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C’est durant un court séjour à l’hôpital que j’ai eu la révélation que j’étais fétichiste du caoutchouc et homo...
On m’avait amené aux urgences après un accident de voiture. Je venais d’avoir dix-huit ans. J’avais été blessé au bas-ventre. Après la piqûre insensibilisante, je me sentais bien, vaguement euphorique. Mon infirmière était... un infirmier ! Guadeloupéen, plutôt foncé. Ses mains étaient d’une incroyable douceur. Chaque fois qu’il me donnait des soins, il soulevait ma bite de ses doigts gantés d’un caoutchouc d’une finesse de soie et de couleur chair. Il frôlait ma queue en me massant, la déplaçait sur la surface de mon ventre endolori, la décalottait car j’avais aussi une éraflure au frein, l’aspergeait de poudre antibiotique, tâtait mes couilles avant d’envelopper ma tige de gaze.
Cinquante fois par jour j’avais envie d’uriner. De nouveau mon infirmier venait à mon aide. Ganté, il me maniait le membre et ça partait à chaque fois. Si je pissais peu, je bandais beaucoup, de plus en plus souvent et de plus en plus dur. Les premiers jours mon infirmier se tint à carreau. Puis, excité par l’effet que me produisaient ses caresses caoutchoutées, il prit l’habitude de me masturber sans en avoir l’air. Progressivement il m’administra des masturbations complètes, éjaculations comprises ! Moi je m’abandonnais à ses soins habiles, aux sensations que me procurait le contact du caoutchouc sur mon gland ultra-sensible. Jamais je n’avais joui aussi fort et profondément. À chaque fois que je balançais ma crème, une langue de feu paraissait courir le long de ma bite, dans mes reins et éclater comme une grenade dans ma prostate. À chaque fois mes couilles étaient vidées jusqu’à la dernière goutte. L’infirmier riait et j’admirais l’éclat de ses dents. Je lui dis que c’était pour moi la première fois avec un homme. Ayant vidé mes bourses, j’étais honteux. Lui il se marrait, disait que c’était le caoutchouc, que j’aimais ça. Et, pour le prouver, il vrillait un doigt caoutchouté dans mon fion, déclenchant un nouvel orgasme qui, cette fois, peut-être parce que je n’avais plus de jus, me paraissait plutôt féminin.
Les jours suivants l’infirmier noir poursuivit ses caresses rectales. Il mit deux doigts dans mon cul, et, le quatrième jour, il réussit à plonger le bout de sa main en entier dans mon fondement. Avec le caoutchouc, cela glissait mieux. Tout de même je n’en revenais pas ! Moi, vierge de là quelques jours plus tôt, je me faisais défoncer dans le plus pur style du fist-fucking !
Sorti de l’hôpital je n’ai jamais revu mon infirmier à la main de fée mais j’ai pris goût au commerce des personnes de mon sexe, en portant des combinaisons de caoutchouc et en exigeant que mon amant ait des gants de latex. J’apprécie aussi qu’il me fasse connaître le plaisir en me dominant. Les queues ont remplacé, entre mes fesses accueillantes, le poignet qui savait si bien me masturber l’anus. Mais il m’arrive encore de me livrer aux joies du fist-fucking. Je le fais comme d’autres se branlent et je n’omets jamais d’enfiler des gants de caoutchouc !
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