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Je ne sais pas vous, mais moi, l'odeur du cuir, des chaussures neuves et surtout de la semelle intérieure, me fout des frissons partout. Et le pire, ou le meilleur, c'est que des fois ça se voit ! Vous connaissez sûrement ces magasins de chaussures à petits prix dans les zones commerciales. Il m'arrive d'y faire des rencontres curieuses autant qu'intéressantes.
Je m'appelle Éric, j'ai 17 ans et comme tout le monde, j'ai pas des tonnes de fric alors je fais ce genre de magasins pour changer de chaussures. La plupart du temps on y est tranquille pour choisir. Tout étant exposé, il suffit de choisir. Et la semaine il n'y a personne, enfin pas grand monde. Je saute parfois un cours pour faire un achat ou même simplement pour sentir l'odeur du cuir, l'odeur des semelles de cuir neuves. Je choisis une paire ou deux, je vais m'asseoir et j'essaie les chaussures, non sans leur avoir sniffé l'intérieur avant. Ça déclenche chez moi des érections impossibles ! Rien que de sentir. Alors parfois je range les chaussures et sors me soulager ou attendre que l'effet passe avant de revenir. Des fois je croise d'autres mecs, des fois seul dans le rayon, je me touche par la poche de mon jean, pas loin de grimper au septième ciel.
J'ai été repéré une fois, je suppose, par une caméra d'un magasin et on m'a fait comprendre de partir. J'ai simplement changé de magasin dans la zone. Là, il y avait un vendeur un peu plus âgé que moi de 3 ou 5 ans qui m'a repéré mais a commencé par me guetter en souriant et quand j'ai finalement acheté un paire de pompes, il m'a noté son numéro sur le ticket de caisse avec son prénom. J'ai appelé d'une cabine un soir et il m'a dit de passer le voir le lendemain si je pouvais, c'était son jour à mi-temps. Je n'avais qu'à le rejoindre au magasin...
Je suis arrivé un peu en avance, il était dans le magasin. Il m'a fait un petit signe vers sa montre et dès qu'il a pu se libérer de la caisse, il m'a amené dans l'arrière-boutique. Ça ne sentait que le cuir ! Une vraie folie ! Il a mis sa main entre mes cuisses pour sentir mon excitation et m'a amené jusqu'aux vestiaires. Il a fermé la porte à clé et a baissé son jean. Il portait un slip en cuir déformé par une bosse incroyable. Il a poussé ma tête dessus.
— Lèche ça puisque l'odeur t'excite !
Déjà bien chauffé par l'odeur du stock, je me suis laissé glisser à genoux entre ses cuisses et j'ai léché le slibard qui sentait le cuir et le sexe, puis un peu au dessus quand la tête de sa queue est apparue sous l'élastique.
— Pompe ma queue mec !
Du pied il frottait mon entrejambe ; il sentait bien ma queue serrée dans le pantalon, comprimée par un slip.
— Tu vas retirer ton pantalon et ton slip sans arrêter de me pomper. Tu me donnes ton slip et tu refous ton pantalon. Après on ira faire un tour !
Pas évident à faire mais j'étais trop excité et j'ai fait ce qu'il me demandait. J'ai eu du mal à refermer mon pantalon. Il a mis mon slip dans son armoire et, me tenant la tête, il a joui dans ma bouche.
— Avale mec ! c'est du bon jus de mec.
Il a bien senti une réticence mais il a rigolé.
— C'est ta première pipe au jus ?
Après avoir avalé, j'ai répondu oui.
— Viens, je vais te faire connaître des coins où les mecs qui aiment le cuir se retrouvent.
Il m'a fait monter dans sa tire. Je bandais encore comme un fou et sans mon slip ça devait se voir. Il s'est arrêté dans une rue de Paris que je ne connaissais pas et m'a entraîné vers un magasin avec une devanture recouverte de peinture.
— Entre !
Waouh ! L'odeur de cuir et de sexe dans le magasin ! Il y avait de tout sur les présentoirs : des slips, des strings, des slips sans fonds, des pantalons avec juste les cuisses en cuir, des gilets, etc... Il m'a mis la main au paquet sans gêne devant deux ou trois autres mecs qui se trouvaient là.
— Toujours excité par l'odeur ?
Il devait bien le sentir sans mon slip ! Je suis pas le genre petite bite !
— Oui j'aime l'odeur !
— Viens au sous-sol tu vas voir, c'est un peu spécial mais ça devrait te plaire.
Pour être spécial, c'était spécial ! Un mec d'une trentaine d'année était installé sur un truc en cuir attaché au plafond par des chaines – j'ai su après qu'ils appelaient ça un sling – les cuisses écartées, le cul bien visible et ouvert. Il se branlait la queue et un autre lui titillait les tétons avec la langue. J'ai pas eu trop à masser mon pantalon, je bandais comme un cerf et le mec qui m'avait accompagné a ouvert ma braguette pour dégager ma queue puis me descendre le pantalon aux chevilles avant de me l'enlever.
— Waouh mec ! Belle queue !
Il a tiré un peu sur la peau de ma bite pour faire sortir le gland et sans attendre il s'est foutu à mes genoux pour la bouffer comme un mort de faim. Il y avait une odeur dans le local ! Un mélange de cuir, de sueur et de sexe à faire raidir n'importe qui ! Il a joué un moment avec mes couilles en suçant ma queue et m'a regardé par en dessous en souriant.
— T'as déjà senti l'odeur de bottes en cuir ?
— Non ! Trop cher pour moi.
— Il m'a guidé dans un coin moins éclairé où il y avait un mec en bottes luisantes en cuir.
— Penche-toi ! Sens-les.
Il poussait ma tête dessus et c'est vrai que l'odeur du cuir était très forte.
— Lèche-les !
J'ai sorti la langue, l'ai fait glisser sur le cuir brillant. Le mec me caressait les fesses pendant ce temps. Il me grattait l'anus, ma queue se balançait et une goutte a perlé au bout.
— T'es puceau du cul ?
— Oui mais...
— Pas grave.
Il a passé le doigt sur la goutte et a remis le doigt sur mon anus en poussant. J'ai poussé un petit cri quand son doigt est passé et j'ai serré les fesses dessus. Il agitait son doigt dans mes fesses en me léchant la queue puis les couilles. Il voyait bien que je ne débandais pas, la langue sur la botte à la lécher comme un accro du cuir.
— T'as envie de t'en prendre une dans les fesses ?
J'ai donné un coup d'œil sur sa bite déjà dressée.
— Ok. Pourquoi pas.
Il m'a relevé, entraîné sur le sling.
— Mets les pieds contre les chaînes, bien relevés.
Il a enfoui la tête entre mes fesses et m'a léché le trou pendant que je me branlais doucement, s'est redressé pour enfiler une capote et mettre du lubrifiant au bout. Il s'est accroché du sling et a guidé sa queue entre mes fesses. J'avais tellement envie qu'il est entré facilement. J'ai lâché un petit cri quand même quand il est passé dans mon trou. Chaque poussée dans mon cul faisait remuer le sling et me faisait revenir sur sa queue bien à fond. Le mec aux bottes s'est rapproché et m'a tendu sa bite à sucer en même temps. J'ai pas tenu très longtemps avant de me jouir sur le ventre et ils se sont retirés pour ajouter leur jus sur mon ventre. Le mec m'a tendu du sopalin pour m'essuyer et m'a aidé à me relever.
— T'as bien gagné un truc en cuir. On remonte, je t'offre ton premier objet fétiche cuir.
On a remis nos pantalons et quand on est arrivé en haut, j'ai vu des sourires sur les visages et une télé que j'avais pas remarquée en arrivant avec sur l'image le sling qui se balançait, vide. J'ai compris que chacun avait suivi ce qu'on avait fait. Alain – le mec qui m'avait amené – m'a souri.
— Pas gêné ?
— Bof non ! On a tous une bite et un cul !
— Viens par là.
Il me guidait dans les rayons avec les accessoires cuir et j'ai flashé sur un string noir et rouge avec deux anneaux à la taille de chaque côté, et une lanière derrière. Il était super et sentait bon le cuir frais.
— Tu veux l'essayer pour vérifier la taille ?
Il m'a regardé avec un petit sourire.
— Ok!
Et j'ai baissé mon froc pour le mettre devant les mecs du rayon. Le sentant avant de le poser, la lanière était un peu extensible et me chatouillait l'anus. j'ai tourné sur moi-même, exhibant mes fesses sans gêne.
— Génial, je vois que tu t'habitues au lieu. Viens comme ça à la caisse, garde ton pantalon à la main.
Un mec a découpé l'étiquette et Alain a payé.
— T'as envie de revenir ? avec ou sans moi ?
— Oui. J'aime bien, c'est sympa.
— Donne ton nom et ton prénom. Il va te faire une carte. C'est un club privé. Sans ça tu pourras pas entrer tout seul. Tu récupéreras la vraie carte après. Enfile ton pantalon que je te ramène.
Le mec de la caisse m'a donné une carte provisoire avec l'adresse du club en souriant.
— C'est gratuit pour les jeunes chez nous. Repasse quand tu veux !
Alain m'a raccompagné devant chez moi.
— J'ai gardé ton slip en souvenir. À une autre fois !
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