L'histoire de la semaine

Dimanche 2 août 7 02 /08 /Août 14:03

Je n'avais pas vu le fils de mon meilleur ami depuis quelques temps. Interne en prépa dans un grand lycée, il n'est que rarement chez lui quand je vois ses parents.
Récemment nous devions aller à un concert ensemble. La veille du concert, il me demande s'il peut venir récupérer sa place pour y aller avec ses amis plutôt qu'avec ses parents. C'est bien compréhensible et je l'invite à venir chez moi pour prendre son billet.
Arrive chez moi un grand jeune homme mince, le visage fin, une longue chevelure bouclée et une bouche à faire se dresser toutes les bites de Paris ! On devine sous ses vêtements amples une fine musculature. L'adolescent trop vite grandi a laissé la place à un magnifique jeune quasiment adulte, il vient tout juste d'avoir 18 ans.

Je lui propose une tasse de café qu'il accepte avec un grand sourire, évènement rare chez ce garçon plutôt discret en présence de ses parents.
Nous nous asseyons sur le canapé et, sans quitter son beau sourire, le voilà qui pose sa main sur ma cuisse en me remerciant pour le billet et le café. Je n'en reviens pas ! Ce jeune homme a pas mal de succès auprès des filles, il est aussi entouré de beaux mecs, je ne me doutais pas que ceux -là l'intéressaient aussi…
Me revient alors le souvenir de son père lorsque nous étions jeunes et de son appétissante bite dans les vestiaires. Un engin de premier ordre...
Comme je reste interloqué, il retire sa main mais me fixe d'un regard intense. Je lui rends son sourire en essayant de contenir l'excitation qui me traverse le corps tout entier. Comme dans un rêve, je vois ses lèvres épaisses s'approcher des miennes et une langue avide pénétrer ma bouche. Sa main revient sur moi, cette fois pour palper mon paquet plus dur que jamais. A mon tour je dirige ma main vers son pantalon, baisse sa braguette et fais sortir une pine comme rarement j'ai pu apprécier. Son père est battu ! Une verge de facilement 20 cms, large, droite, un beau gland bien dessiné, un enchantement !
Nous nous déshabillons l'un l'autre avec fougue. Collé contre moi, il continue de me rouler des pelles humides en me tenant la tête comme s'il ne voulait pas s'arracher à moi. J'en profite pour tâter ses jolies petites fesses rondes et ausculter son anus, histoire de vérifier son expérience à ce niveau-là. Ses petits soupirs me laissent penser qu'on ne va pas se contenter de s'embrasser.
Ne pouvant plus attendre, j'attrape goûlument sa queue que je bouffe consciencieusement. Je me donne à fond et lui, ne voulant visiblement pas être en reste, nous nous retrouvons bientôt dans un tête à queue de folie ! Je manque de m'étouffer tant il me lime fort la gueule tout en passant de ma bite à mes couilles dont il avale la paire entièrement.

Le doigt que je lui ai mis dans le cul pendant ce petit exercice semble lui avoir procuré un grand plaisir. Il bouge ses fesses pour en profiter encore plus et m'inciter à l'enfoncer plus profondément. De bon augure pour la suite...

Pour respirer un peu et continuer à profiter de ces adorables fesses, je lui titille le trou à grands coups de langue, que je promène de ses couilles à son trou puis enfonce dans l'orifice tout mouillé. Il gémit de plaisir et je choisis ce moment pour me placer allongé derrière lui, prendre à nouveau ses douces lèvres contre les miennes et poser doucement ma pine entre ses fesses. Il ne faut pas lui faire un dessin et tout de suite il guide lui-même ma queue. D'un coup de fesses il l'enfonce dans son trou brûlant. Je caresse sa longue bite tout en le limant de coups lents et profonds. Sa main serre à nouveau ma tête pour me plaquer contre sa bouche. Un délice !
Je me retire pour le retourner et le prendre face à moi,afin de profiter de la vue de son torse imberbe et de la dureté de son énorme engin. Ses jambes d'abord écartées il accueille chaque coup de queue avec un petit râle de plaisir. Je me penche vers sa bouche pour l'embrasser, il enroule ses jambes autour de mon dos, nous sommes collés l'un à l'autre, ma bite allant et venant dans ce cul maintenant bien ouvert.

Après un bon moment de pur plaisir je sens couler entre nos ventres un liquide chaud et abondant, une jouissance que nous fêtons dans un intense baiser. Je ne résiste pas à lécher toute sa semence et à lui nettoyer le gland avec ma langue pour recueillir la moindre goutte de son jus délicieux.
Je prends cette superbe bite dans ma bouche et je la sens grossir à nouveau.
Elle est maintenant bien dure et j'en profite pour me placer sur lui et l'enfoncer doucement dans mon cul. A mon tour d'imprimer le rythme des va et vient de sa bite entre mes fesses. Chaque coup me procure une incroyable jouissance. Je tremble de tout mon corps tellement je suis excité. Je ne tarde pas à jouir à mon tour sur son torse puis à lui donner ma queue à sucer, ce qu'il fait avec gourmandise.
Nous finissons encore par un long baiser tendre. Il me sourit et me remercie.

J'ai hâte de l'inviter à nouveau, cette fois pour une nuit entière d'amour...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 26 juillet 7 26 /07 /Juil 13:52

La fenêtre de ma cuisine donne sur une cour intérieure. Elle me permet d'avoir la vue sur un appartement où se succèdent des étudiants, toujours des jeunes hommes. Le dernier occupant m'a laissé un très bon souvenir…

Il avait l'habitude de se balader nu dans son appartement, sans fermer le rideau. Je pouvais donc mater régulièrement ce corps finement musclé et imberbe, exactement ce qui m'excite particulièrement. Un vrai corps d'acteur porno et une jolie petite gueule de minet viril.


Un soir de printemps, un des premiers soirs où il faisait assez chaud, il s'exhibait encore en slip à sa fenêtre et j'en profitais pleinement. Un regard furtif vers moi me fit comprendre qu'il m'avait remarqué en train de l'observer. Il disparut de sa fenêtre pendant un moment. Gêné de m'être fait surprendre, je quittais mon poste d'observation mais ne pouvais m'empêcher d'aller jeter un nouveau coup d'œil quelques minutes après. Non seulement il était de nouveau à sa fenêtre mais il avait carrément quitté son slip et fumait une cigarette négligemment sans spécialement regarder dans ma direction. Il n'avait pas d'érection mais je remarquais un équipement très respectable. Ca sentait la provocation !

N'en pouvant plus, je le laissais à sa cigarette et allais dans ma chambre m'offrir un petit plaisir solitaire en pensant à ce jeune éphèbe.


Quelques jours après, je faisais mes courses au supermarché du coin quand tout-à-coup dans une allée j'aperçois mon beau petit voisin. Il s'approche carrément de moi avec un grand sourire.
-       Alors ça t'a plu le spectacle ?
C'était pour le moins direct. Un peu gêné, je bredouille que oui, forcément. Nouveau sourire.
-       Si tu veux on s'achète des bières et tu viens voir ça de plus près ?
En effet, il était adepte de l'approche directe…
-       D'accord, je finis les courses et je t'accompagne

Une occasion pareille se présente rarement deux fois, il fallait en profiter.


Nous nous retrouvâmes à la sortie du supermarché et, en chemin, il me raconta qu'il était étudiant dans une école d'ingénieurs, qu'il avait une copine mais qu'il avait eu quelques rares expériences avec des hommes, en général plus âgés que lui. Il avait vu très vite que je le matais mais il avait fait semblant de ne pas le remarquer en attendant de me croiser dans le quartier... Nous arrivâmes chez lui, et cette fois il ferma le rideau de la fenêtre.
Autour d'une bière, il me raconta qu'il était originaire d'une petite ville de province et que c'était à son arrivée à Paris qu'il avait pu avoir une première expérience. C'était son fantasme depuis longtemps mais dans sa ville il n'avait jamais osé franchir le pas. Ca me rappelait furieusement ma propre histoire.

 

Tout en discutant, nous nous étions rapprochés l'un de l'autre et avions commencé à nous caresser doucement les cuisses. Tout d'un coup il se leva et se mit devant moi en se déshabillant. J'avais enfin sous mes yeux ce corps lisse et sec, une queue gonflée mais pas en érection totale, ce qui était encore plus excitant. Assis devant lui sur le canapé, je mis mes mains sur ses fesses rebondies pour le rapprocher de ma bouche et commençai à le sucer lentement. Sa bite durcit rapidement sous ma langue, une jolie queue, pas très large mais bien longue, comme je les aime. Je le pompai avec bonheur, toujours habillé, mes mains palpant doucement ses fesses.
-       Tu vas me faire jouir comme ça ?
-       Tu pourras continuer après ?
-       Oui j'ai trop envie de toi !
Je retirai ma bouche juste à temps pour qu'il inonde mon visage d'un jus chaud et abondant.
Je m'apprêtai à m'essuyer quand il se pencha vers moi et me lécha entièrement le visage. C'était incroyablement excitant et nous nous embrassâmes ensuite longuement.
Tout en m'embrassant, il m'avait déshabillé à mon tour, libérant ma queue évidemment plus que dure. Il me la caressa doucement, passant aussi sa main sur mes couilles. Nous étions maintenant allongés l'un contre l'autre sur le canapé, tendrement enlacés. Ce moment sensuel était un délice. Nos mains parcouraient nos corps et nos lèvres ne se décollaient pas les unes des autres.
Il ne m'avait pas dit s'il était passif ou actif. J'allais vite découvrir ses préférences…


Passant un doigt sur son trou, je me rendis compte qu'il était étonnamment ouvert pour un mec bi qui était supposé faire peu de rencontres. Je me promettais de lui poser la question plus tard. Mon doigt fouillait maintenant son cul et à sa réaction je vis qu'il aimait beaucoup. Il fit de même avec moi et bien qu'essentiellement actif, je le laissais agir car il s'y prenait très bien.
Rapidement il changea de position, se retourna en se collant contre moi, les fesses se frottant à ma queue. Ce fut facile de le pénétrer et je commençai à le limer doucement puis plus intensément. Il eut le bon goût de me manifester sa totale approbation. Ce corps sublime contre le mien, cette queue dressée que je caressais tout en le baisant, ses baisers profonds, c'était encore mieux que ce que j'avais imaginé de ma fenêtre !
De positions en positions je finis par le baiser debout, lui allongé, le cul offert reposant sur le bras du canapé. Il jouit à nouveau et, à mon tour, je lâchai ma semence sur son torse avant de le lécher comme il l'avait fait avec moi au début de cette douce et chaude séance. Je m'allongeai auprès de lui et tout en se caressant et s'embrassant nous discutâmes un moment. C'est là qu'il me dit qu'il se godait régulièrement et même qu'il avait demandé à sa copine de le lui faire. Je lui demandai s'il n'avait jamais essayé un plan avec sa copine et un autre mec bi (j'avoue que la question était intéressée). Il y avait pensé mais n'avait pas encore osé.

 

De discussion en discussion, nos sexes recommencèrent à durcir et nous reprîmes nos ébats par un beau 69 qu'il agrémenta d'un léchage et d'un doigtage de mon cul qui eut le don de m'exciter furieusement. Je me retrouvai vite sur lui, enfonçant sa longue verge entre mes fesses. Je n'avais pas été pris depuis longtemps et après un moment de réadaptation je pris un énorme plaisir à guider nos va et viens en me délectant de la dureté de son sexe. Il rapprocha sa tête pour me signifier qu'il voulait recevoir ma jouissance sur le visage, ce que je ne me fis pas prier d'envoyer, sentant au même moment la sienne se déposer sur mes fesses.

Cette fois nous partimes ensemble sous la douche et, tout en me lavant et caressant à nouveau, il me proposa de partager son lit pour la nuit. Rien n'aurait pu me faire autant plaisir ! Cet adorable étudiant était décidément un hôte parfait. Inutile de dire que la nuit fut aussi chaude que la soirée. Mais ça, c'est une autre histoire…

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 19 juillet 7 19 /07 /Juil 13:42

J'ai hébergé les 2 fils d'une amie pour quelques jours à Paris. Ils ont 16 et 18 ans, sont très mignons et ont chacun leur copine. Aussi aucune intention de ma part de faire quoi que ce soit avec eux quand je les accueille chez moi. Comme c'est petit, ils doivent partager le canapé-lit dans mon séjour. Je les installe et retourne à ma chambre sans vraiment avoir sommeil.

Quelques minutes se passent quand j'entends des gémissements venant du séjour. Intrigué, je me lève et, par la porte restée ouverte, j'aperçois mes deux frères en train de se faire un 69 torride ! Deux belles queues dressées s'offrent à leurs bouches gourmandes.  Ce spectacle achève de dresser la mienne sous mon caleçon. Le plus jeune m'aperçoit et, loin d'arrêter de s'occuper de la bite de son frère, me fait signe d'approcher. Je m'exécute volontiers mais reste debout près du lit à les regarder, assez sidéré par cette vision inattendue et si excitante. Sans que sa bouche quitte la queue de son frère, le petit attrape de sa main mon sexe maintenant très dur et m'incite à m'allonger avec eux.

Me voilà maintenant allongé avec deux jeunes éphèbes aux corps dessinés, imberbes, à la peau douce, occupés à me donner du plaisir en passant leurs langues sur ma bite et mes couilles, en gémissant de plaisir. J'en profite pour leur masser doucement leurs queues, de tailles très respectables.  L'ainé vient se coller contre moi, frottant sa queue contre la mienne et m'embrassant à pleine bouche. Il me demande de me lever et, une fois debout, je vois sa bouche avaler presqu'entièrement ma queue qui est bien large mais pas très longue. Son cul offert à la langue déjà experte de son petit frère qui ne se fait pas prier pour s'occuper des fesses toutes rondes de son ainé.
A genoux derrière lui, il le pénètre doucement, provoquant un nouveau gémissement de plaisir chez ce garçon très masculin qui se révèle une jolie salope. Plus petit et plus carré que son frère, le jeune garçon le lime maintenant avec force, à grands coups de bite, pendant que l'autre continue à me pomper goulument. Tout d'un coup il stoppe son effort. Je crois qu'il va jouir mais non, il vient juste se placer à 4 pattes à côté de son frère, m'incitant à venir derrière eux. Je me place donc devant ces deux petits culs tous lisses, ne sachant pas par lequel commencer.
Je choisis l'ainé déjà bien ouvert par la large bite de son frère. La chaleur de ce cul me procure des sensations exceptionnelles. Je doigte l'autre pendant ce temps-là et l'agitation soudaine de ses fesses me fait comprendre qu'il lui en faudra bientôt plus.
C'est alors qu'il vient se placer sous son frère, sa tête sous le cul et qu'il entreprend de le sucer et de me lécher les couilles pendant que je baise. Il fourre en même temps sa bite dans la bouche du grand et lui lime la bouche en même temps que je baise son cul. L'excitation de ces deux minets est à son comble et ils ne tardent pas à jouir chacun dans la bouche de l'autre. Ils m'offrent ensuite leur jus encore tout chaud dans de belles pelles à 3.

Je les invite à venir dans mon lit où nous nous allongeons en échangeant pelles et caresses. Leurs queues ne tardent pas à durcir à nouveau et le plus jeune me souffle à l'oreille que je n'ai pas encore goûté à son cul. Il vient se coller contre moi et je le pénètre lentement tout en l'embrassant. L'ainé vient se placer derrière moi, je vois bien qu'il aimerait me prendre à son tour. Je suis très rarement passif mais tellement excité que sa queue entre facilement dans mon cul et il montre un réel talent dans ses va et vient. Tout en continuant à le baiser, je branle le jeune qui du coup jouit à nouveau avec force dans ma main.
Comme je me retire il s'agenouille devant moi pour me donner les dernières gouttes sortant de sa bite. Son frère se retire aussi et je me mets sur le dos pour recevoir sa jouissance dont il m'arrose le visage. Au comble de l'excitation, je lâche à mon tour un jus épais qu'ils lapent tous les deux avec délectation.

Epuisés, nous nous endormons les uns contre les autres, après quelques dernières pelles bien baveuses.
Ils sont partis le lendemain en me remerciant de mon accueil. J'espère bien les inviter à nouveau bientôt...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 12 juillet 7 12 /07 /Juil 15:28

Je m'appelle Nicolas et j'ai 17 ans. L'an dernier, alors que j'étais encore en seconde au lycée, j'ai vécu l'aventure la plus dégradante de ma vie. Au lycée, comme au collège, j'étais le bizuth de service. Celui que personne n'aimait mais que chacun adorait insulter et tourmenter. Un véritable défouloir.

 

Parmi tous les élèves, il y en avait un particulièrement pour qui ma vision était un véritable drap rouge. Dès le premier jour de classe que nous avions passé ensemble, trois ans auparavant, il m'avait pris en haine et n'avait jamais cessé depuis de me moquer, de me frapper, de m'insulter et de me rabaisser chaque fois qu'il le pouvait. C'était une véritable fascination qu'il éprouvait pour moi : celle que le chat ressent pour la souris qu'il torture. Ce garçon s'appelle Florent.

 

Je ne me suis jamais défendu. Par instinct je préférais attendre que ça s'arrête, attendant la torture suivante. Il faut dire que j'étais maigre, tout pâle, avec des lunettes, alors lui était bien bâti, joliment bronzé, typé espagnol, avec un vrai sourire de méchant, quoique nous fassions la même taille. Les humiliations qu'il m'infligeait étaient de notoriété publique dans l'école et personne ne s'en souciait vraiment. Il faut dire que j'étais isolé socialement, sans vrais amis, tandis que lui était l'une des vedettes de la classe. Alors en général, on ne manquait jamais trop une occasion de savoir ce qu'il m'avait fait la veille et on en riait un peu partout dans la cour. Après tout, c'était dans l'ordre des choses !

 

Ce jour là on achevait la jouréne de classe par un cours de sport. A 16h, alors que la leçon se termine, je me dirige vers les toilettes pour me rafraichir. En entrant dans la pièce je vois Florent et deux ou trois de ses copains, adossés au mur, riant à haute voix. A peine je le vois que je stresse. Mais je n'ose pas revenir sur mes pas : s'il me voit faire, ça confirmera la peur qu'il m'inspire et il ne manquera pas l'occasion de le raconter à toute l'école. Alors je prends mon courage à deux mains et j'entre dans la pièce, le cœur battant à tout rompre. Rare exemple de courage de ma vie de lâche. Je vais bientôt le regretter, ce courage...

 

Lorsqu'ils me voient, les garçons sourient, goguenards. Je fais comme si de rien n'était et je vais à l'évier me passer de l'eau sur le visage.

— Hey pédé.

Je me suis retourné, comme je le fais d'habitude, par réflexe. Flo n'a aucunement connaissance de mon orientation sexuelle et il s'en fout pas mal. Ce petit surnom, il me l'a donné lui même, et il y tient, comme une sorte de certificat de l'emprise qu'il a sur moi. Florent me regarde de la tête aux pieds, comme on observe un chien dans la rue.

— On va réviser le judo dehors, tu viens avec nous?

Silence. C'est tellement inattendu. Florent, le gars qui faisait de ma vie un enfer, me propose de me joindre au groupe des gars cool de la classe. Pour sûr, c'est bizarre ! Je reste un instant sans rien dire.

— Euh...Quand ?

— Demain. Mais non, tout de suite, débile.

Derrière, les autres rient.

— Mais où ?

— Allez, viens, tu verras.

Il s'approche tout près de moi, très vulgairement, me regardant droit dans les yeux en souriant. Je me met à trembler.

— Eh, t'as peur ? T'as peur ?

Derrière lui, les deux autres sont pliés en deux. Florent sourit.

— Allez, viens, fais pas chier ! crie-t-il, souriant.

Je sursaute et je bredouille un "oui" tremblant, sans vraiment y songer. Un réflexe de lâche. Je les accompagne hors des limites de l'école jusqu'à un petit terrain vague au milieu du bois qui cerne le lycée. C'est un endroit assez sale, décrépit, comme on en trouve pas mal dans le département. Une terre friable et sèche, quelques brins d'herbe jaunie, des bouts de ferraille difficilement identifiables, et des ordures déposées un peu partout par des gens peu attentionnés. Le genre de petit coin perdu où les lycéens des campagnes aiment à aller boire, bien à l'abri du regard des pions.

 

Là, il y a une dizaine de garçons et de filles "cool" de l'école, assis en rond au centre de la clairière. Je les connais peu, ou alors de vue, sans leur avoir vraiment jamais parlé. Ce qui est sûr, c'est qu'eux me connaissent, ou en tout cas ma réputation, parce qu'ils se mettent à rigoler et à murmurer à voix basse dès que j'entre dans la clairière.

— Flo, qu'est ce que tu nous ramènes ?

— Tu ramènes du pédé, Flo ?

Tous les gars autour rigolent et moi je me tiens là, debout, sans trop savoir quoi faire, l'air de rien. C'est très rabaissant, mais comme d'habitude, je ne dis rien.

Florent rit un peu lui aussi.

— Ben ouais. Le pédé et moi, on va réviser le judo.

Il va un instant parler avec l'un de ses copains, au fond du groupe, me laissant seul, planté là, sans savoir quoi faire de mes dix doigts. J'attends comme un idiot. Au bout d'une minute, il revient vers moi.

— Bon, c'est bon, on y va ?

Il me prend par le bras pour m'emmener à l'écart des bavardages, au centre du terrain. Autour, tous ses potes cessent leurs discussions et se rapprochent pour observer.

On est tous là, au centre du terrain vague, l'un face à l'autre, à plus ou moins deux mètres de distance. Flo porte son jogging, une paire de baskets et un tee-shirt noir avec une veste. Moi, je n'ai qu'un vieux pantalon de sport ringard en tissus délavé, un t-shirt plein d'inscriptions du plus mauvais goût comme seuls les ados associaux savent en porter et une paire de vieilles baskets. Faut dire que je n'ai jamais su m'habiller. Florent enlève sa veste, la passe à un de ses amis. Il garde son tee-shirt puis il se baisse, enlève ses baskets et me les jette dessus.

— Pourquoi tu fais ça ?

— Le judo, c'est pieds nus, pédé.

Il enlève ses chaussettes et me les jette au visage. J'essaye d'éviter mais je rate et elles rebondissent sur mon front. Il y a des rires moqueurs autour. Ça m'a vexé mais je ne sais pas que répondre... Il se rapproche de moi, les pieds dans la poussière, et m'attrape par la manche et le col, comme font les judoka. Voyant que je suis très tendu, il me regarde droit dans les yeux, et me donne une petite baffe, juste assez fort pour montrer qui est le dominant.

— Eh, vas y, laisse toi faire.

Rires autour, encore. A ce moment là, je sens que je vais subir un moment épouvantable. Mais, même si je suis à cette époque déjà conscient de ma nature profonde de perdant, ce que je ne sais pas encore, c'est combien il est facile de me détruire, et que cette journée sera le cadre du tournant psychologique majeur de mon existence.

 

Florent commence à me tourner autour, me forçant à tourner avec lui en me tirant par la manche. J'essaye bien de résister mais à la moindre tension, je tangue comme un brin de paille. Il est sportif et moi non. Il faut bien l'admettre, dès les premières secondes du combat, je sens qu'il est plus fort que moi et qu'il m'est inutile de résister. Alors je me laisse faire. Je suis ses pas comme un petit chien pendant une minute ou deux, tiré à droite, poussé à gauche. Puis il  passe sa jambe derrière la mienne, et me fait tomber. Je me ramasse sur les fesses, douloureusement. Autour, tout le monde rit. Florent  lève les mains au ciel.

— Allez, bon, c'est pas la peine, quoi. Non, mais fait un effort ! Viens là !

Me retenant de dire quoi que ce soit, je me relève et lui obéis sans trop d'entrain.

 

Durant la suite de l'exercice, Florent me fait tourner comme une poupée de chiffon, comme si je n'existe même pas. Il me flanque par terre à chaque coup. Je sens bien qu'il me faudrait tenter quelque chose, résister, mettre de la force, mais à chaque fois que j'esquisse le début d'une poussée, je sens la sienne me contrer, et je renonce aussitôt, sans avoir lutté. Instinctivement, je me laisse faire, trop abattu pour me défendre. Je sens bien qu'il peut me faire tout ce qu'il veut... A chaque nouvelle chute, tous les gens réunis, spectateurs de l’épreuve, applaudissent un peu plus fort. Au bout de quelques minutes, ils commencent à encourager mon tortionnaire, en scandant son nom chaque fois que je mords la poussière. Au bout d'un moment, je ne parviens même plus à me mettre debout : à peine je commence à me redresser que Florent me saisit par la manche et me renvoie le nez dans la poussière, comme il aurait repoussé un gamin de trois ans trop collant. Au bout de je ne sais combien de chutes, je ne sais combien de hourras, je commence à avoir les larmes aux yeux. Ça, ça me terrifie. S'il y a quelque chose que je ne veux surtout pas subir, c'est une crise de larmes devant l'école. Je n'ai encore jamais craqué jusque là !

 

Au sortir d'une énième chute, ou je me suis étalé de tout mon long, Florent lève un pied et me l'écrase sur la main. Avec son autre pied, il commence à me donner des coups dans la tête. Je reste écrasé sur le sol, sans réaction autre qu'un gémissement ridicule et parfaitement audible à chaque nouveau coup. Autour, l'assemblée est morte de rire et rythme les coups avec des "olé". Plus les gens rient, plus Florent frappe...

 

Là, ça commence à dégénérer. Me voyant sans défense, aplati sur le sol, les autres gamins semblent vouloir participer à la fête. Pendant que je suis allongé sur le ventre, je sens quelqu'un batailler avec mes lacets pour m'enlever mes chaussures. Le garçon en a ôté une puis la seconde. Éclat de rires général. Je sens tirer sur le bout de mes chaussettes qui viennent facilement. Me voilà pieds nus moi aussi. Les rires n'en finissent plus. Florent, souriant de toutes ses dents, pèse son pied nu et sale sur ma main, pour bien l'écraser. Moi je suis là, comme un idiot, à plat ventre, gémissant, les larmes aux yeux. Une main me colle ma chaussette sous le nez et commence à la frotter sur mon visage, mes narines, mes lèvres.. Puis, en pressant un peu, me la fourre dans la bouche, la remue, avant de l'enlever. Puis une autre main m'écrase la semelle de ma basket sur le visage et commence à essuyer la terre sur ma figure. Hilarité générale à nouveau. Là, je ne résiste pas et j'éclate en sanglots. C'est la pire humiliation qu'on m'a jamais fait subir...

 

Quelqu'un tire sur les jambes de mon pantalon. La boucle de ma ceinture  lâche et le pantalon part avec. Je me retrouve en slip, allongé dans la terre, écrasé par le pied de mon pire ennemi. Je vois les gens devant moi qui rient et crient "Le slip, le slip !" et je sens une main écarter mon slip et y enfoncer quelque chose de frais. De la terre probablement et des cailloux. Gémissant comme un bébé, perdu dans les rires moqueurs de l'assemblée, je vois au travers de mes larmes que les deux garçons qui ont pris mes chaussures, mes chaussettes et mon pantalon partent vers le fond du terrain. Ils les jette dans la rivière, puis reviennent rire avec les autres.

 

Finalement, Florent enlève son pied de ma main. Je me redresse vite, en larmes, prêt à m'enfuir. Puis je jette un œil autour de moi. Tout le monde est mort de rire. Tout le monde. Ils me fixent tous en riant, sans pouvoir s'arrêter. Face à l'hilarité générale, je me regarde : je suis à moitié nu, humilié de toutes les manières possibles, entouré de gens cools et appréciés du lycée, qui vont raconter mon humiliation à toute l'école dès que nous y reviendrons ! Je sens à quel point la situation est catastrophique. Mes derniers espoirs d'une vie sociale normale viennent de s'envoler à jamais. Aussi, à ce moment là, comme toujours dans ma vie, je renonce à me battre, à courir, à faire quoi que ce soit, et j'accepte mon sort.

Florent me regarde comme on fixe un morceau de viande.

— T'es vraiment une merde.

Il s'approche de moi, commence à me pousser pour me faire réagir.

— Défends toi. Allez ! T'as peur ? Il a peur de se défendre, pédé ?

Il me crache au visage, un mollard jaune et épais, sur la lèvre supérieure. J'éclate en sanglots mais je ne l'essuie pas. Alors Florent me saisit par le bras, me fait passer par dessus sa hanche et me flanque par terre une dernière fois, sur une belle acclamation de la foule.

 

Je ne me relève pas. Je reste sur le dos, ridicule, prostré, résigné à subir ma défaite jusqu'au bout. Je reste bien sur le sol une minute entière, pendant que les garçons s'occupent à congratuler le vainqueur et à se moquer de moi, le gros loser, étendu dans la poussière. Florent s'approche de moi, me regarde droit dans les yeux.

— Putain, t'es vraiment une merde,dit-il.

Puis il lève son pied nu et le plaque sur mon visage.

 

À ce moment précis quelque chose s'est cassé en moi. Toute volonté d'autodéfense est partie. L'ego a déserté mon esprit. Ceux d'entre vous qui se sont déjà retrouvés avec un pied sur la figure me comprendront peut être... Un pied, c'est symbole de saleté, et dans notre société, on ne touche pas le pied de l'autre parce que c'est dégoutant. Le visage, c'est l'âme, la force, l'intégrité d'une personne. C'est sa plus grande fierté, ce qui nous représente. Prendre un pied sur le visage c'est l'humiliation absolue, la soumission sans retour en arrière, la perte de toute virilité. Et c'est précisément ce que j'ai ressenti. Au moment où il a posé son pied sur mon visage, ma volonté s'est effacée. Mon ego a été entièrement détruit. J'ai eu le sentiment profond et très fort que j'avais perdu le combat, non seulement contre Florent, mais aussi le combat de toute ma vie, l'envie de me défendre et d'en faire quelque chose. A ce moment là, j'ai changé.

 

La plante de ses pieds est toute marron, pleine de terre, et la poussière s'est incrustée sous les ongles de ses orteils. Je respire l'odeur de la sueur de ses pieds d'adolescent à plein poumons. Florent reste à peu près 7 ou 8 secondes le pied planté sur mon visage. Il attend que je tente quelque chose. En vain. Les autres, autour, commencent à murmurer, puis se taisent, fixant le pied et mon visage en dessous, fascinés par mon absence de réaction.

— Tu l'as tué, dit quelqu'un dans la foule.

Rires.

Moi en dessous, j'ai le corps et l'esprit amorphes, complètement anesthésié. Je ressens la peine, la honte, la douleur, je pense à ce que diraient mes parents s'ils apprenaient à quel point j'étais un perdant. Je pense à toutes les personnes qui m'aiment si elles pouvaient me voir... Comme une sorte de cercle vicieux sadique, j'éprouve l'envie étrange que mon humiliation ne fasse que s’aggraver, jusqu'à atteindre le plus bas de ce qu'un homme peut subir. Florent accentue la pression de son pied sur mon visage. Mes narines sont entièrement bouchées par la peau de sa plante. Il rigole.

— Meuh non, il n'est pas mort ! C'est juste une merde, il est à sa place. Hein, t'es une merde, pédé ? Montre que t'es à ta place. Lèche.

Autour, tout le monde retient son souffle, électrisé par l'ordre de Florent, et fixant son pied pour voir si je vais tomber aussi bas...

 

Dans ma tête, il n'y a pas de réflexion, ou quoi que ce soit qui s'approche d'un choix. Je suis un loser et mon corps l'accepte comme étant ma véritable nature. Alors, instinctivement, comme un animal, je tire la langue, et je lèche son pied. Ouvrant grand les yeux, la foule pousse un gigantesque viva pour célébrer mon avilissement, ma destruction totale. C'est un genre de fête tout autour. Tout le monde observe, rigole, commente en riant, ébahi que je puisse être aussi profondément écrasé. Il y en a une qui sort sa caméra pour filmer le pied de Florent, fermement pressé sur mon visage. Pour l'image, Florent appuie un peu plus pour qu'on voit bien la marque de son pied sur ma figure. La fille prend aussi une dizaine de photos, en portrait et en paysage. Moi, en dessous, je lèche sans faire attention, naturellement. Je passe ma langue de loser sur toute la surface du pied, du talon jusqu'aux orteils. Puis je passe entre les orteils, et ramasse la crasse noire qui traine par là. J'avale tout, du travail bien fait ! Ça a un goût salé, fade. Un goût de défaite.

 

Lorsque j'ai fini, j'ai la gorge sèche et le pied de Florent est propre comme celui d'un bébé. Bien sûr, aussitôt qu'il ôte son pied de mon visage, il y plaque l'autre et je recommence à lécher. Le temps que tout le monde ait bien fait sa photo et son film, j'ai bien passé vingt ou trente minutes la langue contre son pied, à ramasser toutes les saletés qui s'y trouvaient. Au bout d'un moment, ils en ont tous marre et se lèvent pour rentrer au lycée. Flo enlève son pied de mon visage, se redresse, prend ses chaussures. Avant de remettre ses chaussettes, il m'en frotte une sous le nez.

— Tiens, pour la route.

À nouveau il rit. Puis il remet ses chaussures et se dirige vers le chemin en bavardant joyeusement avec les autres. Je me relève péniblement, lymphatique, à moitié nu et je les suis. Je crois que s'il avait déchiré le restant de mes vêtements, mis à quatre patte, et m'avait ramené en laisse au lycée, je n'aurais pas résisté et l'aurai laissé faire docilement. Et, quelque part, au plus profond de moi, je l'aurais ressenti comme étant bien en accord avec qui j'étais vraiment.

 

Je suis rentré la tête basse, pieds nus et en slip dans la boue du chemin, marchant derrière le groupe qui riait, se moquait, et me jetait des bouts de gomme. Puis je suis rentré chez moi sans rien dire à personne, sans me cacher, sachant pertinemment ce qui m'attendrait lors de mes prochains jours de classe. Et, en effet, dès le lendemain, tout le lycée avait été mis au courant de mon entière destruction. Partout dans les couloirs on riait sur mon passage, on m'insultait, sans prendre le soin de murmurer ou d'éviter de se faire remarquer. Moi, je marchais la tête basse, vide de toutes pensées, complètement vaincu. Lorsque Florent m'a vu, en classe, il m'a regardé d'un air mesquin et, devant tout le monde, m'a demandé :

— Pédé. Hey, pédé, dis-moi, tu peux dire aux gens quel goût ils ont mes pieds ?

Et la trentaine de personne qui l'accompagnait s'est mise à rire. La fille qui avait filmé avait déjà transmis les photos à toutes ses copines, qui les avaient faites passer à tous leurs copains et ainsi de suite. Florent m'a même gentiment demandé si je pouvais poster la vidéo sur youtube depuis la salle informatique. Et je l'ai fait, sans discuter, m'humiliant plus encore que je ne l'étais déjà, sans même réfléchir. Mon instinct m'imposait d'obéir. C'était devenu un acte naturel chez moi..

 

 

Les mois qui ont suivi, j'ai passé mon temps à rechercher l'humiliation comme d'autres leur tabac. Même dans ma campagne, il y avait toujours un vieux dégueulasse pour me faire lécher ses bottes ou pisser dessus. Et, lorsque je ne trouvais personne, j'allais moi même ramper à poil dans les endroits les plus sales que je trouvais : marécages, chantiers à l'abandon, déchetterie et autres locaux de poubelle. Et je me sentais moi même.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 5 juillet 7 05 /07 /Juil 16:21

 

Après mes sorties nocturnes, ce que j’affectionne, c’est de prendre un bon bain brûlant qui ôte de mon corps la sueur de la danse, l’odeur de tabac, enfin tout ce qu’on peut ramasser comme impureté quand on fait la bringue !

 

Et quand je ne ramène personne à la maison c’est un rite auquel je ne déroge jamais. Ce qui m’arrive alors, c’est de me masturber avec de la mousse, de repenser à tous les mecs que j’aurais pu me taper : ceux qui m’ont regardé en coin, qui m’ont fait fantasmer pendant la soirée et de les faire participer en pensée à ma petite branlette. C’est une espèce de garde-fou. Je ne supporterais pas de me foutre au lit avec une bite toute dure, n’ayant pas eu ma petite dose de plaisir personnel. Ça me pousserait aux insomnies...

 

C’est d’ailleurs un excellent somnifère vu que le bain brûlant, après une nouba d’enfer, plus une ou deux éjaculations solitaires, c’est le meilleur des calmants. Ça vaut bien quelques tasses de camomille concentrée !

 

Mais, il y a deux jours, j’ai ramené une petit jeune dans ma piaule. Du genre fantaisiste soumis, qui obéit au moindre de vos caprices avec vice et éclats de rire. Je l’ai invité dans ma baignoire à se savonner la queue en ma compagnie. Il s’est tout de suite trompé de bite, saisissant la mienne comme s’il venait de réussir une pêche particulièrement miraculeuse. Il m’a d’abord passé la brique de savon sur le gland, le rinçant à grands jets d’eau après chaque savonnée. Puis je me souviens encore de ses grands yeux bleus vicieux avant l’âge : il a rapproché son buste de ma verge et l’a avalée avec délectation.

 

Ce type avait une bouche de feu et, à chaque pompage, l’eau de la baignoire était chahutée et menaçait de déborder. Dans le genre tempête, c’était un fameux ouragan qui balayait mes couilles ! Toute cette eau chaude, le caractère éminemment hygiénique de sa pipe, tout cela m’excitait comme un beau diable.

 

Je cherchai sa bite sous l’eau et, le jeunot blond écarta illico les genoux pour m’ouvrir les portes de son trésor. Dans un milieu aquatique, une verge est beaucoup plus douce, on a l’impression qu’elle est recouverte d’une peau de pêche. Je le décalottai et il poussa un soupir autour de mon gland englouti dans son gosier. Puis je lâchai cet aspect de sa marchandise pour aller lui titiller la rainure du cul. Spontanément, toute sa croupe s’avança vers mes caresses prometteuses et je n’eus aucun mal à le perforer d’un doigt curieux.

 

C’était un partisan de l’entubage. J’ôtai sa tête suceuse de mon pieu et l’obligeai à s’asseoir sur moi. Il était excité comme un petit fou ! De ses pattes, il guida mon bulbe en écartant la fissure de sa croupe et je lui perforai le derrière. Heureusement que le plancher était bien isolé contre l’humidité ! Avec toute la flotte qui déborda ce soir-là de ma baignoire...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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