L'histoire de la semaine

Dimanche 19 avril 7 19 /04 /Avr 16:47

je m'appelle Kévin, j'ai 20ans, je mesure 1m70, je suis du style minet imberbe, les yeux verts, brun, 50kg, abdos apparents. J'aime particulièrement les hommes dominateurs, virils et en particulier les latinos ou rebeux.
L'histoire s'est passée lors d'un week-end à Deauville avec mes parents. Nous étions dans un bel hôtel, j'avais une chambre a moi tout seul avec une magnifique vue sur la mer.A peine arrivé dans la ville, j'ai profité du beau temps pour aller directement à la plage.
J'étais habillé d'un tee-shirt bleu ciel et d'un mini short blanc qui laissait apparaître mes petits jambes imberbes.
Avant d'arriver sur la plage, je me suis baladé sur les planches de deauville, je matais les rares beaux hommes...
J'étais assis en petit maillot de bain blanc moulant pour bronzer. Un homme de 35 ans environ s'est approché de moi, habillé d'un short, d'un large tee shirt et tout en tapant dans un ballon. Il s'est assis à quelques mètres de moi.
Je pouvais le regarder avec plus d'attention. Il était grand, musclé, assez poilu au niveau des jambes, une  barbe de 3 jours, brun avec une coupe en brosse et des yeux apparement marrons.
Il a enlevé son tee shirt, j'ai pu admirer son torse musclé : pecs et abdos très dessinés, de gros bras, tout ça avec une magnifique toison de poils noirs sur ses pecs descendant jusqu'à son short.
Je ne faisais que le regarder. De temps en temps il détournait son regard vers moi.
Quelques minutes plus tard, il s'est levé pour faire quelques exercices sur la plage... Je pouvais voir ses muscles en actions, ses jambes musclées se contracter et admirer une belle paire de fesses bombée dans son short qui laissait deviner une belle bosse bien dessinée.
Après ces quelques exercices, il est venu près de moi et cet homme imposant m'a abordé. Quand il m'a parlé j'étais impressionné par cette voix d'homme viril.
"Salut, veux tu jouer avec moi au foot ?"
Je lui ai répondu que j'étais pas doué au foot et que je déclinais son invitation. Il insista et me dit qu'il m'apprendrai à jouer. Au final j'ai accepté son offre.
Nous nous sommes faits quelques passes et nous avons improvisé un petit match. J'en profitais pour admirer son corps en action. Même si c'était un jeu amical je sentais qu'il était en compétition. Tout en jouant nous parlions.
J'ai appris qu'il était hétéro et en couple. Quand il m'a demandé si j'avais une copine, j'ai eu du mal à lui répondre. Il a tout de suite compris que j'étais gay.

Après cette révélation il m'a posé de nombreuses questions sur le fait que je sois gay. Il m'a demandé si j'étais passif, comment je faisais pour me prendre une queue dans les fesses... Il m'a également demandé si c'était vrai que les gays étaient très chauds et qu'on suçait mieux que les femmes etc...
Cet homme me faisait beaucoup d'effet. Mon maillot de bain commençait à être serré et mon petit trou mouillait tout seul.
Nous avons arrêté de jouer et nous nous sommes posé sur les serviettes. Nous plaisantions sur le fait que je sois gay, il était particulièrement curieux. Il me dit " tu as un corps de meuf en plus, tu dois attirer de nombreux hétéros".
Je lui ai répondu "la plupart du temps ils veulent seulement se faire sucer mais je suce tellement bien qu'ils en demandent plus et gouttent à d'autres de mes talents cachés" !
Il est vrai que d'après les mecs que jai sucés, je suce particulièrement bien et encore mieux que les meufs. Il me dit "tu penses que j'aurai envie de tester tes talents cachés si tu me suces ?" Je lui souris et lui répond "je sais pas, à toi de voir..."
Il s'est rapproché de moi, mon étions tous deux allongés sur le ventre et il commença à me caresser le bras et les cheveux en me répondant "moi je pense que j'aimerai bien que tu me suces, je suis pas gay mais ton petit corps de crevette et ton bon p'tit boule qui attire tout le monde me donne envie d'essayer".
La chaleur montait en moi, je bandais, mes fesses réclamaient déjà et ma bouche était déjà prête à sucer sa queue.
Ce beau brun dont je ne connaissais toujours pas le nom était mystérieux et très viril. Il continuait à me caresser les cheveux puis descendit sa main tout au long de mon dos. Je lui ai demandé s'il connaissait un endroit tranquille, il me répondit que l'hôtel serait le mieux.
J'étais tellement chaud que je me suis levé, je lui ai demandé de s'assoir, nous étions côte à côte, assis, je touchais délicatement son torse musclé et poilu, je voyais une grosse bosse apparaître sous son short.

Nous nous sommes levés et dirigés vers son hôtel qui d'ailleurs était également le mien. Dans l'ascenseur, il me prit dans ses bras. Avec son regard ravageur il commença à me manger les joues, les lèvres et le cou. Ses grosses mains parcourait mon dos et mes fesses. Il insistait fortement sur mes fesses, il les malaxait avec dureté.
Nous sommes arrivés dans sa chambre d'hôtel, il me dit que j'avais peu de temps pour le faire jouir avant que sa copine revienne.
Il s'est allongé sur le lit, je l'ai rejoins et je me suis mis directement à son entrejambe. Je léchais et je touchais son short déjà dur. Il me caressait les cheveux et guidait mes mouvements de tête.
J'ai enlevé son short, j'étais face à un magnifique boxer blanc transparent qui me laissait apercevoir sa queue, de taille moyenne à première vue. Je léchais son boxer, il râlait déjà de plaisir. Il a descendu son boxer et, à peine sa queue est apparue, que je me suis jeté dessus et je l'ai sucé à fond. Je faisais de bon allers retours sur sa queue. Je bavais bien dessus pour qu'elle soit bien lisse, je passais ma langue tout en le suçant. Il aimait tellement qu'il faisait que de râler de plaisir, il se mordait les lèvres, se tortillait dans tous les sens, je sentais sa queue qui était dure.
J'ai ralenti le mouvement et jai laissé ma langue parcourir toute sa queue, de la base  jusqu'au gland, où je l'ai bien léché pendant de longues minutes. Sa queue rentrait bien dans ma bouche sans difficulté ; c'est pour cela que j'en ai profité pour lui faire de longues gorges profondes. Il était impressionné de ce que je faisais sur lui, il me disait "putain c'est la première fois qu'on me fait ça ! C'est trop bon, tu me fais kiffer, bonne petite chienne !"
Il est vrai que ma spécialité c'est de sucer et j'adore ca. J'ai repris de bon allers retours sur son chibre. J'allais de plus en plus vite, je le branlais en même temps et je caressais de temps en temps ses grosses couilles poilues. Je sentais sa queue durcir de plus en plus, il grognait de plaisir, ses mains maintenaient ma tête sur sa queue, il commençait à perdre le contrôle. Il était près à jouir, je m'appliquais sur sa queue, il me bourrinait la gueule avec sa queue et, après 5min de baise intense dans ma bouche, il déchargea tout son foutre dans ma bouche.
J'ai reçu de nombreux jets en moi, jai tout avalé d'un coup. Son sperme était délicieux.

Il m'a pris dans ses bras et ma embrassé langoureusement. Son corps était tout en sueur, il sentait le mâle en rut, j'étais aux anges, lui également, il me confirma que je suçais mieux que sa meuf et que j'étais doué.
Il m'a demandé si c'était possible de se revoir plus tard, j'ai accepté. Il me donna son numéro et j'ai dû me rhabiller pour partir avant que sa copine arrive.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 12 avril 7 12 /04 /Avr 14:38

J'ai la quarantaine, blond yeux bleus, bien foutu, sportif. Je pratique le VTT depuis plusieurs années. Suite justement à un petit accident de vélo, j'ai dû voir un kiné pour de la rééducation au niveau du pied droit. Je regarde l'annuaire pour trouver un kiné… C'est fait : il habite à quelques kilomètres de chez moi mais je n'ai pas le choix. Je dois y aller 3 fois par semaine.

Le kiné est pas mal : brun assez grand, sympa mais hétéro à 100%. Cela fait maintenant quelques semaines que je viens le voir. Nous sommes un vendredi matin, il m'indique qu'il sera absent 1 semaine et qu'il y aura un remplaçant. Je suis pas trop inquiet même si je me suis habitué à ce kiné... les RDV sont donc pris pour la semaine suivante. Le lundi j'arrive au cabinet. Un jeune homme m'accueille :

— Bonjour je suis Quentin, vous allez bien ?

— Oui merci et vous ?

— Bien... J'ai vu votre dossier, c'est suite à un accident de VTT...

— Oui, le pied droit...

Nous passons dans la salle de travail... Je m'installe sur le banc du kiné...

— Je vous propose de travailler les étirements et aussi de la muscu sur la presse inclinée. Mais vous connaissez déjà je crois...

— Oui oui je travaille régulièrement avec Benjamin (le kiné officiel)...

— Pouvez-vous me suivre en muscu ?

Je me retrouve sur la presse pour travailler les quadriceps principalement.. Il me demande comment s'est passé mon accident, il me dit qu'il s'adonne lui à la moto, qu'il habite Lille, etc... Je le trouve vraiment sympa et attirant. Il a tout juste 25 ans, il est kiné remplaçant pour le moment mais il compte bien ouvrir son cabinet par la suite, etc... Je passe sur le banc dans l'autre pièce.

— Vous pouvez enlever le bas svp ?

— Oui bien sûr !! heu... non en fait !

— Pourquoi donc ?

— C'est un peu gênant...

— Vous avez un problème avec le fait de retirer votre jogging ?

— Non par sur ce point mais...

— Ah peut être n'avez vous pas de sous-vêtement ?

— Si si.

— Allez, ne vous en faites pas avec ça...

— Ok.

Je baisse mon bas de jogging et je laisse apparaître mon slip/Jockstrap blanc. Le kiné regarde et décroche un petit sourire...

— Ah je vois, vous portez un jock, c'est pour ça votre hésitation ?

— Je ne voulais pas vous choquer...

— Mais je ne suis pas choqué.

— Ah bon, tant mieux alors !

— Mettez vous sur le dos pour le moment.

Il va chercher un produit et commence un massage au niveau de l'articulation du pied droit.

— On va s'occuper du reste aussi !

— C'est à dire ?

— L'autre jambe.

Il passe sa pommade sur les cuisses et il commence un massage maison... Je sens ses mains qui pétrissent mes quadriceps... Il regarde souvent vers la bosse que forme mon slip... Je vois son regard fixe de temps en temps... Il devient un peu rouge car il sait que je l'ai vu reluquer mon paquet. Je lui lance :

— C'est vous qui êtes gêné maintenant on dirait ?

— Euh... Non non...

Je me mets à le tutoyer en me disant qu'il va peut être pas apprécier...

— T'inquiète Quentin, ça arrive à tout le monde !

— Quoi ? Non non pas de problème... Bon la séance est terminée...

— Dommage !

Il se retourne pour quitter la pièce, me laissant remettre mon jogging et mon blouson. J'arrive dans le hall près de son bureau...

— Bien à mercredi euh Monsieur...

— Elliot c'est mon surnom...

— Ok Elliot, bonne journée !

— À toi aussi Quentin ! Et encore désolé pour tout à l'heure...

— Non c'est moi !

Je quitte le cabinet avec un petit regret. Le kiné était bel et bien excité mais je n'ai pas réussi à le provoquer. Je m'en veux un peu. Je me dis qu'il est peut-être hétéro et que ça n'était qu'un moment d’égarement.

Le mercredi à 19h j'arrive au cabinet pour le deuxième RDV avec ce remplaçant.

— Bonjour Quentin.

— Bonjour M'sieu... Euh Elliot !

— Je préfère !

— Ok tu peux passer directement en salle de massage ?

— Oui d'accord.

J'arrive sur le banc. Je n'ai pas mis mon jogging mais plutôt un jean car j'avais une course à faire avant mon RDV.

— Tu peux retirer ton jean STP ? sinon ça sera difficile !!

— Oui bien sûr.

— Ah y a pas d'hésitation aujourd'hui Elliot !

— Non mais c'est pas mieux !

— Ah bon pourquoi...

— Je baisse mon jean et dévoile ma queue. En effet je n'ai pas mis de sous-vêtement (ce que je fais souvent sous mon jean... Surtout quand je sais qu'il peut se passer quelque chose avec un mec).

— Ah oui je vois...

— Oui. Ça te choque pas j'espère ?

— Non non ça va. Tu peux te mettre sur le dos !

Je m'exécute, offrant à sa vue ma bite décalottée et mes couilles rasées. Comme le reste d’ailleurs...

Il commence son massage après avoir mis une huile ou autre chose, mais bien gras en tout cas. Il passe sur les mollets, les cuisses... Il tourne autour de ma queue sans jamais la toucher, mais c'est tout juste... Je commence à bander un peu... Il le voit et, une fois encore, il n'arrive pas à détourner son regard de ma bite.

— Ben alors Quentin !

— Euh quoi ? pardon... Excuse moi.

Il est légèrement penché vers moi. J'en profite pour passer ma main droite derrière son cou !

— Tu fais quoi !

— Chutt !!

J'appuie sur son cou pour le faire baisser vers ma queue. Il a compris. Il résiste un peu. Je lui dis :

— Allez Quentin, laisse toi aller... Tu vas aimer !

— Je sais pas... Je...

Déjà il est à quelques centimètres de ma queue...

— Allez, ouvre la bouche et suce moi...

Et voilà, c'est ce qu'il fait ! Il commence un va et vient sur ma bite avec sa bouche. Il a une main posée sur ma cuisse et l'autre sur mon ventre.

— Vas-y Quentin, suce bien... T'aimes ça en fait ?

Je lui parle, je l’excite un maximum. Je relève son visage de ma queue. Je le regarde. Il est rouge cramoisi. Je me mets debout et je commence à déboutonner son jean. Et là, surprise ! J'ai bien vu qu'il bandait, mais lui non plus n'a pas de sous vêtement. Sa bite sort d'un coup. Une queue sublime d'environ 20 cm, plutôt épaisse.

— Ah d'accord... Je vois que t'es comme moi de ce côté, t'aimes ça ne rien porter sous ton froc hein ?

— Oui c'est clair.

— Tant mieux... Petit vicieux ! je vais te sucer à mon tour.

Je m'exécute pendant plusieurs minutes. Il est hyper tendu, sa bite coulisse dans ma bouche. Il gémit et balance sa jute au bout de quelques minutes. Il gicle plusieurs jets, j'avale son jus. Je me relève et je l'embrasse afin de mêler son sperme. J'adore ça !

— Ok Quentin, tu vas encore me sucer.

Mais à ce moment la sonnette de la porte retentit.

— C'est mon prochain RDV. Le dernier...

— Merde alors ! Je vais même pas avoir le temps de juter...

— Désolé Elliot ! vraiment...

— Ok pas de problème, boulot oblige... Il faut rester pro !

— Merci, on peut se voir en dehors si tu veux ?

— Ah je vois que tu commences à y prendre goût ?

— Tu sais je n'avais jamais sucé un mec avant toi... Mais tu m'as excité, déjà la dernière fois... avec ton jock...

— Oui j'ai vu.

— Depuis je me suis branlé plusieurs fois en pensant à toi. J'avais vraiment envie. C'est pour ça que j'avais rien mis sous mon jean Elliot.

— P'tit cochon va !

Nous rions et je quitte la salle de massage après avoir remis mon jean et mon blouson. Quentin se dirige vers les WC après m'avoir serré la main.

— A vendredi Elliot. Merci encore.

Je passe par la salle d'attente et j'aperçois un petit mec, plutôt très jeune, blondinet, bronzé. Je le regarde. Lui aussi.

— Bonsoir.

— Bonsoir monsieur !

Je m'arrête un instant, me retourne. Et là, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai tellement envie de gicler que je tente le tout pour le tout.

— Salut moi c'est Elliot !

— Salut moi c'est Valentin !

C'est ta première fois avec le kiné remplaçant ?

— Oui.

— Ok tu vas passer un bon moment...

Je lui fais un clin d’œil.

— C'est à dire ?

— Ben à ton avis ? Il est super mignon et il est bien chaud !

— Ah bon !

Il devient rouge suite à mes propos... mais il balance un petit sourire.

— Et ouais Valentin ! Profite bien de ta séance.

— Merci !

Je quitte la pièce et me dirige vers le couloir afin de sortir. Mais je me ravise et je reste un instant dans l'entrée. J'écoute ce qui se passe dans la salle d'attente.

— Bonjour moi c'est Quentin, je suis le kiné remplaçant.

— Bonjour, Valentin.

— Ok on y va, alors?

— Oui oui...

Ils se dirigent vers la salle de massage. Je me dis que c'est peut-être une bonne occaz. de rester... qui sait ? Mais le jeune me semble assez timide et je crois bien qu'il n'osera pas provoquer le kiné. La porte de la salle de massage est entrouverte. Comme Valentin est son dernier patient il n'a pas fermé. J'écoute la conversation. Le jeune Valentin a une tendinite au niveau du talon, il est footballeur, bref il se livre un peu au kiné.

— Tourne toi sur le ventre Valentin...

Il se tourne offrant un magnifique cul à la vue du kiné. Valentin porte un boxer bleu ciel qui met en valeur son cul. C'est clair ce petit mec est super mignon. D'un coup je l'entends qui dit au kiné :

— Ah au fait, votre client juste avant...

— Oui ?

— Il m'a dit que j'allais m'éclater avec vous.

— Ah bon, il t'a dit ça ?

— Oui, il m'a même dit que vous étiez bien cho !

— Hein ???

Valentin se retourne d'un coup, il baisse son boxer laissant apparaître une queue d'environ 17 cm entièrement bandée. Il se branle un peu et regarde Quentin.

— Vous faites quoi ?

— Ce que vous voulez !

— Non je veux dire...

— Tu veux me sucer ? J'aimerais bien me faire sucer par un kiné... ça m'excite bien ça...

Quentin le kiné s'exécute. Il commence à sucer le petit jeune... Il le branle en même temps. Je suis à mon tour excité. Le jeune retire son boxer, puis son tee shirt. Il lui reste juste les chaussettes.

— Allez, suce moi bien... J'ai jamais fait ça avec un mec... J'ai bien envie de gicler !

Le kiné retire à son tour son tee shirt puis il baisse son jean. Je le vois de dos. Je vois son petit cul bien musclé. Il se penche à nouveau sur la table vers la queue du jeune, laissant à ma vue sa raie. Je bande comme un taureau. Je me décide à retirer mes vêtements dans la pièce d'attente en espérant que c'était bien son dernier patient... Sinon ça serait cho ! Me voici nu, la queue en l'air. J'entre dans la salle de massage, le jeune me voit immédiatement. Il va dire quelque chose. Je mets mon doigt devant ma bouche comme pour lui dire de ne pas faire de bruit. Mais il ne peut s'empêcher de faire un signe au kiné qui se retourne !

— Ah c'est toi ? J'ai eu peur sur le coup !

— Peur de quoi Quentin ? Alors il a une bonne bite on dirait ?

— Super bonne !

Il reprend sa fellation sur le jeune Valentin. Il le branle. Je vais vers la bouche du jeune et je lui pose ma queue sur ses lèvres. Il n'ouvre pas encore la bouche.

— Allez le footeux, ouvre ta bouche et suce moi ! T'aime la bite j'en suis sûr !

— Non je veux pas faire ça !

— Chutt... J'ai pu filmer un peu avec mon portable... On y voit comment t'as chauffé Quentin... Alors tu ne veux pas que j'en fasse profiter les mecs de ton club de foot ? Tu sais, le B.F. Club...

— Non s'il vous plaît ! Ca serait pas cool...

— Alors suce !

Je deviens un peu directif, ça manque de piquant dans cette pièce. Il ouvre enfin la bouche, je lui enfonce ma queue, il commence à la prendre bien à fond. Il suffoque de temps en temps et, alors que le Kiné continue à s'occuper de sa queue, je décide de passer à la vitesse supérieure. Je retire ma queue de la bouche de Valentin, je vais vers le Kiné, je me positionne derrière lui, je frotte ma queue sur sa raie.

— Non, pas ça Elliot !

— Chutt... toi aussi tu veux que je fasse voir la vidéo au kiné officiel ?

— C'est dégueulasse ça !

— Oui je sais... mais j'ai trop envie de te baiser Quentin.

Je me baisse vers son anus, je passe ma langue, je salive un max. Je sens qu'il s'ouvre un peu. Il continue à sucer le jeune Valentin. D'un coup je passe ma queue sur sa rosette et j'entre doucement mais sûrement. Cela prend quelques minutes afin de ne pas lui faire mal. Il gémit, il semble aimer. Ma queue est maintenant entièrement dans son trou.

— Allez, baise moi Elliot, défonce moi !

— Ok mec. Je vais bien te défoncer. Tu vas aimer.

Je le défonce à fond pendant plusieurs minutes. Je suis tellement excité que rapidement j'ai envie de gicler. Il se branle tout en suçant Valentin. Ce dernier est prêt à gicler. Il balance sa purée sur son pubis, son torse imberbe.

— Ah putain comme c'est bon !

Je me retire de Quentin. Je me branle en direction du torse du jeune Valentin. Quentin fait de même. Nous allons gicler ensemble. Je balance à mon tour mon sperme. Une bonne dose vers son torse et c'est au tour de Valentin de gicler pour la deuxième fois et il le fait vers le visage de Valentin.

— Allez mec, avale mon jus !

Le jeune valentin s'exécute sans discuter. Nous finissons notre baise par un petit fou rire. Je dis à Valentin :

— Alors, t'as vu ? Je t'avais pas menti !

— Putain c'est fou ! Avec le kiné, j'en reviens pas !

— T'as aimé ?

— Ah ouais ! J'ai trop envie de recommencer...

— Je crois que nous aussi, hein Quentin ?

— C'est clair ! Je savais pas que se faire défoncer c'était aussi bon ! Putain j'ai kiffé...

Nous quittons le cabinet Valentin et moi mais avant je fais une bise à Quentin.

— C'est quand ton prochain RDV ?

— Vendredi vers 10h30.

— Non Elliot... on va le mettre à 19h.

A ce moment le jeune Valentin.

— Et moi ? Je peux revenir cette semaine ?

— Ben oui, tu peux venir en même temps qu'Elliot ! Une séance à trois... vous serez mes derniers patients de la journée avant le WE.

— Et ce WE tu retournes sur Lille Quentin ?

— Oui j'ai ma copine à voir. Je crois que ça va être cho ! Je vais repenser à tout ça... 

— Ouais, ben moi les frangines c'est pas pour moi...

Et Valentin d'ajouter :

— Moi je sais plus bien. J'ai tellement aimé me faire sucer et aussi sucer ta queue Elliot !

— Ben moi je sais ! J'aime la bite et j'ai bien envie d'en profiter vendredi soir !

Je regarde le jeune Valentin et lui dis :

— Pour vendredi tu rases ton petit trou : je vais m'en occuper...

— T'inquiète, y a pratiquement pas de poils.

— Ok...

Je regarde Quentin :

— Et toi aussi tu vas t'en occuper de son petit trou !

— Oh oui... On va lui déchirer le cul !

— Hé les mecs, doucement quand même !!!

Rdv est pris pour le vendredi soir.

Je peux vous dire que ce fut torride dans la salle de massage. Le kiné remplaçant est reparti sur Lille. Nous avons échangé nos numéros de téléphone afin de nous revoir. Le jeune Valentin qui vit dans ma ville, vient de temps en temps me voir pour profiter de ma queue. Il adore ça maintenant. Il ne peut plus s'en passer ! Comme quoi, même chez les footeux, y a des bons coups...

 

 

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 5 avril 7 05 /04 /Avr 13:24

C’est durant un court séjour à l’hôpital que j’ai eu la révélation que j’étais fétichiste du caoutchouc et homo...

On m’avait amené aux urgences après un accident de voiture. Je venais d’avoir dix-huit ans. J’avais été blessé au bas-ventre. Après la piqûre insensibilisante, je me sentais bien, vaguement euphorique. Mon infirmière était... un infirmier ! Guadeloupéen, plutôt foncé. Ses mains étaient d’une incroyable douceur. Chaque fois qu’il me donnait des soins, il soulevait ma bite de ses doigts gantés d’un caoutchouc d’une finesse de soie et de couleur chair. Il frôlait ma queue en me massant, la déplaçait sur la surface de mon ventre endolori, la décalottait car j’avais aussi une éraflure au frein, l’aspergeait de poudre antibiotique, tâtait mes couilles avant d’envelopper ma tige de gaze.

Cinquante fois par jour j’avais envie d’uriner. De nouveau mon infirmier venait à mon aide. Ganté, il me maniait le membre et ça partait à chaque fois. Si je pissais peu, je bandais beaucoup, de plus en plus souvent et de plus en plus dur. Les premiers jours mon infirmier se tint à carreau. Puis, excité par l’effet que me produisaient ses caresses caoutchoutées, il prit l’habitude de me masturber sans en avoir l’air. Progressivement il m’administra des masturbations complètes, éjaculations comprises ! Moi je m’abandonnais à ses soins habiles, aux sensations que me procurait le contact du caoutchouc sur mon gland ultra-sensible. Jamais je n’avais joui aussi fort et profondément. À chaque fois que je balançais ma crème, une langue de feu paraissait courir le long de ma bite, dans mes reins et éclater comme une grenade dans ma prostate. À chaque fois mes couilles étaient vidées jusqu’à la dernière goutte. L’infirmier riait et j’admirais l’éclat de ses dents. Je lui dis que c’était pour moi la première fois avec un homme. Ayant vidé mes bourses, j’étais honteux. Lui il se marrait, disait que c’était le caoutchouc, que j’aimais ça. Et, pour le prouver, il vrillait un doigt caoutchouté dans mon fion, déclenchant un nouvel orgasme qui, cette fois, peut-être parce que je n’avais plus de jus, me paraissait plutôt féminin.

Les jours suivants l’infirmier noir poursuivit ses caresses rectales. Il mit deux doigts dans mon cul, et, le quatrième jour, il réussit à plonger le bout de sa main en entier dans mon fondement. Avec le caoutchouc, cela glissait mieux. Tout de même je n’en revenais pas ! Moi, vierge de là quelques jours plus tôt, je me faisais défoncer dans le plus pur style du fist-fucking !

Sorti de l’hôpital je n’ai jamais revu mon infirmier à la main de fée mais j’ai pris goût au commerce des personnes de mon sexe, en portant des combinaisons de caoutchouc et en exigeant que mon amant ait des gants de latex. J’apprécie aussi qu’il me fasse connaître le plaisir en me dominant. Les queues ont remplacé, entre mes fesses accueillantes, le poignet qui savait si bien me masturber l’anus. Mais il m’arrive encore de me livrer aux joies du fist-fucking. Je le fais comme d’autres se branlent et je n’omets jamais d’enfiler des gants de caoutchouc !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 29 mars 7 29 /03 /Mars 15:32

J’avais quinze ans quand mon père m’a dit : «Mon fils, il faut prendre ta vie en mains.» J’avais raté mes études. Je me suis retrouvé dans un garage, apprenti-mécano. Je me suis laissé aller à pisser dans le lavabo. Je ne pouvais pas savoir que ça allait tout changer dans ma vie et que ce mot, au masculin, c’était encore meilleur.

Luc, qui était à peine plus âgé que moi, mais plus avancé en mécanique, est arrivé au moment où tout en sifflotant je secouais ma bite pour en faire tomber la dernière goutte. Il a proposé de m’aider et sans que j’aie le temps de répondre, il a joint le geste à la parole. Il s’est emparé de ma bite, mais au lieu de la secouer, il a pressé le gland. Je m’étais déjà trop souvent masturbé pour ne pas savoir que c’était un endroit stratégique, que j’allais entrer en érection et qu’il le faisait exprès. Le pire, c’est que je n’ai pas eu envie de me défendre. Je me suis laissé tripoter comme un marmot qui ose pas moufter. Évidemment, cette vache de Luc en a profité. C’est seulement quand ma pine a été longue et grosse qu’il l’a lâchée. Elle tenait à l’équerre. Il m’a dit qu’avec un engin pareil j’allais en rendre des heureux, puis il est reparti. Je suis resté un instant stupide avec ma queue raide et mes couilles pleines. Mais comme je ne pouvais pas retourner travailler avec une trique pareille, je suis allé m’enfermer dans les chiottes pour me branler en vitesse, histoire de juter un bon coup.

Quand je suis revenu, Luc avait compris. Il m’a dit : «La prochaine fois, t’as qu’à m’appeler, c’est plus rigolo à deux.» J’ai répondu du tac au tac que c’était lui qui m’avait lâché en cours de route. Il a piqué du nez et s’est foutu dans son boulot. J’ai cru qu’il n’y pensait plus. Mais, à la débauche, il m’a dit avec un drôle d’air, le même air que quand il m’avait touché la bite : «Qu’est-ce que tu fais ce soir ?» Sans réfléchir, j’ai répondu : «Rien.»

On s’est retrouvé dans sa piaule. Comme il ne voulait pas être en reste et qu’il avait vu ma pine, il a voulu me montrer la sienne. Sur le coup, je n’ai pas compris pourquoi il se dessapait complètement pour me montrer juste une partie de son corps. Mais quand il a été tout nu, avec la queue redressée jusqu’au nombril, j’ai compris que c’était pas dégueulasse. Je me suis mis à saliver et j’ai senti ma bite gonfler. C’était la première fois qu’on se déshabillait pour moi. Et question corps, il était vachement bien roulé.

Il s’est branlé devant moi pour me montrer comment il faisait, il a éjaculé en giclant si fort que j’en ai reçu sur le ventre. Je me suis retrouvé dans un état pas possible. Moi aussi, j’ai eu envie de me déshabiller. J’avais une matraque à la place de la bite. J’ai commencé à me masturber. Je ne pensais pas qu’avec un homme, on pouvait faire autre chose. Mais il est allé chercher ses préservatifs et il m’a dit que je pouvais l’enculer. Quand j’ai vu son petit trou du cul, je me suis dit que jamais je ne pourrai y enfiler ma grosse queue. Luc s’était enduit de vaseline. Il m’a dit que ça suffisait pour que je rentre à l’aise. J’en avais tellement envie que j’ai rien trouvé d’autres à ajouter.

Pour la première fois, j’ai possédé un homme. Je ne m’en suis jamais remis tellement c’était super-bon.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 22 mars 7 22 /03 /Mars 14:30


Voici comment j’ai découvert que mon sexe pouvait servir à autre chose qu’à faire pipi.

Cela se passait fin juin, je revenais à vélo avec un camarade de faire les foins chez des amis de la famille. A cette époque les hommes valides étaient à la guerre, c'est pourquoi les jeunes de la ville étaient sollicités pour aider les femmes et les vieillards aux travaux des champs. Nous étions en zone occupée et le couvre-feu interdisait tout déplacement à partir de 22 heures.

C’est sur la route du retour que je suis tombé avec mon copain sur une patrouille de soldats. Il était 23 heures. Nous n'avions pas nos papiers, nous étions en espadrilles et en shorts avec rien d'autre, compte tenu de la chaleur de cet été 43. Un soldat me palpa pour voir si je cachais des armes. Il fouilla dans mon short en s’attardant sur mes parties génitales. Finalement on monta dans le convoi militaire, direction la Préfecture.

Là, on passa dans un bureau où il y avait plusieurs militaires et des civils et on dû subir un premier interrogatoire. Je comprends que nous restons en garde à vue pour contrôle de nos déclarations. On passe dans une grande pièce, genre dortoir. Un soldat me dit de le suivre. On arrive dans une chambre, sans doute la sienne. Là il me fait m’asseoir sur le lit, il prend place à côté de moi et pose une main sur ma cuisse en remontant lentement vers l’entrejambe. Il enfile sa main jusqu’à mes testicules. Il va et vient lentement, je suis tendu, j’ai le coeur qui bat fort. Je suis intimidé par le port de son uniforme et son arme posée sur la table.

Je commence, sous l’effet de ses caresses, à avoir une érection. Il sourit et passe la main dans mon short qu’il me descend jusqu'aux chevilles. Il me prend les testicules, les serre fort. Je le repousse avec précaution. Il me saisit la tige et entreprend de la décalotter. Ca force, ça me fait mal mais il y arrive lentement. Il se met à me masturber. Tout à coup je sens venir une envie impérieuse. Je lui dis : «Attention, moi bientôt pisser !» Je croyais être sur le point de faire pipi ! Il continue en souriant et hop la, une giclée m'inonde le ventre et la poitrine. Je regarde ce liquide blanchâtre et ne comprends pas tout de suite. Je suis surpris, il rigole et me prend les testicules en faisant signe que ça vient de là.

À ce moment, un autre soldat entre avec mon copain à poil et qui a visiblement, lui aussi, de la crème blanche sur le ventre, bien étalée par une main experte. Il est gêné et moi aussi. Les soldats parlent entre eux. On ne comprend pas ce qu’ils disent. On nous emmène dans une salle de douche où nous nous savonnons sous le regard amusé des deux soldats puis on nous fait approcher d’une table où il y a un pot à barbe et quelques rasoirs qui traînent.

Les soldats font étendre mon copain sur la table, lui savonnent le sexe et entreprennent de lui raser les couilles. Il est visiblement terrorisé. Une fois rasé et bien rincé, ils le caressent avec une satisfaction évidente. Puis je comprends que c’est mon tour. Je pose mes deux mains sur mon sexe en disant non de la tête. Ils me prennent doucement, presque affectueusement par les bras et m'étendent de force sur la table. Ils disent à mon copain en lui faisant des signes : «Rase-le !». Mon copain me regarde en s'excusant, mais que peut-il faire? Et il me rase comme il peut. Je sens couler une larme sur mes joues, moi qui venais de conquérir depuis moins de deux ans une toison épaisse, frisée dont j’étais fier !

L’un des soldats fait comprendre en me mettant le sexe de mon copain dans la main que je dois le branler, ce que je fais. À ce moment-là, un des soldats sort un appareil photo et commence à nous prendre sous tous les angles, y compris moi, avec dans la main un rasoir posé sur le sexe de mon copain et vice versa. J'ai pensé par la suite que c’était, le cas échéant, pour démontrer que le rasage était de notre fait et non d’eux. Vis à vis de leurs chefs, sait-on jamais... Puis au petit matin on nous a rendu nos shorts et on est repartis penauds en vélo, en nous mettant d'accord pour ne rien dire à personne de cette aventure qui nous faisait honte. Nous avons déserté le foot pour ne pas nous montrer sous la douche, le sexe imberbe.

Par contre, on s’est retrouvés fréquemment ensemble et on s’est branlés, une connivence s’étant instaurée entre nous deux.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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