L'histoire de la semaine

Dimanche 28 juin 7 28 /06 /Juin 13:06

Il n’est pas une activité que je ne pratique dans ma vie de tous les jours qui ne soit effectuée avec efféminité. J’ai beau avoir une queue entre les jambes et deux petites balles la décorant à la mode d’un sapin de Noël, et aussi de la barbe naissante à la pointe du menton, je ne peux rien faire contre ce penchant naturel que j’ai à donner une touche femelle à tout ce que j’entreprends. Que ce soit à ma manière de fumer une cigarette, de me baisser sous l’évier pour y prendre une casserole, de prendre du linge, d’uriner car je pisse assis, de me moucher, de tendre un doigt à l’épicier pour lui indiquer quel légume je veux, il y a irrémédiablement et en chaque occasion une femme qui perce sous mon enveloppe.

J’ai remarqué cela assez jeune déjà. Il y avait sur le chemin de mon collège des hommes qui se retournaient parfois sur mon passage ou qui me saluaient d’un petit air entendu et espiègle et je me souviens que parfois il m’arrivait de bander au moment d’investir la cour de récréation... Ce qui était le plus caractéristique de ma tendance, c’était que ce qui m’excitait dans ces regards obliques, dans ces frôlements de trottoir avec des hommes plus mûrs, plus âgés que moi, c’était que j’imaginais surtout que l’un d’entre eux m’emmène dans son auto et me prenne doucement la main pour l’amener à la bosse qui saillait du pantalon à l’endroit habituel de la verge, puis qu’il laisse ma main dégrafer le tissu tendu et aller chercher son robuste oiseau.

J’imaginais alors que je baissais ma tête et ouvrais la bouche pour engloutir son pénis décalotté et le sucer jusqu’à ce qu’il jouisse sur ma langue. Je m’en allais alors, toujours en pensée, vers le chemin de l’école où je pénétrais triomphant avec un âcre goût de sperme frais dans la bouche. Et ouvrais le livre scolaire de ma première heure, assis sur le banc, les lèvres bien closes derrière lesquelles marinait encore un peu du jus viril de mon amant de passage. De plus, ce qui me procurait de telles érections ainsi, tôt le matin, c’était d’imaginer que l’un de ces hommes introduise sa colonne de chair chaude dans mes reins, qu’il insinue sa saucisse fraîche et juteuse dans les replis de mon cul virginal. Et d’y balancer de ses hanches étroites jusqu’à ce que je sente au fond de mon petit derrière une giclée brûlante et poisseuse qui ne pouvait guère laisser de doute sur ce qui venait de se produire. Ainsi n’ai-je eu, tout jeune déjà, que des fantasmes de type féminin. Bien sûr, de temps à autre, je m’excitais à la pensée d’un homme barbu qui engloutisse ma verge et la fasse triturer contre ses gencives. Je sentais à l’avance ses mains boudinées, grasses et puissantes, décorées de grosses bagues en or, qui me palpaient les roupettes et se faufiler jusqu’à mon trou de cul pour y glisser un doigt scrutateur de sphincters, curieux à la manière d’un boucher plongeant son nez dans la gélatine d’un os à moëlle. Et jouissant seul dans ma chambre sur les draps proprets de mon lit, en pensée c’était dans le gosier de mon barbu que je déchargeais tout mon sperme, abandonnant dans les poils filasses de ses moustaches quelques petites giclures de jus comme si mon homme venait de gober avec négligence le fruit d’une huître fraîche !

C’était évidemment symptomatique d’un certain état d’esprit. Jamais je ne me suis imaginé tringlant le cul d’un autre homme. Je ne pourrais pas. Ce manège d’allumeur autour du collège puis du lycée dura son temps. Il se suspendit naturellement, de lui-même, lorsque je franchis la frontière qui sépare la fantasmagorie du réel...

 

C’était un après-midi ensoleillé. J’étais venu au bahut en T-shirt ce jour-là. Je portais aussi un large short de coton beige d’où s’élancaient vers le sol deux longues jambes fines et musclées, tapissées aux cuisses et aux mollets d’un fin duvet sombre.

Comme l’on dit en terme scolaire, nous fûmes "libérés” dès quatorze heures pour motif de maladie professorale. Quelques amis et moi sommes allés déjeuner au parc, à l’ombre d’un châtaignier. Je mangeais un sandwich avec conscience lorsque je remarquai un homme assis sur un banc. La quarantaine bien sonnée, les épaules larges et légèrement voûtées à la façon d’une vigoureuse aile protectrice, les tempes grisonnantes, il avait tout pour me plaire et, quand un copain me proposa d’aller jouer au football, j’aurais éprouvé beaucoup de gêne à me lever et laisser paraître mon émoi qui faisait un sacré monticule à travers l’étoffe de mon short...

— Non, c’est gentil Tommy, j’ai vraiment pas la tête à jouer au foot ! Plus tard, peut-être...

— Ouais, mon cul ! Dis plutôt que t’as la queue à autre chose ! Je t’ai vu reluquer ce vioch ! Tu me prends pour un aveugle ou quoi ?

Évidemment Tommy n’était pas né de la dernière pluie mais plutôt carrément de la dernière giclée de foutre céleste.

— Bon, ça va, abrège ! Je fais ce qui m’plaît ! lui dis-je, un rien agacé de sa perspicacité typiquement adolescente.

L’homme, toujours assis sur le banc, me regardait de même. Il semblait timide et emprunté ; un de ces quadragénaires assez typiques qui en permanence craignent l’affront ou l’insulte quand ils draguent ou qui n’assument pas jusqu’au bout leurs tendances.

L’homme, dont je ne savais pas encore qu’il se prénommait Jacques, ne ferait pas le premier pas, j’en étais sûr. Peur de la raillerie. Pour la première fois dans ma vie je décidai de passer à l’attaque avec dans la tête un vieux proverbe de ma tantine qui résonnait comme une sentence flamboyante : ”Qui n’essaie rien n’a rien !”

Je me levai donc en déglutissant le dernier morceau de sandwich au pâté provençal. Tous les copains avaient les yeux tournés dans ma direction. Personne n’avait oublié le petit dialogue entre Tommy et moi et un pouffement de rire se fit entendre quand tout le monde vit que je tenais une érection des plus remarquable si je puis me permettre cette expression. Je me dirigeai ainsi, sans aucune gêne vers mon homme. Il me regardait venir à lui comme s’il n’avait que cela mais rendu extrêmement timide par mon audace juvénile.

 

Dix minutes plus tard nous étions chez lui. Son appartement n’était qu’à quelques pas du parc. Dans l’ascenseur je lui demandai comment il s’appelait.

— Jacques, tu peux m’appeler Jacques...

Il avait à peine parlé que je me plaquais contre lui, frottant mes longues jambes nues et duveteuses contre le tissu de son pantalon. Il portait un froc assez typique de son âge, sans plissure, trop large dans le bas, entre la patte d’éléphant et le pied de porc. Nous étions tous deux collés à la paroi métallique de l’ascenseur, bassin contre bassin, hanches contre hanches et je sentais mon pénis durci qui toquait à hauteur du sien. À travers nos étoffes c’était un délicieux frotte-frotte. Nos deux membres se massaient l’un l’autre, s’épousaient, se bécottaient comme deux amants séparés par la vitre d’un parloir.

C'était la première fois, la grande inauguration, que je caressais ainsi un homme et cela me rendait fou d’excitation. Je ne connaissais alors à peu près rien des rapports homosexuels. J’étais en pleine découverte et pour tout bagage de connaissance je n’emportais avec moi que l’habitude quotidienne de la branlette.

Jacques, tandis que nos bas-ventres poursuivaient leurs épousailles à distance, glissa une main dans mon short, par-derrière, doucement, calmement. Je la sentis s’introduire par l’endroit où la ceinture pressait sur mes hanches, essayer de se faufiler sur ma peau nue, franchissant par la même occasion l’élastique de mon slip. J’eus un long frissonnement d’excitation qui me parcourut la croupe jusqu’à la racine des cheveux et je pense bien que mes sourcils s’étaient dressés sur leurs arcades. Tout ce que je possédais de poilu était comme électrisé par cette main inquisitrice. Elle se posait maintenant sur le haut de mes fesses et me palpait le cul. Comme le short était tout de même assez large, sa main y était libre de tout mouvement et ce fut finalement l’arrêt au sixième étage qui suspendit sa caresse qui était prête à s’introduire dans la moiteur de mon anus...

 

Une fois dans son appartement, Jacques proposa de se déshabiller tout de suite pour ne pas perdre de temps en raffinements intermédiaires et puérils. J’acquiesçai. Jacques était assis sur le lit et ôtait ses chaussures et son pantalon.

— Et toi, comment tu t'appelles, beau gosse ?

— Manuel, Monsieur...

Il rit :

— Tu peux m'appeler Jacques, tu sais ! Tu es méditerranéen, non ? Italien ?

— Non, Espagnol, Monsieur. Je suis de Saragosse.

Il ne releva plus ma politesse automatique.

— ... De Saragosse, tu dis ? Mmm... Le beau gosse de Saragosse, c’est pas mal !

Nous étions à présent nus comme des vers. Jacques avait un beau torse, large et velu, tout couvert de poils poivre et sel. Tout de suite mes yeux se dirigèrent vers sa queue. Elle était massive et puissante, déjà toute dure. J’étais fier de le faire déjà bander comme un taureau.

— Je peux vous embrasser la bite ? lui demandai-je innocemment.

Il s’étendit sur le lit et son membre en érection se dressait vers le plafond, attendant d'être englouti par ma bouche de petit vicieux. Comme moi-même je n’attendais que ça, je sautai sur cette belle occasion d’une vingtaine de centimètres. J’avalai en une fois toute la longueur de son pénis. Je découvrais enfin le plaisir brûlant de la pipe.

La première impression, sensation pour être exact, était la chaleur dispensée par sa colonne. Je m’étais attendu à engloutir une queue tiède et c’était un noeud brûlant sur lequel ma bouche s’activait comme une ventouse. La seconde sensation était celle de la robustesse, de la dureté de sa bite dans ma bouche. Impossible de la ployer, ne fut-ce que de quelques degrés d’angle. Enfin, avant que ne se déversât dans mon gosier la glu poisseuse de son éjaculation, c’était le sommet de son dard, son gland, qui était l’objet le plus agréable que ma langue eut à palper. Cette sphère gonflée de sang, douce et rêche à la fois, d’une forme parfaite et qui donnait tout son charme formel à la pratique de la sucette. Je m’attardai longuement sur son gros bouton rougeoyant, plus que sur la longueur de sa queue.

Quand je retirais son bulbe de ma bouche, je pouvais voir le dépôt luisant que ma salive y avait laissé et c’était pour moi une espèce d’honneur que ce bel engin soit déjà marqué de mes suintements buccaux. C’était mon premier homme, ma première pipe et tout ce que je faisais sur lui tenait, pour moi, de l’excitation d’une grande découverte... Je réenrobai sa bite de mes lèvres charnues. Je vis les couilles de Jacques changer d’allure, se métamorphoser sous l’effet de ma succion. C’était incroyable. On aurait dit de petites vagues inondant l’épiderme de ses testicules, un peu comme l’on parle d’une risée de vent à la surface de l’eau dormante.

Je le pompai de plus belle, attardant mes mains sur la masse comprimée de ses bourses. Jacques glapit, plus haut sur le matelas. Je compris de quoi il s’agissait.

— Tu peux retirer ta bouche si tu n’aimes pas le sperme...

— Que non ! lui rétorquai-je, réengloutissant prestement sa bite sur mon palais.

Je voulais découvrir aussi quel goût avait le jus d’un autre que moi. Je sentis ma bouche se remplir d’une giclée de foutre chaud, poisseux, gluant, collant, d’une densité très épaisse. Je laissai macérer cette liqueur sur ma langue tandis que, plus bas, spontanément et sans caresses, j’éjaculais sur la couverture écossaise du lit.

Après quoi, il fut le premier homme qui eut le privilège de prendre mon trou de balle...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 21 juin 7 21 /06 /Juin 15:26

Un copain et moi organisons périodiquement des visites médicales. Une annonce sur un site internet permet de recruter des candidats. Nous les prévenons que nous ne sommes pas tendres avec les corps des mecs, mais qu’un mec digne de ce nom doit avoir pris conscience de son corps au moins une fois dans sa vie. L’examen a lieu dans la cuisine de mon appartement. La table de Formica est recouverte d’une couverture et d’un drap blanc pour servir de lit de consultation. Une balance est installée dans un coin, une petite table avec deux chaises servent de bureau, un verre et une cuillère sont les instruments utilisés.

Ce soir, nous devons examiner un mec de vingt-deux ans. Un entretien téléphonique nous a permis de nous assurer de sa motivation. Nous n'avons toutefois pas dévoilé la teneur de l’examen mais l’avons prévenu que devant un médecin un patient doit être soumis afin qu'il sache à quoi s’en tenir. Il s’est décrit comme étant grand, châtain avec les cheveux courts. Nous lui avons précisé que pour l’examen, il doit porter un mini slip. Nous voulons profiter des formes du mec : le plaisir de zieuter un mec en slip !

À l’heure dite il arrive, conforme à sa description. Nous sommes, bien entendu, assez directs :

— C’est pour le rendez-vous ?

— Oui !

— Entre ! Déshabille-toi, en slip et sans chaussettes. Tu poseras tes vêtements dans un coin. Ensuite viens nous rejoindre.

Nous nous installons à notre bureau et préparons une fiche que nous remplirons au cours de l’examen. Il entre.

Mon copain commence à le questionner pour remplir sa fiche. Pendant ce temps je le dévisage et laisse glisser mon regard le long de son corps.

— Ton prénom, âge, situation de famille ?

— Anthony, vingt-deux ans, célibataire.

— Tu fais du sport ?

— Un peu de natation, du VTT.

— Souvent pour la natation ?

— Je vais à la piscine une ou deux fois par mois.

Je me lève pour mieux l’observer. Son corps n’est pas celui d’un athlète, mais il a une belle ossature carrée au niveau des épaules et des bras pas mal développés. Le ventre est ferme. Il a quelques poils sur la poitrine, mais très peu ailleurs. Ses fesses sont rebondies et moulent bien son slip. Ses cuisses et ses jambes ont l'air puissantes. Sur le devant, le slip enveloppe un joli petit paquet sur lequel je m’attarde. Je le regarde. Il a l’air penaud. Je tâte ses bras :

— Tu as l’air putôt musclé, ça se voit que tu fais du sport !

Je tâte ses cuisses. Elles sont fermes.

— OK. Monte sur la balance. 65kg, ok.

Mon copain prend son pouls au niveau du poignet. Plus de 80 pulsations à la minute. C’est assez rapide.

— Tu as l'air nerveux !

— Un peu !

— Baisse ton slip !

Il se présente à nous, son slip baissé à mi-cuisses. Le paquet est constitué d’une petite bite au repos sur une bonne paire de couilles. J’écarte ma chaise de la table pour qu’il puisse s’approcher et écarter les jambes et lui dis :

— Viens ici.

Il fait quelques pas et se met à portée de mes mains, du moins pour ce qui concerne son sexe car c’est cette partie qui m’intéresse désormais. Je lui palpe le pubis de part et d'autre, glisse ma main à l’intérieur des cuisses, soupèse les couilles de la main, décalotte le gland. Tous ces attouchements le font bander un peu. Je le lui fais remarquer :

— Tu es sensible de la bite ?

— Un peu !

Je le décalotte de nouveau et presse le gland. Il gémit. Je lui demande alors :

— Qu’est-ce qui t'arrive ? T’as un problème ?

— Non, non.

— Quand as-tu eu ta première relation sexuelle ?

— Il y a cinq ou six ans.

— Avec un garçon, une fille ?

— Une fille.

— Et ensuite ?

— J’ai plutôt aimé les garçons !

— Quelle est ton activité sexuelle aujourd’hui ?

— J’ai un copain.

— Vous faites l’amour ?

— Environ une fois ou deux par mois.

— Tu te branles ?

— Oui.

— Souvent ?

— Plusieurs fois par semaine.

— Bon !

Pendant ce petit dialogue, je n’ai pas arrêté de la malaxer. Il bande dur.

— T'as une érection. Retourne de l’autre côté de la table.

Il recule, la bite au garde à vous. Je lui tends un verre :

— J’ai besoin d’une analyse d’urine. Pisse dans le verre.

Évidemment, comme il bande ce n’est pas simple. C’est le but du jeu. Nous le regardons se dépatouiller avec sa bite et son verre.

— Si tu veux y arriver, il va falloir débander !

— Oui !

Il n’est pas fier ! Imaginez le tableau : un mec debout devant deux autres qui le regardent, le slip à mi-cuisses, la bite horizontale qu’il tient dans la main droite, au-dessus d’un verre qu’il tient dans la main gauche. Il regarde le bas de son ventre pour éviter notre regard.

— Ça vient pas ?

Il ne répond pas. Je me lève et lui presse l’entrejambe, derrière les couilles.

— Tu veux que je t’aide ? Tout ça est bien dur. Quelquefois, une bonne fessée remet les choses en place !

Il me regarde, l’air inquiet. Je lui dis :

— Concentre-toi !

Je demande à mon copain d’aller chercher un martinet dans la pièce voisine. Il revient avec l’objet et le pose sur le bureau.

— Alors ! Tu pisses ?

Il ferme les yeux. Visiblement il n’en mène pas large. Après quelques instants sa bite s’amollit. Elle lâche quelques jets dans le verre.

— Ok ! Tu sembles avoir du mal à pisser.

— C’est parce que je bandais.

— Ça t’arrive souvent ?

— Quand on me touche.

— Remonte ton slip !

Nous prenons des notes. Après un moment d’hésitation, il demande :

— C’est fini ? Je peux me rhabiller ?

— Non, non, attends !

Nous continuons à prendre des notes.

— Bon, on va te dire ce qu’on a noté !

Nous lui lisons les divers commentaires écrits au cours de cette première partie de l'examen. Les détails sont parfois crus et le font rougir.

— Vu ?

— Vu.

— Bon. Retire ton slip et monte sur la table maintenant. Allonge-toi.

Il s’exécute.

— Remonte tes jambes et écarte-les.

Il nous expose son intimité. Au premier plan, sa bite et ses couilles que nous connaissons déjà et que nous venons de lui décrire. En dessous son fion. J’enfile un gant de chirurgien et lui tâte la rondelle. Elle se rétracte :

— Tu te fais pénétrer ?

— Parfois.

— De gros calibres ?

— Non.

Le trou a l’air bien fermé. Il faut pourtant que j’y entre deux doigts :

— Ouvre-toi que je t’examine.

C’est amusant d’observer les activités d'un mec de ce côté-là. Il gémit un peu. Ça s’entrouvre. Profitant de l’aubaine j’y vais franchement. Il pousse un cri. Je le travaille longuement avant de ressortir.

Je prends la cuillère et, avec le dos, lui tapote les couilles. Ça ne fait pas du bien. Il pousse des petits cris et se débat. Mon copain lui plaque les épaules sur la table. Avec le bras gauche, je forme une entretoise pour lui maintenir écartées les cuisses et les bloquer. Nous sommes organisés : un bon examen médical nécessite un médecin et un assistant ! Bien sûr, avec la main droite, je continuer à le tapoter. Ça a pour effet de le faire gémir. Il ne doit pas trouver ça bien agréable car il débande.

— Arrête ! dit-il dans une sorte de sanglot.

— Encore un peu, ça va t 'endurcir. Tu es un mec quand même ! Tu as là un point faible qui peut te nuire !

— J'arrête les frais !

— Tu es douillet !

Il ne répond pas. Il est comme anéanti sur la table. Quelques traces de larmes mouillent ses joues.

— Relève-toi !

Il est debout, nu devant moi. Je m'approche pour lui prendre le paquet. Bien sûr il a un mouvement de recul. C’est instinctif. Je lui dis :

— Approche !

Il obéit. Je lui malaxe encore une fois l’ensemble.

— Maintenant tu vas jouir, je veux faire une analyse de sperme.

Je lui tends un verre pour recueillir le sperme. C’est le monde à l’envers ! Tout à l’heure il bandait et je lui demande de pisser. Maintenant il est crevé et en a marre et je lui demande de se branler alors que sa bite est au repos...

— Alors ?

— Je ne peux pas ! Laissez-moi partir !

— Non, on va t'aider.

Mon copain se place derrière lui et le ceinture. Je lui prends la verge, la décalotte et lui frotte vigoureusement le gland du doigt. Surtout la base, elle est très sensible en général. Ça ne manque pas de lui faire de l’effet. Il gémit et se tord. Je le regarde dans les yeux.

— Bientôt tu vas bander !

Poursuivant nos efforts j’obtiens une bite bien dure, digne d’un homme viril. Je la lui tiens fermement et m’occupe toujours de son gland. Puis le relâche.

— Nous avons fait la première partie du travail. Maintenant que tu bandes, branle-toi et éjacule. Voilà un verre pour recueillir le sperme.

Il se contracte, surtout au niveau des cuisses et des fesses, et se branle vigoureusement. Se mettant sur la pointe des pieds il finit par éjaculer. On le sent s’exécuter sous la contrainte car il prend des postures grotesques. Son éjaculation n’est d’ailleurs pas ridicule. Il a réussi à concentrer pas mal d’énergie lors de ce dernier effort. Quelques gouttes vont dans le verre, pas mal par terre. Tremblant, sans doute à cause de l’effort, il me tend le verre.

— Tu en as mis par terre. Nettoie le sol avec ton slip.

À quatre pattes il nettoie le carrelage.

— Ok, rhabille-toi !

Sans demander son reste il s’est resapé et, titubant, il est vite parti.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 14 juin 7 14 /06 /Juin 14:52

Alors que je cherchais un petit job, un brave paysan du marché m'apprit qu’un de ses voisins embauchait pour le ramassage des cerises. J'étais justement en vacances et j'avais un excellent souvenir des vendanges l'automne dernier où j'avais coupé des grappes tandis que mon cul s'était rempli plusieurs fois...

Il s'agissait d'une grosse ferme et je devais rester huit jours. Vêtu simplement, j'étais néanmoins assez moulé. Mes fesses, qui avaient déjà fait baver pas mal de bites étaient bien apparentes, ma chemisette était largement ouverte et j'avais fait onduler légèrement mes boucles blondes, ce qui donnait à mon visage un air angélique et jeune, même plus jeune que mes 26 ans.

Je me présentai et demandai à voir le patron. On me désigna un grand bonhomme qui empilait des caissettes sur une charrette. Sa chemise entrouverte laissait entrevoir des biceps puissants et les poils de sa poitrine. Je lui donnai 40 balais. Il me dévisagea lorsque je me présentai. Il me dit que je serai nourri et logé et aurai 40 € par jour. L'un des gars me conduisit dans la chambre. C'était un dortoir d'une vingtaine de lits. Pendant que je me changeais, le gars s'assit sur un lit et ne me quitta pas des yeux.

— Tu es vraiment beau pour un gars ! Tu as un cul super bandant.

— Merci de tes compliments mais pour ta part je pense que tu n'as rien à m'envier. Et si ton cul aime les bites autant que le mien, peut-être que nous pourrons nous entendre...

Le gars était dans tous ses états. En partant, sa main frôla mes fesses.

— Je connais un endroit où nous serons très bien pour faire ça ce soir, dit-il.

— D'accord mais embrasse-moi.

À midi, nous nous retrouvâmes : dix-huit garçons, le patron et quelques femmes, autour d'une immense table. J'avais donc loisir de faire mon choix sur les mâles qui pourraient honorer mes fesses mais impossible : ils étaient tous désirables. Le patron apporta le vin et passa la main dans mes boucles. « Quelle belle chevelure ! » fit-il. Je constatai que j'avais été très remarqué par les gars et que j'avais éveillé la jalousie des quelques femelles...

J’avais rempli mes paniers et proposai de préparer les cageots pour l'expédition sur les différents marchés. Le patron accepta, me donnant une gratification supplémentaire. Je lui fis du beau travail et ses yeux pétillaient de reconnaissance. Il se posta derrière moi pendant mon travail et je sentis son souffle dans mon cou.

— Bouge pas, je hume tes cheveux... Il en profita pour m'embrasser dans le cou. Tu sais que tu es désirable comme une femme ? J'ai remarqué tes fesses, et ma bite est longue et large.

— Voyons patron et votre femme ?

— Ça n'empêche pas que j'aime les culs d'hommes ! Surtout quand ils sont beaux et bien ronds comme le tien. Touche ma bite, elle te plaira.

En effet, sa tige était comme il l'avait dit. Je la malaxai un peu, elle était contre mes fesses. J'avais le feu au cul au contact de cet engin.

— Je veux bien que tu m’encules, dis-je, mais les autres sont peut-être au courant et un bon spectacle serait chose inédite.

— Quoi ? Tu veux que je t'encule devant les autres ?

— Pourquoi pas, ainsi j'aurai peut-être plusieurs queue à la suite.

— Tu es vraiment une belle salope ! Mais je suis trop excité. D'accord, parles-en aux autres toi-même.

Je passai dans la salle de douches, une serviette autour des reins. Tous me regardaient en souriant et l'un deux, un gitan grand et bien fait, s'approcha de moi.

— Alors mignon, il paraît que tu veux de la bite ? J'ai rien contre, tu auras ta dose ce soir, surtout qu'on dirait que le patron te veut.

Il me caressa le cul par dessus ma serviette. Tous me regardaient, alors j’enlevai la serviette pour leur montrer ce cul tant convoité.

— Quel beau cul, on va le faire souffrir !

Le repas du soir se passa dans la joie. J'avais les sourires de tous, même quelques pieds sous la table.. Je constatai que le repas s'achevait avec hâte.

Je montai le dernier au dortoir avec le patron. J'ouvris la porte. Tous les gars étaient en slip, tous aussi désirables. Je proposai d'éteindre la lumière. Rapidement nu je m'allongeai sur un lit, les cuisses bien ouvertes. Le patron s'allongea sur moi tandis que les autres regardaient, les yeux écarquillés. J'embrassai le patron partout avant de l'emboucher. On me tripota le cul, un gars vint me sucer, le patron m'encula en râlant de plaisir. Autour de nous les mâles commençaient à se sucer, s'embrasser, etc. Le gitan attendait juste à nos côtés. Il voulait être le second à entrer en moi et me caressait les cheveux. Le jus du patron ne tarda pas à m'inonder. Il hurla comme une bête, donnant le signal que je n'allais pas tarder à être libre. Le patron m’embrassa les fesses en criant :

— Putain les gars, que c’est bon, encore mieux qu'une chatte ! J'y reviendrai tout à l'heure...

Le gitan me prit sur le dos, mes jambes autour de ses reins. Il me dit des mots doux dans sa langue tandis que sa queue me pilonait avec fougue. Lui aussi hurla quand son jus m'inonda les entrailles. Je reçus toutes les bites présentes puis le patron me prit à nouveau. Il me sodomisa sur le flanc. Les autres s'enculaient dans les quatre coins de la pièce, transformant le dortoir en baisodrome.

Le patron alla retrouver bobonne et je regagnai mon lit, nu. Paul, qui m'avait enculé avec un grand art, se coucha à mes côtés, me lécha les couilles, emboucha ma bite, recevant mon jus dans le gosier. Sa belle queue était encapotée. Lorsque j'eus déchargé et qu'il eût tout avalé, je lui tournai le dos et dirigeai sa bite raide entre mes miches pour la faire entrer dans mon anus toujours vide. Je l'avais bien à fond et il me bourra doucement en me mordant la nuque. Il jouit discrètement et resta un certain temps en moi. Son corps chaud s’endormit contre moi si bien que je me réveillai le lendemain dans ses bras. D'autres lits étaient occupés également par deux mâles.

Le soir, nous avons recommencé et ceci pendant toute la durée de la cueillette. Le patron me prit même en plein après-midi. Il aurait voulu que je reste à demeure mais c'était impossible. Heureusement Lyon n'est pas loin de son exploitation et je le reçois régulièrement chez moi où il me possède à loisir.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 7 juin 7 07 /06 /Juin 13:24

14 heures, le soleil printanier pénètre par la fenêtre ouverte de la chambre de cet hôtel situé dans le centre de Paris... L'Homme, tel est le nom de mon client du jour, est assis sur le rebord gauche de l'unique lit... Il va s'offrir pour quelques heures mon corps que je loue régulièrement...

Lui : chemise blanche, cravate bleu roi, pantalon noir et chaussures noires également, cirées, brillantes, la quarantaine, de type méditerranéen, regard brun, cheveux noirs coupés très courts et une barbe finement taillée qui encadre un visage souriant.

Moi : dix-sept ans, blond au regard bleu gris, tee shirt blanc et pantalon de toile bleu ciel.

Son regard dans le mien, l'Homme me demande d'ôter lentement mon tee shirt. J'opine d'un grand sourire, découvrant mon corps finement dessiné par des heures de musculation, corps légèrement hâlé, imberbe. Je jette négligemment cette pièce de tissu sur le fauteuil près de ce grand lit. Mes chaussures et chaussettes suivent le même chemin. Sa main gauche se pose alors sur mon ventre plat... Petit flux électrique qui me parcourt entièrement, la pointe de mon sexe réagit, mes couilles montent et descendent dans mon sous-vêtement... Puis ses doigts glissent sur ma peau à la rencontre de mon mamelon droit qui durcit au contact de ses pouce et index.

L'Homme se lève, fixe sa main qui poursuit ses découvertes, ses caresses sur mon cou, mon visage, pendant que sa main droite me palpe les couilles à travers mon pantalon. Je bande... mon sexe se tend, s'étire, s'allonge en une colonne de chair d'une vingtaine de centimètres, tendant ainsi les fibres du tissu de mon sous-vêtement, colonne de chair emprisonnée dans mon boxer rouge. Cette érection me fait mal. Ses doigts enserrent maintenant mon pieu de chair, puis la paume de sa main caresse mon sexe tendu. Le regard de l'Homme se pose sur cette barre qui déforme mon pantalon. Sa respiration est plus rapide. L'Homme se rassied sur le lit, ses yeux à hauteur de ma queue. Je devine maintenant sa grosse bosse, son sexe en érection fortement tendu. Il doit être bien monté. Ses doigts attaquent les boutons de mon pantalon qui retiennent la ceinture, puis descend lentement la fermeture-éclair de ma braguette... Le pantalon glisse le long de mes jambes légèrement velues. Je m'en débarrasse, ne conservant que l'unique pièce de tissu qui cache encore pour quelques instants ma colonne.

L'Homme saisit alors l'élastique de mon sous-vêtement, le tire vers le bas et libère mon sexe tendu et veiné de gaines bleues qui se dresse fièrement au niveau de sa bouche. Débarrassé de ce tissu, j'écarte les jambes. Sa main gauche s'empare de mes couilles rasées, les malaxe, pendant que la droite caresse ce pieu de chair sur toute sa longueur. Mon prépuce couvre encore mon gros gland. La caresse est douce, excitante, électrisante... Puis deux doigts enserrent mon prépuce qui coulisse, décalottant la tête de ma queue, puis le recouvrent, le découvrent à nouveau. Opération répétée plusieurs fois de suite,et plus rapidement, ce qui ce traduit par l'imminence de mon éjaculation... Mais sa bouche s'empare de l'extrémité soyeuse de ma queue et glisse le long de la colonne de chair jusqu'à engloutir les trois quarts de mon mandrin. Va-et-vient buccal lent, puis plus rapide. Ses mains sur mes fesses, ses doigts courent dans ma raie, puis un doigt à l'entrée de mon intimité... La bouche de l'Homme accélère le mouvement, sa langue enserre mon gland... Je vais succomber mais me retiens le plus longtemps possible.

Un doigt pénètre ma cavité anale, rejoint par un deuxième, et un troisième qui vont et viennent au plus profond de moi. Ma respiration s'accélère... j'étouffe un cri... je suffoque de plaisir jusqu'à ce que les barrages spermiques s'ouvrent et libèrent une semence de blanc nacré en quatre longs jets qui tapissent la cavité buccale de l'Homme... Mes mains enserrent la tête de mon partenaire pendant que je crache ma crème... L'Homme libère ma queue à demi bandée, humide de salive et de sperme, recrache ma sève dans une serviette posée sur le lit.

L'Homme se lève, vient se placer dans mon dos et me pousse légèrement. Je m'étale sur le lit. L'Homme écarte mes jambes. Un ceinturon qui se défait, une fermeture-éclair qui glisse, bruit de tissu, respiration rapide et saccadée... Je tourne légèrement la tête sur le côté. L'Homme au long sexe circoncis se caresse, humidifiant de sa salive la tête de son mandrin brun foncé. L'Homme s'agenouille sur mes fesses, les claque plusieurs fois, les écarte, découvrant ainsi ma rosette déjà fouillée par trois doigts. L'Homme dirige sa queue vers l'entrée de mon cul. Un coup de reins, mes sphincters se dilatent... Second coup de rein et le membre entier s'engouffre dans cette caverne. Plaisir – douleur ! J'étouffe quelques cris dans un oreiller, mes mains crispent le tissu du drap. L'Homme se retire pour me pénétrer plus brutalement, une fois, puis une autre... Je respire plus profondément. Puis l'Homme épouse mon dos, ses mains s'agrippant à mes épaules... Son bassin s'active ardemment, sa respiration est rapide. Grognements sourds, sa queue au plus profond de moi. Je ressens ses éjaculations en moi, sa semence qui tapisse mes parois internes. L'Homme se retire, sa semence coule sur mes couilles.

Je me retourne. L'Homme me fixe, léger sourire au coin des lèvres, remonte son pantalon qu'il a conservé pendant la pénétration. Son sexe, encore tendu, disparaît de mon regard. L'Homme fouille dans sa poche, en ressort plusieurs billets, prix de ma prestation ou de mon cul, et les pose sur la table de chevet. Quelques minutes plus tard, l'Homme quitte la chambre, me laissant seul, nu, au milieu de son lit. Je bande, me caresse... mais un autre client m'attend ce soir. Je dois donc conserver un maximum de semence...

Direction la douche...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 31 mai 7 31 /05 /Mai 15:42

ATTENTION :

Des scènes de cette histoire peuvent choquer et heurter la sensibilité de certaines personnes.

 

Sans ménagement ils l'enferment dans la voiture et le ramènent devant ses Maîtres quil attendent de pied ferme tranquillement assis sur le canapé. L'un d'eux prend la parole et d'un ton ferme lui ordonne :

- "A poil sale bâtard ! Un esclave se présente nu devant ses maîtres, puis à genoux mains sur la tête."

Dans sa position de soumission Éric attend une sentence qu'il redoute.

- "Approche en rampant sale pute, et viens nous décrasser les panards…"

A peine arrivé aux pieds de ses Maîtres, il est brutalement soulevé par les cheveux pour recevoir des gifles et des crachats à la gueule.

- "Alors comme ça tu croyais nous échapper ? Tu as été très très désobéissante, sale chienne ! Mais tu vas voir, on va te remettre dans le droit chemin..."

Là, de force, on l'emmène dans cette pièce obscure qu'il a déjà vue avec le carcan où il a assisté à la punition d'un jeune mec et cette fois-ci c'est lui qui s'y fait attacher. Il a peur et demande pardon et pitié mais ses Maîtres qui n'ont aucune pitié et sont surtout sados, n'entendent pas ses supplications et l'informent qu'il va recevoir au total 90 coups sur son corps. Chacun muni d'un instrument, le premier commence par trente coups de martinet, les coups sont si violents qu'Éric  gueule de souffrance en suppliant d'arrêter. On lui enfourne alors une chaussette puante dans la bouche et on le cagoule d'un slip imbibé de foutre, de pisse et de merde. Son dos, son cul et ses cuisses, marqués par les lanières du martinet, font place au suivant. Trente coups de ceinturon que le second prend plaisir à lui infliger, le marquant presque au sang. Eric gueule de plus en plus au travers de sa chaussette coincée dans sa bouche. Il gesticule comme pour pouvoir échapper aux coups mais rien n'y fait… La troisième sentence est la pire car c'est trente coups de cravache qui lui sont infligé. Il n'en peut plus, il ne contrôle plus son corps qui tremble comme des spasmes sous les coups de cravache. A la fin de cette punition son dos perle de sang, ses cuisses et surtout son cul sont rouge vif et il ne pourra pas s'asseoir pendant des semaines.   La sentence est terminée, seulement la punition n'est pas terminée pour autant car ses bourreaux l'informent qu'il va maintenant servir de trou à bite et ce, toujours encarqué. C'est un petit soulagement pour Eric qui se dit qu'après ce qu'il vient de subir,  habitué à sucer et se faire enculer, ce ne sera qu'une formalité sauf que…

Une fois qu'il s'est fait baiser par ses Maîtres en avalant soit leur foutre ou après avoir nettoyé leur bite après passage dans sa chatte, il voit arriver devant lui un grand black, genre rugbyman, lui présentant une bite flasque mais d'une proportion énorme qu'il n'avait encore jamais vu. Afin qu'il constate l'ampleur de cet énorme engin, le black mesure sa bite devant lui et indiquee qu'elle fait un bon 26*8. Malgré son épuisement par les coups qu'il vient de prendre, il ne put s'empêcher de s'imaginer qu'il allait devoir se faire démonter la chatte par cette queue qui deviendra plus grosse une fois gorgée de sang…

- "Hummm… Tu vois p'tite pute, pour une fois j'vais m'faire un bon plaisir et prendre un pied d'enfer car aucune meuf ne veut se faire baiser avec ce que j'ai entre les pattes ! Tu vas donc les remplacer et, crois-moi, tu vas gueuler ta race ! Mais j'ai pas l'intention de m'arrêter tant que j'me suis pas vidé les couilles, allez… commence par me léchouiller le gland, bâtard !"

A peine léché et suçoté le gland, sa bite se met à gonfler et mouiller. Il s'enfonce dans la bouche mais ne peut aller très loin tellement elle est énorme en épaisseur. Il prend alors place devant son cul, frotte son gland sur la raie,  force le passage du trou et s'enfonce de toute la longueur de son énorme tige… Bien calé au fond de ses entrailles, il entame ses va et viens… Éric hurle de douleur mais le black n'en a que faire. Au contraire ça l'excite encore plus de l'entendre gueuler et il lui défonce le cul à grands coups de butoir…

- "Haaaa… Ouiiiii… Vas-y, gueule sale putain ! T'en as jamais eu une aussi grosse ? Hein sale bâtard ! Hummm, putain… Il est trop bon ton cul de PD…"

Après une bonne dizaine de minutes de ramonage, le black décharge des litres de foutre dans son trou, à croire qu'il n'a pas joui depuis des mois, puis il vient se replacer devant lui.

- "Allez, nettoie maintenant ! Lèche bien toute la longueur de ma queue, sale chienne…"

Après lui avoir bien nettoyé sa bite, il se fait arroser de pisse... Voilà ! La punition est terminée et il va en avoir pour des semaines à s'en remettre car avec son trou du cul déchiré par le black et son corps lacéré de coups, il ne va pas pouvoir s'asseoir ni s'allonger sur le dos pendant un bon moment...

Il est alors emmené dans une cave aménagée d'un matelas et d'une gamelle de chien et y est enchaîné. Des menottes aux poignets et aux chevilles reliées par une chaîne, un collier en métal autour du coup également relié à une longue chaîne attachée au mur. Après une longue nuit effroyable sans pouvoir correctement dormir, au petit matin l'un de ses Maîtres le tire de sa somnolence.

- "Allez le bâtard, réveille-toi et approche comme un chien que tu es. Il est l'heure de ma toilette…"

Éric s'approche à 4 pattes aux pieds de son Maître.

- "Commence par me lécher les panards, sale chien… C'est bien ! Nettoie-moi la bite maintenant. Décalotte bien à fond  et passe bien ta langue autour du gland. Suce salope ! Bien… A présent tu vas me décrasser le cul, comme je ne me suis pas essuyé le derche après avoir chié, tu vas me servir de PQ ! Allez, écarte-moi bien les fesses et lave le moi…"

Malgré son dégoût, Éric na pas d'autre choix que d'obéir et nettoie  ce cul encore plein de merde.

- "Enfonce ta langue dans mon trou sale mange merde et nettoie moi ça correctement ! Bien… Maintenant j'vais te baiser la gueule… Allez, suce et tire moi le jus salope… Ce sera ton petit lait du matin !"

Tout en s'agrippant à ses cheveux, il lui baise la gueule, s'enfonçant toujours un peu plus loin, le forçant à lui faire une gorge profonde.

- "Hummm, putain de chiennasse ! J'vais bientôt cracher… Ouai… ouai… ouai… Hummm… Avale salope !"

Après s'être bien vidé les couilles, avant de repartir, il le gifle en lui disant :

- "C'est bon sale chien, tu peux retourner à ta place… A plus !"

Après quelques minutes, un deuxième Maître arrive et le même scénario recommence. Il doit à lui aussi  laver ses panards, ses couilles, sa bite et son cul avec sa langue avant de se faire baiser la gueule et d'avaler son foutre.

Le troisième Maître tarde à venir et lorsqu'il arrive, direct il lui ordonne de le sucer puis lui baise la chatte. Éric crie de douleur car son cul est encore endolori par la grosse queue du black de la veille mais il reçoit une claque sur le cul.

- "Ferme ta gueule bâtard et encaisse… T'es qu'une pute !"

Une fois déchargé de son foutre dans son trou, il se fait nettoyer la bite et lui pisse dans la bouche en lui ordonnant de bien tout avaler. Puis il repart comme il était venu.

Durant toute la journée il sert de vide couilles. Des mecs défilent dans sa cellule pour s'y faire sucer ou le baiser.

Pendant 2 mois, les jours se suivent et se ressemblent : il sert de torche cul et de vidangeur de couilles. Pour toute pitance il n'a que du pain sec imbibé de pisse dans sa gamelle mais, 2 fois par semaine, il a droit aux restes de ses Maîtres : des restes de pâtes ou de pizza arrosés de pisse et quelquefois mélangé de leur merde...

Afin que l'humiliation soit à son comble, ils le font nettoyer leur chiotte avec la langue sous des coups de cravache…

  - "Lèche bien partout bâtard !"

Puis comme si ça ne suffisait pas, ils lui maintiennent sa tête dans le trou du chiotte pour lui pisser dessus et tirent la chasse d'eau.

Bien entendu il continue à recevoir ses piqûres d'hormone pour lui faire gonfler sa poitrine et arrêter sa pilosité.

Un beau jour, ses Maîtres lui rendent visite avec un médecin qui l'ausculte en détail. Il lui prend sa tension, lui palpe le corps et prend une attention particulière à sa petite bite et ses couilles. L'auscultation terminée, il annonce son verdict à ses Maîtres.

- "Ok c'est bon… ça ne pose pas de problème.

- Très bien doc. Alors, allons-y…"

Sans avoir l'occasion de savoir ce qui allait se passer, Éric reçoit une injection anesthésique. À son réveil il est dans un lit confortable mais nu, pieds et poings attachés et, curieusement, on lui a mis une collerette autour du cou. Pendant une semaine on lui prodigue des soins sur ses parties génitales et il est nourri par intraveineuse. Puis, le jour fatidique arrive. Ses Maîtres le mettent face à la réalité  en le mettant devant un miroir. Là, c'est une vision d'horreur pour Éric car il se découvre les cheveux longs avec une poitrine de meuf... Mais en plus, sans sa bite ni ses couilles ! A la place il n'a qu'une fente de femelle ! Bien sûr, comme le prévoyaient ses Maîtres, il est pris d'une violente crise de nerf à vouloir tout détruire ce qui l'entoure mais il est vite maîtrisé et anesthésié à nouveau. Lorsqu'il se réveille, il se retrouve enfermé dans sa cave, enchaîné. Au bout de  2 jours sans visite ni nourriture, l'un de ses Maîtres vient le voir et lui pose une condition non discutable.

- "Bon ben voila le deal, sale bâtard… Soit tu te conformes à nos directive, soit tu pourris ici dans cette cave à bouffer  nos merdes… Sache que dans tous les cas tu resteras une pute ;  donc à toi de voir ! Qu'est-ce que tu décides ?"

N'ayant plus rien à perdre il répond avec de grosses larmes dans les yeux :

- "Ok très bien, j'accepte le deal… J'obéirai...

- Voilà qui est bien ! Donc voici ce qui t'attend. Dans un premier temps, la journée tu vas nous servir d'esclave : faire le ménage, la bouffe etc... Ta chambre pour la nuit restera cette cave. Si tu es bien obéissante tu n'auras plus à nettoyer les chiottes avec ta langue mais avec une éponge. Tu boufferas correctement, enfin… toujours dans ta gamelle avec nos restes mais sans merde. Tu continuera bien sûr à faire office de décrasseuse de panards, de bite et de cul… Dans un second temps on te remettra sur le trottoir  car t'as du fric à rembourser…  Puis au final tu seras reconduite auprès de ton Maître Jérôme. Ok ? T'as bien tout compris ?

- "Oui ok, j'ai bien tout compris.

- Parfait ! Maintenant on va monter pour tester ta nouvelle chatte..."

Toujours enchaîné, il est conduit auprès des autres, attaché sur une table basse sur le dos, pieds et poings liés en croix et sa nouvelle chatte bien offerte. Il est caressé de partout, on lui malaxe sa poitrine en lui pinçant les tétons, un doigt vient lui caresser sa nouvelle vulve et tente de s'y introduire...

- "Hummm… Elle est bien serrée cette chatte ! Va falloir l'assouplir un peu..."

Ils lui font respirer un peu de poppers afin que ses muscles se détendent puis un doigt enduit de gel le pénètre. Un deuxième puis un troisième doigt lui travaille ce nouveau trou avant qu'une première bite vienne s'y enfoncer.

- "Hummm… Putain les mecs !!! Cette chatte est un vrai bonheur… Putain merde, j'vais déjà jouir… Haaaaa !!! Tiens salope, reçois ta première jute dans ta chatte ! Allez les mecs, à vous, j'vous ai ouvert le passage…"

Le deuxième mec ne se fait pas prier et lui enfonce sa bite direct dans sa chatte enfoutrée. Lui aussi met bien peu de temps à jouir. La chatte d'Éric dégoulinant de foutre permet au troisième qui a la plus grosse bite de le féconder…

- "Haaaaa !!!  Putain ouaiii !!! Trop bon…"

Voilà. Maintenant que sa nouvelle chatte a été rodée, il est baisé chaque jour. Il se fait même prendre en doublette : une bite dans son cul et une autre dans sa fente de femelle.

Puis reviens le jour où il doit retourner sur le trottoir. Là, sachant ce qui peut lui arriver, il se tient à carreau et se livre à tous les mecs qui le payent pour être baiser par tous les trous. Relégué au rang  de bâtard et de chienne, il est utilisé comme vide couilles par des routiers en manque de sexe, des mecs de chantier refoulés par leur femme ainsi que des SDF qui, la majeure partie, ont du fromage au bout de la queue et des boulettes de merde collées aux poils de cul…Après 2 mois de ce traitement intense, l'un de ses dresseurs lui annonce :

- "Bon, il est temps pour toi d'aller retrouver ton Maître Jérôme. Il vient tout à l'heure te récupérer."

Même si cette annonce le réconforte un peu, il/elle déteste le fait de se retrouver aux mains de ce Maître, de ce Jérôme qui l'a conduit ici. Mais il/elle ne peut que se résigner à l' idée qu'il/elle va devenir son esclave pour le restant de sa vie car il/elle n'a plus le choix. Il/elle est donc préparé pour l'accueillir. Il/elle est lavé, coiffé, parfumé, maquillé et habillé comme une pute.

Lorsque Jérôme arrive, il ne reconnait pas Éric du fait de sa transformation physique et quand il/elle lui est présenté il en est conquit :

- "Hummmm… Ouai… Pas mal ! Tu es devenue une vraie petite femelle à ce que je vois ! Bon, va m'attendre dans le coin là bas, j'ai une affaire a régler avec ces messieurs qui ne te regarde pas."

Après une bonne 1/2h de discussions autour d'un verre, Jérôme leur remet une grosse enveloppe. Éric sait maintenant qu'il vient d'être vendu.

- "Allez esclave, aux pieds ! Il est temps de rentrer au bercail."

Devant la portière de la voiture Jérôme attend. Éric ne comprend pas mais ne tarde pas à le savoir en recevant une gifle.

- "Et bien alors ? Tu attends quoi pour m'ouvrir la porte, esclave ?"

En ouvrant la portière il reçoit une deuxième gifle.

- "Jamais tu ne t'excuses pour ce manque de respect ?

- Heu… Oui, pardon."

Et vlan, une troisième gifle.

- "Pardon qui, bâtard ?

- Pardon Maître…

- Voilà qui est mieux !"

Sur le trajet Jérôme lui explique qu'il va lui inculquer certaines règles à respecter et ce qu'il attend d'elle…

- "A partir de cet instant tu m'appartiens. Corps et âme… Sache que tu m'as coûté beaucoup d'argent, donc tu es et restera mon esclave et ma pute à tout jamais car tu n'as pas assez de toute ta putain de vie pour me rembourser ! Tu vas d'abord changer de prénom. Désormais tu t'appelles  Erika, je t'ai fait faire une nouvelle carte d'identité. Pour ce qui est du reste à savoir, je te l'expliquerai à la maison…"

Et en effet, arrivé sur son nouveau lieu de vie il, ou plutôt «elle» est conduite dans une cave aménagée, mise à poil puis attachée suspendue par les poignets. Chaque règle  lui est dictée par un coup de ceinture sur son cul à savoir qu'elle doit être bien obéissante et respectueuse envers son Maître, comme une bonne esclave mais aussi comme putain qui doit ramener de l'argent.

- "L'avantage que tu as maintenant c'est que tu peux te faire piner la chatte et te faire enculer. T'as 2 trous à bites sans oublier ta petite bouche de pute qui va aussi servir à sucer…"

Après ces règles dictées, elle est détachée mais aussitôt attachée sur une table, bien sanglée afin qu'aucun mouvement ne soit possible. Là, Jérôme sort un tisonnier rougi par le feu et la marque (comme on marque du bétail au fers rouge) à l'aine d'une lettre «J». La douleur est si violente qu'elle s'évanouit. A son réveil la douleur est encore présente mais son marquage est couvert d'un pansement. Elle porte aussi un fin collier en métal soudé autour du cou.

Voilà ! Eric, qui au départ était un mec est aujourd'hui une femelle renommée Erika, devenue l'esclave d'un Maître, régulièrement fouettée pour lui rappeler sa condition de bâtard, mais aussi pour le seul plaisir de son Maître à qui elle ne sert que de trou à bites comme une vulgaire putain.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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