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Je m’appelle Didier, je viens d’avoir dix-huit ans et j’habite dans la banlieue de Lyon. L’été dernier, nous habitions encore à Bourg-en-Bresse, et nous avons été invités mes parents et moi, à déjeuner un dimanche chez mon oncle et ma tante qui ont une ferme dans le Haut-Jura. Mon frère Étienne qui a vingt-deux ans n’était pas avec nous car il travaille depuis trois ans à Paris comme fonctionnaire.
Au milieu de l’après-midi, mon cousin Gilles est venu voir ses parents avec sa femme et ses deux enfants. Il a à peu près trente ans et il est employé dans une entreprise de transport de la ville d’à côté. Dans la conversation, il parlait de ses voyages pour son travail et dit qu’il descendait deux fois par semaine à Toulon. Comme mes parents m’emmènent toujours à la montagne pour les vacances, il leur proposa de m’emmener une fois avec lui pour que je vois la mer.
Le rendez-vous fut pris et le mercredi suivant, à sept heures du matin, je montais dans son camion à Bourg. Le voyage fut un peu long à cause des départs en vacances. Après avoir déchargé son bahut au port de Toulon et avant de reprendre l’autoroute pour remonter, il m’emmena sur une plage à la sortie de la ville et je pris mon premier bain de mer. Comme nous nous étions un peu attardés, nous sommes arrivés à Lyon vers dix heures du soir. À l’entrée de la ville il quitta l’autoroute pour aller casser une croûte au relais routier et téléphoner pour prévenir qu’on arriverait tard dans la nuit. Après le repas, comme il voulait se reposer un peu avant de reprendre la route, il s’allongea sur la banquette derrière les sièges. Assis dans l’obscurité je regardais les allées et venues sur le parking. Il y avait deux putes qui draguaient et y en a une qui est montée à côté de mon camion. Je ne voyais pas grand-chose car il faisait nuit mais j’ai deviné que la fille suçait le mec assis au volant. Ça m’a fait bander aussitôt. À ce moment, mon cousin est descendu s’asseoir sur la banquette à côté de moi en disant : «Eh bien, on dirait qu’il y a du spectacle à côté mais vaut mieux pas trop y toucher si on a pas envie de se choper une saloperie. Une petite branlette ça fait pas de mal. Allez, te gêne pas, on est entre hommes.»
Et dans l’obscurité j’ai deviné qu’il ouvrait sa braguette et commençait à se branler en regardant le camion d’à côté. J’étais vachement gêné mais, pour ne pas paraître idiot, j’ai baissé un peu le devant de mon short pour me toucher. Soudain j’ai senti la grosse main de mon cousin empoigner ma bite en me disant : «Tu sais, entre routiers, on a l’habitude de se rendre des petits services...» Je me mis à transpirer. Après quelques minutes dans le silence il tira le rideau devant le pare-brise en disant : «Allez, étends-toi sur la couchette, je vais t’en faire autant.»
Je me suis retrouvé allongé, le short et le slip rapidement ôtés, et mon cousin à genoux sur la banquette s’est mis à me sucer. Ça m’a fait une impression extraordinaire de sentir ma queue dans sa bouche chaude et pleine de salive. Sentant que j’étais sur le point de jouir il a abandonné ma bite pour prendre mes couilles dans sa bouche. En même temps sa main gauche me caressait la poitrine et sa droite les cuisses. Après m’avoir repompé le nœud un moment, il s’est relevé en me disant : «À mon tour maintenant.» Toujours à genoux sur le siège il a baissé son froc. Et j’ai senti quelque chose buter contre mes lèvres. Dans le noir j’ai ouvert la bouche et j’ai senti quelque chose d’énorme qui s’y enfonçait. Allongé sur le côté, la tête maintenue par mon cousin, j’ai sucé comme je pouvais sa queue. En y mettant la main pour ne pas qu’il s’enfonce trop. J’ai trouvé que sa tige était longue mais beaucoup moins grosse que le bout. Au bout d’un moment il s’est retiré en me disant : «Tu te défends pas mal mais attends je vais t’apprendre d’autres trucs.»
Je me suis alors senti basculer rapidement et me suis retrouvé à genoux sur le siège, le torse allongé sur la couchette. Et tout chavira dans ma tête quand j’ai senti quelque chose de chaud et de mouillé sur mon cul. Il me léchait le trou et essayait d’y mettre sa langue dedans. Je trouvais ça dégueulasse mais en même temps c’était vachement bon. Il me mouillait abondamment. Et, sans prévenir, il m’enfonça un doigt dans le cul et le tourna dedans. Je lui ai demandé d’arrêter, ça ne me plaisait pas. Il m’a dit : «Laisse-toi faire, tu vas voir, tu vas prendre ton pied !» Je l’ai entendu cracher et une main m’a appuyé sur le creux des reins. J’ai senti quelque chose de gros sur mon cul et j’ai compris à ce moment qu’il essayait de m’enfiler sa bite dedans. J’ai voulu me dégager mais ses deux mains me tenaient fermement les hanches. Mes sphincters s’ouvraient sur son gland épais et une violente douleur, comme une brûlure, m’a fait gueuler un coup. Ça s’est mis à tourner dans ma tête et mes jambes tremblèrent. Je l’ai entendu dire : «Ça y est, le plus dur est passé, décontracte-toi.»
Il ne bougeait plus. J’avais la tête en sueur et les mains agrippées à la couverture de la couchette. Je lui ai demandé de se retirer mais, comme réponse, j’ai senti sa pine continuer à s'enfoncer. J’avais l'impression que mon cul se déchirait. Quand son ventre s’est appuyé contre mes fesses je me suis dit que c’était fini. Il est resté un moment immobile puis s’est mis à bouger de gauche à droite en faisant tourner sa pine toujours à fond dedans. Puis il s’est retiré lentement pour se renfoncer de nouveau puis de plus en plus vite. Je n’avais plus mal et ça devenait même agréable. Je me suis remis à bander. Il me pistonnait à fond. Il s’est mis à respirer très fort, s'est poussé à fond en moi et j’ai senti les contractions de sa bite qui giclait en moi. II s’est emparé de la mienne et j’ai joui presque tout de suite. J’étais trempé de sueur. Je l’ai senti se retirer doucement et ça m’a fait de nouveau mal quand le bout est sorti. En me tendant un Kleenex pour m’essuyer, il m’a dit : «Alors, p’tit salaud, je t’avais dit que t’allais prendre ton pied !»
Après s’être rhabillé, il a repris le volant. Pendant le voyage de Lyon à Bourg il m’a raconté comment il avait découvert ça avec un voisin cultivateur quand il avait quatorze ans et puis rien jusqu’à son mariage. Mais maintenant, il se faisait régulièrement des gars, en particulier des autostoppeurs. Et un soir, sur le parking où on était, ils avaient été plusieurs à se faire un mec qui les avait provoqués. Je compris à ce moment ce que voulait dire le mot «enculé» que j’entendais de temps en temps. Et j’ai été bien content en rentrant à la maison que mes parents soient déjà couchés.
J’avais un peu oublié tout cela jusqu’aux vacances de Noël où nous étions invités, toute la famille, au mariage de la sœur de mon cousin Gilles. Ça m’ennuyait un peu de le revoir mais en arrivant il m’a dit salut en me faisant un petit clin d’œil discret. Pendant le bal, le soir, il est venu s’asseoir vers moi en me demandant si je m’amusais bien. Il m’a dit que c’est lui qui avait suggéré de me donner Sylvie comme cavalière parce qu’il la trouvait bien mignonne, ce qui était vrai. Puis il s’est levé en disant : «Putain, il fait une chaleur là-dedans, je vais prendre l’air. Tu viens avec moi ?» Je ne sais pas pourquoi mais je me suis levé et je l’ai suivi. On a traversé le parking de l’hôtel sans rien se dire. Au fond il y avait une rangée de garages. M’empoignant par la main il m’entraîna dans un qui était occupé par une camionnette en me disant : «Allez, viens !» On était tous les deux au fond dans l’obscurité. En défaisant sa ceinture il me dit : «Faut qu’on se dépêche.» J’ai baissé aussi mon futal et j’ai senti ses deux mains m’appuyer sur les épaules. J’ai compris qu’il voulait que je le suce. Il bandait déjà comme un taureau et moi aussi. Ma bouche était grande ouverte pour avaler son gros nœud. Il m’a dit : «Ouais, tu fais ça comme un chef, maintenant, allez mouille-la bien.» Et je pris du plaisir à le sucer.
Au bout d’un moment il m’a relevé en me disant sèchement : «Allez tourne-toi maintenant.» Je lui ai dit que j’en avais pas envie. Il m’a dit : «Je veux juste me frotter dans ta raie bien mouillée, je vais pas t’enculer ici.» Il m’a fait appuyer sur le capot de la bagnole, a craché dans sa main et a commencé à me mouiller la raie et le cul. Puis il a introduit un doigt, puis un deuxième. J’avais maintenant envie qu’il me prenne mais, en même temps, j’avais peur d’avoir mal comme la première fois. Me sentant consentant il a essayé de m’enculer mais ça ne rentrait pas. Il a recraché dans sa main, s’est mouillé et a poussé d’un coup sec. La surprise et une douleur violente m’ont fait pousser un cri. Sans s’en occuper il s’est mis à me piner rapidement comme s'il était pressé de jouir. Tout à coup il s’est arrêté et s’est aplati sur mon dos en me chuchotant à l’oreille : «Bouge pas, il y a quelqu’un qui vient !» La peur m’a fait débander rapidement. Les pas se rapprochaient, je sentis mon cousin se retirer quand je l’ai entendu dire : «Ah, c’est toi, putain, tu m’as foutu la trouille.» Et il s’est mis à me limer comme si nous n’étions que tous les deux.
J’ai alors reconnu la voix de mon frère Étienne quand il a dit : «Ah mes salauds, je m’en doutais quand je vous ai vu partir tous les deux.» Mort de honte j’essayais de me dégager en repoussant de la main mon cousin mais il me tenait fermement aux hanches. Je ne savais plus quoi faire. À ma grande surprise j’ai senti une main m’empoigner les couilles. C’était celle de mon frère qui chuchota : «Oui, vas-y, bourre-le bien !» et il s’est mis à me branler un moment puis me lâcha. Gilles s’est excité de plus en plus et ses hanches tapaient contre mes fesses à chaque mouvement. J’avais le cul en feu. Soudain je vis mon frère à côté de moi, dans la même position, les mains sur le capot et je l’entendis dire : «À moi maintenant !» La bite de Gilles s’est retirée de mon cul et il s’est placé derrière mon frère. J’en revenais pas. J’ai entendu Étienne faire un «ouais» et je compris que Gilles venait de l’enfiler. Je ne voyais rien si ce n’est la silhouette de Gilles qui reprenait sa cadence. Rapidement je l’ai entendu haleter et pousser un râle en s’immobilisant. Je me branlais en même temps, debout à côté d’eux. Puis j'ai senti mon cousin m’attirer à lui et me placer derrière mon frère. Je ne savais plus où j’en étais et quoi faire quand j’ai senti la main de mon frère m’empoigner la bite et se la placer devant le cul. J’ai poussé un peu et c’est rentré tout seul.
L'intérieur était chaud et tout lubrifié de la jute de mon cousin. Je me suis mis à limer doucement. Gilles me dit : «Vas-y, plus fort !» en m’appuyant sur les fesses. Et quand il m’a introduit un doigt dans le cul je me suis mis à jouir comme un fou et mes jambes tremblèrent complètement. J’étais toujours dans mon frère quand j’ai senti son cul se compresser sur ma bite : il était en train de jouir lui aussi en se branlant. Mon cousin s’éloigna en disant qu’il retournait à la soirée. En se rhabillant, mon frère me dit seulement : «Dépêche-toi, ils vont se demander où on est passés.» J’étais tout retourné et ébloui quand on est arrivés dans la salle. Gilles dansait déjà comme si rien ne s’était passé. Tout se bousculait dans ma tête, je n’en revenais pas et j’étais crevé.
Le lendemain matin je suis réveillé par le bruit de la porte qui s’ouvre. Il fait déjà jour. Je suis tourné du côté de la fenêtre mais je reconnais la voix de Gilles : «Vous venez, on va virer les mariés !» Étienne se lève rapidement, va jusqu’à la porte et répond doucement : «Fais pas de bruit, y’a le frangin qui a été malade toute la nuit et je suis complètement crevé.» La porte se referme et j’entends la clef tourner dans la serrure. Il revient se coucher. Je roule alors sur le dos pour le découvrir, au-dessus de moi, la tête appuyée dans la main, un grand sourire aux lèvres. C’est agréable. Instinctivement, mes bras sortent de dessous les draps pour enlacer Étienne qui s’étend sur moi. Nous nous embrassons longuement. Se laissant glisser sur moi, sa bouche vient me sucer et me mordiller la pointe des seins, me faisant découvrir de nouvelles sensations. Je me sens bien et j’aime être écrasé par le poids de son corps. Se relevant, il vient s’asseoir sur ma poitrine et je découvre pour la première fois son sexe bandé juste sous mes yeux. Il me paraît énorme. Je suis fasciné, ne croyant pas qu’un homme pouvait avoir un truc aussi gros. Son gland est aussi large que celui de Gilles mais sa bite est plus longue et plus épaisse et ses couilles, rebondies sur mon torse, forment un gros paquet. Sans rien dire il se penche en avant et dirige le bout de sa bite vers ma bouche. J’essaie de le sucer en faisant attention de ne pas lui faire mal avec mes dents. La position n’est pas confortable. Il se retire, se retourne, retire les couvertures pour m’ôter mon slip. À califourchon sur moi mais me tournant le dos il se met à me sucer doucement et délicatement. Sa bite se plaque sur ma figure. Je le reprends dans ma bouche et on se suce un long moment. C’est super. Puis il se met à me lécher les couilles et j’en fais autant. Il me coince ensuite les cuisses sous les bras, m’obligeant à soulever mes fesses qu’il écarte pour me bouffer le cul. En même temps il s’est redressé et s’est presqu’assis sur ma figure. Je lui lèche le trou. Après m’avoir bien inondé le cul de salive je sens un, puis deux doigts s’introduire dedans et me fouiller. Excité je pousse ma langue dans le sien et ça doit lui plaire car il se trémousse sur moi pour que je m’enfonce encore plus au risque de m'étouffer.
Il se relève brusquement et vient s’agenouiller entre mes jambes qu’il relève contre mon ventre. Après avoir enduit sa bite de salive il la dirige contre mon cul. J’ai un peu peur vu la taille de son engin. Je sens mon trou s’ouvrir pour laisser le passage à sa bite. Ça me fait mal mais je n'ai pas envie qu’il s’arrête. Ça n’en finit pas d’entrer en moi et de me dilater. Tout tourne dans ma tête et j’ai comme envie de vomir. Il ne bouge plus, il est au fond de moi.
Ce traitement durera longtemps et me mit le cul en feu. S’emparant de ma bite il se mit à me branler tout en me limant avec force. Je partis rapidement dans une jouissance folle ce qui le fit décupler de puissance et me défoncer littéralement. Je le sentis éjaculer, complètement enfoncé en moi, en poussant de grands râles de plaisir. Puis il s’effondra sur moi, laissant progressivement sa queue ressortir en même temps qu’elle se ramollissait. Allongé sur moi il m’a demandé si c’était bon, mieux qu'avec Gilles, et m’a demandé de lui raconter ma première rencontre avec mon cousin. Il m'a expliqué comment il avait fait ses premières expériences avec lui quand il était en vacances chez mon oncle. Il m’a dit qu'il avait une petite amie à Paris avec qui il vivait mais de temps en temps il avait des aventures avec d’autres mecs.
Le soir, le retour à Lyon fut bien long et nous avons raccompagné mon frère à la gare pour qu’il rentre sur Paris. En me disant au revoir sur le quai il m’a dit discrètement à l’oreille : «J'espère bien qu'on aura l'occasion de se revoir bientôt petit frère !» En rentrant j’ai découvert que j’avais encore beaucoup de choses à apprendre...
Quand je me branle, maintenant, j’aime bien me mettre un doigt dans le cul, ça me procure une plus forte jouissance. Au lycée je continue de flirter avec une fille et j’ai de plus en plus envie de baiser avec elle mais elle ne veut pas. Mais je me surprends aussi de plus en plus souvent à regarder d’autres copains et le gonflement de leur braguette. Je repense de plus en plus à mon frère. Avec mon cousin c’était simplement sexuel, mais avec mon frère, c’était autre chose. Je crois que je suis amoureux de lui mais je n’ose pas lui écrire de peur que sa copine ne lise ma lettre...
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