L'histoire de la semaine

Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 14:00

J'étais assis dans une voiture qui m'avait pris en stop Porte d'Orléans. Ils étaient déjà trois : deux devant et un à l'arrière. Après Auxerre, en pleine campagne, le chauffeur se dirigea vers une aire de service pour prendre de l'essence.

Le premier passager descendit, alla à la boutique et revint à la voiture. Le chauffeur se remit au volant, démarra le moteur et, à ma grande surprise, l'autre monta à l'arrière à côté de moi. Je ne comprenais pas bien ce qui se passait jusqu'à ce que les deux mecs commencent à caresser mes cuisses. J'essayai de me débattre et, pendant ce temps, chacun ouvrit sa braguette et sortit sa queue. Tiré par l'un et poussé par l'autre ils me penchèrent vers un sexe.

- Suce ! Dis l'un.

- Non !

- Tu penses que tu as le choix ?

Il tira mes cheveux et son sexe heurta mes lèvres.

- Ouvre la bouche !

- Mmmh ! Fis-je en secouant la tête.

L'autre commença à me caresser le cul et dit :

- Si tu veux qu'on commence par là, dit-il en appuyant un doigt sur mon petit trou. Tu auras le goût de ta merde en plus d'être enculé à sec !

Il tira sur la ceinture de mon pantalon qui finit par céder. Il déchira mon slip aussi et je sentis la fraîcheur de l'air sur mes fesses. Finalement j'ouvris la bouche et, posant ses mains sur ma tête, il me força à l'avaler tout entier. Pendant ce temps-là l'autre descendait mes vêtements en lambeaux jusqu'à mes chevilles. Quand celui qui était dans ma bouche éjacula, il cria :

- Avale !

Après avoir dégluti il me releva, me tourna et avec force il me pencha sur la queue de son copain que j'engloutis d'un seul coup. Il ramena mon cul au bord du siège et enfonça sa bite dans mon cul. Il s'activait fortement entre mes fesses et ses coups de reins enfonçaient plus ou moins loin la bite de son copain dans ma gorge. L'un et l'autre, émoustillés par leurs sexes enfoncés en moi, éjaculèrent en même temps.

Ensuite, celui qui avait le plus petit sexe s'allongea sur la banquette. Le deuxième me fit asseoir sur sa bite et me coucher sur le torse de son copain. Celui-ci releva ses genoux et écarta ses jambes. De ses mains, il écarta mes fesses et son sexe entra jusqu'à la racine. L'autre avait un sexe plus gros. Il s'agenouilla derrière moi et, rejoignant la queue de son copain, il s'enfonça dans mon cul. Il avait du mal à rentrer tout entier, alors il se mit debout et, poussant de toutes ses forces, il s'ouvrit le passage et les deux sexes pénétrèrent à fond dans mon cul. Leur éjaculation conjointe leur permit de remuer ensemble et leurs deux queues ont pu glisser ensemble entre mes fesses. J'ai éjaculé moi aussi. Ils se sont relayés avec le chauffeur. Un dans ma bouche, deux dans mon cul. Dès la première sodomie à deux j'avais arrêté de me défendre. Je crois que je ne connaîtrais plus jamais autant de plaisir qu'avec deux mecs dans mon cul...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 14:09

Sur le bord de la route, un camion s'arrêta pour me prendre en stop.

- Tu vas où ? Demande le chauffeur.

- En Espagne !

- Allez, monte ! Poses ton sac sur la couchette derrière et installes-toi. On va prendre l'autoroute. Tu vas où en Espagne ?

- Je ne sais pas, on verra là-bas !

- On dirait que t'as des problèmes ?

- Je viens de perdre mon boulot, ma copine m'a quitté et on m'a foutu dehors de mon appart. Alors !

- Alors quoi ?

- Alors, pourquoi je resterais ici ?

- Quel âge tu as ?

- Pourquoi ?

- Si t'es mineur, je ne veux pas d'embêtement !

- Je fais si jeune que ça ?

- Je ne sais pas mais maintenant je fais gaffe. L’apparence ne veut rien dire. Il y a trois mois j'ai eu des emmerdes. J'ai ramassé un gamin il faisait plus vieux que toi. J'te jure on aurait dit un homme. Je n’aurais jamais cru qu'il n’avait que quatorze ans. Heureusement qu'il avait ses papiers sur lui et qu’il n’a pas menti aux flics !

- Vous voulez voir la mienne ?

- Je ne veux pas avoir l'air...

- C’n’est pas grave, tenez !

A la première station-service, le camion s'arrêta. Après avoir fait le plein, le routier me dit :

- Si tu veux pisser, il faut y aller maintenant. On ne va pas s'arrêter de sitôt. A chaque arrêt, on gaspille du carburant.

Nous sommes allés pisser et là j'ai eu un problème. La fermeture de mon pantalon cassa. J'essayai de baisser mon pantalon et le routier me dit :

- Qu'est-ce que tu fais ?

- Ma fermeture s'est coincée et en insistant je l'ai cassée. J'essaye de baisser mon pantalon mais je n’y arrive pas !

Il vint m'aider et le jean glissa enfin. Le slip glissa avec.

- Putain, quel cul ! S'exclama le routier.

Nous remontâmes dans le camion, lui en chemise, moi, son pull autour de la taille pour cacher que j'étais en slip.

- Je vous ai entendu tout à l'heure, dans les chiottes !

- Et alors ?

- Il vous plaît, mon cul ?

- Pourquoi ?

- Ben, je pense qu'il fera nuit avant qu'on arrive en Espagne. Si vous en avez envie, on peut...

Il récupéra son pull et ses yeux se posèrent sur mes cuisses. Il redémarra, l'air pensif. Au bout de quelques kilomètres, il regardait alternativement la route et mes cuisses.

- Montes dans la cabine et mets-toi à poil, me dit-il.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je revins m'asseoir, les fesses à même le cuir, la bite dressée.

- Ouvres ma braguette et suces moi !

J'ouvris son pantalon et je libérai un engin que Rocco Siffredi n'aurait pas renié.

- Pas mal, hein ? dit-il

- Waouh ! Fut ma réponse.

- Tires le rideau de ton côté, qu'on te voit pas !

Une main sur le volant, de l'autre il me caressait. Sa grosse main rugueuse se baladait sur mon dos, mes épaules... Quand je pris son pieu dans la bouche, je me rapprochai le plus possible de lui pour qu'il puisse atteindre mes fesses. Contrairement à ce que j'attendais, au lieu de mettre sa main sur mes fesses, il la mit sur ma nuque et pesa sur ma tête jusqu'à ce que mes lèvres s'écrasent sur la forêt de poils entourant sa grosse bite.

- Avales ! dit-il accompagnant le geste.

Le membre énorme s'enfonça dans ma gorge, provoquant un début de nausée.

- Respires par le nez, dit-il, sinon tu vas vomir ! C'est vrai que t'as un beau cul ! J'en frémis déjà à l'idée de t'embrocher comme un poulet !

- Mais c'est trop gros, vous n’y arriverez jamais. En tout cas pas tout entier !

- Tu verras ce soir ce qu'un cul est capable de prendre ! Je crois même que tu en redemanderas…

La nuit tombée, le camion s'engagea sur la bretelle d'une aire de repos. Il alla se garer bien à l'écart.

- Vas y montes, dit le routier, mets-toi à quatre pattes au milieu de la couchette. Tu baisses la tête et tu relèves ton cul.

Une fois dans la position indiquée il vint me rejoindre. Il passa un bras autour de ma taille et pointa son gros zob sur mon petit trou. Il poussa doucement avec son bassin et le gland entra en moi.

- Vous allez me faire mal, bredouillais-je.

- Tu vas voir, si tu as peur, j'ai un remède ! Mets tes bras autour de ma taille et laisses-toi faire.

Il me saisit sous les fesses, me souleva et se retourna. Il était allongé sur le dos et moi assis sur sa bite. Il me saisit par les hanches, me souleva et me tira vers le bas. Le sexe me pénétra un peu plus profondément.

- Voilà, dit-il, je vais t'aider. Quand tu as mal on arrête et quand la douleur cesse, on recommence. Tu verras, au bout de quelques minutes, sans t'en apercevoir, tu auras tout dans le cul.

Effectivement, après quelques mouvements du cul, les poils du ventre du routier chatouillèrent mes fesses.

- Allez, maintenant on revient comme tout à l'heure, dit-il.

Ce fut beaucoup plus facile. Il n'eut même pas à me porter cette fois. Mes mains sur ses fesses et sa queue enfoncée toute entière suffirent à me tenir collé à lui. Il me tendit un mouchoir et me demanda de l'enfoncer dans la bouche.

- C'est juste pour le début, dit-il, après, tu vas tellement mouiller que ça glissera tout seul !

Les premiers mouvements de sa queue brûlèrent les parois de mon cul. J'avais le feu aux fesses.

- Voilà, dit-il, t'as la bonne couleur ! Ton cul est rouge comme celui d'un singe. Ça ne va pas tarder à aller mieux.

C'était vrai. Sa queue monstrueuse commençait à glisser plus facilement entre mes fesses. Mon cul était humide. Une sensation agréable avait remplacé la douleur. Bientôt il éjacula en moi.

- Ne sortez pas ! Criai-je. Je voudrais qu'on se retourne encore.

De nouveau, je me retrouvais assis sur lui. Les mains posées sur ses cuisses, je montais et descendais de plus en plus vite le long de cette tringle monstrueuse. Le routier haletait comme une forge. Son sperme dans mon cul faisait un bruit de succion et, de voir mon cul coulisser le long de son pieu, il lâcha une bordée de sperme plus abondante que la première. Il poussa un cri en dégageant mon cul de sa barre à mine.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 2 novembre 7 02 /11 /Nov 13:42

J’étais assez jeune à l’époque. J’avais un copain plus précoce : Damien. On était dans le même établissement, mais pas dans la même classe. Et on était aussi voisins, donc souvent ensemble sur le chemin du bahut et dans le quartier.

À côté de chez nous il y avait une maison qui est restée vide et inoccupée longtemps. Elle était vide de tout à l’intérieur. Damien et moi avions trouvé une entrée pour pénétrer dans cette maison envahie de végétation au-dehors. On se faufilait par la porte de la cave, désajustée et où se glissait à peine plus qu’un chat (mais on était sveltes).

On allait assez souvent là car on savait que personne ne viendrait nous y chercher. Au départ on n’avait pas de pensées lubriques mais ensuite, on en avait à chaque fois à cause de l’attitude qu’eût Damien lorsqu’il me guida dans la maison pour la première fois. Lui y étant déjà venu, on passe de pièce en pièce. Un peu obscurcies par le vert de la végétation, ces salles vides prodiguent un certain trouble c’est vrai. Une sensation d’irréalité, de territoire hyper-protégé pour des jeunôts comme nous. On inspecte le grenier, on redescend... et à un moment je perds Damien de vue. Quand je le retrouve, il est debout dans la chambre où ne restaient que des fragments de papier peint aux murs. C’est la pièce la plus sombre car elle donne sur un tilleul. Damien a les jambes écartées et, tourné vers la fenêtre, il se branle. Il n’arrête pas à mon entrée car, m’explique-t-il ensuite, je suis survenu au moment où le sperme était à ras du gland. Stupéfait (il est bien un peu fou, mais de là à ce qu’il se branle devant quelqu’un !), je le regarde se finir. Curieux de voir sa bite tendue comme un cierge blanc devant lui, jeme suis  insensiblement approché en biais pour le voir s’astiquer. Cet acte me trouble. Je me sens frustré qu’il ne m’en ait pas parlé et frustré de ne pas le faire aussi. Quand on redescend, Damien explique que cette maison lui fait de l’effet. L’assurance de n’être jamais vu là de personne lui donne des idées. Je comprends alors que dans chacune de ses visites antérieures, il s’était branlé comme un sauvage, tel que je l’avais vu ce jour, pour envoyer avec fureur sa jute sur le plancher.

Quelques jours passèrent et un après-midi, je le vois revenir seul de l’endroit. J’en suis aussitôt malade d’envie et de jalousie. D’une voix rauque, je déclare :

— Eh bien c’est mon tour alors, maintenant, de faire une virée là-bas.

Il est chaud ce salaud ! Il ne pense qu’à s’en donner avec la queue. Pourtant ce n’est pas cette fois-là que nous sommes retournés à la maison. Lorsque nous avons traversé pour la seconde fois – moi, tout au moins – le clos envahi d’herbe et noyé de verdure, le printemps commençait et j’avais des frémissements dans la culotte. J'ai suivi Damien avec la peur au ventre, en sachant ce qui risquait fort de se passer, mais aussi avec une envie paroxystique dans le slip.

On entre, on monte. La pièce au papier peint. Damien se touche. Je vois qu'il bande. Je me touche aussi quoique plus fugitivement. Damien insiste sur sa braguette gonflée. Je jette un œil par la fenêtre. Quand je reviens vers le milieu de la pièce, Damien guette mes réactions. Comme il est prêt à se sortir le nœud, je demande :

— Aujourd’hui aussi la maison te fait de l’effet ?

— Ouais ! répond-il.

— Et tu vas t’en taper une ?

— Y’a des chances.

— Moi aussi alors ! que je lui réponds.

Avant même que Damien ait sorti sa bite raide, j’avais exhibé mon manche que je tenais bien dur et bien tendu devant moi sans le sentiment de honte ou de gêne que j’avais redouté. Damien présente à ma vue son sexe horizontal depuis le fourneau des poils. Vicieux, l’œil trouble et la langue passant entre ses lèvres, il se met à se branler après avoir encore durci. Jamais je n’ai eu les couilles si bourrées de jus. Jamais je n’ai eu une telle envie de me délester. C’est impensable ! On s’est astiqués en se regardant l’un, l’autre. Bien plantés sur les jambes un peu écartées, on s’est offert respectivement le spectacle de nos virilités éprouvées par nos mains frénétiques... Dans un râle j’ai envoyé tout ce que j’avais en trop, quelques centilitres de la meilleure dose, un bon splash dans un grand flash !

On s’est essuyés je ne sais trop comment. Je n’étais pas honteux mais je n’éprouvais pas l’envie de commenter. Damien, qui avait éjaculé sensiblement au même moment, en direction du plancher, déclara qu’on était allés trop vite, que c’était du gâchis, mais que la prochaine fois on se branlerait l’un l’autre. J’en fus surpris car je ne le savais pas pédé. Mais plus encore, j’en fus bouleversé. Je me rendis compte de l’impression violente que cette perspective produisait sur moi. Déjà mes pensées devenaient vertigineuses et je bandai à nouveau. La fois suivante (soit la semaine d'après jour pour jour) on se branlait avec délices, Damien et moi, lui me masturbant, moi le masturbant. C’était un plaisir renversant et une délivrance inouïe... Délivrance, car toute la semaine j’avais imaginé ça, en entrant aussitôt en érection sous mon pupitre. Vingt fois j’avais dû croiser les jambes pour cacher une trique qui me laissait sans repos dès que je songeais à la séance prochaine dans la maison verte. Puis enfin, le jour où j’ai branlé la bite tiède de mon copain en sentant la mienne frottée par lui, j’ai compris qu'il y avait une sacrée composante homo dans ma personnalité. Ça ne me gênait pas. C’était beaucoup trop bon !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 26 octobre 7 26 /10 /Oct 14:11

Episode précédent... Camping naturiste en famille - 2

 

Le jus coulait encore de mes fesses, rempli par ce grand black et Samuel, et mon cul débordait de sperme. Mon père se tenait devant moi, à poil.

- "Raproches-toi Léo"

Il remit sa main au niveau de ma raie et avec son doigt enleva le jus qui en sortait.

- "Tu t'es fait remplir en plus ?"

Je baissais toujours les yeux, honteux devant mon père.

- "Tiens, lèches"

Il me donne son doigt plein de sperme.

- "Lèches je te dis !"

Il hausse le ton. Je met son doigt dans ma bouche et le suce. Il le remet dans mon cul en l'enfonçant davantage puis me redemande de le sucer.

- "Je savais pas que mon fils aimait le jus à ce point..."

J'ai toujours son doigt dans la bouche, je le suce comme si je pompais une bite... La queue de mon père commence à gonfler, doubler, tripler de volume et se dresser entre ses cuisses... Je n'avais pas imaginé mon père si bien monté...

- "Hmm tu me fais de l'effet Léo. Tu suces souvent des bites ? Tu te fais souvent baiser ?"

En me demandant ça il me doigte généreusement la chatte, ce qui ne fait qu'amplifier son érection.

- "Viens, on va à la salle de bain, ta mère va rentrer".

Je suis mon père jusque dans la petite salle de bain du mobile-home. Il referme la porte derrière lui et tourne le verrou.

- "Suces moi Léo !

- "Mais papa...

- "Montres ce que tu sais faire avec une bite.

- "Je peux pas papa.

- "Tu veux que je dise à ta mère que je t'ai pris en train de te faire baiser par Sam dans les buissons ?

- "Non.

- "Alors suces !"

Il m'attrape la tête et enfourne sa grosse queue de force dans le gosier. Me voilà en train de sucer mon père. Il doit avoir 20 bons centimètres épais entre les jambes... Dommage que je n'aie pas hérité de ça chez moi !

- "Hmm, c'est bon Léo, tu suces comme un pro, ta mère ne fait pas mieux."

Justement, on entend la porte d'entrée ouvrir et ma mère crier :

- "C'est moi !"

- "On se douche avec Léo dans la salle de bains chérie ! "

Mon père me tient toujours la tête et moi je le pompe comme un fou.

- "Ok. Ca va Léo ? T'as bien couru ?" demande ma mère à travers la porte.

- "Oui slurp slurp, oui maman slurp slurp"

J'ai du mal à répondre avec les 20 cm de queue de mon père dans la bouche. Mon père reprend sa bite en main et se branle devant moi.

- "Viens, approche ta langue Léo" chuchote-t'il dans la salle de bain.

- "Non papa, je veux pas !

- "T'as pas le choix fils, ou je te balance à ta mère, ramène ta bouche !"

A peine ai-je posé la langue sur son gland qu'il me tapisse la bouche de foutre.

- "Hmm oh putain oui, vas-y avales Léo, avales... Hmmm lèche, vas-y lèche"

Je m'efforce de gober le jus de mon père. Il a laché une sacrée dose putain ! Puis je lui rince le gland comme il faut.

- "Allez sors de là, je vais me doucher ! "

Je sors de la salle de bain, laissant mon père entrer dans la douche et me dépêche de m'enfermer dans ma chambre sans que ma mère me voit.

Mon dieu ! J'ai l'impression d'être dans un réel cauchemard. J'ai encore le goût du jus de mon père dans la gorge, il m'a bien dosé ce bâtard...

 

La journée s'annonce compliquée en plus, le temps est pourri et de gros orages sont annoncés. On peut tout de même aller à la plage tous les 3. Mon père ne fait aucune allusion à ce qui s'est passé et moi j'essaye de faire bonne figure devant ma mère. Seul son regard a changé envers moi et je vois bien qu'il me matte le cul sans se cacher. Je ne vois pas sa bite non plus comme d'habitude et sais qu'elle se transforme en réel anaconda !

 

Ce soir on doit manger à l'intérieur du mobil-home : c'est la loose totale ! Un énorme orage dehors avec beaucoup de vent, ma mère a la trouille d'ailleurs.

- "Mon dieu, quel vent ! J'espère que le mobile-home va tenir !"

C'est vrai que c'est du lourd. La pluie claque tellement fort qu'on entend plus la télé. Je regarde les éléments se déchainer par la fenêtre. Derrière moi je sens les yeux de mon père sur moi... Et en effet, lorsque je me rassied à table, je devine mon père en train de se branloter sous la table.

Je quitte la table et pars dans ma chambre chercher mon portable histoire de m'occuper et là, catastrophe !

- "Papa maman ! Venez !"

Une grosse infiltration d'eau coule du plafond et atterrit directement sur mon lit.

- "Tu dormiras avec nous ce soir et demain j'irai voir Samuel".

 

De mieux en mieux ! Voilà que je vais devoir dormir dans le lit avec mes parents à poil... On part donc se coucher. Heureusement le lit est grand. Ma mère se met sur un bord, mon père au milieu et moi sur un autre bord. Me retrouver dans le lit à côté de mon père à poil m'excite en fait... Je ne cherche pas le sommeil et je sens que mon père à mes côtés non plus. On entend rapidement le souffle de ma mère, caractéristique du sommeil profond... C'est lors que les mains de mon père glissent sur mon corps et caressent mes fesses. Je me laisse faire sans bouger. De ma main, je cherche sa bite, et je suis étonné lorsque je la trouve sous les draps, de la prendre dure comme pas possible et en pleine érection. Je le branle doucement sous les draps et lui me touche les fesses. Il m'excite grave avec ses gros doigts. Puis il descend sous les draps et sa bouche vient se coller à mon petit cul lisse. Sa langue me fouille le trou sous les draps, sans bruits, tout doucement, c'est bon, trop bon ! Il me doigte de temps à autre avec un ou deux doigts avant de remettre sa langue. Puis il ressort de dessous les draps et vient se coller derrière moi. Je sens sa respiration dans mon cou. Je sens son gros gland à l'entrée de mon petit cul. De moi-même je lui saisis la bite et l'encourage à me pénétrer doucement. Sa queue s'enfonce très lentement dans ma chatte, ses 20 cm de bite épaisse me transportent de plaisir en coulissant dans mon cul. Je pousse même un petit râle de plaisir quand il bute au fond.

- "Chut Léo, ta mère va nous entendre..."

Il est carrément emboité en moi. Se faire baiser par son propre père c'est le top vraiment ! Du fait qu'onne peut pas bouger pour ne pas réveiller ma mère, la pénétration est lente et douce à la fois, même si je sens que sa bite est très vigoureuse. Je mouille grave et je suis très ouvert, si bien qu'il peut sortir et la rentrer totalement sans l'aide de ses mains. Je mords l'oreiller pour ne pas gémir. Sa grosse queue me procure un bien fou. Je ne veux pas que ça s'arrête. Mon père me saisit ma queue dressée et la branle énergiquement. Ses coups de reins sont plus forts aussi. Je pense qu'il ne va pas tarder à juter... Il réussit à me faire cracher en 10 secondes et son corps se raidit en moi. Je sens son jus chaud me remplir la chatte... Il reste un moment en moi, m'embrassant délicatement le cou, la bite toujours dans mon cul puis il se retire doucement. Je touche mes fesses et me ravit de sentir qu'elles dégueulent de son sperme. Je repasse d'ailleurs sous les draps et reprend sa bite en bouche. Elle est encore bien épaisse. Je lui nettoie bien tout le jus sur sa verge et son gros gland. Il me prend la tête de ses mains et me caresse. Je reste un moment sa bite dans la bouche sous les draps, je la tète comme si c'était un biberon. Je crois que je m'endors même dans cette position...

 

 

Le lendemain matin, le soleil qui passe à travers les volets me réveille. Je suis à moitié sous les draps et je mets du temps à me remémorer ce qui s'est passé dans la nuit. Le lit est vide, mes parents sont déjà levés. Je me lève donc et rejoins mes parents, toujours à poil, sur la terrasse.

- "Alors bien dormi Léo ?

- "Oui et vous ? "

Mon père me lance de grands sourires. Je n'ose regarder sa queue de peur d'avoir une érection directe et je sens que lui aussi évite de matter mon cul.

- "On déjeune et on part voir Samuel pour le problème d'infiltration dans ta chambre.

- "Pendant ce temps, j'irai à la plage les garçons." Dit ma mère.

- "Oui, pas de soucis chérie".

On finit donc de déjeuner et mon père et moi partons à la réception voir Samuel. Je suis content de le revoir, toujours aussi beau gosse et quelle belle queue qui pendouille entre ses jambes ! Il nous accompagne à notre mobile home avec le nécessaire pour colmater la fuite. Ma mère est partie entretemps à la plage.

Nous entrons donc tous les 3 dans ma chambre, à poil toujours et mon père explique à Samuel le problème.

- "Ok, je vais réenduire le plafond."

Samuel prend l'escabeau qu'il place au droit de la fuite et monte dessus. Ses attributs généreux se retrouvent donc à notre hauteur. Il a de superbes fesses lisses et imberbes, bien bronzées, mon père ne fait que les matter.

- "Tenez moi svp car je suis un peu en équilibre" nous demande Samuel.

Mon père ne se fait pas prier et il pose directement ses deux mains sur ses belles fesses pour le maintenir. Samuel lui rend un sourire. Quand à moi je le maintiens au niveau de ses cuisses. J'ai quasiment sa bite qui pendouille sous mon nez. Samuel réenduit le mur à l'endroit de la fuite. Je vois que les mains de mon père ne sont pas statiques : elles caressent très largement les fesses du réceptionniste qui se laisse totalement faire. Mon père insiste désormais sur sa fente puis je le vois mouiller un doigt dans sa bouche. Il me regarde, sourit et enfonce doucement son doigt dans le cul de Samuel qui, l'instant de quelques secondes, se fige sur son escabeau la truelle à la main, mais ne dit rien et se laisse faire. Mon père ressort son doigt, le remet dans sa bouche et lui refout dans le trou. Il commence à le doigter sur son escabeau. La queue de Samuel gonfle sous mes yeux. En 2 minutes je retrouve sa belle teub qui m'avait rempli à 2 reprises. Mon père commence aussi à se branler tout en doigtant Samuel.

- "Papa, tu fais quoi ?" Cette situation me dérangeait.

- "Je m'occupe des fesses de Samuel.

- "Mais, enfin...

- "Ca me dérange pas Léo, au contraire, c'est très agréable.

- "Tu vois Léo, y'a pas de soucis, ça te pose un souci ?"

Je ne réponds pas. Mon père doigte de plus en plus fort Samuel sur son escabeau et les 2 sont désormais en pleine érection. Moi j'avoue que cette situation m'embarasse quelque peu. C'est alors que mon père se rapproche du cul de Samuel et fourre sa langue dedans. Sam, lui, écarte ses fesses afin de lui faciliter le passage et il gémit sur l'escabeau.

- "Oh oui, hmmm, c'est trop bon, hmmm....

- "Bon, moi je vous laisse, je peux pas voir ça ! "

Je sors de ma chambre et referme la porte. Je me fous devant la télé. Je pense que je suis en fait jaloux de voir mon père s'occuper d'un autre que moi. Quelques minutes plus tard, malgré le bruit de la télé, j'entends gémir. Je me rapproche de ma chambre et me colle à la porte.

- "Oh oui putain, elle est bonne ta queue, vas-y baises moi, vas-y encore !"

C'est Samuel qui crie. Je mets mon oeil dans le trou de la serrure et le vois à 4 pattes sur mon lit en train de se trémousser comme une pute et mon père le chevauche à coup de grosse bite dans le cul. Le fait de voir mon père le baiser comme ça m'excite grave et je me met à bander direct. Je commence alors à me branler tout en les observant baiser sur mon lit par le trou de la serrure. En tout cas, même si Sam est très bon actif, il s'avère être un sacré passif auss ! Très soumis à la bonne teub de mon père.

Mon père le baise fort, il lui balance des claques sur ses belles fesses entre deux coups de queue puis ils changent de position : Samuel s'allonge sur le lit,  sur son dos. Mon père lui lève les jambes et vient lui empaler sa grosse bite dans sa chatte bien ouverte.

- "Tiens salope, prends ça !

- "Vas y, baises moi comme une pute !"

Putain, moi je me branle à fond. Je ne tarde pas à juter. Mon foutre vient atterrir sur ma porte de la chambre. De l'autre côté mon père pousse un ultime gémissement qui ébranle le mobile-home. Samuel, lui, se jute sur son torse musclé et imberbe.

- "Putain, je t'ai dosé comme une pute Sam !

- "Hmmm, trop bonne ta queue ! Léo a bien de la chance d'avoir un père comme toi..."

Je me remets devant la télé comme si de rien n'était. Samuel sort de la chambre avec mon père, les queues encore un peu grosses et pendouillantes.

- "Bon, à plus Léo ? La fuite est réparée, tu pourras dormir dans ta chambre ce soir ! "

Et si je n'avais pas envie de dormir dans ma chambre ?

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 19 octobre 7 19 /10 /Oct 14:44

Début de l'histoire...  Camping naturiste en famille - 1

 

Le lendemain matin je me réveille en bonne forme. Jje sors de mon lit et je vais pour me mettre un caleçon oubliant que je pouvais rester la bite à l'air... Finalement le naturisme me plait bien, c'est très agréable !  Je me dirige vers la terrasse où mes parents sont en train de déjeuner.

- "Je vais faire mon footing Papa.

- "Ok fils t'as bien raison ! Et courir au bord de la plage c'est quand même plus sympa qu'à Lille !

- "Tu crois que je peux y aller comme ça ?

- "Oui si tu restes dans l'enceinte du camping, t'es pas obligé de t'habiller, mets juste des baskets.

- "Oui oui bien sûr !" 

 

J'avale mon petit déjeuner et me chausse de bonnes baskets. Je crois que c'est la première fois que je vais courrir à poil. Je rejoins la plage déserte encore à cette heure-ci et me met à trottiner doucement... Ma queue balotte de gauche à droite au rythme de mes foulées, l'air frais du matin me chatouille les fesses, j'apprécie cette sensation...

Je cours au bord de l'eau, c'est plus sympa. Je croise un mec mais assez vieux qui arrive en face de moi. Pas du tout beau à voir, à poil avec sa peau toute frippée et brulée par le soleil. En plus une toute petite bite à peine visible dans l'énorme touffe de poil... Je continue ma route et aperçois de loin un mec, un black apparemment, qui arrive en face. Il a l'air super grand et tient un bon rythme de course. J'ai du mal à voir encore s'il est à poil ou pas... Il se rapproche petit à petit de moi et là, ma vision se confirme : le gars est super baraqué. 1,90 m au moins, de beaux muscles, la trentaine bien tassée... Et surtout un sacré engin de course entre les jambes qui tape dans ses grosses cuisses ! Je confirme, il court bien à poil aussi... Je ralentis ma course lorsqu'il arrive à ma hauteur pour apprécier le spectacle... Hmm, quel anaconda entre les jambes !!! On ressent toute la puissance de sa queue même au repos. On se croise, il me regarde et me salue. Je me retourne et, au même moment, il se retourne aussi lol... De dos il est très impressionnant aussi : une sacrée paire de fesses musclées... Pourquoi s'est-il retourné ?

 

Je poursuis ma course et au bout de 10 minutes, j'entends des bruits de pas dans l'eau derrière moi... Je me retourne et m'aperçois que c'est lui qui revient toujours à grande vitesse. Il arrive à une dizaine de mètre  derrière moi, je pense qu'il va me doubler, mais apparemment non ! Je ralentis exprès pour voir, me retourne et il est toujours derrière... J'ai l'impression qu'il me suit.. Il doit en plus bien matter mon beau cul imberbe de sportif... J'accélère un peu, il fait de même, je me retourne encore... J'ai l'impression que sa queue a encore grossie... ou bien commence-t'il à être excité... Je décide alors de quitter le bord de l'eau et m'enfonce dans les dunes... Il me suit, je l'entends... Je monte un peu plus haut pour redescendre au fond d'une zone entourée de dunes et de végétations caractéristiques des bords de mer... Je commence à m'essouffler et décide de m'arrêter.... Je me pause et m'étire... Il s'arrête à côté de moi et fait de même.

 

- "Salut !

- "Salut ! Tu as un bon rythme dis-moi" me dit-il.

- "Oui, je fais du foot.

- "C'est pour ça que tu as les fesses musclées alors ! " me dit-il. Il s'étire aussi à mes côtés. De près il est encore plus imposant : belle carrure de black et surtout belle queue !

- "C'est quoi ton prénom ?

- "Omar et toi ?

- "Léo"

Il prend sa bite dans les mains et se branle légèrement en me parlant. Mes yeux sont rivés sur l'engin qui gonfle, gonfle...

- "Dis moi Léo, ça te dirait qu'on s'amuse un peu ?

- "Comment ça ?

- "Je sais pas, ça t'intéresse ?"

Il me montre sa bite qui a décuplé de volume.

- "Euh... Pourquoi pas ? Elle est énorme ta queue... T'es gay ?

- "Non bi, je suis venu avec ma femme ici mais j'aime bien baiser un cul de mec bien foutu comme le tien de temps à autre..."

Il se rapproche et me caresse le buste doucement. J'en fais de même, appréciant chaque muscle, ses abdominaux et puis je redescends sur son engin que j'attrape de la main.

- "Elle est lourde putain..."

Je le branle un peu. Ma main n'en fait pas le tour... Ses caresses m'excitent, je me mets aussi à bander. Sa grosse main de black glisse dans mes fesses qu'il empoigne avec fermeté. Puis il me lèche le torse, descend sur mon ventre et gobe ma queue d'une traite, à fond. C'est trop bon ! J'ai l'impression qu'il a aussi une grosse langue. Il me retourne et me la fout dans le cul. Putain je confirme : quelle langue !

- "Il est bon ton cul Léo, bien lisse comme j'aime... Viens, suces-moi."

Je m'assied dans le sable et la prend en bouche. Le kiff ! Une épaisse bite de black, tu t'emmerdes pas avec ça dans la bouche ! J'en bave de partout, je peux pas tout rentrer, c'est pas possible...

- "Hmm t'aimes bien la bite toi, ça se voit !  Mets-toi à 4 pattes là."

Je m'exécute, lui tend mon petit cul bien ferme... Je vais dérouiller je pense vu son calibre mais bon je kiffe ça... Il me lèche une dernière fois le trou et approche son gland de l'ouverture.

- "Ecartes bien tes cuisses bébé"

Putain, son gland m'explose le trou ! Mon corps se raidit. Je sais que la douleur passera mais en attendant ça me déchire le cul.

- "Hmm, t'es serré toi !"

Il se retire et recrache sur sa bite. Il me fout de la salive aussi sur mon trou un peu plus ouvert et renfourne sa queue. Il pousse jusqu'au fond et me baise comme un black sait le faire. On sent la fierté de la taille de  son gourdin quand il baise.

-"Hmm, j'aime bien les petites salopes blanches comme toi qui couinent quand elles ont une grosse bite de black dans la chatte !"

Ca m'excite encore plus. Je couine c'est clair comme une petite salope blanche qui a faim de queue.

Il se retire et s'allonge sur le dos, sur le sable, la queue dressée comme un trophée. Je comprends que je dois venir m'empaler dessus. Je m'assieds dessus jusqu'au bout. Hmmm, c'est trop bon ! Il me choppe chaque fesse d'une main et  me baise trop bien dans cette position pendant 5 bonnes minutes, puis il arrive à me soulever et se mettre debout, sa pine toujours emboitée dans mon petit cul. On s'embrasse fougueusement alors qu'il me baise toujours en me portant. C'est trop trop kiffant !

- "Tu veux que je jute où ?

- "Où tu veux c'est trop bon !

- "Dans ton cul je peux ?

- "Ouiiii vas-y"

Je lis le plaisir de ma réponse dans ses yeux noirs et il me donne de plus grands coups de bite encore jusqu'à me remplir la chatte. La pénétration diminue en rythme. Je reste un moment accroché en lui, je sens sa queue dégonfler en moi pour se retirer, libérant avec elle une partie de sa semence sur mes jambes. Puis il me repose au sol.

- "Whaouh ça fait du bien de baiser un cul comme le tien putain !

- "Oui c'était cool, t'as une de ces putains de bite... Je dois filer, je te laisse"

Je reprends la course alors que le jus coule encore de mon cul, mais c'est super agréable.

 

De retour vers le camping je reprends l'allée qui me conduit au mobile home mais, derrière une haie, j'aperçois mon pote Samuel le réceptionniste en train de couper la haie.

- "Hey salut toi !

-"Salut. Tu fais quoi ?

- "Je reviens d'un peu de sport.

- "Viens, passes derrière les buissons"

A peine à sa hauteur, il me touche le cul.

- "Eh mais dis-moi tu t'es fait baiser toi ? T'as le cul ouvert et dégoulinant de jus !

- "Euh Oui... Cétait pas prévu mais je suis tombé sur un black du camping qui m'a bien baisé.

- "Ah oui je vois, celui du bangalow n°7, putain t'as dû dérouiller ? Il a une sacrée bite le mec d'après ce que j'ai vu !

- "M'en parle pas, trop trop grosse...

- "Hmm tu m'excites avec ce cul tout luisant..."

Il me fourre des doigts dans ma chatte humide et sa queue grossit aussitôt.

- "Vas y tournes toi.

- "Quoi ? Tu vas pas me baiser là, ca craint !

- "Tournes toi je te dis..."

Sa bite est en pleine érection et il m'empale direct derrière les buissons.

- "Putain c'est encore meilleur avec le jus du black dedans ! Tiens, prends ça salope, tu veux de la queue ? T'en auras !"

Il me baise très bien et sa queue qui me paraissait grosse hier rentre dans mon trou comme dans du beurre après avoir eu celle du black.

-"Allez, tiens, prends ça putain oui !!! "

Il me remplit... J'en ai encore plein le cul. Soudain, une voix familière m'interpelle derrière nous.

- "Léo ???"

Putain c'était mon père ! Sam dégage sa bite de mon cul et on sort de derrière les buissons.

- "Ah papa ! Je discutais avec le réceptionniste."

- "Ah bonjour."

Mon père tend la main à Samuel sauf que sa bite, même si elle a un peu ramoli, est encore très grosse et dure et surtout blanche de sperme, genre je viens de baiser.

- "Bonjour monsieur"

Sam ne sait plus où se mettre. Je vois les yeux de mon père posés sur sa teub qui vient de me remplir.

- "Allez fiston on rentre ?

- "Oui papa.

- "A plus Samuel ! Vas-y Léo, je te suis."

Putain non... Je passe devant, le jus dégoulinant de ma chatte béante. Je sens les yeux de mon père derrière moi sur mon cul explosé.

 

On arrive au mobile home. Ma mère est partie acheter des cartes postales à l'accueil. J'ouvre la porte du frigo et prends une bouteille d'eau car je crève de soif ! Puis je sens une main sur mes fesses. Je me retourne, c'est mon père...

- "Tu t'es fait baiser par Sam c'est ça ?"

Je baisse les yeux, rouge de honte. Et là, je reçois la plus grosse claque de ma vie.

 

La suite...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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