L'histoire de la semaine

Dimanche 12 octobre 7 12 /10 /Oct 14:07

Cet été, mes parents m'ont parlé d'un projet particulier qui m'a étonné, à savoir passer 3 semaines au Cap d'Agde dans un camp naturiste... Je savais qu'ils en avaient déjà fait lorsqu'ils étaient plus jeunes alors que je n'étais pas encore né. J'ai réfléchi un moment avant de leur dire oui, car c'est vrai qu'à 16 ans je suis tout de même un peu pudique et me retrouver à poil devant mes parents et les autres, il faut tout de même pouvoir gérer...

 

Le grand départ arrive. Ce qui est cool quand on part dans un camp naturiste, c'est que la valise n'est pas beaucoup remplie ! Je prends tout de même quelques vêtements, c'est psychologique, et puis des baskets pour courir car je suis en club pro de foot et je dois continuer mon entrainement même en vacances. On roule toute la journée vers le Sud, 11 heures de bagnole et on arrive sous le grand ciel bleu de la Méditerranée, au camping du Paradis.

Arrivés à la réception, on est désormais les seuls habillés. Autour de nous tous les gens sont dans le plus simple appareil... C'est clair que ça fait bizarre ! Le réceptionniste doit avoir 30 ans je pense. Il est caché derrière son comptoir mais je le devine nu. Il est super beau mec, bien bronzé et musclé comme j'aime.

 

- "Je vais vous conduire à votre bungalow".

Il sort de son comptoir et mes yeux sont automatiquement attirés vers son bas ventre... Entre ses cuisses une sacrée bite se balade au rythme de ses pas. Elle est déjà bien longue, même au repos...

Il nous emmène à notre bungalow. J'ai ma propre chambre. Le réceptionniste nous souhaite une bonne installation. Je bloque carrément sur son engin et sur lui tout entier...

 

- "T'as vu Léo, c'était Rocco Siffredi le mec ! Lance mon père en rigolant.

-  "Arrêtes Eric, commences pas !" lui dit ma mère.

-  "Allez, on se met désormais en mode nudiste !" lance mon père.

 

Il commence à se dévêtir dans le salon mais moi, par pudeur, je m'enferme dans ma chambre pour me dessaper... Je me retrouve donc à poil complet. En me mattant dans la glace je me dis que je ne suis pas trop mal lol : 180 cm, 68 kg, musclé sec, totalement imberbe... J'ai fait même une petite tonte du pubis en prévision des vacances...

 

- "Léo t'es prêt ?

- "Oui papa, j'arrive".

 

Je retourne dans le salon où mes parents m'attendent à poil eux aussi. Je ne m'attarde pas trop sur leur anatomie et je me rends compte que eux non plus. Je matte juste vite fait la queue de mon père qui est tout à fait normale, il est juste beaucoup plus poilu que moi !

 

On sort repérer les lieux : la salle de restaurant, la piscine, les sanitaires, la plage... Il y a beaucoup de monde et de tout : des jeunes, des vieux, des mecs de mon âge aussi. Certains sont super bien foutus et mon regard se jette rapidement sur les bites des mecs que je croise, même plus âgés que moi. C'est là qu'on voit qu'il y a toutes les tailles de bites, de forme, de pilosité, etc...

 

On décide d'aller à la plage pour profiter des dernières heures de l'après midi. Je m'habitue petit à petit à la nudité et commence à oublier l'environnement dans lequel nous sommes et puis se baigner nu c'est quand même trop bien !!! Après 3 heures de bronzette je dis à mes parents que je vais me doucher et que je rentre me poser au bungalow. Je gagne donc les douches, un peu excentrées du reste du camping. Il y a un coin mecs et un coin filles. Ce ne sont pas des cabines séparées mais des cabines ouvertes. De toute façon pas besoin de se cacher de sa nudité ici lol ! Je commence à me rincer du sel et du sable de la plage... C'est alors que le réceptionniste passe avec son chariot pour le ménage... Il s'affaire à nettoyer les douches voisines et celles en face de moi. Il sourit en me voyant. En remattant son corps, ses fesses et surtout sa belle bite qui pend, je commence à ressentir un grossissement de ma queue... Non putain pas now, il ne faut pas que je bande... Je détourne mon regard du mec... Mais putain l'image de sa grosse queue est dans ma tête, pas moyen de s'en défaire... Je sens ma queue gonfler... gonfler... Je mets que de l'eau froide...

 

- "Ca va, vous êtes bien installés?"

Je sursaute dans ma cabine de douche. C'est lui !

- "Euh oui oui super ! Super merci" Je lui réponds sans le regarder, en restant tourné vers le mur.

- "Et vous venez de quelle région?

- "De Lille"

Putain, il ne bouge pas, fais chier ! Je me tourne un peu vers lui et mes yeux se collent direct en bas... Je bande grave de chez grave...

- "Oulà mais t'es en forme on dirait !" Me dit-il en voyant mes 17 cm dressés... Je deviens rouge de honte.

- "Euh oui désolé, je me mets à bander souvent quand je prends ma douche". Je matte trop sa belle teub...

- "Ou bien c'est le fait de me matter non?"

Je ne réponds pas...

- "Tu sais, moi j'ai de l'expérience maintenant et j'arrive à me contrôler, mais en temps normal je banderai avec le petit cul que t'as..." et là il me touche les fesses... Putain il est gay en plus !

- "Viens me voir après ta douche, au bungalow 31, je fais le ménage là bas... Si t'as envie d'en voir plus...

- "Euh je sais pas, y'a mes parents...

- "Ca sera rapide t'inquiètes ! On se reverra de toute façon, juste un avant goût...

-"Ok".

 

Il file avec son chariot, la bite toujours molle mais bien longue entre ses jambes... Moi je reprends ou plutôt j'essaye de reprendre mes esprits... Le froid de l'eau me fait du bien... Je termine et me dirige vers le bungalow 31. Au passage je vois que mes parents sont toujours sur leur serviette à la plage. J'arrive devant la porte et frappe.

 

- "Entre."

Il est à poil et passe le balai...

- "Viens, approche-toi, n'aies pas peur. tu t'appelles comment ?

- "Léo.

- "Ok moi c'est Samuel. Alors pourquoi tu bandais sous la douche ?
- "Ben... Je sais pas...

- "Ah bon ? Dommage, je pensais que c'était le fait de voir ma queue !

- "Ben ça doit être ca, oui..."

Je baisse les yeux et fais mon timide...

- "Tu la trouves comment ma queue ?

- "Grosse.

- "Je bande pas là, tu sais ? Tu veux la voir en érection ?

- "Oui...

- "Viens, approche-toi..."

Je m'approche de lui. Il me caresse les fesses et tient sa queue dans les mains. Celle-ci commence à gonfler...

- "Suces moi Léo, vas-y".

Je m'agenouille et attrappe son gourdin bien épais que je mets en bouche... Elle gonfle rapidement... Putain ! Il est sacrément membré le mec ! Mon père avait raison, c'est Rocco Siffredi ! En quelques secondes elle est désormais dure et droite, magnifique queue...

- "Elle est trop grosse ta queu.

- "Tu aimes ?

- "Oui, ça fait bizarre c'est tout... Elle fait combien de centimètres ?

- "20 cm, le tout bien épaisse... J'en suis fier c'est vrai ! Vas-y suces encore... T'es passif Léo ?

- "Euh oui, passif...

- "Hmmm... Avec les fesses que tu as c'est normal... T'as envie ?

- "De quoi ?

- "De te la prendre dans le cul ?

- "Non, on peut pas là, je dois rentrer...

- "Vite fait ! T'as pas envie d'une bonne bite ? Montres ton trou"

Il m'enfourne un doigt dans mon trou serré... Il suce un doigt et le refout dedans, puis un second.... Enfin il attrape le manche du balai et joue avec le bout sur mon trou...

- "Regardes, imagines que c'est ma bite...

- "Doucement, tu me fais mal !

- "Hmm, regardes, comme ça hmmm"

Il m'a enfoncé le manche du balai dans mon cul... et joue avec en l'enfonçant davantage dans mon trou qui se dilate doucement...

- "J'ai envie de te baiser Léo...."

Il crache sur sa queue qui me parait gigantesque et s'astique le manche devant moi... Son manche à balai me doigte à grande vitesse...

Il me prend la taille et me fait assoir sur le canapé. Il me relève les cuisses, je me laisse faire... Il approche sa bite de mon trou... Putain, il me baise direct comme ça...

- "Aie doucement ca fait mal !

- "Oui j'y vais doucement t'inquiètes ! " Il renfourne sa grosse queue qui entre plus facilement, je sers les dents... Puis il me baise à fond sur le canapé, sans capote, sa bite de cheval me laboure bien le fion...

 

- "Tu aimes Léo ?

- "Oui... oui...

- "Putain ca fait 2 semaines que j'avais pas baisé, je vais juter là ! "

Un dernier coup de bite et il me gicle dans le fond du trou... Et je me vide de mon côté sur le canapé...

- "Putain Léo non ! Les clients arrivent dans 1 h, ca craint !!!

- "Ben désolé..." Il prend du sopalin et essuie ma gicle blanche sur le canapé... Sa queue est toute enfoutrée de sperme.

- "Viens me nettoyer la bite, on voit trop que j'ai baisé là"

Il est directif et j'aime ça. Je me la reprends en bouche et nettoie bien chaque centimètre...

- "Allez file Léo, j'ai du taf. J'espère te rebaiser pendant ton séjour, t'as un bon cul et tu verras : à force tu seras accro à ma queue"

 

Cela me faisait bizarre de repartir à poil comme ça après avoir baisé... Je regagne mon bungalow et me dit qu'une bonne douche me ferait du bien mais mes parents rentrent au même instant.

- "Alors Léo, ça va ? " me demande mon père, toujours dans le plus simple appareil.

 - "Oui papa, nickel !"

Je sens le jus couler de mes fesses... Merde, faut pas que ca se voit !

- "Ca te plait alors comme endroit ?

- "Oui c'est cool ! "

Le sperme de Samuel descend le long de mes cuisses... Putain, il m'avait bien rempli le bougre ! Je file dans ma chambre et m'enlève son jus... C'est très agréable de sentir mon cul ouvert et humide comme ça... Je m'amuse à me lécher les doigts plein de son jus en repensant à sa belle queue qui m'a labourée le derrière...

 

La suite... Camping naturiste en famille - 2

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 5 octobre 7 05 /10 /Oct 13:40

C'est au cours d’un voyage à Paris que j’ai fait la connaissance de Pascal. C'était un garçon châtain clair d’environ dix-neuf ans. Il était trapu et costaud et magnifiquement proportionné. Il avait un beau petit cul, bien planté sur de belles jambes de footballeur, cuisses volumineuses, gros mollets musclés, un torse d’athlète avec des pectoraux bien développés, des abdominaux saillants, des épaules larges avec de beaux bras. C’était vraiment un très beau mec. De plus, il avait été gâté par la nature car il possédait entre les cuisses des attributs à en faire baver plus d’un. À cette époque, il y avait un sauna qui était fréquenté à 70% par des Maghrébins plutôt jeunes. J’aimais bien cet endroit car les Maghrébins sont très actifs. Ils peuvent baiser plusieurs fois sans débander et ils ont, pour la plupart, des sexes aux dimensions bien au-dessus de la moyenne. En outre, ils ne font pas de manières et une certaine brutalité n’est pas faite pour me déplaire.

J’étais donc dans ce sauna quand, dans un couloir, j’ai croisé Pascal. Il était seul et nous avons échangé un salut. Après avoir fait le tour de l’établissement je suis allé dans une pièce aux lumières tamisées, un genre de backroom. Il y avait beaucoup de mecs complètement nus, pour la plupart de jeunes Arabes. Cela sentait la sueur, le sexe et le foutre et c’était excitant. L’éclairage diffus permettait pourtant de bien voir les formes des corps dénudés qui se pressaient, se frottaient dans cette pièce relativement étroite.

J’ai laissé mon peignoir à la porte et c’est à poil à mon tour que je suis entré dans la mêlée. Tout de suite j’ai senti des mains qui s’égaraient sur mon corps, s'insinuaient entre mes fesses, des membres qui se frottaient à moi. C'était extra et je bandais comme un cerf.

Soudain, au milieu de la pièce, j'ai aperçu Pascal. Il était debout, jambes écartées, reins cambrés, fesses tendues, empalé sur la bite d’un mec qui le limait vigoureusement. Je l’entendais exprimer son plaisir : «Oui c’est bon ! Vas-y à fond, encore, baise-moi bien, c’est bon, bourre-moi plus fort encore, vide-toi bien les couilles dans mon cul !» Autour d’eux, les Maghrébins faisaient cercle, cinq ou peut-être plus, qui se branlaient doucement. Ils avaient des triques plus grosses les unes que les autres. On aurait dit qu’ils attendaient leur tour. Ce spectacle était super-excitant ! Tout à coup le mec s’est mis à gémir et à râler de plaisir, son corps, tétanisé, se crispa sur celui de Pascal : il jouit le salaud et se déversa dans son trou. Il est resté quelques instants puis il s’est arraché brutalement. Je pouvais apprécier le beau morceau qu’il lui avait mis dans le fion quand celui-ci est sorti. Puis un autre mec s’est approché à son tour avec en main un autre beau membre bien raide. Il avait repoussé un gars qui voulait profiter de l’occasion et j’ai cru un instant qu’ils allaient se battre. Ils se disaient des mots incompréhensibles pour moi mais j’ai compris qu’il disait à l’autre d’attendre son tour. Le beau Pascal ne semblait qu’attendre une autre queue car il écartait bien ses fesses avec ses mains. Allait-il se faire tringler à la queue leu leu par tous ces mâles en rut ? Le mec a pointé son dard et, sans ménagement, il s’est enfoncé totalement dans son cul qui s’offrait. Sous le coup brutal il a poussé un cri. Je me suis faufilé entre les corps et je me suis agenouillé entre les belles jambes musclées de Pascal pour le pomper car s’il était caressé par les mecs, aucun ne s’occupait de son sexe. J’ai tout de suite avalé cette belle pine dont je rêvais depuis si longtemps. Je le léchais tout au long et suçais son beau gland puis je lui bouffais les couilles et je revenais pour continuer ma succion sur son nœud gonflé par le plaisir.

L’autre s’activait dans son fion et, parfois, sous des coups de boutoir plus violents, le gland de Pascal venait buter dans le fond de ma gorge en me donnant des hauts-le-cœur. Mes mains ne se trouvaient pas inactives et caressaient tous les zobs qui se trouvaient à ma portée : je les branlais tour à tour mais les mecs, au bout de quelques instants, si j’accélérais la cadence, retiraient ma main car tous ces garçons excités ne voulaient jouir qu’en déchargeant leur jus dans le petit cul de ce bel éphèbe. Soudain, en caressant dans la pénombre toutes ces tiges érigées, je surpris dans ma main un énorme gourdin. Le gars avait une queue aussi large que le poignet et mes doigts ne pouvaient l’entourer tellement c’était gros. Je descendis alors mes doigts jusqu’à la base de ce braquemart et découvris, entre ses cuisses, des couilles presqu’aussi grosses que des œufs. J’ai alors relevé la tête...

J’avais devant moi un jeune Maghrébin d’une vingtaine d’années, bien baraqué et beau comme un dieu, un véritable Apollon. Je mis mes mains l’une à côté de l’autre sur cet énorme membre et j’engouffrai le gros nœud dans ma bouche. Celui-ci venait buter au fond de ma gueule tellement il y en avait long et j’avais la bouche écartelée par cette hampe démesurée. Le beau gars se laissait faire en gémissant de plaisir. Pendant ce temps, le sexe de Pascal, pour un temps délaissé par ma bouche, se balançait dans le vide. Le mec le sodomisait de plus en plus violemment et à son tour il a lâché son foutre. Pascal gémissait, remuait les fesses : «Oui, vide bien tes couilles, remplis-moi le ventre de ton jus, c’est bon, reste encore j’aime ça, j’aime ta grosse bite.»

En même temps, je pensais à la réaction de Pascal si le mec dont je m’occupais, décidait de passer à son tour à l’action. Pourtant lui aussi semblait attendre la place pour l’enculer. Il ne pourrait pas absorber un engin pareil sans mal et s’il se refusait à cette pénétration, j’avais l’impression que j’allais assister à un viol en règle avec tous ces mecs autour qui ne manqueraient pas de le tenir immobile pour le soumettre au désir de ce superbe étalon. Ce dernier venait d’enlever son gourdin de ma bouche car le gars qui baisait Pascal s’était retiré et, la place étant libre, il s’est mis aussitôt derrière lui.

Celui-ci fit un oh ! de surprise quand il attrapa la matraque dans sa main pour la guider vers son cul et se faire enfiler une fois encore. J’avais repris ma succion sur sa bite : il bandait comme un taureau tellement il avait envie de se faire bourrer par ce zob démesuré. Mais ce n’était pas possible, il n’allait pourtant pas se faire défoncer par une telle chose ! Cependant il semblait la vouloir car il écartait ses fesses au maximum. En glissant ma main, j’ai senti le gland énorme qui s’appuyait déjà sur son trou dilaté et gluant de sperme et qui en forçait l’entrée. Le bel Apollon en voulait et Pascal lui disait : «Je veux bien essayer de la prendre, j’en ai très envie mais va doucement, je t’en prie !» Le gros bout violacé rentrait doucement et Pascal a crié de douleur quand le bourrelet est enfin passé. Le gland fut comme aspiré à l’intérieur par la rétractation brusque des sphincters qui se refermaient pour l’engloutir. Le mec a gémi de plaisir en sentant son gros nœud ainsi absorbé par le cul. Je me disais que le plus dur était peut-être fait, mais que son partenaire maintenant fiché dans son trou n’allait certainement pas en rester là. Sûr que Pascal allait souffrir si le mec décidait de tout lui mettre. Pour l’instant, celui-ci était agrippé à ses hanches et rentrait par petits coups. Il forçait pour s’engager de plus en plus et Pascal lui disait : «Doucement, pas si fort tu me fais mal, arrête c’est trop gros et je n’en peux plus, retire-toi, tu me déchires, tu ne pourras pas me la mettre.» Inexorablement, le gros paf rentrait centimètre après centimètre. Pascal, à présent, se débattait et le gars a dit quelque chose en Arabe. Alors, deux jeunes Maghrébins l’ont saisi entre leurs bras pour l’empêcher de bouger. Il s’est mis alors à hurler : le gros chibre avait disparu presqu’entièrement dans son cul et butait au fond en lui arrachant des cris de supplicié. Puis il s’est mis à geindre et je ne savais plus si c’était de douleur ou de plaisir ou les deux à la fois. Les gars avaient un peu relâché leur étreinte et l’autre s’est mis à le limer doucement en le tenant solidement emmanché sur son gros mandrin. Contre toute attente, Pascal lui disait des obscénités ! Ainsi donc il prenait du plaisir à cette pénétration : «Oh comme c’est gros ! C’est bon, vas-y, éclate-moi le cul, défonce-moi, j’aime les grosses bites comme la tienne, c’est super ! Mets-moi la bien, mets-moi tout à fond, vas-y, bourre-moi, ta bite me remplit bien le cul, j’aime ça, ne jouis pas trop vite, ramone-moi bien, c’est bon de te sentir, j’ai le ventre rempli par ta grosse trique, vas-y donne-moi des grands coups de queue, vas-y plus fort, encore !»

Le mec, encouragé par ses paroles, le bourrait plus durement. Pascal était agrippé à ses grosses cuisses pour mieux se faire défoncer. Il allait même au-devant de l’énorme bite qui le pourfendait en le faisant parfois crier de douleur : «Vas-y, donne-moi la bien, il y a longtemps que j’en voulais une comme ça dans le cul, vas-y à fond, oui là, c’est bon, ah ! Oui encore, vas-y je vais jouir, ça y est, ça y est, ça vient, je jouis, continue, je jouis ah !» Il s’est mis à râler de plaisir en s’abandonnant dans les bras de son partenaire et il a juté abondamment dans ma bouche. J’ai avalé sa liqueur pendant que l’autre vidait ses grosses balloches au plus profond de son ventre en manifestant bruyamment le plaisir qu’il ressentait...

 

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 28 septembre 7 28 /09 /Sep 14:24

J'avais alors quinze ans quand tout a commencé à cause d'une panne de congélateur.

Mes parents avaient pris rendez-vous avec le dépanneur pour un mercredi, jour où je n'avais pas cours et pouvais donc le recevoir, mes parents travaillant tous les deux. Il faisait chaud et j'étais en short et tee-shirt. J’étais seul à la maison, ma grande sœur étant sortit avec une de ses copines. Le dépanneur est arrivé vers 14 heures.

Je lui ai ouvert et je lui ai montré où se trouvait le congélateur. C’était un congélateur bahut. Celui-ci ne faisait plus de froid. Il regarda et s’aperçut que plein de poussière s’était déposée sur le groupe de froid. Il fallait qu’il dépoussière et il me demanda si je pouvais venir lui tenir sa lampe pour l'éclairer le temps qu’il arrive à nettoyer. C’était difficile d’accès et il ne pouvait que passer une main sous l’appareil avec un pinceau. J’étais très près de lui pour l’éclairer.

J’ai oublié de préciser qu’il était jeune, il avait dans la vingtaine. Au bout de quelques minutes, j’ai senti sa main libre se poser sur ma cuisse droite. Progressivement sa main est remontée le long de ma cuisse. Elle s’est doucement glissée sous mon short et du coup s’est approchée de mon sexe. Cela m’a déclenché une très forte érection. Il faut dire qu’il était assez beau garçon et que sa main chaude et douce sur ma peau était surement l’origine de ma soudaine érection. Il s’en aperçut instantanément. Je lui dis qu’il fallait que je m’absente quelques minutes et je sortis.

En fait je suis allé enlever mon slip sous mon short et je suis revenu. Dès que je me suis remis en position de l’éclairer, il a aussitôt glissé à nouveau sa main sous mon short et a tout de suite compris que je n’avais plus de slip. Il a saisi mon sexe à pleine main ce qui a encore renforcé mon érection. Il m'a demandé si ça me plaisait et j'ai répondu que c’était la première fois mais que ça me plaisait beaucoup. Il me demanda si j’aimerais qu’il me suce. Je répondis que je ne savais pas. Il dit alors que le mieux pour savoir, c' est d’essayer. Il me fit lever et je me retrouvai au milieu de la pièce en short, sans slip et en forte érection. Il se mit à genoux devant moi et baissa mon short laissant apparaître ma queue complètement raide. Il approcha sa bouche de mon sexe qu’il enfourna. Alors une sensation totalement inconnue me parcourut tout le corps. Je découvrais la jouissance. Il me suça longuement, avec tendresse et parfois de façon un peu plus hard. J’étais aux anges. Jamais j’aurai pu croire que c’était si bon ! Je sentis la pression monter en moi et, sans que j’ai le temps de le prévenir, je lâchai tout mon sperme en longs jets puissants dans sa bouche. J’ai cru qu’il allait s’étrangler. Il avala tout. Il me dit après que mon sperme avait très bon goût. Je lui dis que ce qu’il venait de me faire était très très agréable.

Le temps avait passé très vite et il me dit qu’il fallait qu’il parte mais qu’il devait revenir pour changer une pièce Je lui dis d’accord mais qu’il ne pouvait venir que le mercredi, jour où j’étais là et pouvais m’arranger pour être seul. Il me dit qu’il ne voyait pas les choses autrement.

Je n’avais qu’une envie c’est qu’il revienne vite s’occuper de moi. C’est ce qui se passa une semaine après sa première intervention. Voilà mon dépanneur de retour. J'ai pris bien soin d'être en short et sans slip. Chaud comme la braise je ne me suis pas fait prier pour m'installer afin de tenir sa lampe. Il a commencé par réparer le congélateur (il était là pour ça quand même !). Quand il a terminé et que l'appareil fonctionnait il a eu un grand sourire en me regardant. Là c'est moi qui ai posé ma main sur son jean, entre ses cuisses, et qui ai cherché son sexe. Je n'ai pas eu de mal à le trouver tant il était en train de gonfler à ma palpation. Il était surpris de sentir un garçon de 15 ans comme moi le palper avec envie.

Il se laissa faire et je commençais à dégrafer son jean. En même temps, il baissa mon short et s'empara de mon sexe avec ses mains. Je glissai ma main dans son slip et je saisis son sexe. C'était la première fois que je touchais un sexe de garçon autre que le mien. Sa queue était douce et chaude. Ce contact que je découvrais me donna envie d'aller plus loin. Sans réfléchir je baissai son slip en même temps que je me baissais et me retrouvais avec ce sexe en pleine érection au niveau de mon visage. L'envie a été la plus forte : j'ai ouvert la bouche et j'ai fait entrer ce membre chaud et dur. Alors là, quel plaisir j'ai ressenti !!! Je ne pensais pas que c'était si bon et, tout naturellement, je me suis mis à le sucer. Il a pris ma tête pour me faire comprendre que nous allions nous allonger, ce que je fis sans résistance. Nous sommes alors parti dans un 69 torride. Plus il me suçait, plus je le suçais. A force de jouer à ce petit jeu, cela s'est terminé par une giclée mutuelle de sperme dans nos bouches. Je ne connaissais que le goût de mon sperme et je découvrais que le sien avait un goût très différent. C'était génial. C'est grâce à lui que j'ai compris que mon orientation sexuelle était gay.

Merci à mon dépanneur de m'avoir fait découvrir ce que deux garçons peuvent se donner comme plaisir. Je me demande si je ne vais pas remettre le congélateur en panne...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 21 septembre 7 21 /09 /Sep 16:57

Il y a un mois, je partais en déplacement professionnel en début d’après-midi. À la sortie d’un village, j’ai pris un jeune auto-stoppeur, assez bien fichu, environ vingt ans, mais pas très bavard. À l’entrée de la ville, malgré son mutisme, je me suis décidé à  tenter la manœuvre que j’avais rendue rituelle en pareil cas. Tout en posant une main caressante sur sa cuisse, je lui ai demandé si cela lui disait de poursuivre faire un tour. J’avais tout entendu comme réponses, du genre : «Non merci ; vous pouvez me descendre ici ; non je suis attendu ; j’ai de bons copains comme ça, mais ça ne m’intéresse pas ; non c’est pas mon truc ; etc.» sans compter les : «Sale pédé», et les portières claquées. Mais alors là, il m’a laissé sans voix. Il m’a regardé et m’a dit calmement : «Oui, si vous voulez.» J’en suis resté coi, me demandant si le ciel me tombait sur la tête.

 

J’ai repris mes esprits pour sortir de la ville, tout en vérifiant à chaque feu rouge par quelques caresses appuyées que je ne rêvais pas. Dans les faubourgs, je lui ai demandé de se mettre à l’aise et, successivement, doucement selon ma demande, il a enlevé blouson, pull, chemise et a même dégrafé son pantalon quand nous avons pénétré dans un chemin forestier. C’est à cet instant que j’ai mesuré mon imprudence : en service avec la voiture de société, avec un gamin de vingt ans dans un chemin où l’on risquait la surprise ou pire l’enlisement en ce début d’hiver froid et humide.

Pour oublier tout cela, je lui enlève son tee-shirt. Il avait un corps émouvant, blanc, doux, tendre, tenant plus de l’enfant par l’absence de poils et la douceur de ses muscles. Quant à l’homme, il se montra bien vite quand j’ai baissé son pantalon, il bandait déjà bien ! De ce côté-là, il n’était pas timide et le montrait fièrement.

 

Il était assez passif et je dus guider ses mains dans nos premiers contacts. Mais il appréciait beaucoup mes caresses et mes baisers. Je lui ai demandé ce qu’il aimait et il me répondit : «Qu’on me suce.» Ce que je fis complaisamment. Sa queue était très fine au bout et luisait déjà. Je le caressais tout en le suçant, passant ma main sous ses fesses dodues. Je le sentais se détendre, s’enhardir. Il baisait avec plus de chaleur, de fougue. Ses mains se promenaient sur mon corps. Mais j’ai dû pousser sa tête vers mon sexe. Tendrement et sans résistance, il obéit et avala ma queue qui lui remplit la bouche. Là, il avait vite appris car il suça fort bien et fort longtemps. Je dus l’attraper par ses boucles pour lui retirer l’engin de la bouche avant qu’il n’éclate.

 

Je repris mes caresses. Son corps ondulait et il étouffa un gémissement lorsque j’introduisis mon doigt entre ses fesses. Il semblait très docile, répondant obligeamment à mes ordres ou à mes mains. Son petit cul blanc tressautait à chacun de mes allers-retours. Il me regarda, il haletait, son regard était trouble et semblait me prier d’aller plus loin tout en me suppliant de ne pas y aller. J’attendis un instant puis je l’ai retourné et l’ai débarrassé complètement de son jean afin qu’il ait les jambes à l’aise. Je lui ai ordonné d’écarter ses cuisses et de relever sa croupe qu’il m’a offert ouverte, désirable. Je me suis agenouillé derrière lui, enserrant sa mince taille et j'ai appuyé ma queue toute luisante entre ses fesses. Je ne voulais pas le faire souffrir mais, étant bien monté, le passage du gland lui arracha des cris que j’ai étouffé en le pressant sur le siège. Puis, doucement, je l’ai enfilé complètement avec de petits coups de reins. Je lui ai murmuré à l’oreille : «T’aimes ça, petit salaud, petit enculé !» Il acquiesça par des râles. Je me suis retiré. La réaction ne se fit pas attendre et il me dit : «Oh, refourre-moi ta queue, vite !» Je l’ai bourré à nouveau, d’un coup, ce qui le fit encore rugir. Puis il se détendit, livra son corps à mes coups de boutoir qu’il contenait en s’appuyant sur le dossier arrière. Son corps bondissait à chaque coup jusqu’à ce que j’éclate en lui en l’insultant à nouveau. En m’affalant sur lui, épuisé, je sentis son sperme chaud gicler sur le siège.

 

Nous nous sommes rhabillés et, en repartant, il m’avoua que c’était son deuxième mec en un mois et que, la semaine précédente, il s’était fait sa première fille. Mais c’était la première fois qu’il s’était fait prendre et il avait fort apprécié. En échange de confidence, je lui ai avoué avoir fort apprécié de pouvoir déflorer un garçon avec un aussi beau cul et qui aurait pu être mon fils. Je l’ai félicité et l’ai encouragé à profiter au mieux de la vie et de ses plaisirs avec autant de naturel. En sortant de la voiture il me dit au revoir et s’éloigna en marchant légèrement en canard, tout en boitillant un peu, ce qui me fit éclater de rire.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 14:44

e suis une larve, un chien, un esclave...

J’ai vingt-quatre ans, je mesure 1m86. Mes cheveux noirs sont coupés courts et mes yeux sont vert-gris. Mon corps est svelte et athlétique grâce aux repas légers que me prépare mon Maître et au sport dont mon Seigneur est friand. Comme un bon chien que je suis, mon cul et mes couilles sont rasés.

 

Cela fait trois ans que je suis au service de mon Maître. Nous nous sommes rencontrés alors que j’avais vingt-et-un ans et que j’étais en vacances dans une ville côtière du Midi de la France, entre Agde et Aigues-Morte. Maître Jérôme y possède une superbe villa retirée de tous et de tout, avec un immense parc propice aux folies de toutes sortes. Je l’ai rencontré dans des conditions normales lors d’une soirée chez un ami commun. Maître Jérôme comprit rapidement que j’avais besoin de la domination d’un mâle viril et puissant. Mon Maître est excessivement sportif, il mesure 1m88 avec des yeux bleu clair et des cheveux blonds coupés court. Il est kinésithérapeute et il a trente-deux ans

 

Depuis, sans relâche, jour et nuit, Maître Jérôme, selon son bon plaisir, parfait mon éducation de soumis. N’ayant pas d’attache dans ma région d’origine, j’ai tout quitté et je suis venu vivre avec lui. Dans notre villa je suis toujours entièrement nu, le sexe enserré dans un fourreau de cuir, un gode coincé dans le rectum. Maître Jérôme exige de moi une soumission de tous les instants pour tout ce qu’il souhaite. Cette soumission permanente je la dois envers lui mais aussi envers ses amis hommes, les plus nombreux, mais aussi femmes puisque mon Maître, ne savourant que le plaisir sous toutes ses formes, est un parfait bisexuel. Grâce à son éducation très sévère j’ai pris le parti de ne pas jouir sans sa permission. Maître ne me la donne pas souvent mais la punition qui peut s’ensuivre est là pour me le faire souvenir. Cette absence de jouissance doit être de tous les moments même lorsque ses amies se servent de mon sexe comme d’un godemiché, donnant elles-mêmes les impulsions à ce gode de chair sans se soucier des maux que j’ai à résister.

 

C’est à la suite d’une soirée spéciale organisée par mon Maître pour un de ses amis parisiens, en juin dernier. Maître invita six autres mâles musclés dotés de beaux attributs et d’esclaves dociles. Nous nous retrouvâmes dans la propriété à huit vrais mâles et dix esclaves soumis. Maître Jérôme a déterminé les rôles que les soumis tiendraient dans un premier temps. Je fus désigné pour être un serviteur avec un chiot de dix-neuf ans. Nous devions nous assurer que rien ne manquerait pour la jouissance de nos Maîtres, nous faisant culbuter là où ils le souhaiteraient. La soirée s’annonçait très chaude et longue. Les invités arrivèrent tous vers vingt heures et découvrirent leurs soumis dans les rôles qui leur avaient été assignés. Tous se mirent rapidement en tenue de plaisir, c’est-à-dire nus, sauf mon Maître qui conserva ses belles chaps noires en cuir. Les deux serveurs, dont je faisais partie, eurent pour tâche première de mettre en condition toutes les belles queues de nos mâles en les suçant sans relâche. Après quelques verres de vin rosé du pays, quelques verres de sangria, nos Maîtres se défoulèrent sur nos corps, fouettant celui qui était attaché à la croix de Saint-André, martyrisant avec finesse et doigté la pointe des seins avec des pinces crocodile, lui tapant ses petites bourses pendantes avec une tapette à mouches.

 

Celui dont on ne voyait que le postérieur fut largement fouetté au martinet puis godé avec force par plusieurs Maîtres à l’aide de godes de toutes tailles, couleurs et formats. L’un des Maîtres lui planta en dernier ressort une bougie dans l’anus et l’alluma. Un court instant après, la cire commençait à couler le long de la raie rasée, descendant jusqu’aux burnes en arrachant des râles aux soumis. L’un des mâles me demanda alors un cognac que j’ai dû chauffer de ma bite quelques minutes avant que celui-ci ne le boive comme il se doit.

 

À côté de nous, un jeune esclave de vingt ans, débutant, a eu droit à une grosse canule dans le cul. Le broc de lavement au-dessus de lui vida son litre de lait tiède dans les entrailles du garçon. On entendait le gargouillement du ventre se vidant de son air. Un bassin fut mis sous ses fesses et le Maître lui fit recracher le mélange. Le mâle pissa dans le récipient et versa le mélange dans un grand verre qu’il donna à boire au soumis qui le remercia du mal qu’il se donnait pour lui qui n’était qu’un chiot à dresser. L’un des autres Maîtres me fit me mettre à genoux devant lui, me fit ouvrir la gueule bien grande et me cracha dedans en me traitant de salope, de lopette, de pédé. Il me força à tout avaler, à dire merci après chacune des baffes dont il me gratifia. Un autre soumis fut attaché à une table basse, poignets et mollets liés par des menottes aux pieds de la table. Il avait un énorme gode noir dans le rectum, des pinces crocodile reliées par une chaînette aux tétons. L’un des Maîtres qui est infirmier de métier, lui fit alors un sondage. Il lui serra fortement le gland et glissa dans le conduit une seringue contenant un quart de litre d’eau stérilisée. Le soumis se tordit de douleur comme il le pouvait, chaque mouvement ne faisant que resserrer les menottes. Il ne s’agissait que d’un coup d’essai. Un second Maître vint le gifler afin qu'il stoppe ce qu’il nomma être des singeries. L’esclave dut alors attendre une bonne dizaine de minutes avant de pouvoir se vider la vessie dans ma bouche puisque le second Maître m’avait installé entre les jambes écartées du supplicié. Le moment venu je fus inondé d’un liquide chaud et blanc.

 

Après un moment de répit durant lequel les Maîtres se reposèrent de leurs puissants efforts en buvant quelques cafés et des cocktails, ils nous tombèrent à nouveau sur le dos pour de nouvelles chevauchées dont ils étaient les maîtres et dont nous n’étions que les simples montures. Je n’étais pas un novice et ces soirées chaudes, dont mon propriétaire avait le secret, m’étaient coutumières.

 

Certains Maîtres reprirent leurs manoeuvres, nous cassant sans la moindre douceur, la moindre question, nos rosettes endolories. C’est à grands coups de boutoir que mon Maître et Seigneur prit possession de mon cul d’esclave qui lui appartient comme l’ensemble de ma personne et avec lequel il sait pouvoir tout faire, tout tenter. Comme il me l’a enseigné je retenais tous mes soupirs, mes plaintes. Soudain ma gueule de chien fut pénétrée et labourée par la bite enflée de Loïc, celui pour qui la fête battait son plein. Loïc lima avec force ma gueule de chiotte comme s’il s’agissait d’un simple cul mais bouche et cul selon mon Maître, chez un esclave ont la même connotation. Certains esclaves subissaient les assauts virils des Maîtres avec des pinces aux seins, des parachutes lourdement chargés aux couilles misérablement pendantes. Les divers enculeurs n’oubliaient pas de faire violemment joujou avec ces gadgets.

 

Maître Jérôme, fier de moi, m’attacha un collier en cuir autour du cou sur lequel il était gravé “Enculus – Propriété de Jérôme”. Il déclara me prendre définitivement pour esclave et annonça à tous que mon éducation prenait une nouvelle tournure et que rien ne me serait épargné pour son plaisir et sa jouissance. Afin de marquer son territoire, Maître Jérôme me pissa dessus, déversant sur mon corps d’esclave son urine salée et chaude. Puis il m’enfonça son dard dans la gueule en la tenant fermement serrée entre ses mains puissantes. Il lima ma gueule de chiotte avec vigueur et au bout d’un long moment, cracha dans ce réceptacle indigne, sa précieuse semence de vie, de vrai mâle capable de satisfaire un homme et/ou une femme, prouvant sans relâche sa virilité. Il cramponna ma tête en criant “Nourris-toi, salope !”

 

Tout au long de la soirée, jusque tôt le matin alors que l’aurore pointait déjà, à plusieurs reprises, tous les soumis que nous sommes avaient servi de vide-couilles, de trous à bites, d’urinoirs, subissant les assauts répétés et virils, nous servant de notre langue pour nettoyer les pines salies, les anus ressortant des toilettes, léchant la sueur qui coulait sur les corps des mâles en chaleur, accusant tous les coups que l’on nous assénait, embrassant la main qui se fatiguait à nous corriger, comptant à haute voix les coups, disant sans faiblir et fort “Merci Maître !”.

 

Ce fût une belle soirée de plaisirs intenses pour tous les Maîtres, de parfaite soumission pour nous qui avons compris quel est notre véritable rang parmi les mâles virils qui nous entourent et que nous sommes faits pour servir en tout temps, en tout lieu, comme ils le désirent.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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