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Paco, mon vrai pote, et moi, on adore baiser. Quand on part en week-end, on est toujours prêt à sauter une gonzesse. La dernière fois pourtant on est tombé sur un gentil minet, genre éphèbe blondinet, qui faisait du stop. On s'est arrêté et on l'a embarqué. Il était mince, portait un jean qui lui serrait le cul. Ses cheveux étaient longs et son visage était tout rose. On a appris qu'il venait d'Allemagne. Il était sympathique et nous on a commencé à gamberger...
Paco a une belle queue longue et il a tout le temps envie de la fourrer dans des trous agréables. Moi, ma bite est courte mais très épaisse. Le garçon s'appelait Helmut. On a sympathisé. Comme je connais bien Paco je sentais qu'il triquait. Depuis le matin on n'avait pu lever aucune nénette. On l'avait bien lourde et nos couilles étaient remplies de jus. Sur un prétexte quelconque, Paco a bifurqué vers un chemin de campagne. Quand on s'est arrêté, Helmut a senti qu'on préparait quelque chose. Il a voulu s'en aller mais je lui ai gentiment passé la main autour du cou. Il tremblait. Paco lui a demandé de se calmer. Il a tranquillement sorti sa pine et j'ai poussé Helmut vers elle.
L'Allemand a dû se mettre à genoux. Il a avalé le noeud de mon pote sans trop faire d’histoire. J’ai regardé le spectacle en me touchant : Helmut avalait bien. Paco n'a pas tardé à l'arroser de son jus.
— Qu'est-ce que t'en penses ? j'ai demandé.
Paco m'a répondu que c'était une belle tapette. On a dit à l'Allemand de se foutre à poil. Il avait des fesses bien rondes, un vrai cul de femme... Sauf qu'il possédait une petite bite blanche avec quelques poils ridicules sur les couilles. Moi j'aime bien les homos a dit mon copain. Quand il s'est vidé, Paco est toujours de bonne humeur. Je lui ai répondu qu'il pourrait enculer Helmut en premier. L'idée l'a fait rebander. L'Allemand ne disait rien, il tremblait. Je lui ai touché la pine, c'était une vraie queue d'enfant et ça m'a fait drôle. Je l'ai un peu branlé en dégageant bien le gland violacé et Helmut s'est vraiment mis à bander.
— Ben tu vois, c'est pas sorcier, j'ai dit.
J'avais envie de l'enculer sur le champ. Ça m'aurait bien plu de le défoncer, de le faire gueuler de douleur mais j'avais promis à Paco. On a fait allonger l'Allemand sur le capot de la voiture. Paco et moi on a examiné sa raie et surtout son oeillet. C'était un machin minuscule, froncé, qui n'avait jamais été forcé. Comment on allait faire ? J’ai été chercher de la vaseline et j'en ai badigeonné la rosette d'Helmut. Quand j'en passais sur son cul l'Allemand frissonnait. Paco s'est impatienté. Il se pognait en me regardant faire et il m’a écarté brutalement en disant que ce cul l'attirait.
— Tu vas payer pour les gonzesses qu'on n'a pas eu, il a fait.
Il a ouvert les fesses d'Helmut qui s'est mis à crier de douleur.
— Arrête tu vas l’abîmer, j'ai dit.
Paco a rigolé en pointant son engin contre la rondelle suintante. Il a poussé. Helmut a rué, Paco lui a foutu deux baignes et l'Allemand s'est alors tenu tranquille.
— À présent tu vas la sentir... Après ce sera au tour de mon copain. Lui c'est un vrai phénomène.
Il a poussé doucement. J'ai vu sa barre s'enfoncer dans l'anneau. Je me suis approché et j'ai touché la bouche d'Helmut J'ai eu envie de me faire lécher la pine pendant que Paco le bourrait. La bouche de l'Allemand était étroite. Ma grosse queue avait du mal à trouver sa place. Il y avait toujours la barrière des dents. La colère est montée en moi, j'en avais marre de ce petit trou. J’ai giflé à mon tour l'Allemand qui s'est mis à pleurer.
— Bon dieu, tu vas bien me sucer, oui ? Tu n'as jamais fait de pompier, c'est ça ? Et bien apprends ! Et vite, sinon on te défonce avec autre chose que nos bites. Une belle bouteille, ça te dirait ?
Ma menace a porté ses fruits. L'Allemand a cherché à rendre sa bouche tendre, absorbante. Il a mis beaucoup de salive et j'ai fini par gicler dans sa gorge. Pendant ce temps Paco l'enculait toujours. Ça se faisait sans trop de problème puisqu'il s’est également vidé. On a pris un peu de repos.
— Maintenant que je lui ai cassé le cul, à ton tour ! a fait mon pote.
J'avais le mandrin qui me pesait. Helmut y jetait parfois un coup d'oeil inquiet.
— C'est pour toi mon mignon. Je vais te le fourrer le plus profondément possible.
L'Allemand a dû se mettre à quatre pattes. On lui a de nouveau beurré la raie puis j'ai foré son oignon qui était tout boursouflé. Je l'ai enculé jusqu'à la garde. Helmut grimaçait mais il tentait docilement de s'ouvrir. Paco, tout en se pognant en face de nous, le complimentait. Je l'ai défoncé une fois son cul totalement dilaté. Je trouvais cela bien agréable, mieux qu'un cul de nénette. J'ai commencé à le pistonner tout en le branlant car je ne voulais pas être en reste avec lui. Sa petite queue me fascinait. Elle était raide, rouge et quand il a joui, elle a lâché deux tout petits jets de jus. J'ai goûté, c'était amer. Une vrai petite poule cet Helmut ! Moi je me suis vidé les couilles dans son anneau. Paco et moi étions enfin calmés.
On a repris l’Allemand et on l’a amené à bon port. II est parti sans se retourner. Il marchait difficilement. Il devait avoir le trou du cul brûlant. Je suis sûr qu’il n'a pas pu s'asseoir normalement pendant toute une semaine !
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