant on est tombé sur un gentil minet, genre éphèbe blondinet, qui faisait du stop. On s'est arrêté et on l'a embarqué. Il était mince, portait un jean qui lui serrait le cul. Ses cheveux étaient longs et son visage était tout rose. On a appris qu'il venait d'Allemagne. Il était sympathique et nous on a commencé à gamberger...

Paco a une belle queue longue et il a tout le temps envie de la fourrer dans des trous agréables. Moi, ma bite est courte mais très épaisse. Le garçon s'appelait Helmut. On a sympathisé. Comme je connais bien Paco je sentais qu'il triquait. Depuis le matin on n'avait pu lever aucune nénette. On l'avait bien lourde et nos couilles étaient remplies de jus. Sur un prétexte quelconque, Paco a bifurqué vers un chemin de campagne. Quand on s'est arrêté, Helmut a senti qu'on préparait quelque chose. Il a voulu s'en aller mais je lui ai gentiment passé la main autour du cou. Il tremblait. Paco lui a demandé de se calmer. Il a tranquillement sorti sa pine et j'ai poussé Helmut vers elle.

L'Allemand a dû se mettre à genoux. Il a avalé le noeud de mon pote sans trop faire d’histoire. J’ai regardé le spectacle en me touchant : Helmut avalait bien. Paco n'a pas tardé à l'arroser de son jus.

— Qu'est-ce que t'en penses ? j'ai demandé.

Paco m'a répondu que c'était une belle tapette. On a dit à l'Allemand de se foutre à poil. Il avait des fesses bien rondes, un vrai cul de femme... Sauf qu'il possédait une petite bite blanche avec quelques poils ridicules sur les couilles. Moi j'aime bien les homos a dit mon copain. Quand il s'est vidé, Paco est toujours de bonne humeur. Je lui ai répondu qu'il pourrait enculer Helmut en premier. L'idée l'a fait rebander. L'Allemand ne disait rien, il tremblait. Je lui ai touché la pine, c'était une vraie queue d'enfant et ça m'a fait drôle. Je l'ai un peu branlé en dégageant bien le gland violacé et Helmut s'est vraiment mis à bander.

— Ben tu vois, c'est pas sorcier, j'ai dit.

J'avais envie de l'enculer sur le champ. Ça m'aurait bien plu de le défoncer, de le faire gueuler de douleur mais j'avais promis à Paco. On a fait allonger l'Allemand sur le capot de la voiture. Paco et moi on a examiné sa raie et surtout son oeillet. C'était un machin minuscule, froncé, qui n'avait jamais été forcé. Comment on allait faire ? J’ai été chercher de la vaseline et j'en ai badigeonné la rosette d'Helmut. Quand j'en passais sur son cul l'Allemand frissonnait. Paco s'est impatienté. Il se pognait en me regardant faire et il m’a écarté brutalement en disant que ce cul l'attirait.

— Tu vas payer pour les gonzesses qu'on n'a pas eu, il a fait.

Il a ouvert les fesses d'Helmut qui s'est mis à crier de douleur.

— Arrête tu vas l’abîmer, j'ai dit.

Paco a rigolé en pointant son engin contre la rondelle suintante. Il a poussé. Helmut a rué, Paco lui a foutu deux baignes et l'Allemand s'est alors tenu tranquille.

— À présent tu vas la sentir... Après ce sera au tour de mon copain. Lui c'est un vrai phénomène.

Il a poussé doucement. J'ai vu sa barre s'enfoncer dans l'anneau. Je me suis approché et j'ai touché la bouche d'Helmut J'ai eu envie de me faire lécher la pine pendant que Paco le bourrait. La bouche de l'Allemand était étroite. Ma grosse queue avait du mal à trouver sa place. Il y avait toujours la barrière des dents. La colère est montée en moi, j'en avais marre de ce petit trou. J’ai giflé à mon tour l'Allemand qui s'est mis à pleurer.

— Bon dieu, tu vas bien me sucer, oui ? Tu n'as jamais fait de pompier, c'est ça ? Et bien apprends ! Et vite, sinon on te défonce avec autre chose que nos bites. Une belle bouteille, ça te dirait ?

Ma menace a porté ses fruits. L'Allemand a cherché à rendre sa bouche tendre, absorbante. Il a mis beaucoup de salive et j'ai fini par gicler dans sa gorge. Pendant ce temps Paco l'enculait toujours. Ça se faisait sans trop de problème puisqu'il s’est également vidé. On a pris un peu de repos.

— Maintenant que je lui ai cassé le cul, à ton tour ! a fait mon pote.

J'avais le mandrin qui me pesait. Helmut y jetait parfois un coup d'oeil inquiet.

— C'est pour toi mon mignon. Je vais te le fourrer le plus profondément possible.

L'Allemand a dû se mettre à quatre pattes. On lui a de nouveau beurré la raie puis j'ai foré son oignon qui était tout boursouflé. Je l'ai enculé jusqu'à la garde. Helmut grimaçait mais il tentait docilement de s'ouvrir. Paco, tout en se pognant en face de nous, le complimentait. Je l'ai défoncé une fois son cul totalement dilaté. Je trouvais cela bien agréable, mieux qu'un cul de nénette. J'ai commencé à le pistonner tout en le branlant car je ne voulais pas être en reste avec lui. Sa petite queue me fascinait. Elle était raide, rouge et quand il a joui, elle a lâché deux tout petits jets de jus. J'ai goûté, c'était amer. Une vrai petite poule cet Helmut ! Moi je me suis vidé les couilles dans son anneau. Paco et moi étions enfin calmés.

On a repris l’Allemand et on l’a amené à bon port. II est parti sans se retourner. Il marchait difficilement. Il devait avoir le trou du cul brûlant. Je suis sûr qu’il n'a pas pu s'asseoir normalement pendant toute une semaine !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 24 août 7 24 /08 /Août 13:41

Je ne sais pas vous, mais moi, l'odeur du cuir, des chaussures neuves et surtout de la semelle intérieure, me fout des frissons partout. Et le pire, ou le meilleur, c'est que des fois ça se voit ! Vous connaissez sûrement ces magasins de chaussures à petits prix dans les zones commerciales. Il m'arrive d'y faire des rencontres curieuses autant qu'intéressantes.

Je m'appelle Éric, j'ai 17 ans et comme tout le monde, j'ai pas des tonnes de fric alors je fais ce genre de magasins pour changer de chaussures. La plupart du temps on y est tranquille pour choisir. Tout étant exposé, il suffit de choisir. Et la semaine il n'y a personne, enfin pas grand monde. Je saute parfois un cours pour faire un achat ou même simplement pour sentir l'odeur du cuir, l'odeur des semelles de cuir neuves. Je choisis une paire ou deux, je vais m'asseoir et j'essaie les chaussures, non sans leur avoir sniffé l'intérieur avant. Ça déclenche chez moi des érections impossibles ! Rien que de sentir. Alors parfois je range les chaussures et sors me soulager ou attendre que l'effet passe avant de revenir. Des fois je croise d'autres mecs, des fois seul dans le rayon, je me touche par la poche de mon jean, pas loin de grimper au septième ciel.

J'ai été repéré une fois, je suppose, par une caméra d'un magasin et on m'a fait comprendre de partir. J'ai simplement changé de magasin dans la zone. Là, il y avait un vendeur un peu plus âgé que moi de 3 ou 5 ans qui m'a repéré mais a commencé par me guetter en souriant et quand j'ai finalement acheté un paire de pompes, il m'a noté son numéro sur le ticket de caisse avec son prénom. J'ai appelé d'une cabine un soir et il m'a dit de passer le voir le lendemain si je pouvais, c'était son jour à mi-temps. Je n'avais qu'à le rejoindre au magasin...

Je suis arrivé un peu en avance, il était dans le magasin. Il m'a fait un petit signe vers sa montre et dès qu'il a pu se libérer de la caisse, il m'a amené dans l'arrière-boutique. Ça ne sentait que le cuir ! Une vraie folie ! Il a mis sa main entre mes cuisses pour sentir mon excitation et m'a amené jusqu'aux vestiaires. Il a fermé la porte à clé et a baissé son jean. Il portait un slip en cuir déformé par une bosse incroyable. Il a poussé ma tête dessus.

— Lèche ça puisque l'odeur t'excite !

Déjà bien chauffé par l'odeur du stock, je me suis laissé glisser à genoux entre ses cuisses et j'ai léché le slibard qui sentait le cuir et le sexe, puis un peu au dessus quand la tête de sa queue est apparue sous l'élastique.

— Pompe ma queue mec !

Du pied il frottait mon entrejambe ; il sentait bien ma queue serrée dans le pantalon, comprimée par un slip.

— Tu vas retirer ton pantalon et ton slip sans arrêter de me pomper. Tu me donnes ton slip et tu refous ton pantalon. Après on ira faire un tour !

Pas évident à faire mais j'étais trop excité et j'ai fait ce qu'il me demandait. J'ai eu du mal à refermer mon pantalon. Il a mis mon slip dans son armoire et, me tenant la tête, il a joui dans ma bouche.

— Avale mec ! c'est du bon jus de mec.

Il a bien senti une réticence mais il a rigolé.

— C'est ta première pipe au jus ?

Après avoir avalé, j'ai répondu oui.

— Viens, je vais te faire connaître des coins où les mecs qui aiment le cuir se retrouvent.

Il m'a fait monter dans sa tire. Je bandais encore comme un fou et sans mon slip ça devait se voir. Il s'est arrêté dans une rue de Paris que je ne connaissais pas et m'a entraîné vers un magasin avec une devanture recouverte de peinture.

— Entre !

Waouh ! L'odeur de cuir et de sexe dans le magasin ! Il y avait de tout sur les présentoirs : des slips, des strings, des slips sans fonds, des pantalons avec juste les cuisses en cuir, des gilets, etc... Il m'a mis la main au paquet sans gêne devant deux ou trois autres mecs qui se trouvaient là.

— Toujours excité par l'odeur ?

Il devait bien le sentir sans mon slip ! Je suis pas le genre petite bite !

— Oui j'aime l'odeur !

— Viens au sous-sol tu vas voir, c'est un peu spécial mais ça devrait te plaire.

Pour être spécial, c'était spécial ! Un mec d'une trentaine d'année était installé sur un truc en cuir attaché au plafond par des chaines – j'ai su après qu'ils appelaient ça un sling – les cuisses écartées, le cul bien visible et ouvert. Il se branlait la queue et un autre lui titillait les tétons avec la langue. J'ai pas eu trop à masser mon pantalon, je bandais comme un cerf et le mec qui m'avait accompagné a ouvert ma braguette pour dégager ma queue puis me descendre le pantalon aux chevilles avant de me l'enlever.

— Waouh mec ! Belle queue !

Il a tiré un peu sur la peau de ma bite pour faire sortir le gland et sans attendre il s'est foutu à mes genoux pour la bouffer comme un mort de faim. Il y avait une odeur dans le local ! Un mélange de cuir, de sueur et de sexe à faire raidir n'importe qui ! Il a joué un moment avec mes couilles en suçant ma queue et m'a regardé par en dessous en souriant.

— T'as déjà senti l'odeur de bottes en cuir ?

— Non ! Trop cher pour moi.

— Il m'a guidé dans un coin moins éclairé où il y avait un mec en bottes luisantes en cuir.

— Penche-toi ! Sens-les.

Il poussait ma tête dessus et c'est vrai que l'odeur du cuir était très forte.

— Lèche-les !

J'ai sorti la langue, l'ai fait glisser sur le cuir brillant. Le mec me caressait les fesses pendant ce temps. Il me grattait l'anus, ma queue se balançait et une goutte a perlé au bout.

— T'es puceau du cul ?

— Oui mais...

— Pas grave.

Il a passé le doigt sur la goutte et a remis le doigt sur mon anus en poussant. J'ai poussé un petit cri quand son doigt est passé et j'ai serré les fesses dessus. Il agitait son doigt dans mes fesses en me léchant la queue puis les couilles. Il voyait bien que je ne débandais pas, la langue sur la botte à la lécher comme un accro du cuir.

— T'as envie de t'en prendre une dans les fesses ?

J'ai donné un coup d'œil sur sa bite déjà dressée.

— Ok. Pourquoi pas.

Il m'a relevé, entraîné sur le sling.

— Mets les pieds contre les chaînes, bien relevés.

Il a enfoui la tête entre mes fesses et m'a léché le trou pendant que je me branlais doucement, s'est redressé pour enfiler une capote et mettre du lubrifiant au bout. Il s'est accroché du sling et a guidé sa queue entre mes fesses. J'avais tellement envie qu'il est entré facilement. J'ai lâché un petit cri quand même quand il est passé dans mon trou. Chaque poussée dans mon cul faisait remuer le sling et me faisait revenir sur sa queue bien à fond. Le mec aux bottes s'est rapproché et m'a tendu sa bite à sucer en même temps. J'ai pas tenu très longtemps avant de me jouir sur le ventre et ils se sont retirés pour ajouter leur jus sur mon ventre. Le mec m'a tendu du sopalin pour m'essuyer et m'a aidé à me relever.

— T'as bien gagné un truc en cuir. On remonte, je t'offre ton premier objet fétiche cuir.

On a remis nos pantalons et quand on est arrivé en haut, j'ai vu des sourires sur les visages et une télé que j'avais pas remarquée en arrivant avec sur l'image le sling qui se balançait, vide. J'ai compris que chacun avait suivi ce qu'on avait fait. Alain – le mec qui m'avait amené – m'a souri.

— Pas gêné ?

— Bof non ! On a tous une bite et un cul !

— Viens par là.

Il me guidait dans les rayons avec les accessoires cuir et j'ai flashé sur un string noir et rouge avec deux anneaux à la taille de chaque côté, et une lanière derrière. Il était super et sentait bon le cuir frais.

— Tu veux l'essayer pour vérifier la taille ?

Il m'a regardé avec un petit sourire.

— Ok!

Et j'ai baissé mon froc pour le mettre devant les mecs du rayon. Le sentant avant de le poser, la lanière était un peu extensible et me chatouillait l'anus. j'ai tourné sur moi-même, exhibant mes fesses sans gêne.

— Génial, je vois que tu t'habitues au lieu. Viens comme ça à la caisse, garde ton pantalon à la main.

Un mec a découpé l'étiquette et Alain a payé.

— T'as envie de revenir ? avec ou sans moi ?

— Oui. J'aime bien, c'est sympa.

— Donne ton nom et ton prénom. Il va te faire une carte. C'est un club privé. Sans ça tu pourras pas entrer tout seul. Tu récupéreras la vraie carte après. Enfile ton pantalon que je te ramène.

Le mec de la caisse m'a donné une carte provisoire avec l'adresse du club en souriant.

— C'est gratuit pour les jeunes chez nous. Repasse quand tu veux !

Alain m'a raccompagné devant chez moi.

— J'ai gardé ton slip en souvenir. À une autre fois !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 17 août 7 17 /08 /Août 14:05

À 16 ans, j'avais une bande de camarades de tous poils un peu zonards mais on s'entendait bien. Un jour de juin, aux premiers jours de vacances, je me suis retrouvé à me baigner avec eux.

Tout à coup ils commencent à déconner, à tirer sur les maillots pour les faire glisser. Très timide de ce côté là, je me planque dans un petit creux de rocher en attendant qu'ils arrêtent quand un des potes me découvre et surtout voit que je les mate en douce, la main dans le maillot.

— Hé, hé ! Petit vicelard ! Tu aimes voir mais t'as la frousse qu'on voit que tu bandes ?

Il me chope par le cou et m'entraîne jusque devant les autres à qui il raconte tout. Ils me baissent le maillot, rigole de voir ma petite teub débandée mais encore baveuse. Je crie mais eux rigolent, me traitant de fofolle, de pédé, de refoulé. Le plus excité me passe les doigts entre les fesses. Il me frotte, je ne peux m'empêcher de bander comme un fou en leur criant d'arrêter. Mais plus je crie et plus eux s'excitent, voyant bien que je bande et que je ne suis pas le seul !

— Allez, tu suces un mec et on te laisse tranquille.

— Vous êtes fou ! J'ai jamais fait ça moi.

— Bah faut bien commencer, allez choisis !

Ils baissent tous leurs maillots, rigolards. J'ai le mien au bas des cuisses sinon je me serais échappé en courant ! Je fais fait non de la tête mais y en a un qui me tire sur sa queue.

— Suce moi puisque t'arrive pas à choisir !

Il a encore la queue humide de flotte mais il me la plaque sur la bouche !

— Allez ouvre la et suce !

Je finis par ouvrir la bouche dessus.

— Allez resserre les lèvres ! Suce bien ! Pompe moi, je veux sentir ta langue sur mon gland !

J'ai la honte devant tous les potes mais je bande quand même. J'aspire son sexe, le branle avec mes doigts, il gémit.

— Oui mec !!! Tu fais ça bien ! T'es doué !

Il grogne. Il m'attrape le visage et sa queue a un sursaut en m'envoyant son jus. Je me recule mais j'en prend plein le visage. Ça donne des envies aux autres.

— Reste à genoux !

Ils commencent à se branler les uns après les autres sur moi. Je ferme les yeux, mais je crois qu'ils ont tous joui sur mon visage. Ils me retirent mon maillot et me foutent à l'eau.

— Va te laver, pédé !

Ils attendent sur le bord. Quand je suis fatigué, je sors, j'ai froid, ma queue a dégonflé.

— Bon, reviens demain...

Ils se barrent, je découvre mon maillot tout gluant et découpé entre les jambes ! Les salauds ! Je remet mon fute direct et rentre comme ça.

 

Le lendemain, il faisait aussi chaud et c'est un des potes qui passe me chercher. Ma mère est là, je ne peux pas lui expliquer pourquoi je ne veux pas aller me baigner !

— Allez-y les enfants, j'ai encore du travail.

Je mets mon ancien maillot et mon jean pour suivre mon pote.

— Faites pas les cons cette fois ok !

— Mais non ! Allez, dis pas que t'as pas aimé ! Viens par là, on a trouvé un autre endroit plus cool.

Je le suis, méfiant quand même et ça a pas raté, ils me tombent dessus.

— Aller la fiotte, à poil !

Ils me dessapent, me tiennent en croix, je me débats mais contre 8 mecs, je ne peux rien faire. Un des plus grand passe entre mes cuisses, met un truc gras entre mes fesses et force. Je gueule mais son doigt est bien planté, il me lubrifie l'anus.

— Bouge pas comme ça ! Tu finiras par aimer comme les filles que j'ai eues par le cul !

Il enfile une capote et je sens sa queue forcer mon conduit. J'en chiale mais ça ne l'arrête pas. Il est bien au fond de moi et commence à limer mon trou. De la main, il caresse ma queue. Je couine mais je change assez vite de ton, de cris.

— Bien ! Tu vois ! T'es fait pour la bite des mecs, toi.

J'ai pas trop vu son sexe, il me ramone comme il avait dû ramoner une fille.

— Les mecs, je crois que Manu aime ça ! Et bien en plus ! Il fait pas semblant ! Lachez lui les pieds, tenez encore ses poignets.

Je couine. Il met mes mollets sur ses épaules, il me donne de grands coups de queue.

— Allez, dis moi que t'aimes ça la bite des mecs ! Dis le, petite salope !

Je peux pas lui mentir, je le sens bien en moi.

— Oui ! Ça fait du bien !

Il rigole.

— Bon, je vois que t'as compris, tu viendras chaque jour nous vider les couilles, comme on voudra ! Ok Manu ?

— Oui ok.

Il se retire, enlève la capote, me jouit sur les couilles.

— Allez, branle toi ! Montre que t'as aimé !

Je n'hésite pas trop et je me branle, envoyant mon jus loin sur moi.

— Bon demain tu suceras un autre en même temps que tu en auras un dans les fesses ! On va faire de toi notre salope de vacances.

Bon, je peux pas dire que j'ai pas aimé mais là, il va loin ! Il prend mon vieux maillot pour s'essuyer la queue. Il me voit fixer sa queue, surpris. Elle n'est pas si grosse que je l'avais cru dans mes fesses.

— Et si tu t'en prenais une autre de suite, pour voir si t'es vraiment comme je crois : une bonne lopette ? Choisis ! Regarde et choisis celle que tu vas satisfaire !

Les salauds sont tous raides, se branlent doucement. J'approche d'une autre bite, juste un peu plus longue, m'agenouille devant, je la tête comme un veau et il s'allonge. Je monte sur lui, j'ai encore l'anus lubrifié et il entre sans problème. Je le laisse donner ses coups de reins en moi, je bandouille doucement. Il se retire juste au moment où il lache son jus, m'arrose le cul avec.

— Bon je vois que t'y prends goût ! Mais tu sais les vacances... sans fric c'est pas évident ! Demain, c'est moi qui passe te chercher, tu ne mets qu'un petit short, tu vas nous rapporter un peu de blé pour qu'on puisse rigoler ensemble ! Nous on te saute pour le fun, là il faudra le faire pour le fric ! Allez, à la flotte les mecs.

Il fait vraiment chaud, je saute dans l'eau, nu. Je me tâte la rondelle, bof, pas si terrible que ça... Même plutôt bon !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 10 août 7 10 /08 /Août 14:51

Je m’appelle Didier, je viens d’avoir dix-huit ans et j’habite dans la banlieue de Lyon. L’été dernier, nous habitions encore à Bourg-en-Bresse, et nous avons été invités mes parents et moi, à déjeuner un dimanche chez mon oncle et ma tante qui ont une ferme dans le Haut-Jura. Mon frère Étienne qui a vingt-deux ans n’était pas avec nous car il travaille depuis trois ans à Paris comme fonctionnaire.

Au milieu de l’après-midi, mon cousin Gilles est venu voir ses parents avec sa femme et ses deux enfants. Il a à peu près trente ans et il est employé dans une entreprise de transport de la ville d’à côté. Dans la conversation, il parlait de ses voyages pour son travail et dit qu’il descendait deux fois par semaine à Toulon. Comme mes parents m’emmènent toujours à la montagne pour les vacances, il leur proposa de m’emmener une fois avec lui pour que je vois la mer.

Le rendez-vous fut pris et le mercredi suivant, à sept heures du matin, je montais dans son camion à Bourg. Le voyage fut un peu long à cause des départs en vacances. Après avoir déchargé son bahut au port de Toulon et avant de reprendre l’autoroute pour remonter, il m’emmena sur une plage à la sortie de la ville et je pris mon premier bain de mer. Comme nous nous étions un peu attardés, nous sommes arrivés à Lyon vers dix heures du soir. À l’entrée de la ville il quitta l’autoroute pour aller casser une croûte au relais routier et téléphoner pour prévenir qu’on arriverait tard dans la nuit. Après le repas, comme il voulait se reposer un peu avant de reprendre la route, il s’allongea sur la banquette derrière les sièges. Assis dans l’obscurité je regardais les allées et venues sur le parking. Il y avait deux putes qui draguaient et y en a une qui est montée à côté de mon camion. Je ne voyais pas grand-chose car il faisait nuit mais j’ai deviné que la fille suçait le mec assis au volant. Ça m’a fait bander aussitôt. À ce moment, mon cousin est descendu s’asseoir sur la banquette à côté de moi en disant : «Eh bien, on dirait qu’il y a du spectacle à côté mais vaut mieux pas trop y toucher si on a pas envie de se choper une saloperie. Une petite branlette ça fait pas de mal. Allez, te gêne pas, on est entre hommes.»

Et dans l’obscurité j’ai deviné qu’il ouvrait sa braguette et commençait à se branler en regardant le camion d’à côté. J’étais vachement gêné mais, pour ne pas paraître idiot, j’ai baissé un peu le devant de mon short pour me toucher. Soudain j’ai senti la grosse main de mon cousin empoigner ma bite en me disant : «Tu sais, entre routiers, on a l’habitude de se rendre des petits services...» Je me mis à transpirer. Après quelques minutes dans le silence il tira le rideau devant le pare-brise en disant : «Allez, étends-toi sur la couchette, je vais t’en faire autant.»

Je me suis retrouvé allongé, le short et le slip rapidement ôtés, et mon cousin à genoux sur la banquette s’est mis à me sucer. Ça m’a fait une impression extraordinaire de sentir ma queue dans sa bouche chaude et pleine de salive. Sentant que j’étais sur le point de jouir il a abandonné ma bite pour prendre mes couilles dans sa bouche. En même temps sa main gauche me caressait la poitrine et sa droite les cuisses. Après m’avoir repompé le nœud un moment, il s’est relevé en me disant : «À mon tour maintenant.» Toujours à genoux sur le siège il a baissé son froc. Et j’ai senti quelque chose buter contre mes lèvres. Dans le noir j’ai ouvert la bouche et j’ai senti quelque chose d’énorme qui s’y enfonçait. Allongé sur le côté, la tête maintenue par mon cousin, j’ai sucé comme je pouvais sa queue. En y mettant la main pour ne pas qu’il s’enfonce trop. J’ai trouvé que sa tige était longue mais beaucoup moins grosse que le bout. Au bout d’un moment il s’est retiré en me disant : «Tu te défends pas mal mais attends je vais t’apprendre d’autres trucs.»

Je me suis alors senti basculer rapidement et me suis retrouvé à genoux sur le siège, le torse allongé sur la couchette. Et tout chavira dans ma tête quand j’ai senti quelque chose de chaud et de mouillé sur mon cul. Il me léchait le trou et essayait d’y mettre sa langue dedans. Je trouvais ça dégueulasse mais en même temps c’était vachement bon. Il me mouillait abondamment. Et, sans prévenir, il m’enfonça un doigt dans le cul et le tourna dedans. Je lui ai demandé d’arrêter, ça ne me plaisait pas. Il m’a dit : «Laisse-toi faire, tu vas voir, tu vas prendre ton pied !» Je l’ai entendu cracher et une main m’a appuyé sur le creux des reins. J’ai senti quelque chose de gros sur mon cul et j’ai compris à ce moment qu’il essayait de m’enfiler sa bite dedans. J’ai voulu me dégager mais ses deux mains me tenaient fermement les hanches. Mes sphincters s’ouvraient sur son gland épais et une violente douleur, comme une brûlure, m’a fait gueuler un coup. Ça s’est mis à tourner dans ma tête et mes jambes tremblèrent. Je l’ai entendu dire : «Ça y est, le plus dur est passé, décontracte-toi.»

Il ne bougeait plus. J’avais la tête en sueur et les mains agrippées à la couverture de la couchette. Je lui ai demandé de se retirer mais, comme réponse, j’ai senti sa pine continuer à s'enfoncer. J’avais l'impression que mon cul se déchirait. Quand son ventre s’est appuyé contre mes fesses je me suis dit que c’était fini. Il est resté un moment immobile puis s’est mis à bouger de gauche à droite en faisant tourner sa pine toujours à fond dedans. Puis il s’est retiré lentement pour se renfoncer de nouveau puis de plus en plus vite. Je n’avais plus mal et ça devenait même agréable. Je me suis remis à bander. Il me pistonnait à fond. Il s’est mis à respirer très fort, s'est poussé à fond en moi et j’ai senti les contractions de sa bite qui giclait en moi. II s’est emparé de la mienne et j’ai joui presque tout de suite. J’étais trempé de sueur. Je l’ai senti se retirer doucement et ça m’a fait de nouveau mal quand le bout est sorti. En me tendant un Kleenex pour m’essuyer, il m’a dit : «Alors, p’tit salaud, je t’avais dit que t’allais prendre ton pied !»

Après s’être rhabillé, il a repris le volant. Pendant le voyage de Lyon à Bourg il m’a raconté comment il avait découvert ça avec un voisin cultivateur quand il avait quatorze ans et puis rien jusqu’à son mariage. Mais maintenant, il se faisait régulièrement des gars, en particulier des autostoppeurs. Et un soir, sur le parking où on était, ils avaient été plusieurs à se faire un mec qui les avait provoqués. Je compris à ce moment ce que voulait dire le mot «enculé» que j’entendais de temps en temps. Et j’ai été bien content en rentrant à la maison que mes parents soient déjà couchés.

J’avais un peu oublié tout cela jusqu’aux vacances de Noël où nous étions invités, toute la famille, au mariage de la sœur de mon cousin Gilles. Ça m’ennuyait un peu de le revoir mais en arrivant il m’a dit salut en me faisant un petit clin d’œil discret. Pendant le bal, le soir, il est venu s’asseoir vers moi en me demandant si je m’amusais bien. Il m’a dit que c’est lui qui avait suggéré de me donner Sylvie comme cavalière parce qu’il la trouvait bien mignonne, ce qui était vrai. Puis il s’est levé en disant : «Putain, il fait une chaleur là-dedans, je vais prendre l’air. Tu viens avec moi ?» Je ne sais pas pourquoi mais je me suis levé et je l’ai suivi. On a traversé le parking de l’hôtel sans rien se dire. Au fond il y avait une rangée de garages. M’empoignant par la main il m’entraîna dans un qui était occupé par une camionnette en me disant : «Allez, viens !» On était tous les deux au fond dans l’obscurité. En défaisant sa ceinture il me dit : «Faut qu’on se dépêche.» J’ai baissé aussi mon futal et j’ai senti ses deux mains m’appuyer sur les épaules. J’ai compris qu’il voulait que je le suce. Il bandait déjà comme un taureau et moi aussi. Ma bouche était grande ouverte pour avaler son gros nœud. Il m’a dit : «Ouais, tu fais ça comme un chef, maintenant, allez mouille-la bien.» Et je pris du plaisir à le sucer.

Au bout d’un moment il m’a relevé en me disant sèchement : «Allez tourne-toi maintenant.» Je lui ai dit que j’en avais pas envie. Il m’a dit : «Je veux juste me frotter dans ta raie bien mouillée, je vais pas t’enculer ici.» Il m’a fait appuyer sur le capot de la bagnole, a craché dans sa main et a commencé à me mouiller la raie et le cul. Puis il a introduit un doigt, puis un deuxième. J’avais maintenant envie qu’il me prenne mais, en même temps, j’avais peur d’avoir mal comme la première fois. Me sentant consentant il a essayé de m’enculer mais ça ne rentrait pas. Il a recraché dans sa main, s’est mouillé et a poussé d’un coup sec. La surprise et une douleur violente m’ont fait pousser un cri. Sans s’en occuper il s’est mis à me piner rapidement comme s'il était pressé de jouir. Tout à coup il s’est arrêté et s’est aplati sur mon dos en me chuchotant à l’oreille : «Bouge pas, il y a quelqu’un qui vient !» La peur m’a fait débander rapidement. Les pas se rapprochaient, je sentis mon cousin se retirer quand je l’ai entendu dire : «Ah, c’est toi, putain, tu m’as foutu la trouille.» Et il s’est mis à me limer comme si nous n’étions que tous les deux.

J’ai alors reconnu la voix de mon frère Étienne quand il a dit : «Ah mes salauds, je m’en doutais quand je vous ai vu partir tous les deux.» Mort de honte j’essayais de me dégager en repoussant de la main mon cousin mais il me tenait fermement aux hanches. Je ne savais plus quoi faire. À ma grande surprise j’ai senti une main m’empoigner les couilles. C’était celle de mon frère qui chuchota : «Oui, vas-y, bourre-le bien !» et il s’est mis à me branler un moment puis me lâcha. Gilles s’est excité de plus en plus et ses hanches tapaient contre mes fesses à chaque mouvement. J’avais le cul en feu. Soudain je vis mon frère à côté de moi, dans la même position, les mains sur le capot et je l’entendis dire : «À moi maintenant !» La bite de Gilles s’est retirée de mon cul et il s’est placé derrière mon frère. J’en revenais pas. J’ai entendu Étienne faire un «ouais» et je compris que Gilles venait de l’enfiler. Je ne voyais rien si ce n’est la silhouette de Gilles qui reprenait sa cadence. Rapidement je l’ai entendu haleter et pousser un râle en s’immobilisant. Je me branlais en même temps, debout à côté d’eux. Puis j'ai senti mon cousin m’attirer à lui et me placer derrière mon frère. Je ne savais plus où j’en étais et quoi faire quand j’ai senti la main de mon frère m’empoigner la bite et se la placer devant le cul. J’ai poussé un peu et c’est rentré tout seul.

L'intérieur était chaud et tout lubrifié de la jute de mon cousin. Je me suis mis à limer doucement. Gilles me dit : «Vas-y, plus fort !» en m’appuyant sur les fesses. Et quand il m’a introduit un doigt dans le cul je me suis mis à jouir comme un fou et mes jambes tremblèrent complètement. J’étais toujours dans mon frère quand j’ai senti son cul se compresser sur ma bite : il était en train de jouir lui aussi en se branlant. Mon cousin s’éloigna en disant qu’il retournait à la soirée. En se rhabillant, mon frère me dit seulement : «Dépêche-toi, ils vont se demander où on est passés.» J’étais tout retourné et ébloui quand on est arrivés dans la salle. Gilles dansait déjà comme si rien ne s’était passé. Tout se bousculait dans ma tête, je n’en revenais pas et j’étais crevé.

Le lendemain matin je suis réveillé par le bruit de la porte qui s’ouvre. Il fait déjà jour. Je suis tourné du côté de la fenêtre mais je reconnais la voix de Gilles : «Vous venez, on va virer les mariés !» Étienne se lève rapidement, va jusqu’à la porte et répond doucement : «Fais pas de bruit, y’a le frangin qui a été malade toute la nuit et je suis complètement crevé.» La porte se referme et j’entends la clef tourner dans la serrure. Il revient se coucher. Je roule alors sur le dos pour le découvrir, au-dessus de moi, la tête appuyée dans la main, un grand sourire aux lèvres. C’est agréable. Instinctivement, mes bras sortent de dessous les draps pour enlacer Étienne qui s’étend sur moi. Nous nous embrassons longuement. Se laissant glisser sur moi, sa bouche vient me sucer et me mordiller la pointe des seins, me faisant découvrir de nouvelles sensations. Je me sens bien et j’aime être écrasé par le poids de son corps. Se relevant, il vient s’asseoir sur ma poitrine et je découvre pour la première fois son sexe bandé juste sous mes yeux. Il me paraît énorme. Je suis fasciné, ne croyant pas qu’un homme pouvait avoir un truc aussi gros. Son gland est aussi large que celui de Gilles mais sa bite est plus longue et plus épaisse et ses couilles, rebondies sur mon torse, forment un gros paquet. Sans rien dire il se penche en avant et dirige le bout de sa bite vers ma bouche. J’essaie de le sucer en faisant attention de ne pas lui faire mal avec mes dents. La position n’est pas confortable. Il se retire, se retourne, retire les couvertures pour m’ôter mon slip. À califourchon sur moi mais me tournant le dos il se met à me sucer doucement et délicatement. Sa bite se plaque sur ma figure. Je le reprends dans ma bouche et on se suce un long moment. C’est super. Puis il se met à me lécher les couilles et j’en fais autant. Il me coince ensuite les cuisses sous les bras, m’obligeant à soulever mes fesses qu’il écarte pour me bouffer le cul. En même temps il s’est redressé et s’est presqu’assis sur ma figure. Je lui lèche le trou. Après m’avoir bien inondé le cul de salive je sens un, puis deux doigts s’introduire dedans et me fouiller. Excité je pousse ma langue dans le sien et ça doit lui plaire car il se trémousse sur moi pour que je m’enfonce encore plus au risque de m'étouffer.

Il se relève brusquement et vient s’agenouiller entre mes jambes qu’il relève contre mon ventre. Après avoir enduit sa bite de salive il la dirige contre mon cul. J’ai un peu peur vu la taille de son engin. Je sens mon trou s’ouvrir pour laisser le passage à sa bite. Ça me fait mal mais je n'ai pas envie qu’il s’arrête. Ça n’en finit pas d’entrer en moi et de me dilater. Tout tourne dans ma tête et j’ai comme envie de vomir. Il ne bouge plus, il est au fond de moi.

Ce traitement durera longtemps et me mit le cul en feu. S’emparant de ma bite il se mit à me branler tout en me limant avec force. Je partis rapidement dans une jouissance folle ce qui le fit décupler de puissance et me défoncer littéralement. Je le sentis éjaculer, complètement enfoncé en moi, en poussant de grands râles de plaisir. Puis il s’effondra sur moi, laissant progressivement sa queue ressortir en même temps qu’elle se ramollissait. Allongé sur moi il m’a demandé si c’était bon, mieux qu'avec Gilles, et m’a demandé de lui raconter ma première rencontre avec mon cousin. Il m'a expliqué comment il avait fait ses premières expériences avec lui quand il était en vacances chez mon oncle. Il m’a dit qu'il avait une petite amie à Paris avec qui il vivait mais de temps en temps il avait des aventures avec d’autres mecs.

Le soir, le retour à Lyon fut bien long et nous avons raccompagné mon frère à la gare pour qu’il rentre sur Paris. En me disant au revoir sur le quai il m’a dit discrètement à l’oreille : «J'espère bien qu'on aura l'occasion de se revoir bientôt petit frère !» En rentrant j’ai découvert que j’avais encore beaucoup de choses à apprendre...

Quand je me branle, maintenant, j’aime bien me mettre un doigt dans le cul, ça me procure une plus forte jouissance. Au lycée je continue de flirter avec une fille et j’ai de plus en plus envie de baiser avec elle mais elle ne veut pas. Mais je me surprends aussi de plus en plus souvent à regarder d’autres copains et le gonflement de leur braguette. Je repense de plus en plus à mon frère. Avec mon cousin c’était simplement sexuel, mais avec mon frère, c’était autre chose. Je crois que je suis amoureux de lui mais je n’ose pas lui écrire de peur que sa copine ne lise ma lettre...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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