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POUR LE PLAISIR DES YEUX ET DES SENS...
Un copain et moi organisons périodiquement des visites médicales. Une annonce sur un site internet permet de recruter des candidats. Nous les prévenons que nous ne sommes pas tendres avec les corps des mecs, mais qu’un mec digne de ce nom doit avoir pris conscience de son corps au moins une fois dans sa vie. L’examen a lieu dans la cuisine de mon appartement. La table de Formica est recouverte d’une couverture et d’un drap blanc pour servir de lit de consultation. Une balance est installée dans un coin, une petite table avec deux chaises servent de bureau, un verre et une cuillère sont les instruments utilisés.
Ce soir, nous devons examiner un mec de vingt-deux ans. Un entretien téléphonique nous a permis de nous assurer de sa motivation. Nous n'avons toutefois pas dévoilé la teneur de l’examen mais l’avons prévenu que devant un médecin un patient doit être soumis afin qu'il sache à quoi s’en tenir. Il s’est décrit comme étant grand, châtain avec les cheveux courts. Nous lui avons précisé que pour l’examen, il doit porter un mini slip. Nous voulons profiter des formes du mec : le plaisir de zieuter un mec en slip !
À l’heure dite il arrive, conforme à sa description. Nous sommes, bien entendu, assez directs :
— C’est pour le rendez-vous ?
— Oui !
— Entre ! Déshabille-toi, en slip et sans chaussettes. Tu poseras tes vêtements dans un coin. Ensuite viens nous rejoindre.
Nous nous installons à notre bureau et préparons une fiche que nous remplirons au cours de l’examen. Il entre.
Mon copain commence à le questionner pour remplir sa fiche. Pendant ce temps je le dévisage et laisse glisser mon regard le long de son corps.
— Ton prénom, âge, situation de famille ?
— Anthony, vingt-deux ans, célibataire.
— Tu fais du sport ?
— Un peu de natation, du VTT.
— Souvent pour la natation ?
— Je vais à la piscine une ou deux fois par mois.
Je me lève pour mieux l’observer. Son corps n’est pas celui d’un athlète, mais il a une belle ossature carrée au niveau des épaules et des bras pas mal développés. Le ventre est ferme. Il a quelques poils sur la poitrine, mais très peu ailleurs. Ses fesses sont rebondies et moulent bien son slip. Ses cuisses et ses jambes ont l'air puissantes. Sur le devant, le slip enveloppe un joli petit paquet sur lequel je m’attarde. Je le regarde. Il a l’air penaud. Je tâte ses bras :
— Tu as l’air putôt musclé, ça se voit que tu fais du sport !
Je tâte ses cuisses. Elles sont fermes.
— OK. Monte sur la balance. 65kg, ok.
Mon copain prend son pouls au niveau du poignet. Plus de 80 pulsations à la minute. C’est assez rapide.
— Tu as l'air nerveux !
— Un peu !
— Baisse ton slip !
Il se présente à nous, son slip baissé à mi-cuisses. Le paquet est constitué d’une petite bite au repos sur une bonne paire de couilles. J’écarte ma chaise de la table pour qu’il puisse s’approcher et écarter les jambes et lui dis :
— Viens ici.
Il fait quelques pas et se met à portée de mes mains, du moins pour ce qui concerne son sexe car c’est cette partie qui m’intéresse désormais. Je lui palpe le pubis de part et d'autre, glisse ma main à l’intérieur des cuisses, soupèse les couilles de la main, décalotte le gland. Tous ces attouchements le font bander un peu. Je le lui fais remarquer :
— Tu es sensible de la bite ?
— Un peu !
Je le décalotte de nouveau et presse le gland. Il gémit. Je lui demande alors :
— Qu’est-ce qui t'arrive ? T’as un problème ?
— Non, non.
— Quand as-tu eu ta première relation sexuelle ?
— Il y a cinq ou six ans.
— Avec un garçon, une fille ?
— Une fille.
— Et ensuite ?
— J’ai plutôt aimé les garçons !
— Quelle est ton activité sexuelle aujourd’hui ?
— J’ai un copain.
— Vous faites l’amour ?
— Environ une fois ou deux par mois.
— Tu te branles ?
— Oui.
— Souvent ?
— Plusieurs fois par semaine.
— Bon !
Pendant ce petit dialogue, je n’ai pas arrêté de la malaxer. Il bande dur.
— T'as une érection. Retourne de l’autre côté de la table.
Il recule, la bite au garde à vous. Je lui tends un verre :
— J’ai besoin d’une analyse d’urine. Pisse dans le verre.
Évidemment, comme il bande ce n’est pas simple. C’est le but du jeu. Nous le regardons se dépatouiller avec sa bite et son verre.
— Si tu veux y arriver, il va falloir débander !
— Oui !
Il n’est pas fier ! Imaginez le tableau : un mec debout devant deux autres qui le regardent, le slip à mi-cuisses, la bite horizontale qu’il tient dans la main droite, au-dessus d’un verre qu’il tient dans la main gauche. Il regarde le bas de son ventre pour éviter notre regard.
— Ça vient pas ?
Il ne répond pas. Je me lève et lui presse l’entrejambe, derrière les couilles.
— Tu veux que je t’aide ? Tout ça est bien dur. Quelquefois, une bonne fessée remet les choses en place !
Il me regarde, l’air inquiet. Je lui dis :
— Concentre-toi !
Je demande à mon copain d’aller chercher un martinet dans la pièce voisine. Il revient avec l’objet et le pose sur le bureau.
— Alors ! Tu pisses ?
Il ferme les yeux. Visiblement il n’en mène pas large. Après quelques instants sa bite s’amollit. Elle lâche quelques jets dans le verre.
— Ok ! Tu sembles avoir du mal à pisser.
— C’est parce que je bandais.
— Ça t’arrive souvent ?
— Quand on me touche.
— Remonte ton slip !
Nous prenons des notes. Après un moment d’hésitation, il demande :
— C’est fini ? Je peux me rhabiller ?
— Non, non, attends !
Nous continuons à prendre des notes.
— Bon, on va te dire ce qu’on a noté !
Nous lui lisons les divers commentaires écrits au cours de cette première partie de l'examen. Les détails sont parfois crus et le font rougir.
— Vu ?
— Vu.
— Bon. Retire ton slip et monte sur la table maintenant. Allonge-toi.
Il s’exécute.
— Remonte tes jambes et écarte-les.
Il nous expose son intimité. Au premier plan, sa bite et ses couilles que nous connaissons déjà et que nous venons de lui décrire. En dessous son fion. J’enfile un gant de chirurgien et lui tâte la rondelle. Elle se rétracte :
— Tu te fais pénétrer ?
— Parfois.
— De gros calibres ?
— Non.
Le trou a l’air bien fermé. Il faut pourtant que j’y entre deux doigts :
— Ouvre-toi que je t’examine.
C’est amusant d’observer les activités d'un mec de ce côté-là. Il gémit un peu. Ça s’entrouvre. Profitant de l’aubaine j’y vais franchement. Il pousse un cri. Je le travaille longuement avant de ressortir.
Je prends la cuillère et, avec le dos, lui tapote les couilles. Ça ne fait pas du bien. Il pousse des petits cris et se débat. Mon copain lui plaque les épaules sur la table. Avec le bras gauche, je forme une entretoise pour lui maintenir écartées les cuisses et les bloquer. Nous sommes organisés : un bon examen médical nécessite un médecin et un assistant ! Bien sûr, avec la main droite, je continuer à le tapoter. Ça a pour effet de le faire gémir. Il ne doit pas trouver ça bien agréable car il débande.
— Arrête ! dit-il dans une sorte de sanglot.
— Encore un peu, ça va t 'endurcir. Tu es un mec quand même ! Tu as là un point faible qui peut te nuire !
— J'arrête les frais !
— Tu es douillet !
Il ne répond pas. Il est comme anéanti sur la table. Quelques traces de larmes mouillent ses joues.
— Relève-toi !
Il est debout, nu devant moi. Je m'approche pour lui prendre le paquet. Bien sûr il a un mouvement de recul. C’est instinctif. Je lui dis :
— Approche !
Il obéit. Je lui malaxe encore une fois l’ensemble.
— Maintenant tu vas jouir, je veux faire une analyse de sperme.
Je lui tends un verre pour recueillir le sperme. C’est le monde à l’envers ! Tout à l’heure il bandait et je lui demande de pisser. Maintenant il est crevé et en a marre et je lui demande de se branler alors que sa bite est au repos...
— Alors ?
— Je ne peux pas ! Laissez-moi partir !
— Non, on va t'aider.
Mon copain se place derrière lui et le ceinture. Je lui prends la verge, la décalotte et lui frotte vigoureusement le gland du doigt. Surtout la base, elle est très sensible en général. Ça ne manque pas de lui faire de l’effet. Il gémit et se tord. Je le regarde dans les yeux.
— Bientôt tu vas bander !
Poursuivant nos efforts j’obtiens une bite bien dure, digne d’un homme viril. Je la lui tiens fermement et m’occupe toujours de son gland. Puis le relâche.
— Nous avons fait la première partie du travail. Maintenant que tu bandes, branle-toi et éjacule. Voilà un verre pour recueillir le sperme.
Il se contracte, surtout au niveau des cuisses et des fesses, et se branle vigoureusement. Se mettant sur la pointe des pieds il finit par éjaculer. On le sent s’exécuter sous la contrainte car il prend des postures grotesques. Son éjaculation n’est d’ailleurs pas ridicule. Il a réussi à concentrer pas mal d’énergie lors de ce dernier effort. Quelques gouttes vont dans le verre, pas mal par terre. Tremblant, sans doute à cause de l’effort, il me tend le verre.
— Tu en as mis par terre. Nettoie le sol avec ton slip.
À quatre pattes il nettoie le carrelage.
— Ok, rhabille-toi !
Sans demander son reste il s’est resapé et, titubant, il est vite parti.
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